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[ RP ] Eglise Saint-Nicolaïde de Montmirail (3)

Bradwen
La messe particulière terminée, le paysan était resté seul dans l'église. Du travail l'attendait : remettre les bancs en place, nettoyer les restes de la communion festive, balayer les miettes à terre...

Dehors le temps s'était radouci et la pluie venait de s'abattre sur Montmirail...
*bombadil*
Le carrosse du Cardinal s'arrêta devant l'église. Il était suivi de Rosalys, son garde, avec qui hélas, il n'avait su persuader les brigands de ne point les détrousser. La ville de Montmirail, qui ne devait être à l'origine qu'une étape dans leur voyage, les accueillerait finalement quelques jours. Il n'avait évidemment rien prévu pour cette étape, et se retrouvait présentement sans le sou. Le mieux était donc d'aller demander de l'aide à l'Eglise... Il descendit de son véhicule, et s'adressa à la jeune femme.

Allons-voir si nous pouvons trouver ici l'expression de l'amitié aristotélicienne.

Pour ajouter à leur malheur, il pleuvait. La pluie ruisselait doucement sur le large chapeau à pompom et sur la cape pourpre du cardinal.
Il ne mit pas longtemps à aller dans l'église, fuyant la pluie.

Une seule personne était présente. Un simple paysan qui balayait le sol de l'église.


Bonjour Mon Fils. Sauriez-vous me dire si le curé de la paroisse est dans les parages ?

Autant directement aller à l'essentiel...
Bradwen
Sortant de l'église, Bradwen vit un impressionnant carrosse arresté devant l'église.

Un homme non moins impressionnant l'interpella.


L'curé ? Mordiou.... Sieur Taciturne... Ah ben sieur, j'sais point où il est l'sieur Taciturne. J'le vois jamais.

Ceci dit, j'm présente : Bradwen, paysan à Montmirail et diac' de Montmirail. Si j'puis vous estre utile sieur... Vous désirez ?
Rosalys
La garde voyageait sur Corale, sa belle jument avec qui elle s'était liée d'amitié. Traînant derrière le carrosse avec Corale, Rose osait à peine regarder devant elle. Elle laissait sa monture suivre docilement le carrosse tout en ressassant ce qui s'était passé dans sa tête. Trois contre elle, elle n'avait rien pu faire. Heureusement ils n'avaient eu aucun dommage corporel.

Elle fit un rapide petit détour par la caserne afin de régler les problèmes administratifs avec la prévôt du Maine et retrouva sans peine le carrosse qui roulait beaucoup moins vite qu'elle par cette pluie. Il s'arrêta devant l'église. Le Cardinal descendit et elle fit de même. Elle tira un peu sur la capuche de sa cape qui s'était démise lorsqu'elle sauta à terre. Elle confia la bride de Corale au cocher et suivit le Cardinal sans un mot. Une fois à l'intérieur elle abaissa sa capuche et passa sa main dans sa chevelure pour la soulever afin de la libérer. Elle sourit au paysan qui se trouvait là à balayer.

Bonjour.

Elle laissa le Cardinal parler.
*bombadil*
Ce n'était pas un simple paysan, finalement, mais le diacre de la paroisse qui était en train de prendre soin de l'église. Cela convenait parfaitement au cardinal. Un serviteur de l'Eglise ne pourrait que leur venir en aide.
Thomas adressa donc un sourire à Bradwen.


Très bien... si vous êtes diacre, vous pourrez certainement nous aider. Voilà... je suis Thomas d'Azayes, Cardinal-évêque de Béthléem, et la jeune personne que vous voyez là se nomme Rosalys. Ele m'accompagne durant mon voyage.
A vrai dire, nous n'avions pas spécialement prévu de nous arrêter à Montmirail, mais il semblerait que le Seigneur ait eu d'autre projet à ce sujet.
Nous avons été brigandé juste avant d'arriver en votre ville, et je me suis dit que nous pourrions solliciter auprès des clercs de la ville quelque aide qui serait la bienvenue car nous nous retrouvons sans le sou.
Je ne sais si vous avez dans vos greniers quelque denrée qui pourrait permettre à Rosalys de reprendre quelques forces, et un peu de vin, que je puisse me désaltérer ?
Rosalys
Rose n'avait quitté son cheval que depuis quelques minutes que déjà elle avait du mal à rester debout. Discrètement elle alla s’asseoir sur la banc le plus proche. Elle avait déjà connu des jours de jeun mais jamais plus de 24h d’affilée et là ça commençait à faire trop, elle n'était pas habituée et se sentait vraiment faiblarde. Lorsque le Cardinal eut fini d'expliquer à Bradwen leur présence céans, elle ouvrit enfin la bouche pour dire plus qu'un mot.

De l'eau... Vous n'auriez pas juste un verre d'eau messire Bradwen ? ça me donnerait assez de forces pour finir le voyage.

Elle sourit, espérant que dans ce lieu pas très clair, on ne remarquerait pas sa pâleur.
Bradwen
Au fur et à mesure que le cardinal s'exprimait, la figure du paysan se décomposait. Dans sa teste, les idées s'entrechoquaient, cherchant visiblement à trouver un ordre logique dans tout cela. Un cardinal ! Un cardinal à Montmirail ! Le paysan ne put réfréner un....

Mordiou !

... de derrière les fagots.

Z'estes Card... Cardinal ?!?!?!

Bradwen ne savait comment se comporter face à un tel personnage. Cela n'était pas au menu du séminaire en théologie ! Feuilllle lui avait bien signalé que l'on baisait l'anneau des évesque. Mais alors, que pouvait-on faire à un Cardinal ?

Oui... Oui Votre Excellente Monseigneur ! Vous trouv'rez ici tout c'qu'il vous faut pour vous reposer, vous désaltérer et vous nourrir ! Montmirail à l'sens d'l'hospitalité... et ça vaut aussi pour ses clercs.

Ces clercs... ces clercs... Irella était partie, Decanisy pas encore nommée, et Kaelig mesme pas baptisée. Restait lui et... et Taciturne !

C'est alors que les mots du Cardinal revint à l'esprit du paysan.

Citation:
A vrai dire, nous n'avions pas spécialement prévu de nous arrêter à Montmirail, mais il semblerait que le Seigneur ait eu d'autre projet à ce sujet.


Le Tout-Puissant avait donc des projets pour le cardinal à Montmirail ?!?!?! Se pouvait-il que ?... Non, voyons... ce serait péché d'orgueil que de penser cela...Et pourtant... pourtant, Mère Feuilllle était plus que débordée, Mgr Chapoto en retraite, et Mère Passion était autant prise que Feuilllle. Alors... alors se pouvait-il que Dieu ait envoyé volontairement le cardinal à Montmirail pour que Bradwen puisse enfin se confesser ?

Le diacre scruta le cardinal de haut en bas. Non ! Impossible... Bradwen ne pouvait pas se confesser à un cardinal... pas avec tout ce qu'il avait à dire dans cette confession. Avec Feuilllle, cela passerait encore... mais s'il avouait tout cela à un cardinal qui ne le connaissait ni d'Oane, ni de Spyosu.

La dame qui accompagnait le cardinal prit alors la parole pour demander un peu d'eau. Cette intervention permit au diacre de retrouver ses esprits et le contact avec la réalité.


D'l'eau ? Oui, oui dame ! Ben sur ! Tout d'suite !

Dame, Vostre Excellence, si vous voulez vous donnez la peine d'me suivre au presbytère, vous y trouv'rez tout c'que vous voudrez. J'vais vous faire servir un r'pas et j'peux mesme vous préparer une chambre qu'nous gardons disponible pour les fidèles qui sont d'passage à Montmirail.

Euh... Faut qu'j'vous fasse préparer une chambre ou ... euh... deux ?


D'un geste le paysan invita les voyageurs à le suivre au presbytère.
Dehors, il héla un jeune garçon qui jouait dans la rue.


Psstt, petit ! Va m'chercher dame Kaelig au 3, rue st-nicolaide... Ouais, j'sais c'te tout près d'ici... Dis-lui qu'y'a une dame qui est au presbytère et qu'moi j'sais point c'qu'une dame d'la haute a comme b'soins ! Ah, et dis-lui aussi qu'y'a un gros ponte d'l'église qu'est là aussi... Non, gros ponte, ça veut dire quelqu'un qu'est ben ben important. C't'homme là, il lui suffit d'me regarder droit dans les yeux pour qu'il m'réduise en poussière s'il le désire ! Allez file, vite ! Et après préviens dame Paz ! La mairesse doit estre prév'nu d'la visite qu'on a à Montmirail !

Ah et dis aussi à Maria d'ramener l'livre d'or d'Montmirail ! Des voyageurs comme ça, ça s'loupe pas !
Kaelig
Kaelig courait, courait, courait. Le plus vite possible! Tenant sa capuche des deux mains, la donzelle passa devant la bicoque de Tomalebrave mais point le temps de s'en soucier. Une dizaine de minutes plus tard, elle se trouvait non loin de la grande bâtisse religieuse... ils étaient en partance! S'approchant d'un peu plus près, quelle ne fut point sa surprise d'apercevoir la dame d'hier. Sans explication aucune, les informations emmagasinées durant la soirée furent réceptionnées par ses petites cellules grises. La blondinette ne s'était point rendue compte qu'elle avait stoppé sa marche. Aussitôt le remarqua-t-elle qu'elle se dirigea vers le diacre et les deux visiteurs fraîchement brigandés. La future baptisée posa une main réconfortante sur le bras de son compagnon de coeur.

- Bien le bonjour Votre Éminence... Dame Rosalys.

Non sans saluer d'un signe de tête respectueux le cardinal, un regard inquiet s'éclipsa vers la dame aux multiples fonctions aussi épatantes les unes que les autres.

- Je me présente : Kaelig Mahena. Femme comblée à Montmirail. Si vous me le permettez...

L'arrivante s'approcha de la dame faiblarde légèrement en retrait en posant une douce main sur une de ses épaules, comme pour la soutenir. Un sourire réconfortant s'échappa de ses traits faciaux.

- Je vous avais bien dit que nous recroiserions dame. Tenez, j'ai apporté ceci...

Découvrant sa sacoche de cuir, la paysanne fit mine de sortir une gourdasse de lait, une autre de cidre de pomme et un tissu regroupant divers mets : des pommes, quelques tranches de pain, du saucisson, des galettes au miel et un petit couteau.

- Ceci n'est point grand chose mais cela vous redonnera des forces. Désirez-vous manger ceci maintenant ou souhaitez-vous attendre que nous soyons installés confortablement au chaud?

Un doux rire sortit des lèvres de l'accueillante. Puis, se tournant vers le Haut Clerc.

- Votre Éminence, la proposition vaut également pour vous.

Son regard se plissa de bienveillance, pour se diriger ensuite vers Bradwen, lui adressant un signe de reconnaissance.
Rosalys
Rose sourit en voyant dame Kaelig entrer dans l'église. Elle était ravie de la revoir.

Bonjour dame Kaelig, appelez moi Rose tout simplement.

Elle sourit à la charmante jeune femme et la regarda sortir de quoi manger avec envie. Son ventre exprima sa faim par un discret gargouillement. Il était vraiment temps de manger quelque chose. Rose n'allait pas cracher sur la générosité de la jeune blonde, mais elle ne voulait pas non plus en abuser.

J'avais seulement demandé de l'eau... Mais si c'est un ordre alors...

Elle rit avec la jeune femme. Elle prit ensuite la gourde de lait, laissant celle de cidre au cardinal. Quant aux mets elle mangea juste ce dont elle avait besoin laissant le reste pour le cardinal. Elle garda tout de même une pomme qu'elle prévoyait de donner à Corale. Elle garda une des galettes au miel et se leva. Elle sortit et remis la galette au cocher qui devait avoir faim lui aussi, puis retourna à l'intérieur.

Merci beaucoup dame Kaelig, votre bonté me touche énormément.
Bradwen
Voyant que sa Kaelig s'occupait de la dame de haute noblesse, le paysan se retourna vers le cardinal.

Distes-moi vostre majesté, vous dirigiez-vous vers Tours pour participer au concile ?
Kaelig
Kaelig chuchota à la dame...

Savez-vous ce qui a meilleur goût qu'une gourdasse de lait et quelques galettes de miel après un jeune de plus de 48 heures... Rose?

La donzelle à la chevelure dorée avait intensifié volontairement son prénom afin de faire comprendre à son interlocutrice que le message était bien passé.

Ce sourire radieux que vous me faites là. Il y a de cela trois jours, Nous étions de parfaites inconnues l'une pour l'autre. Aujourd'hui, vous me faites ce splendide cadeau digne d'une amie.

La bavarde marqua une pause alors qu'un sourire bienfaiteur trahit ses traits.

Un cadeau d'une valeur inestimable comparé à quelques denrées alimentaires. Même si je vous ai aidé sans rien attendre en retour, c'est le plus beau remerciement que l'on m'aie accordé...

Son sourire devint chagrin.

Vous allez nous manquer Rose... Et appelez-moi Kaelig, tout simplement.
Rosalys
Rose sourit à nouveau en entendant ce que sa nouvelle amie lui chuchota. C'est vrai, elle se connaissaient depuis peu mais elles s'appréciaient déjà. Kaelig était très gentille et lui avait fait un très bon accueil, il ne pouvait en être autrement.

C'est parce que je vous considère déjà comme une amie.

La brunette la regarda toute émue. L'amitié Aristotélicienne n'avait vraiment que des bon côtés, et Rose était ravie de constater qu'elle existât encore. Jusqu'à présent elle était restée trop peu de temps dans une ville pour en apprécier les villageois. Mais là elle savait que le départ serait difficile. Difficile d'abord parce qu'elle s'était attachée à Kaelig et à Decan, et ensuite parce que tout ça lui avait rappelé que ses amis de Champagne lui manquaient énormément.

Vous allez me manquer aussi... Kaelig.

De la même manière que la belle blonde, Rose appuya sur le dernier mot qu'elle prononça. Elle essuya une petite larme qui vint lui chatouiller la joue. Il fallait vraiment qu'elle apprenne à être moins sentimentale.
Bradwen
Le cardinal semblait parti dans une profonde méditation. Le paysan décida de ne pas troubler ses réflexions. Et puis de l'autre costé, les dames semblaient heureuses de discourir ensemble. C'est ainsi qu'en ce jour, un miracle eut lieu à Montmirail. Le bavard de Dieu décida... de se taire !

Il n'osait troubler la quiétude des lieux et il sentait que l'émotion était intense du costé des dames. Il semblait qu'elles s'étaient bien vite liées d'amitié.

Pour lui, il était temps de prendre congé, de laisser les voyageurs à leur quiétude. Le paysan se leva et salua d'un hoschement de teste le cardinal et la dame.


Vostre Excellence, j'vais prendre congé. Vous avez icelieu tout c'qu'il faut. Boisson, repas, l'feu est allumé dans la ch'minée et d'vrait durer une bonne partie d'la journée. J'avions fait préparé les chambres à l'étage. Vous estes ici chez vous. Montmirail a été flatté d'vous avoir eu comme invité d'passage ! Si vous avez b'soin d'quoi que ce soit, n'hésitez pas à d'mander à philou. J'avions d'mandé au petiot d'dormir en bas dans l'presbytère pour vous servir. Et au b'soin, l'bonhomme sait où m'trouver moi ou Kaelig. J'espère qu'nous aurons l'loisir d'nous r'voir avant vot'départ !

Sur ces paroles, le paysan quitta le presbytère, non sans avoir auparavant gratifié Kaelig d'un baiser déposé sur le front.

Sur la route qui le menait vers Melleray, le paysan cherchait pour quelle raison Dieu avait mis un cardinal sur la route de Montmirail. De fil en aiguille, ses problèmes de confession revinrent à l'esprit, problèmes suivis bien vite d'images inquiétantes dans lesquelles la Sainte-Inquisition débarquait à son tour à Montmirail...
Kaelig
Une larme salée glissa le long de la peau pâle de Rose. Kaelig s'attendrit puis prit une expression de fermeté.

Rose... J'aimerais que vous preniez ceci avec vous.

La donzelle fouilla une nouvelle fois dans sa sacoche. Mais n'y trouva rien. Ou diable avait-elle mis...? Ah oui! La paysanne porta ses mains fines jusqu'à l'encolure de son corsage. Là était cousu, d'un fil cotonné, un trèfle à quatre feuilles. La blondinette le défit agilement du bout de ses doigts.

J'aimerais que vous le preniez, que vous le cousiez sur votre coeur. Il vous protégera. Il a été béni par une étoile filante.

N'attendant point de réponse, elle le posa directement dans une de ses mains.

Ne vous en faites pas, j'en retrouverais un autre! Et puis, j'ai quotidiennement une étoile brillante à mes côtés. Je n'ai point besoin de cette minuscule plante.

Une main décidée se referma délicatement sur une autre.

Je vais vous laisser à présent profiter de la quiétude de ses lieux afin que vous vous reposiez et repreniez quelques forces. Et puis, vous devez avoir des choses à vous dire avec son Éminence. Si nous ne pouvons point nous croiser à nouveau, je vous souhaite bon voyage, Rose. Que les étoiles veillent sur vous.

Non sans lui adresser un dernier sourire bienveillant, Kaelig s'en alla quitter la bâtisse religieuse, se retournant une dernière fois.

Oh et, Rose? Je vous écrirais!

Sans dire un mot de plus, la chevelure d'or s'éclipsa. Laissant derrière elle un doux parfum d'amitié. Partant rejoindre une douce complicité.
*bombadil*
[désolé pour le retard.]

L'hospitalité des paroissiens de Montmirail était la bienvenue, et permettrait au Cardinal et son garde de reprendre quelques forces d'ici leur départ, car il leur faudrait bien repartir puisqu'ils étaient attendus. Cela réchauffait le coeur du vieil homme, et le plongea dans ses pensées. En était-il ainsi dans tous les villages du royaumes ? Si un voyageur demandait ainsi de l'aide dans sa paroisse de Reims, serait-il traité de même ? Il ne sortit de ses pensées, que pour répondre tardivement à la question du diacre, qu'il avait entendu sans véritablement l'avoir écouté.

En effet, Mon Fils, nous nous rendons au Concile épiscopal afin de discuter avec nos confrères évêques et cardinaux présents. S'il vous vient à l'esprit d'y venir également en simple visiteur et fidèle serviteur de l'Eglise, faites-le moi savoir, je serais ravi de vous y retrouver.

Une paroissienne vint trouver Rosalys, afin de lui offrir quelques denrées pour le voyage ainsi qu'un souvenir. Le Cardinal lui rendu son salut, et préféra laisser les deux femmes discuter ensembles. Elles avaient visiblement beaucoup à se dire.

Il salua enfin le diacre de Montmirail, qu'il n'oublierait pas de sitôt pour la bonne image qu'il donnait d'un serviteur de l'église. Aimable, aidant, à l'écoute de son prochain...


Au revoir Mon Père. C'est nous qui sommes honorés d'avoir pu passer quelques jours dans votre joli ville, en votre compagnie. Que le Très-Haut puisse continuer à veiller sur vous, et vous inspirer dans votre vie de clerc.
Je pense que je ne vais pas tarder à aller profiter des chambres que vous avez mis à notre disposition, car il faut avouer que le voyage est éreintant pour un homme de mon âge...


Il s'inclina devant le diacre qui quitta le presbytère. Pour terminer, Thomas informa Rosalys, qu'il prenait congés, et s'en retirait dans sa chambre.

Rosalys, je monte dans ma chambre et y prendrai un peu de repos en attendant notre départ. Faites ce que vous avez à faire en ville, nous reprendrons la route très vite...
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