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Quand la République sème ses graines en FC

Durant le mois de mars 1457, les Républicains Réformés, sous l'égide du Lion de Juda, foulent de leurs pieds les terres comtoises avec la ferme intention d'y semer les graines d'un nouvel ordre où aucun homme n'aurait plus à subir le joug de la noblesse et du clergé.



Table of contents


À peine un mois après leur venue dans la Cité Pontissalienne, les Républicains reviennent... mais cette fois sous l'oriflamme pourpre de l'Armée du Salut, dirigée par le Sieur Gromukus. La couardise des Comtois, lors de leur précédent passage, ne tiendrait plus. Ils ne pourraient plus échapper à l'affrontement de leur noblesse dépravée face aux Républicains Réformés. Le destin en avait décidé, et le Très-Haut les avait guidés jusqu'aux portes de la ville où le campement avait été dressé...

Face à la couardise persistante des armées comtoises, les Républicains décident de leur faire la nique aux pieds des remparts, et de toutes les manières possibles, faisant état de la miséreuse élite du Conseil...

Las d'espérer un affrontement qui se faisait toujours attendre, l'Armée du Salut commence à faire pression sur la populace comtoise, tuant à l'aveuglette des voyageurs qui cherchent à fuir la ville, comme les rats tentent de fuir un navire sur le point de couler.

Pendant ce temps, est dépêché auprès de Dole un ambassadeur, émissaire de la République Réformée, mais le Vice-Chancelier se fera désirer, à l'image de leur Ost, augmentant ainsi le nombre des malheureuses victimes...

Dans la nuit du 25 au 26 mars de l'an 1457, l'Armée du Salut, porteuse de la Foy Républicaine Réformée, affronte trois armées aux portes de Pontarlier : l'Ost Parangon, Pontus Fortis et Liber et Sicut Aquila.

Une majorité des soldats de la République seront gravement blessés, d'autres laissés pour mort... Et les pertes dans les trois autres armées seront tout aussi inestimables.

Dans la nuit du 25 ou 26 mars de l'an 1457, l'Armée du Salut aura affronté trois armées à elle seule... et survécu à cette bataille, car la République Réformée ne peut s'éteindre...

Alors que les quelques survivants de la bataille ont rallié la Confédération Helvétique en hâte, ignorant l'état de leurs frères Républicains, les blessés se sont dispersés dans les bas fonds de la cité pontissalienne.

Moyennant écus sonnants et trébuchants, certains d'entre eux ont trouvé refuge dans le grenier d'une demeure comtoise, se terrant pour panser leurs plaies et se remettre sur pieds, toujours plus déterminés à faire triompher la République Réformée.



Footnote


Archivist: Ivori
Add: 24/03/2009 - 16:47
Change: 04/07/2009 - 10:34

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