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affaire Bazin contre Languedoc/bourgogne (velden/lafred)

Bazin
La juge revenait de s'être réconcilié avec la nature. Le bon Bazin la salua et, voyant que l'audience pouvait reprendre, invita le témoin a répondre à sa question:

Messire Bentich, vous avez toute notre attention.
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Berger du peuple
Ryllas
Ryllas tirait sur son cigare de feuilles de maïs. Une odeur particulièrement âcre flottait dans la pièce.
Bentich
Après la suspension de la séance. Ben sans se démonté répondis simplement

Nous avons parlez de cette affaire au conseil, sinon le Grand Chambellan de l'époque n'aurait pas pu entendre ma question au sujet de ce traité et y répondre. J'ajoute que le conseil au complet à accepté que le grand Chambellan puisse avoir accès à la salle du conseil, comme il en est actuellement avec Dona Frederique85 l'actuelle Grand Chambellan.

Il se rassit et se demandait si la politesse était une chose apprise par le Bâtonnier du Dragon. La fumée ne le dérangeais pas trop, il avait lui même l'habitude de fumer quelques feuille de tabac le soir après le repas. mais nous étions quand même dans une salle de tribunal
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Bazin
Bazin eut bref éclat de rire; puis, toujours souriant, il secouait légèrement la tête tout en faisant mine de se passer la main dans les cheveux qu'il n'a plus:

Certes, certes: une réponse de normand somme toute. De la part d'un Languedocien pour une affaire Bourguignonne. Vaste programme.

Ah ah ah !


Le berger du peuple s'appuie alors nonchalamment d'un bras sur le pupitre à lui dévolue, alors que l'autre main manipule négligemment quelques piècettes dans la bourse accrochée à sa ceinture: tchiling tchiling tchiling.

Si on a bien tout suivi: le chambellan a répondu à votre question ce qui prouve qu'il l'a entendu ce qui prouve qu'il était au conseil - car sinon il n'aurait pas pu l'entendre - ce qui prouve donc que le conseil a débattu sur cette affaire.

Curieuse rhétorique...

Messire Bentich, la question n'était pas de savoir si le chambellan est sourd partout ailleurs en dehors du conseil.

Ma question était: les dispositions des articles 4, 5 et 7 du traité de 1453 ont-elles été respectées et appliquées ?

Oui ou non suffira. Vous pouvez relire lesdites dispositions dans la copie du traité que vous avez fourni à la Cour si vous ne voyez pas de quoi il s'agit.

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Berger du peuple
Bentich
Messire Bazin je vois très de quoi vous parlez et je vous réponds oui tout simplement
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Bazin
Bazin sourit:

Je vous remercie messire Bentich. Vous pouvez vous asseoir.

Madame le juge, Monsieur le procureur, nous démontrerons lors de la conclusion que messire Bentich a menti.

Je n'ai pas d'autres questions.


Bazin retourna à son pupitre. Alors qu'il griffonnait quelques remarques suite à l'interrogatoire, son avocat lui chuchota quelques mots. Bazin secoua la tête:

hé hé hé... je n'y avais pas pensé !

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Berger du peuple
Bazin
Madame le Juge,

Serait-il possible de convoquer le procureur Bourguignon Sirantonio et de procéder à son interrogatoire avant que d'écouter le juge Bourguignon Umondel.

D'autre part et pour la nôtre, nous n'avons pas besoin d'auditionner le juge Languedocien qui n'a qu'un rôle mineur dans cette affaire.

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Berger du peuple
Lafred
Sa pause pipi avait un peu fait perdre le fil du procès au juge.
Lafred était justement en train de fouiller ses papiers afin de déterminer le prochain témoin quand le requérant vint lui tirer l'épine du pied.


Bien bien ! Nous allons donc entendre le procureur Sirantonio.

En attendant le témoin, elle sorti son AAP et lu le sujet palpitant sur ou les nobles allaient passer leur vacances.
Son esprit divagua sur ces vacances à elle.
Ahhhh les flandres ! l'appel de la mer !
Avait-elle songé à poser les siennes auprès de son président ?


Heu z'auriez le nom IG de sirantonio ? ou alors il est mort. Merci. A vot're bon coeur.

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Umondel
Sirantonio est devenu Antonio
Lafred
Le procureur Sirantonio entreprenant actuellement une retraite spirituelle.
Afin de tenter de faire progresser cette audience, nous allons donc entendre le juge Umondel avant de revenir sur Sirantonio.

Juge Umondel, vous pouvez vous avanceer.


Merci à ceux qui m'ont donné le nom

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Antonio
Après un séjour chez les moines des plus reposant et ressourçant, Antonio rentra avec son balluchon sur le dos, dans sa petite mais charmante maisonnette.
Une pile de missives étaient éparpillées au pied de la porte, certaines concernaient les ducales bourguignonnes, d'autres des affaires plus privées, et deux lettres pour des convocations à la Cour d'Appel. L'une d'elle était écrite et signée par la Juge Lafred, où il était convoqué en tant que témoin, et l'autre écrite par Bazin pour les mêmes raisons. A peine rentré, qu'il devait déjà repartir pour le tribunal...

Il arriva donc devant le tribunal de la Cour d'appel où il tendit sa lettre pour pouvoir entrer.
Il pénétra sans faire de bruit dans le tribunal et s'assit discrètement sur le banc des témoins.

Il fit un petit signe de la main à madame le Juge pour l'informer de sa présence, et attendit la suite...

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Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique
Ex-Porte-Parole de Bourgogne, Procureur de Bourgogne & Maire de Dijon (5 mandats)
Lafred
Un greffier vint annoncer a Lafred que le témoin Sirantonio s'était présenté.
Voyant entrer un inconnu qui lui fit signe, elle fit donc le lien rapidement.


Procureur Sirantonio, puisque vous êtes là vous pouvez témoigner.
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Antonio
A l'appel de son nom, l'ancien Procureur de Bourgogne se leva et alla rejoindre la place du témoin. Il s'était d'ailleurs étonné de ne pas avoir été convoqué plus tôt à ce procès, puisqu'il y occupait un des rôles majeurs.
Une fois qu'il fut confortablement installé, il balaya du regard la Cour, puis, le silence se prolongeant, et tous les regards le fixant, il comprit que madame le Juge attendait sa version des faits, et son avis sur le procès. Il s'attendait à être directement interrogé, questionné, voir harcelé par le diabolique Bazin, mais non, du moins pas tout de suite...
Un dernier petit raclement de gorge puis il se lança.


Votre Honneur, dames et sires de la Cour,
comme vous le savez déjà, le trente Janvier dernier, alors que j'occupais le poste de Procureur de Bourgogne, j'ai, au nom de la Bourgogne et de la coopération judiciaire qui règne entre elle et le Comté du Languedoc, envoyé l'acte d'accusation au Procureur du Comté coopérant concernant sans aucun doute, l'un des pilleurs les plus vicieux, que la Bourgogne ai connue : messire Bazin.
En effet, ce pilleur, titre qu'il ne peut absolument pas considéré comme diffamatoire puisque il y a de multiples preuves de son pillage de la capitale de Bourgogne, Dijon.
Comme précisé dans l'acte d'accusation, messire Bazin fut illégalement élu Maire de Dijon. Illégalement, car le Collège de la Noblesse bourguignonne a utilisé son droit d'invalidé sa candidature, à cause de sa mauvaise réputation et de ses actes douteux.
Mais cela n'a que peu d'importance dans ce procès, puisqu'il ne contient que les chefs d'accusations suivants : Pillage de biens publics et Haute trahison.
La Haute trahison étant la conséquence du pillage d'un mairie par son propre Maire, élu légalement, ou illégalement d'ailleurs.
Cet homme, a réalisé un pillage d'un montant gigantesque de près de 30 000 écus, denrées et liquidité compris !
Les faits sont inéluctables, voilà pourquoi je vais me concentré sur la partie coopération de cette affaire.
Après plusieurs recherches à la Basilique Saint-André, bureaux diplomatiques de Bourgogne, il s'est avéré que le traité de groupe « Maathis » unissait entre autre la Bourgogne et le Languedoc, Comté où se trouvait Bazin.
N'ayant eu aucune information, ni document officiel, ni annonce, ni même vent, du retirement du Languedoc de ce traité, qui pourtant d'après l'article 9, contient ceci :


Citation:
« Art. 9 - De l'engagement des parties
Afin d'assurer une efficacité maximale et de renforcer la sécurité des provinces, chaque province contractante s'engage vis-à-vis de toutes les autres.
Le retrait du Traité peut se faire à tout moment. Toutefois, ce retrait doit être notifié par la province se retirant aux autres signataires par la publication d'un communiqué dans leurs gargotes respectives.
Le Traité restera en application entre la province se retirant et les autres signataires jusqu'à la fin de toutes les procédures en cours »

j'ai donc lancé la coopération, et mon confrère le procès.

Je ne dis pas que ce traité est parfait, loin de là, mais à partir du moment où le Languedoc l'a signé, il était normal qu'il le respecte !
Non ? Sinon à quoi bon faire des traités...

Voilà. Je n'ai rien à ajouter.

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Maistre Académique de l'Institut Royal de Politique
Ex-Porte-Parole de Bourgogne, Procureur de Bourgogne & Maire de Dijon (5 mandats)
Bazin
Je suis en retraite jusqu'au 15 août. Bon été à vous !

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Berger du peuple
Lafred
Désolé pour mon absence inopinée mais j'ai eu des soucis familiaux et un déménagement. Plus de net et retraite forcée.
Me vl'a de retour. Le temps de se remettre dans le bain et on reprends ?

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