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[Rp] Fin de lausanne (ouvert à ceux qui sont à Lausanne)

Lili...
Les yeux lui piquaient à cause de l'épaisse fumée que dégageait ce grand brasier. L'espoir d'en venir à bout était vain. Quelques poignées d'hommes et de femmes s'acharnaient à faire des chaînes humaines pour acheminer les seaux d'eau vers les flammes. Mais pourquoi?

Le feu avait déjà ravagé une bonne partie de la ville. Lili était pris dans cette marée de fuyards. Elle luttait pour essayer de voir si elle connaissait quelqu'un puis tomba nez à nez avec Freng. Elle aurai pu sauter de joie en se disant *enfin une personne!!*. Mais non juste un air désespéré en le fixant.


OOOH Freng!!!

Les mots s'étranglaient dans sa gorge tant l'émotion était forte. Elle frissonnait, tremblait, grelottait même. Le feu dardait mais pas suffisamment pour la réchauffer sous sa frêle chemise de nuit. Elle resserra son châle sur ses épaules sans le quitter du regard. Peut-être que lui saurai où aller?
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Bvero62
Véro continuais de rire, mais ce rire devenais plus un rire nerveux.....regardant tour a tour blue et lausanne qui brulais......ses rire se transformerent bientot en larmes, qu allaient ils faire? que deviendraient il? et filo? ou etait elle?.....

tout a son chagrin et ses pensées elle ne vit pas son vieil amis bru approcher


Citation:
- Oula l'Blue l'a rougi ? Tiens prend donc ces vieux morceaux de peaux pas encore tannés comme toi et puis couvre les titounets. Ils vont bien au moins...
Tu vois, çà brûle bien au moins le groggygnolet.


Véro ressentit un soulagement, bru etais vivant donc filo devait l etre aussi!!! n ecoutant qu a moitié, elle cherchais au loin...peut etre sa fille.....oui...elle etais la....retournant son regardant vers bru

Prend soin d elle mon ami....prend soin d elle...

secretement, elle savais que tous les deux partaient pour de nouvelles aventures mais ou? les reverrait elle un jour?
Aelig
[ Boulasse Consulaire, taverne municipale et pension, où une ambassadrice de charme poiroteaute devant la porte, l'avoyer se fait portier de choc. ]

Plus tard également, à la même minute et la même seconde. Sommes en Hélvétie, pays de la précision horlogère.

CRIIIIIIIIII ……..
Fit la porte

- Tiens, il me semblait qu’on avait frappé.

Où au fond tout le mandat d’Aelig se résumait à des histoires de portes.

-Hilde ! Wo bist du?


Depuis qu'il fréquentait Berne, Aelig s'était fait bilingue. Mais il n’était pas sûr que les mots sortaient toujours dans le bon ordre.

-Mais elle a disparue où ? Il n’y a personne ici pour faire le service ? Faut aussi que j’m’y colle ?

Snif, snif
-Mais, mais... Ça sent le brûlé !

-Hilde ! Il y a quelqu'chose qui brûle !

Mettant le bout de son nez dehors, il vit une damoiselle partir et aperçu soudain de la fumée également.

Hilde! Y a le feu !

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Esmeralda_1660
Esmé s'etait levée de bonne heure car une drole d'odeur lui parvenait
Elle se leva et regarda par la fenetre

La ville était en feu ,elle réveilla son mari

Vite mon coeur,vite la ville brule,notre maison va bruler
Esmé s'habilla rapidement ,couru aussi vite que possible pas facile avec son gros ventre dans la chambre d'Anaelle etEussys puis dans la chambre de zao qui tousssaient [b]avec la fumée

Allons ,levez vous ,habillez vous et allons rejoindre papa puis sortons de la maison

Toute la petite famille sortait ,une fumée leur prenait a la gorge

Eloignons nous un peu
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Zyvelyne
Zyv se sentait mal, elle suffoquait mais ne savait plus du quel coté elle devait aller.

Sa maison n'était qu'un vaste brasier, elle avait tout perdu.

dans la besace qu'elle serrait sur son coeur, il lui restait juste quelques écus, les lettres de son cher Antoine et les quelques légumes qu'elle avait emporté à la va-vite

elle pensa à l'avenir .. se demande si il y en avait encore un...

les yeux lui brulaient, elle se mit à tousser et se laisse tomber à genoux...

dans un dernier moment de lucidité, elle a la force de crier

Antoine !... Antoine, ou que vous soyez... je vous aime !

puis elle s'effondre, à bout de souffle tandis que les larmes laissent des trainées sur ses joues
Antoine_debreux
Antoine passa prestement devant la porte de Sion, porte qui pour l'heure était a l'abris des flammes. Déjà on se pressait aux portes pour sortir.. les gardes ne savaient pas trop si il fallait ouvrir la porte et laisser les gens sortir. Mais bientot ils n auraient pas le choix car la foule sera trop grosse pour la contrôler d'ici peu.

Antoine foncait vers les flammes, le quartier de Zyveline brulait sans répis, poussé par le vent d'hiver.

Antoine n a pas l'étouffe d'un héro. La peur le gagnait doucement. Il avait la chair de poule dans cet air frais et plein de suie.

Courant a contre sens de la foule, Antoine remarqua bien 2 ou 3 amis qui essayèrent de le retenir. Archi entre autre mais antoine ne le remarqua presque pas.

Près de la maison de Zyvelyne, il fallait presque marcher a 4 pattes pour éviter la fumée et les tessons. Il fallait faire vite!

ZYVELYNE!! PAR LE TRÈS HAUT!!!! OÙ ÊTES VOUS!!

ZYVELYNE!!

les cloches se mirent a sonner et Antoine , au milieu de l'horreur, maudit le Très Haut pour cette épreuve où il perdra peut etre tout...pour la première fois de sa vie, son amour du Très Haut venait d etre entâché..
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http://img268.imageshack.us/img268/4835/00010p.gif
Lemagefreng
lili a écrit:
OOOH Freng!!!


Freng tomba donc nez à nez. Elle ne semblait pas remplie d'espoir. En même temps, il n'y avait vraiment pas de quoi espérer. Les Dieux frappaient sans autres. Le feu commençait à prendre à peu près partout et Freng ignorait si d'autres cataclysmes allaient arriver. Il pouvait survenir par la suite de nombreux problèmes - Aelig pouvait essayer de rétablir la situation, par exemple. Il savait où emmener les sinistrés. Il fit signe à Lili de le suivre.

Il se dirigea vers le lac, là, au moins, le feu ne risquerait pas de faire des dommages aux humains alentours. Car après tout, près du lac, il y avait moins de bâtiment et l'eau était plus proche. En fait, la seule construction qui pouvait gêner était le port. Il savait qu'Ed serait triste si le port devait disparaître. Mais enfin, là n'était pas le moment de faire du sentimentalisme, les habitants d'abord.

"Lili, nous allons au lac. Je vais essayer de faire une queue leuleu, mais j'aurai besoin que tu aides les gens à se mettre en fil et à marcher près du lac.
Si tu as le temps, trouve une aiguille et du fil. Et si tu as de la chance, trouve-moi aussi des onguents. Avec le feu, il va falloir soigné les brûlés, ce qui ne va pas être une mince affaire.
Mois, je vais essayer de trouver des gens coincés dans leur bâtisse ou ce genre d'activités qui nécessitent une certaine forme athlétique."

Une fois cela dit, il joignit l'acte à la parole. Il prit une grosse voix grave pour ordonner aux personnes proches de suivre Lili et fila rapidement après en direction des bâtisses en feu. Son objectif était de trouvé des gens qui pourraient lui indiquer où se trouvaient les gens en danger.
Zyvelyne
Zyvelyne crut rêver quand elle entendit

Citation:
ZYVELYNE!! PAR LE TRÈS HAUT!!!! OÙ ÊTES VOUS!!

ZYVELYNE!!


la voix de son aimé semblait toute proche...

elle se force à crier malgré la douleur aîgue dans sa gorge

ANTOINE... ANTOINE.... je suis là

mettant ses dernières forces dans un effort surhumain, elle parvient à se redresser... au moment même oû Antoine la rejoignait.

ohh Antoine ! je suis heureuse de vous voir ! j'ai bien cru que Lausanne allait me garder avec elle...

Elle se retient à son bras, étourdie.

il nous faut fuir cette fournaise... nous n'avons plus le choix

elle serre fort la main d'Antoine... elle a eu si peur de ne plus le revoir !
Lili...
Sans un mot, elle lui suivit jusqu'aux abords du lac. Des badauds regardaient leurs maisons partir en fumée et d'autres priaient. Comme si cela allait changer quoi que ce soit. Croire en quoi? un miracle? Foutaise oui... Le Très Haut, le tout puissant, venait d'abandonner Lausanne aux griffes de ce mal ardent.

Attentive, elle l'écoutait bien qu'elle avait qu'une envie c'était de fuir mais elle était tribun et elle ne voulait absolument pas laisser les gens dans un tel désarrois .


Je vais faire mon possible!!! Fais attention à toi...

Ses paroles s'envolèrent, il était déjà parti. Elle grimpa sur un gros rocher. Un éclair... un souvenir... toutes ces fois qu'elle était montée sur un tonneau pour ameuter la foule.

Retour à la réalité!! Elle se mit à crier.


M'dame, M'sire venez en direction du lac vous aurez moins de risque d'être brûlé!!
Toutes les personnes valides, aidez les blessés à aller jusqu'à la rive!! Si des personnes ont des connaissances en médecine, merci d'avance pour votre aide!!


Elle essayait d'organiser un peu les lieux. Les brûlés et blessés d'un côté, les personnes sous le choc de l'autre. C'était pas la panacée mais c'est tout ce qu'elle pouvait faire. Elle aidait comme elle pouvait, puisait de l'eau, pansait les blessures même le bas de sa chemise de nuit y était passé pour faire des bandages de fortune ainsi que son châle.

Sa maison était à cinq minutes, un des avantages de ne pas habiter dans la cité. Elle courut jusque là, se changea en quatrième vitesse et pris tout ce qui pouvait servir aux victimes... Linge, draps, couvertures, les baumes, aiguilles, fil.... Elle rassembla tout ce qu'elle put dans sa brouette et repartit.

De plus en plus de monde, les volontaires s'employaient à faire le maximum pour aider ceux dans le besoin.

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--Hilde_gardavou
A la Boulasse Consulaire - taverne et pension
Mais que fait la cuisinière ?



- In den Keller !

Ça vient de loin, mais l’organe est puissant et ça transpire l’énervement.
C’est bien parce qu’elle a flairé le danger qu’elle s’est jetée dans l’escalier.


- Je suis à la cave ! avec une saucisse espagnole impossible à réveiller !

Bousculade et tintement de bouteilles qui valsent au gré des coups de tatane.
Elle la laisserait bien là, cette étrange chiffonnière. Hésite.


- On en fait quoi ? De la saucisse fumée ?
Grumpf ! M’énerve !

- Descendez-moi un seau d'eau !
Aelig
[Boulasse Consulaire, même casting, mais pas dans le bon ordre d'apparition]

--La_bertille a écrit:
Des jours et des jours que la Bertille languissait son mari, accoudée au balcon de bois quand il faisait beau, ou derrière la fenêtre, embusquée sur un tabouret, à filer quelques mèches de laine sur son fuseau de bois.
D'ailleurs, une centaine de petites balles de laine jonchaient le sol, jetées au hasard, et roulant sans bruit quand les jupes lourdes de l'éplorée les bousculaient.

Outre l'absence de son légitime, la réputation de l'auberge la tracassait un rien. On la disait tenue par des fauves de Judée, ou quelque chose comme ça, elle n'avait pas bien compris. En tout cas, il semblait que l'affiche clouée à la porte interdise d'en avoir dans sa chambre. Bah déjà les chats, elle aimait pas ça, voleur et fripon!!! Ca vous fauchait le poisson et le lait!
Elle avait regardé en douce dans les autres chambres, et n'avait pas vu un chat, ni même un chaton! Alors rien de plus gros non plus. Déjà, elle voyait pas bien comment c'était gros, un li-hon. Plus gros qu'une marmotte? Y'en avait peut-être gravés sur la façade de la cathédrale? Elle irait voir, pour se faire une idée...

Elle soliloquait:
Ah, mon tendr' Louis, si tu savions les dangers qu'j'endurions pour toué! Des li-hons qu'étions prêts à m'croquer dans eul croupion dès qu'j'sortions pour aller aux lieux d'aisance! Oui, m'sieur l'fourbe, "Au feu!!!" vot' zépouse l'étions seule en danger, pendant qu'vous faisions le héros à la guerre! "Au feu!"Et moi, j'pleurions pendant qu'y s'tapions les greluches eud Genève! J'allions quand même point aller t'chercher eud 'd'sus les champs eud bataille, non? Ou eud'dans les bouges eud'Ann'cy? "AU FEU!" Et en plus y'avions l'aut'andouille qui gueulions au feu d'puis tout à l'heure!!!! Noundidiou! y'avions eul feu??? Oh mon Louis, j'allions mourir sans toué!!

Elle enfourna dans ses vastes poches tous ses accessoires, et faisant tomber son tabouret, ramassa en vrac toutes ses pelotes de laines, qui retombaient mollement pour la plupart sur le sol, en un rebond faiblard. Ne voulant rien perdre elle s'agitait pour ne rien oublier, et fuir dans la minute vers le bord du lac. Elle envoya des coups de pied, ce faisant, dans plusieurs balles de laine filée qui s'éparpillèrent dans la chambre.. l'une d'elle frôla les tisons de la cheminée, commença à grésiller.
Une flammèche s'éleva, sauta sur une autre balle qui roulait vers l'âtre... Quand la Bertille affolée se retourna, un petit feu dansait sur les pelotes, dégageant une forte odeur de cheveux brûlé!

Hiiiiii, au feu!!!!

Elle s'enfuit dans le couloir, laissant le feu prendre sur le tapis de laine, dévala les escaliers en hurlant au feu, passa devant l'accorte avoyer en hurlant toujours, et s'enfuit vers le lac, s'époumonant en semant des balles de laine écrue derrière elle.......

_________________
Aelig
[Boulasse consulaire, toujours]

Hiiiiii, au feu!!!!

Qu’ça file comme un appel d’air, pas le temps de fermer la porte à cause du retour de flamme et l’alerte est déjà passée sans régler sa note, tandis qu’une autre marmite-tonne comme bouillant sur le feu et sifflant d’une voix sortie d’Outre-tombe :



- In den Keller !


Vous ajouter à ça l’organe d’Hilde, saupoudrez d’un accent alémanique et martial, ça vous f’sait soudain comme des frissons dans l’dos.

-Hilde ! Mais tu es morte ? Où es tu ? j’te vois pas

- Je suis à la cave ! avec une saucisse espagnole impossible à réveiller !

Saucisse espagnole…

Chorizo ?

Non ! Maria !

Et là, tel le preux chevalier lancé à la rescousse de sa princesse entre les griffes du dragon, oubliant le feu, notre héro sans hésiter se dirige vers l’entrée de la cave et dévale les escaliers deux par deux, quatre par quatre, Ah …merdouille ! six par sept, sept par huit et le reste d'une seule et grande enjambée.

-Ouch !

D'aucun diront que notre preux chevalier n'était pas cascadeur, le genre cape et d’épée et l’escalier non éclairé. En plus il tournait
_________________
--Hilde_gardavou
A la Boulasse Consulaire - La cave



C’est pas tous les jours qu’on a le privilège d’intercepter sur la devanture la trombine d’un prime consul qui fait des cabrioles et s’emmêle les grolles.

Du temps d’avant, d’avant qu’elle ait trente ans, enfin…dans le temps, elle avait fait tourner quelques têtes de p’tits gars souvent timides mais qui tout de même, n’avaient pas poussé l’audace et l’inconvenance de venir inspecter d’aussi près son décolleté.

Offusquée ? que nenni…

Paluches sur des hanches redoutables, Hilde étire un coin de tirelire jusqu’à découvrir une demi rangée de chicots rutilants et au garde à vous.


craaAAAaaakkk !


Une poutre enflammée vient de s’écrouler à l’étage, dans un hurlement sinistre.

L’armoire à coquilles remballe l’esquisse de sourire, rentre soudain la tête dans le cou, redescend le pli crapuleux de la paupière gauche qui se transforme en crispation de panique.
(Et avec ça madame est-ce que j'vous l'emballe...)

Une chaleur suffocante se diffuse sous un manteau sournois de fumées acres.
Le grondement des flammes s’amplifie.
Un grondement terrible, pénétrant les entrailles, martelant le cœur.

Contenant sa frayeur, la cuisinière donne ses ordres

- Je remonte ! Depêchez-vous d’embarquer votre Carméla là !
Je vous attends en haut de l’escalier pour vous aider.


S’il le faut, elle s’empressera d’agripper la touffe de la basanée pour soulager le patron, elle aime tellement lui rendre service.

Le feu se propage vite, un pan de la taverne est déjà la proie des flammes.
Sifflements et craquements épouvantable ébranlent sérieusement le légendaire sang-froid de Hilde qui galope de l’escalier à la porte, de la porte à l’escalier.


- Viiiiiiiite !
- Essayez la claque nom d’un chien ! vous gagnerez du temps !


Au dehors, les rues grouillent de gens, de chevaux, de charrettes chargées de biens, prêts à se passer les uns sur les autres. Certains sont dans un état voisin de l'égarement.
Tous fuient sans tenter d’éteindre le feu.
Il est trop tard et ça va trop vite.
Au fond de la venelle toute proche comme plus loin dans les rues, les flammes s’entrelacent sur un rythme diabolique, grandissent, écument comme enragées.
La bête dévorante exhale une fumée dense, nauséabonde, insupportable.
L'épaisse chape s'installe, s'immobilise.
Il fait presque nuit.
Les flammes crachent du rouge sang.
Lemagefreng
Freng couru et arriva droit vers l'Eglise de Saint-François. Il n'avait vu personne entre temps. Il y avait là une jeune personne qui pleurait. Ce disant qu'il devait y avoir quelques familles encombrés en-dessous, il alla lui demander pourquoi elle pleurait - notons qu'il le fit d'autant plus volontiers que c'était une jeune personne...^^


"Que se passe-t-il? - Freng n'avait pas vraiment le temps d'user des formules polies.
-Je...Snif! je...Snif! je... J'ai perdu mon chat!
-Vous nommez-vous Michelle?
-Oui...heu...comment le savez-vous?
-Ce doit être Lustucru, ce jeune cancre qui traîne dans le coin qui l'aura pris. J'ai plus urgent à faire maintenant.
-Mais!"

Et Freng partit sans dire plus de mot. Puis il se rappela qu'il fallait lui donner des instructions.

"Allez au lac! et pas pour faire une baignade, vu?"

Et cette-fois ci, il alla dans son temple. Les flammes essayaient vainement d'entamer le marbre. Il se félicita de n'avoir pas mis de bois. Il pu prendre deux trois affaires qu'il gardait toujours caché un peu partout. Soit une trousse et des onguents en l'occurrence. Il aurait bien pu aller à l'ACL, mais il supposait que le feu léchait ses instruments et leur mettait de nombreuses particules indésirables à la pratique.

Une fois cela pris, il fonça vers l'endroit où se trouvaient les gens- oui Freng est très fort de pouvoir courir tout du long et pouvoir se concentrer ensuite.

"Je suis là Lili! Où sont les blessés?"

C'est alors qu'il vit qu'elle avait tout organisé. Son coeur ne se sentit plus de joie de voir qu'il lui suffisait d'aller vers les bonnes personnes.

Il s'approcha des blessés.

"Alors, les médecins, apothicaires et toutes personnes ayant un un avis médical, vous me suivez!"

Alors, il commença à examiner un peu tout le monde. Ceux qui pouvaient être sauvé facilement, il leur assigna une personne. Une fois le premier tri fait, il réunit les brûlés qui avaient plus de chance de mourir. Lui s'en occupait pendant que les autres soignaient les petites blessures.
Et malheureusement, il dû bien expliquer aux plus atteints que leur chance étaient si faibles qu'il n'allait pas perdre son temps avec eux tant qu'il y aurait d'autres blessés. Surtout, il ne voulait pas gaspiller les onguents, il y en avait une quantité limitée et en donner aux condamnés serait une pure perte de temps, d'énergie et de ressource.

Cependant, une personne trouva à se plaindre.

"Mais! j'ai des enfants monsieur!
-Madame, la plupart en ont.
-Mais pas cette jeune demoiselle.
-Elle pourra sûrement en avoir plus que vous..."

Bref, il demanda à un assistant de l'écarter pour travailler tranquillement.

C'est alors qu'il vit ses Péouze et Jean-Jacques le furet. Quel soulagement de les voir là!
Il avait aussi vu que les Péouze avaient eu leur premier bon réflexe. Ils avaient apporté tout ce qui se trouvait dans sa maison. Les nubiens s'étaient enfuis et il ne les reverrait sûrement plus jamais.

Puis il dû organiser le transport de ses biens.


"Je vais demander à tout le monde de porter certaines de mes affaires. J'attends que vous acceptiez pour ceux qui ont tout perdu car la plupart de mes biens sont en nourriture!"

En effet, il fallait transporter plus de huit-cent soixante sacs de maïs, plus de quarante poissons et plus de cent cinquante légumes et plus de quarante miches de pain. On se demande comment les Péouze ont pu amener tout cela^^

"Nous devons aller à Sion! J'ai reçu des messages me confirmant que c'est le meilleur endroit pour nous. Je veux que la moitié des hommes valident accompagnent le premier groupe - celui composé des hommes valides - et l'autre avec moi - et les blessés."

Puis il alla vers Lili.

"Peux-tu t'occuper du premier groupe?"
--Jeannotlaportiere
Jeannot alla vite mettre une affiche sur le champs de maïs de Seigneur Freng.

Citation:

Champs en vente
1000 écus

Champs original d'un vieux lausannois. Offre limitée Enregistrée au patrimoine mondiale de l'UNESCO
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