Smurf
Un petit bois isolé au cur de la campagne périgourdine, un petit chemin isolé qui s'y faufile, quelques voyageurs sur-armés qui se taisent, tapies dans la végétation, deux ahuris sur-armés qui discutent, et un hibou du haut d'une branche qui regarde la scène d'un regard perplexe.
-Et si t'aillais dans l'autre bosquet au lieu de m'emmerder ici?
.Non l'autre à coté il sent la pisse, et en plus il y a Smurf dedans.
-J'en ai rien à secouer, le mien est trop petit, on à un bras qui dépasse de chaque coté, t'as déjà vu un bosquet avec des bras et qui parle toi?
.Non mais j'en ai déja vu qui sentait la pisse.
-Ouai, et moi j'en ai connu une de ta proche famille qui sentait pareil, aller dégage.
-Toute façon toi cette odeur toi ca t'a jamais dérangé hein... t'as l'habitude... dès que ça à 2 mamelles et deux jambes...
.Tu te trompes, la dernière c'était ta truie de petite soeur, et elle en avait 6 paires, c'était pas de la tarte.
-Tu veux qu'on reparle de ta grosse mère qui, avant de partir, m'a fait une grosse... GLANG!
Une grosse caillasse venait d'atterrir sur son casque, jetée par Smurf, le visage tout rouge et la barbe toute ébouriffée de colère.
-Qué qu'y dit?
.Je sais pas il bouge juste les lèvres d'un air crispé... Vos... gueules les consanguins... sinon je vous... renvoi directement de là... de là ou vous êtes sortis à la naissance... dans le cul de votre m...OOOHHH!! GLANG! aïe.
Le forgeron au tablier en cuir moulant était en embuscade avec sa troupe, prêt à laver l'affront de Vonafred, et c'est son peuple qui allait prendre pour lui... le premier périgourdin qui passerait par là, allait se faire massacrer... Tout le monde la boucla enfin quand deux voyageurs s'approchèrent de ce petit bois qui au fil des minutes sentait de plus en plus la sueur. Arrivés à leur hauteur, les voyageurs se firent submerger de toutes parts après un épique "A l'assaut !!!!". S'en suivit un carnage sans nom, bref, mais particulièrement intense, toujours sous le regard du sage hibou sur sa branche perché.
-Et si t'aillais dans l'autre bosquet au lieu de m'emmerder ici?
.Non l'autre à coté il sent la pisse, et en plus il y a Smurf dedans.
-J'en ai rien à secouer, le mien est trop petit, on à un bras qui dépasse de chaque coté, t'as déjà vu un bosquet avec des bras et qui parle toi?
.Non mais j'en ai déja vu qui sentait la pisse.
-Ouai, et moi j'en ai connu une de ta proche famille qui sentait pareil, aller dégage.
-Toute façon toi cette odeur toi ca t'a jamais dérangé hein... t'as l'habitude... dès que ça à 2 mamelles et deux jambes...
.Tu te trompes, la dernière c'était ta truie de petite soeur, et elle en avait 6 paires, c'était pas de la tarte.
-Tu veux qu'on reparle de ta grosse mère qui, avant de partir, m'a fait une grosse... GLANG!
Une grosse caillasse venait d'atterrir sur son casque, jetée par Smurf, le visage tout rouge et la barbe toute ébouriffée de colère.
-Qué qu'y dit?
.Je sais pas il bouge juste les lèvres d'un air crispé... Vos... gueules les consanguins... sinon je vous... renvoi directement de là... de là ou vous êtes sortis à la naissance... dans le cul de votre m...OOOHHH!! GLANG! aïe.
Le forgeron au tablier en cuir moulant était en embuscade avec sa troupe, prêt à laver l'affront de Vonafred, et c'est son peuple qui allait prendre pour lui... le premier périgourdin qui passerait par là, allait se faire massacrer... Tout le monde la boucla enfin quand deux voyageurs s'approchèrent de ce petit bois qui au fil des minutes sentait de plus en plus la sueur. Arrivés à leur hauteur, les voyageurs se firent submerger de toutes parts après un épique "A l'assaut !!!!". S'en suivit un carnage sans nom, bref, mais particulièrement intense, toujours sous le regard du sage hibou sur sa branche perché.
Citation:
26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.
26-02-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre un groupe composé de Adama et de Hildegarde.
Tout le monde se tenait en cercle autours du... résultat, Smurf dépouillant les victimes pour voir si elles n'avaient pas 1 ou 2 écus en poches.
Eh défection... on s'est encore planté, ils viennent du Limousin. On va encore se faire engueuler... Bon, repartez dans vos arbres, le prochain qui passe on lui demande ses papiers et après on lui décolle la peau des fesses pour en faire des sacs à main.
Mais plus un pékin ne montra le bout de son nez de la nuit, sauf un couple de vieux paysans qui passa ramasser l'homme et la femme à qui il avait glissé une petite lettre d'excuse dans la poche.