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[RP]A l'assaut !!!

Orkaange7876
[On prend les même et on recommence]


Je comprends toujours pas pourquoi ils ont pas voulu de nous
m'est avis que c'est passque c'est des nains
Namé ya un truc bizarre quand même... Vous les trouvez pas un peu grands pour des nains?
Ben d'un autre côté j'avais jamais vu de nains avant
Têtre c'est des nains génétiquement modifiés?
Bah...Ah ouais tu as raison.. Avec toute la bibine frelatée qu'on boit... Le Schumi là il m'a jamais paru bien honnête.. Vous trouvez pas sa bière bizarre vous?
Ca c'est sur.. Elle est dégueu.. Vivement qu'on rentre à périgueux quand même
Ouais ne serait ce que pour ne plus avoir à supporter c'te baleine blonde
MACHIIIIN J'AI SOIF
Ha et voilà ça recommence.... Pis il est encore tôt... OUI OUI VOILA ON ARRIVE...
Ha ben c'est pas trop tôt... N'oubliez pas que je suis gravement blessée
Nan ça on risque pas d'oublier.. Tenez votre tonneau.. Et sinon c'pas trop dur ce banc?
Si justement.. CRETIN CREPUSCULAIRE AU PIED
Pfffff.... Merci hein?? Elle m'avait presque oublié.; OUiiiiiiiiii??? C'est à quel sujet?
Allez me chercher des coussins.. Pleins de coussins.. Et roses si possible.. C'pas passque on est avec ds ploucs qu'il faut abdiquer le bon goût, c'est un principe

Les ploucs vous remercient.. D'ailleurs à ce propos, c'est pas vous qui êtes mariés à un bouseux?
De quoi j'me mêle?? J'vous ai pas demandé quelque chose?? Zetes là pour veiller à mon bien être je vous signale, pas pour faire des réflexions d'une bétise insondable...

Euh.. Je croyais qu'on était là pour défendre les abrutis d'Angoulême moi mais si vous le dites.. Ha tiens d'ailleurs faudrait peut être que j'y aille, visiblement ya des nains qui ont réeussi à grimper et ils s'en prennent à vos amis là
Mes amis mes amis c'est vite dit hein? Moi je suis là passque la comtesse m'a obligée, sinon vous pensez bien que la place qui sent bon en taverne serait occupée depuis longtemps... Bon aidez moi à m'assoir que je jauge la situation... Ha oui dites donc, ils ont chopé Shappeless, ça a l'air de faire mal d'ailleurs... J'irais bien l'aider mais je peux pas, je risquerais de me casser un autre ongle... Ha et mainetant ils s'en prennent à Ballian.. mouahahahahaha.. ALLLEEEZ LES GARS.... HESITEZ PAS A TAPER AU DESSOUS DE LA CEINTURE, VOIRE A L'ACHEVER, CA NOUS RENDRA SERVICE
Mais arrêtez donc de beugler comme ça ils vont nous voir...
Meeeuh nan ya pas de risques.... On est protégés par mon rempart de tonneaux *scrontch scrontch* Ben kekvous zavez à me regarder comme cha?? Vous voulez du pop et de la bière?
Euh mais c'est qu'on a rien sur nous pour vous payer...
Nan mais che chuis pas comme cha hein?? *scrontch scrontch* prenez donc. Vous me rembourcherez demain matin..
Ha ben tiens c'est déjà fini dites donc... Ca a été rapide
Quand même ches nains.. Chont très forts.. Pour l'inchtant limite on devrait leur filer une médaille.. Ils nous débaraschent petit à petit de tous nos boulets.; Chavent bien choichir leurs chiblles hein? *scrontch scrontch*.. Dommache que l'anchien comte choit plus là, on leur aurait donné auchi avec plaichir.. Tiens che vais écrire à la comtesse... Elle adoooore les remises de médailles, cha lui donnera l'occachion de chortir de chon chateau.. ANATOOOOOOOOOOOLE RAMENEZ VOS FESSE VOTRE PLUME ET VOS PARCHEMINS ET ECRIVEZ.. gnagnagna chère comteche..........
*gros soupir*.....



_________________
Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal.
Saltarius
[ comment un Nain Puissant devint un Nain valide ]

Bon, vlà qu'ils s'attaquaient à Angoulême, maintenant.... Saint Plet avait rien contre... rien pour non plus.... Connaissait personne à Angoulême... Enfin à part ses amis qui gisaient sur les brancards de l'hôpital. dès qu'il serait entré dans Angoulême en vainqueur.

Bon, comme d'hab' le Saint fut pris d'un besoin pressant.
RHhoooooooooo l'âge a sur vous des inconvénients qui conviennent pas... mais alors pas du tout.
Le Saint en avait marre de devoir pisser Cinq fois l'heure, quelques gouttes suffisent, il paraît...
Le Nain Puissant, quitta,pour s'isoler, les rangs, désordonnées de toutes façons - mais qu'est-ce que c'est que cette armée qui va dans tous les sens ?-
Il posa son bouclier, déboucla sa ceinture, ouvrit l'ouverture prévue pour et se mit en devoir d'exécuter la pénible besogne

- Par les couilles de Saint Cystite, ça fait maaaaaaaaaaaaalllllllllleeeeeeeeeeee.

Arriva un cul nu... survolté.. qui levait bien haut son épée.
- Arg... pas l'moment, gamin.... chuis occuppé.... 'tends un peu, je suis à toi dans un instant.

Mais le cul nu n'en avait rien à cliquer.... 'crebleu aucune éducation ces périgordins....
Flamberge au vent, le Saint attrapa son bouclier pour se protéger la tête...

- Crââk,
le bouclier cassa...
- Arrête nom de Bleu, j'te dis que chuis à toi tout de suite !

Mais non, le bleu s'acharnait sur le vieux gredin qui voulait pisser.
Salt ramassa son épée d'une main, retint sa bestiole de l'autre.
Vrai quoi, en ce moment, il lui importait plus de pisser que de se défendre.
Pour une fois que ça se décidait là en bas... Il fallait en profiter. Le gamin, il n'en ferait qu'une bouchée dès qu'il en aurait le temps...
Il para à droite et le vit passer à gauche.
Il changea de main, prit l'épée à gauche et l'engin à droite
Il para à gauche.
Il se retourna et essaya d'asperger l'autre pour lui faire peur.

Le gamin, on aurait pressé ses narines, il en aurait coulé du lait semblait ne pas comprendre qu'il avait besoin d'un peu de temps et d'intimité.

- Un peu de respect pour les anciens... Non mais c'est pas vrai... Qu'est-ce qu'on vous apprend dans les casernes du Périgord. Plus aucun esprit chevaleresque... plus de respect pour les vieux militaires..Nom d'un braquemart en déroute.
Aucun Faire Plait ces jeunes
Tout fout l'camp....

Nom de Dieu c'est qu'il devenait méchant.
Saltarius para le coup une fois de plus, cette fois, il visait l'entrejambe.

- Attrape petit vicieux...

Il lança le débris du bouclier à la face de l'autre. Il en profita pour rengainer son membre.
Las le gamin était rapide.
Salt para in extrémis, son épée cassa.

- Rha plus rien pour me défendre...
Il arrêta partiellement l'autre coup avec le bout d'épée qui lui restait en main, mais ne put empêcher le fer de l'autre de lui faire une entaille dans la cuisse...
Il feignit le coup fatal en vieux renard des champs de bataille qu'il était... Se dit que le petit prétentieux s'en contenterait, dans on inexpérience.

- Rhaaaaaa je suis mort..........

Il s'effondra sur le ventre et se mit à râler dans l'herbe froide .
Il savait qu'on ne retournait pas volontiers les cadavres de peur de rencontrer leur dernier regard de reproche.
La ruse fonctionna. Le jeunot s'en alla vers d'autres "exploits"... Pf assommer un vieux en train de pisser, il s'en vantera pendant des plombes dans les tavernes... Attends que je le croise en taverne ce morveux malappris.

Saltarius le Simple s'endormit là, le temps que la foule se disperse pour qu'il puisse se relever tranquilou


04-03-2011 04:05 : Votre bouclier a été détruit.
04-03-2011 04:05 : Votre arme a été détruite.
04-03-2011 04:05 : Flax vous a porté un coup d'épée. Vous avez été blessé.
04-03-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Angoulême.

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Aterfalco.2
Jour de trêve ! Ou pas...

C'était le dimanche. Le dimanche, normalement, les bons aristotéliciens ne se battent pas. Aussi, la journée fut plutôt calme dans le camp, avec quelques passages dans les tavernes bordant les quartiers accessibles de la ville, histoire de se faire un peu insulter par les passants, et de leur répondre par des baffes. La routine...

Au coucher du soleil, Aterfalco était rentré au camp, et savourait, à l'extrémité est, un bon gros dindon, en prêtant vivement attention à une conversation, entre anciens et nouveaux arrivants, sur la consistance des défections de cheval, par rapport à celles des boeufs.

Bien que le débat soit très animé, au point que certains s'échangeaient des pincements de tétons, des baffes, et autre, Aterfalco regarda au loin et se leva, intrigué. Il aperçut alors un groupe, armé, qui cavalait dans leur direction, ou peut-être dans la direction de la ville.

Aucun groupe n'était prévu aujourd'hui, et de loin, il put percevoir leur hostilité flagrant. Ater les observa arriver, perplexe...Trois possibilités s'offrir alors à lui. :

Possibilité numéro une : ils le cherchaient, le pensant Périgourdin, et voulant peut-être le sauver de ce que les soldats laissés à Périgueux considéraient probablement comme une course vers une mort certaine. Il l'écarta vite, faut pas déconner.

Possibilité numéro deux : ils les attaquaient, et comptaient se suicider sur les épées des nains, histoire de rejoindre Aristote pour lui tenir compagnie, et mourir dans une illusion de gloire. Il l'écarta aussi, il n'irait sûrement pas voir Aristote en attaquant le dimanche, ça serait idiot.

Possibilité numéro trois : ils voulaient profiter de la trêve pour entrer dans Angoulême, histoire de renforcer les défenses de la ville. Bien que cette idée, à sa propre réflexion, lui parut toute aussi idiote que les deux précédentes, ce ne pouvait clairement être que ça. Charger pendant la trêve dominicale, c'était une erreur, quoi qu'il en soit, car c'est eux qui ouvraient le bal des hostilités...

Et bien soit, Aterfalco lâcha un bruyant sifflement, qui résonna dans tout le camp, et indiqua la direction qu'il observait en tirant son épée. Une beaucoup plus bruyante clameur se propagea dans le camp, et tout le monde, riant et s'armant, entreprit de se ruer sur les assaillants, assez fous pour les provoquer ! Il s'exclama, en tête :


-A l'assaaaaaaaaaaauuuuuuuuut !!!


Sur quoi, il se rua tête la première vers les hostiles ! C'est alors qu'il se prit dans les lanières d'une selle, qu'un indélicat avait laissé trainer là. Il s'écroula tête la première dans l'herbe et n'eut pas le temps de se relever. Et pour cause, une compagnie entière d'acharnés de la baston était en train de le piétiner, n'ayant même pas remarqué qu'il s'était cassé la figure juste devant eux...

Se relevant péniblement, les uns étant déjà en train de corriger les autres, il les rejoignit en hurlant, la nuit tombant tout à fait ! Il en saisit un, au pif, et commença à la ruer de coups, puis le jeta au sol ! L'homme protesta en l'appelant par son nom, ce qui l'interloqua.


-Ater !! Ater !! Mais qu'est-ce que tu fous bordel ? C'est moi !!

Oh... Ater s'arrêta, désolé, c'était lui effectivement. Il aida son camarade à se relever, la mine penaude et les excuses foisonnantes. A cet instant, un hostile, un vrai cette fois, passa devant eux, poursuivi par une bande de dégénérés sanguinaires ! Les deux nains restés sur place se mirent à le poursuivre aussi, pour lui donner sa correction bien méritée !

Quand la nuit fut pleine, les assaillants battirent logiquement en retraite, emportant leurs blessés ou leurs morts avec eux. Aterfalco posa son postérieur sur un casque abandonné là.


-Et ben, quel endroit étrange...

A portée d'oreilles, deux de ses camarades étaient repartis dans leur poignant débat laissé en suspens durant l'échauffourée, et Ater s'empressa de les suivre pour se joindre à la discussion.

Citation:
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Corbeaunoir. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par Corbeaunoir.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Melior de Althea de Emmanuelle014 de Rod31 de Fanny1 de Altiligerien de Best_lionet deFenech.

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Felina
[Première nuit chez les Nains, ou comment reprendre goût à la vie.]

Rhaaaa y a pas à dire, l'excitation d'avant combat, l'agitation d'une armée ... tout ceci lui a manqué plus qu'elle ne l''avouera jamais. Les griffes et la lame de son épée aiguisée, c'est à pied ce soir que la Rastignac se battera, tout autant pour ménager sa vieille carne que pour vivre la bataille au plus près possible des ennemis, au coeur de l'action.

Ce soir, elle sourit comme elle n'a plus sourit depuis des mois.
Ce soir elle va assouvir cette soif de sang, remplir ce sentiment de vide en elle.
Ce soir elle ne va penser à rien d'autre qu'à tuer, et elle va prendre son pied la mercenaire.

Tous ces mois à tenter de renier ce qu'elle était, à se persuader qu'elle avait bien fait de raccrocher, à se convaincre qu'elle pourrait enfin mener une vie paisible et ordinaire.

Foutaises et belles chimères ... Il n'y a qu'à la voir cette nuit là, riant presque rien qu'en pensant à ce qui va suivre.

C'est dans sans peur aucune, et toute l'inconsience de sa folie meutrière que la semi manchote se jette dans la bataille, dès les ordres donnés. Ces derniers sont clairs : ce soir on n'attaquera pas les remparts, mais on se chargera de surveiller l'arrière. Pas heureuse de cette position au départ, la Rastignac change vite d'avis lorsque un groupe de cavalier en armes apparaît derrière l'armée qui mène la charge et les attaque immédiatement. A la tête de la lance armée, une femme que Félina ne met pas longtemps à reconnaître. Sa Grâce Mélior, la noble Guyennoise. Une duchesse, rien que ça ! Beau gibier que celui là. Pourtant, la Rastiganc n'aura pas le loisir de croiser le fer elle.


Citation:
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Melior de Althea de Emmanuelle014 de Rod31 de Fanny1 de Altiligerien de Best_lion et de Fenech.


Une duchesse, rien que ça ! Beau gibier que celui là. Pourtant, la Rastignac n'aura pas le loisir de croiser le fer elle, mais elle ne devra pas attendre bien longtemps pour enfin jouer de sa lame. Un dernier regard vers ses deux comparses d'aventures, et la Féline fonce dans le tas, sans même regarder là où vont ses coups. Soudain, un homme qu'elle n'a pas venu venir, tout de gris et bleu vêtu de dresse devant elle et c'est dans cri presqu'inhumain qu'elle pare l'attaque, défendant chèrement sa peau. Quelques minutes d'une lutte acharnée, et l'homme s'effondre à ses pieds, épée brisée. Son sort n'est désormais plus entre ses mains.

Citation:
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Corbeaunoir. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par Corbeaunoir.


Aussitôt elle cherche son brun du regard, et c'est avec un large sourire qu'elle constate qu'à ses pieds à lui, c'est la Duchesse guyennoise qui vient de tomber. Mauvaise nuit pour les renforts apparement. Un instant elle pense au compagnon de la brune à terre, Le Louvelle de Montauban, et le sourire devient rictus. Dans une guerre, les amis d'hier deviennent souvent les ennemis d'aujourd'hui, ainsi tourne la roue de la vie. Dans quelques heures elle aura déjà oublié cette seconde de remord qui lui traverse l'esprit.
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A trop jouer avec les Félins, il faut s'attendre à être griffé ...
.mahaut.
[immortelle]

- Je l'oubliiiiiiiiiie, le jardin des roses noiiiiiiiiiiiiires, et j'efface de ma mémoiiiiiiiiire, celui qui paaaaaaaaaaart !
- Il a bien de la chance.
- Je m'enrouuuuuuuule ! Allez, faites les mouvements avec moi ! On s'enroule dans nos capes ! Alleeeez !
- Nan mais nan quoi ! Je suis garde, pas danseur.
- Je m'enroulllllllllllle autour d'un frisson d'alcoooooooooool ! Allez hop, un ch'tit coup.
- Ah là, je veux bien.
- Ah oui mais non, faut vous enrouler avant.


Le garde ronchonna puis posa sa pique et s'enroula dans sa cape. La nuit dernière, elle avait servi de passe-temps aux deux soeurs qui l'avaient cousue de paillettes sur un motif "J'vis à Angou, chuis trop casse cou". A la lumière du jour, il n'était pas bien sûr que la phrase s'arrêtait là et il avait eu l'impression d'un rajout en "ouilles". Mais bon, que ne ferait-on pour de la mirabelle ?

- Voilà, maintenant, on écarte et on se met sur les remparts en hurlant "immorteeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeelle ! L'amour au bout des aiiiiiiiles !"
- Ah non !
- Ah si !
- Non !
- Mais enfin puisqu'on l'est !
- Quoi ? Bourré ?
- Nan ! Immortelle ! J'ai jamais pris un coup, moi ! Et Aristote sait qu'on en a provoqué, des armées. Eh ben rien, rien. Immortelles, j'vous dis. Tiens d'ailleurs, en parlant d'armée...
- Oui ?
- Elle est où l'armée périgourdine ? Non, laissez-moi deviner. Elle fait un brèque, c'est ça ?
- Euh...
- Donc quand il s'agit de dégommer des gamins innocents, elle est là, yeux bioniques en avant et quand une ville en entière est assiégée depuis des jours, rien, elle bouge pas ?
- Ben chuis pas au conseil de guerre, moi...
- Moi je pense que c'est volontaire. Et c'est une grande décision. Il était temps de la prendre.
- Quoi donc ?
- Ben abandonner l'Angoumois. Depuis le temps qu'on dit qu'il ne sert à rein, hein ? Faut sacrifier Angoulême.
- Et ses habitants ?
- Ben avec. Faut faire des choix dans la vie. En même temps, les nains visent bien, ils touchent que des boulets, on dirait. On va leur écrire pour les remercier, non ?
- Ils ont pas plongé leurs épées dans le corps de votre amie qui vous faisait coucou hier soir ?
- Oh, Althea...



Elle laissa couler une larme. Elle pleurait facilement en cas de mauvaise nouvelle. Surtout après s'être enfilé 5 bouteilles.


- Ca c'était pas sport, j'ai trouvé. On tue pas quelqu'un qui fait coucou. C'est pas correct. Surtout quelqu'un qui porte la dernière collection de Diane Von Furchenberg hein. Vous avez vu sa houppelande "vrape" ? J'étais sooooooo jalouse en la voyant. Et cette ombrelle dorée en bandoulière, c'était très chez Gai Vara j'ai trouvé. Ben ils ont rien respecté... Pis pour enlever le sang, maintenant, ça va être coton, hein. Allez, buvons à la santé d'Al.
- Ouais, santé.
- Qu'est-ce que vous faites ?
- Ben je bois !
- Rendez-moi ça ! Vous n'avez pas voulu chanter "Immortelle" !
- Mais je me suis enroulé dans ma cape et tout !
- Ca vaut pas ! Faut l'ouvrir sur les remparts en chantant le refrain !
- Mais ils tirent des flèches !
- Est-ce que je m'en prends, moi ? Hmm ? Ben non. Alors c'est bon, allez-y. Alleeeez, j'vous dis. C'est en si bémol.



Le garde ronchonna et s'approcha des remparts en regardant prudemment par une meurtrière. Inquiet, il regarda la brune.

- Ils ont l'air de surveiller, hein.
- Mais non. Et ce sont des nains, donc ils voient 2 fois moins loin. C'est logique.
- Ouais, voilà. Donc immortelle, le vin au bout des ailes etc. hein ?
- Toutafé. Je vous regarde, que dis-je, je vous admire !
- Bon. Bordel, un escabeau, je rajeunis pas, moi. Pis cette cape est serrée, hein. Bon. Ahem. IIIiiIIIIIiiimmortEEEEEEELargh...


Il bascula dans le vide, une flèche dans le torse. Mahaut se retourna vers les autres, levant sa bouteille.

- Ça nous en fait plus ! Paix à ton âme, Machin ! Qui prend le refrain en canon avec moi ?


Une nuit de plus à regarder les autres se battre tout en se torchant la gueule en défense. Finalement, y'avait pire à vivre.

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Sancte
07-03-2011 04:06 : Vous avez racketté accdeeelnu qui possédait tout plein d'écus et des vivres fraîches.




[De quelle manière les faibles colosses d'argiles, en triste état, rendent leur dette annulable.]


Sancte Iohannes se souviendrait de cette nuit comme le plus beau coup de Jarnac auquel il ait pu jusque là assister. En ce dimanche soir, la nuit d'un noir d'encre, calme et immobile, s'éveilla soudainement en un frisson inhabituel. Ailleurs, au loin, la légion Artésienne ferraillait ferme contre de prompts renforts voulant profiter de la trêve dominicale pour densifier la résistance Angoumoisine. Mais ici, un vent doux se mit à souffler sur les visages amaigris de deux sinistres individus postés en embuscade, leurs yeux caves rivés sur ce chemin tristement délaissé par les marchands depuis les alarmes de la guerre. Quand soudain, les bruits de pas d'un homme seul, faiblement éclairé par une lanterne à la lumière réconfortante, firent considérablement s'égailler l'humeur des escarmoucheurs jusque là des plus maussades. Contre l'impossibilité de se sustenter, l'épée leur faisait office de carte de crédit. Est-il toujours besoin de spécifier que lorsque le pain vient à manquer, le 'marche ou crève' se mue rapidement en 'frappe ou supplie'. D'ailleurs, l'intimidation n'était-elle pas la forme la plus aboutie de la mendicité ? Les croyants fidèles comme lui n'y verront sans doute qu'une forme évoluée de persuasion pour contraindre les ouailles du monde à faire acte de charité. Dieu le leur rendra bien. Il paraît que c'est un ami.

Camarade, sache que ta prodigalité est appréciée à sa juste et pleine valeur. En ce sens, dès ce jour, nous te sommes infiniment redevables. Aussi, ne pars pas sans ton reçu. Car si tu venais à passer en Montauban-la-Réformée porter tes chaleureuses salutations, montre-le à qui de droit, il te sera payé un verre de gnôle avec la plus franche camaraderie.

Perché sur son frison blanc, le lecteur Aristotélicien Réformé laissa éclater un rire sec, et lui remit avec civilité le message auxquels tous les généreux donateurs -parfois malgré eux- avaient droit.

Maintenant va, et sans te retourner sur cette rencontre destinée à te guider vers la lumière, n'oublie pas que rien ne se met jamais en travers de la route du Juste. Montre-toi fidèle aux Saintes Écritures et aux enseignements des prophètes et tu verras, camarade, que pour vaincre un point d'honneur qui combat contre toi, tu n'auras qu'à laisser parler le temps, ta vaillance, et ton roy !

Sur ces belles paroles pétries d'amour Aristotélicien et fortes de leur sagesse, il fit monter sa jeune complice sur la croupe de sa monture, et tira la bride pour s'en retourner en leur campement principal, où auprès d'un joli coin de feu, ils s'en iraient partager équitablement les oboles de ces si plaisants fidèles, pour qui l'enfer était toujours pavé des meilleures intentions.
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"Aux hommes la droiture et le devoir, et à Dieu seul la gloire !"
S.I. - Chevalier Errant de la Réforme Aristotélicienne.
Natasha
[Entre méfiance et délire… ou conscience du vide cérébral ?]

Dire qu’elle trépignait de les rejoindre serait mentir ; les rencontres précédentes s’étant conclues invariablement par des incompatibilités d’humeur… quand les politesses et les coups ne pleuvaient pas… davantage encore depuis l’indisponibilité de Carrie.
De fait, la blondasse s’était tenue à l’écart durant les heures précédent la nuit ; elle observait, elle écoutait et surtout, elle apprenait… taquiner l’gibier sur les chemins était une chose, rejoindre une armée une toute autre et véritable nouveauté pour la donzelle.

L’agitation s’amplifia à mesure que l’obscurité tombait et l’effervescence blondesque à son apogée dés les ordres donnés ; déjà un groupe arrivait à brides abattues et un cri retentit qui la sortit de sa stupéfaction – ben ouais, faut être barge pour s’attaquer à une armée hein :


Aterfalco.2 a écrit:
-A l'assaaaaaaaaaaauuuuuuuuut !!!


Inconsciente ou simplement indifférente au danger, elle se lança dans la mêlée. Elle fonça sur les assaillants ; batailla avec un qui resta à terre, attaqua une autre qu’elle manqua et chargea un troisième qu’elle toucha à peine comme son arme se brisa…

Citation:
07-03-2011 04:06 : Votre arme a été détruite.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Altiligerien. Ce coup l'a blessé superficiellement.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Emmanuelle014. Ce coup ne l'a pas blessé.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Best_lion. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Best_lion. Vous l'avez grièvement blessé.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Melior de Althea de Emmanuelle014 de Rod31 de Fanny1 de Altiligerien de Best_lion et de Fenech.


Interdite, la platine resta comme deux ronds de flan devant sa hache en miette… déjà les larmes lui montaient aux yeux, plus touchée par la perte de sa cognée que du sang versé ; et la colère de remplacer l’égarement quand elle songea à la somme qu’un nouvel achat lui couterait… les ambres s’assombrirent et les mâchoires se crispèrent tandis qu’elle jeta la relique encore en main.
Un nouveau cri dans la nuit, un nouvel homme… lui aussi de bleu vêtu, à croire qu’elle est abonnée ! La rage prit le dessus sur la raison, dague dans la dextre avant de percevoir les alliés en nombre ; celui là prendra cher !


Citation:

07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Corbeaunoir. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par Corbeaunoir.


Et puis le retour au calme et l’heure du bilan. La belle compte ses abattis, pas d’bobos ; coup d’œil au duo qu’elle accompagne, semblent entiers aussi… Finalement, elle s’en tire pas trop mal pour une première !
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Flax
[De l'autre côté des murs angoumois...]

Flax surveillait le campement de l'armée naine du haut des remparts angoumois. Déjà plus de cinq jours que l'armée c'était postée devant les remparts de la ville, où ils étaient venus semer le trouble après avoir brillamment échoué l'assaut de Périgueux. Le jeune homme s'était battu tous les soirs contre l'ennemi, la cause de laquelle il comprenait, mais d'une méthode qu'il ne pouvait pas cautionner. Qui sait, en d'autres circonstances aurait-il pu rallier à leur cause.
La main sur le pommeau de son épée, vieille d'une semaine, déjà crantée des nuits de bataille, il regardait les lumières miroitantes de leurs feux, les silhouettes vagues se déplaçant juste en dehors de portée de leurs flèches. Éclairées par les constellations mirifiques et la teinte blafarde de la lune, il crut en reconnaître certaines, qu'il aurait préféré voir de son côté, mais soit, chacun ses choix, il avait fait les siens. On aurait dit que les envahisseurs avait converti toute la ville à leur cause. Toute ? Non ! Une petite garnison d'irréductibles défenseurs résistait encore à l'ennemi, leur nombre diminuant au fur et à mesure des jours. Qui eût cru que la modeste ville d'Angoulême, peuplée de moins d'une centaine d'habitants, puisse résister si longtemps à une armée. Bien sûr, la situation pouvait basculer à n'importe quel moment, il ne se leurrait pas, ils étaient plus forts, et plus nombreux.

Il repensa aux événements des derniers jours. Il était à peine devenu propriétaire de son champ, à peine rentrée en caserne, à peine installé à Angoulême quand déjà on voulait tout lui prendre. Facile de se battre, après ça, facile de se battre quand on voyait certains guerriers ennemis, dont la définition de l'honneur et la vaillance se résumait à frapper les jeunes femmes de la ville. Une expression de dégoût se lut sur son visage et il frappa d'un poing fermé sur la pierre usée des remparts. Non, il se coucherait pas tel un chien galeux devant les pieds de son maître, on lui prendrait la ville de force ou pas du tout.


Qu'ils viennent, ces Nains, on les attendra, renforts ou pas, on se battra jusqu'au dernier. J'en ai déjà eu deux, je vais pas m'arrêter maintenant.


Il résuma la situation dans sa tête. En sous-nombre, sans espoir de renforts, assiégés par la Faucheuse, arf, bon, ça n'avait pas l'air bien parti. Pas d'illusions, messires, vous l'aurez, votre ville. Espérons juste qu'ils soient trop peu nombreux pour goûter à la douceur de la victoire sans l'amertume de la perte de camarades chers, tels que lui avait perdus. Il repensa à la vie qu'il avait avant, une oisiveté sybaritique qu'il n'avait jamais pensé quitter, et pourtant, le voilà, au front. Secouant la tête, il se redressa, prêt pour une nouvelle nuit d'affrontements. Qu'ils viennent, il n'aurait aucune honte, quelque soit le résultat de sa nuit...
Estainoise
Loin...loin...à deux noeuds....La capitale…..Périgueux…..

Arf…bordel…de défection….mais…..quoi qu’on fait?

Esta était fine prête, depuis de nombreux jours pour aller gouter du nain….casser ce drôle de jouet qui lui arrivait à sa taille, elle qui n’était pas plus haute que trois pommes….

Elle les avait pourtant vu passer par là…et puis pas par là….et puis revenir…pour finalement filer vers Angoulême.

Chaque jour, elle se rendait disponible pour l’armée…prête à suivre…
Chaque jour, elle préparait son Cabochard, son bel étalon qu’elle montait, oui, chaque jours….

Lui, tirait sur la bride, il sentait son envie d’aller par là bas, vers l’est…dans la ville qu’on dira que c’est la ville des nains bientôt…. Et Esta devait frainer ses ardeurs….

Mais chaque jour….ben ça bougeait pas….
On lui disait...ben demain...demain...

et puis, là, un des chefs, un qui joue des gros bras lui dit enfin.....



Esta, là c’est pour de bon…t’as intérêt à te pointer au campement aux aurores….

Esta s’approchait alors du campement de cette belle armée du Périgord.
Elle avait offert sa force, ses armes, sa vie…pour casser du nains….
Elle était prête….
Mais à la première tente, la tente des chefs?…..un garde l’arrêta…..


On rentre pas la belle…..

Le soldat, sa lance en avant, devant elle, se tenait...

Cabochard stoppa net; Esta se redressa et dit


…mais..je suis des votres![/u][/b]
Hector_
Au campement de Périgueux

Les jours passaient et cela devenait de plus en plus insoutenable pour le jeune soldat. Fallait être patient...Mais avait-il une gueule à être patient lui? Il donnerait cher pour foncer dans le tas dans l'heure ! La ville d'Angoulême tenait bon depuis des jours, les Angoumoisins se battaient comme de Lions. C'était eux les héros de cette guerre.

Il ne savait pas trop quand ils bougeraient pour enfin filer un coup de main à leurs frères du nord. Bien que ceux-ci avaient prouvé qu'ils n'avaient besoin de personne pour tenir le coup. Le jeune Hector bouillait au sein du campement, ne sachant que faire.

La section des "Gargamels" était au complet au sein du campement. Enfin presque...

Regard vers un soldat de la section.


Putain mais elle fou quoi Esta? j'vous jure, plus jamais j'accepte une femme, c'est ingérable souvent !

En colère, ce qu'il était en permanence ces derniers jours, il shoota dans tout ce qu'il trouvait pour se passer les nerfs.

Putain, mais tu peux être sur qu'elle est en train de faire les boutiques là ! Faudra lui expliquer que ses robes ne lui serviront pas beaucoup si elle y passe là bas !

Le jeune homme n'avait pas connaissance qu'elle était en fait, en ce moment même, en train d'essayer d'entrer. Mais faute de laisser passer, les gardes refusaient. Il n'était pourtant pas bien loin dans le campement.

Putain, c'était son mot ça aujourd'hui, c'est pas avec ça qu'on va la gagner cette putain de guerre.Il ne décolérait pas, bien au contraire. Il était bien placé pour gueuler le jeune homme, c'était bien le dernier à respecter des consignes...C'était même souvent avec plaisir qu'il faisait tout le contraire.
_________________
Hildegarde
Périgueux ...Feu... Partez!... Nan faux départ!

Hil, dicte dorénavant la penchée, car même si soignée et en cours de rétablissement, il lui manquait tout de même un bout de bidoche au coté droit, entrecôte que les nains lui avaient découpée, tant il l‘avait bouffée finement lardée, persillée, beurrée, bref (oui je sais je fais des phrases très longues et alors^^) oui et donc je vous racontais que Hil fulminait à Perigueux de ne pouvoir s’engager dans l’armée. (termes de la Hil censurés).

Quand elle eut une idée!

Le responsable de l’intendance du campement fignolait la préparation des charrettes à victuailles pour les soldats lorsqu’ils seraient à Angoulème…

Enfin si tant soit peu qu‘un jour ils y soient…

Enfin bref, Hil n’y connaissait rien en affaires militaires, et si elle ne pouvait combattre et taper du schtroumf, elle aurait bien aimé tout de même en voir se faire découper en travers de porc... Par contre pas pour les manger... Ah nan! même les clébards refusent d’en manger alors… pour vous dire!

Elle profita donc du Xiéme jour d’attente que ptet bin ce coup ci- c‘était bon! si si ! nan mais c‘était sûr cette fois si!…ah bah si!

Alors que l’intentant rentrait au campement, la dernière chtite carriole pleine et bâchée, elle se glissa… sous la bâche!!! Ho bah au campement elle pourra toujours aider, faire le feu, tambouiller les fayots… heu cirer les bottes aussi… nan pas ça…nan c’est po une bonne idée…

Hil fut enfin sous la bache… Ho punaise! ça pouyre mais c’est quoi ça…? Erf la vache! Ou plutôt crotte de bouc! le nez juste sur les cageots de fromage de biquette bien ultra faits, avé les premiers vermisseaux! … erf… elle comprenait mieux l’haleine de certains. Po possib' ça! jamais de bol moi! ça aurait pas pu être la carriole à miches dediou!

Puis la charrette s’arrêta. Elle comprit qu’elle arrivait au poste du garde, ça parlait… elle écoute. Elle tenta de voir par un coin de la bache légèrement relevé du plateau (de fromage oui^^).

Mince! elle n’avait vue que sur le cul d’un cheval! Dediou! mais c’est la Esta! Nan rhoO_o je veux dire son cheval! Esta sur son cheval!

Bon c’est pas tout ça! mais fais toi discrète la Hil, faut passer! Une fois dedans… heu tu songeras à voir si tu peux te glisser dans une autre charrette, parce que là… Waho… ça remoute grave! Ô! seigneur! Pourquoi tant de haine!!^^

_________________
--Azrael


Une semaine qu’Azraël était sur son ouvrage. Cela lui avait occupé le temps. C’était un calme, on ne l’entendait jamais. Bon! Certes il était muet!Cette fois-ci, c’était fin prêt! Il planta le drapeau dans le sol, se reculant eut un sourire satisfait.



Puis voyant l’intendant arrivé, il se dirigea vers lui et luit fit le signe de sa main vers sa bouche pour demander: « Quand est-ce qu’on graille ?»


.
Estainoise
Le garde restait impassible devant elle.
Il ne semblait pas comprendre, ne semblait pas vouloir comprendre.
Il persistait à répéter...


Non, on ne passe pas, j'vous dis!

Mais...Mais....répondait alors Esta tout en essayant de calmer Cabochard qui commençait à piaffer, d'autant plus qu'une charrette était derrière eux, tirée par deux boeufs qui chatouillaient sa croupe.

...mais...mais appelez donc le capitaine, le connétable, mon chef de section...le comtesse...que sais-je!

Esta se lève sur ses étriers, regarde le campement qui semble s'activer....
Oui, qui semble....


Et elle le voit....par la bas....l'air pas content...pas content du tout...

...Eh...Oh! Hector.... je suis là!
Smurf
Un ciel blanc, embrumé, et un ange volait au dessus de lui... Ou plutôt une femme... une grosse femme... avec des bras comme des cuisses de bûcheron, un peu comme... Damned!!

Le forgeron ouvrit grand les yeux et le pâté qui embrumait sa vue se dissipa. Il était de retour sous la tente de l'infirmerie, et l'infirmière était de retour, prête à faire payer au forgeron sa précédente fuite alors qu'il refusait de manger son potage aux croutons d'origine douteuse.

Cette fois ci la fuite allait etre plus ardue car il s'est était prit une belle d'entaille le forgeron, en plein sur le gras de la fesse gauche, 5 jours de repos qu'on lui a dit. Et pourtant tout avait si bien commencé après sa fuite, tablier au vent, tentant d'échapper à la grosse dame qui voulait lui laver sa plaie... sont dingues dans le coin qu'il disait. Luzifer avait prit le commandement et il le rejoignit le dimanche, pile poil pour l'heure de la messe, pas d'attaque ce soir qu'on lui a dit. Qu'à cela ne tienne, aujourd'hui il mangerait des bébés chats pour noyer son ennui.

C'était sans compter sur l'arrivée d'un groupe signalé par le meilleur ami de l'homme, Aterfalco le bien nommé. La truffe humide, l'œil pétillant, et le poil frisé, il signala de suite l'approche des quelques fâcheux venus troubler cette belle journée de repos.


-A l'assaaaaaaaaaaauuuuuuuuut !!! qu'il disait.

Le fier Aterfalco trônait sur sa motte de terre, peu habitué à surplomber ainsi un quelconque panorama, puis disparu subitement comme par magie. Ce serait-il encore fait désintégrer par des forces obscures comme à Orléans? C'est en pleine recherche que Smurf se fit molester dans le dos par un fourbe, et se retrouva le tablier par terre. C'était lui, la gueule toute encrottée de bouillasse, n'y voyant pas plus qu'un héron dans une marmite.


-Ater !! Ater !! Mais qu'est-ce que tu fous bordel ? C'est moi !!

L'alcoolisme, un fléau qui fait des ravages dans cette armée, plus encore que la consanguinité et l'illettrisme. Le combat, le vrai, reprit alors de plus belle, et les faquins du dimanche furent repoussés vers Périgueux. Une belle brochette qu'on à eu qu'il disait.

Citation:

07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par Corbeaunoir.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Best_lion. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez frappé Fenech. Ce coup l'a probablement tué.
07-03-2011 04:06 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Melior de Althea de Emmanuelle014 de Rod31 de Fanny1 de Altiligerien de Best_lionet deFenech.
06-03-2011 12:43 : Vous avez été embauché dans l'armée.


La soirée fut festive devant Angoulème, les joyeux braillards se battaient entre eux, pour montrer qu'on s'aime bien qu'ils disaient. Sont fous tout là haut, aussi. La journée suivante fut brève, mais intense, une préparation au combat laborieuse après avoir gouté au fameux foie gras local, spécialité gouteuse, mais légèrement lourde à digérer une fois le demi kilo avalé. La nouvelle charge vers la ville fut lourde, trop lourde, si bien qu'il ne pensa même pas à lever son épée une fois au contact et...

Citation:

08-03-2011 04:05 : Votre bouclier a été détruit.
08-03-2011 04:05 : Agio vous a porté un coup d'épée. Vous avez été sérieusement blessé.
08-03-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Angoulême.


Smurf venait de se faire dérouiller le pif, affalé par terre, des oies lui tournaient au dessus de la truffe en faisant "pouet pouet". Lorsqu'il ouvrit à nouveau les yeux, il était encore à l'infirmerie, avec quelques nains qu'il connaissait bien, et la journée se termina sur l'élaboration de la prochaine attaque...

Hahahaarg... aah qu'eff fqu'on à bouffé hein? La profaine fois faudra y aller douffement fur les fpéfialités.. Ouille fafémal...

T'as été blessé ou toi?

Fans fon ful!

Beuarhahahaarg... aïe
Cristofo
En mode bourrinage, il était pas mal le brun. Il savais faire que ça, mais il le faisait bien. Ça et casser la gueule aux gens dans les tavernes de la ville... D'ailleurs, pour pas changer, il s'était fait une tripotée d'ennemis. Faut dire que ça façon d'rentrer dans le tas, que ce soit dans une donzelle ou quelque chose de plus consistant, lui avait pas fait des amis. Comme il disait, "on ouvre sa gueule si on peut assumer derrière!!" Sauf que là, il pouvais plus assumer. Hé oui, épuisé par un manque criant de boustifaille il avait finis par se faire pincer joliment devant les murs de la ville. Un bilan salé, comme il en avait jamais eu: un œil qu'il pourrait plus se rincer, et un index en moins. Fallait qu'sa arrive...

Donc l'étais étendu quelque part sous une tente, avec une matrone monstre qui devait servir d'infirmière. Et la patée à chien qu'elle lui refourguait était on ne peut plus éloignée de ses rêves de bon cuissots de chevreuil généreusement arrosée d'une petite piquette, servi par des jolies filles à peu près aussi large qu'une cuisse de la gorgone. Mais, on peut pas tout avoir.


Non de non, j'peut pas bouger avant un mois? Faites chier là quoi c'est vrai j'avais un rendez-vous galant dans les Flandres c'est pas juste vous le faites exprès...

Il arrêta bien vite ses jérémiades devant le regard qui lui lançait la mastodonte, regard à peu près aussi noir que ses cheveux. Il se laissa mollement retomber sur la planque en bois recouverte de paille qui lui servait de lit.

Dormir, dormir pour guérir et sortir de ce trou à rat...




08-03-2011 04:05 : Votre bouclier a été détruit.
08-03-2011 04:05 : Votre arme a été détruite.
08-03-2011 04:05 : Tgregory76 vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.
08-03-2011 04:05 : Vous avez engagé le combat contre les défenseurs de Angoulême.
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