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[RP] Infiltration gisorrienne...

Arutha_gisors
Le jus d'orange. Sur la table adjacente. Il prit le pichet de jus d'orange, et en versa maladroitement dans un verre. Verre qu'il alla donner à la Reine. Tenez, vous en voulez encore ? C'est Llyr qui l'a fait, il doit être bon ! Buvez bien, car être Reine, ça déshydrate ! Il afficha un grand sourire à la Souveraine.

Pourtant, après un soupir, elle lui répondit.
Excitant ? Mais si, c'est excitant ! Et puis moi, j'aimerai bien revoir les copains de Maman et Papa, que je n'ai pas vu depuis longtemps... Pourquoi vous voulez pas... Les sons moururent dans sa bouche.
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Mariealice
Marie écoutait tout en mangeant, observant les visages et de l'enfant et de la Reine, le premier semblant s'allonger au fur et à mesure et le second laissant présager quelque tempête. Elle s'approcha de l'enfant, posa sa main sur son épaule.

Je peux leur demander de venir te voir si tu le souhaites et te présenter ceux que tu ne connais pas.

Un sourire aux deux, rassurant pour le premier, apaisant pour la seconde.
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Arutha_gisors
Je peux leur demander de venir te voir si tu le souhaites et te présenter ceux que tu ne connais pas.

Ça, c'était une bonne idée ! Il approuva d'un signe de tête, sourire aux lèvres. Elle était intelligente, la Grand Maistre de France. Oui, oui ! Il se pencha vers la Reine, et demanda poliment, afin qu'elle ne se sente ni brusquée, ni oppressée. Madame, elle peut ? Dîtes ?

Son nouveau copain Llyr se trouvait toujours là, et aussitôt, au gamin de dire : Monsieur Llyr, il faudrait que tu prépares de nouvelles chouquettes !
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Llyr


Aux diverses interpellations du gamin il acquiessa en détournant la gueule de Bran de temps à autre pour éviter que ce goinfre-ci ne se prenne pour larron en foire et subtilise des mains du jeune garçon quelques friandises ou cochonailles.

Heureux que cela te plaise Fils. Oui j'ai connu tes parents, très bien même, ils étaient de mes vassaux pour tout te dire je les aimais énormément, leur perte ma beaucoup affecté.

Heureux que ces quelques ripailles te plaisent. Mais je vois que tu t'es fait un nouvel ami avec Bran. Fait attention c'est un gourmand.

Pour le reste, ma porte te sera toujours ouverte. Si tu as besoin tu viens me voir et nous discuterons.


Puis la Reyne élu intervint. Brrrr que c'était froid. Elle aurait été tout autre, il serait fendu d'une réplique, mais à quoi bon finallement et puis Protocole oblige il fallait mieux éviter de l'ouvrir pour au final si peu.

Mais les dernières repliques de la tête blonde, lui fire monter un rire en gorge. Oh que ce n'était pas très diplomate surtout face au nouveau chef d'état du Royaume de France. Mais le gamin l'avait pour le coup dérider fortement, ce qui pour le coup devait être mis à son actif.

Serrant des dents pour éviter que son rire n'explose, les yeux surement pétillants de retenus, il finit par dire

Je vais voir de suite en cuisines si peux faire mander quelques choses. Ce ne sont plus mes quartiers mais si le Premier Maistre d'Hostel de la Reyne et bien sur sa Majesté n'y voient pas d'inconvénient cela devrait se faire.


Courbettes, salutations, trois p'tit tours et le Cygne s'en va.
Heureusement personne ne l'entendit rire dans les escaliers, il était temps.

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Arutha_gisors
Tu as connu mes parents ? Tu étais leur suzerain ? C'était toi le suzerain de maman ? Je ne savais même pas ! Un sourire heureux s'était dessiné sur les lèvres de l'enfant.

Bran c'est un gourmand, oh oui ! J'ai remarqué ! Il se passe la langue sur la bouche, je crois qu'il a faim.
Arutha attrapa une chouquette dans l'assiette, et la tendit au chien gourmand. Mange, Bran ! Mais pas trop, sinon, tu ne pourras plus courir !

Le normand approuva d'un signe de tête les paroles de Llyr. Il irait donc le chercher s'il avait un soucis -ou pas d'ailleurs-. Bientôt, Llyr s'en alla vers les cuisines, afin de voir s'il pouvait ramener de nouvelles gourmandises.

La tête blonde reporta donc son attention sur la Reine, pour écouter sa réponse, tout en caressant de sa main droite la tête du canidé.

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Eilinn_melani
[Dans les cuisines du Louvre]

Comme à leur habitude, les Cuisines fourmillaient d'agitation. Les préparatifs du repas étaient en cours, ainsi la ruche était bruyante, étourdissante, et il en fallait peu pour avoir le tournis en voyant marmitons, gâtes-sauces, commis s'activer. Le Premier Maitre d'Hotel de la Reyne veillait sur tout ce petit monde avec le calme de la Salamandre, avant qu'un mouvement inattendu ne se manifeste au coin de son oeil.

Elle interpella sans ambages le visiteur.


Oh votre Lavardivinité ! Une petite faim peut-être ?

La jeune fille envisageait non sans déplaisir de rajouter des syllabes au surnom du Duc-Pair au fur et à mesure de leurs rencontres. Qui aime bien châtie bien. Cela pouvait presque passer pour de l'insolence, mais c'était sans compter l'affection sincère qu'éprouvait la vicomtesse pour son mentor.
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Llyr


[Aux cuisines du Louvres]

- Permission de monter à bord ?

Phrase convenue et habituelle d'une personne montant sur le pont d'un navire, les cuisines du Louvres ne souffrant pas d'un manque de protocole, c'était donc la première fois qu'il osait la question alors qu'il n'y a pas si longtemps il aurait été plutôt du genre à en donner la réponse.
Taquine la nouvelle Premier Maistre d'Hostel ? Soit c'était la charge qui voulait ça, soit il commençait à déteindre. Quel était le pire ? Bonne question se morigéna-t-il moqueur envers lui-même interieurement.

Faim ? Toujours. Mais pour une fois je ne viens pas pour moi. D'ailleurs et à ce propos je vous remercie de m'avoir laisse trainer mes guêtres de temps à autres ici pour me... comment dire ? Ressourcer ? Ca fait du bien de mettre la main à la pâte, même si ce n'est que pour se faire son propre déjeuner.

Bref. Je ne viens pas pour moi mais à cause d'une invasion.
dit il taquin.

Un bout de chou pas plus haut que trois pommes vient de débarquer dans l'anti chambre de la Pairie et a alpagué la reyne. Je crains qu'il ne la retienne en otage tant qu'il n'aura pas été rassasié et le ventre craquant.

Oh, rien de dramatique ceci dit, c'est le fils de feus Kirah et Vinkolat. Un chouette p'tit gars qui s'il continue comme cela les fera toute craquer et a de l'avenir.

Mais voila, je digresse une fois encore. Vous n'auriez pas, d'ailleurs pourquoi je pose la question, n'est ce pas ? quelques victuailles et collation à faire monter. Je crains que ne déboule une partie de la Pairie à sa rencontre. Et puis c'est pour la bonne cause, car à part Dieu qui sauvera la reyne ?

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Eilinn_melani
Permission accordée, bien entendu.

Elle fit un geste vague de la main, signifiant que tout cela était bagatelle.

Allons, ce n'est rien... J'aurai été bien ingrate de vous interdire l'accès des Cuisines après tout le temps que vous y avez passé, et l'enseignement que vous m'avez transmis.

Eilinn écouta avec attention ensuite le récit du Duc-Pair sur l'invasion gisorienne, et la jeune fille eut un sourire goguenard.


Que vais-je bien pouvoir trouver pour nourrir cet estomac impatient ?

Zigzagant entre ses marmitons, Eilinn rassembla de quoi nourrir quelques estomacs affamés : madeleines au citron, macarons, quelques tartelettes d'hiver (aux châtaignes), pâtes de fruits, un pichet d'hypocras blanc, du jus de fruits et du lait de chèvre accommodé de miel.
Elle déposa le tout sur un plateau pour le Pair.


Je crois que ça devrait aller pour une légère collation ! Si il avale tout ça, je penserai à demander une rallonge du budget des cuisines au cas ou il s'installe plus longtemps !

Puis à la dernière boutade de Llyr, de répondre avec enthousiasme :

Qui pourrait sauver la Reyne à part Dieu ? Mais son Maitre d'Hôtel bien sur !
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Llyr


L'ingratitude n'a rien à voir là dedans, tout au plus la peur (à raison ou à tord d'ailleurs là n'est pas la question) que je mette mon nez dans la sauce à tout venant aurait été une raison suffisante. D'autant plus j'aurai bien été incapable de ne pas intervenir sans qu'on me gourmande. Ici au moins personne ne me rouspète pour un frichti ou pour un conseil au passage, ce qui est pour le coup bien trop aimable de votre part.

Et puis il faut bien le dire, je m'ennuierai à mourir si je n'avais aps de quoi m'occuper l'esprit et les mains. Alors c'est un merci que vous recevait en cela et Taratata assez de rond de jambes, si vous êtes Premier Maistre d'Hostel c'est que l'élève à surpasser le Maistre si j'ose dire. Vous avez tout à prouver et je n'ai aucunement à interferer, de toute façon même si je le voulais je ne le ferais pas, il n'y a qu'ici que je trouve des groseilles potables pour mes sorbets et en prime je n'ai pas fini de déménager mon "coin" de cave

hein ? je digresse encore ?
Diantre ! Parsembleu, voila que je radote...c'est navrant

Donc oui, les victuailles. pour le jeune Arutha, voilà choses assurément sucré qui va le finir en termes de ventre empli. "Légère" n'est pas le terme que j'aurai employé de prime abord, mais cela rassasiera au moins les plus goinfres d'entre eux.

Evidemment, tout cela est à mettre au service pas si secret de sa Majesté.
finit il amusé.

Bien, et bien allons-y, sinon j'en connais au moins qui va crier famine ! Grand Merci à vous Salamandre

Comment se faisait il qu'il connut le surnom du Premier Maistre d'Hostel ? Allez savoir avec le Cygne. Parait il que cela fait parti de son charme, d'autres diraient que c'est ce qui agace... entre autre.

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Arutha_gisors
Son ventre gargouillait, désormais. Malgré les "quelques" chouquettes qu'il avait mangées à toute allure, s'en empiffrant plus que permis, il avait toujours faim. Un sourire gêné se dessina sur ses lèvres, tandis qu'un léger rosissement apparaissait sur ses joues : C'est la croissance, s'excusa-t-il, comme pour se justifier. C'est sa mère, feue Kirah, qui avait coutume de lui dire ça, peut-être était-ce vrai. Quoique, sans doute pas. Il était difficilement acceptable qu'on puisse attribuer au fait de grandir, un estomac si apte à engloutir quoi que ce soit. Ou presque, dans la limite du raisonnable.
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Eilinn_melani
Cessez-là ces billevesées Llyr !

Il ne devait pas y en avoir beaucoup qui osaient parler ainsi au Duc-Pair, mais la jeune fille se le permit. Elle avait saisi lors de sa dernière visite au Lavardin qu'il n'était pas sans un peu ressasser les choses, or c'était là une chose qu'elle ne faisait que rarement. Lui secouer un peu les puces, à défaut de celles de Bran qui n'en avait pas besoin, ne pouvait être que bénéfique.

Elle flanqua dans les bras du Cygne un petit saladier rempli de chouquettes, manquant lui en enfourner une dans la bouche pour qu'il se taise. Elle tenta alors d'adoucir un peu la chose, n'étant pas habituée aux éclats quels qu'ils soient. De surcroit elle n'était qu'un officier royal face à un Pair, l'impair n'était donc pas bien loin.


Excusez mes paroles rudes, mes mots ont dépassé ma pensée. Je n'avais pas à vous parler de la sorte.
Pensez bien que si je vous avais considéré comme indésirable aux Cuisines, je vous l'aurais fait comprendre. Or ce n'est pas le cas. Considérons le sujet comme clos désormais, voulez-vous, votre Lavardivinité ?


Eilinn prit le "Allons-y" comme l'invitation à prendre en charge les sucreries, il aurait été en effet étrange qu'un pair se charge de jouer les serveurs. Elle chargea Germain, un de ses aides, de s'occuper des timbales, assiettes et cuillères, et prit donc le plateau, laissant le navire à Maitre Pierre. Le Duc du Lavardin la mena dans le dédale du Louvre, jusqu'ou se trouvait la petite assemblée. Avec l'aisance de celle qui évoluait dans les lieux depuis quelques temps déjà, elle salua les présents.

Votre Majesté, Votre Seigneurie, le bonjour. Jeune homme, le bonjour également.

Le devoir de sa charge allant tout d'abord à sa Reyne, Eilinn se tourna vers elle.

Siérait-il à Sa Majesté quelque douceur particulière ?

D'une main preste elle desservit le plateau, faisant signe à Germain de disposer timbales et cuillères pour les gourmands.
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Arutha_gisors
La Reine semblait préoccupée. Seul Dieu -qui n'était jamais là quand on avait besoin de lui, le sacripan !- aurait pu savoir ce à quoi la Reyne pensait. Arutha n'étant pas Dieu, quoiqu'on aurait parfois pu se le demander, au vu de sa candeur, il ne le savait pas.
Quoi qu'il en soit, le jeune blondinet s'était mis à jouer avec le chien du Duc-Pair, sautant autour de lui, lui courant parfois après.

Bientôt, pourtant, l'étrange manège qui se déroulait dans l'antichambre de la Pairie cessa, non pas par l'intervention de la Reyne, comme on aurait pu s'y attendre, mais par l'arrivée d'une jeune fille, pas tout à fait jeune par rapport à l'âge d'Arutha, cependant.
Boujou ! Elle parlait drôlement bien. Visiblement, elle aussi avait reçu une noble éducation...

Le normand regarda, penaud, ses pieds. Il ne savait comment réagir face à la nouvelle venue.

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Mariealice
Marie s'était éclipsée un moment pour prévenir ses Com-Pairs de la présence d'Arutha et de sa demande. Peut-être certains montreraient-ils le bout de leur nez hors de la salle. Ou pas. La question était bonne et elle ne présageait jamais de ce qu'ils allaient faire. Ou pas.

Bref, retour juste à temps pour voir arriver les victuailles. De quoi ravir les papilles et l'odorat de plus d'un convive.


Bonjour Eilinn.
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Beatritz
Salut à Llyr qui vient et repart, MarieAlice s'en part et s'en vient, Llyr d'ailleurs revient, Eilinn est là, le petit blondinet bavasse, Llyr bavasse, la Vicomtesse de Pompadour est sobre et laconique comme toujours.

Où en est-on ?
La Reine n'a pas assez dormi la nuit précédente. Chaque mouvement où elle n'est pas tout à fait impliquée lui est l'occasion de laisser son esprit partir ailleurs. Même les déblatérations du jeune garçon sur le jus d'orange ne parviennent à maintenir son esprit éveillé. Pourtant, tout ce qui est plaisir de bouche, d'ordinaire, ça lui parle.

Son Premier Maître d'Hôtel d'ailleurs la ramène à la réalité.


-"Ah... Bonjour, Vicomtesse Melani. Avez-vous des pâtes d'angélique ?"
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[Béa bientôt en arrêt maladie, cf. MDRPRR - Une bannière sérieuse reviendra un de ces jours ]
Eilinn_melani
Dans tout lieu lambda de France, Eilinn aurait répondu :

Non je n'ai pas.

Mais on était au Louvre, et l'excellence étant la seule règle de mise, surtout dans les cuisines, le Premier Maitre d'Hotel répondit :


Bien entendu votre Majesté.

Un signe, en fait plutôt deux ou trois, à Germain, qui déchargé de ses assiettes, et assuré que la grand-mère Castelmaure n'était pas dans les parages, fila en direction des cuisines pour ramener l'objet du désir de la reine. L'angélique, qu'elle soit en pâte ou en liqueur, était une spécialité poitevine, et déjà le Premier Maitre d'Hotel avait noté l'attrait de la Reyne pour d'autres spécialités de la région comme le broyé.

Béatritz étant un "bec sucré", la vicomtesse d'Avize s'était donc enquit des douceurs susceptibles d'intriguer le palais royal, et bientôt le Louvre pourrait ouvrir une confiserie au rythme des commandes, susceptible de concurrencer Ella Durée.

Eilinn darda un oeil sur le jeune Gisors, se demandant dans quelle mesure il était dans les bonnes grâces de la Reyne. Les noms évoqués par le Duc du Lavardin avaient à peine fait émergé seulement quelques vagues souvenirs. La collation avait été réclamée par lui, et apporté par Llyr en personne, sans doute cela méritait-il quelque approfondissement. Deux pas chassés pour s'approcher du jeune garçon, et de prononcer un ton plus bas :


Le jeune maitre Gisors trouve-t-il son bonheur sur la table ?
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