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[RP] Démission du Capitaine Royal

Assirian
Bon et bien...Je n'ai plus qu'à vous souhaiter une bonne continuation...

J'ai attendu jusqu'au dernier moment...Le procureur est nommé... Forcément, aucune envie de devoir le forcer à choisir entre lancer un procès contre un des siens ou de désobéir à la curia, au risque que cela dégénère pour lui...

Je vais donc rejoindre un territoire voisin...

En ce qui concerne la paye du dernier mois en tant que chef d'armée, à 19 écus la journée, que ça serve pour l'armée.

Qu'un futur chef d'armée prenne ce dont il a besoin pour être en mesure d'en créer une et que le reste soit distribué en viandes aux soldats en ayant besoin me semble un bon compromis. N'étant plus ni au conseil, ni à l'Ost, c'est à vous de vous débrouiller.

A bientôt !

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Ex. CR du Maine
Leello
Leello sourit

Sachez messire que je ne juge les personnes que je croise par leurs acte et non par ce qu'ils portent.

Vous feriez un excellent conférencier mais nous ne sommes pas là pour ça. De plus le lieu étant public, je ne vois pas pourquoi nous passerions notre chemin, alors que vous vous permettez de parler de la sorte d'hommes et de femmes qui vouent leur vie à aider les plus humbles.

Et oui nous sommes peut être discrets mais c'est ce que nous voulons, quand à notre arrivée tardive, elle n'intervient qu'après la demande des comtés et duchés. Alors il semble que chacun à sa part de responsabilité et son souci organisationnel.

Donc oui évitez de juger sans savoir messire, et sans avoir l'intégralité des informations que vous avancez et vous serez bien plus crédible.

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Squalow
Squalow suivait très grave, les diverses directions que prenait le débat… Certaines paroles se prononçaient malheureusement, ne prenant fondement que dans de vieilles frustrations dont les origines se perdaient dans le temps et l’histoire du DR et du Maine en l'occurrence.

Les Hospitaliers en faisait même les frais, se défendant bec et ongles et à juste valeur d’ailleurs.

Considérant froidement la situation, le Connétable du Maine s’avançât dans l’assemblée échauffée puis…

Parole mes amis!

Mon bien cher ami Légo, tes paroles dévient et ne servent en aucun cas la cause de nostre présence ici
Permet moi de te le signifier, sans que tu ne vois affront aucun à mes paroles et que celà remette en question notre déjà longue amitié!

Puis considérant bienveillant les Hospitaliers

Ordre Hospitalier et Confréries de tout bord, servant les intérêts de la Reyne et de nostre peuple.
En ma position de Connétable du Maine et de Mainois de surcroît, permettez que je salue bassement votre implication inconditionnelle et ce sans jamais broncher ni en laisser paraître ombrage sur vos visages ni montrer faiblesse de votre bras vaillant frappant juste et sans coup férir.

Soyez les bienvenus et remerciés de votre présence en nos terres !

Mais, les intérêts qui nous emmènent icelieu en cette place, sont aussi tortueux que complexes, aussi permettez que je recentre le débat en lieu ou" le bas blesse"…

Bien longtemps nous avons été incapacités à faire valoir notre fierté, en protégeant nos terres nous-mêmes, et à pouvoir prêter main forte au Roy ou à la Reyne, ceci dû au triste état de notre économie, incessamment saigné au vif, par les événements des dernières années que vous connaissez aussi bien que moi.

Ceci entrainant cela, faisant de nostre piètre capacité défensive, et de l’image qui s’en est répandu par delà nos terres, et pour les instances de la Connétablie du Domaine Royal, font que des comportements et de malheureuses paroles se sont prononcées, et je ne réchappe pas à ces erreurs.

Le fait est, que depuis quelques mois, nous sortions le bec de l’eau, si je puis dire, par le biais d’une mobilisation effective de notre population, et d’un Ost en train de renaître.

Les derniers mandats Comtaux, ont vu s'affirmer quelques consciences, qui par leur fier et juste travail en Prévôté et Connétablie ont montrés savoir mobiliser et organiser une défense sérieuse et efficace !

Mais voilà… Ceci ne s’est pas vu en place de nos Chefs!

Nous nous sommes vus dernièrement au changement de notre Capitaine Royal , imposé, et questionné et en proie de pressions de tout bord !

Ce qui à entrainé de regrettables paroles, et des prises de position drastiques et d’une sévérité quelque peu humiliantes…

J’insiste sur le fait que cette humiliation prend racine bien longtemps dans le temps, et qu’en jugeant le désaccord qu’avec une vision du moment, le grief ressenti ne s’expliquera pas.

Il est bien su que pour résoudre un problème ou quelconque mal, il faut en connaître la source !

Chose à laquelle la Grande Maitre de France ainsi que la Connétable de France ne semblent pas disposée à faire.

Nous avons signifié de vouloir gérer notre défense nous même, en justifiant notre capacité à le faire, sans que nous ne soyons ni même considéré, ou tout du moins c’est ce qu’il s’en est supposé.

Nous avons signifié le vœux de nous impliquer dans l’organisation et les prises de positions telles comme celle qui justifie l’arrivé massive de défenseurs étrangers au Maine.

Un conseil Comtal et un peuple tout entier vous signifie sa volonté de nommer lui-même à la tête de l’Ost l’humble serviteur de la Reyne que je représente.

Mais voilà…

A l’arrivée en notre Ost du Maréchal de France, les amalgames dû au passé on ressurgi, ce qui entraina de malheureuses paroles, que je regrette prenant conscience que je prive de quelques atouts notre fière caserne.

Ce vaillant homme, je nomme ici le Maréchal de France Sire Julien Giffard, en fît les frais injustement, et s’afficha ensuite en sa position de Chefs des armées de la Reyne qui est sienne, et prît des décisions qui nous déshonore encore une fois.


S’arrête un moment cherchant ses mots…

Je me suis entendu insulté d’insurgé, presque de révolutionnaire, tout ça parce que je me suis fait porte parole en signifiant nos souhaits et nos vœux justifiés !

J’aie prononcé officiellement des excuses en place publique et par courrier officiel validées par le sceau de la régnante du Maine.

Je ne puis à présent rien faire d’autre que de vous redire mes regrets et ma profonde allégeance à la Reyne, et aussi de la volonté de réitérer mes vœux d’être à la tête des forces Mainoises.


Se retire dignement saluant du regard l’assemblée présente

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Yvondelaroulette
Enora était adossée au mur d'une habitation, écoutant les interventions de chacun depuis le début. Hochant la tête à certains propos, la secouant, navrée, à d'autres.
Elle faillit partir en voyant la discussion prendre une orientation bien éloignée des préoccupations initiale, mais elle vit Squalow s'avancer calmement.

Il prit la parole et elle l'écouta attentivement. Elle sourit au fur et à mesure qu'il parlait. Le débat était recadré et les revendications étaient clairement expliquées. Pas de mot plus haut que l'autre, pas de ton hautain, pas de hurlements ou d'insultes.
Bref, c'était ce qu'il fallait.

Elle n'intervint pas, s'avança juste un peu, histoire de montrer qu'elle le soutenait, espérant que cette fois-ci, il serait entendu.
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Arnaud_giboint
Mon cher Squalow certes je comprends ta remarque mais il est déplaisant que des gens qui n'ont rien à voir dans le debat viennent y prendre part
Qu'ils s'insurgent d'une parole qui n'est autre qu'un fait historique si cela leur plait mais qu'il ne viennent pas le faire en interrompant dialogue tenu avec autre personne. Pour l'heure je constate simplement que disant venir nous aider ils arrive tardivement pour se meler à conversation qui n'est point leur.

Mais rassure toi tu me connais cela ne m'empèchera pas de partager chopine en leur compagnie en nos taverne. Tu sais trés bien que je ne mélange jamais discours et humeur politique avec principes qui sont nostre de l'acceuil des voyageurs et forces combattantes alliées .
Mais il me deplait que l'on ne puisse poursuivre débat en cours et que la dame concerné ne puisse nous repondre vu les interventions exterieures au débat qui nous font perdre temps inutilement

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Leello
Enfin des propos qui lui rendait le sourire et la rassurait sur certaines de ses décisions, elle ne s'était pas trompée.

Messire Squalow, je suis heureuse de vous revoir et je tiens à vous remercier de vos propos.
Loin de moi l'idée d'éloigner le débat, mais je ne serais pas un bon sénéchal en laissant de tels propos démotiver mes frères.

Je peux comprendre que la situation ne vous donne pas satisfaction et je suis certaine que des solutions seront trouvées rapidement, mais comme vous le soulevez, et je vous rejoins, l'agressivité n'est pas le bon ton pour défendre votre position.

Sachez que l'hopital, est et reste à la disposition du Maine, comme il l'a toujours été.

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Squalow
Squalow s'était prononcé afin que le flot de désapprobation évoqué par la maintenant nombreuse assemblée ne parte à la dérive.

Un brouhaha de discutions, sourdait dans l'ambiance échauffée du débat, et on parlementait partout par petits groupes nombreux, tantôt approuvant et scandant, un avis clair qui s'élevait au dessus du ton des déclarations...

Beaucoup lui signifiaient par leur regard bienveillant et clair, leur approbation et leur soutient.

Le peuple Mainois renaissait de ses cendres, longtemps blessé en son orgueil
Il se levait à présent d'un élan un et solidaire.

Le Fier Connétable observait la foule serein, le cœur porté par ses témoignages qui le confortait en for intérieur.
Il porterait fanion, l'estoc dignement levé, toujours devant son peuple , il se battrait sans relâche, pour qu'il vive bel et fort dans toute sa splendeur, pour que les enfants de ce Pays, se déclarent vaillants aux yeux de tous

"Fier d'être Mainois!"


Il sourit écoutant Légo le Brave, lui répondre... Chuchotant tout bas sans que personne ne l'entende...

Oui mon ami, je le sais...

Puis s'avançât la Sénéchal des Hospitaliers qu'il salua d'un regard.

Il admirait son sang froid et sa grande honnêteté. La Dame était toujours aussi plaisante dans son élégance guerrière...

Il prît une profonde inspiration levant les yeux vers le ciel... Cherchant dans les nuages, il prononçât tout bas.

Je sais à présent ce que tu veux de moi...

Alors tel le loup qu'il était, le soir à la pleine lune, lançant son cri guttural affirmant son âme de combattant pour la vie, Squalow s'avançât à nouveau et levant haut le poing:

Pour notre dignité,
Pour la Comtesse,
Pour la Reyne!


Maine, léve toi!!!

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Esquimote
Squalow avait prit la parole afin de calmer les ardeurs. Mais il était regrettable que les décisionnaires qui avait mit le feu dans l’esprit des Mainois restent silencieux.

Il lui semblait que ces grands stratèges guerriers, n’avaient pu prévoir cette levée de bouclier !!! la foule était toute ouïe devant le discours du connétable. A cet instant les Mainois prouvaient qu’ils ne faisaient qu’Un. Un peuple unis, Un peuple fier.

Certains visages des hospitaliers présents sur la place lui étaient familiers pour les avoir rencontrés lorsqu’elle était venue défendre le château il y a quelques mois déjà.

Il était bien regrettable que du fait de cette décision royale, ces derniers ne rencontraient que grises mines de la part des Mainois. Il fallait reconnaitre leur bravoure pour être toujours là en cas de besoin.

Aux 4 phrases criées par le connétable, une clameur s’éleva de la place, se plaçant au côté de squalow, elle leva le poing à son tour

Pour notre dignité,
Pour Notre Comtesse,
Pour la Reyne!


Vive le Maine !

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By esquimote at 2009-11-26
Alexia1
Alexia avait entendu le discours sur la place, elle etait lavalloise depuis longtemps maintenant et se sentait fiere de sa ville de son comté.
Elle se sentait capable de tout pour defendre les interets de son Maine,
elle joignit ses cris a ceux de ses amis



Pour notre dignité,
Pour la Comtesse,
Pour la Reyne!



Maine, léve toi!!!

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Lyssea
Lyssea etait toute nouvelle dans cette belle ville et comté mais son coeur lui appatenais deja elle se dit que meme si elle etait pas née ici elle se devais de lui rendre homage elle avancat et cria le plus fort que ca voix le put


Maine, léve toi!!!

Pour notre dignité,
Pour la Comtesse,
Pour la Reyne!



Maine, léve toi!!!

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Sebastien08
Seb rejoingna ces amis pour défendre les interet du Maine et cris:


Pour notre dignité,
Pour la Comtesse,
Pour la Reyne!


Maine, léve toi!!!

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Tomnissa666
Tom arriva à cheval sur la place, fourbu d'avoir voyagé et marri de voir pareil vacarme à son retour. Il écouta tranquillement les argumentaires présentés puis descendit de cheval et prit la parole.

Gentes dames et doux messires, souffrez que je présente ici mon indigne personne. Tommaso della Torre del Salento, ancien comte palatin du Salento, ancien maréchal d'Empire, ancien duc de Mattersberg, ancien commandant des Reîtres Impériaux et chargé de la sécurité personnelle de Sa Sainteté Impériale Sigismond le Grand.

Il s'arrêta un instant, un sourire sardonique aux lèvres, regardant les envoyés royaux.

Voyez-vous, j'ai des titres à revendre, des charges passées à ne plus savoir qu'en faire et me voilà ici, à descendre d'un cheval crotté, à me retrouver ma foi devant un équipage qui aurait fait bien rire l'Empereur, un homme qui avait autre chose à faire que manger des tartes, parler de robes et se faire malmener par de misérables brigands.
Je suis Mainois, d'adoption certes, mais j'ai donné mon sang pour cette province, à maintes reprises, ici à Laval, dans le comté, en Anjou ou en Bretagne. Depuis près de 3 ans, je constate que le Domaine Royal n'a que mépris et condescendance pour nous. A chaque guerre, à chaque invasion, nous avons dû nous débrouiller seuls, aidés de belles promesses et de discours fumeux. Nous avons subi les attaques, la traîtrise, l'abandon. Pourtant, le Maine est debout, fier et libre.
Et maintenant, je rentre pour voir ceci, une péronelle de 12 ans qui parle au nom d'un bouffon dédaigneux qui arrive en terrain conquis, tel un satrape que Darius eût envoyé à une ville grecque occupée; une dame qui vient nous abuser de paroles creuses, incapable de seulement justifier des ordres en flagrant désaccord avec SES propres règles, qui nous sert des morceaux choisis et partiaux, découpés pour essayer lamentablement de servir sa cause immorale et félone. Me voici à écouter consterné un discours qui essaie par un verbiage incohérent et irrespectueux de justifier l'injustifiable. Le Domaine Royal n'a eu de cesse de se coucher devant les rebelles, il s'est montré incapable de nous défendre, a baissé pavillon à chaque fois devant les traîtres, tout ça pour venir nous donner des leçons ici? Remballez votre morgue ma dame, retourner mal protéger votre souveraine au lieu de vous pavaner ici, renvoyez vos Normands en Normandie, apprenez à vos enfants le respect dûs aux adultes et à ceux qui ont donné sang, larmes et souffrances pour défendre leurs villes.
Armoria elle avait le respect et l'honneur, Levan lui ne se cachait pas derrière les moutons gras du CA, à cette époque point lointaine la Curia n'était point devenue une mascarade.
Le coeur me saigne de voir le fier Royaume qui m'a accueilli réduit à l'état d'une vague caricature de Persépolis, de voir le peu de cas que l'on fait de ceux qui ont servi avec honneur et bravoure.
Assez de poudre aux yeux, admettez au moins votre irrespect du Maine, votre propre parjure aux lois royales.
Le Maine sera toujours debout, tant que les plus humbles de ses habitants auront plus d'honneur que des soi-disant seigneurs nommés par népotisme ou par camaraderie éhontée à des postes si importants.
Que la Reyne réserve ses mignons à sa cour, l'Etat s'en portera mieux.
Quant à sa défense, elle eût mieux fait de la confier à messire Assirian, lui au moins est un vrai soldat.


Tom reprit place près de son destrier et but une rasade à sa gourde, un sourire au coin des lèvres.
Michelmichel
Un r'gard vers les institutionnels royaux, presque navré pour eux, pas vraiment sûr que certains ne servent pas de fusibles pour d'autres. Les bras à deux doigts d'un haussement d'épaule, l'fleuriste Mainois, après avoir fait placarder l'annonce des Vox revient vers eux, et une seule phrase lui vient à l'bouche, puisque tout l'reste semble avoir été dit.

-"Que vous faut-il d'plus m'sieurs et m'dames?"
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Elendillefin
Moi qui suis un simple villageois de Laval, mais toujours prêt à défendre ma ville et mon comté, je me lève avec mes compatriotes et je crie avec eux

Pour notre dignité,
Pour Notre Comtesse,
Pour la Reyne!


Vive le Maine !

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Balt1
Balt n'aimait pas trop bêler en coeur avec les moutons ou hurler en groupe avec les loups.

Mais sur la place principale du Maine, il affirma à son tour.


Pour notre dignité,
Pour Notre Comtesse,
Pour la Reyne!


Vive le Maine !

Et après avoir fait un coup d'oeil à M'sieur Miche

Et vive les marguerites et la fée verte aussi !!!
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