Arnaud_giboint
Légo voyait bien que les choses s'envenimaient de plus en plus et que bon nombre de Mainois affluaient maintenant sur la grand place.
Les choses risquaient fort de devenir rapidement compliquées et il n'eut pas fallu que quelques excités plus que de raison viennent à s'en prendre aux représentants de la Reine.
Il était vrai qu'Assirian et Squalow étaient deux figures plus que connues du Maine.
Assirian ancien Comte au charisme irréprochable, ayant toujours porté haut l'honneur du Maine, qui avait dernièrement fait son cheval de bataille de redonner une âme et toute sa valeur à l'Ost Mainois.
Squalow ancien maire de Montmirail devenu Connétable se depensant sans compter pour la population et pour l'Ost recruteur de premier choix s'il en falait un.
L'un comme l'autre aimé et respecté tant de la population que des Dragons
ne pouvait susciter qu'une lever de bouclier des Mainois à l'encontre de ceux qui portaient préjudice à leur honneur.
Légo se disait Quoi de plus normal en fait que le Maine se lève pour les soutenir, mais il n'aurait pas fallu que ce qui ne fut au départ qu'une joute politique verbale ne finisse par se transformer en joute d'une toute autre nature. De plus les soit-disant renforts venus pour les aider à se défendre, ce dont les mainois n'avaient nul besoin, et qui montaient leur campement hors des murs ne lui disait rien qui vaillent ,aussi était il temps de tenter de calmer le jeu, et de retrouver un discour plus politique.
Il se decida à se manifester à nouveau afin d'essayer de faire retrouver un peu de calme à tout le monde.
Mes amis ne nous laissons point emporter à des mots trop violent qui pourraient nuire par une interprétation érronée que l'on pourrait en faire
La Grande Maistre de France et venue ici s'enquérir de certains supposés problèmes.
S'il est vrai que la manière de le faire ne soit pas la meilleurs qui soit ni la plus amicale. Il serait de bon ton de lui rendre la parole afin qu'elle puisse enfin nous expliquer la raison des décisions prises au Louvre et si par esprit d'appaisement des tensions solutions plus acceptables ne puisse être trouvées.
Car il se trouve que les interventions des uns et des autres, y compris sans aucun doute les miennes ont quelque peu dénaturé la nature du débat des premiers instants.
Nul je pense ne doute que le Maine puisse se mobiliser en masse si l'on touche à son honneur ou à celui des siens.
Bien que combattant habitué à manier le fer j'aimerais à croire qu'il n'est pas de point de discorde auquel on ne puisse trouver solution en bonne intelligence par un dialogue réfléchit.
Laissons donc à la Grands Maistre de France et au Maréchal icelieux présent le soin de répondre à nos requètes sans plus intervenir.
Légo se tut et se tourna vers leurs interlocuteurs des premiers instants attendant maintenant leurs reponses, gardant toutefois dans sa manche quelques répliques qui pourraient se faire cinglantes si l'on refusa d'écouter la voix du peuple Mainois.
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Les choses risquaient fort de devenir rapidement compliquées et il n'eut pas fallu que quelques excités plus que de raison viennent à s'en prendre aux représentants de la Reine.
Il était vrai qu'Assirian et Squalow étaient deux figures plus que connues du Maine.
Assirian ancien Comte au charisme irréprochable, ayant toujours porté haut l'honneur du Maine, qui avait dernièrement fait son cheval de bataille de redonner une âme et toute sa valeur à l'Ost Mainois.
Squalow ancien maire de Montmirail devenu Connétable se depensant sans compter pour la population et pour l'Ost recruteur de premier choix s'il en falait un.
L'un comme l'autre aimé et respecté tant de la population que des Dragons
ne pouvait susciter qu'une lever de bouclier des Mainois à l'encontre de ceux qui portaient préjudice à leur honneur.
Légo se disait Quoi de plus normal en fait que le Maine se lève pour les soutenir, mais il n'aurait pas fallu que ce qui ne fut au départ qu'une joute politique verbale ne finisse par se transformer en joute d'une toute autre nature. De plus les soit-disant renforts venus pour les aider à se défendre, ce dont les mainois n'avaient nul besoin, et qui montaient leur campement hors des murs ne lui disait rien qui vaillent ,aussi était il temps de tenter de calmer le jeu, et de retrouver un discour plus politique.
Il se decida à se manifester à nouveau afin d'essayer de faire retrouver un peu de calme à tout le monde.
Mes amis ne nous laissons point emporter à des mots trop violent qui pourraient nuire par une interprétation érronée que l'on pourrait en faire
La Grande Maistre de France et venue ici s'enquérir de certains supposés problèmes.
S'il est vrai que la manière de le faire ne soit pas la meilleurs qui soit ni la plus amicale. Il serait de bon ton de lui rendre la parole afin qu'elle puisse enfin nous expliquer la raison des décisions prises au Louvre et si par esprit d'appaisement des tensions solutions plus acceptables ne puisse être trouvées.
Car il se trouve que les interventions des uns et des autres, y compris sans aucun doute les miennes ont quelque peu dénaturé la nature du débat des premiers instants.
Nul je pense ne doute que le Maine puisse se mobiliser en masse si l'on touche à son honneur ou à celui des siens.
Bien que combattant habitué à manier le fer j'aimerais à croire qu'il n'est pas de point de discorde auquel on ne puisse trouver solution en bonne intelligence par un dialogue réfléchit.
Laissons donc à la Grands Maistre de France et au Maréchal icelieux présent le soin de répondre à nos requètes sans plus intervenir.
Légo se tut et se tourna vers leurs interlocuteurs des premiers instants attendant maintenant leurs reponses, gardant toutefois dans sa manche quelques répliques qui pourraient se faire cinglantes si l'on refusa d'écouter la voix du peuple Mainois.
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