Capt.blair
Michel fit les derniers préparatifs pour tout rassembler ce qu'il pouvait avec sa charrette. Il courrait dans tous les sens, entre la caserne, la maison et l'auberge, il ne voulait rien oublier.
Il devait aider d'autres citoyens à atteler leurs chevaux, tous se regardaient avec un mélange de mélancolie et de tristesses, il entendit des femmes et des enfants pleurer de devoir quitter leur maison depuis des générations. La population avaient chuté trop bas pour survivre avec une économie adéquate, l'harmonie avait disparue, les tavernes désormais vides, au point de fermer sans faire de profit pendant des semaines.
Les marchands avaient peine de vendre leur produits.
Oui nous devions quitter Morat mais à regret, de long regards dans les corridors et pièces de la caserne, regardant chaque détail qu'il devait laisser en arrière de lui, il ferma la porte de son bureau à clef puis quitta avec son bouclier et sa hache.
Il devrait se rendre à l'auberge, l'endroit de ses multiples souvenirs du tout début à rencontrer ses premiers amis et amies, à fraterniser avec la gente féminine, aux rires et coudes bien hauts à boire du Vully, vin, bière à la rencontre sur la plage du lac de la douce et vivante Rayanha pour reprendre l'auberge qui tombait en ruine.
Il arriva au lac puis voyait l'auberge au loin, le visage en grimace à se demander pourquoi il an était rendu là, aider les Moratois à déménager vers Fribourg et lui-même vider l'auberge de ses derniers effets personnels, à monter dans la chambre sacrée, "son nid d'amour" se disait-il avant d'y tourner le dos avant que les émotions pouvait monter en lui, malgré le fait qu'il était un colosse d'environ 185 cm et environ 95kg. Il était un tendre.
Il voulait reconstruire une nouvelle auberge à Fribourg à moins que Raya avait une idée, elle en avait plein pour elle, lui et les autres, un ptit sourire à la pensée de sa douce, elle avait déjà quitté Morat sûrement pour éviter de vivre les derniers moments avec les autres.
Tranquillement il fit virer la charrette avec les guides de son cheval, se dirigeant tranquillement vers la porte sud du village en direction de Fribourg.
Une pensée pour ses amis à Genève, un regard au loin à l'horizon, voyant beaucoup de fumée.
Genève.non trop loin..Grandson est plus au nord, Fribourg est très au sud..
Non...Lausanne mais... mais....Jehane est encore là-bas...Une fumée de cette envergure-là...c'est toute la ville ou presque.
Que le Tout-Puissant te protège ainsi que tout mes amis présents
Une prière pour Lausanne assis dans sa charette.
Il devait arriver un plus vite à Fribourg pour prendre des nouvelles.
_________________
Moratois à jamais ! Y a interêt!!
Il devait aider d'autres citoyens à atteler leurs chevaux, tous se regardaient avec un mélange de mélancolie et de tristesses, il entendit des femmes et des enfants pleurer de devoir quitter leur maison depuis des générations. La population avaient chuté trop bas pour survivre avec une économie adéquate, l'harmonie avait disparue, les tavernes désormais vides, au point de fermer sans faire de profit pendant des semaines.
Les marchands avaient peine de vendre leur produits.
Oui nous devions quitter Morat mais à regret, de long regards dans les corridors et pièces de la caserne, regardant chaque détail qu'il devait laisser en arrière de lui, il ferma la porte de son bureau à clef puis quitta avec son bouclier et sa hache.
Il devrait se rendre à l'auberge, l'endroit de ses multiples souvenirs du tout début à rencontrer ses premiers amis et amies, à fraterniser avec la gente féminine, aux rires et coudes bien hauts à boire du Vully, vin, bière à la rencontre sur la plage du lac de la douce et vivante Rayanha pour reprendre l'auberge qui tombait en ruine.
Il arriva au lac puis voyait l'auberge au loin, le visage en grimace à se demander pourquoi il an était rendu là, aider les Moratois à déménager vers Fribourg et lui-même vider l'auberge de ses derniers effets personnels, à monter dans la chambre sacrée, "son nid d'amour" se disait-il avant d'y tourner le dos avant que les émotions pouvait monter en lui, malgré le fait qu'il était un colosse d'environ 185 cm et environ 95kg. Il était un tendre.
Il voulait reconstruire une nouvelle auberge à Fribourg à moins que Raya avait une idée, elle en avait plein pour elle, lui et les autres, un ptit sourire à la pensée de sa douce, elle avait déjà quitté Morat sûrement pour éviter de vivre les derniers moments avec les autres.
Tranquillement il fit virer la charrette avec les guides de son cheval, se dirigeant tranquillement vers la porte sud du village en direction de Fribourg.
Une pensée pour ses amis à Genève, un regard au loin à l'horizon, voyant beaucoup de fumée.
Genève.non trop loin..Grandson est plus au nord, Fribourg est très au sud..
Non...Lausanne mais... mais....Jehane est encore là-bas...Une fumée de cette envergure-là...c'est toute la ville ou presque.
Que le Tout-Puissant te protège ainsi que tout mes amis présents
Une prière pour Lausanne assis dans sa charette.
Il devait arriver un plus vite à Fribourg pour prendre des nouvelles.
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Moratois à jamais ! Y a interêt!!