Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4   >   >>

[Rp] Campement Hospitaliers

Gwenola
Le picotement acidulé de l’alcool lui fit repousser le verre qu’elle teint sur son giron.
La Sœur Hospitalière prit congé et Gwen la salua d’un signe de tête respectueux alors que ses pensées étaient toujours tournée vers Eloso, elle venait de se rendre compte de son lapsus il était hospitalier lui aussi, et non Templier. Quelle mauvaise élève elle faisait, il lui avait bien expliqué la différence entre les deux ordres, d’où sa confusion.

Elle réalisa soudain que le Sieur Thomas semblait lui indiquer quelque chose, elle suivit du regard l’endroit qu’il lui montrait, pour apercevoir un de ses frères. Elle porta sa main en visière pour contrer la lumière vive qui l’éblouissait et lorsqu’elle reconnu le cavalier, elle ne pu réprimer un sourire.

D’un bond elle fut sur ses jambes et s’excusa :

" Merci Sieur Thomas, vous ne m’en voudrez pas de vous laisser en compagnie de mon frère ? j’ai quelqu’un à saluer "

Se tournant vers Thorn ..

" A plus tard Ailvin et n’oublie pas de venir me voir au lac ? "

Gwen fit volte face cherchant à nouveau Eloso des yeux, il avait abandonné sa monture à un jeune garçon et s’engageait entre les tentes.

Cèdent à son impulsion La Wolback marmonna en s’élançant à sa suite pour le rattraper " Et tant pis pour les convenances."

Elle du courir pour réussir à arriver à sa hauteur et que ferait elle s’il l’avait oublié ? Un instant cette pensée la troubla, elle éclaterait de rire probablement devant la situation incongrue, elle le saurait de suite. Dans un réflex pour freiner l’homme dans sa course, elle posa sa main sur son bras et tira sa manche , et les yeux rieurs et espiègle elle l’interpela:

" Eloso ? "

Son chignon qu’elle portait lâche dans son cou s’était défait dans sa course, Gwen repoussa une mèche derrière son oreille et lui sourit. Elle observa malicieusement l’hospitalier, il avait les traits tirés par la fatigue et il lui paraissait plus grand que dans son souvenir, une carrure immense; une des raisons entre autre qui lui avait fait dire être un ours , mais Gwen n’étais pas facilement impressionnable, elle se sentait capable de s’attirer la sympathie d’un dragon , s’il possédait une certaine noblesse de cœur qu’elle avait détecter chez cet homme. Il est de rencontre parfois qui même brève ne s’oublie pas, même si on ne se l’expliquait pas.

_________________
Thorn
Se tournant en choeur avec Gwen en direction du bras tendu de l'hospitalier.
Regardant l'homme qui était là, remettant son cheval à un valet ou je ne sais quoi d'autre, il sursauta lorsque sa soeur se leva brusquement, on aurai dit qu'elle avait vu un Lutin Garou, ou quand même pas, un Lutin Garou, c'est autre chose...


Euh, oui, oui je viendrais, je dois d'ailleurs préparer les outils toussa

Prenant appuie sur le sol

Messieurs Hospitaliers, j'ai été ravi de partager avec vous ce feu et ces quelques verres.

Pointant du nez la bouteille de liqueur

Je vous laisse cette bouteille, vous la finirai en pensant aux Manois.

Rapidement il fut sur le dos de sa monture, assignant un dernier geste de la main vers le campement, il éperonna son cheval qui s'élançait dans les prairies mouillés autour de la capitale en direction de Laval
_________________
Michelmichel
L'Miche avait entendu parler d'un campement d'Hospitaliers dans l'coin. On du évidemment lui expliquer que c'était pas un hospice pour vieillard croulant, rassuré face au peu d'chance qu'il avait d'se faire interner par les croisés l'jardinier s'rendit donc au campement.

En approchant, l'bonhomme s'rendit compte qu'il avait d'jà croisé quelques uns d'ces gens autour du débat animé concernant l'nouveau capitaine d'l'Ost.
L'espérait bien s'montrer hospitalier lui-même, c'braves gens s'bougeait l'séant jusque ici pour défendre cette terre si chère aux fleuristes. Alors faudrait pas qu'ils croient qu'l'fierté Mainoise entachait en quoique ce soit l'gratitude de c'Comté à l'égard de défenseurs z'avisés.

L'Miche arriva alors qu'l'm'sieur Thorn semblait d'jà là. C't'une bonne chose qu'un Mainois ai été plus prompt que l'fleuriste, fallait dire qu'il était lent du carquois l'quinqua.


-"B'jour".

Aussi jovial qu'anormal, et relativement fort, histoire de s'faire entendre entre les différents entrechoquements d'hallebardes et d'armes de fers en plein entrainement.
_________________

Eloso
Eloso…

Il s’arrêta, surpris et irrité. Habituellement peu discret, il avait cette fois fait l’effort de passer comme une ombre, avec un seul objectif : Dormir !

Or la main posée sur sa manche semblait vouloir s’y opposer, et il se demanda un instant à qui elle appartenait. Le temps de se tourner vers la voix qui l’accompagnait, et de remonter de la main à l’épaule, puis au visage.

Il plissa les yeux dans la pénombre, avant de reconnaître la propriétaire de la mèche.

Mam’zelle… Bonsoir. Quelle surprise !

Le mot n’était pas usurpé, même s’il avait passé l’âge de s’esbaudir sur les hasards. Un peu étonné de voir ici une femme qu’il avait croisée, certes, mais sans plus se souvenir où, et étonné qu’elle vienne le voir lui alors que manifestement le cœur du camp battait un peu plus loin, autour du feu.

Planté dans ses bottes, il ouvrit sa cape pour glisser une main gantée de brun sur le baudrier de son épée, l’autre tenant, calée sur l’épaule, une lourde besace.

Que nous vaut l’honneur ? Vous vous promenez dans le coin ?
_________________
Gwenola
Se promener , en effet on pouvait dire ça ,la jeune femme rit gaiement de la situation, puis laissant mourir sa gaité dans les replis de son sourire elle le toisa de son regard espiègle :

Je me promène en effet Messire, à moins que je ne vienne espionner l'envahisseur ?

Elle porta son regard sur la main d'Eloso qui agrippait à présent son épée , probablement plus par réflex ou habitude que pour la menacer , mais Gwen bravache plongea ses yeux , qu'elle devait lever haut , tant il était grand dans les siens et lui dit en désignant son arme;

Elle est très impressionnante , mais je n'ai peur de rien , que des lutins et vous; vous êtes un géant donc !

Elle rit :

Plus sérieusement , j'arrive au mauvais moment , vous devez être éreinté ?

Il l'était; c'était évident ;

Je suis de laval, je venait proposer mon aide en temps qu'herboriste , mais visiblement il y a tout ce qu'il faut ici , ensuite je profitais du passage d'hospitaliers en ce lieu pour saluer des personnes que j'avais rencontré il y a quelques temps à Tours en l'occurrence vous et Messire Optat, je crois que vous alliez à loches ? on m'a dit qu'il n'est pas ici . En tout cas vous semblez en bonne santé !

Elle regarda les mains de l'homme et dit; riant d'elle même pour avoir été la cible de leur moquerie ;

Et vos ennemis ne se promènent pas avec l'un de vos doigts en trophée , j'en suis heureuse ....Au revoir Messire Eloso.

Elle s'écarta d'un pas pour lui signifier qu'il pouvait continuer son chemin. Elle avait omis délibérément de lui rappeler son nom, l'amitié qu'ils s'étaient porté à Tour n'avait pas laisser de trace chez lui alors à quoi bon le rappeler. Quant à elle , elle garderait malgré tout le souvenir de quelques agréables moments, de ceux qui lui faisaient tant aimer les voyages et pour lesquels immanquablement elle repartirait sur les routes ou plutôt, elle l'espérait de tout coeur et très bientôt, sur la Loire ...

_________________
Thomaslatapie
Thomas fit un sourire en voyant la dame partir comme une dératé, en lui même il se dit : "l'amour quand tu nous tiens, tu nous fait courir vite". Toute fois ce fut le départ du sire qui le surprit. Était il lui aussi amoureux ? L'hospitalier regarda la bouteille que l'homme lui montrer et il lui répondit.

- Nous vous en faites pas je la travaillerai au corps.

Avec un sourire espiègle il salua l'homme qui disparue dans la nuit. Le grand hospitalier ce retrouva a nouveau seul face a ce feux en sirotant de l'alcool Manoie.
_________________
La violence est le dernier refuge de l'incompétence
Eloso
Très impressionnante... Ah, son épée ! Décidement l'Auvergnat avait du mal, ce soir, à faire collaborer les rares éléments de son cerveau.

Il en retira la main, posée là parce qu'il faut bien se poser sur quelque chose. Et tant qu'à faire, autant le faire sur un objet qui soit à la fois solide et confortable. Se pouvait-il qu'elle se soit sentie menaçée ?

Je me rappelle que vous n'avez peur que des lutins, Gwenola. Néanmoins je vous précise que bien que longue, large et puissante, elle ne sort de son fourreau de cuir souple que lorsque je suis enervé, ou poussé par la necessité de pourfendre qui en fait l'ardente demande. Aussi, vous n'avez rien à craindre.

Il était un peu surpris de constater qu'après avoir couru pour le saluer, elle s'efface si vite, après avoir fait les questions et les réponses. Il n'avait nulle intention d'être désagréable, mais restait conscient qu'il pouvait être glacial.

Néanmoins, et au vu des circonstances, il comprenait que l'heure tardive ne l'incite pas à converser plus avant. Ce qui allait lui permettre de fermer les yeux.

Un sourire et une légère inclinaison de tête vinrent la saluer.

C'est fort aimable à vous d'être passée, dans ce cas. Optat est bien loin, mais je ne manquerai pas de lui transmettre vos amitiés.
Au revoir, Gwenola, portez-vous bien, et au hasard des routes, peut-être !


Il poussa la portière de sa tente, tout en recomptant machinalement ses doigts, et la laissa retomber derrière lui.
_________________
Gwenola
Quelle étrange situation .
Gwen resta un moment interdite devant la tente qui avait englouti Eloso.
Dubitative elle sourit en coin.

Habituellement , La Wolback était plus réactive et probablement elle n'aurait pas laisser l'Ours se replier dans son antre. Mais la surprise l'avait cloué sur place, à quelle règle correspondait le jeu ?

Elle s'était sentie une parfaite inconnu au vu de sa première réaction , rien ne lui avait laisser penser qu'il avait garder un quelconque souvenir de leur rencontre passée, son amour propre avait dicter à la Mam'zelle de se replier en mettant les formes se sentant indélicate de vouloir imposer sa présence , que pouvait - elle faire d'autre ?

Et , mystérieusement , alors qu'elle prenait congé , son sabot lui fournit un joker , comme ça , d'un claquement des doigts il s'était souvenu de son nom pour lui battre froid et disparaitre ..

Les yeux toujours posés sur le pan rabattu de la tente, elle lui répondit toutefois :

" Bonne chance à vous Eloso, au hasard des routes , qu'Aristote vous bénisse.."

Puis elle tourna les talons .. Il était plus que temps ..si elle se dépéchait , elle pourrait passer par le lac, un projet l'attendait là bas...

_________________
Michelmichel
Non d'un parterres de tulipes en plein tempête. C'te campement était semblable aux dédales comme disent les grecques,et l'Miche avec son non-sens de l'orientation, s'perdit aussitôt, sans faire d'détails.
L'Fleuriste en vadrouille en profitait pour observer un peu tout et surtout n'importe quoi, quelques bouts de caillasses par-ci par-là, un sourire quasi niais toujours suspendus au bout des lèvres.


-"Gna quelqu'un?"

Au pire il continuerait à vadrouiller. Fallait dire que sa folle guibole commençait à aller d'mieux en mieux, et ptet qu'avec un peu d'chance, l'bonhomme pourrait lâcher s'canne sous peu.
_________________

Yvondelaroulette
Elle avait vu son père, du haut des remparts, prendre la direction du campement des Hospitaliers. La première chose à laquelle elle pensa fut :

Mais que fait ce vieux brigand...

Puis :

Tss, le campement est grand, il va lui arriver quelque chose, c'est sûr... Non d'un coquelicot, pas question que je le perde encore une fois!


Ni une, ni deux, la voilà à sa poursuite. Après quelques prestes foulées, la brunette arriva au campement. Mais plus de Miche en vue. Mince... Elle observa autour d'elle, souriant à ceux qu'elle croisait, un peu intimidée tout de même.
Puis elle l'aperçut entre deux tentes. Elle s'approcha et :

- P'pa? Que fais-tu là?

_________________
Michelmichel
En pleine déambulation chronique, le nez tantôt en l'air, tantôt par terre, il scrute c'qu'il peut scruter en plissant les zyeux sous ses binocles, faut dire que l'vue, c'pas son fort non plus. Heureusement s'n'ouïe est pas trop pourrie, l'a donc pas d'mal à r'connaitre l'voix de s'fille.
L'air penaud d'un gamin prit entrain d'faire une bêtise, alors que l'bonhomme s'balade juste, l'amuse lui même.


-"B'jour m'fille.
J'étudie l'flore locale.

Nan, là j'étais entrain d'me pommer alors qu'j'allais saluer les z'Hospitaliers. T'as ptet un meilleur sens d'l'orientation qu'moi. J'te suis?"

_________________

Malone1
Deux villageois, dont une connue, dans les avenues du campement, et même pas en direction de la tente de soins ... plutôt en direction du fatras des tentes individuelles des "petits" hospitaliers, celles qui poussaient plus ou moins comme des champignons, sans considérations particulières de grade de son occupant.

Après un sourire à la Dame Yvon qu'elle avait à plusieurs reprises rencontrée en taverne, Malone abandonna la petite Meileen à l'épuisement de son serviteur ... s'il l'avait voulu le blond, il l'aurait ... et puis de toute façon, il était assez grand pour se débrouiller avec une enfant, ou l'appeler si l'affaire tournait trop mal pour lui.


Je vais voir si je peux aider ces gens, Meileen, ne lui demandes pas la lune tout de même, hein ? J'aimerais bien qu'il ait encore la force de m'offrir une étoile, après que tu l'aies épuisé.

Un sourire amusé à la petite qui à ce train allait finir par adorer les mobilisations, un nouveau clin d'oeil à Velden, et la voilà qui rompait [strike]les rangs[/strike] l'attroupement pour rejoindre les civils.

Dame Yvon, bonjour et bienvenue au campement !
Messire, je suis Malone Fortunat de Montbazon-Navailles, cadet d'armes et pilier consulaire du Septentrion pour l'OR des Hosptialiers de Saint Jean de Jérusalem ... retenez Malone, ça me suffit.
Puis-je vous aider ?

_________________
17 ans.
Yvondelaroulette
J'te suis, j'te suis... Pff, mais je suis pas une carte moi!!! Je ne le connais pas moi, ce campement...

Voilà où elle en était quand elle vit arriver une Dame qu'elle avait croisée plus d'une fois en taverne ces derniers jours.
C'est avec un sourire non forcé qu'elle lui répondit :

- Bonjour Dame Malone, comment allez-vous?
Je vous présente mon père, Michel de Villefort, enfin Miche quoi. Il voulait venir vous saluer, mais il s'est un peu perdu. Faut dire que votre campement, bien que très bien organisé, est assez grand pour que celui qui n'a pas l'habitude se perde entre les tentes.

_________________
Michelmichel
Les binocles remisent sur l'bout du nez, l'Miche et s'fille bivouaquent allègrement entre les tentes. Bivouac qui prend fin avec l'rencontre d'une Hospitalière, visiblement connue de s'fille.

Inclinant l'tête l'Miche salue l'dame en question.


-"Enchanté m'dame.
Oui, appelez moi Miche, n'effet j'me suis un peu .. euh ... égaré.
Z'avez d'sacrés tentes en tout cas.


Vachement formelle la réplique ... Il écoute l'grade, sans trop l'comprendre, les OR il n'a jamais trop étudié ça, à son grand regret vu la colle que lui pose c'te dame.
Bon bah ...
Un sourire large et mariole vissé sur les zygomatiques, en mode "ça passe ou ça casse et j'me fait probablement étriper".


Hum, donc, c'vous qui faites la cuisine? J'adore l'cuisine."
_________________

Yvondelaroulette
"Hum, donc, c'vous qui faites la cuisine? J'adore l'cuisine."

La voilà qui manque de s'étrangler.

Glpssss... Keuf, keuf, keuf!!!

Mais il lui fait quoi là???
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)