Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>

[RP] Qui qui veut une rooooOOOOOoooobe ? Viendez Viendez !!!

Pierre_de_siorac
il avait entendus parler qu'il vendait de beau habits,il était alors venus et il prendrait aussi une robe pour le comtesse Ariel de Siorac,un petit cadeaux^^

bonjour,je me présente Pierre de Siorac,Seigneur de Mespech et j'aimerais avoir,le tenue pour homme et la deuxième robe.

il avait enlever son mitre pour saluer les gens
_________________
Axel2fersen
Axel avait accompagné sa douce cousine à Paris, oh pas que la jeune reine ait eu besoin d'elle, ça non elle s'en sortait très bien sans la blonde d'Irissari , mais cela permettait à cette dernière d'aller visiter sa fille à Saint-Louis et aussi peut-être faire des emplettes dans la gran' ville.

Elle avait reçu une invitation d'Attia, pour une vente exceptionnelle, celle-ci avait précisé que seules les baronnes pourraient participer à la vente. Axel s'était mordue la lèvre. Léane aurait tant voulu une robe digne de ce nom pour le sacre... Elle décida tout de même de s'y présenter au pire elle ne ferait que regarder les modèles exclusifs et commanderait une robe plus simple pour la demoiselle de Rouvray. Parfois Axel se disait qu'elle aurait dû laisser sa fille à son père lui baron et sa fiancée vicomtesse pouvaient lui apporter plus qu'elle. Mais bon elle ne pouvait s'y résoudre, elle parvenait sans mal à s'acquitter des charges du collèges et de leur train de vie jusque là grâce à ses vignes et ses caves garnies.

Lorsqu'elle arriva de nombreuses figures déjà croisées ça et là étaient présentes, elle reconnut d'ailleurs le Sire Nonrigolus qui comme à l'accoutumée parvint à lui glacer le sang juste de part sa présence.
Elle avança ne sachant si elle devait s'annoncer ou le faire faire , ou passer le plus inaperçue possible.


Bien le bonjour à tous... je suis Axel d'Irissari, je suis cliente de l'atelier et je viens assister à la vente...

Cela faisait quelques temps qu'elle n'était pas allée à l'atelier et elle découvrit avec délice qu'une nouvelle couturière avait grossi les rangs... Axel s'empressa de feuilleter les quelques pages de son catalogue. A première vue, Attia avait encore pris sous son aile une élève digne d'arborer les couleurs des doigts d'or. Plusieurs modèles lui sautèrent aux yeux, le dernier la ravit, mais elle considéra qu'il était trop provocant pour une demoiselle comme sa fille, 9 ou la 7 lui conviendraient certainement mieux. Mais avant de prendre toute décision elle espérait pouvoir s'entretenir avec une couturière idéalement la grande Attia pour que celle-ci la conseille.
_________________
Solenn_wolback
Elle avait reçu une invitation, l'avait lu, était venue. Original allez-vous me dire, une femme qui reçoit une invitation à acheter des vêtements et qui se présente le jour dit, à l'heure dite, à l'endroit adéquat.

Le froid reste intense et elle n'a pas souhaité poser sa poulaine au sol, aussi la voiture aux armes d'Hennebont l'a-t-elle menée jusqu'au bon quartier. Une fois arrivée là bas, pied au sol obligé, elle s'engouffre dans la salle où se déroule la vente.
Un regard aux gardes qui l'accompagne, même si elle trouve ça complètement inutile, pour qu'ils tiennent leur distance. Elle n'aime définitivement pas avoir deux gorilles de part et d'autre de sa personne.

Elle donne son nom à l'entrée, d'une voix claire et ferme. Les affres de l'âge ne l'ont pas encore atteinte à cet endroit là.


Solenn Wolback de Montfort-Laval, duchesse d'Hennebont.

Le temps de se repérer et de voir que quelques modèles sont déjà exposés, elle se dirige vers eux pour admirer le travail réalisé. L'oreille capte les prix annoncés des différentes pièces et elle hoche la tête, approbatrice. Elle aime bien la deuxième, mais se réserve un petit temps de réflexion, jetant un coup d'oeil à la ronde.
Elle reconnait le sévère et Attia, et quelques autres visages connus, probablement rencontrés à l'atelier, au détour d'un couloir.

_________________
Neyco
La mini baronne regardait chaque jeunes femmes présentes et les saluaient poliment. Des amatrices de haute couture tout comme elle a n'en point douter.

Regardant le Sévère tout ce qu'il y a de plus sévère exposer avec son air aimable les robes, la mini se retient de pouffer. Les glouglou et autres pendant une journée. Il devait être ravie.
Enfin quand les écus rentreraient en ses poches il afficherai son air goguenard de la coutume quelque peu satisfait.

Bon alors, choisir une robe, choisir une robe. Elles étaient toutes magnifiques. Mais bon vu son teint a elle. Forcement pas choisir n'importe quoi surtout vu sa taille. Étant petite bien des robes ne lui allait point du tout la rendant bien souvent encore plus petite au paraitre.

Bon la 2 on oublie vu sa poitrine ressente on ne verrai plus que cela, et vu sa taille, cela serai une horreur pour une si belle création. La 1 ou la 3.

Tapotant du menton, elle entendit une autre personne entrer en coup de vent voulant la numéro 3. Bon vu son titre pas la peine de faire un conflit diplomatique. Op.




Notant sur un bout de parchemin son choix.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Titre: Baronne de Hautpoul.

Robe choisit: numéro 1


Peu habituer des défilés, la mini s'approcha de son amie Attia afin de lui remettre parchemin.


Désolé je ne sais comment ca marche du coup j'ai tout noter. Elles sont toutes magnifiques. Qui les as faites toutes ensemble ou chacune a fait création?

Un dernier regard vers les divines, oui elle avait bien choisit, cela lui conviendrai parfaitement.

_________________
Sorane
[Tour Jean Sans Peur à Paris]

Enfin, après des jours de voyage éprouvants, avec une petite bouille d'amour de presque deux ans, qui passe son temps à babiller, ou à rouspéter de plus belle, ne ménageant guère ses petites cordes vocales, petites mais puissantes, Sorane fut ravie d'apercevoir les murailles de la capitale et ses oreilles encore plus !
Le plaisir et son soulagement s'accentuèrent quand les sabots des chevaux claquèrent sur le parvis devant la Tour Jean Sans Peur.

Lors de ses voyages sur la Capitale, assez rare, elle avait pris l'habitude d'y prendre résidence. Son amie , La Duchesse d'Auxerre, l'y avait encouragée, sans avoir besoin de maints efforts pour la convaincre.
En effet, une tour avec un confort assuré, des domestiques prévenants et à la disposition des nobles bourguignons présents sur la capitale, qu'aurait-elle bien pu vouloir d'autre ?

Son escorte mit pied à terre, Hector vint l'aider à descendre, Leontine attrapa Circelia qui ne manqua pas de se débattre, voulant partir de suite à la découverte de ce nouveau lieu et assouvir sa curiosité dévorante et une soif d'expérience que ses même pas deux années d'existence n'avaient guère encore assouvies.

Aussitôt, Sorane put assister à un ballet qu'elle commençait à connaître, avec les allers et retours de ses gens et de ceux de la Tour pour transporter ses malles et préparer son appartement et ceux de sa suite. Même si ce ballet avait toujours de quoi surprendre, elle préféra cette fois-ci aller se dégourdir les jambes dans les jardins, trainant à sa suite Leontine et une Circelia fort mécontente de son manque de liberté qui ne serait que temporaire, le temps de s'éloigner suffisamment des jambes des domestiques qui s'activaient.


[Le lendemain, aux Galeries Lafayotte]

Vêtue d'une robe confectionnée par la talentueuse Breiz, accompagnée de sa garde personnelle, de son fidèle et dévouée Hector, de Léontine, et avec Circelia dans les bras, revêtue d'une robe de Maître Attia, Sorane se présenta à l'atelier provisoire des Doigts d'Or.
Elle avait beaucoup fréquenté l'atelier ces derniers temps et la raison lui commandait de ménager ses finances quelques temps, mais quand elle avait reçu l'invitation pour cette vente exceptionnelle, son envie avait fait taire la voix de la raison.

Elle entra donc, arborant un large sourire et une Circelia aux yeux grand ouverts par la curiosité que ce lieu lui inspirait. Elle commença par saluer le Sombre et Sévère, sans être utopiste pour songer que cette politesse lui vaudrait quelques ristournes, puis elle aperçut les créatrices, qu'elle salua également, toutes sans exception, remerciant Dame Attia pour son invitation et ne résistant pas à l'impulsion de serrer dans ses bras Breiz.

Elle salua également les clientes présentes, sans toutefois s'attarder, tant l'impatience de découvrir les nouveautés la taraudait.
Elle alla donc inspecter les modèles présentés, osant toucher le tissus soyeux et délicat du bout de ses doigts pour juger de leur qualité et du plaisir qu'elle aurait à les porter. Effectivement, sa raison n'allait pas avoir le dernier mot.
Elle avait déjà un coup de coeur pour deux des modèles.

Elle revint donc vers Breiz, qu'elle hésitait à déranger plus, mais s'y résignant toutefois :


"Breiz, les modèles présentés sont magnifiques, et j'ai déjà une préférence pour deux des robes. Comment dois-je faire pour participer à la vente aux enchères ?"


Tandis que deux petits bras se tendirent vers Breiz, heureux de voir un visage ami et avide de liberté de mouvement.
_________________
Blink
Pourquoi?? Mais pourquoi devait t'il toujours etre béa des qu'il recevait une lettre de sa "douce" Neyco.. il ne ce comprenait pas lui meme .. mais bon cette gamine.. enfin maintenant cette femme.. pfff que le temps passe vite.... il y pouvait rien ce dit t'il du coup..
Neyco était pour lui comme un délice , un gout exquis des choses. une gourmandise.. sucrée et piquante .. mais cela donnait toujours envie de revenir vers elle.

Il est vrai que il lui avait donner de belles lecons de vie etant petite a celle ci mais pourtant elle avait toujours gardée ce caractere si unique pour elle et cela était plaisant de savoir qu'elle était rester elle meme.

Enfin de la a devoir venir a un défilée de robes.. il en croyait pas sa demande .. décidemment elle arrivait vraiment a faire de lui ce que elle voulait et le pire il le fesait avec plaisir..
Il en sourit tant de la revoir était deja un bonheur et une joie certaine et puis cela rendait sa curiosité de connaitre ce genre d'évenement ...

il alla donc a l'adresse indiquer et s'y présenta...espérant ne pas arriver le premier ni le dernier .. pouvant rester ainsi dans la discrétion du mouvement de la foule..
Neyco
Une porte qui s'ouvre encore une dame de haute noblesse dans le coin a n'en point douter. Remettant un plis de sa robe en place et une mèche rebelle, elle se voyait dedans ah quelle était trop belle. Pas de caprice non c'était pas bien.

Une odeur, suave et légère, une odeur d'homme. Blink. Il était venue. On sautille sur place légèrement ravie.

Filant a la vitesse de l'éclair elle lui sauta au cou elle l'embrassa sur la joue oubliant quelques secondes convenance et autres personnes présente.

Un sourire radieux.


Tu as pu venir, tu m'as tellement manquer. Aller viens que je te présente aux maitres couturiers. Elles sont douée de leurs mains comme jamais.

Lui prenant main, elle entraina le Blinkounet devant Attia.


Attia mon amie, je te présente Blink Seigneur de Laurabuc, il m'a élever quelques années a mon arrivée d'Irlande. C'est un homme bon crois moi.

Un sourire a n'en plus finir depuis le temps quelle ne l'avait pas eue juste pour elle autant en profiter un maximum.

Oh il faut que je te montre les robes, elles sont toute magnifiques.

Ne lâchant sa main forte, elle l'entraina devant les belles afin qu'il puisse les admirer avec elle.
_________________
Jenah
Jenah entre dans la pièce un peu en retard,accompagnée de sa filette, la jeune Célia. Le voyage avait été très long et fatiguant, surtout dans cet état -là. Jenah regarde dans la pièce les tennues et catalogues sont disposés, bien heureusement Attia, Breiz et les deux hommes de mains ce sont occupés de tout.

La couturière-peintre se glissa vers ses collègues, tirant par la main sa fille qui s'était arrêtée regardant en tout sens, et surtout les tissus! La femme enceinte attribua quelques bises à Attia et Breiz.

Bonjour les filles, je suis désolée d'arriver si tard, je n'ai même pas pu aider, merci d'avoir tout préparé. Attia je n'avais eu l'occasion de te parler des tennues de la Saint-Nicolas mais elles sont vraiment ravissantes, du grand art, les dames vont se les arracher!

La franc-comtoise regarda un peu partout autour, elle ne connaissait pas grand monde ici, elle afficha un sourire et resta plutôt en retrait. Avisant iune chaise sur laquelle elle pourrait poser son séant quand son ventre et son dos la tirerait trop...
Attia.
Elle bouillonnait la Des Juli de voir debarquer le joli monde, les uns apres les autres.
Qui disait en bourgogne qu'elle n'etait qu'une menteuse arrogante et pretentieuse hum ? Une duchesse, une duchesse larcine, doublée d'une catin aux moeurs plus que légères... Mais la c'est une autre histoire.

Elle est fière la gitane de pouvoir attirer autant de monde.
Elle regarda l'annonce du Sévère et la trouva précise, bien qu'il y eut besoin de faire quelques precisions, car le Sévère aime l'argent, Attia aime les gens, et c'est plaisir que chacun puisse repartir avec une robe, un morceau de plaisir.

Elle frappa doucement dans ses mains et se hissa sur la petite estrade ou se trouvait le Sévère ainsi que les 4 robes présentées.


- Mesdames, et Messires, Bienvenue et Merci d'etre venus pour cette vente exceptionnelle.
La vente débutera par une vente aux encheres des 4 tenues que voici, confectionnées par moi meme a l'occasion du défilé au Louvre. Ces robes vont etre mises a prix et vous serez libre d'encherir. Par souci d'equité et parcequ'il plait a mon bon vouloir...


Regard provocateur au Sévère.

-... Il est demandé de n'encherir que sur une seule robe ou tenue a la fois.

Elle guetta des murmures de protestation. Aucun ?

- A l'issue de la vente aux encheres, les modèles que voici seront livrés a leur acquereur et en deviendront l'exclusivité. Aussi je prierai celles et ceux qui souhaitent participer a la vente aux encheres des 4 modeles presents de bien vouloir s'avancer afin que le Severe puisse recueillir les mises. Je rappelle que ces robes sont faites dans le plus grand luxe et ne sient hélas qu'aux nobles personnes du royaume possedant au moins une Baronnie.

Elle n'aimait pas la discrimination, mais il est vrai que ces robes avaient couté bonbon et avaient fait un trou considerable dans la tresorerie de l'atelier.
Se rapprochant de la lourde table ou se trouvaient les catalogues elle poursuivit.

- Lorsque la vente aux encheres prendra fin, la vente de modeles prets a porter débutera. Il vous sera possible ainsi , de choisir une robe issue de ces catalogue de chacune de nos couturières. Ces robes comme l'a indiqué Sévère vont etre montées au fur et a mesure sur l'estrade. Il n'en existe aujourd'hui qu'un exemplaire, et non modifiable, aussi une robe demandée ne le sera qu'une unique fois. Si vous vous trouvez deçue car vous n'avez pas eu la robe que vous desiriez, vous pourrez toujours vous rendre ultérieurement a l'Atelier ou la couturiere pourra confectionner la robe selon vos désirs...

Raaa gorge seche d'un coup. Elle esperait que tout soit clair.

- Preparez donc vos ecus, les encheres se feront dans l'ordre de présentation !

Elle descendit doucement de l'estrade et se fit servir un verre de vin pour se desalterer.
C'est a ce moment la que la jeune Neyco revint vers elle accompagnée de Blink. Elle sourit en coin alors que la toulousaine le lui presentait. Le monde est decidement tres petit.


- Ma chère Neyco, je connais tres bien Blink, nous sommes amis de longue date... Ravie de te voir par ici Blink. Allez donc chercher votre bonheur!

Elle traversa la salle, saluant ceux qu'elle connaissait, esperant qu'il en vienne d'autres. Elle rejoint Jenah qui etait venue malgré son etat.


- Bonjour Jenah! Tiens ya une chaise la assied toi! Et puis merci pour les tenues, j'ai un pincement au coeur en imaginant qu'elles vont partir... mes bébés...

Et de rire doucement en attendant que tout se mette en place pour le mieux.

Je precise qu'il n'y aucun ecus IG a mettre en jeu, tout ceci est purement RP, mais cela doit rester coherent, pour cette raison que les enchere sur les 4 modeles exclusifs sont reservés a la haute noblesse.
Pour le reste, moderation est le maitre mot, pas de commandes de 6 robes a la fois. vous avez le forum de l'atelier pour ça.
La noblesse du SRING et de Bretagne sont bien entendu acceptées.
Si besoin de precisions, MP !

_________________

On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Mariealice
Marie avait salué Breiz à son arrivée puis chaque personne, se retenant de les mettre dehors. Pourquoi fallait-il qu'ils soient autant hum? Comment ça de mauvaise foi.Du tout. D'abord. Oui bon certes peut-être un peu.

En attendant, elle profita de la permission de Breiz pour regarder de plus près les tenues, effleurant le tissu du bout des doigts, tournant autour des modèles. Les catalogues elle les connaissait et avait déjà passé commande auprès d'Attia. Non là c'était une robe en particulier qu'elle voulait. Enchères donc. Normalement ses fonds lui permettaient largement de participer.

Elle finit par se poser, en attente du début des enchères, ne sachant pas trop ce qu'il faudrait faire à dire vrai mais c'est à ce moment là qu'Attia en expliqua les règles. Bien donc plus qu'à attendre.

_________________
Neyco
Ravie que ses deux amis ce connaissent, la mini sourit grandement. En effet le monde était bien petit. De Tolosa a la Bourgogne, les amis se retrouvaient toujours.
En mode admiration, elle écouta la belle Attia faire discours prenant note mentale.

Bon elle avait juste le bon titre, une chance. Maintenant a voir si elle aurai robe. En sa bourse 5000 écus et 2 tablettes d'argiles attestant chacune de 2000 écus supplémentaire a retirer au foyer bancaire de Paris.

Si jamais elle n'avait point assez tant pis. Mais dans la vie il fallait tenter le tout pour le tout. Exciter telle une enfant devant une pâtisserie des plus grand cuisinier du monde, la miss soupira grandement.


J'aimerai beaucoup avoir la première. Vu ma taille tu en pense quoi dit moi? Sinon la troisième. A voir.

Mais la numéro 2 en ceinture sise en dessous de ma poitrine risque de me rendre encore plus petite.


Petite moue du genre allez dit moi si elle iront. Accrocher a l'homme qui était plus que l'homme qui l'avait élever, sans être lier par le sang. Parfois elle le considérai bien plus comme son père, bien plus que le Baron de Tavistock. Celui ci l'ayant envoyer loin de lui alors quelle n'était qu'une petite fille. Plus de famille avant des années, sauf quelques fois avec sa Lily. Son bras entourant celui qui en son cœur resterai son père d'adoption, elle lui montrait robe du doigt n'osant les toucher voir même les frôler de peur de les abimer.
_________________
Alwenna
Enchères ? Robes ? Elle arrive ! Rien que ces deux mots suffisent à faire trembler de la joie la petite, oui oui elle adore les jolies robes de grandes Dames, mais c'est surtout les enchères qu'elle aime.

La tension, la compétition, ces coeurs qui battent tellement fort qu'on les entends à cinq mètres. Les grincements de dents quand on perd, mais surtout, quand ELLE elle saute de joie, car oui quand elle veut quelque chose, elle fera tout pour l'avoir.

Alwenna arrive donc, avec sa robe à froufrou rose, son beau petit ruban bien accroché dans les cheveux, et bien sûr Son Doudou Lapin Cucu Rose. Jean Clément l'accompagne, les traits légèrement crispés, en regardant tous les coins. Il n'a effectivement pas l'habitude de se retrouver dans un endroit rempli de donzelles excitées.

Le bonbon rose marche tranquillement, feignant l'indiffèrence, pour se donner contenance. Rose cherche dicrètement sa mère, qu'elle sait ici, car elle est partie avant elle. Alwenna la trouve enfin, en train de contempler une robe. Sourire en coin elle lui attrape la main et tire doucement dessus pour la faire se baisser. La petite se met sur la pointe des pieds une fois sa mère légèrement penchée, et lui colle un bisou sur la joue.

Tu m'as pas attendu.

"Je t'aime Môman" en language Alwennais. La petite profite que sa mère soit à sa hauteur pour lui chuchoter tout doucement.

Tu l'aimes cette robe ? Tu dois te battre alors, lâche pas le morceau, elle est très belle, et elle t'ira très bien alors tu dois miser la maximum oki d'oki ?

Un clin do'eil, un grand sourire étirant ses lèvres, et de fouiller dans son sac pour en tirer une sucette au chouchen, faut bien trouver une occupation en attendant !

_________________
Solenn_wolback
Elle détaille les robes encore et encore. Non rien à faire, c'est la deux qui remporte son suffrage. Alors que les règles des enchères viennent juste d'être données, une petite main vient s'insérer dans la sienne et tire sur son bras.
Surprise de la brune qui ne s'attendait pas à voir son bonbon préféré s'inviter aux ventes !
Elle se penche et prête l'oreille à sa fille puis lui sourit.


Je ne pensais pas que tu viendrais choupinette. On va acheter la deuxième !

Une bise sur ses cheveux et elle l'entraîne dans son sillage, avançant vers le Sévère.

Severus,


Un hochement de tête à l'adresse de l'homme, toujours aussi revêche.

Nous enchérirons sur la deuxième robe, monsieur.


La voix, claire, ferme, assurée. Le prix maximum ? Elle n'y a pas vraiment réfléchi, elle souhaite juste l'avoir. Donc, ce qu'il faudra mettre.
_________________
--Severus_nonrigolus
Le Sévère était prêt.
Il s'installa sur l'estrade et fit signe a son assistant de recueillir les mises.


- Bien nous allons commencer.

Les modeles que voici sont ceux concernés par les enchères.



- Nous commencons par la première robe.

Il s'agit d'une surcotte, cotte de velours bleu pale, surcotte de soie mauve bordée d'hermine de Bretagne. Mise de base 2500 ecus.

Levez la main et remettez votre mise a mon assistant Giovanni qui passera parmi vous.


Oui les sommes scandaleuses doivent etre cachées.

Fleur


Du fin fond de la Franche-Comté, Fleur de Monmouth, fraîchement mariée, avait eu vent de qu'une vente aux enchères se préparait à Paris. Grâce à l'afficheur public, elle put se rendre compte de quel type d'enchères il s'agissait : des robes de Dame Attia confectionnées à l'occasion du sacre de la Reine de France... des robes sans aucun doute magnifiques à remporter et qui auraient l'exclusivité de celui ou celle qui remporterait l'enchère. Il était évident que Fleur de Monmouth mourrait d'envie d'aller en acquérir une. Il fallait absolument qu'elle convainc son époux, ce qui ne serait pas aisé puisque son Vicomte d'époux venait d'entamer des travaux à Sellières, mais elle était de nature entêtée et réussissait à vendre sa propre salade même si elle n'en valait pas la peine. Elle avait réuni toutes ses économies et les avait combiné avec celles de son époux, elle s'était faite trépignante, mielleuse, angélique, pour qu'il accepte de se déplacer jusqu'à Paris... Fleur n'en revenait pas, après moult arguments, Léonin avait cédé volontiers. Ils avaient fait leurs malles en vitesse avant de prendre la route. Fleur aurait bien voulu chevauché presque ventre à terre, mais son époux lui avait formellement interdit, surtout que son état ne le lui permettait plus ce genre de folies. Elle avait essayé de négocier de prendre la voie maritime, non plus. Son charmant Léonin préférait le plancher des vaches, ce serait donc en carrosse qu'ils se rendraient à Paris.

[Après un voyage long et épuisant - Arrivée à l'endroit où les enchères devaient avoir lieu à Paris]


Il n'y avait pas peinture, elle détestait les voyages en carrosse. Elle grimaça en sortant de ce dernier. Elle était éreintée, et pourtant Léonin semblait quant à lui tout guilleret.

Mon tendre amour, tu sembles si joyeux... J'aurai aimé partager ta joie mais ce voyage m'a complètement épuisé, sans compter les nombreuses nausées dont j'ai souffert en route. J'aimerai pouvoir me reposer si cela te convient... Cependant, je meurs d'envie d'aller admirer les robes mises aux enchères, pouvons-nous y aller?

Fleur n'attendit pas sa réponse et se rendit vers l'estrade où était présenté les modèles. Dans sa précipitation, elle bouscula une Dame près de l'étalage, elle en fut confuse et sa confusion augmenta encore plus quand elle s'aperçut qu'il s'agissait de Maître Attia, la Dame aux doigts d'or.

Par...pardonnez-moi Ma Dame. Je ne vous avais point vu. Me voilà vraiment confuse. Je suis tout de même ravie de vous revoir Dame Attia en dehors de votre Atelier si réputé, même si ma bousculade en guise de bonjour était malvenue. Je suis venue avec mon mari que voici admirer vos robes mises aux enchères et je souhaiterai en remporter une si possible. J'aime tellement votre travail. D'ailleurs, à ce propos, nos tenus de mariés étaient absolument exquises Ma Dame et ont fait notre bonheur, ainsi que des jaloux, il paraît. Je ne vous en remercierai jamais assez.

Fleur se tut, échangea encore quelques moi avec le Maître des Doigts d'Or, puis se dirigea vers les modèles qu'elle examina avec soin. Elle se tourna vers son époux et lui fit son sourire enchanteur :

Mon ange, mon choix va pour les robes 2 et 3. Qu'en penses-tu? Si tu les trouves également à ton goût, je te conseiller de t'avancer vers le Sévère et de lui demander comment porter enchères sur ces modèles. Je ne te cache point que je meurs d'envie de les avoir.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)