[RP] Qui qui veut une rooooOOOOOoooobe ? Viendez Viendez !!!

--Severus_nonrigolus

Apres un verre de vin il attendait une fois de plus que Giovanni ait fait le tour. Il remonta sur l'estrade mais alors que le milanais revenait vers lui il regardait la blonde qui agitait devant son nez une bourse bien garnie. Oui il pouvait se permettre de faire pencher l'enchere en sa faveur, mais... A quoi bon si les sommes qui marquaient ces petites feuilles etaient plus enormissimes que tout ce a quoi il s'etait attendu.
Il attrapa les papiers , les depouilla et une nouvelle fois il n'etait pas deçu et mieux encore, l'offre gagnante l'emportait largement. Cependant il constata un bulletin blanc, au nom d'Ingénue de Varenne.
Un instant il leva les yeux, fébrile... Et si elle n'etait pas en mesure de payer?
Il douta, et une seconde lui sembla 3 heures.
Cupide jusqu'au bout il regarda la blonde, hochant la tete imperceptiblement avant de declarer.

- Bien... Pour la derniere robe de la vente nous avons 7 offres:

Dame Constace De Cleves
Messire Cristol de Siarr
Dame Ingenue de Varenne
Messire Leonin de Monmouth et madame
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Plume de la Chambre
Dame Solenn Wolback de Monfort Laval

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grâce Eugénie de Varenne.

Fatigué il était fatigué. De l'or, encore de l'or, trop d'or, la fièvre de l'or.

- Nous... Nous allons passer au dernier modele.
Une tenue pour homme, Hermine et velours. Mise de base 3000 ecus...

Faites péter les ecus avait il envie de dire. Il se depecha par la suite de descendre de l'estrade se rapprochant de la pseudo gagnante, lui murmurant discretement.

- l'offre la plus allechante etait a 5 chiffres... J'espere que vous avez de quoi repartir avec cette robe...

Discret il retourna a sa place boire une nouvelle gorgée de vin, esperant pouvoir faire ses comptes plus tard...

Resultats du lancer de dés de ce soir - http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/encher16.jpg
C'pas fait expres la Varenne a gagné, alors on joue le RP de corruption.
C'est juste pour le fun.
Enchere de la derniere tenue demain et on passe aux commande. Souvenez vous, commandes pour le Sacre ou evenements imminents, pour toute autre choses, il ya le forum de l'atelier!
Bonne nuit!

Cecilia

Elle s'était laisser abuser par sa Plumette, la Vescomtessa avait fait en sorte que la Prinzessin de Tempéré accède à sa demande et donc de faire un voyage tout ce qu'il y avait de plus pénible vu la longueur du trajet pour acquérir de nouvelles robes.

La brunette était arrivée quelque peu en retard, force était de constater qu'elle n'avait guère le sens de l'orientation. Elle n'avait rien trouvé de mieux que de perdre en allant chercher des patisseries pour calmer son envie de nourriture. S'était de la faute de son chancelier de mari ça ! La troisième robe venait d'être prise. Se hissant jusqu'au catalogue des coutières pour y jeter un oeil, elle apperçut sa Plumette en compagnie d'Axel.

La jeune femme leur fit un signe de la main afin qu'elles viennent la rejoindre, y avait moins de monde de son côté et elle pourrait regarder tranquillement les divers croquis tout en mangeant ses patisseries. Sait on jamais avec un peu de chance elle trouverait une nouvelle tenue pour son chancelier adoré.
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Cristòl

Joué, perdu. Try again ? Non, le Chevalier des Pyrénées avait d'autres courses à faire. Il jeta un oeil à la tenue pour homme, bien loin de ses idéaux d'humilité - qu'heureusement il n'imposait pas aux coquettes jeunes filles de son entourage.

Il s'avança néanmoins vers le Sévère, pour demander, tout bas :

-"Je souhaiterais commander une robe d'après catalogue, mais... Ma fille a un... problème, à l'un de ses bras. Pensez-vous que votre maître pourrait accommoder ses patrons pour créer une manche particulière, adaptée à cette... malformation ?"
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Elianor_de_vergy

Dépitée, contrariée, désappointée, et tout autre adjectif en "é" qui vus viendra à l'esprit, voilà ce qu'elle était, la petite quintefeuille. Absolument dégoûtée d'avoir vu sa merveille lui filer sous le nez. Pour un peu, elle en aurait trépigné de rage, mais un reste d'éducation la retint à temps et elle se contenta de lâcher un énorme soupir.

Estampes, elle, était plus chanceuse: elle avait remporté son enchère. La bourse rondelette remise discrétos au Sévère n'y était sans doute pas pour rien. Décidément, on ne gagnait rien à être trop honnête dans ce bas monde, c'était là une leçon que la poupée se promit de méditer pour l'avenir.

Mais elle n'eut pas le loisir de s'enfermer dans sa bouderie, car Tsampa les avait rejointes et leur présentait son promis. On n'accueille décemment pas une soeur d'armes avec un visage empourpré de colère n'est-ce pas? Allons Vergy, on se redresse et on sourit!

Le bon jour Alencon. Messire Mclegrand, c'est un plaisir de vous rencontrer. Etes-vous également alençonnais?

Tu crois que je suis carnassière moi?

Sourcil qui se lève dans la frimousse ducale. Coïncidence? Ou ouverture? Ma foi, le seul moyen de le savoir était de relever la chose.

Mais dites-moi Alençon, puisque nous avons l'occasion de bavarder hors hérauderie... Vous ne seriez pas à la recherche d'un peu d'occupation par hasard?
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Mclegrand

Mc ouvrit la bouche en signe de surprise...

Deux robes... et un euh... costume pour moi ? Mais euh... un chacun, ou juste une robe pour toi, c'est mieux, non ?

Puis petita le costume là,il me va pas, et petitbé, je suis pas riiiche, juste... fortuné, mais en plus, à ce rythme, ça va pas durer longtemps !

Entraîné par sa promise vers deux belles jeunes femmes qui lui étaient inconnues (ça lui ressemble pas, ça !), il lui répondit

Carnassière, non ! Tu es toute gentille tout le temps, fourbe quand il s'agit de m'entraîner dans un lieu comme ça, et dépensière dès que je te laisse gérer un peu d'argent !

Aux deux maréchales

Enchanté ! Tout le plaisir est pour moi. Je ne suis pas Alençonnais mais Orléanais.

Retour aux enchères, essayant d'accorder les noms aux visages. La dame là-bas était bel et bien la GMF, la marraine du Karyl qu'il avait croisé ya pas si longtemps. Eugénie pour la 2e enchère.
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jake

Jake était entre Sophie et le couple Léonin et Fleur. Il passait d’une discussion à l’autre, pour ne pas les déranger dans leurs enchères.

« A toi aussi, tu aimes les vêtements, comme Helena. Elle adore. J’aime bien la première pour ma part. et la tenue pour homme n’est pas mal non plus. Cyphus en sera ravi, j’en suis sur. »

Se tourna vers Léonin qui le saluait et lui présentait son épouse. Il était content qu’il se souvienne de lui. Cela faisait vraiment longtemps qu’il n’avait plus de nouvelles de la Franche-Comté bien que Criss lui en donne encore parfois. Jake serra la main de Leonin d’une poigne franche.

« Ah oui ? Des nouvelles de moi. Ca fait plaisir … »

Il se tourna vers la dame qu’il présentait et inclina légèrement la tête.

« Bonjour Dame Fleur, ravi de faire votre connaissance. Je vois que votre époux a toujours la main verte pour soigner les belles plantes. En effet nous sommes de vieux amis, mais je quitté la Franche-Comté il y a longtemps mais nous sommes toujours rester en contact.»

Petit ton d’humour se rappelant l’amour de Léonin pour le jardinage.

« Oh moi ? Je suis devenu médecin et j’ai ouvert mon hospice en Poitou. J’ai quitté la Gascogne quand mon épouse est décédée, il y a 2 ans. Et maintenant dans un mois, je vais convoler à nouveau. Vous êtes bien sur tous les deux invités. D’ailleurs Léo, j’organise des joutes. J’espère que tu aimes ça. »

Et puis, il se tût comme il l’avait demandé voyant que les enchères reprenaient. Il patienterait donc la fin des enchères pour ne pas déranger les tourtereaux. Oh qu’il aurait bien aimé en offrir une de ces robes à sa fiancée, mais tant pis, ce serait pour une autre fois. Il se tourna vers Sophie un sourire aux lèvres préférant rester en retrait.
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Neyco

La mini en mode je feuillète, je réfléchis je médite, le couronnement, une jolie robe, bon sa y était elle avait craquer. Euh a qui demander d'ailleurs.

Bon tant pis au pire pour pas oublier noter.

Catalogue de Dona Estrella, robe numéro 11.

Pour La Baronne de Hautpoul, Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Bon on attend enfin la fin pour ce précipiter sur les filles.
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--Giovanni_casanova

Aucune enchere encore pour la tenue pour homme.
L'assistance prenait certainement une pause, c'est que les encheres, la fébrilité, ça fatiguait, il n'y avait qu'a voir la mine blême du maestro NonRigolus.
Il decida de ne pas perdre de temps et en mode assistant jusqu'au bout, il attrape un vélin et une mine de plomb, profitant de cette courte pose pour prendre de rapides notes sur les commandes.

Il avait deja pu noter quelques noms et modeles et passait entre les clientes.

- Signorinas... Préparez vos commandes pour le sacre ou tout autre evenement d'importance prioritaire Por Favore, je passerai parmi vous des la cloture de la derniere enchere.

Il sourit tout plein, heureux d'etre la.
Il se rapprocha de l'homme qui parlait du handicap de sa fille.

- Signor, Nos couturières sont la pour offrir un service premium, sans discrimination pour offrir a tous le plaisir de se vêtir et je rajoute que la padrona Di Juli cout pour tout le monde, oui signor, il n 'y a vraiment aucun probleme.

Et de prendre congé apres un bref echange, gambadant entre les belles gens comme un enfant, deçu cependant qu'il n'y ait que peu d'hommes presents.

Tsampa

Fourbe et dépensière?
Petit sourire de l'hérautique, sourire qui en dit long sur ce qu'elle en pense.

Soit, je vais m'en accommoder. Du *dépensière* surtout...
Et je persiste, cette tenue t'irais à raviiiiiiiiiir! A moins que tu ne préfères celle sur laquelle personne n'a enchérit?

Prenant à partie les deux comparses auxquelles ils se sont joints, sachant que la situation allait le mettre mal à l'aise, mais ça ferait pour le *fourbe*, elle le livre d'un geste de la main au regard des deux femmes

N'est ce pas qu'il serait ... à croquer dans une de ces tenues?

Reprenant un air plus sérieux, elle s'attache aux paroles d'Elianore.

A la recherche d'une occupation?
Oui, pourquoi pas. Ma marche se porte mieux, malgré quelques détails encore à revoir, mais ... oui, pourquoi pas.
Enfin, tout dépend de l'occupation, il va de soi.
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Leonin

Répondant à Jake :

Et bien je ne savais pas autant quand même. Mais pour joutes, ça me plait plutôt pas mal. Tu m'enverra l'invitation ? Je viendrais avec plaisir.

Puis il se rendit compte que les enchères pour la dernière robe étaient terminées et évidemment, ils ne l'avaient pas eue. Manque de chance ou bien ... Il n'en savait trop rien et ne cherchait pas à savoir en fait. Souriant à Jake, son vieil ami qu'il venait de retrouver il le laissa quelques instants. Maintenant, la tenue pour homme qui l'intéressait lui aussi beaucoup, et il prépara le feuillet.

Citation:

Enchère émise par : Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs.

Objet : tenue pour homme

Montant : XXXXX écus

Il plia le feuillet, faisant attention à ce que Fleur ne puisse pas voir le montant exorbitant qu'il venait de mettre et il tendit la main.

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--Severus_nonrigolus

Y avait comme une legere depression dans l'air. Pas le meme engouement qu'aux debuts. Il fit signe a gigi que bientot il faudrait attribuer la tenue, on allait pas y mettre des plombes non plus...
Il ne pensais qu'aux ecus, ses ecus, ses jolis petits ecus...

Je laisse cette journée encore, vu que le WE a été calme. Si aucune autre enchere, la tenue sera decernée d'office a Leonin. A ce soir pour le verdict.

Neyco

La mini réfléchissait, était ce possible pour son chevalier? Rho et puis zut.

Levant main la mini a la chance totalement nulle fit inscription.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi

Titre: Baronne de Hautpoul

Robe/ tenue: Numéro 4

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--Severus_nonrigolus

Ah que les femmes sont égoistes, a ne jamais penser qu'a elles. Lorsque Le severe eut en main les deux petits parchemins, les deux uniques encheres il masqua une moue, mais la vue du montant gagnant suffit a le remettre en etat.

- Bien, au terme de cette enchere, nous avons 2 pretendants:

Messire Leonin de Monmouth
Dame Neyco de la franche mariemont Casaviechi.

Le gagnant de cette fabuleuse tenues et sa grace Leonin de Monmouth.

A defaut de maillet, il claqua des mains.

- Les encheres sont maintenant closes. je vous attend a coté pour la livraison de vos lots ainsi que pour le paiement. Une fois les paiements effectués, nous publierons les montants des encheres, afin de coter le travail de Maitre Attia au jour d'Aujoud'hui.

Il claqua des doigts a l'attention de gigi.

- Je vous laisse a present communiquer vos demandes pour les tenues de pret a porter a vendre sur catalogue.
Je rappelle que chacune de ces tenues est unique.
A vos achats!

Et il descendit de l'estrade dans l'attente de ses gains.

Resultat du tirage leonin/Neyco - http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/encher18.jpg
Le RP du sacre ayant debuté, priorité aux commandes pour le sacre pour adaptation!

Neyco

La mini félicitant le messire du regard et d'un hochement de tête poli, maintenant plus de time de faire des bêtises.

Vite ressortant son mini parchemin deja écrit bon sang l'était ou? Ah vi la.

On lève la main afin que le Sévère la voit malgré sa petite taille.

Catalogue de Dona Estrella, robe numéro 11.

Pour La Baronne de Hautpoul, Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Bam un pigeon, mais bon sang encore un gras, ah ca c'était ca couse a coup sure.

Bingo, la miss avait eue vent mais vu son état avant préférer rester encore au chaux avant de filer au sacre avec elle. Enfin au moins elles auraient robes toutes deux.
Ajoutant annotation sur le parchemin, la mini releva main.

Catalogue de Dona Estrella, robe numéro 11.

Pour La Baronne de Hautpoul, Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Catalogue Dona Jenah.

Tenues Dames (dessin). Numero 31.

Pour la Comtessa de Lavaur Lily-Jane

[HRP: les deux sont pour le sacre. Si possible porter leurs couronnes de noblesse respectives. Cheveux long style jusque la taille noir détacher pour les 2 filles.
Ensuite autre chouille. Lily est enceinte de 7 mois, d'où le fait de sa non présence RP, et si potib mettre un bébé dans les bras de Neyco Si po potib je comprendrai. si plus d'info je donnerai sans soucis]

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Tsampa

A force de plaisanter sur les tenues de son promis, Tsampa ne savait plus quelle était la tenue qu'elle avait choisie. Enfin, si, mais les chiffres étant un genre de code secret dont elle n'avait pas encore trouvé la clé.

la 61? Non, c'était celle avec la capuche. La deuxième.
Et l'autre, la marine...
Froncement de sourcil agacé.

La 10! C'est ça!

Se saisissant d'un parchemin, elle note sa commande.

Citation:

A dame Attia,

C'est en vue du sacre de la Reyne que je vous commande une robe.
Mon choix c'est porté sur le modèle n°10, en brocard marine. Cenpendant, j'aurais une préférence pour un bustier blanc plutôt qu'ivoire. Et s'il était possible aussi de rebroder le bustier de fils d'argent ... un peu comme les broderies du modèle 45.

Je porterai un sautoir à trois rang de perles, et dans les cheveux, rassemblés en chignon, un diadème d'ivoire et de perles.

Espérant que ma commande ne sera pas trop compliquée à réaliser, que le Très Haut vous garde!

Tsampa d'Eusebius, dame de la Vanoise.

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Qui qui veut une rooooOOOOOoooobe ? Viendez Viendez !!!

Attia.

Quand on s'appelle Attia des Juli, on se debine pas. Meme quand on a été injustement envoyée en prison par les pantins de l'administration bourguignonne, on gardait la tete froide et haute, surtout quand on a frolé l'infirmité a vie et qu'on a retrouvé l'usage d'une mains indispensable par les bon soins d'une precieuse amie, on ne peut que voir la vie en rose, sisi en rose.

Puisque la Bourgogne ne voulait pas d'elle elle partit. Non pas qu'elle se resignait , non , elle ferait encore parler d'elle la bas, pour l'heure les affaires continuaient il ne fallait pas l'oublier.

Cachee scrupuleusement au fond de l'atelier elle avait passé des nuits blanches a terminer la robe de sacre qui aurait du etre preparee des mois auparavant et entamait celle des autres dignitaires du royaumes qui faisaient appel a ses services, mais mieux encore, elle ne voulait pas attendre qu'on vienne a elle, d'autant qu'elle avait de superbes modeles tous prets qui ne demandaient qu'a etre portés par les plus grandes du royaume! Aussi prirent elles avec Breiz la route de paris.

Arrivees a Paris, mais ne connaissant pas du tout la ville elle avaient juste demandé qu'on leur indique un lieu de commerce.
En moins de deux une petite echope etait louée aux galeries Lafayotte pour la semaine. Avec Breiz, aidées de Severus et Giovanni elles avaient installé la devanture et il ne fallait plus que faire l'annonce de leur présence pour lancer les affaires.

- Gigi! Voulez vous bien faire placarder l'affiche bien en vue ?

Le travail de gros elle le laissait au Severe, pas risquer de mettre en danger sa main. Et doucement le valet avait sorti les robes, les fameuses robes presentées au defilé et qui allaient trouver acquereur.
Elle sourit de soulagement et de bonheur car cette fois , Breiz et les autres couturieres de l'atelier allaient avoir l'occasion de presenter leurs travaux.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Mariealice

Oui elle était souvent en retard, oui bon d'accord très souvent mais des fois, elle était à l'heure, voire en avance.

Comment avait-elle eu vent si rapidement de cette vente? Mystère et boules de gomme. Seulement c'était le cas et elle avait eu un coup de coeur pour une tenue. Etait-ce que le fantôme de sa fille lui tirait les pieds la nuit pour lui donner le vice des vêtements? Aucune idée. Mais de toute façon, peu importe la raison, elle était là, à pousser la porte de l'échoppe avant d'entrer et de saluer.

Bonjour Attia. Comment allez-vous? Jolie échoppe.

Petit coup d'oeil ici et là, jusqu'à repérer LA robe, celle portée par euh... Voyons.. Ah oui. Blanche, la bretonne. Voilà. C'était ça le nom. Retour sur Attia.

Et cette main? Et la prison n'a pas été trop dure?

Ahem.. J'ai ouïe dire que vous faisiez une vente et je suis là.

Hop, tout en délicatesse, ça c'était fait.
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Attia.

Surprise. Elle se laisse surprendre par la voix de Marie Alice. Comment avait elle pu apprendre si rapidement qu'elles étaient dans la place ?
Peu importe. Elle sourit sincerement a l'ancienne regente de France.

- Bonjour Marie, je ne m'attendais pas a vous voir! Enfin si, mais pas si tot , on est encore en plein bordel!

Elle rit doucement.

- la main guerie! grace a Breiz et sa super Matrone! Et la prison, humide, sale , puant, mais comme on dit ce qui ne tue pas... Rend plus fort!

Elle gueula quelques instructions au Sevère avant de se tourner vers Marie.

- Oui il va y avoir une vente. D'ailleurs Severe est en train de dresser les modeles. Yen a t'il un qui vous a tapé dans l'oeil ?

Elle sourit. Elle aurait bien pu offrir la dite robe a Marie, mais le Sévère ne lui pardonnerait jamais, lui qui tenait a jour la comptabilité de l'atelier pour s'assurer qu'ils puissent toujours se fournir au sommum de la qualité.

- Ahem... installez vous donc, ce sera une vente aux enchères ! Nous finissons de tout mettre en place.
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

--Giovanni_casanova

L'italien était aux anges!
A peine embauché le voila deja a Paris en compagnie de la celebrissima padrona!
Aussi quand elle lui donna l'ordre, il s'empressa de courir, trop heureux de pouvoir etre une partie de ce succes national!

- La place aux annonces ou ?

C'est la question qu'il posa à un passant qu'il trouva tres charmant, le gratifiant d'un sourire aguicheur avant de courir placarder son parchemin.

Au retour a l'echoppe il se mit respectueusement a la disposition du Severe pour dresser les robes.

Mariealice

S'il y en avait une qui lui avait tapé dans l'oeil... Ah ben oui et sacrément même. Mais dans l'ordre.

Oh non ce n'est pas si fouilli que cela.Et puis que diable un atelier ça vit.

Et de sourire.

Je suis ravie pour la main mais désolée pour la prison. J'ai fait ce que j'ai pu mais visiblement cela n'a point suffit.

Profond soupir, inutile de revenir là-dessus mais pas très contente pour autant.

En effet, celle-ci.

Et de se placer devant la fameuse robe à la couleur déjà parfaite pour elle.

Je peux admirer de près avant de m'asseoir?

Et de jeter un coup d'oeil au Sévère.
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Attia.

LA gitane sourit a Marie.

- Ce n'est rien Marie, je te remercie sincerement pour tout ce que tu as fait pour moi, Angelyque ne perd rien pour attendre!

Et de claquer un clin d'oeil mesquin. Oui elle est rancunière l'Attia, tres.

- Tu les as deja vus les modeles mais tu peux les admirer encore c'est gratuit ça!

Et de rire en faisant signe au Severe de decouvrir les quatre tenues qui seront vendues aux enchères.

- Alors les 4 tenues du defilé du Louvre seront vendues aux enchères. Autrement nous mettrons a disposition les catalogues afin que tous et toutes puissent trouver leur bonheur!

Et de poser delicatement sa main sur l'epaule de Marie Alice lui glissant sur le ton de la confidence.

- C'est le severe qui gere les mises de base, je ne peux absolument pas te dire quel prix sera proposée la robe que tu veux, j'espere que tu remporteras cette robe...
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Neyco

Des tenues, pleins de tenues, en mode achat a fond, la mini se dépêcha aussi rapidement que possible. Surtout que Attia était dans le coin. Plan en main sure quelle ne ce perdrai pas ainsi.
La belle femme vêtue de rouge. Depuis combien de temps ne l'avait elle vu? Piouf c'était a Castelnaudary avec Madre et le Baro. Bon sans. Une sacres paye.

Vite on débarque, pas besoin d'arriver en retard.

Et voila la belle. Bon sang, toujours sa fascination resterai présente en voyant la femme brune.

Une autre personne deja présente. Elle salua rapidement faisant révérence, a la femme présente. Connue de vu et de nom mais pas de la personne. Puis elle s'approcha de la belle afin de la saluer.

Bonjorn a toi Attia, comment vas tu?

Je ne sais si tu te souviens de moi par contre cela fait longtemps que nous ne nous sommes croiser.

Un sourire fin, la mini baronne biscuit avait changer pas en taille mais son visage semblait marquer doucement devenant femme, laissant son visage enfantin partir avec le temps.

Regardant les robes présente bon sang, il lui fallait des tenues, et une aussi pour son chevalier et une pour sa couse d'amour. Rha ca serai dur tout cela.
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Breiz24

Elle, elle avait un peu trainé. Le voyage vers Paris l’avait un peu fatiguée, pour ne pas dire épuisée. Faut dire que voyager quand on a ses ragnagnas, alors qu’à cause de leur retard on s’était fait à l’idée d’être encloquée, ça rend pas aimable. Deux fois.

Elle avait donc pris le temps de se reposer, dans la chambre d’hotel luxueuse qu’ils avaient loué. Pris le temps de jouer avec ses enfants, de s’assurer qu’ils allaient bien et qu’ils s’adaptaient à ce nouvel environnement. Pris le temps de s’occuper de son mari –non, Milo, la soie ne gratte pas et tu en porteras si jamais on nous demande d’aller assister Attia pour le sacre ! – et de donner des consignes à la gouvernante et à la nourrice concernant les menus et les enfants. Irascible ? Si peu, si peu…

C’est donc plus tard qu’elle avait demandé qu’on fasse seller son cheval- bien qu’elle aurait préféré s’en occuper elle-même – et demandé à Berthe de l’aide pour s’habiller. A Paris, obligée de porter ses belles robes, au lieu de la confortable cotte de laine qui la vêtait au quotidien. Plus compliqué aussi de se balader à cheval. Pas question de monter avec une jambe de chaque coté quand on porte une robe à vertugadin.

Elle dirigea donc le palefroi à la robe sombre dans les ruelles mal connues, demanda son chemin une fois, se perdit un peu – rien qu’un tout petit peu – et finit par arriver à l’échoppe louée. Elle fit le tour et attacha son cheval dans la courette, avec ceux d’attelage qui se reposaient de leur épuisant voyage dans le froid et la neige, lui dégotta une couverture et paya un petit gamin des rues pour surveiller tout ce petit monde, promettant plus d’argent si les chevaux étaient bien traités.

Puis elle s’engouffra dans la boutique.

Salut ! C’est mooooooooi ! Sévère déblayez le passage vous me gênez bordel !

Et tournant les hanches pour faire passer son volumineux vertugadin entre le mur et le Sévère, elle découvrit qu’elle n’était pas seule avec Attia.

Oh, euh, bonjour Mar.. votre Seigneurie, Dame...
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Les Doigts d'Or, j'Adore!

jake

Jake avait reçu une annonce assez originale venant de l’atelier « Aux doigt d’or ». Celle-ci proposait une vente aux enchères exclusive de robes. Voilà l’occasion rêvée de faire plaisir à sa promise de lui offrir un cadeau de mariage. Celui-ci n’allait pas tarder et il espérait bien rapporter chez lui l’une de ses robes magnifiques, connaissant le talent exceptionnelle de la couturière qui lui avait déjà réaliser quelques robes pour la noël.

Alors Jake s’était rendu à Paris aux Galeries la Fayotte pour voir de plus prêt les créations. Il entra dans la boutique et reconnu sans mal la Maître couturière. Il vient alors s’asseoir sur un banc, restant discret, laissant vagabonder ses azurs sur les robes, tout aussi belle les unes que les autres. Le cocher n’était pas loin avec de quoi payer la robe, peu importe le prix, car l’amour qu’il avait pour sa fiancée n’avait tout simplement pas de prix.

Il attendit le début de la vente aux enchères avec un sourire aux lèvres.
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Attia.

Attia se laissa surprendre par l'arrivée d'une revenante, une fantomette de son passé toulousain, la jeune Neyco qui n'avait plus l'air aussi jeune qu'a l'epoque ou elle l'avait connue.

- Neycooo ! ça fait tres longtemps en effet.

Elle s'avança vers la jeune femme pour la serrer contre elle.

- Tu es magnifique!

c'est a ce moment la que Breiz entra, tonitruante, comme d'hab. La brune sourit. Si elle ne l'aimait pas tant elle aurait presque pu etre agacée par ce rituel quasi permanent du deplacement de toute la maisonnée breizesque, ces scenes de vie familiale parfaites accomodées de miamourages a la limite de la descence avec le grand dadet blond.
Bon ya un chouya de mauvaise foi dedans, mais la gitane elle sait pas ce que c'est que la vie de famille... Et puis elle l'a dit, elle l'aime donc voila!

- Salut Breiz!

Et de se reporter sur Neyco.

- tu viens pour une robe ? On est encore en train de s'installer. Je suis contente de te voir. Installe toi et regarde deja les modèles ainsi que les catalogues. Après il faudra que tu me racontes ce que tu deviens!

Et de poser une main douce sur l'epaule de la jeune toulousaine.

- Excuse moi. Severe! ça commence a arriver, v'nez expliquer comment ça fonctionne la vente et puis presentez les catalogues, hop hop hop on a pas le temps!
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Neyco

Ah quelle était heureuse son amie ne l'avait point oublie malgré le temps. Se laissant faire les câlins elle aimai ca après tout et c'était toujours bon de retrouver des personnes que l'on aimait beaucoup. Passant ses bras autour de la femme dont la beauté n'avait que peu d'égal celons elle.

Je suis vraiment ravie de te revoir mon amie.

Souriante au compliment.

Parle pour toi. Tu es toujours aussi belle.

Un rire léger la laissant filer afin d'accueillir tout le monde. Breiz hum ce nom oui la jeune femme lui ayant fait robe pour le mariage de Lily. Rha elle et sa mémoire de moineau des fois.
Saluant celle qui avait fait un travail merveilleux avec les voilages et tissus.

Oh oui j'ai reçut message aussi ayant retrouver ma taille fine après l'accouchement j'en profite. Je pense que me refaire une garde robe serai de bon gout. Autant niveau taille je rentre mais poitrine, je ne rentre plus du tout.

Un sourire léger, sure que dans le fond elle avait doubler au final.
Hochant tête, elle regarda le tout bon sang tout était beau. Rha ca allait encore faire un trou dans ses caisses mais la elle n'avait presque rien a ce mettre.

Pas de soucis je te raconterai tout c'est promis. Et j'en ai de choses a te raconter crois moi.

Regardant Attia donner ordre elle sourit grandement, ah cette journée allait être magnifique.
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Elianor_de_vergy

[Paris - Chapelle Saint Antoine]

Y a des jours où les caducées de maréchal, on a nettement plus envie de s'en servir comme masse d'armes que comme ornements de fonction. Seulement voilà, avec ses cinq pieds de haut, ses ptits bras et son ignorance abyssale du maniement des armes, la poupée de Vergy aurait eu bien du mal à donner libre cours à son agacement. Il faudrait qu'elle trouve autre chose pour se défouler....

Par la pute borgne d'Aristote ! C'est en assez !! Guyenne, ca vous dit d'aller claquer nos rentes aux Halles?

Sourire épanoui qui s'affiche sur la frimousse de ladite Guyenne. Elles étaient deux maréchales à en avoir ras le caducée, visiblement. Faut dire qu'elle comprenait sa consoeur, le nobiliaire mainois c'était tout sauf une partie de plaisir.

Aller jeter les écus par les fenêtres en revanche, ça c'était un programme alléchant. Et puis, les Halles devenaient un quartier couru de la capitale, faire ses emplettes là-bas était du dernier chic. D'ailleurs.... D'ailleurs cela lui faisait penser à une affiche qu'elle avait vu placardée sur un mur lors de sa dernière visite chez son orfèvre favori. Lâchant l'obscur grimoire à l'aide duquel elle tâchait de définir les frontières guyenno-rouergates, la quintefeuille miniature sauta sur ses pieds et hocha vigoureusement la tête en répondant à Estampes.

Oh oui ça me dit! Et je connais même l'endroit idéal pour ça!

[Paris - Quartier des Halles ]

Et hop, deux dépensières de plus pour l'atelier. Blonde et blonde poussent la porte et pénètrent de concert dans ce haut lieu de la tentation chiffonnière, bien décidées à se délester de leurs écus.

L'atelier organise une vente aux enchères de tenues exclusives, une occasion à ne pas manquer! Surtout avec les festivités du sacre royal qui arrivent, une bonne raison de renouveler nos garde-robes ma chère!

Coup d'oeil circulaire. L'affaire ne semblait pas encore lancée, tant mieux. Elles pourraient ainsi s'installer aux premières loges et faire leur choix, qu'il leur faudrait ensuite défendre âprement!
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--Severus_nonrigolus

Il grinça, et finit par aller dérouler près des tenues, ainsi qu’à la porte, une affiche concernant le prix des tenues.

Déroulement de la vente :

baronnie

Mise à prix :

Robe 1 : 2500 écus
Robe 2 : 2650 écus
Robe 3 : 2600 écus
Tenue masculine : 3000 écus

Il déposa ensuite plusieurs gros livres sur la couverture desquels on pouvait lire le nom de la couturière:

Attia

Breiz

Jenah

Estrella

Règles de la vente aux enchères :

Le principe est simple : un lancé de dé, au nombre de faces équivalent au nombre de potentielles « acheteuses » : si deux, dé à 20 faces, si 3, dé à 30 faces, etc…
Pour plus de facilité, l’attribution des faces sera alphabetique : de 1à 10, A emporte l’enchère ; de 11 à 20, B remporte l’enchère, …
Les dés seront lancés via ce site, vous pouvez jouer l’enchère dès le lancement idealement demain Mardi le temps que les gens arrivent, on fera les lancers de dés idéalement mercredi soir.
Pour ce qui est des adaptations sur catalogue, pour plus de coherence Rp on considere que chaque robe est unique et non modifiable. Si une demande sur une robe a deja été faite il n'en sera pas prise une seconde sur la meme robe.
Pour d'autres commandes, rendez vous sur le forum. Ce Rp etant un Rp de vente exceptionnelle a l'occasion du sacre.
N'hesitez pas a en parler autour de vous!
Bon jeu à toutes et tous.

Sophie

La comtesse Sophie avait entendu parler de la vente exceptionnel par Attia. Elle s'y rendît pour comtempler les catalogues des couturières. Elle est ravie de voir tant de belle robes de toutes les couleurs. Elle aimerait bien en avoir quelques unes avec la super vente.
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Cl0e

Elle déambulait dans les rues, quand un parchemin vint se plaquer contre son visage, emporté par une bourrasque de vent. Saleté. Elle se débattit autant que faire se peu contre le bout de parchemin, et parvint à le retirer de son minois, dévoilant ses deux sourcils froncés, formant quasiment une seule et même ligne d'un or le plus clair. Une annonce, pour les robes de ses couturières préférées. Il était obligé qu'elle s'y rende. Alors, elle rentra chez elle, fit préparer le cheval nuit de son défunt époux, et confia sa petite Chiara à sa bonne et sa filleule pour prendre les chemins. elle promis à sa filleule de revenir vite, car elle était verte de jalousie. Sa main à couper qu'elle s'entraînerait plus dur à son métier. Sa cape blanche bordée de fourrure flottant au vent, la blonde s'élança sur les chemins.

Dieu qu'elle aurait prendre Aléanore au passage, mais les mois avaient passé, et même si elle était toujours vêtue de blanc ou de gris, avec seulement quelques touches de couleur claire ou d'or pâle, la blanche ne se dépêtrait pas de son deuil, ses proches rejoignaient les anges plus vite qu'il n'en fallait pour dire ouf.

Alors, quand enfin, elle arriva à destination, après pas tant de tours et détours que ça, pour sa plus grande fierté, elle chercha où laisser son destrier, et baissa ses yeux sur ses fripes. Finalement, elle trouva à faire garder sa monture, non sans peine, et s'approcha de la devanture de l'échoppe, sourire aux lèvres. Elle se demanda si elle devait frapper, ou non, et décida que oui, au risque d'avoir l'air ridicule. Elle n'était plus à une fois près, après tout. Le ridicule ne tuait pas, elle encore moins, elle serait six pieds sous terre depuis belle lurette sinon. Avisant les robes, elle en bavait presque d'envie, mais se reprit à temps pour saluer ces dames et le sire déjà présent.

- Bien le bonjour à vous !

Elle manqua de justesse percuter le sévère, et se pinça les lèvres, espérant qu'il n'avait pas fait attention. Elle s'écarta, et lorsqu'il entama son explication, elle se dit que non, il avait pas fait gaffe. Même pas un regard noir, pour sûr sa maladresse était passée inaperçue. Contente, les coins de sa bouche tournèrent vite vers le bas. Attraction terrestre ? Non, juste qu'elle n'était pas baronne. Bientôt, peut-être. Sa seigneurie n'était pas suffisante. Qu'importe. Elle passerait un autre jour à l'atelier, accompagnant son apprentie de filleule au besoin. Pas difficile la blanche.
En attendant, elle dévora du regard ces somptueuses matières, ces couleurs toutes plus sublimes les unes que les autres.
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Pierre_de_siorac

il avait entendus parler qu'il vendait de beau habits,il était alors venus et il prendrait aussi une robe pour le comtesse Ariel de Siorac,un petit cadeaux^^

bonjour,je me présente Pierre de Siorac,Seigneur de Mespech et j'aimerais avoir,le tenue pour homme et la deuxième robe.

il avait enlever son mitre pour saluer les gens
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Axel2fersen

Axel avait accompagné sa douce cousine à Paris, oh pas que la jeune reine ait eu besoin d'elle, ça non elle s'en sortait très bien sans la blonde d'Irissari , mais cela permettait à cette dernière d'aller visiter sa fille à Saint-Louis et aussi peut-être faire des emplettes dans la gran' ville.

Elle avait reçu une invitation d'Attia, pour une vente exceptionnelle, celle-ci avait précisé que seules les baronnes pourraient participer à la vente. Axel s'était mordue la lèvre. Léane aurait tant voulu une robe digne de ce nom pour le sacre... Elle décida tout de même de s'y présenter au pire elle ne ferait que regarder les modèles exclusifs et commanderait une robe plus simple pour la demoiselle de Rouvray. Parfois Axel se disait qu'elle aurait dû laisser sa fille à son père lui baron et sa fiancée vicomtesse pouvaient lui apporter plus qu'elle. Mais bon elle ne pouvait s'y résoudre, elle parvenait sans mal à s'acquitter des charges du collèges et de leur train de vie jusque là grâce à ses vignes et ses caves garnies.

Lorsqu'elle arriva de nombreuses figures déjà croisées ça et là étaient présentes, elle reconnut d'ailleurs le Sire Nonrigolus qui comme à l'accoutumée parvint à lui glacer le sang juste de part sa présence.
Elle avança ne sachant si elle devait s'annoncer ou le faire faire , ou passer le plus inaperçue possible.

Bien le bonjour à tous... je suis Axel d'Irissari, je suis cliente de l'atelier et je viens assister à la vente...

Cela faisait quelques temps qu'elle n'était pas allée à l'atelier et elle découvrit avec délice qu'une nouvelle couturière avait grossi les rangs... Axel s'empressa de feuilleter les quelques pages de son catalogue. A première vue, Attia avait encore pris sous son aile une élève digne d'arborer les couleurs des doigts d'or. Plusieurs modèles lui sautèrent aux yeux, le dernier la ravit, mais elle considéra qu'il était trop provocant pour une demoiselle comme sa fille, 9 ou la 7 lui conviendraient certainement mieux. Mais avant de prendre toute décision elle espérait pouvoir s'entretenir avec une couturière idéalement la grande Attia pour que celle-ci la conseille.
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Solenn_wolback

Elle avait reçu une invitation, l'avait lu, était venue. Original allez-vous me dire, une femme qui reçoit une invitation à acheter des vêtements et qui se présente le jour dit, à l'heure dite, à l'endroit adéquat.

Le froid reste intense et elle n'a pas souhaité poser sa poulaine au sol, aussi la voiture aux armes d'Hennebont l'a-t-elle menée jusqu'au bon quartier. Une fois arrivée là bas, pied au sol obligé, elle s'engouffre dans la salle où se déroule la vente.
Un regard aux gardes qui l'accompagne, même si elle trouve ça complètement inutile, pour qu'ils tiennent leur distance. Elle n'aime définitivement pas avoir deux gorilles de part et d'autre de sa personne.

Elle donne son nom à l'entrée, d'une voix claire et ferme. Les affres de l'âge ne l'ont pas encore atteinte à cet endroit là.

Solenn Wolback de Montfort-Laval, duchesse d'Hennebont.

Le temps de se repérer et de voir que quelques modèles sont déjà exposés, elle se dirige vers eux pour admirer le travail réalisé. L'oreille capte les prix annoncés des différentes pièces et elle hoche la tête, approbatrice. Elle aime bien la deuxième, mais se réserve un petit temps de réflexion, jetant un coup d'oeil à la ronde.
Elle reconnait le sévère et Attia, et quelques autres visages connus, probablement rencontrés à l'atelier, au détour d'un couloir.
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Neyco

La mini baronne regardait chaque jeunes femmes présentes et les saluaient poliment. Des amatrices de haute couture tout comme elle a n'en point douter.

Regardant le Sévère tout ce qu'il y a de plus sévère exposer avec son air aimable les robes, la mini se retient de pouffer. Les glouglou et autres pendant une journée. Il devait être ravie.
Enfin quand les écus rentreraient en ses poches il afficherai son air goguenard de la coutume quelque peu satisfait.

Bon alors, choisir une robe, choisir une robe. Elles étaient toutes magnifiques. Mais bon vu son teint a elle. Forcement pas choisir n'importe quoi surtout vu sa taille. Étant petite bien des robes ne lui allait point du tout la rendant bien souvent encore plus petite au paraitre.

Bon la 2 on oublie vu sa poitrine ressente on ne verrai plus que cela, et vu sa taille, cela serai une horreur pour une si belle création. La 1 ou la 3.

Tapotant du menton, elle entendit une autre personne entrer en coup de vent voulant la numéro 3. Bon vu son titre pas la peine de faire un conflit diplomatique. Op.

Notant sur un bout de parchemin son choix.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Titre: Baronne de Hautpoul.

Robe choisit: numéro 1

Peu habituer des défilés, la mini s'approcha de son amie Attia afin de lui remettre parchemin.

Désolé je ne sais comment ca marche du coup j'ai tout noter. Elles sont toutes magnifiques. Qui les as faites toutes ensemble ou chacune a fait création?

Un dernier regard vers les divines, oui elle avait bien choisit, cela lui conviendrai parfaitement.
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Sorane

[Tour Jean Sans Peur à Paris]

Enfin, après des jours de voyage éprouvants, avec une petite bouille d'amour de presque deux ans, qui passe son temps à babiller, ou à rouspéter de plus belle, ne ménageant guère ses petites cordes vocales, petites mais puissantes, Sorane fut ravie d'apercevoir les murailles de la capitale et ses oreilles encore plus !
Le plaisir et son soulagement s'accentuèrent quand les sabots des chevaux claquèrent sur le parvis devant la Tour Jean Sans Peur.

Lors de ses voyages sur la Capitale, assez rare, elle avait pris l'habitude d'y prendre résidence. Son amie , La Duchesse d'Auxerre, l'y avait encouragée, sans avoir besoin de maints efforts pour la convaincre.
En effet, une tour avec un confort assuré, des domestiques prévenants et à la disposition des nobles bourguignons présents sur la capitale, qu'aurait-elle bien pu vouloir d'autre ?

Son escorte mit pied à terre, Hector vint l'aider à descendre, Leontine attrapa Circelia qui ne manqua pas de se débattre, voulant partir de suite à la découverte de ce nouveau lieu et assouvir sa curiosité dévorante et une soif d'expérience que ses même pas deux années d'existence n'avaient guère encore assouvies.

Aussitôt, Sorane put assister à un ballet qu'elle commençait à connaître, avec les allers et retours de ses gens et de ceux de la Tour pour transporter ses malles et préparer son appartement et ceux de sa suite. Même si ce ballet avait toujours de quoi surprendre, elle préféra cette fois-ci aller se dégourdir les jambes dans les jardins, trainant à sa suite Leontine et une Circelia fort mécontente de son manque de liberté qui ne serait que temporaire, le temps de s'éloigner suffisamment des jambes des domestiques qui s'activaient.

[Le lendemain, aux Galeries Lafayotte]

Vêtue d'une robe confectionnée par la talentueuse Breiz, accompagnée de sa garde personnelle, de son fidèle et dévouée Hector, de Léontine, et avec Circelia dans les bras, revêtue d'une robe de Maître Attia, Sorane se présenta à l'atelier provisoire des Doigts d'Or.
Elle avait beaucoup fréquenté l'atelier ces derniers temps et la raison lui commandait de ménager ses finances quelques temps, mais quand elle avait reçu l'invitation pour cette vente exceptionnelle, son envie avait fait taire la voix de la raison.

Elle entra donc, arborant un large sourire et une Circelia aux yeux grand ouverts par la curiosité que ce lieu lui inspirait. Elle commença par saluer le Sombre et Sévère, sans être utopiste pour songer que cette politesse lui vaudrait quelques ristournes, puis elle aperçut les créatrices, qu'elle salua également, toutes sans exception, remerciant Dame Attia pour son invitation et ne résistant pas à l'impulsion de serrer dans ses bras Breiz.

Elle salua également les clientes présentes, sans toutefois s'attarder, tant l'impatience de découvrir les nouveautés la taraudait.
Elle alla donc inspecter les modèles présentés, osant toucher le tissus soyeux et délicat du bout de ses doigts pour juger de leur qualité et du plaisir qu'elle aurait à les porter. Effectivement, sa raison n'allait pas avoir le dernier mot.
Elle avait déjà un coup de coeur pour deux des modèles.

Elle revint donc vers Breiz, qu'elle hésitait à déranger plus, mais s'y résignant toutefois :

"Breiz, les modèles présentés sont magnifiques, et j'ai déjà une préférence pour deux des robes. Comment dois-je faire pour participer à la vente aux enchères ?"

Tandis que deux petits bras se tendirent vers Breiz, heureux de voir un visage ami et avide de liberté de mouvement.
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Blink

Pourquoi?? Mais pourquoi devait t'il toujours etre béa des qu'il recevait une lettre de sa "douce" Neyco.. il ne ce comprenait pas lui meme .. mais bon cette gamine.. enfin maintenant cette femme.. pfff que le temps passe vite.... il y pouvait rien ce dit t'il du coup..
Neyco était pour lui comme un délice , un gout exquis des choses. une gourmandise.. sucrée et piquante .. mais cela donnait toujours envie de revenir vers elle.

Il est vrai que il lui avait donner de belles lecons de vie etant petite a celle ci mais pourtant elle avait toujours gardée ce caractere si unique pour elle et cela était plaisant de savoir qu'elle était rester elle meme.

Enfin de la a devoir venir a un défilée de robes.. il en croyait pas sa demande .. décidemment elle arrivait vraiment a faire de lui ce que elle voulait et le pire il le fesait avec plaisir..
Il en sourit tant de la revoir était deja un bonheur et une joie certaine et puis cela rendait sa curiosité de connaitre ce genre d'évenement ...

il alla donc a l'adresse indiquer et s'y présenta...espérant ne pas arriver le premier ni le dernier .. pouvant rester ainsi dans la discrétion du mouvement de la foule..

Neyco

Une porte qui s'ouvre encore une dame de haute noblesse dans le coin a n'en point douter. Remettant un plis de sa robe en place et une mèche rebelle, elle se voyait dedans ah quelle était trop belle. Pas de caprice non c'était pas bien.

Une odeur, suave et légère, une odeur d'homme. Blink. Il était venue. On sautille sur place légèrement ravie.

Filant a la vitesse de l'éclair elle lui sauta au cou elle l'embrassa sur la joue oubliant quelques secondes convenance et autres personnes présente.

Un sourire radieux.

Tu as pu venir, tu m'as tellement manquer. Aller viens que je te présente aux maitres couturiers. Elles sont douée de leurs mains comme jamais.

Lui prenant main, elle entraina le Blinkounet devant Attia.

Attia mon amie, je te présente Blink Seigneur de Laurabuc, il m'a élever quelques années a mon arrivée d'Irlande. C'est un homme bon crois moi.

Un sourire a n'en plus finir depuis le temps quelle ne l'avait pas eue juste pour elle autant en profiter un maximum.

Oh il faut que je te montre les robes, elles sont toute magnifiques.

Ne lâchant sa main forte, elle l'entraina devant les belles afin qu'il puisse les admirer avec elle.
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Jenah

Jenah entre dans la pièce un peu en retard,accompagnée de sa filette, la jeune Célia. Le voyage avait été très long et fatiguant, surtout dans cet état -là. Jenah regarde dans la pièce les tennues et catalogues sont disposés, bien heureusement Attia, Breiz et les deux hommes de mains ce sont occupés de tout.

La couturière-peintre se glissa vers ses collègues, tirant par la main sa fille qui s'était arrêtée regardant en tout sens, et surtout les tissus! La femme enceinte attribua quelques bises à Attia et Breiz.
Bonjour les filles, je suis désolée d'arriver si tard, je n'ai même pas pu aider, merci d'avoir tout préparé. Attia je n'avais eu l'occasion de te parler des tennues de la Saint-Nicolas mais elles sont vraiment ravissantes, du grand art, les dames vont se les arracher!

La franc-comtoise regarda un peu partout autour, elle ne connaissait pas grand monde ici, elle afficha un sourire et resta plutôt en retrait. Avisant iune chaise sur laquelle elle pourrait poser son séant quand son ventre et son dos la tirerait trop...

Attia.

Elle bouillonnait la Des Juli de voir debarquer le joli monde, les uns apres les autres.
Qui disait en bourgogne qu'elle n'etait qu'une menteuse arrogante et pretentieuse hum ? Une duchesse, une duchesse larcine, doublée d'une catin aux moeurs plus que légères... Mais la c'est une autre histoire.

Elle est fière la gitane de pouvoir attirer autant de monde.
Elle regarda l'annonce du Sévère et la trouva précise, bien qu'il y eut besoin de faire quelques precisions, car le Sévère aime l'argent, Attia aime les gens, et c'est plaisir que chacun puisse repartir avec une robe, un morceau de plaisir.

Elle frappa doucement dans ses mains et se hissa sur la petite estrade ou se trouvait le Sévère ainsi que les 4 robes présentées.

- Mesdames, et Messires, Bienvenue et Merci d'etre venus pour cette vente exceptionnelle.
La vente débutera par une vente aux encheres des 4 tenues que voici, confectionnées par moi meme a l'occasion du défilé au Louvre. Ces robes vont etre mises a prix et vous serez libre d'encherir. Par souci d'equité et parcequ'il plait a mon bon vouloir...

Regard provocateur au Sévère.

-... Il est demandé de n'encherir que sur une seule robe ou tenue a la fois.

Elle guetta des murmures de protestation. Aucun ?

- A l'issue de la vente aux encheres, les modèles que voici seront livrés a leur acquereur et en deviendront l'exclusivité. Aussi je prierai celles et ceux qui souhaitent participer a la vente aux encheres des 4 modeles presents de bien vouloir s'avancer afin que le Severe puisse recueillir les mises. Je rappelle que ces robes sont faites dans le plus grand luxe et ne sient hélas qu'aux nobles personnes du royaume possedant au moins une Baronnie.

Elle n'aimait pas la discrimination, mais il est vrai que ces robes avaient couté bonbon et avaient fait un trou considerable dans la tresorerie de l'atelier.
Se rapprochant de la lourde table ou se trouvaient les catalogues elle poursuivit.

- Lorsque la vente aux encheres prendra fin, la vente de modeles prets a porter débutera. Il vous sera possible ainsi , de choisir une robe issue de ces catalogue de chacune de nos couturières. Ces robes comme l'a indiqué Sévère vont etre montées au fur et a mesure sur l'estrade. Il n'en existe aujourd'hui qu'un exemplaire, et non modifiable, aussi une robe demandée ne le sera qu'une unique fois. Si vous vous trouvez deçue car vous n'avez pas eu la robe que vous desiriez, vous pourrez toujours vous rendre ultérieurement a l'Atelier ou la couturiere pourra confectionner la robe selon vos désirs...

Raaa gorge seche d'un coup. Elle esperait que tout soit clair.

- Preparez donc vos ecus, les encheres se feront dans l'ordre de présentation !

Elle descendit doucement de l'estrade et se fit servir un verre de vin pour se desalterer.
C'est a ce moment la que la jeune Neyco revint vers elle accompagnée de Blink. Elle sourit en coin alors que la toulousaine le lui presentait. Le monde est decidement tres petit.

- Ma chère Neyco, je connais tres bien Blink, nous sommes amis de longue date... Ravie de te voir par ici Blink. Allez donc chercher votre bonheur!

Elle traversa la salle, saluant ceux qu'elle connaissait, esperant qu'il en vienne d'autres. Elle rejoint Jenah qui etait venue malgré son etat.

- Bonjour Jenah! Tiens ya une chaise la assied toi! Et puis merci pour les tenues, j'ai un pincement au coeur en imaginant qu'elles vont partir... mes bébés...

Et de rire doucement en attendant que tout se mette en place pour le mieux.

Je precise qu'il n'y aucun ecus IG a mettre en jeu, tout ceci est purement RP, mais cela doit rester coherent, pour cette raison que les enchere sur les 4 modeles exclusifs sont reservés a la haute noblesse.
Pour le reste, moderation est le maitre mot, pas de commandes de 6 robes a la fois. vous avez le forum de l'atelier pour ça.
La noblesse du SRING et de Bretagne sont bien entendu acceptées.
Si besoin de precisions, MP !

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Mariealice

Marie avait salué Breiz à son arrivée puis chaque personne, se retenant de les mettre dehors. Pourquoi fallait-il qu'ils soient autant hum? Comment ça de mauvaise foi.Du tout. D'abord. Oui bon certes peut-être un peu.

En attendant, elle profita de la permission de Breiz pour regarder de plus près les tenues, effleurant le tissu du bout des doigts, tournant autour des modèles. Les catalogues elle les connaissait et avait déjà passé commande auprès d'Attia. Non là c'était une robe en particulier qu'elle voulait. Enchères donc. Normalement ses fonds lui permettaient largement de participer.

Elle finit par se poser, en attente du début des enchères, ne sachant pas trop ce qu'il faudrait faire à dire vrai mais c'est à ce moment là qu'Attia en expliqua les règles. Bien donc plus qu'à attendre.

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Neyco

Ravie que ses deux amis ce connaissent, la mini sourit grandement. En effet le monde était bien petit. De Tolosa a la Bourgogne, les amis se retrouvaient toujours.
En mode admiration, elle écouta la belle Attia faire discours prenant note mentale.

Bon elle avait juste le bon titre, une chance. Maintenant a voir si elle aurai robe. En sa bourse 5000 écus et 2 tablettes d'argiles attestant chacune de 2000 écus supplémentaire a retirer au foyer bancaire de Paris.

Si jamais elle n'avait point assez tant pis. Mais dans la vie il fallait tenter le tout pour le tout. Exciter telle une enfant devant une pâtisserie des plus grand cuisinier du monde, la miss soupira grandement.

J'aimerai beaucoup avoir la première. Vu ma taille tu en pense quoi dit moi? Sinon la troisième. A voir.

Mais la numéro 2 en ceinture sise en dessous de ma poitrine risque de me rendre encore plus petite.

Petite moue du genre allez dit moi si elle iront. Accrocher a l'homme qui était plus que l'homme qui l'avait élever, sans être lier par le sang. Parfois elle le considérai bien plus comme son père, bien plus que le Baron de Tavistock. Celui ci l'ayant envoyer loin de lui alors quelle n'était qu'une petite fille. Plus de famille avant des années, sauf quelques fois avec sa Lily. Son bras entourant celui qui en son cœur resterai son père d'adoption, elle lui montrait robe du doigt n'osant les toucher voir même les frôler de peur de les abimer.
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Alwenna

Enchères ? Robes ? Elle arrive ! Rien que ces deux mots suffisent à faire trembler de la joie la petite, oui oui elle adore les jolies robes de grandes Dames, mais c'est surtout les enchères qu'elle aime.

La tension, la compétition, ces coeurs qui battent tellement fort qu'on les entends à cinq mètres. Les grincements de dents quand on perd, mais surtout, quand ELLE elle saute de joie, car oui quand elle veut quelque chose, elle fera tout pour l'avoir.

Alwenna arrive donc, avec sa robe à froufrou rose, son beau petit ruban bien accroché dans les cheveux, et bien sûr Son Doudou Lapin Cucu Rose. Jean Clément l'accompagne, les traits légèrement crispés, en regardant tous les coins. Il n'a effectivement pas l'habitude de se retrouver dans un endroit rempli de donzelles excitées.

Le bonbon rose marche tranquillement, feignant l'indiffèrence, pour se donner contenance. Rose cherche dicrètement sa mère, qu'elle sait ici, car elle est partie avant elle. Alwenna la trouve enfin, en train de contempler une robe. Sourire en coin elle lui attrape la main et tire doucement dessus pour la faire se baisser. La petite se met sur la pointe des pieds une fois sa mère légèrement penchée, et lui colle un bisou sur la joue.

Tu m'as pas attendu.

"Je t'aime Môman" en language Alwennais. La petite profite que sa mère soit à sa hauteur pour lui chuchoter tout doucement.

Tu l'aimes cette robe ? Tu dois te battre alors, lâche pas le morceau, elle est très belle, et elle t'ira très bien alors tu dois miser la maximum oki d'oki ?

Un clin do'eil, un grand sourire étirant ses lèvres, et de fouiller dans son sac pour en tirer une sucette au chouchen, faut bien trouver une occupation en attendant !
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Solenn_wolback

Elle détaille les robes encore et encore. Non rien à faire, c'est la deux qui remporte son suffrage. Alors que les règles des enchères viennent juste d'être données, une petite main vient s'insérer dans la sienne et tire sur son bras.
Surprise de la brune qui ne s'attendait pas à voir son bonbon préféré s'inviter aux ventes !
Elle se penche et prête l'oreille à sa fille puis lui sourit.

Je ne pensais pas que tu viendrais choupinette. On va acheter la deuxième !

Une bise sur ses cheveux et elle l'entraîne dans son sillage, avançant vers le Sévère.

Severus,

Un hochement de tête à l'adresse de l'homme, toujours aussi revêche.

Nous enchérirons sur la deuxième robe, monsieur.

La voix, claire, ferme, assurée. Le prix maximum ? Elle n'y a pas vraiment réfléchi, elle souhaite juste l'avoir. Donc, ce qu'il faudra mettre.
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--Severus_nonrigolus

Le Sévère était prêt.
Il s'installa sur l'estrade et fit signe a son assistant de recueillir les mises.

- Bien nous allons commencer.

Les modeles que voici sont ceux concernés par les enchères.

- Nous commencons par la première robe.

Il s'agit d'une surcotte, cotte de velours bleu pale, surcotte de soie mauve bordée d'hermine de Bretagne. Mise de base 2500 ecus.

Levez la main et remettez votre mise a mon assistant Giovanni qui passera parmi vous.

Oui les sommes scandaleuses doivent etre cachées.

Fleur

Du fin fond de la Franche-Comté, Fleur de Monmouth, fraîchement mariée, avait eu vent de qu'une vente aux enchères se préparait à Paris. Grâce à l'afficheur public, elle put se rendre compte de quel type d'enchères il s'agissait : des robes de Dame Attia confectionnées à l'occasion du sacre de la Reine de France... des robes sans aucun doute magnifiques à remporter et qui auraient l'exclusivité de celui ou celle qui remporterait l'enchère. Il était évident que Fleur de Monmouth mourrait d'envie d'aller en acquérir une. Il fallait absolument qu'elle convainc son époux, ce qui ne serait pas aisé puisque son Vicomte d'époux venait d'entamer des travaux à Sellières, mais elle était de nature entêtée et réussissait à vendre sa propre salade même si elle n'en valait pas la peine. Elle avait réuni toutes ses économies et les avait combiné avec celles de son époux, elle s'était faite trépignante, mielleuse, angélique, pour qu'il accepte de se déplacer jusqu'à Paris... Fleur n'en revenait pas, après moult arguments, Léonin avait cédé volontiers. Ils avaient fait leurs malles en vitesse avant de prendre la route. Fleur aurait bien voulu chevauché presque ventre à terre, mais son époux lui avait formellement interdit, surtout que son état ne le lui permettait plus ce genre de folies. Elle avait essayé de négocier de prendre la voie maritime, non plus. Son charmant Léonin préférait le plancher des vaches, ce serait donc en carrosse qu'ils se rendraient à Paris.

[Après un voyage long et épuisant - Arrivée à l'endroit où les enchères devaient avoir lieu à Paris]

Il n'y avait pas peinture, elle détestait les voyages en carrosse. Elle grimaça en sortant de ce dernier. Elle était éreintée, et pourtant Léonin semblait quant à lui tout guilleret.

Mon tendre amour, tu sembles si joyeux... J'aurai aimé partager ta joie mais ce voyage m'a complètement épuisé, sans compter les nombreuses nausées dont j'ai souffert en route. J'aimerai pouvoir me reposer si cela te convient... Cependant, je meurs d'envie d'aller admirer les robes mises aux enchères, pouvons-nous y aller?

Fleur n'attendit pas sa réponse et se rendit vers l'estrade où était présenté les modèles. Dans sa précipitation, elle bouscula une Dame près de l'étalage, elle en fut confuse et sa confusion augmenta encore plus quand elle s'aperçut qu'il s'agissait de Maître Attia, la Dame aux doigts d'or.

Par...pardonnez-moi Ma Dame. Je ne vous avais point vu. Me voilà vraiment confuse. Je suis tout de même ravie de vous revoir Dame Attia en dehors de votre Atelier si réputé, même si ma bousculade en guise de bonjour était malvenue. Je suis venue avec mon mari que voici admirer vos robes mises aux enchères et je souhaiterai en remporter une si possible. J'aime tellement votre travail. D'ailleurs, à ce propos, nos tenus de mariés étaient absolument exquises Ma Dame et ont fait notre bonheur, ainsi que des jaloux, il paraît. Je ne vous en remercierai jamais assez.

Fleur se tut, échangea encore quelques moi avec le Maître des Doigts d'Or, puis se dirigea vers les modèles qu'elle examina avec soin. Elle se tourna vers son époux et lui fit son sourire enchanteur :

Mon ange, mon choix va pour les robes 2 et 3. Qu'en penses-tu? Si tu les trouves également à ton goût, je te conseiller de t'avancer vers le Sévère et de lui demander comment porter enchères sur ces modèles. Je ne te cache point que je meurs d'envie de les avoir.

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Mariealice

Elle observait, silencieuse, tentait l'oreille pour essayer de savoir qui était là pour quelle tenue. Mais difficile de savoir et encore plus en écoutant le Sévère... Bon... Allez zou. Elle leva la main afin que l'assistant la voit puis prit un bout de parchemin pour inscrire sa mise.

Serait-ce assez? Trop? Non trop jamais mais trop peu possible si... Petite moue, de toute façon elle aurait bien le temps de voir. C'était fait.
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Sorane

Sorane hésitait entre deux robes... Elle hésitait, elle jouait avec Circelia à coucou-je-me-cache, mais dans sa tête, elle visionnait toujours les deux robes, les faisant défiler encore et encore.

Et voilà que l'une d'elle était mise aux enchères, la première... Elle hésita... mais leva la main en direction de l'assistant.
Elle nota son enchère, importante, mais sans risquer de mettre à mal les finances du domaine.
Elle glissa son enchère écrite discrètement à l'assistant.

Il n'y avait plus qu'à espérer.
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Leonin

Il était en pleins calculs. Enfin, après de longs mois, il avait étudié et fait les plans pour refaire son château de Sellières. Et surtout, il se rendait bien compte que justement ses écus fondaient comme neige au soleil. Mais enfin, son château était un peu plus confortable, il était temps. Mais il manquant encore du travail à faire. Donc, ses finances n'étaient pas au beau fixe, malgré que depuis peu il cumule deux fiefs et même finalement trois avec celui de Fleur. Mais il était temps de se sentir bien dans son vieux château.
Et voila qu'aujourd'hui Fleur venait la voir pour des enchères. Ce n'était pas qu'il ne voulait pas lui offrir ce qu'elle rêvait, mais au début il n'avait pas osé lui dire qu'il n'aurait pas beaucoup de moyens pour lui offrir et participer aux enchères. Mais elle était têtue, au moins autant que lui et elle le décida enfin.
Alors, ils prirent leur carrosse et ils se rendirent à Paris. Le voyage fut long et il fut heureux d'arriver enfin. Dans la grande pièce où se passaient les enchères, il ne reconnut personne, sauf Attia qu'il avait rencontré un fois ou deux.

Fleur a écrit:

Mon tendre amour, tu sembles si joyeux... J'aurai aimé partager ta joie mais ce voyage m'a complètement épuisé, sans compter les nombreuses nausées dont j'ai souffert en route. J'aimerai pouvoir me reposer si cela te convient... Cependant, je meurs d'envie d'aller admirer les robes mises aux enchères, pouvons-nous y aller?

Et bien ...

Il n'eut même pas le temps de répondre qu'il la vit aller voir les robes et ... Un habit pour homme. Pourquoi pas pour lui ? Tiens, il y pensait et il se dit que peut-être il proposerait d'enchérir pour tenter.
Alors il la suivit et il fit semblant de ne pas s'intéresser aux habits, préférant de feindre d'écouter sa femme et il se rendit compte qu'elle avait bousculé Attia. Il lui sourit et il la salua à son tour.

Bonjour Dame. Je suis heureux d'être ici et vos créations sont toujours aussi parfaites. On va tenter oui ... D'en remporter une ...
Puis répondant à Fleur :
Oui ... Je vais aller voir Sévère.

Il prit la direction de l'homme et il s'adressa à lui.

Bonjour Messire.
Je viens vous voir car j'aimerais enchérir pour trois habits. Les robes 2 et 3 et la tenue masculine. C'est possible ?
Je vous remercie.

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Attia.

Enfin les encheres avaient commencé.
Elle attendait de voir, le Sévère jubilerait sans doute de voir la noblesse se depouiller de leurs precieux ecus.
Elle souriait en regardant une derniere fois ses robes, ses petites robes, comme s'il s'agissait de ses enfants, ses robes qui portaient au moins une goutte de son sang chacune, ces robes qui étaient une part d'elle meme.

Une légère bousculade la fit sortir de sa reverie.
Elle reconnut une ancienne cliente.

- Oh dame, je suis ravie de vous voir ici, merci d'avoir fait le déplacement.
Merci pour les compliments, c'est un plaisir pour moi!

Elle s'apprettait a les laisser quand elle vit que le marié s'adressait au severe en plein exercice.

- Vous devriez attendre. Ce tour de vente concerne la robe n°1les autres suivront . N'allez pas vous attirer les mauvaises graces du priseur, il est tres caractériel.

Elle echangea avec eux un leger rire et reporta son attention sur le premier tour des encheres, priant intérieurement que Marie alice remporte la robe qu'elle desirait.
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Eugenie.

Lafayotte, ou ce qui se fait de mieux pour les jeunes mondaines -ou pas- désireuses de dilapider l'écot royal et/ou leurs rentes plutôt que de fendre le crâne à grands coups de caducées nouveaux, l'auteur du torchon qu'était le Nobiliaire du Maine.

Ainsi, la Vergy avait rebondi sur sa proposition et toutes deux, clauquedillant de concert, la canne et le makhila synchro, s'étaient rendus dans les hauts lieux de la futilité. Bien malgré Eugénie -Elianor, la garce, avait bifurqué de la canne sans prévenir vers la droite- qui elle lorgnait méchamment sur la belle enseigne en bois brut de l'armurerie des Halles qui lui promettait avec délice du sang, des pleurs et de la sueur. Bien que sa nouvelle marotte fut l'arbalète, arme de jet inapproprié au combat rapproché.

Grognante Eugénie entra donc à la suite de sa comparse, la pâle copie. Et si l'une n'avait pas été plus fournie en appâts, le Sévère aurait eu bien du mal à différencier les deux blondes.

Saisie par l'un des modèles, la petite fâcherie ne dura qu'un temps, les jurons intérieurs firent silence et s'approchant de la robe convoitée, elle tendit la main sans ne rien saisir. Paris, ville de tous les possibles, et le possible c'était cette robe.

Possible dont la mise en œuvre serait sans doute compromise à ce qu'elle entendait autour d'elle sans vraiment trop écouter ni vouloir comprendre. Cette robe devait être sienne. Inspirée d'un modèle qu'elle proposa et qu'elle porta la première, jusqu'au ruban assorti, il lui était impensable, in-envisageable qu'elle soit possédée par une autre qu'elle.

Et puisque la fin justifiait les moyens, elle avisa le Sévère et annonça son choix et celui de la maigrelette Vergy par la même, balançant de gauche et de droite une petite bourse à hauteur de son makhila, comme pour signifier au Sévère que n'étant pas avare sur les petites rallonges, elle ne l'était pas non plus sur les pots de vin.

Le bonjour, je suis Eugénie de Varenne, Maréchal d'Armes Royal, Vicomtesse du Montaneres, Baronne de Domfront et de Monein. La petite blonde ci-présente m'accompagne. Elle se nomme Elianor de Vergy, Maréchal d'Armes Royal également. Elle est la Duchesse de Bellesme et possède tant de titres que ce serait vous faire perdre un temps précieux que de vous les énoncer.

Je souhaiterais enchérir sur la robe 3, mais son tour viendra. Mon amie sur la robe 1.

Puis plus bas.

Il est hors de question qu'une autre se pavane la trogne enfarinée avec ce modèle. Et ce quel que soit la couleur et le tissu. Je suis prête à mettre le prix, tant dans l'enchère que dans autre chose... Vous me comprenez ?
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Estrella.iona

Un peu en retard mais à peine, Trella arriva sur les lieux de la vente aux enchères. C'est que l'Anjou et Paris, c'est pas la porte à côté, elle avait donc voyagé avec sa copine Calyce, elle même nouvelle arrivée à l'atelier. Les deux brunettes ne se quittaient plus, à part au moment de partir pour la vente, là c'est chacune de son coté, parce que Calyce elle a quelqu'un à réceptionner et que Trella est attendue.
A sa grande consternation elle s'aperçut que son sens de la ponctualité était erroné et que les enchères de la superbe robe exclusive d'Attia avaient commencé, aussi se fit elle aussi discrète que possible parmi les gens de la haute qui jaugeaient les tissus avec des airs de connaisseurs.

Se frayant un chemin, elle rejoignit les autres couturières et les salua d'un timide geste de main. Après tout elle était la petite dernière arrivée, tant à l'atelier qu'au moment présent !

Son regard allait ça et là, regardant les gens qui misaient, quand soudain elle reconnut une silhouette qu'elle reconnaitrait entre milles, v'la Calyce qui arrivait. Pas de grands gestes de salutations pour attirer son attention qui la feraient trop se faire remarquer, juste un regard en biais à la personne qui l'accompagne...
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jake

Quand il entendit l’annonce de Sévère, il se leva aussitôt se dirigeant vers le carrosse. Cette vente aux enchères n’était pas pour lui. Il croisa son amie la Comtesse Sophie et s’approche pour la saluer.

« Bonjour Comtesse, ravi de vous revoir. Alors, quelle robe vous plairait-elle ? »

Jake était bien déçu qu’il ne puisse pas participer pour sa fiancée. De plus, visiblement, cette vente était organisée que pour les dames, vu comment l’annonce de Sévère était tournée.

Son regard fut attiré par un visage connu, un ami franc-comtois. Cela faisait longtemps qu’il ne l’avait vu. Sa dernière rencontre datait depuis longtemps. Se souvenait-il encore de lui ? Il vient à sa rencontre.

« Oh bonjour Léonin, toi aussi. Ca fait longtemps ma parole. Comment vas-tu ? »

Un sourire aux lèvres, au moins, il n’était pas venu pour rien, il y revoyait un ami de longue date et cela lui faisait bien plaisir.
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Neyco

Bon le tout avait commencer. Alors on faisait robe après robe? Piouf que de complication mais peut importait prions pour en avoir une au moins sur les 2 quelles trouvaient qui pourraient bien entendue lui aller le mieux.

Bon elle avait ses finances sures pour au moins une robe même si elle espérai secrètement ne pas y perdre ses plumes. Bon tant pis. Parchemin en main attendant suite, elle avait le tout notifier. Trop de grandes Dames aux titres tellement nombreux que même 20000 écus ne seraient surement rien. Enfin tant pis a défaut parfois au pire elle les regarderaient de loin.

Un sourire au Blink, toujours en mode on regarde les femmes, marier ou pas, elle reportât attention a Attia afin d'attendre verdict.
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Axel2fersen

Axel s'était promise de ne pas utiliser sa famille pour quelques faveurs que ce soit, elle se concentra donc davantage sur le catalogue de la demoiselle Estrella. Et s'approcha du jeune homme qui semblait assister Sévérus. Elle ne l'avait jamais encore vu à l'atelier, elle s'avança vers lui quand il eut fini de relever les papiers des duchesses et autres comtesses.

Monsieur Gigi .... excusez-moi de vous déranger je suis Axel d'Irissari, je viens souvent à l'atelier j'aurai voulu savoir s'il était possible de commander la robe 19 d'Attia pour ma fille de préférence en bleu bordé d'hermine puisqu'il existe en diverses couleurs afin qu'elle puisse arborer une somptueuse tenue de la grande créatrice lors du sacre de notre douce Reyne Béatrice.

Elle avait abandonné l'idée de la robe d'Estrella ou plutôt pas abandonné mais reporté...car le temps viendrait vite où elle reviendrait vider ses caisses d'or aux DO.
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Yolanda_isabel

Le bonheur est un concept abstrait, comme la mode, mais s'il y a une chose qui est loin d'être abstraite, c'est bien le Rose ! Car c'est bien de rose qu'elle est vêtue en ce jour fabuleux.

Oui, fabuleux, car le bonheur aussi abstrait soit-il, est une notion très simple pour Yolanda. Son frère quittera sous peu la Bourgogne pour la rejoindre à Paris, un goûter aura lieu le quatorze janvier pour qu'elle y rencontre des futurs-potentiels-surement-on n'en doute pas Princes Charmants et Béatrice, rappelez vous, la Duchesse aux macarons, sera sacrée Reyne de France le quinze janvier. Un mois chargé en émotions, auquel s'ajoute, un évènement tout sauf anodin : Une vente aux enchères organisée par l'équipe des Doigts d'Or, et comme le dirait si bien Yolanda.

_ Les doigts d'or, Z'adore ! Y aura 'ttia ? Et pis, qui ? Et pis j'aura une robe en plus ? Qu'elle sera rose et belle ? Hein Constance, j'aura ?

Oui, Attia, Attia, toujours Attia, qu'elle n'a pas vu depuis au moins une quinzaine de jours, autant dire une vie entière ; Attia, la nymphe sans qui la Princesse des Fées ne saurait être réellement princière, Attia qui pare de tous ses charmes la cadette Josselinière, Attia, encore, dont les doigts d'or créent les merveilles qui font de l'Etoile Angevine, l'Astre qui éclaire le Royaume de France, au moins de l'Anjou à la Bourgogne sans passer par la Corse. Alors, oui, Attia, enfin, non..

_ 'ttiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Su-suis lààààààààààààààà !

Avez-vous déjà vu un macaron à la fraise taper un sprint ?

Maintenant, oui. Et pouf ! Dans les jupes d'Attia, dans lesquelles elle se niche, faisant fi de tous et toutes. Ranafout', c'est SA'ttia ! Tremble public, l'impératrice du mièvre est présente, la quintessence de la niaiserie est dans la place, la déesse du cu-cul pralinesque te gratifie de sa présence. Tu as peur ? Tu as raison, public.
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Tsampa

L'annonce avait surgit, là, comme par enchantement, alors que la brune s'ennuyait sévèrement par un matin brumeux. Les quais de Seine étaient froids, humides, comme Paris sait l'être quand tout semble aller de travers.
C'est les enluminures qui avaient attiré son regard.
De la couleur dans la grisaille. Eclat d'espoir pour animer une journée qu'elle voyait fadasse devant des piles de parchemins, à tenter vainement de déterminer le tracé de la frontière entre le Maine et l'Alençon.

Passage rapide à l'hotel Saint Paul, minois annonçant quelques plans pas forcément appréciés de sa future moitié, sourire ravageur et cils battants, ou en deux leçons comment repartir avec une bourse emplie d'écus faire ses emplettes aux galeries Lafayotte.
Elle sait qu'il va trainer les pieds pour y aller, elle sait qu'elle va défaillir à chaque regard féminin porté sur lui, ou l'inverse d'ailleurs, qui regarde qui en premier étant finalement sans importance.
Mais ... elle veut une nouvelle robe. Caprice puéril, puisqu'elle a maintenant une nouvelle réputation à tenir, mais comme toutes ici présentes, elle n'a plus rien à se mettre, et on le sait toutes il n'y a pas plus vide qu'une malle pleine.

Déjà dans la salle, elle aperçoit sa maréchale et son clone, les blondes Guyenne et Etampes, la deuxième louchant dangereusement sur un modèle mis aux enchères.
Blink aussi est de la partie. Elle ne l'a pas revu depuis des lustres, et même s'il semble avoir vieilli, elle remarque qu'il continue de faire le joli coeur devant les dames de tous ages.

Hésitations, tergiversations ...
La 10? la 61?
En rouge? en bleu?

Dis ... on fait un crochet par l'atelier avant de rentrer?

Je vais prendre une robe d'Attia, la 10, en bleu et or.
Et j'irais commander la 61, avec la capuche, mais dans un autre coloris, demain.
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Mclegrand

Et une Tsampa sautillante qui sait pas comment demander ce qu'elle va demander... aïe.

Qu'est-ce qu'elle a encore bien pu trouver... Oula.
Une vente exceptionnelle de ... euh... vêtements ? nan mais... tu crois pas que t'en as assez des robes ? On serait obligé de ranger tes émaux dans le moulin pour mettre une nouvelle armoire chez moi !

"C'est non, non non non et non. Et re-non.
Pas question.
Puis vu où c'est, ça sera sûrement trop cher.
Non. "

[...] (plus tard, aux halles)

Ouais, bon, le résultat était prévisible, il a craqué devant son regard, et il s'est retrouvé là, aux halles (au moins, ça, elle sait trouver sans se perdre, dans Paris ! ) , avec Elle, et la regarde choisir une robe.... tss.

Evidemment, les plus belles sont pour la haute noblesse, mais bon... Il aurait dû penser à demander à Rhân, à Alix ou à Eilinn - tiens, pas vue depuis un moment, elle... faudra prendre de ses nouvelles - de venir avec lui pour tenter d'en avoir une... tant pis, une autre fois. Là, il s'agit de surveiller sa brune à lui sans en regarder d'autres histoire qu'elle ne mette pas le feu au magasin. Enfin, on peut regarder qui ya, quand même. Plein de monde bien habillé, 'videmment. Des gens souvent à Paris comme lui... et Blink rencontré en Alençon...et des gens croisés dans différentes institutions royales, sans trop savoir qui est qui ... mmh.

"Un crochet par l'atelier ?" Bah tant qu'on est là, on va quand même pas repartir les mains vides...
"La 10. La 61. "

Mc tourna son regard vers elle, fronçant les sourcils

hééé ! Ca fait deux, ça !
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Sophie

La comtesse Sophie reconnu Jake et le salua.

Bonjour Jake! La deuxième robe me plairaît énormément je vais miser 3ooo écus pour celle-là.

Bien entendu j'ai commandé à l'Atelier des doigts d'or pour faire une suprise à Cyphus.

Ah! aussi la tenue pour monsieur, évidemment pour Cyphus pour lui faire la surprise hihi

Elle écarquillait les yeux devant ses beaux modèles, elle rêvait d'avoir la deuxième et la dernière tenue pour son époux.
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--Severus_nonrigolus

Il attendit, regardant les mains se lever, essayant de reconnaitre les plus nanties le temps que son assistant revienne avec les bulletins.
L'arrivée impromptue de la Varenne, cette femme qu'il avait deja croisée a l'atelier le laissa de marbre.
Avec les nombreux pourboires qu'il avait détournés a Maitre Attia et ce que cette vente au encheres allait lui rapporter, il n'avait nul besoin de se laisser corrompre.
Il fit neanmoins un signe de tete alors qu'elle essayait son approche, on est fourbe ou on ne l'es pas.
Alors que plus aucune personne ne se manifestait pour la première robe, il claqua des doigts pour que son chien chien personnel rien qu'a lui accoure avec les bulletins qu'il atrappa presque fébriles.

Ceci fait il les depouilla soigneusement et un instant sa pupille brilla du prix qu'il vit s'inscrire sur les parchemins.
Cette vente aux encheres était splendide! Splendide.

- Bien... Pour la premiere robe de la vente nous avons 4 offres:

Dame Elianor de Vergy
Dame Marie Alice Alterac
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Sorane de Voiturienvenir

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grace Marie Alice Alterac.

Il ne donna pas le montant de l'enchere afin de ne pas influencer la vente qui suivra. A la fin, il pourrait jeter a la face du monde et aussi a celle de sa divine maitresse, les montants scandaleux qu'etaient prete a debourser la noblesse pour des merveilles de tissu.

Ne laissant pas le temps aux perdantes de se lamenter et ainsi decourager le reste de l'assemblée, il lanca la seconde enchere.

- Nous allons passer au second modèle.
Une superbe robe a tassel, La robe en Damas, bordé de Zibeline de Sibérie, le tassel en velours pourpre ceinturé d'un ruban de soie, coiffée d'un hénin. Mise de départ 2650. A vos encheres. Levez la main afin que Giovanni puisse venir aupres de vous. Je crois que nous avons deja plusieurs personnes interessées.

Satisfait et confiant le Sévère planait. Rien a cet instant n'aurait pu le rendre hargneux, il comptait deja mentalement les ecus.

Resultat du tirage de dés pour la premiere enchere. - http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/encher10.png
Tirage de dés pour la seconde robe, demain dans la nuit. Je prendrai en compte les noms de ceux qui ont exprimé qu'ils voulaient la dite robe s'ils n'ont pas le temps de poster demain.

Constance_de_cleves

Constance avait eu vent d’une vente aux enchères de tenues à l’occasion du sacre de Sa Majesté Béatrice. Elle avait hâte de l’apercevoir cette Von Frayner-Castelmaure… La hâte est une chose mais elle ne suffit pas à rapprocher la Lorraine de Paris, il lui en avait fallu à la Porte Parole de Lorraine pour s’organiser, finaliser des dossiers, laisser des consignes, prendre des tenues…

De plus elle ne connaissait pas bien Paris, impossible de gagner du temps une fois sur place. Impossible aussi de changer de tenue, après tout cela pourrait justifier son achat. Sa tenue était simple pour supporter le voyage mais elle l'aimait beaucoup. Elle ne provenait pas de l'Atelier des Doigts d'Or car elle ne l'avait encore jamais visité mais ça risquait bien de changer.

Lorsqu’elle arriva enfin les enchères avaient déjà commencé. Est-ce qu’elle avait tout loupé ? Combien de tenues venaient de lui passer sous le nez ? La réponse ne se fit pas attendre.

--Severus_nonrigolus a écrit:

- Bien... Pour la premiere robe de la vente nous avons 4 offres:

Dame Elianor de Vergy
Dame Marie Alice Alterac
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Sorane de Voiturienvenir

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grace Marie Alice Alterac.

Mince alors… j’arrive trop tard… cette sublime alliance de cyan et de pourpre ne sera pas pour moi.

Elle se mit ensuite à chercher du regard la fameuse Marie Alice, elle se souvenait de l’avoir rencontrée en Bourgogne. Constance n’avait pas réfléchit aux personnes qui pourraient être présentes. Il était évident qu’il devait y avoir de nombreux Bourguignon, elle se demandait si elle verrait Della et son époux.

--Severus_nonrigolus a écrit:

[- Nous allons passer au second modèle.
Une superbe robe a tassel, La robe en Damas, bordé de Zibeline de Sibérie, le tassel en velours pourpre ceinturé d'un ruban de soie, coiffée d'un hénin. Mise de départ 2650. A vos encheres. Levez la main afin que Giovanni puisse venir aupres de vous. Je crois que nous avons deja plusieurs personnes interessées.

La Vicomtesse sortit alors de ses rêveries. Elle tourna à nouveau la tête vers l’estrade. Comme cette robe était belle : elle pouvait cacher les formes dues aux excès des fêtes. Ce qu’elle aimait encore plus était la coiffe.
Un rapide coup d’œil aux tenues restantes : une robe et une tenue pour homme. Elle trouvait qu’elle avait passé l’âge pour ce genre de robe donc elle leva la main pour la seconde robe. Oh oui elle la voulait cette robe !! La couleur changerait de tout ce qu’elle avait déjà.
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Neyco

Ahhhhhh tant pis po de robe, mais la 2 ah ca po la lâcher. Elle avait promis a sa Comtessa Lily-Jane de folle cousine de lui ramener robe.

Bon c'était pas gagner mais bon. Tant qu'on y était. Autant tenter le tout pour le tout. Vu que madame ne pouvait ce déplacer. Rha qu'elle idée aussi d'être intendante. Bon d'ailleurs ou qu'elle avait mit le parchemin pour les courses, l'avait elle envoyer? Bon tant pis elle verrai au retour a la maison. Au pire les caves n'allaient point ce vider en une nuit de toute manière.

Recopiant parchemin rapidement.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi (pour sa cousine la Comtessa de Lavaur)

Robe: Numéro 2

Mise: XXX

Prenant parchemin au bout des doigts, elle leva sa petite main montrer qu'elle mettait enchère.

Maintenant a plus qu'a attendre les autres.
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Sorane

Tant pis, il lui restait encore une chance d'acquérir l'autre robe, dont l'enchère venait justement de s'ouvrir.
Elle héla donc l'assistant pour lui glisser son offre rédigée, plus généreuse que la première. Tant pis, elle se permettait un excès... un gros excès...

Une petite voix dans sa tête grognait en disant que ce n'était vraiment pas raisonnable, mais un coup d'oeil sur la robe suffisait à éloigner la petite voix.

Voilà, l'assistant avait son offre pour la robe 2, il ne restait plus qu'à espérer, très fort... très très fort !
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Fleur

La robe numéro 1 venait d'être remportée. Le Sévère annonça la mise à prix de la seconde robe, un des deux modèles pour lesquels Fleur avait demandé à son époux de porter enchère. Instinctivement, elle donna un coup de coude à Léo pour qu'il lève la main. Il semblait qu'elles étaient plusieurs sur le coup, ce ne serait donc pas facile de l'avoir. Elle comptait sur une bonne dose de chance pour cela. Elle observait les personnes qui misaient sur ce modèle, un peu plus nombreuses semblait-il que pour le premier modèle. La lutte serait donc rude, mais ces modèles étaient si exquis que cela ne l'étonna pas outre mesure. Une fois que son époux eut fait sa mise aux enchères, elle lui prit la main...et la serra sans s'en rendre compte, au point tel qu'elle lui écrasait les doigts. Il faut dire qu'à la vue de ces modèles, l'envie d'en devenir propriétaire était devenue un leitmotiv incessant. L'attente se fit sentir et elle avait hâte de connaître l'heureuse élue qui remporterait ce magnifique modèle.

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Elianor_de_vergy

La quintefeuille avait constaté avec un sourire complice que la mauvaise humeur de sa soeur d'armes n'avait guère duré. Au vrai, quelle femme normalement constituée aurait pu résister à l'attrait de telles merveilles de tissus et de fourrures?

C'est avec une moue de dépit que la duqueseta avait vu la première robe lui filer sous le nez. Voilà, on essayait de limiter quelque peu les dépenses, par un reste vague de bonne conscience, et on manquait l'enchère. On ne l'y prendrait plus à lésiner sur la mise !

C'est alors qu'ils LA présentèrent. LA robe qui laissa la poupée pantoise et quasiment frémissante d'envie. Excitée comme une puce, elle fit signe à l'assistant qui recueillait les enchères pour lui remettre son bulletin. Elle hésita sur la somme à inscrire. Un très bref instant. Elle voulait cette robe, à tout prix, c'était le cas de le dire! Elle mentionna finalement sa mise, passablement déraisonnable, avant de rendre le bulletin au dénommé Giovanni. Avec un petit haussement négligent des épaules, elle lança en manière de boutade à Eugénie.

Je fais des folies mais cette robe est une splendeur, je la veux absolument! Mais il va vraiment falloir que je trouve un intendant du genre carnassier pour mes terres alençonnaises, histoire de pouvoir augmenter les redevances de mes paysans!

Apercevant une troisième comparse de l'hérauderie en la personne de Tsampa et lui fit un petit signe de la main. Si le coeur lui en disait, l'alençonnaise pourrait se joindre à elles pour la suite de la vente.
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Mariealice

Voilà, les enchères étaient closes pour la robe, restait donc à croiser les doigts en espérant avoir cette merveille qui lui avait tapé dans l'oeil le jour du défilé. Marie avait sourit à Attia lorsqu'elle lui avait murmuré qu'elle espérait qu'elle l'emporterait mais en aurait-elle la chance?

Elle observa Sévère qui, comme d'habitude, affichait son air renfrogné. Le jour où elle le verrait sourire celui-là...

Bon elles avaient été quatre à enchérir. Une chance sur quatre. Petite moue avant de retenir un cri de triomphe. Elle l'avait. Bon d'accord elle l'avait payé un prix.... Dont elle ne parlerait pas. Mais puisqu'elle en avait les moyens, pour une fois elle s'était fait plaisir.

La brune se leva et se dirigea vers Sévère, adressant un grand sourire à Attia au passage.

Bonjour Sévère. Dois-je vous payer tout de suite?

Le contraire l'étonnerait connaissant l'oiseau.
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Tutia...

Tutia avait décidé de faire le voyage jusqu'à Paris, certes cela allait faire un trou dans ses finances, rien que pour trouver un transport, mais bon elle était curieuse de savoir comment se déroulait une vente aux enchères. D'autres penseraient qu'elle était bien ignorante, mais elle n'y assistait jamais, elle n'était pas une paysanne mais également ni noble et n'occupait aucune fonction importante, à part simple peintre à l'atelier et herboriste. Aussi avait elle mis la plus belle robe qu'elle avait pu trouver dans son armoire, certes elle se doutait qu'elle risquerait de faire un peu tache, même beaucoup, parmi tous les clients et clientes de haute lignée, mais après tout tant pis.

Ainsi après un voyage peu confortable mais qu'elle supportait, elle arriva dans les rues de la capitale. En effet, nombreuses dames et seigneurs marchaient élégamment vêtus. S'arrêtant d'y prêter attention, elle se mit à la recherche de l'échoppe où se déroulait la vente. Au bout de quelques temps, elle la trouva enfin, échoppe animée parmi tant d'autres.

Poussant la porte elle entendit un homme annoncé le début de la deuxième enchère. Pour ne pas changer la jeune asiatique était arrivée en retard. Se faisant discrète la brunette alla se placer dans un coin d'où elle pouvait suivre les enchères, ayant repéré préalablement Breiz, Jenah et Attia.
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/

Leonin

Evidemment, mis à part Fleur et Attia, il ne connaissait personne. Alors, il restait juste à côté de sa femme sans rien dire, scrutant soigneusement les différents habits mis aux enchères. Il avait parlé à Sévère, mais comme il s'y attendait, pas de réponse. Tant pis.
Mais tout à coup, il sortit de ses rêveries quand il entendit une voix. Il la connaissait et elle n'avait plus résonné à ses oreilles depuis bien longtemps. Il regarda l'homme devant lui et il fit un large sourire. Il l'avait bien reconnu.

Bonjour Jake !
Il lui serra la main chaleureusement.
Je vais bien merci. En effet, ça fait terriblement longtemps. Quoique ... J'avais eu quelques nouvelles de toi il y a quelques mois. Ca va bien ... Je te présente Fleur, ma femme.
Et toi, qu'est-ce que tu deviens ? Qu'est-ce que tu me raconte de beau ?
Puis il se rendit compte que la première enchère était terminée. Enfin, disons plutôt que Fleur venait de l'avertir par un vigoureux coup de coude.
Hum ... Je m'excuse ... Je vais devoir te laisser quelques minutes ... Je dois participer à une enchère.

Alors, comme les autres, il remplit le petit bout de papier avec le montant qu'il désirait et il leva la main pour qu'on accepte son enchère.

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Catalina_constance

Invitation reçu adressé de la part de l'Atelier des doigts d'or, atelier qui créait souvent de très belles robes, alors une Volpilhat assise dans son carrosse coloré aux armes de la famille au renard. En l'honneur du sacre, de Beatrice, accompagnée de l'équipe habituelle, la petite Candice, Judith, Adeline!
Elle n'avait pas encore vu les robes, oui elle n'avait pu voir jusque la les tenues, oui elle avait loupé le défilé... Mais rare était les fois ou le maitre de l'atelier faisait des robes sans gout.

Donc on y est, la jeune femme en tête de la petite troupe arrive sur le lieu de l'enchère, la deuxième vient de partir.
Heureusement sa préféré, la seconde!
La petite Duchesse de Salm se perd un instant dans ses rêves, elle lui irait à merveille pour sur elle n'est pas blanche, mais peut être que pour la grande occasion, elle pourrait se vêtir de couleur...

La tête rousse, acquiesce pour elle même, les yeux émeraudes se plissent, et la main pale se lève.

Enchère pour la seconde robe!

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Calyce.

Enchères organisées par l'atelier qui l'a recrutée depuis peu. Nouvelle occasion de déambuler dans les rues de la capitale, de dépenser ses écus ou ceux d'un chaperon forcé. Le choix de la môme s'était porté sur un lyonnais qui a toute la confiance d'une suzeraine aux aguets. Y voyant même l'occasion pour que le barbu couronné s'acquitte enfin de sa dette : Il y achètera sa robe.
Un petit courrier indiquant l'endroit où va se tenir l'événement avec l'espoir qu'il aille pas se perdre et hop une Calyce à Paris !

Le droit de flâner tranquillement, ne rien faire d'autre que de choisir LA robe de chez les Doigts d'Or, contrairement à une Trella qui se retrouvait de l'autre côté du comptoir. Elle prend son temps l'angevine, elle le prend tellement que c'est en retard qu'elle se pointe à l'entrée de l'échoppe. Les filles devaient déjà avoir vendu la moitié de leur confection, humpf ! Et elle y restera un moment à attendre à la porte que le lyonnais daigne enfin montrer ses bottes, se contentant de le tirer par le bras, l'entrainant à l'intérieur une fois qu'il est arrivé. Pas le temps de jouer au sermonnaire, les froufrous n'attendent pas et la jeune fille grimace en imaginant déjà les clientes qui se les arrachent.
Léger soupire de soulagement en constatant le calme qui règne dans la pièce. Mirettes encadrées de sourcils froncés qui se lèvent bien haut pour se poser sur le compagnon du jour et d'y murmurer.

J'vois clair dans vot'jeu de retardataire qui veut pas payer MA robe ! Vous avez de la chance, y en a encore... c'est ballot hein ?

Toujours le temps pour râler finalement.
La mimine s'agite timidement pour saluer les personnes qu'elle reconnaît au fur et à mesure qu'ils s'enfoncent dans la pièce et finit par venir presser légèrement le bras du vicomte quand elle revoit les modèles Attiesques mis aux enchères. Pas la première fois qu'elle les voit et pourtant l'effet que lui font ces tenues, reste le même : ils la laissent muette. Mutisme qui ne dure qu'un temps. Le temps d'apercevoir l'autre angevine. A son regard en biais, elle répond par un sourire en coin après avoir salué les autres couturières présentes, les émeraudes qui s'attardent sur la jolie petite boule rose cramponnée aux jupons de la cheftaine. Puis hop on en revient à Trella. Pas de présentations, elle connait déjà le barbu.

Vlà l'homme qui va acheter TOUTES tes réalisations, Trella.
Sourire moqueur en zyeutant l'homme en question.
Faites pas c'te tête rhoooo. Je taquine...j'en prendrais que trois ! Pis je vous imagine bien dans le modèle pour homme d'Attia, là, vous voyez ?
Le menton désigne la tenue en question et...
Han ! Eugénie !
Ou quand la brunette reconnaît une fée.
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Fleur

Fleur était si concentrée sur cette vente aux enchères qu'elle n'entendit pas son époux la présenter. Quand elle se rendit compte qu'un Messire était en train de converser avec Léo. Elle rosit, confuse de ne point avoir remarqué sa présence avant. Elle laissa son époux porter l'enchère puis s'excusa auprès de son ami pour sa distraction et finit par se présenter.

Bien le bonjour Messire,

Vous me pardonnerez ma distraction mais ces robes sont si belles que je ne voudrai point que nous manquions la vente et j'avoue ne pas avoir remarqué votre présence. Je me présente Fleur, nouvellement mariée à Léonin. Si j'ai bien compris vous êtes un de ses "vieux" amis. Je suis surprise de ne point vous avoir rencontré avant, à moins que vous ayez quitté la Franche-Comté depuis belles lurettes. En tout cas, je suis enchantée de vous rencontrer.

Fleur sourit, son époux revint à leurs côtés. Elle le remercia pour son enchère d'un doux baiser et ils conversèrent tous ensemble, les hommes parlant du bon vieux temps.

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Attia.

- 'ttiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ! Su-suis lààààààààààààààà !

A peine la gitane a t'elle le temps de se retourner pour apercevoir la rosy princesse que celle si l'attrape deja par les jupons, exprimant un joie si pure si innocente que la gitane se fait caramel mou a l'intérieur.

- Votre gracieuseté! Comme je suis contente de vous voir.

Sourire tendre alors qu'elle avise une legere reverence a la nounou avant de se baisser au niveau de la petite bombonne de bonne humeur, redressant une meche de sa chevelure blonde.

- Comment va la princesse des fées ? Vous savez que j'ai toujours votre robe du défilé, il faudra que vous la recupériez, vous voyez elle est rien que pour vous, je ne l'ai pas mise en vente. Peut etre voudriez vous la mettre pour votre gouter special ?

Pour ce qui etait de la robe, elle revenait de droit a la petiote boule rose Primo parce que la rosy princesse etait la seule gosse noble pour qui elle avait cousu cette robe. Deuxio fallait se l'avouer, n'importe quelle enfant de la noblesse flotterait dedans... Mais Attia aimait cela, cette originalité, cette exubérance, ce concentré d'anti depresseurs! Et elle gratifia l'enfante d'un clin d'oeil avant de se pencher sur le ton de la confidence.

- Dites pendant que les gens seront en train de se disputer les robes, ça vous dirait de m'accompagner chez Ella Durée choisir quelques gourmandises a offrir a nos hotes pour leur présence ? Que diriez vous de macarons ? De bon Macarons a la rose ?

Elle sourit en grand. Gâteau la gitane ? Non Macaron!
C'est sur il lui en fallait une... Mais elle était consciente qu'il n'y aurait jamais qu'une Yolanda Isabel.

Elle détourna un instant son attention pour entendre le verdict de la première enchère. En entendant le nom de Marie Alice elle lança un cri de joie. La prière avait abouti! Youhouuuuu!!!

Alors que Marie passait a coté pour s'adresser au Sévère dont l'oeil brillait d'une lueur presque concupiscente , elle en profita pour la féliciter.

- Oh Marie, Félicitations! Comme je suis contente que vous ayez remporté cette enchère! Vous la méritez vraiment cette robe...

Elle aurait presque pu lâcher une larmichette, c'etait un de ses bébés qui partait quand même, mais dans de bonnes mains.

- Par contre pour le paiement , ce serait mieux apres la fin des enchères, le sévère pourrait défaillir a la vue des ecus...

Et de lacher un petit rire discret alors que le Sévère les gratifiait d'un oeil de junkie en manque.
Elle chercha Breiz du regard. Elle savait que la mere aimait cette robe qui s'appretait a partir, elle n'avait pas les moyens de lui offrir et ce serait contrevenir aux regles de l'enchere que de faire une disgression. Elle sourit de depit, mais elle lui coudrait une robe a la rousse, une robe en cadeau et en remerciement de tout ce qu'elle avait fait pour elle. Les revenus de la vente seraient suffisants pour se permettre cela.
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

Jenah

Jenah s'assit donc sur la chaise proposée, il n'était point raisonnable en son état de rester debout, alors qu'elle devrait accoucher en février si elle ne s'était pas trompée dans le décompte.Elle s'adressa ensuite à sa fillette :

Dis moi mon ange, si tu veux aller regarder de plus près les modèles, tu pourras y aller, ne t'éloignes cependant pas trop, avec tout ce monde... Tu pourras regarder les catalogues aussi, tu verras il y a la nouvelle robe que j'ai faite à la maison, qui est adaptée à mon ventre maintenant... Et puis tu regarderas bien les ouvrages des autres couturières, les miens tu peux les voir plus souvent...Allons ma petite Célia, tu peux y aller, vas, amuses toit. Et elle laissa ainsi sa fillette tout sourire, contente que sa mère l'ait emmenée pour ce voyage. Jenah ne se voyait pas partir seule et laissant sa fille à son époux qui était déjà fort occupé par la gestion de la ville, elle avait donc décidée de l'emmener, surtout qu'elle savait que la fillette se plairait à l'admiration des tissus.

La dame resta ainsi assise là à regarder les nobles gens accourir comme des abeilles attirer par la moindre sucrerie, elle ne connaissait que trop peu ces gens de la haute classe, malgré les visites qui se faisaient de plus en plus nombreuses à l'atelier. Mais Jenah y était moins qu'avant à l'atelier, elle devait maintenant faire le voyage de Franche-Comté et dans son état ça ne lui était pas possible trop souvent, son mari ne la laisserait jamais courir les routes ainsi.

La brunette regardait donc les gens arriver, elle reconnut tout de même l'ancien Franc-comte, le sieur Léonin, qui était tout occupé avec celle qui semblait être sa femme à admirer les différents modèles.

Pendant ce temps là la mise aux enchères avançait, la première robe était déjà attribuée, c'était sa préférée, mais elle regardait tout de même avec attention les suivantes que les dames s'arrachaient.

Solenn_wolback

Elle écoute le brouhaha s'apaiser tandis que le Sévère annonce la fin des enchères et le nom de la personne l'ayant remporté.
Un sourire en voyant la jeune femme heureuse de remporter la donne, et elle se concentre.
On passe donc à la deux. Ahhhhhh! La deuxième ?!
Or de question de manquer cette robe, elle se hâte de lever la main, même si elle a déjà averti le sévère de sa volonté d'enchérir.
Griffonnant sur un parchemin son nom ainsi que sa mise, elle le dépose dans le petit panier passant à cet effet et n'attend plus que le dépouillement des votes.
Elle piétinerait bien sur place, mais ... D'une part ça fait terriblement puérile, d'autre part elle a l'exemple à montrer à sa fille et enfin elle préfère éviter de se donner en spectacle.
Impatience quand tu nous tiens...
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Alwenna

La petite de se balancer de gauche à droite, trépignant d'impatience. Elle applaudit distraitement quand la Dame remporte la robe, et quand les enchères pour la deuxième robe commence, elle se force pour retenir un cri de stress.

Mama ! Mama ! Viiiiite !

Et de se mettre sur la pointe des pieds, en écarquillant les yeux à la vue de la somme mise. La Rose tire doucemement la main de sa mère vers elle et lui chuchote à l'oreille.

Avec tous ces zéros tu vas jamais y'arriver ...

Découragée, Alwenna fait une moue boudeuse, et prend une nouvelle sucette au chouchen.
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--Severus_nonrigolus

Oui il aurait pu defaillir, tant a la vue de l'enchere proposée par Marie Alice tant face a la tentation de descendre de l'estrade pour se saisir d'une bourse bien garnie afin d'en caresser la moindre piece d'or.
Il se contint face a la remarque de son maitre et tenta de se concentrer sur la seconde enchère alors que fébrile il attendait que Giovanni lui rapporte tous les bulletins. 8 offres, 8 montants faramineux, une qui se démarquait.

- Bien... Pour la seconde robe de la vente nous avons 8 offres:

Dame Catalina Constance de Volpihat
Dame Constace De Cleves
Dame Elianor de Vergy
Messire Leonin de Monmouth et madame
Dame Neyco de la Franche Mariémont Casaviechi
Dame Solenn Wolback de Montfort-Laval
Dame Sophie Du Poitou
Dame Sorane de Voiturienvenir

Apres depouillement des bulletins, j'ai le plaisir d'annoncer que l'enchere est remportée par sa grace Sorane de Voiturienvenir.

Encore une fois un lacher d'adrenaline fit battre son coeur a toute allure en lisant le montant. Scandaleusement scandaleux!!! Une fois de plus il le tut, tentant de retenir le tremblement fébrile de ses doigts.
Vite passer a la troisième. Ses nerfs ne tiendraient pas a ce régime.

- La troisième robe,est un modèle de style italien, robe de dessous de brocard de soie et de fil de bronze, robe de dessus de velours pourpre, aux deux bandes rubanées de brocard d'azur et argent, souligné d'un galon d'or. Mise de base 2600 ecus, Meme principe.

Il s'accorda une légère pose , le temps d'une gorgée de vin pour faire redescendre tout ça.

Desolé post edité car ya eu une erreur sur le premier tirage, j'avais oublié constance de cleves.
Apres plusieurs plantages du lanceur initial ( page blanche au moment du resultat) j'ai changé de lanceur : http://dicelog.com/dicefr
http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/enchee10.jpg
Se referer a l'explication sur le premier post du Severe.
Tirage de dés pour la 3e robe, demain.

Yolanda_isabel

Ce qui est bien avec Attia, c'est qu'elle lui sourit toujours, un sourire par-ci, un sourire par-là, on ne dirait pas qu'à cause de Yolanda, les pauvres yeux de la gitane s'escriment sur des soies roses, non, on ne dirait pas, ou alors, en plus d'être souriante, elle n'est pas rancunière. Et quand Attia sourit, Yolanda sourit, c'est mathématique ! Jusqu'à ce qu'elle parle de la robe.. A elle..

- Mais j'a pas payé ! Han ! Y faut payer ! C'est du combien ? Du moins cher que celle de robe de qu'il dit le Sévère ou du plus cher ? Constance ! Y faut payer ! On va demander à Papa, Papa y peut payer. On y demande di sous et y paye.

Ouffff .. La crise est passée, mais mettez-vous à sa place, elle se pare de jolies robes, mais elle sait bien que les couturières doivent être payées et à l'idée d'avoir oublié de le faire et qu'Attia se retrouve à mendier dans la rue, elle frissonne. Alors la main se pose sur le bras d'Attia, rassurant.

- Papa y va donner tout y faut.

Et pendant ce temps là, dans la tête de Yolanda : Macarons. Ch'ting ! Ella Durée. Ch'ting ! Et l'azur ? Ch'ting aussi ! Elle glisse sa main dans celle d'Attia et conspiratrice elle aussi, elle chuchote.

- C'est de la bonne idée, ça leur ferait du plaisir, je crois !

On attend qu'Attia ait fini partir avant de l'entraîner vers la sortie. Mission-macarons ! Discrétion et silence !

- On va chercher des Macaronnnnns ! A p'u tard !

Discrétion et silence qu'on disait.. Eukay..
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Sorane

Elle attendait, fébrile le dépouillement des offres faites, priant pour que son offre soit retenue, priant certes, mais qui ?
Elle était bien consciente qu'il était vain de prier le Très-Haut pour une robe, magnifique, splendide, certes, mais une robe, un objet luxueux, un rien de superficialité, alors qu'il y avait tant de malheur dans le monde.
Alors elle ne priait pas le Très-Haut, ni ses prophètes, ni même Saint Lazare ou un autre Saint, elle priait simplement, avec ferveur toutefois, serrant son éventail dans son poing, elle priait peut-être sa bonne étoile, le Sévère par la pensée bien qu'il soit tout aussi inutile de le supplier, seul les écus avaient le don de l'attendrir, elle priait pour que son offre soit la plus haute, mais qui allait entendre et exaucer sa prière... Personne.

Et enfin l'annonce fut faite par le Sombre qui sembla subitement s'illuminer et rayonner à l'annonce du résultat... Pourtant il ne souriait toujours pas.
Elle l'avait ! Ce joyaux fait de tissus était à elle, oui sa précieuse ... contre une somme tout à fait déraisonnable !
Elle tressaillait de joie et d'impatience à l'idée d'arborer la merveille, un rien nerveuse toutefois lorsqu'elle songeait à la somme qu'elle allait offrir en échange.

Elle fit signe à Hector qui s'approcha et elle lui glissa à l'oreille quelques mots.
Aussitôt, il sortit et revint accompagné de quelques gardes et portant une caissette de bois, qui semblait bien lourde.

Plus qu'à attendre la fin de l'enchère, elle ne doutait pas qu'elle verrait très vite le visage du Sévère venant réclamer leur dû.
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Constance_de_cleves

Bien que présente Constance avait encore loupé la robe... Il fallait se réjouir elle avait toujours ses écus mais ce qu'elle voulait c'était une robe et non plus des écus. Peut-être qu'il faudrait songer à faire une robe en écus afin de les utiliser.

A présent que faire? Consulter les catalogues et se résigner? Elle prit un des catalogues mais leva tout de même la tête en entendant le Sévère. Avec une telle voix, impossible de ne pas l'entendre me direz vous. Elle regarda donc la troisième et dernière robe et là le visage de sa soeur lui apparu. C'était évident, elle pouvait l'offrir à sa soeur, ce type de robe ça lui irait à elle.

Elle leva alors la main pour signifier qu'elle était intéressée par la robe de style italien.

Ensuite elle regarda autour d'elle, certains visages ne lui étaient pas inconnus même si pour l'heure elle n'était pas capable d'attribuer les noms correspondant. Elle remarqua aussi qu'il y avait un certain nombre de jeunes filles, très jeunes même. Elle se demandait bien ce qu'elle faisait là, surtout qu'elle avait l'air intéressée par les robes... Décidément Paris était un[i]e ville étrange.
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Plumedange

*Plume avait eut vent de la vente aux enchères et par chance Cecilia devait y venir aussi, sauf que Plume avait fait un détour par le collège pour récupérer de quoi payer la couturière si jamais elle avait la chance de remporter le moindre lot, mais aussi pour prendre de quoi écrire vu qu'elle était muette.
Vu la foule présente du coup, la blondinette avait perdu la princesse du chancelier.
Zut alors...
Elle avait suivit silencieusement les deux premières ventes qui ne l'intéressait que moyennement en fait et regarda les yeux brillants la troisième tenue.
Étant Vicomtesse elle pouvait participer aux ventes et intérieurement elle remercia son époux, avant d'oublier tout le reste et d'aller déposer son petit parchemin pour les enchères.
Les robes, les toilettes somptueuses étaient son péché mignon à vrai dire.
Elle aimait se pavaner dans des tenues resplendissantes, se sentir belle et si légère, les robes la faisait sans conteste rêver tout éveillée.
Ce petit parchemin donné à Sévère la rendait maintenant surexcitée, pourrait-elle attendre le résultat tranquillement?
La Vicomtesse ne savait si elle aurait la patience, elle rit intérieurement en s'imaginant courir avec la robe sous le bras, non vraiment l'image qu'elle avait imaginée ne collait pas avec elle du tout.*

Citation:

Bonjour,
Je suis Plume De La Chambre, Vicomtesse de Rochechinard et je désire enchérir sur la troisième tenue.
Merci d'avance de prendre en compte mon enchère.

*Le dit parchemin fut remis à Sévère lui rappelant son passage assez désastreux chez Attia.
Peut être faudrait-il qu'elle prenne un jour le temps d'échanger avec la couturière dont elle admirait énormément le travail.
Lors du défilé, elle avait vu les tenues et espérait réellement pouvoir remporter cette robe qui était tout à fait dans ses goûts.
Ce ne fut qu'au moment ou elle retournait dans la foule que Plume aperçu Axel et elle se dirigea vers elle pour la saluer et voir quels étaient ses goûts vestimentaires.*
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Neyco

Bon cette fois ci il lui fallait au moins la troisième bon sang c'était pas juste. Enfin elle verrai bien.

Levant main avec nouveau parchemin, la mini mit toutes ses économies afin de tenter plus encore.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi

Titre: Baronne de Hautpoul

Robe numéro 3.

Un regards a droite et a gauche, bon sang ca montait deja les enchères, quand ses Dames de Paris faisait dans la feste ca y allait bon train.
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Solenn_wolback

Déçue oui ! Elle pensait en avoir donné suffisamment pour que ça passe ! Dommage, mais bon ...
Elle détaille la trois, mais décide de ne pas poser d'enchères dessus. Elle a passé l'âge de ce genre de robe, trop jeune pour elle.
Un haussement d'épaule à l'adresse de sa blonde de fille.

Ce sera pour une prochaine fois choupinette!
Tu veux qu'on fasse un petit tour en attendant que les enchères soient finies ?
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Alwenna

La Rose soupire, déçue, triste, elle aurait tant voulu brandir cette robe en signe de victoire ! Elle soupire à nouveau, des rêves plein la tête, mais quand elle voit la troisième robe Alwenna a une illumination.

Elle ! C'est de la beauté ! Prend ! Môman prend 'te plaiiiit ! Pis si t'aimes pô Margot elle va aimer beaucoup plus !!! Pour le mariage de Naelhy ! 'Te plaiiit ! Met encore tout plein de zéros s'tu veux, faut l'avoir AB-SO-LU-MENT !

Rose effectue son regarde-de-la-mort-qui-tue, les yeux brillants, genre un regard du Chat Shrekien, hum.
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Solenn_wolback

Ah !? L'acheter tout de même ? Elle fronce le nez, fait la moue, hésite.
Se disant que la petite a peut être raison et ayant besoin d'une robe pour le mariage de sa nièce, elle hoche la tête, retient un soupire et sourit à sa choupinette.

Bon on va mettre une enchère alors !

Et de reprendre un parchemin et de regriffoner quelques mots et le prix qu'elle compte mettre pour la création. Un peu moins que pour la précédente, il faut l'admettre, mais tout de même une somme conséquente !

Un sourire au porteur du panier qui reprend les mots de ces dames et il ne reste plus qu'à attendre. Et espérer !
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Axel2fersen

Axel assistait impuissante au départ aux enchères des robes sublimes d'Attia, la troisième était sa préférée et elle aussi allait échoir à une inconnue... A moins que oui Plumette!! la jolie vicomtesse arrivait juste et alla déposer une requête à Sévérus ; puis vint à sa rencontre. >Ell attendait avec impatience le retour de l'apprenti de Nonrigolus pour voir si sa commande était validée.

Bonjour ma plume quel bon vent t'amène? (* plume vent jeux de mots toussa toussa...)
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Tutia...

Tutia suivait avec attention la vente aux enchères ... et lorsque le nom de la gagnante arriva sur l'enchère de la seconde robe, la brunette put voir déception sur le visage des unes et joie sur le visage d'une. La jeune asiatique ne put s'empêcher d'avoir une pensée pour celles qui n'avaient pu la remporter, mais que voulez vous c'est le but d'une vente aux enchères... En attendant le passage à la troisième enchère, la brunette regarda la foule de Dame, baronne, vicomtesse, et je ne sais quoi d'autres ; elle en connaissait certaines pour les avoir vu à l'atelier du côté des peintres dont elle faisait partie. C'est alors que l'homme en noir déclara l'ouverture de l'enchère pour la troisième robe, ainsi reportant son regard vers l'estrade, elle attendit de savoir qui la "gagnerait".
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/

Cristòl

Son devoir de héraut exigeait qu'il fût à Paris de temps à autres, quand bien même l'urbanisme et la puanteur de cette ville ne le répugnaient pas qu'à demi. Il savait le sacre de la Reine proche, car il avait, pour une raison ou une autre, sa charge ou l'un de ses titres, reçu en personne une invitation à s'y rendre.

Il lui faudrait être vêtu en circonstance, quoiqu'il répugnât aux fastes, et bien qu'il ignorât encore comment les chanoines de Saint Rémi se devraient d'être vêtus. C'est la raison pour laquelle il se rendit aux Galeries Lafayottes, qu'il fréquentait assez peu d'ordinaire. Il y trouva une agitation fébrile à laquelle il ne s'attendait pas, bien qu'elle fût prévisible : tous avaient la même démarche que lui, trouver comment se vêtir, pour le sacre ! Effet de bord, mon amour...
Le sacre, tous avaient ce mot à la bouche.

Il se trouva au milieu d'une vente aux enchères, et la robe actuellement en vente était absolument charmante. Il songea qu'il avait tant de femmes - épouse, fille, pupille - dans son entourage, de mensurations toutes différentes, qu'il en trouverait bien une sur le lot à qui la robe irait sans besoin de retouches... Enfin, pour sa petite Aimelina, il y aurait toujours besoin de retouches, mais il ne l'en aimait pas moins.

Il s'avança vers le maître des enchères et, ayant observé la façon par laquelle il convenait d'enchérir, il lui remit ce billet, non sans ébahissement à l'ouïe des sommes folles engagées pour cette couturière de renom :

Citation:

Nom: Cristòl de Sìarr, Comte du Gévaudan, Vicomte des Fenouillèdes, Baron de Saint-Félix et d'Alaigne, Seigneur de Mireval, Chevalier de France

Robe numéro 3.

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Fleur

Le second modèle lui passait sous le nez. Fleur se tourna vers son époux, légèrement désappointée.

Dis moi, mon chéri, quel montant as-tu mis pour que cette magnifique robe nous passe sous le nez? Il fallait y mettre une somme absolument scandaleuse. Tu sais qu'elle me plaisait tant. Bon, je vais prendre les choses en mains, regarde faire l'artiste.

Fleur leva la main à l'intention du Gigi national, elle inscrivit un chiffre absolument indécent sur le parchemin pour l'enchère de cette troisième robe et le remit à l'homme qui s'approchait d'elle.

Tenez voici mon enchère pour la troisième robe.

Citation:

Enchère émise par : Fleur de Monmouth, Vicomtesse de Sellières et du Doubs, Baronne douairière de Quingey, Dame de Villers-Farlay

Objet : Robe numéro 3

Montant : XXXXX écus

Son époux s'était penché par-dessus son épaule pour voir le montant inscrit, quand elle se retourna vers lui, il avait les yeux écarquillés et avait perdu la voix.

Mon chéri, ça va? Dis moi quelque chose voyons. Cette robe est absolument divine et m'ira très bien, surtout quand ma grossesse commencera à se voir. Tu ne trouves pas? Parle-moi s'il te plaît, allez...

Fleur se tut et attendit que son époux retrouve l'usage de la parole.

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Tsampa

Tsampa s'était demandée si son promis était vraiment concentré sur ce qu'elle racontait.
Elle s'était attendue à un "oui oui" distrait, autorisation tacite qu'elle lui aurait rappelé au moment de lui faire payer la deuxième robe, à l'atelier.

Ça fait deux robes? tu crois vraiment?
Bon alors, on va faire un marché. je vois bien que c'est pure jalousie ta remarque. C'est parce que je vais repartir avec deux tenues et toi aucune que tu râles.

Sourire malicieux affiché, elle tourne les pages masculines du catalogue.

Ttt - ttt- tt, fais pas cette tête là. Ces robes sont des achats bien plus utiles que les affaires dont tu m'as parlé hier.
Regarde, là, la 16, tu serais d'une élégance rare avec ceci.
Et puis ... t'es riiiiiiiiiiche toi!

Avisant les deux maréchales d'armes plus loin dans la salle, elle entraine Mc vers elles.

... il va vraiment falloir que je trouve un intendant du genre carnassier pour mes terres alençonnaises, histoire de pouvoir augmenter les redevances de mes paysans!

Saisissant au passage les dernières paroles de la poupée guyennoise, elle s'approche et une fois suffisament proches d'elles pour être entendue, elle demande, innocement, il va de soi, à son promis

Tu crois que je suis carnassière moi?

Guyenne, Etampes, le bon jour.
Je vous présente mon promis, Mclegrand.
Mc, Elianore de Vergy, et Eugénie de Varennes.
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Plumedange

*Plume sourit aux paroles d'Axel.
Portée par le vent elle l'était mais elle espérait que c'était le doux vent du sud qui l'emmenait aux quatre coins du royaume et non le froid et glacial vent d'hiver qui soufflait parfois autour d'elle s'en parvenir à l'emmener vers des lieux encore plus hostiles.
Là, elle était ici pour on plaisir et son regard se porta tout naturellement sur les robes, enfin la robe puisque les deux autres avaient disparu probablement déjà emballée pour leur future propriétaire, dont une était la maman de celle qui avait faillit devenir sa tata.
La blondinette montra ensuite Axel puis la robe présentée interrogative, se demandant si elle avait un moyen d'enchérir elle aussi ou si malheureusement elle ne venait que voir les magnifiques robes s'envoler vers l'inconnu.
A vrai dire, elle avait déposé une enchère sur la robe n°3 mais les dams se bousculant pour enchérir étaient si nombreuses que la probabilité qu'elle lui tomba dans les mains était infime et Plume avait déjà récupéré des brochures de robes exceptionnelles au cas ou.
Elle les sortit d'ailleurs au cas ou Axel aurait voulu les feuilleter avec elle et avec...
Mais ou était-elle donc?
La Vicomtesse chercha autour d'elle Cecilia sans succès.
Elle n'était pourtant pas si petite que sa ou avait-elle donc disparu??*
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Leonin

Le résultat de la première enchère venait de se terminer. Il était déçu car il ne l'avait pas obtenue. Il avait fait une folie et mis un prix scandaleux, mais apparemment pas assez pour avoir eu la robe.

Bah ... Si, j'avais mis une belle somme, mais apparemment pas assez ... J'espère que pour la troisième robe on y arrivera. Et ...

Il n'eut même pas le temps de répondre que Fleur venait de remplir le feuillet et il regarda au dessus de son épaule. Il fut tellement surpris par le montant décidément très scandaleux et il en écarquilla les yeux.

Euh ... Tu as mis beaucoup quand même ... Mais j'espère que ça suffira. Enfin j'espère ... Hum ...

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--Severus_nonrigolus

Cecilia

Cristòl

Elianor_de_vergy

Mclegrand

jake

Neyco

Catalogue de Dona Estrella, robe numéro 11.

Pour La Baronne de Hautpoul, Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

Bon on attend enfin la fin pour ce précipiter sur les filles.
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--Giovanni_casanova

Tsampa

Leonin

Citation:

Enchère émise par : Léonin de Monmouth, Vicomte de Sellières et de Doubs.

Objet : tenue pour homme

Montant : XXXXX écus

Il plia le feuillet, faisant attention à ce que Fleur ne puisse pas voir le montant exorbitant qu'il venait de mettre et il tendit la main.

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--Severus_nonrigolus

Je laisse cette journée encore, vu que le WE a été calme. Si aucune autre enchere, la tenue sera decernée d'office a Leonin. A ce soir pour le verdict.

Neyco

La mini réfléchissait, était ce possible pour son chevalier? Rho et puis zut.

Levant main la mini a la chance totalement nulle fit inscription.

Nom: Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi

Titre: Baronne de Hautpoul

Robe/ tenue: Numéro 4

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--Severus_nonrigolus

Resultat du tirage leonin/Neyco - http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/encher18.jpg
Le RP du sacre ayant debuté, priorité aux commandes pour le sacre pour adaptation!

Neyco

Catalogue de Dona Estrella, robe numéro 11.

Pour La Baronne de Hautpoul, Neyco de la Franche Mariemont Casaviecchi.

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Tsampa

Citation:

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--Giovanni_casanova

Gigi repassait donc sur consigne de son maestro entre les dames, notant sur le velin quel modele était attribué a quelle commanditaire, car contrairement a leur installation a l'atelier ou les robes du catalogue etaient faisables et modifiables a souhait, celles qui etaient présentées ne l'étaient malheureusement pas. Premièrement parce que ce n’était point le lieu ni le contexte, car il s'agissait d'une vente, qu'elles n'avaient pas leur matériel et qu'elle n'avaient pas le temps.
Aussi eut il besoin de le clarifier a l'attention de la dame qui lui tendait ce qui ressemblait a une commande a la signora Des Juli.

- Ahem signora... Tsampa...

Lut il rapidement avant de poursuivre.

- Pour gagner du temps et aussi parcequ'il est impossible de creer quantités de robes en peu de temps, nos couturières ont confectionné les robes a l'avance, elle ne seront donc pas modifiable, seuls les ajustements necessaires a la taille le seront. Si vous souhaitez le modele numéro 10 aujourd'hui j'ai bien peur qu'il vous faille le prendre tel quel . Pour des adaptations sur mesure et personnalisés, il faudra passer a l'atelier, malheureusement pour le sacre ce sera trop court.

Il sourit esperant qu'elle comprenne et attendit qu'elle confirme ou non sa commande scrutant l'assemblée pour d'autres commandes, notamment le sire qui en voulait une pour sa fille...

Comme l'a indiqué LJD Severe, pour des soucis de coherence RP, il s'agit d'une vente pas d'une prise de commandes.
c'est pourquoi nous vous proposons ici des adaptations rapides de modeles.
RP parlant ces modeles sont considérés comme confectionnés en modele unique et prêts a porter comme dans une boutique et payés sur place.
Donc RP parlant ça va impliquer que deux personnes ne pourront demander la robe n°10 d'Attia par ex comme ça au sacre vous etes sure d'etre la seule a la porter.
C'est plus rapide et commode pour les joueuses de couturières surtout que le RP du sacre a déjà commencé.
Les autres prises de commande se font sur le forum annexe de l'atelier, mais pour le sacre ça va etre juste vous risquez de ne pas avoir de reponse.
Si besoin de plus d'explications, MP .
Merci.

http://i30.servimg.com/u/f30/12/20/65/89/ban-gi10.png

Axel2fersen

Axel s'avança de Gigi pour s'assurer qu'il avait bien pris sa commande celle-ci ayant été faite bien avant l'heure "légale" . Elle lui sourit et le regarda avec la douceur maternelle qu'elle offrait toujours à ses interlocuteur, à part au sévère bien entendu puisque ce dernier se faisait un malin plaisir à la terroriser. elle se demandait d'ailleurs si là n'était pas l'autre lieu de la jouissance suprême de Nonrigolus après la collecte d'écus

Monsieur Giovani dois-je vous redonner les mensurations de ma fille? Ou la commande que j'ai passée jadis à l'atelier suffit?
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Neyco

Et elle qui avait une commande spéciale, hum a voir si c'était possible mais le Gigi ne semblait rien lui dire soit il ne l'avait pas vue sautiller, soi t il n'y aurai aucun soucis. Ce qui serai parfait surtout pour sa chipie de cousine qui devait préparer le voyage pour le sacre. Enfin devait car vu son état ses derniers temps elle devrait gérer a distance sur le chemin du retour pour après filer a nouveau au sacre.

Note mentale a soit même, ne plus confier de responsabilité a la grande Casa tant que celle ci n'aurai point retrouver ses esprit.

Un sourcil lever écoutant rapidement les Dame donner leur mesure, ah oui tiens et elle, rho le nain.

Euh vous auriez besoin de nos mesures je supposes ou celle de l'atelier iront? Je crois que nous les avons deja donner.
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Tsampa

La jeune femme écouta avec attention le sieur, et après une petite moue déçue

Je comprends très bien, alors...
Je prendrais la 10 en brocard marine, tel que présentée ici.
Et ... pour les broderies, tout ça ... cela me fera l'occasion de visiter votre atelier.

Elle s'y voyait déjà, aux Doigts d'Or, avec les économies de son promis...
Et puis, elle avait une robe de mariée à se faire confectionner ...
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Tutia...

Et voilà la vente aux enchères était terminée, mais la journée était loin d'être finie, en effet, à peine le verdict prononcé pour la tenue d'hommes, Tutia vit bon nombre des personnes présentent littéralement sauter sur les catalogues des couturières. En effet d'après ce qu'elle entendait, toutes ces personnes allaient assister au sacre de la nouvelle Reyne et avaient besoin en urgence d'une magnifique tenue afin d'y paraître. La jeune asiatique ne doutait pas que la cérémonie serait tout un étalage de toilettes plus belles les unes que les autres en l'honneur de la Reyne Beatritz.
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Atelier : cliquez sur la bannière ; Confrérie : http://silmarien.forumactif.net/

Jenah

Jenah était étonnée, voila qu'on lui commandait dans son ancien catalogue, elle ne pensais pas que cette robe partirait et l'avait ammenée à tout hasard, elle avait finallement eu du nez la femme enceinte pourtant en ce moment c'était plutôt du ventre qu'elle avait. Bref, elle alla donc fouiller dans les grands étalages comportant les modèles créés et amenés pour l'occasion et revient un peu plus tard vers la dame Neyco.

Bien, le bonjour dame, je suis Jenah Dumas, couturière aux Doigts d'Or. Voici la tennue pour votre amie, le Sévère vous donnera la note.

[Je suis désolée une femme enceinte de 7 mois aurait surement un plus gros ventre mais le dessin n'était pas prévu pour femme enceinte, j'ai donc adapté au mieux, il faudrait tout que je refasse pour agrandir et je n'ai vraiment pas le temps pour. Mes excuses donc!]

Neyco

La mini voyant une des couturières venir vers elle, elle sourit grandement. Voyant le résultat.

O merci a vous, elle est splendide, merci mille fois. Ma douce cousine en sera ravie.

Hochant tête pour l'or a régler.

Aucun soucis ne vous en faites guère. Je règlerai avec ma propre tenue.

[Po de soucis c'est superbe merci pour tout]
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--Giovanni_casanova

Alors que la Signora Jenah livrai elle meme ses tenues, il en fit de meme pour les tenues de la Signora Des Juli.

- Voila donc pour vous Signora tsampa.

Lui presentant la tenue delicatement empaquetée.

- Et pour vous...

Se plantant devant la signora Axel.

- Votre fille sera magnifica! Je vous laisse toutes les deux vous adresser a mon Maestro Severus.

Puis se tournant vers l'assemblée.

- Personne ne veut plus de tenues ? Allons Signoras, ne soyez pas timides!!! ces tenues n'attendent que vous!!!

Robes envoyées par MP.

Neyco

La mini toujours a attendre sa petite tenue regardait les autres femmes prendre les siennes, bon en même temps vu sa taille de nain pas évident de faire sur mesure certaine chose.

Dans le genre chiante, ah les filles allaient ce souvenirs d'elle tiens. En attendant la robe de sa couse bien emballer, elle regarda par la fenêtre afin de voir si d'autre retardataires arriverait. Après tout une roue de carrosse en moins ou des brigand pour venir, sur les routes y en avait du monde.
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Leonin

Enfin ! L'enchère était terminée et il l'avait emportée. Il avait un peu de chance et il était content d'avoir réussi au moins d'acheter cette tenue pour homme. il aurait préféré acheter une robe pour Fleur, mais il n'avait pas pu. Cette fois-ci, il avait réussi face à une demoiselle dont il ne connaissait que le nom et il répondit à son hochement de tête par un sourire. Maintenant, restait le plus dur, payer le vêtement.

Alors il se leva et il se présenta devant Severe et il sortit une cassette où à l'intérieur se trouvait la somme exacte pour le vêtement. Il regarda Fleur avec un large sourire et il récupéra son bien.

Ma chérie ? Tu ne veux pas acheter une robe ?

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Tsampa

Rapide passage derrière dans une petite salle attenante avec une couturière pour effectuer diverses retouches, qui seront forts peu nombreuses, la robe semblant faite pour elle (forcément!), et c'est avec un regard un peu étonné qu'elle se contemple dans le miroir.

Se faisant aider par la couturière pour ôter le vêtement, avec un regard un peu inquiet vers les épingles qui marquent les retouches à faire sur le décolleté, elle pose la robe et retourne dans la grande salle à la recherche de son promis, pour attendre la livraison de la robe.

Quand enfin elle arrive, elle se saisi du paquet, et tend avec un sourire qui en dit long la facture à Mc

Oui oui ... Je sais... mais tu verras, tu ne regrettera pas...

Et à l'homme

Vous remercierez Dame Attia di Juli, son travail est magnifique.
Et si vous pouviez aussi lui dire que je passerai bientôt à son atelier pour une commande un peu particulière...
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Solenn_wolback

Elle suit les enchères, le sourire aux lèvres.
L'homme, le seul qui ait osé mettre un pied dans la salle, remporte les enchères.
Elle fronce un sourcil. Où sont les z'hommmmmeuh ? Ils ont tous eu peur de se faire écraser les petons par les talons de ces dames ? Ils ont tous fuis en pensant réchapper aux commentaires approbateurs ou acides des toilettes des autres femmes ?
Enfin, soit, elle prend le temps de feuilleter le catalogue, et elle hésite. 35 d'Attia ou 4 de de Jenah ?
Illumination soudaine, elle doit aussi assister au sacre de son grand-duc d'oncle.

S'avançant à nouveau vers les créatrices.

Mesdames, magnifique travail ! Je regrette de n'avoir pas eu les enchères, mais je vais vous faire travailler pour remplacer ce manque !

Elle leur sourit, incline la tête.

Pour le sacre je souhaiterai porter la robe de Dona Attia, modèle numéro 35, dans des tons bleutés si possible, sinon elle est déjà magnifique ainsi.
Je dois aussi assister au sacre du Grand-duc de Bretagne, Jenah, pourriez vous adapter votre modèle numéro 4 pour cette occasion ?A nouveau, des tons bleutés ou telle qu'elle est actuellement.
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Axel2fersen

Axel sourit en voyant Gigi revenir après s'être éclipsé un instant. Ils n'avaient pas besoin des mensurations non, car ils avaient pris soin de garder le calepin sur lequel Sévérus marquait toutes les mesures. Qu'elle belle organisation , donc quelques retouches furent suffisantes et réalisées à même un mannequin pour que la robe soit en adéquation avec les chiffres couchés sur le papier.
Ce Casanova était un ravissement pour les yeux et les oreilles, il avait toujours le mot pour plaire et son accent italien lui conférait un piquant qui manquait à de nombreux hommes de l'avis de la blonde qui s'y connaissait de plus en plus en hommes depuis la dissolution de son mariage.

Merci bien Gigi , je suis certaine que Léane sera belle en effet, grâce à Maître Attia c'est toujours le cas^^. Je vais m'empresser d'aller me délester de quelques centaines d'écus auprès du sieur Nonrigolus donc. Merci encore .

Et la blonde dioise de partir à la rencontre du sévère, qui se faisait très rare depuis quelques temps, mais l'appel et la soif de l'or le ramenait toujours au beau milieu des femmes qu'il semblait pourtant tant abhorrer.
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Attia.

[ Mission Macarons...]

Ou elle est la Gitane pendant que les robes partent comme des petits pains?
Elle tient une petite main rose et potelée direction l'etablissement tant prisé de Ella Durée, en Mission Macarons.

- Vous savez deja ce que vous voulez votre gracieuseté ? Et si on en prenait de tous les parfums ?

Et de glousser doucement avec la jeune enfante. C'est etrange comme elle se sent bien en compagnie de la gosse. Il y a des gens qui naissent avec une aura particulière, et il faut croire que Yolanda en était.

Et elle arrivèrent a l'établissement en question, annonçant leur entrée par le son d'une clochette accrochée a la porte.

- Bonjouuuuur! Nous venons pour des macarons!
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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

--Giovanni_casanova

Et Le milanais est a l'ecoute a l'affut.
Le plaisir evident des premières acheteuses est un bonheur pour lui dont les yeux brillenbt deja alors qu'il griffonne la nouvelle demande de la bretonne.

- Signora, nous n'avons pas le matériel de teinture, vous aurez les robes dans leur couleur d'origine.
Laissez moi aller vous chercher ça.

Il alla donc chercher celle de la signora Di Juli.

- Voila deja pour vous, le modèle 35 de la signora Di Juli.

Sur le ton de la confidence, pipelette jusqu'au bout.

- Je vais aller aider la signora Jenah, vous savez elle attend un bambino!

Et de sourire en grand, sincere et un peu niais.

[ La Robe par MP.]

Neyco

La mini se levant sa bourse pleine se dirigea vers le Sévère, point la peine de trop attendre, robes défilaient or surement ne l'avait on point vue. Pas de temps a perdre, étant écuyère royale elle devait être proche des premiers a arriver sous peine de ce faire gronder, sans compter son rôle de clerc.

S'approchant du comptable des Dame.

Veuillez m'excuser mais sauriez vous le montant des deux robes par avance afin de régler la besogne rapidement je vous pris. Au moins vous pourrez commencer a faire les comptes.

Sourire toujours, bon commençait a avoir faim la mini, grignotage de biscuit en vue une fois sortie de l'échoppe.
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Axel2fersen

Alors qu'elle attendait Sévérus, Axel réfléchissait elle avait une merveilleuse robe pour le sacre, la chose était entendue mais elle n'avait pas pensé au bal qui allait suivre... elle ne pouvait décemment pas porter une tenue déjà portée ...!

Elle revint alors auprès de Gigi et alla lui demander un peu d'aide :

Cher Gigi , il vient de m'apparaître qu'il va me manquer une toilette je suis toute tourneboulée , vous seuls à l'atelier pouvez m'aider, vous me comprenez j'en suis sure!! N'est-ce pas que vous allez m'aider!!

Elle le regardais implorante presque, le jeune apprenti de Nonrigolus devait savoir que l'argent n'était pas le problème de la dame de Roynac, enfin s'il ne le savait pas le sévère lui dirait assurément.

J'ai bien regardé les catalogues... vous me direz je les connais déjà par cœur, enfin ... pour le bal qui suivra la cérémonie je vais sûrement avoir besoin d'une robe moins solennelle que lors de la cérémonie elle-même mais il y a le banquet aussi!! Donc ce n'est pas une mais deux robes qu'il me faudra pour ne pas donner l'impression que la cousine de sa majesté est une va-nus-pieds. Donc croyez-vous que je puisse emporter le modèle 28 de Maître Attia et le numéro 12 rouge de la demoiselle Estrella?
Si vous trouvez ma demande excessive je le comprendrai aisément et dans ce cas je ne prendrai que la robe de demoiselle Estrella qui me paraît plus adéquate pour danser... Dans tous les cas je ne veux avoir à changer de coiffure lors de mes divers changement de tenue donc le chignon relevé qu'à prévu Maître Attia serait parfait.

Elle lui sourit après son long monologue espérant qu'il accèderait à sa requète.
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Estrella.iona

Elle avait pris connaissances des commandes effectuées et à sa plus grande surprise, deux d'entres elles avaient commandé des robes de son catalogue... Et bé, si il y a quelques mois on lui avait dit ça, elle aurait traité la personne de folle...
Mais si, elle y était, et c'était vrai. Elle se dépêcha donc de s'emparer des deux tenues en question. D'abord la Baronne Neyco... Elle s'approcha d'elle et se présenta :

Bonjour, je suis Estrella de Valfrey, je crois que c'est cette robe que vous vouliez.

Puis elle fit de même pour la robe d'Axel, elle se dirigea vers la cliente, se présenta à nouveau comme le font les personnes bien élevées, et lui confia sa commande :

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Neyco

La mini en mode mini alors qu'un bout de langue sortie, concentrée elle comptait les écus en moins de sa tirelire, vi apparaitre la jeune couturière dont robe avait été commander.

La pauvre un vrai defi vu sa taille de nain.

Souriante a la jeune femme.

Je vous remercie grandement Dona, elle est splendide. Je dois avouer avoir crains que ma petite taille dérange les point de coutures mais je trouve que votre travail est somptueux.
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Axel2fersen

Avant même que Gigi ne lui réponde, une jeune fille arriva tout sourire et se présenta. Il s'agissait de la jeune créatrice repérée par Attia et qui était vraiment très talentueuse. Elle était allée décrocher le modèle pour le lui apporter. Axel s'empressa d'aller derrière le paravent qui avait été installé dans l'arrière-salle afin qu'elle l'essaye et que la couturière puisse faire les retouches nécessaires. Si retouches il y avait bien entendu.

Alors je peux !! c'est fantastique je suis ravie merci je cours l'essayer !!

C'est donc une dame de Roynac tout sourire qui enfila la robe pourpre au style si frais et libre. Elle lui tombait vraiment particulièrement bien, le seul bémol étant la largeur des manches en haut car les bras particulièrement menus d'Axel ne retenaient pas suffisamment l'étoffe, mais elle songea qu'un simple rétrécissement ne poserait certainement pas soucis

Elle est magnifique demoiselle Estrella vraiment superbe, vous ave un avenir tout tracé!!
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Solenn_wolback

Elle écoute le Gigi, sourit légèrement et hoche la tête.
Avec la couleur de base, ce sera déjà très bien.

Le temps pour l'homme de rejoindre les couturières, pour elle de se laisser mesurer, et quelques temps plus tard, il revient, porteur d'une robe magnifique.
Les couleurs sont chatoyantes, le tissus doux au toucher. La robe, épaisse n'est pas lourde pour autant.
Un signe approbateur une nouvelle fois.
Le travail de l'atelier est superbe, comme d'habitude.

Merci Giovanni.

Et de le regarder repartir sans souffler lui donne le tournis.

[edit pour erreur de présence ^^]

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Plumedange

*Plume avait rejoint Cecilia avec grand plaisir lui montrant diverses robes qui lui plaisait.
Si elle c'était écoutée, elle les aurait toutes prises, ce qui l'embêtait mine de rien c'est que les tenues pour homme courait pas les rues et pour sur, Geoff avait besoin d'une tenue correcte lui aussi.
Alors qu'Axel passait commande, la blondinette la rejoignit et un gribouillage de parchemin plus tard elle déposait sa commande.*

Citation:

Bonjour,

Je désirerais la tenue entre la 19 et la 24, celle avec le masque, mais sans masque. J'aimerais garder le style de coiffure et pour mes mensurations j'ai déjà passé commande alors vous devriez encore les avoir, mais si besoin je vous les fournirais à nouveau.
Donc cette tenue est pour moi: Plume De La Chambre, Vicomtesse de Rochechinard.
Si il était possible d'avoir la tenue de l'homme n°39 dans les mêmes coloris que la robe commandée pour mon époux ce serait tout bonnement parfait.
Si besoin que je redonne ses mensurations, n'hésitez pas à demander.
Ce serait donc une commande pour le Vicomte de Rochechinard qui n'a pu se déplacer parce que coincé à la tête d'une armée très loin d'ici...

Merci d'avance.
Une amoureuse des robes, avec beaucoup d'écus.

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--Giovanni_casanova

Hop un Gigi toujours au mieux de sa forme qui finit avec une bretonne puis qui s'avance vers la blonde qui prefere ecrire que lui parler. Soit, chacun ses excentricités.
Il sourit en saisissant le parchemin qu'il parcourut.
Il sourit a l'anotation de fin, mais ce qui le chiffona, c'est qu'il ne vit que des numeros de robes... mais chaque catalogue avait son modele n° 19 ou 24 ...

- Ahem Signora, il serait bon que vous precisiez de quelle couturière il s'agit pour que je puisse aller chercher les tenues. Aucune teinture ne sera possible aujourd'hui.

Et de lui sourire a nouveau.

[ JD Solenn_Wolback, Attia n'est pas dans la piece elle est partie en mission macarons.

]

Plumedange

*Plume rougit d'un coup en réalisant que dans son attrait pour les robes elle en avait oublié le nom de l'excellente couturière.
Prenant la brochure d'Attia, la blondinette la tendit au messire qui prenait les demandes d'achat pour signifier que c'était de celle là qu'elle parlait.
Sans voix, c'était le plus simple qu'elle avait trouvée et si il ne comprenait pas elle lui écrirait un autre petit billet.
Donner ainsi la brochure lui donnait envie de jeter à nouveau un oeil à ses toilettes présentes à l'intérieur, et dire que bientôt elle la porterait probablement, c'était presque un rêve.*
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--Giovanni_casanova

Decidement il ne comprenait rien le milanais...
Il regarda la demoiselle avec une infinie douceur et lui repondit.

- Signora, il doit y avoir une erreur, le modèle 19 de la signora Di Juli a deja été demandé par Dame Axel pour sa bambina. Si je ne me trompe le modèle 24 toujours de la signora Di Juli est une exclusivité et il n'y a point de masque. Et pour finir, ma signora n'a pas de modèle pour homme n°39.
Je suis navré mais je ne comprend pas tres bien. Voulez vous encore regarder ?Peut etre s'agit il d'une autre couturière ?

Oui il la comprenait, a tant contempler ces merveilles on pouvait en devenir confus. Il attendit donc.

Plumedange

*Plume s'approcha doucement récupérant doucement le parchemin qu'elle avait écrit le relisant.
Non, c'est bon cette fois elle ne c'était pas trompée et elle montra du doigt un mot.
"Je désirerais la tenue entre la 19 et la 24"
Elle n'avait pas trouvé de chiffre et avait tenté de la décrire aussi bien qu'elle pouvait.
Ouvrant la brochure elle décida de montrer le modèle en question et point a du doigt la tenue toute à gauche ou la dame portait un joli masque dans sa robe toute bleutée.
Puis regarda l'homme assez gênée espérant qu'elle n'avait pas loupé le numéro quelque part.*

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--Giovanni_casanova

Il était confus et cette demoiselle muette l'intimidait par son mutisme.

- Ah oui! Scusi, je ne parle pas bien la France, je vois de quelle robe vous parlez!

Et de lui sourire doucement.

- Vous ne bougez pas je vais la chercher, il faudra également me montrer le modele pour homme dont vous parlez, je n'ai pas encore bien saisi .

Et serrant les fesses il se dirige vers l'arriere salle d'ou il revient avec la robe en question.

- Voila Signora! Alors cette tenue pour homme ?

La robe par MP

Plumedange

*Elle le regarda sourire et lui sourit en retour amusée de son accent.
Il parti et elle attendit, patiemment, même si c'était difficile et il revient avec cette robe si belle à ses yeux, elle aimait tout, vraiment.
Les broderies, la couleur du tissu, le style de ses manches particulières, oh elle aurait pu longtemps continuer à détailler chaque partie de la robe dans sa tête, mais l'homme revenait déjà et elle la regarda, elle était là, en vrai et maintenant ce serait sa robe.
Les yeux brillant, pétillants même, elle la récupéra avec délicatesse comme si c'était une robe en cristal, si fragile que rien ne devait l'ébranler.
Attia faisait un travail sublime et il faudrait qu'elle pense à retourner passer commande notamment pour ses trésors qui n'avait pas encore une garde robe très fournie.
Plume inclina la tête vers le messire pour le remercier et lorsqu'il lui demanda pour la tenue de l'homme, elle ouvrit à nouveau la brochure, cherchant la bonne page et puis, elle lui montra la tenue du messire.
Espérant que l'exclusivité étant bien levée elle pouvait l'acheter.
Son époux(_geoffroy_) lui avait donné de quoi faire les emplettes nécessaires si elle le désirait et avec ses propres revenus de la vente de nougats la Vicomtesse pouvait se laisser aller à ses petites envies qui comblaient l'ennui.*

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Jenah

Jenah fut rejoint un moment par Gigi qui venait lui adresser une nouvelle commande, elle prépara donc la robe en question, elle n'avait pas de quoi teindre le tissu jaune mais elle pouvait échanger les tissus vert par des bleus, simplement en hangeant la robe du dessous, elle s'appliqua donc à la tâche puis se dirigea vers les clientes appelant une dame.

Dame Solenn_Wolback? Votre tennue est prête... Voyant la dame approcher.

Vous n'aurez plus qu'à régler votre commande auprès de Gigi, notre aide d'atelier.

La robe fut pliée dans une Malle Privée pour être envoyée.

Suppression du HRP. Vous êtes priés de passer par le topic prévu à cet effet. Pas faute d'avoir prévenu. Mais apparemment aucun de vous ne lit ce topic. {H}

--Giovanni_casanova

Il etait confus le milanais.

- Ah signora biensur! je vois bien de laquelle il sagit attendez que j'aille la chercher.

Et de serrer les fesses a la recherche de la dite tenue, la defroisser, la plier, et l'empaqueter pour la lui apporter (MP).

- Voila signora, pour le paiement c'est aupres de mon maestro Severus.

Et de sourire.

- Il vous faudra autre chose ?

Solenn_wolback

Elle admire les tissus chatoyer dans tous les recoins de la pièce et sourit en voyant ces dames s'extasier devant la coupe de l'atelier et leur travail irréprochable.
Alwenna commence probablement à s'ennuyer, il va bientôt être temps de s'excuser et de rentrer.

Jenah profite d'un instant inattention pour apparaître à ses côtés et la duduche lui sourit.

Merci beaucoup Jenah ! C'est magnifique, comme toujours !

Un sourire à celle qui a mis sa touche au château, avant de rechercher le sévère du regard. Ne le trouvant pas elle glisse un mot au page se trouvant non loin d'elle à l'intention de l'atelier.

De Solenn Wolback
A Severus

Je dois m'excuser et partir. Pourriez-vous me faire suivre ma note que je règlerais au plus vite à l'atelier ?
J'ai commandé une robe auprès d'Attia et une autre auprès de Jenah.

En vous remerciant.

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Plumedange

*Plume réceptionna le paquet, ravie et à la question fit doucement non de la tête et puis, elle inclina légèrement la tête.
Il était bien sympathique cet homme avec un accent si chantant.
Sévère c'était pas tout à fat pareil et la blondinette le chercha du regard avant de se diriger vers lui.
Elle lui montra les paquets et puis montra la bourse.
Est-ce que cela suffirait pour avoir un chiffre, elle ne savait mais en tout les bras encombrés, elle ne pouvait guère rédiger un parchemin ainsi...
Oh et l'ardoise, peut être qu'elle pourrait l'utiliser.
La petite ardoise calé sur les paquets eux même calés sur un bras et elle écrit "Combien est-ce que je vous doit en plus de mes retards de paiement?"
Elle espérait qu'il se souviendrait des futs qu'elle avait fait livrer il y avait quelques temps aux doigts d'or.
De toute façon il ne devait guère oublier les têtes de ceux qui n'avaient pas payés le Sévère.*
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--Severus_nonrigolus

Le Sévère était aux anges. Il comptait. Les ecus sonnaient dans son esprit comme une symphonie merveilleuse.
Il serait presque en train de baver.
La vente aux encheres avait été un succes a une exception pres... D'un regard mauvais il considéra la blonde qui ne daignait meme pas venir payer son du.
Elle lui refaisait le coup de l'impayé... Chassez le naturel disait on...
Comment allait il pouvoir expliquer ça a Maitre Attia ?
Il pouvait toujours cacher le prix réel des tenues vendues...
Non mauvaise idée, elle pouvait apprendre par les encherisseurs les vrais montants...
A cet instant il la tuerait bien la blonde, et il se molesterait bien lui qui a été assez cupide pour laisser passer une vraie enchere.

Il pouvait se consoler des écus des dames qui achetaient des robes issues des catalogues. Il eut cru que cette vente serait plus réussie, mais il faut dire que les enchères avaient mis la barre un peu trop haute peut etre.

Alors alors que les acheteuses, véritables fashion victims s'adressaient a lui, il leur assénait avec jubilation le montant de la note et attendait d'encaisser.

Le départ de la bretonne le fit bougonner, on ne part pas sans payer non mais! Mais qu'est ce que c'était que cette clientèle! pourquoi Maitre Attia ne faisait elle rien ? Et d'ailleurs ou est ce qu'elle était ?

La note serait salée fois de Sévère!
Il marmonna quelques mots dans sa barbe. Il se faisait tard, il était tant de donner le congé!

Attia.

Elle ou Attia ? DTC, Dans un boutique de Traiteur hyper Côté !
En effet, la gitane, ainsi que la petite chose boudinée et rose pendue a ses jupons s'en revenait avec un enooorme panier qu'elle portait des deux mains, rempli de macarons tout droit de la boutique renommée d' Ella Durée!

Si vous proposiez a la gitane un macaron, elle dirait non. Non pas qu'elle aime pas, mais simplement parcequ'elle a bien eu le temps accompagnée de sa complice de piocher dans le tas et de goûter a toutes les variétés qu'elles avaient raflé.

Alors de bonne humeur elle arrive et d'apres l'heure tardive elle decide qu'il faut donner le congé, parcequ'il est plus classe de donner le congé que d'attendre lamentablement que les gens s'en aillent .

Alors elle monte sur l'estrade et frappe des mains.

- Mesdames... Messieurs!
Merci d'etre venus ce jour et merci surtout d'avoir donné vie a cette vente.
J'espere que vous porterez ces tenues avec plaisir, et n'oubliez pas, l'atelier sera toujours ouvert pour toutes sortes de commandes!

Et c'est la que le corbeau noir la repère et lui fonce dessus.

- Quoi Sévère ? Jsuis en plein discours la ça peut pas attendre ?

Et de faire la moue alors qu'il lui tend le parchemin avec les recettes du jour. Doucement les lèvres pulpeuse se fendent d'un O avant de reprendre la moue en voyant un gros blanc devant un nom qui n'est d'ailleurs pas inconnu.
Sans se laisser débiner la gitane rend le parchemin au Sévère.

- Occupez vous de ça... Et puis on a récolté tellement plus qu'escompté...

Mais le Sévère ne partait pas. Il insistait.

- Comment ça publier les montants! Vous n'y pensez pas! La prochaine fois on aura personne, qui peut se permettre de payer ça a chaque vente dites moi! et vous voulez qu'on se fasse attaquer avec tous ces écus ? Non Sévère pas cette fois! Et puis maintenant ça suffit! occupez vous plutôt de recouvrez l'argent et qu'elle ne parte pas avec ma robe avant!
allez du balai!

Et de reprendre un air sérieux. Qui a dit qu'elle n'etait pas insupportable ?

- Ahem... pardonnez ce court intermede. Je tiens a remercier les encherisseurs pour leur générosité ce jour. C'est tellement plus que ce que nous attendions, soyez en remercié et permettez nous de vous citer comme des donateurs car vous venez de nous redonner le souffle necessaire pour continuer a vous faire de belle choses.
En remerciement ...

Regardant la Rosy fée avec tendresse...

- vous etre invités a venir déguster les excellent macarons de l’établissement Ella Durée, macarons qui nous sont offerts en partie par sa gracieuseté Yolanda Isabel de Josselinière qui a tout spécialement choisi les differentes saveurs!

Et d'applaudir en direction de la blonde avant de faire une gracieuse révérence.
Elle sourit et descendit non sans avoir chopé au vol un macaron.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)

--Severus_nonrigolus

La mine encore plus sombre qu'a l'accoutumée il s'en alla non sans un regard réprobateur vers cet excès de sucreries qui avaient certainement du coûter leur pesant.

Il devait s'occuper des créances soit.
Il s’éclipsa a l’arrière salle et écrivit tranquillement les lettres de créances.

Citation:

A Dame Eugenie de Varenne,

Je vous prierai de bien vouloir vous acquitter de votre dette qui je ne vous le cache pas au regard du montant de l'enchère "au dessous" de la votre.

La robe ne vous sera livrée qu'au paiement, et un dedommagement vous sera demandé si vous n'arriviez pas a vous en acquiter.

Bien a vous.

SnR

Citation:

A Dame Solenne Wolback,

Je vous prierai de de bien vouloir vous acquitter de votre dette d'un montant de Mille Deux Cent Cinquante Ecus pour la robe de damas Orange signée de maitre Attia dans les plus brefs délais puisque vous avez deja pris livraison de la dite robe.

Bien a vous.

SnR

Citation:

A dame Plume de la Chambre

Je vous prierai de bien vouloir vous acquitter de votre dette d'un montant de deux mille sept cent ecus pour l'ensemble de vos commandes en suspend et ce dans les plus brefs délais.

Bien a vous,

SnR.

Qui a dit qu'il devait etre aimable?
Il héla Gigi a qui il remit les plis, avant de refaire ses comptes et s'assurer que tout le monde avait payé.
Quand a la blonde, comme disait l'adage... Rira bien qui rira le dernier.

Eugenie.

Eugénie avait tendu la main sans rien saisir. L’une vers la toilette qu’elle possédait sans y croire vraiment, l’autre vers une Calyce toute grandie qu’il lui semblait ne pas avoir vue depuis des siècles.
Bouchée bée l’Ingénue. Plantée là devant sa robe et l’esprit le cul entre deux intentions, les secondes défiaient l’éternité.

Finalement elle quitta la place au bras de la Vergy, songeuse et sans mot dire. Et sans sa robe bien sûr.

Elle dépêcha plus tard un messager aux couleurs Varenne -l'épée au devant la plume au derrière, toujours- à l'atelier des doigts d'or temporairement domicilié à Paris afin de s'acquitter des sommes dues. Tant l'officielle que l'officieuse.
Eugénie commençait à s'accommoder au caractère du Sévère et bien au fait que celui-ci ne supportait pas les manœuvres dilatoires lorsqu'il s'agissait d'écus sonnants et trébuchants, la petite bourse à son intention était plus rondelette que prévue initialement.
Avec pour consigne de donner cette dernière au Sévère une fois que la robe serait en sa possession.

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--Severus_nonrigolus

Le Sévère aime les comptes soldés, et puis il avait l'impression que Maitre Attia le boudait ou était ce lui qui boudait ? Mystere.
Il ne se fendit que d'une grimace quand l'homme de main de la blonde Ingénue qui ne l'etait pas tant au regard de sa façon plus que deconcertante de se soustraire a ses obligations financières... Lui apporta la somme due.
C'etait un peu juste, mais c'etait deja ça.

Il regarda l’émissaire l'air de demander son petit pot de vin, et finalement méfiant apporta la robe soigneusement pliée le regard plus mauvais encore.

Elle ne la méritait pas, parce qu’il fallait pas avoir seulement des ecus pour porter une creation de maitre Attia, il fallait avoir des valeurs!

Enfin il livra la robe et récupéra son petit pécule qu'il cacha soigneusement.
Il ne restait que la blonde Angélique et muette, et la bretonne qu'il ne manquerait pas de relancer. Pour l'heure, il fallait tout emballer.

Plumedange

*Plume avait attendu et attendu en face du Sévère qu'il lui annonça le montant qu'elle devait payer. (du 25 janvier au 4 février quand même...)
Lasse elle c'était un peu éloignée pour se sustenter et s'hydrater, elle était humaine après tout.
Elle c'était ainsi vu gratifiée d'un mot qui était dénué de toute touche de familiarité, probablement écrit par le Sévère, Plume avait eut l'occasion de rencontrer l'homme.
Alors qu'il pliait justement boutique, la jeune fille s'avança et tendit une bourse dans laquelle elle avait disposé les précieux écus payant les différentes tenues qu'elle avait acquises, ainsi que le billet qu'il lui avait fait parvenir.
Au moins une bonne chose de régler, maintenant elle n'avait plus de dettes, même si finalement c'était les sousous de son époux.*
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