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Information and comments (33)
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[RP] Les Victoires de la Musiques (sur nos tympans).

Enguerranddevaisneau
[Toujours devant l'entrée du Jury]

Le public affluait toujours, mais bien évidemment dans la mauvaise direction, soit l'opposé de sa noble et très parfaitement parfaite personne. En grand prince, lui n'en tenait pas compte, le nombre de ces marauds bien trop élevé pour qu'il songe à les rosser.
Nouvelle arrivée, autre donzelle à la grâce divine de prendre place, tout de suite assaillie par la bande de journaleux..
Soupire.
Et Bertrand qui tardait, commençait sérieusement à taper sur le système de blond baron dont la patience n'était pas non plus la première vertu.

Marchant donc de long en large, en proie à de profondes réflexions, il esquive de justesse deux blondes qui marchent à grand pas vers les latrines, alors qu'un autre gus joue les divas dans le même coins.
A un voisin:


- Dix écus sur la blonde qui s'occupe de la petite grosse!
- T'es ouf! l'aut' semble moins bourgeoise, plus terre à terre!, pour sûr qu'elle va lui r'faire l'portrait!
-Tututu, maman disait toujours:" L'habit ne fait pas le moine mon fils, est sort ta main d'tes braies!!" Dix écus sur la blonde bien attifée donc.


Regard sceptique du voisin qui répond:

-Tenue!

Mais trêve de plaisanterie, voila que Bertrand revient, accompagné d'une crevette brune, pas trop moche qui plus est et qui réveille l'intérêt du blond.

"Vous avez demandé à voir l'organisatrice ? C'est moi. Si vous faites parti de mes problèmes, retournez d'où vous venez. Si vous avez une solution infaillible pour déboucher des latrines envahies par la vermine castagneuse atteinte de chiasse aigue, je vous écoute. "

Jolie entrée en matière, et au Vaisneau de rester muet quelques secondes. Soit, les gens, en plus d'accorder leurs faveurs aux mauvaises personnes, n'avaient plus aucune once d'éducation.
A lui alors, de répondre, avec l'élégance qui le caractérise si bien:


Pour la vermine Castagneuse à la chiasse aigue dans les latrines, brulez tous. Vous ferez d'une pierre deux coups.Plus de vermine, plus de chiasse.

Oui, la nature l'avait doté d'un sens pratique très aiguisé.

Pour ce qui est d'être un problème, non point....Juste que...

Réflexion...

Vous avez oublié un membre du Jury qui saurait, sans nul doutes, satisfaire vos attentes.

De lui saisir la main pour la serrer avec force.

Enguerrand de Vaisneau, spécialiste du nouveau flux musical j'ai ainsi nommé le RnB, Regarde nous Beugler. Il est impensable dés lors que je ne juge pas les prestation à venir?

Il était surtout impensable qu'il se mêle à la gueuserie pour regarder des chanteurs craignos à souhait...

Je suis engagé?
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Lotx
[Oh z'y va eh Bal-tard!]

A l'entrée du pavillon de Bal-tard, un cri primaire venait de retentir. Une sorte de "poussez-vous bande de bouseux que j'passe, j'suis un "pipolle" moua d'abord". Une ombre orange et rose s'était alors faufilée dans la masse grouillante, faisant place à coups de crosse de prélat et de poings pour se caler devant l'entrée, vers la foule de journalistes.

Mon père, mon père! Juste un mot, c'est pour "Dijon-Match"!
-Ouah! Ouah!


De la robe de bure du jeune prêtre venait d'apparaître la tête aussi vilaine que ridicule de ce qui s'apparentait grossièrement à un chien. C'était son "chie-ouah-ouah", nom donné à cause de sa capacité à aboyer et à faire ses besoins partout.

C'est à dire que j'suis fort "busy" en s'moment voyez c'est que j'ai tout le... comment vous dites en français déjà? Ah ouais, le castingueuh à faire passer toussa... Pis appelez-moi "daddy" j'vous prie, "mon père" ça fait vraiment curé d'campagne!
-Juste une question, ça vous fait quoi de représenter l'Église aristotélicienne? Vous vous y attendiez?
-Nan, nan, bien sûr... maintonant à la reflexion je vous le domande, qui mieux que moi aurait pu roprésenter l'Église hein? Qui a dit Réré? QUI A DIT RERE?!


Mais Lotx n'aurait sans doute pas l'occasion de garnir les pages à scandale des journaux par une agression de paparazzi comme un mouvement de foule le poussa vers l'entrée du pavillon. Et c'est emporté par la foule qui le traine, et l'entraine, écrasé contre les autres ne formant qu'un seul corps (et finissant au final épanoui, enivré et heureux) que le gamin parcourut les dernières mètres le séparant du lieu dit.

Youhouuuu, je suis arrivationné, on peut commencer!
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Pasque y a pas que les poneys dans la vie d'abord: l'hymne de Lotx
Yolanda_isabel
[Sous les regards des journaleux car le style ne s'apprend pas, on l'a ..]

A sa secrétaire, elle sourit ravie en récupérant Prune dans sa boîte recouverte de satin rose et enrobée d'un gros noeud en organza aux couleurs du jour de la fillette. Prune est là, évidemment, et sur que si le sac à main existait déjà, elle l'aurait mis dedans en mode "Ma bestiole est un accessoire de mode top tendance". Elle opine du chef, tend d'un geste indifférent la boîte contenant Prune au colosse faisant office de garde du corps et se tourne vers les journaleux, avec un nouveau sourire alors que la tête de l'infante se penche, moue adorable, elle est grosse, mais elle sait y faire. Populaire et ravie de l'être, elle sourit en apercevant les artistes qui se présentent comme tels et tentent de repousser le peuple. Yolanda aime le peuple, car sans peuple, qui l'aimera ? Voilà !

Et soudain, une vision furtive, du rouge, du cerise, voire griotte, alors la main potelée vient presser avec tendresse l'avant-bras de son grand frère qu'elle quitte d'un pas vif, pour rejoindre l'éclatante Griotte. Discrétion ? Echec, belette !


-« Griooooootteeeuh ! Ma chériiiiiiiiiiie ! »

Vous voyez la différence d'âge entre les deux filles ? Un gouffre, pourtant aussi loin qu'elle se souvienne, il y avait Griotte, aussi loin qu'elle se souvienne, il y avait les Blanc-Combaz, alors oui, Griotte est appréciée plus que pas mal de personnes par l'Infante. Griotte qu'elle rejoint avec un sourire rivé aux lèvres, jusqu'à ce qu'elle tombe nez à nez avec l'interlocuteur de la Blanc-Combaz. Le Prince Charmant, ce n'est pas lui, pourtant, c'est un garçon, alors elle sourit de plus belle.

-« Bonjour ! » Pourtant, il ne fait pas long feu le garçon, rapport à la Cerise qu'elle n'a pas vu depuis son goûter.-« Comment tu vas ? Cela fait très longtemps ! Je voulais savoir où je devrais me placer ? »

Pas membre du jury, non. Filleule royale, Mannequin enfant des Doigts d'Or, Ambassadrice d'Ella Durée, soeur d'un membre du jury et amie d'enfance de l'organisatrice, cela fait long sur la liste du placement.. Mais surtout, surtout, elle est petite.. Alors le placement devient corsé et stratégique, et c'est plus dans un souci de visibilité qu'elle s'interroge.

-« T'aurais pas vu ma nouvelle secrétaire ? »
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.finn.
[Dans la mêlée des Water]

Voilà qu'on venait interrompre ses cris de porcin à leur apogée. Ca commença par des murmures derrière la porte et finit par une entrée en trombe de deux blondes déchaînées. L'Irlandais reconnut la plus esquintée qu'il s'apprêtait à réprimander d'un coup de savate pour son retard. Toujours les même qui bossent.
Avant qu'il n'ait eu le temps d'argumenter quoi que ce soit sur sa paresse, le ton était monté d'un cran entre les deux blondasses. Il lorgna l'inconnue au bataillon, et répondit au clin d'œil instinctivement. Elle lui donnait l'impression d'une petite sucrerie à téter. A moins que la bouche en cul d'singe de la donzelle toute pimpante ne présage d'autre dépravations.


- « Une groupie! M'ont envoyé une groupie! », s'enthousiasma-t-il en frappant des mains sur Jacot-la-tapette.

Quoi? Fallait bien lui trouver un nom.

- « Z'auraient pu éviter d'm'en filer une borgne, m'enfin. »
- « Je ne crois pas que... »
- « T'y connais rien, chante nous plutôt un p'tit air entraînant. Ca va les adoucir. »

C'est alors que la Cistude se mit à gesticuler comme une possédée, balançant sa guibole en mode french cancan. Ce qui ne faisait nullement partie de la chorégraphie qu'ils avaient élaboré. Fallait toujours la reprendre. Et que j'te montre sous ma jupette qui plus est. Sous sa jupette?! On rembobine.
Finn, touché par la grâce à la vue de l'entre-gambette blondesque, se précipita sur Jacot, paupières retroussées et pupilles dilatées.


- « Jacooot! Va chercher la gadoue! »
- « Mais c'qu'elle ose faire d'l'oeil à MON leprechaun ! Finn, mais fais quelqu'chose ! »
- « Tout d'suite, bottée! Bon ça vient cette bouillasse?! », s'enquit l'Irlandais d'un ton sec.
- « Mais c'est immonde! »
- « Magne, tu vois bien qu'elles sont à point! »

Finn se mit à secouer impatiemment le Jacot qui mettait la main à la pâte, remplissant un seau de la boue éparpillée au pas de la porte.

_________________
Canard velu d'un tube digestif monarchique.
"Kiss me, I'm Irish!"
Nerval
[En route...]

De la musique, pourquoi pas. L'annonce avait traversé le royaume et le Sieur Poète s'était décidé à la dernière minute de faire le chemin afin d'y assister. Curieux? Si peu... et pour égayer un peu le voyage la plume qui glisse sur le velin alors qu'il ne s’arrête plus de siffloter. L'idée d'entendre des tierce des quintes sixtes et autre intervalle juste le mettait de fort humeur et ce n'est pas les tremblements du coche à travers les rues de la capitale qui assombrissait sa mine joviale.

L’arrêt est tout de même un soulagement il termine rapidement d’écrire les quelques mots qui devait orner une missive importante avant de descendre et de s'étirer lentement en observant l'édifice. Missive donnée à son page, il était l'heure maintenant de se laisser aller aux l'écoute passive de notes s’entremêlant les unes aux autres.

Hors de question de passer par la porte acquise à la populace et il fut guider par la vision d'une porte semblant bien plus approprié à sa condition. Un petit regard en l'air pas d'étoiles à regarder bien qu'il n'était pas la pour ça. Il faudrait bien qu'un jour ce genre de manifestation se fasse de nuit loin de tout bâtiments afin de pouvoir concilier les douces notes et la contemplation sereine des astres tapissant le ciel.

Passage par la porte et la surprise on tente de lui remettre un panier remplie de choses à lancer. Un regard d’incompréhension envers la personne qui semble lui offrir cette chose. Un simple geste de la main, hors de question de se les salir en prenant ce que comportait ce panier. Bien étrange offrande que celle ci.

Le Baron se laissa guider dans les méandres de la salle avant de prendre position sur un banc. Un regard circulaire, le personnes présentes semblaient avoir accepté ce panier. Peu importe, fallait bien qu'encore une fois il se distingue.
Enguerranddevaisneau
[Entrée du Jury, et accompagné s'il vous plait ]

Tout à l'attente de la réponse de son interlocutrice, il ne voit pas l'infante arriver.
Non, il l'entend.
Nuance oui, mais pas des moindres, les vocalises de la gamines n'étant pas des plus agréables à l'oreille Vaisnienne.
Grimace.


-« Griooooootteeeuh ! Ma chériiiiiiiiiiie ! »

Griooooootteuuuuh, c'était surement son interlocutrice, vu l'engouement avec laquelle la naine rondelette s'approchait.
Un bonjour, et des questions. Encore et toujours. Mêmes fariboles avec le monde merveilleux de l'enfance.Des questions plus où moins alambiquées, plus où moins intéressantes, et peu importe si celle à qui elles sont destinée est déjà occupée.

Grumphf!

Oui oui, pas parceque elle mesurait un bon mètre de moins qu'elle lui grillerait la place!
Certes il n'était l'idole de personne, mannequin encore moins, mais cela ne l'empêchait pas d'avoir un égo aussi démesuré que celui de la gosse.
Regard pour la boule rose, sourire, et:


Bonjour damoiselle.

Et d'ajouter, vu qu'elle était connue et semblait appréciée, dans le but unique de se faire bien voir par la plèbe présente, et surtout par l'organisatrice:

Comme elle est MEU-GNONNEUUUH!!!

Oui, pas trop moche aurait était plus vrais, mais que voulez vous, on ne se refait pas. Mettant donc sa répugnance pour les moins de 15 ans de côté, il se saisit de la joue de la Josselinière, comme aime à le faire les vieille tantes, pour s'exclamer:

Mais elle est grrrannnndeuuuuhh! Elle va faire un sourire à Eng! Gouzi gouzi Gouzaaaa!!

Peau de la joue toujours entre les doigts, il sourit avec difficulté. Pour sûr que ceci allait lui donner une chance d'être membre du Jury!
Pour la fibre paternelle, on repassera.

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Griotte
[Devant l'entrée du Jury]

Aaaah ! C'est qu'il avait de bonnes idées le baron. Brûler la vermine se trouvant dans les latrines, solution radicale mais très efficace. L'idée arracha un sourire à la brune, dont les traits se radoucirent un peu. Il semblait en avoir un peu plus dans la caboche que ses autres confrères blonds, mais pas encore de quoi revoir le jugement que la Blanc-Combaz portait envers les gens de cette espèce.

Le Regarde nous Brailler, hum ? Intéressant, très intéressant... mais le jury est complet.
Et de se faire interrompre par une grosse boule rose faisant bruyamment irruption.
Griooooootteeeuh ! Ma chériiiiiiiiiiie !
Ooooh ! Mon macaron à la fraaaise !

Comme dans un navet à l'eau de rose, le décor devint flou et la scène passa au ralenti. Il ne restait plus que les deux gamines qui ne s'étaient pas revues depuis de loooongues et interminaaaables semaines. Ô joie intense ! La morveuse s'élança vers son amie et la prit dans ses bras pour la faire virevolter dans les airs. Mais humpf ! Quelle était lourde ! Impossible de la soulever ne serait-ce que d'un pouce.

Yolanda ! Que tu as gross-andit !

Desserrant son étreinte, elle se redressa, tout sourire. L'arrivée de son amie lui aurait presque fait oublier la présence inopportune du tapeur d'incruste dans le jury, mais le baron ne semblait pas vouloir lui lâcher le noyau aussi facilement. A peine le temps de lâcher un soupire, qu'il prenait les devants et saluait la gnome en rose comme un vieux papy gâteux. Griotte leva les yeux au ciel.

Nan, mais c'est pas une mouflette, c'est Yolanda de Josselinière, quoi. Vous pouvez lui parler correctement, elle comprendra, hein. Regardez, faites comme moi...

Et de se pencher vers Yolanda en posant ses deux mains sur ses genoux.

C'est qui ta nouvelle secrétaire ? Elle ressemble à quoi ? Je suis sure que le baron ici présent se fera un plaisir de t'aider à la retrouver. Il a l'air de tellement apprécier les enfants, que je suis persuadée qu'il répugnerait à te laisser errer toute seule.

Coup d'oeil amusé en direction du dit baron avant de se redresser et de saisir la main du jeune homme et celle de son amie, qu'elle fourra l'une dans l'autre.

Aller ! Aller ! Dépêchez-vous de retrouver la chenapande avant que le spectacle ne commence !
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Emma..
[ Dans Pôris ! ]


Dans les rues de Paris, éclairé par de magnifiques rayons de soleil et où reignait la joie et la bonne humeur...

- Grmphhhtteuhh ! Où c'est encore ce fichu concours... Décidement, Paris c'est trop grand !

Ca c'est la Brune. Emma de rien du tout, même pas d'un bled paumé dont personne ne connaitrait le nom. C'est Emma tout court, elle aime pas les noms à rallonge. Elle aime pas ou elle est jalouse ?... on s'écarte un peu là... Donc bref, elle avance, dans sa robe bleu et ses beaux cheveux au vent, mais toujours en ronchonnant. C'est pas sa faute, c'est dans sa nature.


[ A l'entrée ]


Ca y est, elle y était. Les Victoires de la Musique. Evidement, il y avait tout le gratin de nobles, tous plus beaux dans leur grandes robes les uns que les autres. Elle faisait tâche dans le décor, mais bon, elle voulait tout de même y assister, à ce concours, et personne ne lui empêcherais cette joie.

Elle tenta d'oublier toutes les personnes réunies et se dirigea vers le public. Mais rien ne débutait, elle commençait à se demander si elle s'était pas gourrée...
Une femme qu'on avait appelé "Griotteuhhhh" était accompagnée par une petite fille habillée tout de rose. Troooppp meuhgnon !
Surement, une juge, Emma s'en approcha et la héla.


- Dame ? Le bonjour, je me nomme Emma, est-ce bien ici les Victoires de la Musique ?

Puis elle s'inclina en direction de la Dame et de la fillette, respectuesement.
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Saltarius
- Bécassineueueueueueueueu....
j'ai b'soin d'aideueueueueueueu

Vrai quoi, Simplet perdu dans le grand Paris.
S'était promené le nez en l'air toute la journée le Saint.
A ouaiche ! Mais devait aller dans les biaux quartiers.
Devait représenter le Peûp dans le jury des Victoires de Chaispukoi.
Important, ça, représenter le peûp....
Qu'est-ce qu'elle avait encore éscrit la Cerise ?
Les Galeries Lafayotte, la pavillon Falzard...
Personne y connaissait le pavillon Falzard.

Alors le Saint Plet il avait cherché avec sa tête... 'tendez avec sa langue
:
- B'jour Sieudames, chuis Saint Plet chuis le Peuple....

Les Parisiens lui avaient ri au nez...
- Le Peuple, toi... tu rigoles mon pauv' vioque... t'as vu comme t'es fringué ? Le Peuple à Paris, l'est "in", toi tu viens d'ta cambrousse et tu pues la Province...
- Nan, pas vrai.. chuis en odeur de Sainteté farpaitement,chuis Saint Plet
- Va donc voir là bas si j'y suis, Simplet le bien nommé.

Comme l'était gentil mais n'avait pas trop d'humour, Saltarius dit le Saint, avait agrandi le sourire de quelques rieurs avec son grand couteau de boucher... N'aimait pas qu'on rie de lui... L'était Saint et protecteur d'une grande Sainte.

Là dessus la populace s'était enfuie comme moineaux devant le chat.
Salt était perdu.


Bécassine au gps absent, comme d'hab'
- Foutrecouille de mes deux oreilles, jamais là quand on a b'soin d'elle.

Il héla un fiacre.
- Aux galeries La Fayotte et t'avises pas de rire , Marraud... Non mais des fois....

Pas de bonne humeur, qu'il arriva, l'homme.
- Chuis Jury : le Peuple c'est moi j'vais où ? qu'il dit au fonctionnaire factionnaire de faction sur un ton qui décourageait toute réplique.

Le larbin s'inclina et le fit entrer par la porte des Vraiment Intelligentes Personnes.
Là il repèra Griotte, le petit snob de Vain kékchose qu'il avait déjà mouché dans une taverne de Saumur, il s'avança vers eux.

- C'est quand qu'on découpe la bête ?

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Yolanda_isabel
Griotte, c’est un peu la cerise sur le gâteau de sa vie, alors qu’elle dans les bras de Griotte, ça serait plutôt le gâteau sur la cerise. Elle ne dit rien, elle sourit béate, c’est beau, c’est frais, on est en plein pays de Yoli. Public, vomis, tu as le droit !

Et là ! LA ! Un attentat à sa personne se produit, on lui gagatise à la tête, on lui arrache la moitié de la joue, et tout ça avec une tête d’ignoble .. D’ignoble .. PAS-BOURGUIGNON ! Non, parce que ça a son importance et il faut le dire. Et la petite main potelée vient s’abattre sur la main du baron avec un regard fâché.


-« Bats les pattes, macaque ! Pis, j’vous en pose de la question moi ? Gouzi, gouza.. Beurk ouais !»

Ca, c’est de la répartie qui défonce tout. Et de se tourner vers Griotte qui s’adresse au malotru qui a posé la main sur elle de cette façon désagréable, si désagréable pour elle, habituée aux caresses et aux baisers. Elle opine du chef aux dires de Griotte, oui, elle comprend, et même que c’est limite si elle ne parle pas mieux que lui, pas objective ? Sûrement, mais n’empêche qu’il lui a pincée la joue ! Et comme dirait l’autre, c’est lui qu’a commencé en plus ! Mais l’attention se détourne du Baron pour se fixer sur la Griotte.

-« C'est qui ta nouvelle secrétaire ? Elle ressemble à quoi ? Je suis sure que le baron ici présent se fera un plaisir de t'aider à la retrouver. Il a l'air de tellement apprécier les enfants, que je suis persuadée qu'il répugnerait à te laisser errer toute seule. »

-« C’est Na’ ! » Oui, ce qu’il y a de merveilleux chez les gosses, c’est cette impression qu’ils ont que puisqu’ils se comprennent, il est évident que tout le monde les comprend. Comprenez donc ici, Naeva Lisbeth *censuré à la demande de la junk’ aux flip-flops* Wolback. « Elle est blonde, très mince, très prune aussi de la robe. »

Elle obtempère, hein ! Elle répond aux questions, et en échange de quoi, elle la punit en lui collant sur les basques un .. Pas-bourguignon ! –yeah, y en a qui suivent au fond, c’est ça que j’veux voir – alors, tandis qu’une jeune fille vient saluer Griotte, elle tire le Baron à sa suite par surprise, bien décidée à lui faire regretter de lui avoir pincée la joue.

-« On va chercher Na’ et après, je veux plus jamais vous voir.. Parce que maintenant, je sais pourquoi le Nihilisme existe. »

Il y a des jours, on voudrait nier l’existence de toute chose, et surtout des gens.
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Enguerranddevaisneau
[Toujours à l'entrée du Jury, main dans la main avec l'étoile ]

Rien ne va plus, faites vos jeux dans la tête de L'Ittre.
Tout d'abord sa réaction inappropriée pour l'Angevine/Bourguignonne tout de suite corrigée par une tapette sur la main et une insulte de bas étages tout à fait enfantine.
Agacé, il répond de manière bien plus adulte un:

C'toi l'macaque!

Avant de se faire élégamment reprendre par l'organisatrice. Sourire. Elle, elle comprenait, elle était gentille et lui accorderait tous ce qu'il désirait, pourvu qu'il retrousse les lèvres de façon charmeuse pour que la séduction à la Française signé Vaisneau opère. Et bien non!
Le voila maintenant lié à une boursouflée qui le tire avec véhémence plus loin...A lui de beugler bien fort pour la Griotte!


M'oubliez pas, je suis également co-fondateurs du POP, j'entends par la le mouvement du POPotin!!J'reviendrez!!

Pour sûr, et il se vengerait...Reportant son attention sur la gosse, il s'exclame:

Ta nourrice, je l'ai croisé, elle est partie aux latrines si je ne m'abuse!

Oui, la blonde très prune qui avait failli lui rentrée dedans plus tôt, c'était celle là..

Quant à toi, t'en fait pas, on la retrouve, je te largue à elle, et tu m'oublie.

Il était pas encore nourrice agrée et comptait pas le devenir dans un futur proche, qu'on lui colle un mioche était suffisamment ennuyeux, alors une mioche obèse qui décidait de l'insulter encore plus!

Je te préviens de suite, si tu as envie de faire tes besoin, tu le dis, on te trouve un arbre!

Et ils avançaient tout deux en direction de la scène de violence, lui qui savait sans conteste comment s'occuper et s'adresser à un gosse se demandait si il était de bon aloi de continuer.

Tu peux l'appeler d'ici, je pense qu'elle t'entendra...

Et d'ajouter :

Tu trouve vraiment que j'ai l'air d'un macaque? Parceque c'est vraiment pas classe un macaque, et moi je regorge de classe..

Non?
_________________
Aimbaud
[Là y'a Casus Belli]

Aimbaud était fort occupé à tamponner son sceau sur un parchemin de groupie, si bien qu'il ne vit même pas passer Griotte, qui s'esquivait en mode furtif. À charge de revanche. Non parce qu'entre la fille Blanc-Comaz et le fils Josselinière s'était tissé une forme de lien indestructible, un échange durable et indélébile : à la vie à la mort, ils se foutraient la honte l'un à l'autre en public. C'était follement amusant.

Donc bref, le Métisse allait prendre la direction de la table du jury quand il jeta un coup d'oeil par dessus son épaule pour vérifier que Yolanda n'était pas en train de tomber en crise d'hypoglycémie, de se tordre une miraculeuse petite cheville, d'être enlevée par un Père Fouettard parisien ou encore de manger un macaron périmé. Vous l'aurez compris, c'est un frère très prévenant... Et là il vit... Rouge. Non mais plus précisément : il vit un grand escogriffe choucrouté de blond poser sa grande main pleine de doigts sur la joue innocente, fraîche, pure, de sa frangine.

Il a pas fait ça ? Il l'a fait. Non, c'était une hallucination. Si si, c'était aussi vrai que la démocratie royaliste, ça existait. Que dire à part... FUREUR. TÉNÈBRES. DÉVASTATION. CARNAGE. HACHI MENU. VENGEANCE. BOIRE TON SANG ET MANGER TES TRIPES, BOLOS !

C'était donc à proprement parler, un cas de guerre.

Le Josselinière traça la distance qui le séparait d'Enguerrand de Vaisneau en un claquement de doigts et plaça une sorte de barrage à un centimètre de sa face : une main.


On m'appelle A.J l'Écuyer Tranchant de Bourgogne. Tu tiens à la vie ? Touche pas à ma soeur.
_________________
Cassian_darlezac
[Parce qu'il y a rien de plus cool dans la vie...]

Les victoires de la musique... Combien il y'avait-il de chance pour le jeune homme le plus inculte et méprisant en matière d'art se retrouve à ce fichue rendez-vous, regroupant casseroles de France et d'ailleurs ? Très peu sans doute, le fait est qu'il était là, non pas pour voir Aimbaud ni la bavouilleuse ou qui que ce soit d'autres. Non, il était là pour deux raisons. Déjà si la reyne se pointait en tant que frère de l'organisatrice il bénéficierait à n'en point douter de tout ses égards et pourrait peut être – comble de hardiesse – observer la chose en sa douce compagnie. Deuxièmement il avait le secret espoir que Grouillotte se prenne la honte de sa vie. Ce qui serait évidement bougrement drôle à son goût et qu'il ne raterait pour rien au monde. Voilà pourquoi durant toute la traversée parisienne il ne manqua de claironner partout le nom de la dite organisatrice, histoire que tout le monde le retienne en cas de catastrophe.

« La place pécores, LA PLACE TUDIEU ! Je vais être encore en retard ! Faites place au grand ami de la reyne et vague connaissance de GROUILLOTTE GRANDE ORGANISATRICE et RESPONSABLE du futur FIASCO ! Bigre ! Mais aidez moi donc Fernand ! Du coffre bougre de mollusque, du coffre ! »

Après plusieurs heures d'excitation dans les bouchons il put enfin arriver aux portes du pavillon des bâtards – nom judicieusement choisi par la bâtarde d'ailleurs si on en croyait son cher frère. Et c'est alors qu'il s'enfonça dans l'édifice, avec pour secrètes intentions de trouver sa frangine histoire de mettre la pression jusqu'à ce qu'elle s'en pisse dessus, au moins. Mais son ambition changea aussitôt quand il vit la jeune sœur de son ami Corbigny mener mâle d'une main engageante, à la poigne certaine, en direction des... latrines...

Certes, il connaissait les penchants de la jeune Josselinière pour tout ce qui touchait aux macarons et à la gente masculine. Mais tout de même, un peu de décence que diable ! Surtout qu'elle était quand même foutrement jeune et l'autre avait au moins son age. Et puis... puis... 'fin c'est lui l'idéal masculin de Yolanda, pas cette espèce de chochotte sorti d'on ne sait où. A l'ado donc de se grouiller de les rattraper tout en essayant de percevoir des bride de conversation. C'est une fois cela fait qu'il l'alpagua l'audacieux – audacieux qu'il avait d'ailleurs la vague impression d'avoir déjà croiser quelque part – pour lui balancer ses quelques mots bien sentis dans la trogne. Le ton était on ne peut plus froid, l'air sévère, en somme la détente semblait compromise.


« Eh dites ! j'vous dérange pas ? Si le... ma-ca-que veut bien arrêter de faire de la drague à la petite sœur de mon meilleur pote en cessant tout de suite de lui tripatouiller vilainement la main je lui... »

C'est alors qu'il vit un Aimbaud rouge de... enfin rouge quoi se pointer aussitôt, mettant fin à sa diatribe. Bon, il sera arrivé trop tard. A charge de revanche.

_________________
Attia.
[ Dans ma loge ya du champagneeeeuh... ou pas!]

C'te classe quand même, la gourgandine qu'elle avait envoyé mander Griotte revenait et allait s'assurer que la déesse de la mode ne manque de rien.
On a la classe ou on ne l'a pas.

Par contre coté loges c'est pas vraiment le trip.
Elle imaginait une pièce eclairée de mille chandelles, avec des tas de bouquets de fleurs de ses admirateurs et une equipe d'estheticiennes, coiffeuse, maquilleuse, habilleuse et coach scenique...
Oui bon ça c'etait un peu beaucoup dans ses reves.
La pièce était un chouya sombre, il n'y avait pas de miroir, pas de fleurs, ça devait etre pas loin des latrines parceque ça fleurait cette delicate odeur de pisse, mais pour avantage il y avait cette jeune demoiselle dont le regard chavalin indiquait qu'elle pourrait etre d'une aide lorsque la gitane enfilerait sa robe de scene.

Oui cette robe qu'elle n'aurait pas porté, cette robe faite pas Don, le seul homme qui l'ai assea aimée pour la demander en mariage et mourir de ne pas avoir été aimé d'elle.
Elle avait souffert le martyr, la culpabilité la rongeant, degueulant l'injustice de la vie qui lui faisait aimer un autre.
Elle soupira en depaquetant délicatement la robe.

Sa main caressa le satin écarlate qui brillait doucement dans la pénombre. Cette robe c'était la chaleur dans les coeurs froids.
Elle n'avait accepté de la mettre que parceque la petite Yolanda de Josselinière avait demandé une réplique de la robe... Pour faire "Comme de la Maman et de la Fille de la robe !" .
Cette pensée lui arrache un sourire, Yolanda était l'innocence incarnée, pensant qu'elle pleurait alors parceque la robe était rouge et non rose.

Que savait elle de la souffrance de la gitane, souffrance que Breiz n'avait su attenuer ... Oui parcequ'elle pleurait de ne pas etre comprise par celle qui lui faisait office de confidente, dont elle apreciait l'instinct maternel...
Quand elle chouinait de ne pas avoir de robe, c'est Breiz qui lui avait remis le cadeau de Don, quand elle avait refusé de la mettre, ne la méritant pas, la rousse avait été des plus dures, des plus stoiques usant d'un langage des plus fleuris face aux états d'ame de la gitane " Tu as pas fini de me faire chier dis? T'as pas fini?
Oui, il t'aimait, et non, c'est pas ta faute. C'est pas toi qui l'a planté! Alors enfile la robe et arrête de chouiner! Et t'as pas intéret à te faire porter pâle pour le défilé!"
Oui parcequ'elle avait songé a ne pas y venir a ce défilé. Sans rien a se mettre que cette robe ...
"Ne la porte pas, alors. Va à poil à ta cérémonie, tu lanceras surement une mode..."
Ainsi était fini l'echange des deux femmes meurtries...
Et la était arrivée Yolanda, Yolanda qui a l'aide de ses petit bras doux, d'un macaron et d'une grande dose d'amour avait fini par lui faire envisager que porter cette robe n'etait au final qu'un hommage a l'amour de Don, a son Désir d'elle, d'une famille avec elle...
Yolanda avait su faire passer le message que Breiz tentait de transmettre dans des mots cristallisés d'envers.

Elle sourit en serrant contre elle le tissu délicat.
Elle ne l'avait pas encore essayée... Elle n'avait pas eu envie de montrer a Breiz qu'elle avait changé d'avis, et elle n'avait trouvé personne de confiance, Aria son fou étant elle aussi partie, pour l'aider...

Alors doucement elle retire sa robe de tous les jours qui choit a ses pieds, enfilant la robe de Don.
Elle a une légère appréhension alors que la robe passe la courbe de ses hanches. C'est qu'il ya du chamboulement dans ses formes.
Sa poitrine qui a gonflé, son ventre qui doucement se dilate alors que les hanches se sont légèrement épaissies... Et si elle ne lui allait pas ? Elle n'avait pas prévu de plan B.


- Vous voulez bien m'aider ?

La gourgandine s'avance alors l'oeil toujours aussi bovin.

- doucement hein, c'est un tissu fragile... S'il vous plait...

Elle a murmuré la demande, priant pour que les ongles de la jeune fille n'effilochent pas le tissu soyeux.
Et alors que les lacets sont noués et les agraphes fixées elle se sent incroyablement à l'aise.
Sa poitrine est superbement mise en valeur sans pour autant etouffer dans se corset qui dessine sa taille sans pour autant comprimer le petit ventre qui deja forme un profil fin a travers la robe...
Alors elle sent un frisson la parcourir alors qu'elle caresse le leger renflement.


- Il savait...

Elle se retourne brusquement vers la cameriste.

- Il le savait... Il l'avait vu, avant tout le monde...

Elle avait envie de pleurer, mais elle souriait en meme temps.
L'ibère de son oeil fin, de par son amour pour les femmes avait vu avant tout le monde qu'elle attendait un enfant... Il avait cousu cette robe en fonction... Et la elle rit la gitane, alors que les larmes lui roulent sur les joues. Dieu que le monde est injuste...

Elle essuie ses larmes, et sourit a pleine dents faisant quelques pas, arrangeant sa chevelure.


- Comment me trouvez vous ?

Et la mégalo de reprendre le dessus.

- Non ne dites rien... Je sais.

Public, pour toi, bientot... la sérénissime Attia Des Juli, va entrer en scene!



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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Emma..
[ Quand la guerre est déclarée ]


Ce qu'Emma détestait le plus chez les grandes fêtes, c'était que tu pouvais parler autant que tu voulais, quand t'étais pas Comtesse, Baronne ou autre t'avais juste à te la fermer. C'est donc ce que fît la Brune, essayant de cacher au mieux son exaspération.
Vraiment, elle aurait peut-être mieux fait de rester chez elle...
Sur tout qu'un duel était lancé, entre la p'tite Rosette et un... Baron ? Surement. A peine le combat verbale avait-il commencer que le grand frère débarque, prêt à défoncer l'adversaire. Non, ils avaient pas l'air commodes...

Et dans ces moments là, le mieux, c'est se taire et s'écarter - afin d'éviter les coups loupés. Parfois, la Brune se demandait qui étaient pires... Les gueux ou les nobles ?
... Nan, c'est vrai que les nobles avaient déjà plus de "classe" dans leur disputes que les gueux - surtout quand ils ont bu. Y a pas à dire, l'Emma était au premier rang ! Mais elle imaginait pas les festivités comme ça...

Et la "Griotte" qui disait rien... Aurait-elle perdu sa langue ?! Zut, comment elle allait faire pour savoir si elle était au bon endroit maintenant ? Hein ? Comment ?! Elle allait pas questionner les combattants, elle risquait de se faire envoyé pettre... Tant pis, y avait qu'à attendre et voir...

En espérant que cette histoire entre la fraisi-fillette et le Baron se termine vite, aussi vite que l'enthousiasme de la Brune pour cette fête avait disparut !
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