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[RP] Maison Ella Durée.

--Ella_duree


Un sourire réjoui, comme une mère qui se rend compte que son enfant a compris ce qu'elle lui a dit, un sourire réjoui qui gravit des cimes de contentement quand il parle du mendiant, et plus encore quand il l'embrasse sur la joue, la bouche rouge vient s'ouvrir un Oh de surprise avant de rire avec indulgence.

Revenez vite ! J'aurais sûrement d'autres coffrets !

Et déjà, il part la laissant seule avec sa boutique, alors elle retourne derrière le rideau pour ranger un peu l'arrière-boutique, enfin c'est celle qu'elle croit qu'elle pourra faire.. Déjà la porte qui sonne et laisse entrer une fillette.

Y a quelqu'un ?!
Oui, moi ! Minute, mignonne !


Elle pousse le rideau qui sépare sa maison personnelle et la boutique et rejoint son comptoir avec un air bienveillant.

Vous désirez, mignonne ? Vous n'êtes pas seule, j'espère ?

Oui, elle est mère, alors voir un enfant seul l'inquiète.
______________
Anaell
Un sourire quand elle arrive que je n'arrive pas à retenir.
Elle était brune, et avait un air maternel qui me rassura tout de suite.
Tandis que je m'approchais, elle entama la discution. Je l'écoutais, tout en observant ses macarons de toutes sortes. Hmmmm miam !


- Moi c'est Anaell ! Je voudrais un macarons s'il vous plaît madame. Vous en auriez des violets ?

Seule...? La question fatale qui me fit baisser les yeux. Inventer un mensonge ou lui dire la vérité ?
Et cet air attendrissant et inquiet sur le visage de mon interlocutrice...


- Seule ? Ah ben... Oui.

Toujours être franche avec ceux qui vous paraîssent sympa, une règle d'or chez moi.
--Ella_duree


Et la Dame violette de sourire, des macarons violets, y en a-t-il ? Bien sûr qu'il y en a, alors elle attrape sans mot dire le bocal contenant les délices à la violette justement, et les pose sur le comptoir entre la fillette et elle.

J'en ai des violets et même qu'ils sont à la violette, mignonne !

Un doute pourtant, alors qu'elle ouvre le bocal pour lui en tendre un.

Mais vos parents vous attendent à l'extérieur, n'est-ce pas ?

Hein ? N'est-ce pas que tu n'es pas tout à fait toute seule .. Le coeur de mère saigne à cette idée, en imaginant son Ernest seul errant dans les rues.
______________
Anaell
"J'en ai des violets et même qu'ils sont à la violette, mignonne !"

- C'est vrai ? Hann chouette !

La Durée s'empare d'un paquet de macarons violets et les pose devant moi. Pas une hésitations, j'en prends un et cherche de l'autre main de quoi payer. Je n'avais pas de quoi prendre la boîte, mais un si...

Mais vos parents vous attendent à l'extérieur, n'est-ce pas ?

Un pincement au coeur me pousse à reposer le macaron. Et les souvenirs... le feu... Des cris... Des pleurs. Les miens. Quand je pû articuler une réponse, non sans pousser un petit soupire, je lui expliquai :

- Mes parents sont morts dans un incendie. La ferme a brûlée, depuis je vis toute seule... Personne ne veut de moi, alors je me débrouille.

Puis, je relevais la tête vers la patissière. Dans ses yeux, elle voyait qu'elle était une mère. Elle comprendrais surement sa peine. J'attrapais mon macaron et croquait dedans. Que c'était bon...
--Ella_duree


C'est toujours agréable de voir les yeux d'un enfant luire de gourmandise, et même si son fils est toujours à traîner à droite et à gauche, c'est à lui qu'elle fait goûter chaque nouvelle création, à lui pour le plaisir de le voir avoir l'air normal quand il s'extasie. Pauvre Ernest..

Mes parents sont morts dans un incendie. La ferme a brûlée, depuis je vis toute seule... Personne ne veut de moi, alors je me débrouille.

C'est l'écho de son coeur qui répond à la gosse, et elle ? Elle, la veuve dont aucun homme ne veut, car même la fortune avérée de la Durée n'efface pas la présence de son fils, ce fils qui ne comprend rien, ce fils qui se contente de borborygmes quand il est fâché ou triste, ce fils qu'elle aime malgré sa différence. Oui, personne ne veut d'elle, alors elle se débrouille et le fait bien ! Et spontanément, elle regarde la fillette et lui sourit.

Moi, je veux de toi ! Il me faut quelqu'un pour m'aider à la boutique et surveiller Ernest. C'est mon fils.. Si tu veux bien de moi, je t'aide à te débrouiller.

Il y a quelque part derrière la part importante qu'occupent les macarons, un coeur qui se sent la fibre maternelle certains jours, et il y a des jours tous les jours.
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Anaell
"Moi, je veux de toi ! Il me faut quelqu'un pour m'aider à la boutique et surveiller Ernest. C'est mon fils.. Si tu veux bien de moi, je t'aide à te débrouiller."

Je rêvais là, n'est-ce pas ? Ella Durée était en train de me proposait de me gardé ? Un grand sourire illumina mon visage et je ne pû caché ma joie.
Fallait-il accepté ? Oh que oui !
Une chance qui n'était pas prête de se renouvellée...


- C'est vrai ? Vous voudriez bien de moi ? Ohhhh je ferais tout ce que vous voulez alors ! J'aiderai votre fils, et je vous aiderai à la boutique ! promis !

Et je ne peux m'empêcher de lui sauter au cou et de déposer sur sa joue un énorme bisous.
Eh oui, c'est ça les pulsions... mais là, c'étai si beau...
Presque trop, Un bonheur qui devait duré... Oui, elle ferait tout pour qu'il dure!
--Ella_duree


Et une gosse qui passe par dessus le comptoir pour l'embrasser, et une bourgeoise sur le cul.. Elle aurait pu rester là les bras ballants et prouver au client qui passerait que cette enfant si mignonne qu'elle soit ne vaut pas un macaron, elle aurait pu.. Mais les bras se lèvent et se resserrent, et comme la lavandière qui, après avoir charrier son linge dans la rivière, le récupère, Ella de récupérer avec délicatesse la fillette qu'elle hisse par dessus le comptoir pour l'asseoir face à elle.

Parfait ! Au programme de ce jour, donc ! Te présenter Ernest, si nous le trouvons.. Il faudra être gentille avec lui, Ernest est .. un peu simple.

Elle s'excuse d'un regard, qu'y peut-elle s'il est comme ça et qu'elle l'aime quand même..

Ensuite, nous irons t'acheter des habits dignes de ce nom et enfin, je t'apprendrais à faire tourner la boutique. Tu as mangé au moins ?

Oui, parce qu'il y a des priorités dans une vie, les repas en font partie, non ?
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Anaell
Hissée sur le comptoire d'Ella Durée, vous y croyez ça ? Moi non plus, mais je me contente de nager dans ce rêve fabuleux où m'apparait une nouvelle version de la vie.
Une nouvelle chance. J'acquiesçe à tout ses dires, oui j'ai mangé... Mais très peu.

Et quand les bras de la patissière m'enveloppe, je suis aux anges.
Cette mère, surement la meilleure de toutes, veut bien de moi... Et même me nourrire !
Le Très Haut était de bonne humeur, surement.


"Parfait ! Au programme de ce jour, donc ! Te présenter Ernest, si nous le trouvons.. Il faudra être gentille avec lui, Ernest est .. un peu simple.
Ensuite, nous irons t'acheter des habits dignes de ce nom et enfin, je t'apprendrais à faire tourner la boutique. Tu as mangé au moins ?"

- Il est gentil, Ernest, au moins ? En tout cas, je vais l'aimer, je le sais. Ne t'inquiètes pas. Tu va m'acheter des habits ? En vrai ?!
Trop chouette ! Même que moi, je sais lire et écrire, et j'apprends vite. Tu ne regrettera pas, juré !
J'ai mangé deux miches de pain aujourd'hui. Et un macaron.


Grand sourire de la Minette. Oui, elle l'aime déjà, sa nouvelle famille. Oui, elle ne connaît pas Ernest, mais elle l'adulera comme son grand frère, tout comme elle adorera Ella, comme la plus gentille des mamans. Quoi qu'elle dise, quoiqu'il fasse. Une idée en tête, elle saute du comptoire et tend une main à Ella.

- Viens, on va trouver Ernest !
--Ella_duree


Là, maintenant ? Et ma boutique ? Et mes clients ? Et ta vie Ella ? Et ton fils que tu laisses traîner pour ne pas l'avoir dans les pattes ? La main est attrapée, tenue en l'air alors qu'elle contourne le comptoir et rejoint la fillette. Elle lisse un coin de nappe, entraîne la gosse avec elle vers la sortie, ferme la porte sans souci de la verrouiller, et enfin, elle daigne répondre aux questions.

Il est gentil, il est juste.. Différent de toi, il ne comprend pas tout, et il rit souvent pour des choses qui n'amusent que lui. Il est .. Simple. Et bien sur que oui, je vais t'acheter des habits ! Violets comme les miens, cela te va ? Ce soir, nous mangerons un bon repas, mais avant nous irons voir un tailleur pour qu'il prenne tes mesures, il ne sera pas dit qu'Ella Durée est pingre.

Mais il y a d'autres priorités dans la vie..

Ernest ? Erneeeeeest ! Où es-tu ?

Elle s'inquiète des fois.. Puis, elle le retrouve toujours aux mêmes endroits, son gosse à elle, parce qu'elle l'aime, parce qu'il y a ce sourire qu'il a qui lui fait penser à son Louis quand il était encore de ce monde. Et derrière la bâtisse, entrain de jeter des miettes de macarons à des rats, son fils, son adolescent trop grand et trop fin, trop brun comme elle, et trop simple pour eux tous. Une boule dans la gorge, un pincement au coeur, la main de la bourgeoise se détache de celle de la fillette pour se tendre vers son fils.

Viens mon amour, viens voir Maman. Regarde qui je t'amène, elle s'appelle Anaell, elle va venir vivre avec nous Ernest..

Les pas sont lents qui la mènent vers lui, pour lui prendre la main et l'attirer à elle contre son sein, elle n'a pas peur pour elle, elle a peur pour eux, un peu, car l'autisme est effrayant pour ceux qui ne le connaissent pas.

Elle est gentille, tu as vu mon amour ? Et il faut être gentil avec elle aussi.
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Anaell
Alors qu'Ella me tirai hors de la boutique, je n'avais plus qu'une envie : rencontrer Ernest.
Mes pensées étaient pour lui, mes songes, mes idées... J'étais curieuse.
Un détour, j'écoutais la Patissière me mener à lui. Mais ses paroles ne comptaient pas.
Quand nous fûmes arrivés derrière la boutique...

Je l'aperçu enfin. Lui. LE Ernest. Malgré tout les dires de ma nouvelle mère, je ne pu m'empêcher de le dévisager. Non, je ne le trouvais pas laid, ni bête, ni "simple".
Il était parfait. Un grand-frère dont j'avais rêver.

La Patissière me lâcha et accourut prendre son fils dans ses bras. Ce qui me fît l'effet d'une révélation. Pendant qu'elle lui expliquait qu'il fallait être gentil avec moi, et que j'allais vivre avec eux, je m'approchais timidement.
Le grand m'impressionnait. Et puis, plantée là, j'osai ouvrir la bouche.



- Bonjour Ernest ! Moi c'est Anaell. Mes parents à moi, ils sont morts. Du coup, chui toute seule... Et ta maman, elle m'a prit avec elle. Dit, tu veux bien qu'on soit amis ?


Puis, je pose une main sur son épaule et avec mon grand sourire enfantin à faire craquer les minets, je continue :


- Tu sais, moi, depuis longtemps je voulais avoir un grand frère.

Je voulais qu'il m'aime, parce que moi, je le trouvais super. Il fallait qu'il sourit, mon royaume pour qu'il sourit!
--Ella_duree


Un frisson, une peur soudaine qui naît dans son coeur de mère quand la fillette pose la main sur l'épaule d'Ernest, lui si prompt à crier et à s'écarter au moindre contact. Mais Ernest ne fait pas un geste, il se contente de regarder la femme et l'enfant autour de lui, de serrer dans ses mains compulsivement les miettes de macarons avant de se mettre à rire. D'un rire léger, d'un rire qui libère le coeur de la bourgeoise, comme un étau qui se brise et qui laisse le bonheur circuler dans un monde si souvent éprouvé par les hurlements hystériques de l'adolescent.

Elle pourrait bien rester là à les regarder des heures tous les deux, cette fille qu'elle n'a pas eu et que le Très-Haut lui offre et ce fils qui soudain sourit et rit d'un bonheur qui pour une fois est commun à son entourage. Elle pourrait rester des heures à savourer cette joie récente comme on savoure des macarons.


Ella, Ernest et Anaell Durée, c'est beau..

Une envie comme ça, qu'elle ne soit pas juste une aide à la boutique et une présence pour Ernest, envie qu'elle soit une présence pour elle aussi.
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Linien_lamora
Et soudain, comme le miroir se brise, le verre se casse, la clochette de la boutique d'Ella Durée retentit, interrompant l'instant de félicité familiale. Un autre client ? Que nenni, il n'y a guère de monde dans les rues parisiennes en cette heure.

Eilinn entre alors dans la boutique, comme elle l'a déjà fait des dizaines de fois auparavant, pour aller acheter des douceurs, ces mêmes douceurs qui l'avaient sorties du deuil de sa propre mère, en dévorant ces macarons avec Aléanore Jagellon Altérac.

Mais aujourd'hui, c'est Eilinn qui amène les gâteaux, dans une boite toute simple, elle laissera le plaisir à la Castelmèmère de faire le contenant des macarons Or, chacun sa spécialité.

Le Premier Maitre d'Hôtel entend des bruits venant de l'arrière boutique, des rires d'enfant, ainsi un sourire nait sur ses lèvres, et il s'installe à une des petites tables, déposant précautionneusement la boite aux Ors, après tout, il n'est plus pressé. Les traits de l'officier du Louvre sont tirés, le sommeil lui a manqué ces derniers jours, mais pourtant il éprouve ce sentiment de satisfaction presque jouissif, d'avoir fait quelque chose de bien.

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Anaell
Quand j'ose enfin me rapprocher, son rire retentit. C'est comme une victoire, j'ai gagné son affection. Je me sens légère, comme dans un rêve.
Pour chasser le doute, je me pince discrètement.
Non, ce n'est pas un rêve. Tandis que je me rapproche davantage, le rire continue et Ernest me laisse faire.
Ella pose sur nous un regard maternel. Là, je le sais. Je ne serai pas qu'une aide.
Je serai...



"Ella, Ernest et Anaell Durée, c'est beau.."

Je serai Anaell Durée. Fille d'Ella Durée, soeur d'Ernest Durée. Je serai ce que j'ai toujours voulu être...

Et là, l'instant famillial s'achève. Plus loin, j'aperçois une brune, devant la boutique.
Là, j'attrapai la main de ma "mère" et d'Ernest et m'élançais vers elle.



-Mam... Ella, il y a une cliente ! Ernest, viens, j'ai quelque chose pour toi !


Puis, une fois plus proche, j'hélai la dame.


- Dame, dame ! Ne partez pas, Ella Durée arrive !


Ben quoi, elle était aussi là pour aider!
--Ella_duree


Elle le ressent plus qu'elle ne l'entend ce son de cloche qu'elle connaît par coeur, elle hésite un instant à les quitter pour aller travailler, aller prodiguer des conseils, du génie, aller mettre un soupçon de fantaisie dans la vie d'un pauvre hère. Et la fillette répond pour elle, et en écho, la bourgeoise se met à rire, un rire franc, vrai, un rire rare qu'elle a gardé de l'enfance.

Oui, oui, Ella Durée arrive ma dame !


Et en lieu et place d'une dame, c'est une damoiselle, une vicomtesse, sa vicomtesse qui est déjà entrée et qui a pris place à une table. Sa table. Leur table, la main vient caresser la nappe comme on caresse un souvenir. Taquine la voix.

Vous voulez goûter un peu de chaque ?

Un regard souriant, mutin, plein de tendresse qu'elle jette à ses enfants, mais aussi à cette jeune fille, à sa tenue violette, comme un hommage à celles qui l'ont fait connaître. Ce n'est pas du zinzolin, mignonne, mais ça s'en rapproche, comme au début.

Vous avez sûrement déjà du voir Ernest qui traîne de ci, de là.. Et voici Anaell, elle m'aide moyennant un toit et de la tendresse.

C'est comme une sucrerie la tendresse, c'est complexe à faire naître, mais si simple à apprécier.
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Linien_lamora
Eilinn ne peut retenir un rire léger à l'invitation de la patissière, et répond avec spontanéité et légèreté.

Oh, je crains de les connaitre déjà tous, à moins que vous n'ayez encore dans vos manches quelques cachotteries.

Ella Durée explique alors qui est l'enfant venue accueillir Eilinn. Cette dernière lui accorde alors un sourire en la saluant gentiment. Pas de raison de se montrer hautaine ou distante, après tout c'est la famille de la patissière, peu importe que l'enfant soit de sang ou de cœur. Derrière l'adolescent simple, dont la Melani avait entendu parler via les rumeurs des Halles, sans jamais pour autant aborder le sujet avec la Durée. Après tout cela ne la concernait pas, chacun vivait ses propres drames.

Bonjour Ernest et Anaell, je suis contente de vous rencontrer. Je m'appelle Eilinn.

L'officier du Louvre préfère se présenter succinctement, les enfants sont souvent trop dissipées pour retenir les choses pompeuses comme les titres ou les charges. Puis le visage redevient plus sérieux tandis qu'elle se retourne vers la pâtissière. Les doigts d'Eilinn se posent délicatement sur la boite, et la retourne, pour la mettre face à la Durée.

Maintenant, c'est à moi de jouer aux devinettes. Veuillez me faire l'honneur de goûter ces macarons, et de deviner leur parfum.

Les doigts d'Eilinn soulèvent alors le couvercle, révélant les macarons. Pas des simples macarons, ceux-ci sont recouverts d'une feuille d'or, et l'on distingue la crème qui les emplit, jaune, avec des points d'or qui brillent dans la lumière du jour.

La Melani s'adosse à nouveau au siège, attendant un sourire aux lèvres le verdict de la pâtissière.

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