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[RP] Maison Ella Durée.

Jenifael..luna
La princesse,voit alors,happée,la rousse qui c'était assis.Pas la blonde,mais la princesse était déjà en train de mitrailler sa sœur,du regard pour lui indiquer : " Ton fils,m'a encore tirer la langue ! " ... Puérile,comme toujours,les deux se mirent à se chamaillaient tout bas,l'un lança des : " m'en fou tata,j't'aime pas " et l'autre,répondit par des : " Sale morveux,ont tire pas la langue "secrètement,elle avait trouvé en Breval,le petit frère,qu'il lui manquait,mais aussi un redoutable ennemie,face Axel,elle ne voulais pas qu'il la remplace,dans la vie de la baronne de la montagne ...Il est était hors de question de cela,déjà elle n'avait pas de famille,personne pour tenir à elle,si en plus,le morveux lui prenait l'une des rares personnes,qui faisait attention à elle,ça allait mal aller pour lui,ça elle se l'était promis.

Puis,enfin,ils observèrent,le nouveau coffret de macaron,dévoiler ...

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Attia.
Loin de se douter du drame qui se jouait pour une rousse qu'elle ne connaissait pas, elle agitait les lèvres à la dégustation de macarons merveilleux.
Les pâtisseries avaient été posées devant elle et l'oeil bienveillant , elle encourageait Margot à goûter à tout et motivait Eli pour mieux faire passer la pilule de la grosse commande qu'elle avait bien l'intention de faire.


- Mange Eli, Mange rooo et commence pas à calculer, nous aurons un très bon retour sur les tenues du sacre impérial, et imagine que nous soyons reconduits comme fournisseurs impériaux... mhhh mange va.

Elle sourit amusée.
Le salut de la comtesse d'Albizzi lui fait alors se souvenir qu'elle avait à entretenir la jeune femme d'une affaire importante.


- Je reviens. Margot, viens , je souhaite te présenter.

Elle prit donc la direction de la blonde comtesse. Alors qu'elle passait devant la petite famille d'Amahir, elle adressa un salut à Blanche, devenue entre temps marquise, et partagée entre l'envie d'ignorer le duc Kéridil et celle de rappeler a son bon souvenir leur rencontre macaronesque, elle lui adressa un presque imperceptible signe de tête.

Si l'occasion s'y prêtait, elle irait le saluer. Pour l'heure elle venait de rejoindre celle qu'elle cherchait.


- Bonjour Cloé. Quel plaisir de vous voir, cela fait une éternité vous êtes toujours aussi magnifique. Comment va votre fille ?

Elle sourit, elle avait connu la plupart des dames ici présentes alors qu'elles étaient pour qui dames, pour qui jeunes héritières, et toutes plus ou moins se trouvaient propulsées dans l’échelle sociale.
Elle n'était restée qu'Attia.

- Je vous présente Margonton, la jeune fille qui m'accompagne et m'aide avec les enfants.

Inconsciemment elle avait dit les enfants, comme si par endroit son esprit refusait d'admettre qu'elle n'était la mère que d'un seul enfant.
Elle ne se laissa pour autant pas ébranler et poursuivi, une main se posant sur l'épaule de Margot dans un geste tendre.


- J'espère ne pas vous déranger, si vous restez un peu à Paris, j'aimerai vous entretenir d'une affaire qui requiert vos bons offices, à moins que vous ne préfériez que nous nous voyons en Bourgogne , à l'atelier ?

Elle fourra un macaron resté dans sa main dans la bouche le laissant fondre discrètement le regard fuyant qui sur Ella qu'elle brûlait de rejoindre à nouveau, qui sur le baron, son épouse et blanche, qui sur Yolanda qui semblait consoler une amie...

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**********Je ne prend pas de commandes par MP/Commande=RP **********
Ella_duree
Dans sa main la coupe d'hypocras, dans ses yeux, l'image d'une Attia reconnaissante, et sur son visage vieilli prématurément par la douleur, un sourire. Ne croirait-on pas effectivement que cette réunion est sous les hospices de Béatrice de Castelmaure. Oublions la guerre, pensons à naguère. Des yeux, elle suit le cheminement de son fils et de sa bru qui distribuent les coffrets à qui de droit. Rendons à César ce qui est à César, et s'il fallait vraiment le faire ? Si devant tous, elle devait remercier toutes les petites mains qui oeuvrent à la gloire de la Maison Durée.

Elle le fera. D'où elle est, elle a vu la petite Volpilhat se lever, elle ne voit pas la suite, et se morigène soudain d'avoir été trop brutale dans son annonce. N'es-tu pas mère Ella ? N'es-tu pas femme de savoir comme on réagit mal dans ces moments ? L'idée s'enfuit comme elle est venue sous la forme d'une coupe tendue par Judas, puis portée à ses lèvres. C'est la révélation. Voilà bien ce qu'elle attendait de la vie, la finir auprès d'un homme attentionné. L'hypocras est bu jusqu'à la lie, et si le nectar sucré lui laisse un goût contrastant avec les liqueurs plus fortes qu'elle ingurgite d'habitude, c'est l'arrière-goût qui l'étonne. Les améthystes s'écarquillent sous l'effet qu'elle n'attendait plus.

On se croirait plongé dans du lait chaud. C'est doux, c'est bon. Plus rien n'est bruyant, plus rien n'est étouffant, il lui semble que tout est plus doux, plus fluide, les choses glissent et se placent comme elles doivent être, et des lèvres gercées parce que souvent mordues, s'extirpent deux mots que n'entendront que les plus proches.


Oh .. Judas..

C'est l'extase. C'est l'orgasme. C'est le bonheur. Ca la rend extatique. C'est la douleur qui est refoulée derrière des vagues de douceurs, cette douleur qui a été sa compagne durant des mois, voilà qu'elle la quitte, qu'elle est battue en retraite, et un long soupir part avec elle, et un sourire, le premier vrai sourire d'Ella qui ne devient pas une grimace.

Yeux entrouverts, elle regarde comme dans un rêve, sa bru présenter les nouveaux coffrets, à son fils qui passe près d'elle, elle envoie un baiser silencieux.

La vie est belle quand Judas est là. Et sa main vient se saisir de celle de son ami à tâtons avant que de la tenir en la sienne, silencieusement.
Remerciements.

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Linien_lamora
Eilinn ne voyait pas, dans la ferveur qui était la sienne ce jour, Jehanne-Elissa effondrée par la terrible nouvelle de la mort d'Adrian. Poutant la jeune fille aurait apprécié l'effroyable ironie : Alors que tout presdestinait la Goupil au mariage et Eilinn au célibat, c'était désormais cette dernière qui se retrouvait avec l'anneau d'or et la rouquine veuve avant même d'avoir prononcé ses voeux maritaux.

Un nouveau coffret maintenant, et ce fut vers le couple d'Amahir-Euphor qu'elle se tourna. Eilinn savait bien que Della n'appréciait guère cette confiserie doucereuse, mais après tout, les choses changeaient.




Voici les "Toniques", un macaron fourré à la menthe et menthe poivrée, créé pour Della d'Amahir-Euphor.

L'escarcelle fut déposée devant l'ancien Premier Maitre d'Hotel.

J'espère qu'ils vous plairont, Votre Grasce.

Puis elle reprit, pour présenter le dernier macaron.

Et en l'honneur d'Eusaias de Blanc-Combaz, la Maison Durée vous présente les "Téméraires", au radis noir ainsi qu'au raisin. Un mélange plutôt étonnant, et détonnant.



Les personnes présentes pouvaient maintenant goûter les trois derniers macarons issus de la collaboration entre Eilinn et Ella Durée, alors que de petites assiettes avec l'assortiment étaient déposés.
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Ingeburge
Dans le cocon qu'elle s'était créé, la Prinzessin continuait de savourer, à petites bouchées, le gâteau à la framboise auquel elle s'était doucement attaquée. Armée de sa petite cuillère, elle en sapait les défenses, en amoindrissait les positions et profitait de chacune de ses avancées; bientôt, elle aurait conquis toute la place, terrassant définitivement le moelleux et fruité adversaire. Elle avait toujours eu une nette préférence pour le salé, se régalant de petits pâtés à la viande, de terrines, de venaisons et de fromages mais elle appréciait tout de même cet autre versant du goût qu'était le sucre, ce trésor que l'on s'échangeait à prix d'or. Et elle apprécia. Autour, il y avait le brouhaha fait des bavardages, du tintement des cuillères, des couvercles des coffrets se laissant soulever dans un soupir, des exclamations diverses, des meules broyant avec plaisir macarons et autres pâtisseries, de la porte de la boutique qui s'ouvre encore et encore, de la clochette qui tintinnabule quand de nouveaux visiteurs entrent.

Ignorante de ceux qui se pressaient et de ce qui se passait, elle était toute à son plaisir. Il fallut la présentation faite par Ella Durée pour qu'elle s'extirpât de sa bulle. Rendue à la réalité, elle voyait tout autour les petits groupes qui s'étaient formés, par affinités ou par circonstances et elle entendait maintenant la vicomtesse d'Avize nouvellement mariée compléter les propos de sa belle-mère. Involontairement, les yeux d'Ingeburge se portèrent sur Charlemagne dont on évoquait, encore, la mère. Quelles pensées s'agitaient sous son front buté et enfantin? Il n'y en avait eu que pour Béatrice depuis qu'ils étaient entrés dans la boutique, quels sentiments ces souvenirs pouvaient provoquer chez un garçon qui risquait d'être longtemps vu comme l'héritier d'une personnalité exceptionnelle? Ingeburge éloignée de parents dont la réputation se limitait à la Scandinavie n'avait pas eu à supporter ce joug, mais il en irait autrement de Charlemagne qui était non seulement environné de l'ombre maternelle mais aussi celle, tout aussi puissante, du père. Béatrice, elle-même héritière, avait-elle eu le temps de lui faire savoir comment elle avait grandi lestée du fardeau du patriarche Castelmaure? La Froide eut envie de se dégeler et de lui murmurer qu'il était lui, avant d'être le fils de quelqu'un et qu'on finirait par le voir lui et non comme le descendant d'une reine et d'un souverain.

Mais elle n'en eut pas l'occasion, empêchée par ce manque d'une spontanéité qu'elle avait combattue des années durant et abordée par Eilinn. Ses prunelles opalines passèrent du garçonnet au visage juvénile de la vicomtesse, pour se poser sur le coffret aux couleurs bien connues. Un morceau du blasonnement de ses armes de famille lui revint – «... à la croix pattée d'argent bordée de gueules, qui est le Dannebrog... » – et elle aima l'écrin avant même de savoir ce qu'il contenait, voyant en arrière-plan l'île de Fyn, le visage tendre de sa mère, le château familial, les petits fjords, les plages bordées de bruyère et de pins sylvestres... Sylvestre, comme le qualificatif du coffret qui lui était maintenant révélé. Sylvestre, comme la saveur des macarons. Sylvestre comme les pins perdus du Danemark retrouvés dans les Alpes provençales. Sylvestre, comme la forêt, royaume de la Diane chasseresse laquelle par sa combattivité, son implacabilité et la préservation de sa vertu avait fasciné la petite fille qu'elle était au point de baptiser sa maison de Rome « palazzo di Diana* » et sa résidence mâconnaise « l'Artemisium** ». Sylvestre, comme la marche de généalogie qui aurait pu être la sienne quand elle avait réussi l'examen. Sylvestre, comme la mère d'Eilinn, Leah Melani, celle qui avait justement laissé cette marche.

La généalogie. Elle lui devait, avec la Bourgogne, tout, la reconnaissance, le maréchalat, la charge de Roi d'Armes, la Pairie, l'envie d’œuvrer pour la Couronne de France et donc la rencontre avec le vicomte du Tournel. Et elle lui devait certainement d'être présente ici, en ce jour, pour se voir dédier une pâtisserie qui faisait courir le tout Paris et rêver les provinces. Alors, pleine de ces doux souvenirs heureux, de ses heureuses réminiscences, pleine aussi des promesses entrevues, elle remercia, employant spontanément une langue qu'elle n'utilisait plus :

— Tak, vicomtesse.***
Et ce merci vibrait d'une sincérité peut-être contenue mais pourtant bien réelle. C'était elle, celle que d'aucuns se piquaient d'appeler la Froide, sans qu'elle sût bien pourquoi, et qui avait gagné un macaron au nom tout aussi frais.

La vicomtesse d'Avize s'occupant des autres remises, Ingeburge de ses doigts blancs et bagués approcha le coffret mais ne l'ouvrit pas : elle voulait profiter de cette excitation qui prenait les sens à l'idée de découvrir ce qui était caché. Elle savait bien que c'étaient des macarons que renfermait la belle boîte mais elle avait encore à prendre une première bouchée, à goûter à et savourer et elle se demandait ce qu'elle sentirait sur sa langue, sous son palais, dans sa gorge quand elle aurait enfin décidé de mordre dans le macaron, son macaron.



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* Palais de Diane
** Temple d'Artémis, du nom de celui d'Ephèse
*** Merci, vicomtesse (eh oui, ils disent vicomtesse en danois.^^)

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Ingeborg aka Ingeburge aka Montjoie aka chuipavotlarbin.
Armes qui seront refaites, un jour.
Roi d'Armes de France, duchesse d'Auxerre, bla bla bla bla bla.
HS.
Della
Oui, son époux avait raison. Tout ici rappelait Béatrice.
Le souvenir de celle par qui elle était devenue la personne qu'elle était aujourd'hui lui serra le coeur alors que son regard se portait sur l'Enfant. Avec lui, elle avait le sentiment d'avoir trahi Béatrice. Elle n'avait pas pu assurer ce que sa Mie lui avait confié. Elle s'en voudrait jusqu'à son dernier souffle et nul n'y changerait jamais rien.

Della fixa ses pieds, un moment, le temps de laisser passer la brume qui menaçait de voiler ses yeux, la brume qu'elle balaya à coup de battements de cils.

Mais voici qu'Eilinn présentait à Ingeburge un coffret spécialement inspiré de sa personne..."Fraîcheur" était le nom des macarons. Della se pinça les lèvres et en mordit même une...Fraîcheur...la Froide traînait décidément derrière elle toutes sortes de qualificatifs rafraîchissants. Une nouvelle fois, la Duchesse baissa les yeux mais cette fois, ce fut pour tenter de cacher le sourire un peu trop moqueur qui se dessinait sur ses lèvres pourtant bien tenues fermées. Le regard glissa vers Kéri Kéri...juste histoire de voir si lui ne lui en lançait pas un de glace...Mais ça parlait, ça parlait et Ingeburge articula un mot totalement inconnu et incompréhensible pour la Bourguignonne pure souche qui n'avait jamais voyagé dans le grand nord.

Et voici que Eilinn, approchait de Della, justement, tenant une escarcelle qu'elle lui tendit.
Tonique...menthe poivrée...Della apprécia.

Merci, Eilinn, cela me touche beaucoup.
Et c'était tellement vrai.
Le respect que Della avait toujours eu pour celle qui lui avait tout appris au Louvre était immense. Et recevoir, de ses mains, ces macarons - même si elle ne les aimait toujours pas plus - était comme une reconnaissance que Eilinn et la Maison Durée lui adressaient.
Elle hésita un instant puis, cédant à sa pulsion, elle saisit la Vicomtesse entre ses bras et l'étreignit amicalement avant de la libérer et la laisser continuer sa distribution de surprises (Petit Papa Noël, quand tu...euh...pardon).

Souriant à son époux adoré, elle défit le lien de l'escarcelle et après y avoir plongé le nez...diantre, ça sent bon, ça...elle la lui présenta :
Mon Ange...je sais que vous adorez ça.

Et cette fois...ne voulant pas rester en reste...elle aussi sacrifia au rite célèbre du "croquage" de macarons en mordant un tout petit morceau dans celui qu'elle venait de piocher. Elle laissa alors le temps aux arômes d'emplir ses papilles...ses yeux s'agrandirent un peu...un peu plus...roulèrent vers Kéri, vers Eilinn, vers le macaron...mordit à nouveau dedans...et...mince zut flûte ! elle le trouva délicieux.
Dilemme. Fallait-il s'extasier devant autant de plaisir et ainsi faire s'écrouler des années de tradition disant que Della n'aime pas les macarons ou bien se taire et...manger désormais les macarons en secret ?

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- Et vot'blason, Duchesse ?
- Euh...il est là, quelque part dans les malles...'pouvez chercher. Attention à ne pas tout déranger !
Mariealice
Le temps coulait, s'écoulait, fin sable filant sans jamais pouvoir être rattrapé, comme poursuivi par quelque mystérieux ennemi. Parfois il allait vite, si vite que l'on avait à peine le temps de tourner la tête et les mois avaient passé sans que l'on s'en soit rendu compte. Parfois au contraire il passait lentement, très lentement, donnant l'illusion que si l'on tendait la main on pourrait en arrêter l'écoulement voire l'inverser en tournant le sablier.

Là, c'était pour elle tout à la fois. A l'extérieur de sa bulle, la porte ne cessait de s'ouvrir laissant passer les gens pour emplir un peu plus l'échoppe, les macarons se multipliaient et croissaient tout en lui donnant l'impression qu'à force ils allaient l'engloutir. Les odeurs, les parfums, les bruits, tout se mêlait à lui en faire tourner la tête. A l'intérieur, le flot de ses pensées au contraire avait pris un cours lent, comme la Loire pouvait paresser en certains endroits de son lit alors qu'ailleurs elle savait se montrer impétueuse ou faussement sage. Et ce duel du temps se voyait-il seulement à l'extérieur? Que pouvait-il arriver pour que l'un et l'autre prennent le même pas, la même mesure?

L'annonce d'une mort. Fauconnier. Le fils de Bralic. C'était comme une seconde mort pour le chevalier licorneux car qui restait-il de ses enfants? Elle l'ignorait à dire vrai mais Fauconnier.... C'était comme une nouvelle mort d'Aleanore car n'était-ce pas son autre suzerain qui n'était plus désormais?

Comme la mort était donc une litanie sans fin, une liste de noms qui ne cessait jamais de se dérouler encore et encore, une envie de vomir qui montait des tripes, laissait une trainée brûlante dans l'oesophage, un goût acide en bouche...

Et à nouveau l'esprit s'enfuit, bloquant tout ce qu'il y avait autour de cette nouvelle. Dire que la nourriture était à dire vrai plutôt la vie non?

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Zelha
Pourquoi la rousse que je suis à toujours le chic pour s’trouver dans des situations insensées. une demoiselle de compagnie normal ’ment est proche de sa Dame, légèrement en arrière , s’pressant de combler ses moindres désirs non-dits…en en clair faire signe pour qu’on amène un délicieux coffret de macarons ici…regarder les couleurs, leur forme parfaite, l’dessus qui n’demande qu’à être craquelé par les dents , leur crème fondante qui dépasse légèrement …. Voilà ce qu’elle aurait dû faire…
Mais nan !!! Impossible !! Espérant trouver l’calme dans la foule, elle s’était précipitée vers le lieu qui allait retenir toute l’attention. Et à présent une main s’agrippait à elle comme à une bouée …pour éviter la noyade…elle si frêle pour n’pas tomber était obligée de se tenir comme un piquet…jambe tendu, droite, tout en ayant une attitude avenante….
Que faire dans pareil cas !! Dans sa taverne la réponse aurait été simple : l’abreuvoir aurait permis à la dame de retrouver ses esprits….ou encore le lit au premier étage, location 3 tournées générales la nuit, aurait renflouée les caisses de la mairie…Mais là !! En terrain non exploré!! Dans un monde encore plus…inconnu…Comment allait-elle s’en sortir ?...
Elle écouta attentivement les mots de la Dame tentant d’en comprendre le sens, sourcils froncés sous la concentration elle tentait de trouver la solution au problème tout en faisant plaisir à la personne en terrain d’oubli intempestif. Elle regarda autour d’elle et fut soulagée qu’une autre dame s’approche pour repondre…ouf la voila sauvée

Sa main dans un geste de compassion pour ce qui la dépasse largement se pose sur celle de la dame et la caresse doucement en un geste de réconfort…parfois on ressent et on laisse l’cœur parler à sa place, sans connaitre...l’empathie se crée…se lien invisible et puissant qui soude les gens l’espace d’un instant….et l’on ne sait pourquoi , la bourgmestre ressenti e cela. Un poids écrasant ses épaules, une main étreignant son cœur…elle plissa les yeux et fit signe à sa Dame de placer une chaise derrière la vacillante… Une fois cela fait, elle l’aida à s’assoir… sans un mot…cela semblait inutile. Elle en trop et bien la… les gâteaux étaient loin de ce qui s’vivait ici… Elle se tue et fit signe à un serveur d’amener à boire à la table…Rien de tel pour retrouver un peu d’ordre dans ses esprits

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Cl0e
Juste avant que ne soit présenté les nouveaux macarons, l'Albizzi déguste un macaron au jasmin - un Délicat, suivi d'un Magnifique, parfumé au coquelicot. Ses deux parfums préférés après la violette. Encore qu'elle aimait beaucoup la pêche également.
Le plaisir, c'est si bon.
Et tout en goûtant du bout des dents les petites douceurs, elle regarde de droite de gauche, saluant un tel, observant un autre, et observant le nouveau coffret des plus curieux, mais non moins joli, de rouge et de blanc. Il faudrait apparemment attendre quelques minutes avant que n'arrivent les deux suivants. Du suspens à une dégustation de macarons ? Soit. Voilà qui était original.
De là, elle vit Attia avancer vers elle, suivie d'une jeune fille. Elle cessa de grignoter son Magnifique, c'était la moindre des politesses, et salua la créatrice.


- Bonjour ! Et bien, vous avez bien raison, une éternité ! Enfin, vous êtes toute autant magnifique ! La maternité peut-être, comme peuvent le dire certaines ? Ou bien les macarons, à savoir ! Enfin, Chiara se porte bien. Et la vôtre ? Comme elle a dû grandir !

Encore que Chiara aussi, ceci dit. Mais peut-être pas de façon aussi flagrante qu'une enfant aussi jeune que celle de la gérante aux doigts d'or.
Cloé sourit à l'adolescente qui lui était présentée.


- Enchantée jeune fille. Ah, ce doit être une aide précieuse ! Si elle vous aide autant que peut le faire ma gouvernante, c'est quelque chose ! Un atout en or, c'est le cas de le dire.

Oh oui, c'était certain. Sans Georgia, Cloé aurait été bien mal barrée en vérité. Il sortait tellement de bonnes choses de l'Alençon !

- Me déranger ? Quelle idée ! Voilà qui serait bien malvenu de ma part. Rester à Paris ? Je ne suis pas pressée en tout cas, rien ne requiert ma présence où que ce soit, alors Paris ou Bourgogne, comme il vous arrangera au mieux.

Bientôt, les nouveaux coffrets. Menthe, radis et raisin. Des parfums que l'on aurait cru incompatibles, et pourtant si, certainement que si. Très vite, on porta aux invités une petite assiette avec les nouveautés, pour amadouer les palais. A coup sûr, cette manœuvre aurait l'effet escompté.
Elle croqua la fin de son macaron magnifique et pris une bouché du sylvestre.

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Judas
Pendant qu'autour d'eux le monde continua de tourner, ou cessa pour certains, l'homme lui apprécia d'avoir fait son office. Le vin d'icelui fut bu, et pour qui avait l'oeil ou l'esprit point occupé à autre chose qu'à se demander ce qui mettait la maitresse de maison dans un tel étant de béatitude, on eut presque dit qu'au chevet d'une mourante un clerc sans soutane se signait. Presque, car Judas n'est pas clerc, bien moins encore clair. C'est un clair obscur, arrimé aux lèvres de Burlat où perlaient encore l'indécence de la paix, un chapelet de gouttes violines.

Il fallait les entendre, les voir dans leurs beaux apprêts. Ha, le spectacle était aussi miroitant que la fausse platitude des eaux de la loire... Mais cette lumière qui s'éteignait là, c'était autre chose. L'homme soustrayant breuvage récupéra dans le creux de sa paume lisse la frêle étreinte de celle d'Ella. Elle avait ce don inné d'émouvoir, du bout du palais à la douce initiative d'un geste. Mère de plus qu'on ne voulait le voir, il fut fier de lui offrir un de ses derniers instants de délice. Et sans l'indécence qui le caractérisait... Un respectueux au revoir, avant que de se lever déjà en réajustant sa cape, levée pour la circonstance.

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IRL PARIS: 29 septembre. Go topic des IRL!
Attia.
La réponse de la blonde d'Albizi arracha a Attia un sourire satisfait.
La mégalomane couturière d'apparence si pleine d'assurance manquait pourtant cruellement de confiance en elle, suffisamment pour penser déranger des personnes aussi importantes que l'étaient celle de l'assemblée.

Elle sourit au compliment. La robe qu'elle portait était magnifique et les suites de son accouchement lui avaient fait retrouver le physique de ses jeunes années, un amaigrissement qu'elle avait corrigé en amincissement en se gavant de macarons. Alors oui la comtesse avait tout bon, il y avait une maternité, des macarons et le plaisir de s'accrocher a un peu de bonheur.


- Je vous remercie... Livia se porte bien, elle a été un peu éprouvée par notre voyage je la laisse un peu se reposer avec son père...

Père qui avait à sa manière aussi compensait ses désirs d'avoir un fils, frustrés en jouant de Livia comme d'une poupée que l'on pouvait déguiser à volonté.
Mais a cela la malheureuse mère restait aveugle, obnubilé par l'éclat de son retour a la société.


- Margot voici la comtesse d'Albizzi. Margot m'est d'une aide et d'un dévouement sans faille. Il m'arrive de me sentir coupable d'avoir arraché une si bonne enfant à ses parents...

Elle sourit son regard se portant sur les nouveautés La Durée.
D'exquis contenants, coffrets Luxueux, escarcelle fine, et sans doute merveilles de gout... Snobant les toniques, elle se servit d'un Téméraire, amatrice de mélanges insolites elle pour qui avaient été conçus des macarons à la tomate et à la cerise.


- hmmm et bien... hmmm ceux ci sont délicieux, les avez vous goûté ? Il semblerait que La Durée ait encore de beaux jours devant...

Oubliant l'affaire qui la liait a Cloé, Attia se resservit encourageant la jeune Margot a en faire autant.

- Hmmm ou en étions nous ? hmmm ah oui... pardonnez moi je ne peux résister... Alors... que pensez vous de se voir à la succursale des Doigts d'Or sur les quais ? Nous y serions tranquille, cela vous évitera le voyage en Bourgogne, je ne vous inviterai en Bourgogne que quand j'aurai une robe à vous offrir !

Elle sourit.

- Demain ?

Un sourire satisfait se dessina sur les lèvres Attiléennes, ses yeux balayaient toujours la salle, et se fixèrent sur Ella qui semblait avoir retrouvé un peu d'éclat au visage, sans doute la joie de voir tant de personnes réunies autour de ses délices et savoir le futur de ce qu'elle avait créé et tant chéri ainsi assuré.

Attia pensa immanquablement a ce qu'adviendrait des Doigts d'Or si elle venait à se retirer définitivement ? La maison continuerait de vivre, elle ne s'en était jamais sentie propriétaire, mais demeurait un certain attachement.

Nostalgique son regard se posa inconsciemment sur Clarinha, la jeune Lusitanienne en qui la gitane avait placé tant d'espoir la préparant même a prendre la tête de l'un des Ateliers les plus prestigieux de France... Gâchis.

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**********Je ne prend pas de commandes par MP/Commande=RP **********
Abriellyn
Quand Line lui avait proposé cette sortie entre fille à Paris, elle avait un peu hésité... Elle ne connaissait pas les autres invités sauf Asalais... Mais elles ne s'étaient pas vu depuis tellement longtemps qu'elle était comme une inconnue. Mais ayant vu les yeux suppliants et plein d'espoir de son amie, elle n'avait pu décliner. De plus, la perspective de manger des macarons, pour elle gourmande de nature, lui donnait envie de déplacer ce qui lui servait de corps, ce qui n'était pas une mince affaire arrivée à six mois de grossesse.

Bien emmitouflée, robe et cape rouge, cadeau de son époux pour leur première année de mariage, elle était montée dans le carrosse après avoir saluer tout le monde. Le voyage ne parut pas long, les discussions allaient bon train même si elle ne faisait pas état d'une participation détonante. Elle se plaisait à les écouter en regardant les différents paysages qui se présentaient à ses yeux.

Elle était aussi anxieuse, qu'excitée de revoir à nouveau Paris. Elle aimait effervescence des rues, les échoppes multicolores, les églises à chaque coin de rue... Elle n'était jamais allée chez Ella Durée, ca serait une grande première pour elle.

Aussi elle se contenta de suivre tout le monde à la descente du carrosse. Après tout ils s'y connaissaient mieux qu'elle en convenance et touti quanti. Une fois dans la dite boutique, Abrie la détailla émerveillée. Le temple de la gourmandise, ca ressemblait à cela.

Bonjour...

Impressionnée, elle n'en oublia tout de même pas la politesse même si une fois la chose faite, elle laissa à nouveau place à la contemplation. Au bout de quelques minutes, elle chercha du regard ses compagnes qui s'étaient avancées. Sans attendre, un peu gênée elle les rejoignit au pas de course, enfin autant qu'une femme enceinte puisse courir bien sur. Elle acquiesça au dires d'Asalais. C'est vrai qu'il y avait foule. La jeune femme regarda chaque personne, se demandant si elle trouverait des têtes connues. Soudain les filles s'agitent, Abrie les regarde perplexe puis suit leur regard qui se posèrent sur... papy duc en personne. Décidément il était toujours là où il fallait pas mais jamais là quand on le voulait vraiment. Ce qu'il était agaçant tout de même. Comprenant vite qu'ils allaient avoir une discussion hautement familiale, Aussat se mit un peu à l'écart pour gouter un des macarons à la violette dont Line lui avait tant parler.

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Cl0e
Le Sylvestre détonnait sacrément du Magnifique ! Par chance, elle avait terminé ce dernier avant que de goûter la nouveauté. Sans quoi elle n'aurait plus senti le goût du coquelicot.
La blonde acquiesça aux propos de la couturière.


- Oui, les enfants se fatiguent bien vite après un long voyage. Enfin, ce ne sont pas les seuls, d'ailleurs ...

Un sourire, car la route depuis le Limousin lui avait semblé interminable. Presque aussi longs que lorsqu'elle venait du Couserans, alors que c'était bien plus loin ! C'était à n'y rien comprendre. Ou peut-être si. Car cette fois, elle n'avait pas réussit à somnoler dans son coche, les chemins empruntés avaient bien trop chaotiques. Elle n'en dormirait que mieux le soir, voilà tout.
Elle tiqua au mot comtesse. Elle ne portait plus ce titre depuis un moment déjà, à son grand regret. Certes, vicomtesse c'était beaucoup. Alors elle cherchait un mari ou un comté/duché où retrouver ce titre.
De fait, elle ne pensa même pas à corriger Attia, et quand bien même, c'était là flatteur.


- Il est vrai que c'est un souci que je n'ai pas avec Georgia, qui est déjà plus vieille que moi. Et malgré ses râleries, je vois bien qu'elle ne voudrait pas retourner en Alençon, pour servir une autre famille. Elle s'est bien trop attachée à Chiara, qui plus est. Enfin.

Les macarons diminuaient dans l'assiette devant les deux femmes et la jeune fille.

- Délicieux n'est même pas assez fort comme mot, je crois. J'ai bien goûté les sylvestres, je me tâte à goûter les autres. Encore que raisin et radis noir, pas tant que cela. C'est la menthe surtout, je ne suis pas très friande de ce goût. C'en est parfois tellement frais que c'en est douloureux. Alors j'espère que les macarons échapperont à cette règle.
Mais une chose est sûre, et vous avez raison, l'on entendra parler encore longtemps de la Maison Durée.


Elle se lança à goûter les Téméraires plutôt que les Toniques, et fut agréablement surprise.

- Alors soit, la succursale. Demain vous dîtes ? Oui, faisons donc cela !

Un nouveau sourire de la blanche, elle aimait sentir que les choses se mettent en place. En douceur et sûrement.
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Elisabeth_stilton
Prend moi pour un lapereau de six semaines Attia. Tu es Dieu en couture mais le Dieu des comptes c'est moi et tu ne t'en tireras pas comme ça ! Foi d'anglaise.

Elle suit la blonde, elle goute, elle n'aime pas mais elle fait comme si. Elle avale la dernière bouchée par politesse et surtout refuse tout macaron, par tous les prétextes. Autant les premiers mélanges lui avaient plut autant ceux là ne lui convenait pas. Comme quoi un changement de cuisinier peut tout faire. C'est comme essayer de remplacer Attia, c'est juste impossible, pour Ella pareil, la vicomtesse pourrait faire tout ce qu'elle voudrait mais elle ne pourrait qu'essayer d'égaler la déesse des macarons sans atteindre le niveau. A vous dégoutter d'y retoucher.

Bon il fallait suivre Attia à la trace pour ne pas qu'elle dilapide les revenus de l'Atelier dans cet échoppe.

Ah elle était là. Avec la blonde d'Albizzi. Elisabeth approcha et salua la fidèle cliente de l'atelier, une des première égéries d'ailleurs. Ahhhh mais Attia ne finira donc jamais, offrir une robe et à une comtesse, forcément la robe sera luxueuse, elle est incontrôlable cette femme, elle dépense sans savoir si l'argent est disponible. Elisabeth savait de quoi elle allait mourir, c'est Attia qui la tuerai. Elle allait devoir demander à tous les fournisseurs de Paris et les principaux fournisseurs étrangers de la prévenir si la gitane passait commande. La blonde pourrait s'occuper de ramasser les pots cassés. Oui Attia la tuerait.

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Pour le mariage d'Eli, c'est reparti : http://forum2.lesroyaumes.com/viewtopic.php?p=13668718#13668718
Hersent
Elle avait découvert l'existence de l'établissement de Ella Durée lorsqu'elle eut en charge l'organisation du banquet de mariage du Duc Kelso Declervaux de Rosnay. Elle avait commandé, au grand dam de Messire Durée, l'ensemble des coffrets proposés afin de proposer un voyage incessant aux papilles des convives.

Sans doute était-ce suite à sa dantesque commande de macarons qu'elle avait reçu un pigeon l'invitant à découvrir en avant-première les nouveautés pâtissières du célèbre établissement.

Heureusement que sa charge de Chevalier du Guet l'amenait à se rendre régulièrement à Paris. Aussi, profita-t-elle d'un moment de liberté pour répondre à l'alléchante invitation.

Hersent arriva, ayant soigné sa mise en arborant la dernière tenue griffée par un jeune talent prometteur de son Atelier fétiche, les célébrissimes Doigts d'Or
:



Morganenn avait conçu une tenue splendide, loin des standards européens en vogue: en effet, la mère de Hersent venait d'un lointain pays d'Extrême Orient, aussi avait-elle souhaité rendre hommage au souvenir maternel en faisant créer une tenue rappelant ses étranges origines, celles qui lui avaient donné ce regard en amande et une chevelure de jais.
Les tissus chatoyants de diverses soieries seraient en harmonie avec la délicatesse raffinée des macarons élaborés avec art et finesse
.

Elle présenta son carton, gênée d'être en retard: tant de beau monde était déjà présent, elle connaissait quelques personnes de vue, notamment le couple ducal suzerain de la jeune épouse de son Duduc Kelso.

Elle se glissa discrètement au milieu de l'assemblée, saluant à droite, à gauche les figures connues, puis présenta à voix basse ses excuses au maître de maison
:

Messire Durée, mes occupations ont retardé ma venue, j'espère que vous ne m'en tiendrez pas rigueur. Je peux vous dire que les coffrets de macarons présentés au banquet de mariage du Duc de Rosnay ont été appréciés au plus haut point.

Elle le salua puis s'approcha de la créatrice qui expliquait les caractères des nouveautés exposées.

Elle dégustait également les macarons déjà connus, dont elle ne se lassait pas, savourant avec délice le festival proposé à ses papilles.

Elle tomba en arrêt devant le coffret "fraîcheur" mais devant les senteurs puissantes qui se dégageaient du coffret, elle goûta d'abord aux toniques et aux téméraires aux saveurs aussi originales que délicieuses. Elle s'aperçut bien vite qu'elle avait fait le bon choix: le final des "fraîcheurs sylvestres" où la sève pin donnait une note de fraîcheur intense adoucie par la touche de miel...un vrai délice sauvageon et délicat. Elle prit note d'en commander un coffret pour apporter un final subtil à certaines joutes qu'elle aimait.

Tout en savourant les pâtisseries, véritables oeuvres d'art, Hersent se surprenait à penser qu'elle aimait assister à ces présentations de lancement d'une nouvelle collection...de froufrous divins comme de délicates pâtisseries.

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