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[RP] Maison Ella Durée.

--Ella_duree


Et alors qu'elle voudrait répondre à la presque déjà cliente, voilà que trois autres femmes rentrent dans la boutique devisant gaiement, et l'interpellant pour lui montrer leur présence. Un sourire en coin, une réponse toute servie quand la jeune femme poursuit et s'adresse à sa compagne.

Le bon jour.. Vous avez réellement traversé la capitale à pied ? C'est risqué..

Parce que le Paris du XVème siècle est une ville puante et bruyante, où les ordures se déversent dans les ruelles accompagnées des pots de chambre des bourgeois, où les coupes-jarrets s'aiment d'amour véritable avec les hétaïres.. Traverser Paris à pied et seule.. Même elle, qui est pourtant bien connue dans la capitale, ne s'y risque pas. Adorables nobliottes qui y voient un endroit agréable où se promener.

Un sourire en leur direction, un geste de la main pour leur montrer les tablées où l'attendre, alors qu'elle se fixe sur la rousse arrivée la première, avant de rire.


Mais bien sur, mignonne que vous pouvez en acheter ! Lesquels voulez-vous ?

Et de montrer les différents coffrets sur l'étagère derrière elle.

[HRP/retournez voir dans les précédentes pages.]
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.gabrielle.diane
La brune s'apprêtait à répondre quand la Dame qui s'occupait d'une cliente les salua. Un sourire d'abord puis ses lèvres framboises s'ouvrent pour laisser s'échapper quelques paroles.

Oh non je vous rassure Dame, nous n'avons pas traversé toute la capitale à pieds. On en a traversé un petit bout et non pas seule mais escortées par quelques gardes. Ma belle-soeur et moi-même devons nous y plier pour notre sécurité. Enfin, ici ils ont bien voulu nous laisser entrer. Oh mais je ne me suis pas présentée! Je suis Gabrielle Diane de Hennfield et voici ma belle-soeur, Pandorha de Noldor de Hennfield. Un regard qui indique la première blondinette. Et voici Dame Anasthasia Valkensky d'Istra. Je suppose que vous êtes la très célèbre Ella Durée ? Je suis navrée d'avoir interrompu votre entretien Mes Dames.

Ayé la piplette se tait pour s'installer à l'une des tablées que la Dame vient de leur indiquer, un remerciement puis la brune se remet à discuter mais plus discrètement, afin de ne pas trop déranger.

Vous avez raison Dame Anasthasia, enfin nous devons être tout de même méfiantes. Surtout les femmes doivent être prudentes. Heureusement pour ma part, on m'a enseigné la défense, Pandorha pourra témoigner de l'amour du voyage de ma famille.
Moi aussi je suis ravie d'avoir fait votre connaissance, même si c'est de façon un peu "violente". Oh nos bourses vont en prendre un coup, d'ailleurs, l'une de vous sait ce qu'elle voudra acheter ?


[Hrp]Nous sommes 3^^[/Hrp]
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[HRP]Joueuse absente jusqu'à ce qu'elle récupère son ordi [/HRP]
Amaelle.
Elle hocha la tête ... La rousse dit :

"- Alors je prendrais ... trois boîte de chaque sorte ... Non ... Quatre boîte des doigts d'or et le reste trois boîte "

Bah quoi? C'était la rombière qui l'avait conseiller mais Amaelle était toujours indécise.La bourse en cuire blanc à la main elle s’imaginer déjà goûtant à ceux-ci alors elle dit :

"- Ah et vos macarons à la tomate et la cerise sont tout simplement excellent !! "

La rousse en avait manger quelqu'un en discutant avec la rombière et elle avait tout simplement adorée.
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jake
Un messager entra dans la boutique avec une missive écrite à l’intention de Dame Ella Durée cacheter par le sceau comtal poitevin. Le messager tendit également un petit coffret bien garni à la dame. D’une écriture fine et soignée, il était rédigé ceci sur le velin parfumé à la lavande.

Citation:
De nous, Jake de Valombre, Comte du Poitou
A vous, Dame Ella Durée

Sincères salutations,

Votre réputation est arrivée jusqu’à mes oreilles en Poitou. Ne pouvant me déplacer jusqu’à vous, j’espère que vous pourrez répondre à ma commande rapidement par cette missive. Mon messager me la livrera.

En effet, je souhaiterais vous acheter cinquante boîtes de « Magnifiques » macarons pour en faire cadeau à la noblesse poitevine lors des allégeances et à mon conseil. Et si vous pouviez m’ajouter un assortiment de deux boites de chaque sorte pour mon épouse et ma petite famille, je vous en saurai gré.

J’espère que la somme de 1000 écus vous suffira à remplir cette commande.

Fait au Château de Poitiers, ce 3ème jour du mois d’août de l’an de grâce 1459

Avec tout mon respect,




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Ella_duree
Un sourire indulgent aux trois nobles qui papotent alors qu'elle essaye de mettre en confiance la rouquine. Laquelle passe sa commande. Les boîtes s'entassent donc sur le comptoir au fur et à mesure, jusqu'à la dernière remarque de l'Ambroise qui suspend son geste.

Ainsi donc vous avez goûté les Sérénissimes.. Savez-vous qu'ils ne sont même pas encore en boutique ? Laissez moi deviner.. Attia n'aurait pas partagé, il s'agit donc de quelqu'un dans la confidence et qui de plus bavarde que notre chère aïeule royale. Bah, il aurait fallu un jour les vendre aussi.

Et s'ajoutant aux Doigts d'Or, une boîte d'Innocentes, de Double Jeu et de Magnifiques.

Et voilà, ma mignonne, cela fera 210 écus.

Et un coursier d'arriver, porteur d'une lettre comtale et qui la fait mourir de rire avant que de la ranger. 1000 écus pour cinquante boîtes à 30 écus l'une ? Il faudra faire un prix.
Watelse
Georges Léonard Watelse était ici en quête de douceur. Et, son si bienveillant Loubadour lui avait soufflé que les mets les plus divins se trouvaient chez LaDurée. Et quoi de mieux que du divin pour un Dieu? Alors, la canne sonnante sur le pavet, le Maitre orfèvre attint la devanture. Vitres impécablement nettoyées dans lesquelles Watelse pouvait mirer son effet : fringuant, bel homme pour son âge avancé, l'oeil vif, ... oui, il s'aimait.

Mais allait-il aimer les..... douceurs? Il ne savait pas vraiment à quoi s'attendre, seulement à être rassasié de bien-être. Et peut-être trouvrait-il ici de quoi adoucir le coeur de sa femme. Ce n'était pas chose gagnée...


Bonjour. Ma Personne, Maitre Watelse, souhiaterait goûter à vos délices...

En un instant, ses joues rosir de honte : venait-il de dire les mêmes paroles qu'il avait lancé autrefois dans une maison close? Il crut bon de rajouter :

... A vos spécialités...

Ceci disant, la catin,rouquine coquine, avait elle-même quelques spécialités érotiques... Bon Sang, Watelse reprenez-vous?! Etes vous à ce point en manque? Euh... Oui. La face entière s'empourpra de gêne.

A... votre savoir-faire.

Compétence oui. La rouquine était bien compétente, malgré son membre en moins, et ses dents en sous-nombre. Elle avait une souplesse... Hum... Décidément le jeûne sexuel auquel l'avait astreint sa femme commençait à le rendre fou à lier. Il conclut rapidement :

Epatez-moi.

Il ne savait pas à qui il s'adressait. La propiétaire du lieu? La vendeuse? Enfin bref, en définitif, ce n'était qu'une femelle.
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création de jipelecriket
Ella_duree
Je suis bourgeoise et je le reste !

Mais lui, il pourrait lui donner des leçons, cet énergumène qui rentre et passe devant toutes ces femmes pour se remplir la panse en l'enrichissant. Cet homme dont elle n'a jamais franchi la devanture, malgré l'envie de dépenser la fortune amassée en pierreries qui siéraient tout à fait à ce décolleté pigeonnant.


Bonjour.

Pourtant, elle l'accueille avec le sourire, en bonne voisine avant que de sortir de derrière le comptoir, deux paniers en main qu'elle remplit avec l'habitude de plusieurs exemplaires de macarons et autres friandises dont elle a le secret. Le plus petit panier est pour lui qu'elle invite à s'attabler avant que de déposer le panier, et de gagner la tablée féminine et noble pour y poser le plus grand panier.

Profitez, la dégustation est offerte par la maison. Pour les plus assoiffés et vigoureux, j'ai de la liqueur de framboise.

Laisser là les clients sur cette dernière remarque, laisser là, la jeune rousse à ses réflexions onéreuses pour regagner la cuisine et vérifier qu'elle a en réserve assez de boîtes de magnifiques. Mais aussi d'autres, et gardant le rideau relevé pour suivre le déroulement de la dégustation en salle, voilà que la veuve Durée se lance dans la confection de huit cent seize macarons, pas moins pour le poitevin.


Double post supprimé. {E}
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Amaelle.
Amaelle toute rouge entendit le prix et les remarque de la Dame vendant les macarons.Elle pris sa bourse et compta les 210 écus.Elle regarda si la dame était dans le coin et dit :

"- Da..dame je euuh la somme"

Elle montra une bourse remplit des 210 écus qu'elle tenait dans la main.
Rouge jusqu'au oreille elle ne savait que faire ... Lui fallait-il prendre les macarons? Attendre? C'est donc avec calme que la grande rousse attendit.

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Watelse
De l'alcool. Tentation que le Gascon essayait de combattre de puis. Ceci était une faiblesse qu'un Watelse digne ne pouvait se permettre. Et pourtant dans ses malheurs , l'orfèvre se baignait régulièrement dans un océan de bières jusqu'à s'y noyer complètement. Pas plus tard qu'hier, il s'était réveillé après une soirée bien arrosée, dans les pattes d'une cochonne. Pas une putain, non. Vraiment une cochonne, dans sa boue. La queue en tirebouchons grattant l'imposant nez du Maitre, affalé dans la boue d'une fermette aux abords de Paris.

Il s'était bien savonné depuis... fort heureusement.

Il refusa donc l'alcool comme si le diable s'était caché dans une bouteille. Et crut bon de préciser :


Je suis trop occupé dans la journée pour me permettre un goutte de liqueur malheureusement.

Oui? Qu'avait-il donc à faire aujourd'hui qui ne lui causerait pas encore quelques chagrins? Chercher en vain l'ancien fiancé de sa propre femme? Courir les rues après un homme qui lui ravissait le coeur de son épouse? Moui... Le fier Gascon finalement préférait s’empiffrer, même si cela voulait dire qu'il supporterait la compagnie de deux pintades. A celle qu'il considéra comme la propriétaire :


Dame, éclairez-moi donc :Quels sont les parfums que les damoiselles préfèrent? Celle que je souhaite gâter est jeune, pieuse et délicate.

Comme si ces renseignements pouvait indiquer un quelconque parfum. Enfin, le Maitre avait besoin de conseil. Il ne savait absolument rien des goûts de son épouse. S'adressant une poule aux joues empourprées, il demanda:

Par exemple, quel macaron a stimulé vos papilles, jeunette?
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création de jipelecriket
--Leonard.


Le messager fût un peu perturbé quand il apprit qu’il manquait plus de la moitié de la somme convenue. Mais le maître ne savait pas que les boites coûtaient 30 écus pour chaque boîte. Après un rapide calcul savant, cela faisait 70 boites à 30 écus. Il devait donc trouver 1100 écus en plus pour avoir la somme exact.

Ainsi, donc le messager s’excusa auprès de la vendre et se retira, se souvenant que le valet de la famille de Valombre, Léonard, se trouvait à l’Ostel-Dieu de Paris. Il pourrait peut-être l’aider, car refaire le chemin jusqu’au Poitou lui prendrait beaucoup de temps.

Quelques instants plus tard, ce fût le valet en personne qui revient à la boutique apportant un coffre garni de 1100 écus en plus, le déposant sur le comptoir avec difficulté. C’était un petit homme qui aimait marcher pied nu et qui avait toujours à portée une petite pipe.


Bonjour Dame Durée, voici donc la somme manquante de la part de mon maître, Sa Grandeur Jake de Valombre, Comte du Poitou. Les bons comtes font les bons amis. Ou alors c’est compte …

Il se gratta la tête, se tourna vers l’homme vêtu de noir.

Oh pardon ! Je vous prie de m’excuser Messire.

Léonard ne voulait pas déranger outre mesure. Il voulait s’assurer que la commande de son maître fût bien enregistrée avant de repartir travailler à l’Ostel-Dieu de Paris pour aider la Vice-Rectrice.

Blanche30
Qui n'avait pas entendu parler de La Durée ? Sa réputation était parvenue jusqu'en Flandres et Blanche, en gourmande qu'elle était rêvait depuis des mois de goûter aux délices des Galeries Lafayotte. Bien sûr elle ne voulait pas s'y rendre seule. Elle voulait s'y rendre avec Skal. Mais le grand guerrier lui avait interdit de bouger jusqu'à la naissance. Et après l'heureux événement, il avait cédé aux exigences de sa Blonde à lui. Enfin, maintenant, il avait deux blondes à lui.

L'adorable petite fille de Blanche avait une petite toupe de cheveux d'une blondeur équivalente à celle de sa Maman. En revanche, quand elle était en colère, ses poumons équivalaient ceux du Papa...

Blanche, tout en se dirigeant vers la Maison Durée, regardait amoureusement son nourrisson de fille, portée par une suivante. Dieu qu'elle était belle. Un ange arrivé sur terre. Blanche avait beau se dire que toutes les mamans pensaient la même chose de leur rejeton, sa Léodorine chérie était une véritable splendeur.

Les trois femmes arrivèrent enfin, et poussèrent la porte. Des clients occupaient déjà la maîtresse de maison, aussi Blanche prit elle Léodorine dans ses bras. Déposant un baiser sur le haut du crâne de sa merveille, elle entreprit de faire le tour du magasin, parlant à sa fille :


- Alors ma chérie, que pourrions nous prendre ? Il y a tellement de choix, cela donne envie n'est ce pas ? Toutes ces couleurs... je suis sûre que tu apprécierais les roses, si tu avais déjà des dents. On t'en fera goûter dès que tu pourras, je te le promets. En revanche, Papa aimerait sans doute une autre couleur. Des verts ? Ou des jaunes ?

Machinalement, Blanche jeta un regard au dehors. Elle se figea. Sa suivante, interloquée, s'inquiétait de ce soudain arrêt.

- J'ai cru voir... Non rien, ne vous inquiétez.

Elle détourna résolument les yeux de la fenêtre pour les planter dans ceux de sa fille et lui sourire. Voilà quelle était désormais la seule chose qui comptait dans sa vie. Avec Skal bien sûr. Oui, elle était Maman, mais elle restait femme quand même ! Surtout avec un homme comme celui là... Un sourire gourmand vint se peindre sur les lèvres de la comtesse tandis qu'elle continuait à parcourir les étalages, serrant contre elle avec amour son petit bout.

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Leodorine
Le vent soulevait ses petites boucles blondes, la pale lueur du soleil d'hiver éclairait son petit minois. Avec ses immenses yeux azur elle découvrait le monde. Parfois elle jetait des regards curieux ou apeurés face au monde qui l'entourait et qui fesait bien plus de bruit que dans le ventre de tendre maman.

D'humeur taquine, alors qu'elle se laissait porter par l'une de ces femmes toujours aux petits soins, elle sortit son bras de ses couvertures et agrippa avec ses petits doigts les cheveux de la suivante. Elle fesait un immense sourire lorsqu'elle tirait et arrachait un *ouille* a la dame, laissant entrevoir sa petite bouche rose sans dents.

Mais lorsqu'elles entrèrent dans une étrange pièce le bébé lâcha les cheveux de la pauvre suivante et regardait avec envie toutes les couleurs. Il sentait bon le jasmin,la pêche,la framboise,le chocolat. Frétillante de plaisir elle trémoussa son petit nez, tendis les bras en l'air et ouvrait la bouche laissant échapper parfois quelques sons de contentement.

Pour son plus grand bonheur c'est sa mère qui la reprit et elle s'empressa de se blottir contre elle car même si ce magasin sentait bon, elle préférait d'entre touts l'odeur de sa maman, tellement rassurante ! Avec ses doigts elle agrippait tantôt les cheveux, tantôt les perles de sa robe. Elle aimait tellement le son de sa voix que lorsque sa mère se mis a parler, les yeux de leodorine se mirent a briller. Elle ne saisissait pas le sens des paroles mais qu'importe mais elle semblait lui demander son avis,elle pointa alors du doigt les jolis coffrets roses qui l'attirait particulièrement mais il semblait également que les oranges ne la laissait pas indifférente puisqu'elle les pointa aussi du doigt.

Mais maman ne regardait déjà plus, qu'avait elle vu au dehors ? un monstre ? cela avait l'air de tellement l'inquiéter ! Et le bébé le ressentait, elle vivait et partageait chaque émotion de sa mère alors elle fronça ses blonds sourcils. Mais son cœur s'allégea lorsque sa mère lui offrit le plus beau des sourire, léodorine ouvrit alors la bouche pour sourire et laissa échapper un petit cri de contentement.


Balise texte incomplète complétée {Esme}
Blanche30
Bien entendu, son amour lui montrait les boîtes roses, et Blanche ne pouvait résister à celle ci. Il faudrait toutefois veiller à ce qu'elle ne devienne pas une petite fille gâtée. Mais non, comment un aussi joli nourrisson, aussi blond et avec des yeux aussi bleus, pouvait devenir trop gâté ? C'était impossible.

Vous trouvez Blanche complètement gaga ? Vous avez raison. Est ce que Skal l'est aussi ? A vous de lui poser la question.

Caressant la joue de sa fille, elle lui répondit :

- Oui ma chérie, on va prendre un coffret rose, et un noir, qui plaira sans doute plus à Papa. Peut être que si on fait une petite purée on pourrait t'en donner ? Mais juste un peu, pour que tu n'aies pas mal au ventre. C'est quand même le lait qui est le mieux pour toi pour l'instant. Quand tu seras grande, tu pourras goûter à toutes les merveilles qu'Anselmine cuisine. Tu verras, c'est divin !

Mais avant cela, il y avait du temps. Blanche se rendit donc auprès d'une vendeuse, et demanda à ce que lui empaquette les coffrets désirés. Elle ne pouvait s'empêcher de regarder à nouveau par la vitrine. Comment ce visage auquel elle n'avait plus pensé depuis des années, qu'elle avait rayé de son esprit, pouvait lui revenir maintenant. Elle regarda à nouveau Léodorine. Peut être était ce son joli bébé, qui ressemblait tant à sa mère, et donc à lui aussi...

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Blanche_elisabeth
Raffinés, de bon goût..tout ça pour des maccarons..ces pauvres petites choses représentatif de la luxure qui , à coup sûr, viennent s' englutir dans vos hanches, exacerbant vos formes pour vous faire devenir un chaudron vivant...Ce n' est pas pour la Blanche mais pour la Violette dont les doigts ont tendance à s' égarer un peu trop sur ces fichues gatteries que son «apprentie» se dirige vers ce lieux de «perdition».

Mine boudeuse, la Valten, de noir vêtue, arpentait les rues de la capitale, se prôtégeant du froid et des possibles voleurs, bien que ce ne soit pas son argent mais celui de la reine des Fleurs. Les émeraudes s' égarèrent sur des petits mendiants, quémendant au loin à des passant alors qu' elle se rapproche pas à pas de la vitrine. Outre son aversion pour les pâtisseries qui lui donne envie de tourner les talons, elle se crispe en entrant discrètement dans l' office, tant elle ne ressant rien de bon.


«Bien le bonjour..»

La voix grave se tue alors qu' elle rejoinds une blonde près d' un étalage de maccarons...
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Blanche30
Blanche continuait à gazouiller avec Léodorine quand un courant d'air vint faire flotter le bas de sa robe et une demoiselle salua avant de la rejoindre devant l'étalage de macarons roses. Blanche tourna la tête afin de la saluer d'un sourire, mais son sourire disparut de ses lèvres. Si elle connaissait son alter ego masculin, elle se retrouva face à une jeune femme lui ressemblant trait pour trait. Seuls les différenciaient la teinte de leurs cheveux et la couleur de leurs yeux. La blonde aux yeux bleus faisaient face à une brune aux yeux verts. Si ces traits peuvent vous sembler importants, l'aspect du visage, leur petite taille, leur nez, la forme des yeux, tout le reste était identique. Le corps de Blanche était seulement un peu plus girond, conséquence de sa récente grossesse.

Sa fille toujours dans ses bras, Blanche restait silencieuse face au visage jumeau. Le seul qui lui ressemblait davantage était Ailvin, Ailvin qu'elle avait justement cru apercevoir par la fenêtre. Cette fille était elle une Wolback ? Portait elle le nom honni et caché durant six longues années ? La blonde mère n'osait le demander. Une approche moins directe serait préférable.


- Excusez moi demoiselle, vous me trouverez sans doute impudente, mais ne nous sommes nous pas déjà croisées ? Votre visage m'est étrangement familier...

Au moins on ne pouvait pas dire qu'il s'agissait d'une tentative de séduction ! Avec un enfant dans les bras, Blanche pouvait difficilement paraître comme ayant des goûtes contre nature.

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