Pygaer
Pygaer prit une troisième torche et senfonça résolument dans la grotte à la suite de Messire Noria et de Messire Louis. Une brûme blanchâtre stagnait dans la grotte et le groupe avançait lentement. Leurs pieds senfonçaient dans une mixture de fonges qui éclataient avec un bruit sinistre
Pygaer, qui tenait Ana par la main suivait lentement le Duc Louis. Il sentit une torpeur étrange lenvahir, ses pieds lui semblaient peser des tonnes. Des lumières multicolores commençaient à danser devant ses yeux, une lassitude le gagnant tout doucement. Il entendit à peine les paroles prononçées par Messire Noria
[quote]il y... a... des tr...ous ![/quote]
Des trous ? Quels trous ? Y a pas de trous... qué qui lui prend à Messire Noria?, pensa-til, et il commença à rigoler dun air narquois. Sa tête commençait à lui faire mal il lui semblait que la grotte semblait tournait autour de lui.
Souriant toujours aux anges, il leva le regard vers la torche et constata avec stupeur que celle-ci avait laissé place à une fontaine détincelles de couleurs multicolores se déversant sur sa main. Fait étrange, il ne ressentait aucune douleur, mais plutôt une immense béatitude.
Il regarda devant lui en direction de Messire Louis. Celui-ci le dévisageait avec horreur, lépée à moitié sortie du fourreau. Tout à coup, il tourna les talons et fonça droit devant lui, en hurlant comme un dément, en direction dune lueur verdâtre.
Pygaer tenta de raisonner mais semblait avoir toutes les difficultés du monde à ordonner ses pensées. Il chercha Messire Noria mais ne le vit nulle part. Il se retourna vers Ana et fut pris dune immense panique. Ses cheveux se dressèrent sur sa tête : là, à la place dAna se tenait une horrible mégère au nez crochu et à la bouche édentée. Ses cheveux gris et sales pendaient le long de son visage et ses yeux éteints semblaient le dévisager. Pygaer tenta de libérer sa main de lemprise de cette horrible apparition mais ny parvint pas. Il regarda sa main et commença a hurler : la main de cette créature était osseuse, décharnée, ses longs doigts graciles aux ongles démesurément longs emprisonnaient sa main.
Comme elle serrait la main de Pygaer, ce dernier vit les ongles senfoncer profondément dans sa chair trouant celle-ci comme une simple feuille de parchemin. Les yeux sortant pratiquement de leurs orbites, le teint pâle comme un linge et pris d'une panique incontrôlable, Pygaer se retourna et commença à courir de toute la vitesse dont il était capable en direction de la lumière verdâtre, la créature à ses trousses. Se retournant régulièrement, il vit que lhorrible apparition le suivait et riait dun rire horrible. Hurlant et criant pour cacher sa peur, Pygaer, toujours suivi de la créature, senfonça profondément dans la caverne, à la suite de Messire Louis et en direction de cette curieuse lumière .
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[quote]il y... a... des tr...ous ![/quote]
Des trous ? Quels trous ? Y a pas de trous... qué qui lui prend à Messire Noria?, pensa-til, et il commença à rigoler dun air narquois. Sa tête commençait à lui faire mal il lui semblait que la grotte semblait tournait autour de lui.
Souriant toujours aux anges, il leva le regard vers la torche et constata avec stupeur que celle-ci avait laissé place à une fontaine détincelles de couleurs multicolores se déversant sur sa main. Fait étrange, il ne ressentait aucune douleur, mais plutôt une immense béatitude.
Il regarda devant lui en direction de Messire Louis. Celui-ci le dévisageait avec horreur, lépée à moitié sortie du fourreau. Tout à coup, il tourna les talons et fonça droit devant lui, en hurlant comme un dément, en direction dune lueur verdâtre.
Pygaer tenta de raisonner mais semblait avoir toutes les difficultés du monde à ordonner ses pensées. Il chercha Messire Noria mais ne le vit nulle part. Il se retourna vers Ana et fut pris dune immense panique. Ses cheveux se dressèrent sur sa tête : là, à la place dAna se tenait une horrible mégère au nez crochu et à la bouche édentée. Ses cheveux gris et sales pendaient le long de son visage et ses yeux éteints semblaient le dévisager. Pygaer tenta de libérer sa main de lemprise de cette horrible apparition mais ny parvint pas. Il regarda sa main et commença a hurler : la main de cette créature était osseuse, décharnée, ses longs doigts graciles aux ongles démesurément longs emprisonnaient sa main.
Comme elle serrait la main de Pygaer, ce dernier vit les ongles senfoncer profondément dans sa chair trouant celle-ci comme une simple feuille de parchemin. Les yeux sortant pratiquement de leurs orbites, le teint pâle comme un linge et pris d'une panique incontrôlable, Pygaer se retourna et commença à courir de toute la vitesse dont il était capable en direction de la lumière verdâtre, la créature à ses trousses. Se retournant régulièrement, il vit que lhorrible apparition le suivait et riait dun rire horrible. Hurlant et criant pour cacher sa peur, Pygaer, toujours suivi de la créature, senfonça profondément dans la caverne, à la suite de Messire Louis et en direction de cette curieuse lumière .
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