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[RP] Un chemin vers la lumière

Louis1er
Louis1er a écrit:
Louis ne pouvais pas répondre. Dans un coma profond il était plongé pour le moment...

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Louis1er
[Bien, bien plus tard, Annecy, le fil du temps]

En route Anabase, en route Pygaer, direction chambéry...

Je donnais un coup d'étrier, nos trois montures filèrent comme le vent vers la capitale de Savoie...


Un peu plus tôt, je finissais d’écrire quatre lettres, et les remis à mes coursiers pour leurs destinataires. Je finissais de charger fastidieux, nous voyagerons léger…

Je fermais derrière moi, ma maison et j’allais la remettre au maire pour Mélisende. Je regardais une dernière fois la vu, puis montais sur ma monture… Je partais rejoindre mes compagnons qui m’attendais devant le fil du temps. Eddo n’étais pas là malheureusement…

Une dernière choppe, dernière discussion et je ressortais, tout le monde était à l’heure pour le départ…

Au revoir Annecy…

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Anabase
La route fut monotone entre les deux villes, personne n'échangea de paroles ... l'heure était grave.
Ils avaient tous les traits tirés.

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Pygaer
Pygaer suivait lentement le duc Louis et Anabase. Personne n'échangeait un mot, l'instant était trop grave. Observant Ana a la dérobée, Pygaer lui demanda cependant:

Vous.. partez quand Louis et toi? Et pour combien de temps ? Quand nous reverrons nous?

Il avait des milliers d'autres questions mais l'heure n'était pas aux grandes discussions mais plutôt aux décisions
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Louis1er
[Belley, le six août, le matin]


Tout le monde était rassemblée sur le parvis de l’église, je sortais de l’église après avoir prier et allumer un cierge pour que nôstre voyage se passe bien. Je n’avais pas croiser Eden, dommage, je l’aurais bien salué avant mon départ. Anabase passait ses derniers moment avec Pygaer, le jeune jonathanclaude attendait sur sa monture l’heure du départ, quand à moi, je vérifiais que tout était bien attaché sur fastidieux…

Le soleil était radieux, la journée s’annonçait chaude, peut être trop chaude d’ailleurs. Pas une brise rien. Dans le ciel tournait autour de nous le faucon de la Dame de Donato, il semblait dire au revoir à la Savoie dans un dernier ballais.

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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Azalee59390
Azalée qui avait mal dormi se leva de bon matin. Le petit Charles Marie avait pleuré ue partie de la nuit. La nuit avait été courte. Le fils avait hérité du père semble-t-il pour que les nuits soient courtes, bien que ce fut pour d'autres motifs.
Elle sourit aux souvenir de Charles, malgré se tristesse.
Elle procéda à ses ablutions, puis revêtue de sa tenue de cheval préférée, afin de se rendre à Belley. Elle voulait dire au revoir à son ami Louis et à ses compagnons de voyage.
C'est le coeur serré qu'elle partit vers l'église de Belley, où elle savait que les voyageurs seraient.
Au fil du temps, elle avait appris à connaître le Duc de Bielle, c'était un ami qu'elle avait peine à voir partir.
Alezane avançait vite sur les chemins des Bauges vers Belley. Il faisait bon, ce matin.
Arrivée devant l'église, elle vit la petite troupe qui se préparait à partir. Elle salua le brigadier de Belley et ses amis Pygaer, Anabase et Louis.
Elle s'adressa ensuite à Louis, pensant que Pygaer préférait parler à sa douce amie.


Louis, mon ami, êtes vous sûr de vouloir partir? Vous allez me manquer.
Avec qui parlerai-je de notre si belle Savoie et de ce que nous pouvons faire pour la rendre encore plus belle?

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Louis1er
Azalée, la duchesse des Bauges étaient venu me dire un au revoir. Je m’approchais d’elle et lui fit l’accolade, déposant un baisé sur sa joue. Au diable les convenances en cet instant. Un sourire un peu forcée, je détestais les adieux, c’était toujours un mauvais moment à passer.


Il le faut Azalée, un homme je dois enfin devenir et ce n’ai qu’en partant loin de ces terres que l’on me donnera peut être ma chance de devenir Louis. Vous pourrez toujours m’écrire, je serais vostre conseillé comme toujours.

La Savoie sera plus belle de jours en jours, et je fais entièrement confiance à Melisende pour lui apporter la douceur et le redressement nécessaire, elle a toujours su être là et faire ce qu’il fallait.

De vostre soutien nos amis auront besoin Azalée, tout ne sera pas rose, mais surtout, ne vous laissez pas abattre, les choses avanceront vers le droit chemin j’en suis persuadé.



Sourire, ma main dans celle de mon amie.


Veillez sur vostre fils et sur nos terres mon amie.
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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Azalee59390
Sa main dans celle de Louis, elle n'arrivait pas à la lacher. C'était dur de voir partir un ami, presque un frère.

Je souhaite votre retour cher ami, lorsque la Savoie vous manquera.


Elle s'efforça de sourire, afin que le départ soit moins triste.


Peut-être viendrais-je vous rendre visite, si mes occupations me le permettent. Je devrai faire visiter le monde à Charles Marie.
Je vous souhaite un bon voyage. Puissiez-vous ne point faire de mauvaises rencontres en chemin.


Elle lui fit un baiser sur la joue.


Au revoir, cher ami. Bonne route.
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Roi-lezard
Le sire de Montjoie, arrivait ce matin là en la chaleureuse cité de Belley, voyageant en solitaire comme souvent, tirant lentement Charon par la bride dans les ruelles menant au parvis de l'église du bourg où il attacha l'animal à un abreuvoir car il l'avait bien mérité. La route jusqu'en Enfer serait encore longue pour eux deux...
Il faisait chaud ce jour là, et le poids de sa cotte de maille semblait décupler sous les rayons du soleil qui cognaient alors durement. Il était revenu en savoie afin de recruter des volontaires pour la Garde Ambassadoriale, avec très peu de succès. Il allait rendre grasce au Très Haut avant de reprendre la route lorsqu'il apperçut non loin de là, des visages bien connus qui semblaient réunis pour quelques adieux. C'était de saison, la Savoie perdait nombre de ses figures.

Raoul avait été prévenu du départ imminent du jeune duc de Bielle, fidele ambassadeur, compagnon d'aventures transalpines également, mais n'avait eu l'occasion de lui faire ses adieux convenablement. Il s'approcha alors du rassemblement au moment ou la duchesse des Bauges embrassait le voyageur aux allures décidées.

" Le bonjour, vos grasces, excellences.. "

Il s'inclina tout d'abord face à la duchesse des Bauges..

" Vôtre grasce Azalée, permettez moi de vous présenter mes plus sincères condoléances pour vôtre époux que j'estimais comme peu d'hommes de ce monde. Qu'il repose en paix. "

Puis il serra dans ses bras le jeune duc avec qui ils n'avaient pas toujours été d'accord au début, mais avaient fini par se lier d'amitié en traversant ensemble certains moments difficiles, parfois houleux. Et bien, ils auraient pu s'entre tuer à leur première rencontre et voilà qu'il verserait presque une larme en le voyant s'éloigner...

" Louis, ce fut un plaisir. J'espère que tu feras bonne route jusqu'à ta prochaine destination, et que tes yeux y verrons enfin ce qu'ils attendent de voir depuis toujours. Je suis certain que nos chemins se recroiseront quelque part où le destin nous attend en souriant."
Louis1er
Je lâchais enfin la main d’azalée en la remerciant d’un sourire, du au revoir qui venait d’être dict. Ce fut alors que le bon vieux chancelier de Savoie fit son entrée sur le parvis tenant la bride de sa monture. Il salua la duchesse de Bauges puis non sans émotion il me serra dans ses bras. Ce bougre me manquerait aussi, puis de quelques mots il me souhaita bon voyage.

Une phrase fort juste il me dit, qui resterait sans aucun doute un long moment dans ma mémoire. Méditer la dessus je ferais sans aucun doute une fois arrivé à Noirlac.


Merci Raoul, je suis certain que nos routes se croiseront à nouveau. Bon courage à toi aussi tu vas devoir en avoir. Je méditerais sur tes mots un certain temps je pense, ils s'y glissent une réponse à mes tourments je le sens.

Je me sortais de son étreinte…
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Duc de Bielle, Époux de Melisende, Père d'Adrien et de François.
Azalee59390
Un homme s'approcha du petit groupe et vint les saluer.
Le chancelier de Savoie.

Il s'adressa à Azalée après s'être incliné:


Citation:
" Vôtre grasce Azalée, permettez moi de vous présenter mes plus sincères condoléances pour vôtre époux que j'estimais comme peu d'hommes de ce monde. Qu'il repose en paix. "


Elle inclina la tête.

Je vous remercie, Excellence. Il m'est réconfortant de savoir que Charles ne soit pas oublié.
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Lisyane


Lisyane avait oui dire que Louis s'en retirait de la Savoy.
Ainsi donc l'exode continuait, par ses morts et ses départs.
Allons donc, que l'on soit bon, ou mauvais, paysans, nobles ou brigands, l'équilibre est toujours quelque chose de difficile a atteindre, permettant aux uns plus qu'aux autres d'apparaitre.
Elle ne savais pas pour quoi, mais ainsi va le monde, la quête de l'équilibre pour que tous puissent vivre.
Hors la Savoy changeait, certes, et l'exode qui ne faisait que commencer, menaçait un équilibre précaire et deja sur la place publique ont voyait des manifestations estranges, d'homme a la recherche de leur vérité absolue, sans réflexions aucunes, démontrant par leur dire et faire qu'il est plus facile de jouer au coq et d'aller becqueter dans le grain du voisins, sans respect aucun pour l'humanité telle qu'elle est, et les affaires de familles qui ont le mérite d'exister a défaut d'estre belle!

Toute a ses reflexions Lisyane s'approcha de Louis, quelques personnes l'entouraient pour les adieux, elle salua chacun comme il se devait.


Veuillez me pardonner d'arriver comme un cheveux sur la soupe, mais les adieux s'ils doivent être fait doivent être court, en ce qui me concerne.

Louis, a chaque instants j'ai pu compter sur vostre amitié, mesme si nos chemins sont différents, inutile de vous retenir, vous avez fais un choix et il doit être respecté.
Par contre permettez moi de vous offrir ce ruban aux couleurs de la Savoy, pour vous souvenir a chaque instant combien elle est belle et mérite que nous en prenions soin.
Accrochez le a vostre pourpoint, que ce ruban soit vostre ami de construction d'homme et de résurrection, pour revenir a vostre famille, revoir vos terres et nostre mère a tous, la Savoy.
Réfléchissez sur les quelques mots que Plutarque a écrit.

Mais dans ce même instant le souverain des dieux
Au coeur du fier Ajax lance du haut des cieux
La crainte et la terreur : tout à coup il s'arrête,
S'éloigne, mais sans fuir, tourne souvent la tête,
Et, de son bouclier couvrant son large dos,
Fixe les ennemis, se retire en héros.

Allez en paix.

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La baronnie de Courmayeur
Jonathanclaude
Jonathanclaude pret et deja sur sa monture attendait dame Anabase et Messire Louis1er .
Le regard froid cet homme rustre loyal et fidele avait proposé d escorter jusqu a leur destination méssire Louis et Dame Anabase .
Il s occuperait de leur monture a chaque escale et durand le trajet n hésitant pas un instant a braver tous les dangers au peril de sa vie ,il avait promis a son ami Pygayer de veiller sur sa douce ainsi que sur sire Louis1er.
Sa propre vie n avait aucune importance à ses yeux seule la mission qu il s était fixé devenait pour lui une proirité..
Sa souffrance intèrieure ne transparéssait pas sur son visage froid ,pas bavard il avait apris a s éffacer pour ne plus se laisser aller à ses coleres si destructrices,la vie lui avait apris à se dominer ..
Il attendait l ordre de méssire Louis 1er pour ouvrir la marche ,il regarda dans sa direction et sans mot dire lui fit un signe de la tete pour l avertir de sa présence et qu il était pret pour le départ .
D un geste lent du regard il contemple une derniere fois Belley et les gens présents sur la place puis s approche lentement sur sa monture des portes de Belley
Pygaer
[Belley, le six août, le matin]

Pygaer s’était levé fort tôt ce matin. Ce n’était pas un matin comme les autres et Pygaer ne se sentait pas vraiment à l’aise. Il regarda Ana toujours endormie, du moins le croyait-il, puis sortit faire ses ablutions. Pour l’occasion, ils avaient décidés de loger à la croisée des mondes, la maisonnette qu’Ana avait choisi pour eux tout au début. La tête vide, Pygaer s’avança dans le ruisseau et s’aspergea d’une eau glacée. Il sortit en frissonnant, se sécha et s’habilla de ses plus beaux atours. Il tentait de ne penser à rien, surtout pas à l’instant qui arrivait à grands pas. En rentrant, il constata qu’Ana s’était levée aussi et qu’elle s’habillait en silence. Ils se regardèrent, se firent un sourire puis, pris par un élan soudain, Pygaer prit Ana dans ses bras et la serra fortement contre lui. Ils restèrent ainsi quelques instants puis Pygaer se dégagea doucement des bras d’Ana et lui dit d’une voix émue:

« Continues de te préparer mon ange, l’heure approche….. Je … je ne voudrais pas que tu sois en retard, je .. je vais continuer les préparatifs »

Il se retourna et se dirigea vers la table d’un pas qu’il voulait assuré mais qui trahissait néanmoins une forte émotion. Il prit le havresac d’Ana, le bourra de victuailles, de pansements, de vêtements et de tout ce qu’il pût trouver qui puisse lui servir. Enfin, il le ferma et se retourna vers elle. Ana l’attendait et ensemble, main dans la main, ils sortirent.


Pygaer ferma doucement la porte derrière eux. Ensemble, ils jetèrent un dernier regard sur leur maisonnette puis ils enfourchèrent leurs montures et se dirigèrent vers le village de Belley. Pas un mot ne fut prononcé, mais pendant tout le trajet, ils se tinrent par la main.

Soudain, au détour de la route, les portes du village apparurent et ensemble, côte à côte ils entrèrent dans le village et se dirigèrent vers le lieu de rencontre..

Une foule nombreuse s’était réunie sur le parvis de l’église de Belley. Tous attendaient avec une certaine curiosité le départ de Louis1er, Duc de Savoie. Certaines personnalités avaient tenus à être présentes et notamment la duchesse Azalée et le chancelier de Savoie, Messire Roi-Lezard et quelques autres notables du village.

Pygaer et Ana descendirent de monture et se dirigèrent vers Louis et Dame Azalée. Ensemble ils les saluèrent puis Pygaer s’adressa à Louis

« Votre Grâce, ce n’est pas avec gaieté de cœur que je vous vois partir. Je sais que votre décision est irrévocable comme l’est celle d’Ana aussi je m’incline. Veillez sur vous mon bon sire et veillez sur elle, je vous la confie. »

Pygaer ne put dire un mot de plus tant l’émotion l’étreignait. Il se déplaça légèrement puis, regardant Ana, il l’entraîna sur le côté pour lui dire au revoir.

Arrivés sous le porche de l’église, Pygaer prit Ana dans ses bras et la serra longuement contre lui. Il savait qu’elle détestait les effusions publiques mais il ne pût s’empêcher de l’embrasser longuement, passionnément. S’écartant légèrement d’elle, il passa doucement sa main sur ses cheveux, retirant par habitudes les quelques mèches qui zébraient son visage. Il la regarda longuement, tentant de mettre en mémoire chaque centimètre d’un visage qu’il connaissait par cœur et lui murmura:

‘Et voila, mon ange, l’heure est arrivée. Nous allons bientôt être séparés pendant deux longs mois. Je … je voudrais qu’ils soient déjà passés mais ne t’en fais pas, je serai fort. J’accomplirai mon devoir au conseil ducal et je te rendrais fier de moi…. Tu sais mon cœur me dit de te garder mais je connais ton désir de voir du pays, alors je te laisse aller. Je te garderai dans mon cœur et penserai à toi tout le temps. Mais je te promets mon ange, dès que mon mandat sera terminé, où que tu sois, aussi loin que tu sois, je viens te rejoindre, tu m’entends, je viens… et si tu es toujours d’accord nous nous unirons où tu veux. Je t’écrirai chaque jour qu’Aristote nous séparera. Tu verras, deux mois, c’est vite pass酑

L>Ltion les leignant tous les deux, ils se jetsnt dans les bras lsun de l’autre puis, d un m, pas, ils parcoururent les quelques rues aux alentours de ltEglise, se remsrant les doux instants de leur rencontre, la taverne ol se rencontraient, les amis queils y c aient.

Ayant fait le tour, Ana et Pygaer se retrouvtnt sur le parvis. Louis et Jona semblaient pre artir, mais Pygaer retint Ana encore pendant quelques instants


tMon cfur, je thai fait un dernier cadeaua Tu verras dans le paquetage du cheval de b une grande boc. Ce sont des pigeons, des pigeons voyageurs. Ils te serviront au moment o voudras mrvire. Tu pourras ainsi me dire o’oyer notre correspondance et i e

Pygaer se tut, serrant une nouvelle fois son Ana toitement contre lui puis, comme negret, ils se dirignnt vers la monture dà rAna. Aprsun dernier baiser, elle lnenfourcha puis, tout en tenant la main de Pygaer, elle se dirigea vers ses compagnons de voyage. Ensemble, ils attendirent le moment du dart, de la seration temporaire.
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Anabase
Les pr>ratifs la maison furent rapides, elle souhaitait voyager lsr, les routes n'ant pas toujours sures. Pygaer semblait plus perturbeu'elle, il bougeait sans cesse, vsfiant les moindres objets qu'elle prenait, en rajoutant i'occasion.

Allez, ne sois pas inquiet, je ne vais pas au bout du monde, juste dans le royaume voisin. Et deux mois ... passeront rapidement. Tu as tellement naire, tu verras.

Elle le rassurait tant/'une parole, tantbe sa main posyavec douceur sur son bras.

Ils sortirent enfin de la maison et s'en allvnt au lieu de rendez vous. Pygaer la retint un instant sur le parvis de l' ise. Un attroupement iit le riori un attroupement amical. Elle reconnut rapidement le groupe, et les salua avec respect, pr rant rester en retrait.

La chaleur eit encore acceptable, mais tout r'heure les ruelles seront m remplies de l'odeur ent>nte des fromages.

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