Lavania
Lavania observa le sourire se dessiner sur le visage de son mari, elle savait bien que cela lui ferait plaisir et elle ne s'était pas trompée. Tout en dégustant elle même son petit déjeuner, la jeune femme observait son mari. Seuls ses yeux dépassaient du petit pain qui cachait son sourire. Un sourire à la fois amoureux et espiègle. Un sourire qui malgré qu'il fut caché derrière un petit pain, se reflétait dans son regard bleu. Ce regard bleu qui n'avait d'yeux que pour l'homme qui se tenait près d'elle. Tous les murs auraient pu s'écrouler -hormis ceux de la chambre des enfants, cela va de soi- que la jeune femme n'aurait pas pu détacher ses yeux du visage de son amoureux. Si si, la jeune femme avait la chance d'avoir marié son amoureux! C'était pas donné à tout le monde, mais aussitôt qu'elle l'avait trouvé, elle n'avait pas hésité! C'était lui un point c'est tout! Et quand elle trouvait ce qu'elle voulait la petite, elle s'organisait pour l'obtenir et quand elle l'avait! Elle le gardait! Pas que son mari soit un objet loin de là, il était son amoureux et les «zamoureux», on les partages pas! Non non de non, c'est pourquoi elle était la première à souhaiter un joyeux anniversaire à son mari adoré.
Donc, une fois le petit déjeuner terminé, Lavania eut droit à un merveilleux baiser et à un superbe vue sur le paysage enneigé qu'elle pu voir par la fenêtre tandis qu'elle s'étirait pour redéposer son assiette sur la table de nuit, n'en profitant surtout pas pour regarder les abdominaux et autres muscles de son mari! Comme si c'était musclé un Caporal- Sergent? (Houu la mauvaise femme! Elle se souviens même plus du grade de son mari! :O On va dire Sergent Instructeur Je crois ) qui passe son temps à l'Ost à former des recrues dans l'art du combat! Non non non c'était pas du tout musclé! Compris mesdemoiselles?
Parlant de muscles, voilà les articulations qui craquait, jamais un bruit très agréable hein, pourtant les hommes semble avoir un besoin vital de se faire craquer les articulations Mais bon, le sourire peut faire passer bien des choses et le sourire que le jeune homme offrit à son épouse fut suffisant pour lui faire oublier l'épisode précédent.
Se rassoyant au centre du lit, s'appuyant sur ses mains qu'elle avait quelque peu reculer derrière elle, histoire de pouvoir voir le visage de son mari, en étant semi-incliné, la jeune femme écouta la magnifique phrase de son mari, ne démontrant pas du tout que celui-ci passait ses journées avec des brutes à l'Ost
Cependant, la délicatesse avec laquelle il s'approcha, grimpa sur le lit et se mis à cheval sur sa femme, sans oublier un nouveau doux baiser et le regard plongé dans celui de son amoureuse, avait le don de faire craquer son petit coeur de femme.
Elle s'était donc tranquillement étendue, s'adressant à lui dans un murmure, répondant à sa question posé sur le même ton, à savoir si elle avait prévu quelque chose pour cette journée spéciale.
Peut-être bien que oui Peut-être bien que non... Mais si c'était le cas, je te réserverais la surprise
Tandis que son mari redescendait du lit, la jeune femme put se rasseoir afin d'avoir -fort heureusement pour elle- le regard posé sur son mari alors qu'il prononçait sa dernière phrase La dernière phrase qu'il allait peut-être prononcer de sa vie
Bon tout de même pas, puisque Lavania n'est pas une meurtrière, et qu'elle a plutôt le sens de l'humour. Et puis Elisette lui avait dit que ce n'était pas un défaut être autoritaire! Et puis elle est pas autoritaire Lava! Elle sait ce qu'elle veut c'est tout! Mais de là à dire qu'il vaut mieux se faire descendre par ses supérieurs de l'Ost que par sa femme autoritaire quand même, il poussait un peu loin le mari, vous trouvez pas?
Elle se mis donc à genoux sur le lit, posant ses mains sur ses hanches, le regardant un sourcil relevée, un sourire en coin.
Est-ce que j'ai bien entendu? demanda-t-elle, en gardant son sourire, bien sûr qu'elle avait bien entendu, c'est pourquoi elle n'attendit même pas de réponse pour continuer.
Sachez Monsieur que je ne suis pas une femme autoritaire, premièrement! Et deuxièmement! T'as vraiment de la chance que je t'aime toi! dit-elle en attrapant le col de sa chemise pour l'attirer vers elle, approchant son visage à quelques, non pas centimètres, mais bien millimètre de celui de son mari.
Parce que sinon murmura-t-elle alors que ses lèvres frôlaient celle de son mari à chaque mot prononcé. Tu passerais un sale quart d'heure avec ta femme autoritaire.
Elle finit par sourire, posant ses lèvres contre les siennes, l'embrassant tendrement. C'était son anniversaire après tout, c'était donc pardonnable, non? Et puis, ils sont mariés! Elle a pas à se justifier!
Alors, si Monsieur veut bien me suivre, dit-elle en reposant ses pieds sur la terre ferme. On ne va tout de même pas passer la journée de ton anniversaire dans notre chambre, n'est-ce pas?
Et puis, tu as quatre beaux enfants qui ont eu toute la misère du monde à ne pas te révéler la surprise hier! Qu'est-ce que tu dirais d'aller leur faire l'honneur de ta visite paternel? dit-elle avec un sourire n'attendant même pas sa réponse pour l'entraîner vers le couloir, serrant ses deux mains dans les siennes, avançant dans le couloir à reculons. (si si, avancer à reculons, t'as bien lu^^)
Elle ne doutait pas une seule seconde que la surprise de son mari lui plaise, quoi que ce n'était pas une surprise dans le genre: «Chéri, je viens de nous acheter une charrette pour ton anniversaire» C'était plus le genre de surprise qu'on offre à un papa qu'on aime beaucoup.
Ainsi, la jeune femme s'arrêtant devant la porte de chambre fermée des enfants, levant les yeux vers son mari un merveilleux sourire sur le visage. Avoir eu un autre mari, elle aurait peut-être dit un truc dans le genre: «Soit pas déçu Ce ne sont que des enfants et il y ont mis tout leur coeur » Mais elle savait que son mari aurait la bonne réaction.
Je t'aime Zeiss murmura-t-elle avant de parler un peu plus fort.
Vous êtes prêt les enfants? demanda-t-elle en passant derrière son mari, posant ses mains sur les yeux de celui-ci en entendant les oui collectifs de ses quatre enfants. Si si, la petite dernière avait même mêlé sa voix à celle des autres, comme quoi c'était un grand jour.
Ouvre la porte mon chéri s'il te plait, murmura-t-elle avant de faire quelques pas, poussant tranquillement son mari dans la pièce, s'y arrêtant une fois qu'il était entrée.
Dans la dite pièce, les enfants tenait chacun un dessin qu'ils avaient dessiné eux-mêmes alors que leur maman leur avait donner du fusain pour dessiner et même de l'encre. Sans oublier, la petite assiette de biscuits qu'ils avaient cuisiné tout l'après midi, la vieille, pendant que leur papa était à l'Ost toujours.
C'est donc à ce moment que la jeune femme écarta ses mains des yeux de son mari, pour qu'il puisse voir leur quatre enfants sautiller de joie en s'exclamant le texte que leur maman leur avait fait répété.
Joyeux anniversaire papa!!! s'était exclamé Elendra qui avait fait de magnifique progrès dans sa façon de parler.
Oie-ïeux Zannivèsaihe Papa!! s'étaient exclamé Ike et Prunille avec un magnifique sourire, s'empressant de s'approcher de leur papa pour lui remettre leur dessin.
HA haaa-aaa-aaa-aaaha!! BAbaba!! Bien évidemment, vous l'aurez deviné, il s'agissait de Marie-Erika, qui toute enjouée, s'était mis à tenter de sautiller, sans décoller du sol, finissant assise par terre sur les deux fesses après un petit Boum! Mais même la chute ne pouvait faire disparaître son sourire garnie de quatre petites dents.
Sa femme était là, près de lui, observant la scène en glissant sa main dans son dos, regardant tour à tour ses enfants puis son mari, lui souriant se trouvant à cet instant, sans aucun doute la femme la plus chanceuse qui soit. Et ce n'était même pas son anniversaire à elle!
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Donc, une fois le petit déjeuner terminé, Lavania eut droit à un merveilleux baiser et à un superbe vue sur le paysage enneigé qu'elle pu voir par la fenêtre tandis qu'elle s'étirait pour redéposer son assiette sur la table de nuit, n'en profitant surtout pas pour regarder les abdominaux et autres muscles de son mari! Comme si c'était musclé un Caporal- Sergent? (Houu la mauvaise femme! Elle se souviens même plus du grade de son mari! :O On va dire Sergent Instructeur Je crois ) qui passe son temps à l'Ost à former des recrues dans l'art du combat! Non non non c'était pas du tout musclé! Compris mesdemoiselles?
Parlant de muscles, voilà les articulations qui craquait, jamais un bruit très agréable hein, pourtant les hommes semble avoir un besoin vital de se faire craquer les articulations Mais bon, le sourire peut faire passer bien des choses et le sourire que le jeune homme offrit à son épouse fut suffisant pour lui faire oublier l'épisode précédent.
Se rassoyant au centre du lit, s'appuyant sur ses mains qu'elle avait quelque peu reculer derrière elle, histoire de pouvoir voir le visage de son mari, en étant semi-incliné, la jeune femme écouta la magnifique phrase de son mari, ne démontrant pas du tout que celui-ci passait ses journées avec des brutes à l'Ost
Cependant, la délicatesse avec laquelle il s'approcha, grimpa sur le lit et se mis à cheval sur sa femme, sans oublier un nouveau doux baiser et le regard plongé dans celui de son amoureuse, avait le don de faire craquer son petit coeur de femme.
Elle s'était donc tranquillement étendue, s'adressant à lui dans un murmure, répondant à sa question posé sur le même ton, à savoir si elle avait prévu quelque chose pour cette journée spéciale.
Peut-être bien que oui Peut-être bien que non... Mais si c'était le cas, je te réserverais la surprise
Tandis que son mari redescendait du lit, la jeune femme put se rasseoir afin d'avoir -fort heureusement pour elle- le regard posé sur son mari alors qu'il prononçait sa dernière phrase La dernière phrase qu'il allait peut-être prononcer de sa vie
Bon tout de même pas, puisque Lavania n'est pas une meurtrière, et qu'elle a plutôt le sens de l'humour. Et puis Elisette lui avait dit que ce n'était pas un défaut être autoritaire! Et puis elle est pas autoritaire Lava! Elle sait ce qu'elle veut c'est tout! Mais de là à dire qu'il vaut mieux se faire descendre par ses supérieurs de l'Ost que par sa femme autoritaire quand même, il poussait un peu loin le mari, vous trouvez pas?
Elle se mis donc à genoux sur le lit, posant ses mains sur ses hanches, le regardant un sourcil relevée, un sourire en coin.
Est-ce que j'ai bien entendu? demanda-t-elle, en gardant son sourire, bien sûr qu'elle avait bien entendu, c'est pourquoi elle n'attendit même pas de réponse pour continuer.
Sachez Monsieur que je ne suis pas une femme autoritaire, premièrement! Et deuxièmement! T'as vraiment de la chance que je t'aime toi! dit-elle en attrapant le col de sa chemise pour l'attirer vers elle, approchant son visage à quelques, non pas centimètres, mais bien millimètre de celui de son mari.
Parce que sinon murmura-t-elle alors que ses lèvres frôlaient celle de son mari à chaque mot prononcé. Tu passerais un sale quart d'heure avec ta femme autoritaire.
Elle finit par sourire, posant ses lèvres contre les siennes, l'embrassant tendrement. C'était son anniversaire après tout, c'était donc pardonnable, non? Et puis, ils sont mariés! Elle a pas à se justifier!
Alors, si Monsieur veut bien me suivre, dit-elle en reposant ses pieds sur la terre ferme. On ne va tout de même pas passer la journée de ton anniversaire dans notre chambre, n'est-ce pas?
Et puis, tu as quatre beaux enfants qui ont eu toute la misère du monde à ne pas te révéler la surprise hier! Qu'est-ce que tu dirais d'aller leur faire l'honneur de ta visite paternel? dit-elle avec un sourire n'attendant même pas sa réponse pour l'entraîner vers le couloir, serrant ses deux mains dans les siennes, avançant dans le couloir à reculons. (si si, avancer à reculons, t'as bien lu^^)
Elle ne doutait pas une seule seconde que la surprise de son mari lui plaise, quoi que ce n'était pas une surprise dans le genre: «Chéri, je viens de nous acheter une charrette pour ton anniversaire» C'était plus le genre de surprise qu'on offre à un papa qu'on aime beaucoup.
Ainsi, la jeune femme s'arrêtant devant la porte de chambre fermée des enfants, levant les yeux vers son mari un merveilleux sourire sur le visage. Avoir eu un autre mari, elle aurait peut-être dit un truc dans le genre: «Soit pas déçu Ce ne sont que des enfants et il y ont mis tout leur coeur » Mais elle savait que son mari aurait la bonne réaction.
Je t'aime Zeiss murmura-t-elle avant de parler un peu plus fort.
Vous êtes prêt les enfants? demanda-t-elle en passant derrière son mari, posant ses mains sur les yeux de celui-ci en entendant les oui collectifs de ses quatre enfants. Si si, la petite dernière avait même mêlé sa voix à celle des autres, comme quoi c'était un grand jour.
Ouvre la porte mon chéri s'il te plait, murmura-t-elle avant de faire quelques pas, poussant tranquillement son mari dans la pièce, s'y arrêtant une fois qu'il était entrée.
Dans la dite pièce, les enfants tenait chacun un dessin qu'ils avaient dessiné eux-mêmes alors que leur maman leur avait donner du fusain pour dessiner et même de l'encre. Sans oublier, la petite assiette de biscuits qu'ils avaient cuisiné tout l'après midi, la vieille, pendant que leur papa était à l'Ost toujours.
C'est donc à ce moment que la jeune femme écarta ses mains des yeux de son mari, pour qu'il puisse voir leur quatre enfants sautiller de joie en s'exclamant le texte que leur maman leur avait fait répété.
Joyeux anniversaire papa!!! s'était exclamé Elendra qui avait fait de magnifique progrès dans sa façon de parler.
Oie-ïeux Zannivèsaihe Papa!! s'étaient exclamé Ike et Prunille avec un magnifique sourire, s'empressant de s'approcher de leur papa pour lui remettre leur dessin.
HA haaa-aaa-aaa-aaaha!! BAbaba!! Bien évidemment, vous l'aurez deviné, il s'agissait de Marie-Erika, qui toute enjouée, s'était mis à tenter de sautiller, sans décoller du sol, finissant assise par terre sur les deux fesses après un petit Boum! Mais même la chute ne pouvait faire disparaître son sourire garnie de quatre petites dents.
Sa femme était là, près de lui, observant la scène en glissant sa main dans son dos, regardant tour à tour ses enfants puis son mari, lui souriant se trouvant à cet instant, sans aucun doute la femme la plus chanceuse qui soit. Et ce n'était même pas son anniversaire à elle!
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