[RP] Le citoyen d'honneur de Niort

Le maire de Niort arriva sur place ,il s'adressa au procureur du poitou Chuichian et au vicomte Cristof,

Messieurs calmez vous,je viens d'avoir un entretien privé avec notre comtesse Olivyaa de Fontenoy,le fait que cette distinction fassent couler beaucoup d'encre viennent des termes employés "ordre et citoyen" d'un commun accord avec notre comtesse Olivyaa de Fontenoy,je présenterais cette proposition au conseil comtal en ayant apporté quelques modifications.Je reprends la proposition de notre vicomte Cristof pour le villageois d'honneur en remplacement de l'ordre du citoyen d'honneur et la médaille remplacé par la clé de la ville.

Villageois d’honneur de Niort :

Préambule :
Sur une idée de La_Justicière, le conseil municipal crée en ce 8 mars 1457, le villageois d'honneur de Niort. Celui-ci regroupe des villageois s’étant particulièrement illustrés dans la vie publique, la police, l’animation ou encore la gestion économique et politique de Niort.

I. De la distinction
Cette distinction revêt la forme d’une clef de la ville, formée d’un collier bleu à liserés d’or et du blason de la ville. La dite clef pourra être arborée dans la signature.


II. De la nomination
-Chaque villageois Niortais aura la possibilité, en remplissant le questionnaire ci-après, de proposer toute personne, sauf lui-même, qu’il jugera digne de ladite récompense.
Citation:
Proposition au villageois d'honneur de Niort.

Nom du candidat :
Localité :
Natif de Niort Oui / Non (rayer la mention inutile).
Profession :
Je propose ce villageois, car :

(Expliquez en quelques phrases, ce qui vous motive à designer la personne).


Votre Nom à vous :
Votre Localité (Vous devez être villageois domiciliant à Niort).
Votre fonction :

Date et Signature


En cas de vote majoritaire de 3/4 des voies, le ou la candidat(e) sera promu à la citation.


Sachant que :

-Chaque conseiller municipal pourra lui aussi être nommé à la distinction par ses pairs, sans toutefois prendre lui-même part au vote et s’il a effectué au minimum 6 mandats de conseiller.

-Le maire ne pourra être nommé à la distinction durant la période de son mandat.

-Les noms ainsi proposés seront ensuite examinés par le conseil municipal qui décidera si ils peuvent ou non être récompensés, la voix du maire étant égale à celle d’un conseiller. En cas de vote majoritaire de 3/4 des voix, le ou la candidat(e) sera promu à la citation. La remise des Honneurs se fera deux jours avant la fin du mandat par le Bourgmestre de la ville et le conseiller en charge du projet à ce moment.

-Au maximum deux candidats pourront se voir remettre la décoration chaque mois.


III. De la destitution
- La récompense sera remise à vie, et ne pourra être retiré par le conseil municipal et accord du conseil comtal, que dans des cas extrêmes définis ci-après :
° Trahison ou Haute trahison envers le comté ou la couronne.
° Troubles à l'ordre public (Révolte ou brigandage)

Ventreachoux s'adressa aux deux prestigieux hommes du poitou

procureur,vicomte ,le débat est clos en attendant la décision de la proposition d'un décret du conseil comtal.
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Elle le regarda un instant ... Ses tapes lui avaient donc tant manquées que ça ! ... Ou alors était il devenu comme certains ...

Alors déja sache que je ne remet pas en question TA parole seulement celle de certains ... Quand à l'anoblissement il y a l'héraudie qui surveille m'semble t il ... Et de toute façon comme tu l'as si bien dit j'suis qu'une gueuse et quand j'pose des questions je n'ai aucune réponse ... 'fin j'vois qu't'aimes bien m'faire répéter .... Ensuite celui qui gère l'économie d'la ville c'est Ventre parce que me dit pas qu'le conseiller au commerce trouve beaucoup d'contrat pour évacuer nos surplus hein ? J'sais que tu t'occupe d'ta filère et que tu as de bon résultat mais permet moi de douter des autres.

Quand à ta récompense tu sais c'que tu peux en faire et t'inquiète comme j'vois que rien ne change ici et qu'il vaut mieux faire comme la majorité des Niortais s'taire pour ne pas se faire traiter d'chieuse et d'vipère tu m'entendras plus ... D'ailleur j'commence même à m'demander si j'vais pas aller voir ailleur ....

Elle saluat Datan et son fillot et r'partie rejoindre Ness en taverne.
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Agacé, Frigien répondit au loin :

Sieur Fayom, quand vous ferez l'effort de comprendre que pour la X ième fois, je vous ai dit que ce n'était pas de ça dont il s'agissait, alors peut être que je ferai l'effort à mon tour de vous répondre entièrement.
Prévenez moi le cas échéant.
Je ne vais quand même pas perdre de précieuses minutes pour que vous me disiez ensuite : "mais en quoi ca résoud le problème de l'impartialité du conseil ?".
D'ailleurs, vous me demandez de détailler ce que je propose, mais j'attends toujours vos solutions aussi pour résoudre les problèmes que j'exposais ci-dessus, et qui je le rappelle, au cas où vous en douteriez encore, ne concernent pas la supposée non impartialité d'un conseil municipal normalement constitué.
Si vous n'en avez pas, il suffit de me le dire et j'expliquerai mon point de vue en détail ou si les inquietudes que j'exprimais dans ma première intervention ne vous semblent pas importantes, dites le moi clairement.

Puis il vit le sieur partir :

Vous semblez bien pressé jeune homme. Peut être aurez vous l'envie de reprendre une discussion posée à votre retour.

Il devrait peut-être se promener plus souvent au Poitou, recadrer les maires et conseils municipaux prenant un peu trop de liberté... Il se faufila entre la foule à grand coup de "Pardon, pardon" sans prendre la peine d'expliquer sa présence. Il regarda la foule et lut à haute voix un parchemins officiels.Il termina son allocution par une phrase de réconciliation:
Voila, comme ça les divergences au sujet de cette fameuse décoration se termineront icelieu. Puis il interpella, un sourire aux lèvres, Fayom se dirigeant vers sa demeure, l'expérience vous apprendra Sire Fayom, qu'il y a des règles à respecter, et, non seulement vous avez manqué de tact dans votre explications, mais en plus de compétence en défendant un décret qui n'est pas validé par le conseil Comtal.
Il afficha son parchemin à la vu et à la su de tous pour que nul ne l'ignore et retourna dans la foule.

Modification du texte pour cause de cohérence RP
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Procureur du Poitou
Par principe, en perpétuel désaccord avec Extraelle
Auteur Premier des "Chuichianiseries"

Nessty sortait de taverne lorsqu'elle constata que l'assemblée autour de l'affiche sur les médailles était.... Waouw !... étoffée. Elle revint donc sur ce lieu synonyme de sorcellerie pour elle, mais toujours autant titillée par la curiosité féminine. L'espoir de voir sa demande acceptée par le conseil municipal ne l'avait pas quitté car son amie méritait réellement de voir son investissement pour Niort reconnu.

Quelle surprise quand elle vit le charmant prévôt... oups non... le terrifiant procureur faire l'honneur de sa présence dans un village comme Niort. Allez savoir pourquoi, mais elle se mit à jouer inconsciemment avec le lacet... de sa cape... tout en s'avançant vers le Chian, ne voyant guère un hère jouer à la baballe en parlant tout seul. Fort heureusement qu'une certaine Kiss ne pouvait voir ce sourire. Sourire rayonnant et des plus enjôleurs d'une jeune femme obnubilée par les 2 noisettes pas mures du bellâtre au dessus de cette moustache qu'elle tortillerait bien si...*Blip*... Soupire.

Bonjour m'sieur Chuichian ! Quel plaisir de vous savoir ici. J'imagine que c'est pour faire le plein de fruits en notre verger afin que ta chieuse... euh... que votre fiancée... ait de quoi croquer une autre pomme niortaise. Je vous certifie que nos pommes sont un délice et me propose même de vous le prouver, enfin si le désir vous prend...


L'enchignonnée tourna la tête vers le parchemin marqué du sceau comtal afin de mieux camoufler le rictus taquin de ses lèvres. Il est vrai qu'elle avait de mal à se contenir devant cet homme. Ainsi elle écouta distraitement le sieur Datan qui venait pleurnicher comme toujours dès que quelqu'un n'était pas en accord avec lui.

Rooooo ben vain diù ça alors ! La suprématie municipale vient de voir sa tite couronne remise en place là ?

Nessty fut des plus surprises par cette annonce... Cela confortait en tout cas la gueuse dans sa pensée : lorsqu'on reproduit un document sans tenir compte du contexte initial dans lequel il a été construit, il faut se préparer à voir une surprise jaillir tôt ou tard, Quelques mots de Datan vinrent toute fois percuter le dessous de son chignon.

Dites donc sieur Datan, zavez pas fini de détourner le fond du problème par des attaques personnelles ?

Interrompre une femme dans sa parade séductrice n'a jamais été bon mais alors s'en prendre à "l'objet" de sa convoitise alors qu'on abusait de sa fonction pour détourner la justice... Aïe ! La truffe de la Vilaine se mit en mode "Spoliatis arma supersunt" encore plus vite qu'elle ne triturait le lacet de... de sa cape voyons...


Qu'est ce qu'une décision municipale publiée à la vue de tous ? On n'est plus au stade de "la mairie de Niort souhaite" là ! C'est officiel, c'est créé et c'est non ouvert au débat comme certains l'ont dit, n'est ce pas ?

Devant tant de mauvaise foi, la donzelle finit par fusiller le bougre du regard en se demandant si elle n'allait pas lui sauter à la gorge cette fois ci. Et bien non, toujours pas ! Elle retint sa virulence tant ce larmoiement lui rappelait cette pitié qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre. Sourire affectueux ? Presque car mine de rien, l'adversité tisse des liens et elle passait presque plus de temps en compagnie de Datan qu'avec son blondinet.

Quand y a un vers dans une pomme, faut pas l'dire de peur que les clients quittent l'épicerie ? C'est ça ? C'est pour cela qu'il ne faut parler qu'exclusivement avec le maire et les conseillers ?

Nessty plissa les yeux et le nez en même temps car Datan n'était point du style à tenter conciliation avec autrui quand lui même désapprouvait quelque chose. Alors pourquoi vouloir imposer cette façon de procéder aux autres ? L'impétueuse avait de plus ne plus de mal à comprendre le discours du bougre et elle secoua son chignon avec arrogance.

Que voulez vous encore cacher aux villageois ? La honte de ne pas avoir été à la hauteur ou celle d'avoir été complice avec un Chou qui refuse par fainéantise les formalités et donc l'autorité comtale ?

Faut assumer vos responsabilités et cesser de refuser toutes critiques parce que votre égo est aussi volumineux et creux qu'un fut d'bière vide !

A votre place, j'collerai cette médaille à tous les héros du royaume en lieu et place de notre bon Roy Levan ! Et je vais pousser le bouchon dans tout cela en exigeant la preuve que le blason de Niort reproduit sur cet affutiaux est bien celui déposé à l'hérauderie ou je ne sais où...

Et voilà que la Vilaine reprenait le dessus et qu'elle se trouvait hors d'elle. Tssssss, celle qui aurait voulu se montrer douce et crémeuse devant le séduisant thouarsais afin de le faire fondre devant autre chose que ses atours ficelés, en était arrivée au point d'oublier un ptit instant ce blondinet qui l'attendait
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Et bien comme l'a noté ma Porte-Parole attitré, ...., ça te va bien je trouve, non?

Nessty se sentit défaillir et se mordit les lèvres pour s'obliger à se taire sinon des rumeurs allaient à nouveau circuler en Poitou et en Bretagne. Elle resta donc plantée là, à rougir en silence devant le compliment comme l'une des faces d'une pomme savoureuse, exposée au soleil estivale le temps de sa maturation et surtout dans l'attente d'être cueillie et croquée ! Elle dévora, roooooooo non car un met si comestible se déguste avec langueur pour faire perdurer le fondant malgré l'intensité grandissante de la gourmandise, elle se laissa donc bercer par des paroles tantôt mousseuses tantôt croquantes, restant même pantoise devant une éloquence juteuse et salivant devant les petites pointes d'édulcorant parsemées judicieusement ça et là.

Psssssssssst... Quand est ce que tu m'invites dans ton bureau pour que je puisse admirer la tapisserie ? Surtout que si j'suis ton porte-voix... faut que j'te suive à la trace, nan ?
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Le Vicomte mit au courant que cela faisait déjà débat à Niort s'empressa de rejoindre l'attroupement et la conversation.

Messire Chuichian, il y a eu en effet discussion au conseil Comtal, et pour ce qui est de la Comtesse, la création d'un ordre et la médaille la préoccupe plus que l'illégalité d'un soit disant décret.
Car si je suis votre démonstration, alors il y a bien d'autres annonces à considérer comme décret et à faire annuler.

Tout les maires Poitevins, qui fournissent du pain à 2 écus pour l'aide aux vagabonds sont dans l'illégalité.
La prime mise en place par la mairie de Niort pour ceux allant à la mine, est également illégale.
Donc, non seulement, il faut cesser ces deux oeuvres à caractères sociales, mais de plus, nous devrions exiger que ceux qui en ont bénéficié rende leur prime ou leur pain à 2 écus, puisque indument perçu sur base d'un décret illégal.

Ensuite, je vais parcourir comme vous le Poitou et vous envoyer une copie des courriers illégaux que les douaniers, membres de notre police, que vous avez eu l'honneur de diriger pendant 4 mois envoient aux voyageurs.
La plus part mentionne, l'obligation si l'on est MA de se mettre en relation avec le maire, ce qui n'est repris dans aucun décret ni loi de la Coutume Poitevine.

Votre façon d'agir est maladroite, et si la Comtesse vous a autorisé à leur signaler sa désaprobation quand à la mise en place de cet ordre, je doute qu'elle soit réellement ravie de la manière dont vous l'avez fait.

Enfin, gardez-vous bien de faire un procès pour cette broutille, je crois que vous auriez bien plus à perdre qu'à gagner.

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Moi qui attendait une réponse du Maire, j'ai le droit au Vicomte d'Aulnay de Saintonges.

En quoi le pain à 2 écus est une infraction? Il est un us et non pas un décret dument entériné par un maire. Mais je suis d'accord avec vous, si les maires étaient plus au fait de la coutume, peut-être éviterions nous ce genre de désagrément.

Quand aux courriers, faites donc, ce que j'avais l'habitude d'y lire et l'interdiction pour les étrangers de séjourner sur nos terres, et une invitation de contacter le maire de manière à optimiser le bénéfice du passage des marchands ambulants.

Enfin je vous prierai tout d'abord, de ne point déformer mes paroles et ensuite de ne pas m'intimer un ordre quelconque. Ais-je évoqué la mise en procès de quiconque ici? Non j'ai dis que l'infraction à la coutume était passible de poursuite. Seriez vous contre ce fait?
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Procureur du Poitou
Par principe, en perpétuel désaccord avec Extraelle
Auteur Premier des "Chuichianiseries"

Et si mon ton a pu vous choquer, c'est que le fait d'afficher en place publique votre décision, a permis à la personne ici présente de dénigrer une fois de plus le travail des autres fusse-t-il imparfait.

Si vous, sieur Datan et ce fameux maire inexistant en public, vous aviez le moindre respect pour ceux qui osent poser des questions le plus simplement du monde, vous ne récolteriez pas des critiques acerbes lorsque vous imposez vos désirs de la sorte ou qu'une miette d'information tombe enfin dans nos gosiers avides de savoir ce qui se passe chez soi.


Nessty repartit chercher son calme dans des mirettes aux allures de noisettes pas mures qui lui étaient toujours plus appétissantes qu'un larmoiement déguisé lorsqu'elle vit arriver un noble et un vrai celui là. Le temps de renouer le lacet de sa cape avant que celle ci ne dégringole de ses épaules, elle écouta les 2 hommes accoutumés aux fauteuils d'un tribunal mais point du même côté qu'elle se taquiner allègrement.

Sir Cristof, ravie de vous voir comme à chacune de vos rares sorties. Dommage que vous soyez toujours considéré comme la roue de secours suprême de ceux qui tremblent en leurs braies. Personnellement, je souhaiterai un jour avoir affaire avec vous dans d'autres conditions, c'est à dire celles dans lesquelles vous aurez la maitrise d'un débat du début à la fin afin de ne point laisser les conseillers que vous chapeautez s'éparpiller de la sorte. Merci d'ailleurs d'avoir ramené dans la conversation mon allusion au sigle employé. Vous au moins, vous serez écouté...

Elle se mit à marmonner avant de laisser sa voix monter en crescendo sur les derniers mots :

Bien que je ne doute aucunement que chacune de mes interventions soit utilisée à bon escient. Dommage encore une fois que cela soit fait dans l'ombre afin de ne surtout pas me voir participer, moi ou mon fameux "toutou", à un seul projet concernant Niort !

La gueuse dirigea vivement un regard, haineux cette fois ci, vers Datan. Elle avait réussi à le dire, à le cracher, à le vomir tant elle avait alors été offusquée en l'apprenant. Ils ne pouvaient plus ignorer que cela faisait des mois qu'elle savait... Elle serra les dents et les poings car que l'on s'en prenne à elle ne la dérangeait point, mais gare à ceux qui osaient ne serait ce que se l'imaginer avec l'un de ses proches. Elle haussa les épaules en laissant son attention détournée par Filac et le montra du menton.

L'a raison, le cathare. Pensez aux jeunes avant de pensez à vos trognes ! Une médaille ne nourrit pas comme le pain... Des miches à 2 écus sont plus vitales qu'une pacotille décorative !


Moi qui attendait une réponse du Maire, j'ai le droit au Vicomte d'Aulnay de Saintonges.

Nessty regarda le Chian et haussa une nouvelle fois les épaules. Tu n'as quand même pas cru que Chou assumait à lui seul sa fonction ? Maintenant que le Vicomte est passé par ici, il osera sortir de sa tanière, je te le promets, avec un air arrogant de "même pas peur". Elle secoua le chignon pour éviter de penser au ridicule et le discrédit engendrés par des apparitions tardives.


En revanche, je vous rappelle que les joutes sur le jargon juridique trouvent parfaitement leur place dans un lieu clos comme le château car les habitants en ont que peu faire de cela. Pour une fois que je dis cela, n'est ce pas cher vicomte ? Je rajoute toute fois que toute annonce émise au nom d'une mairie reste un document des plus formels qui engage tant l'équilibre du comté que le civisme des villageois. Donc vous la dénommerez comme vous le voulez mais...

La donzelle plissa le nez avec toute la malice qu'elle pouvait avoir en elle tant sa métaphore lui était inspirée par le dégommage d'une crête de coq. Ceci compenserait son envie d'aborder le sujet l'intégrité déjà qu'elle n'était point respectée à Niort... Puis elle avait soif là. Ce n'était quand même pas elle la gueuse qui allait proposer à ces sieurs de finir la conversation autour d'une chopine ! Elle regarda Cristof puis Datan puis se mit à caqueter son final :

... quand on pond quelque chose en grande pompe et qu'on vient mettre en avant que ce fut en s'élargissant le fion, on assume en silence poussins ou défections pour le bien du poulailler !

ça au moins, tout le monde le comprendrait.
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