Eloise..
Le curé de Bayeux expliquait à la jeune Eloïse le pourquoi de son état, qui il avait rencontré et ce qui s'était produit. Elle esquissa un léger soupir, se demandant comment un homme qui servait le Très Haut tous les jours, en prêchant Aristote, pouvait avoir telle sanction ? Peut-être était-ce pour payer sa dette d'avoir vendu des informations concernant sa cousine, à cet infâme angevin de Théo. Mais à y réfléchir, c'était cher payé, bien que, sa cousine avait failli y passer, tout de même.
Un large sourire mêlé à de l'étonnement, apparut sur son visage, lorsqu'il lui demanda si elle savait serpiller.
Oh non, non, elle ne m'a pas appris cela, d'ailleurs, je n'en ai pas réellement compris les règles.
Au moment où elle prononça cette phrase, une jeune femme brune s'approcha d'eux, le curé blêmit. Décidément, cette histoire de serpillère le mettait dans tous ses états, elle essaya donc de le rassurer à nouveau, posant sa main sur la sienne.
Je... mon Père, je vous ai dit que je ne savais pas serpiller, vous ne risquez donc rien.
Puis, Eloîse comprit. Apparemment, il venait de voir un fantôme. La jeune femme qui les avait rejoint ne lui était pas inconnue et même qu'il la croyait morte. La jeune angevine se fit donc discrète et les laissa parler, quand la Duchesse fit son apparition. Elle n'avait certes pas sa couronne et tout l'attirail de ses fonctions, mais on la reconnaissait tout de même. Et tiens, comme un air de famille. Eloïse se sentit du coup, un peu de trop : un frère, une soeur, et un fantôme qui au final n'en était pas un.
Hum, mon Père, je... je pense que je vais vous laisser. Je... j'avais d'autres choses à vous demander, mais, au vu de ce que j'ai pu entendre ces dernières minutes, je pense qu'il y a plus urgent pour vous.
J'écrirai donc à Anya pour la rassurer et lui dire que vous allez bien Le regardant, estropié et blanc comme un linge, elle se reprit enfin, que vous estes toujours vivant, plutôt.
Il saurait lui dire si elle pouvait rester ou non, et surtout quand ils pourraient se revoir, elle avait d'autres choses à éclaircir avec lui.
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Un large sourire mêlé à de l'étonnement, apparut sur son visage, lorsqu'il lui demanda si elle savait serpiller.
Oh non, non, elle ne m'a pas appris cela, d'ailleurs, je n'en ai pas réellement compris les règles.
Au moment où elle prononça cette phrase, une jeune femme brune s'approcha d'eux, le curé blêmit. Décidément, cette histoire de serpillère le mettait dans tous ses états, elle essaya donc de le rassurer à nouveau, posant sa main sur la sienne.
Je... mon Père, je vous ai dit que je ne savais pas serpiller, vous ne risquez donc rien.
Puis, Eloîse comprit. Apparemment, il venait de voir un fantôme. La jeune femme qui les avait rejoint ne lui était pas inconnue et même qu'il la croyait morte. La jeune angevine se fit donc discrète et les laissa parler, quand la Duchesse fit son apparition. Elle n'avait certes pas sa couronne et tout l'attirail de ses fonctions, mais on la reconnaissait tout de même. Et tiens, comme un air de famille. Eloïse se sentit du coup, un peu de trop : un frère, une soeur, et un fantôme qui au final n'en était pas un.
Hum, mon Père, je... je pense que je vais vous laisser. Je... j'avais d'autres choses à vous demander, mais, au vu de ce que j'ai pu entendre ces dernières minutes, je pense qu'il y a plus urgent pour vous.
J'écrirai donc à Anya pour la rassurer et lui dire que vous allez bien Le regardant, estropié et blanc comme un linge, elle se reprit enfin, que vous estes toujours vivant, plutôt.
Il saurait lui dire si elle pouvait rester ou non, et surtout quand ils pourraient se revoir, elle avait d'autres choses à éclaircir avec lui.
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