Yolanda_isabel
Elle hausse les épaules avec un sourire à la phrase d’Anaell-deux fois, être amies, mais elle n’a pas d’amies de son âge. Elle n’en veut pas, ne sachant pas y faire avec les autres enfants. Il y a Arutha, et puis, il y a Griotte, voilà les seuls amis jeunes qu’elle a mis à part ceux de son frère qui les lui prête occasionnellement. A la nouvelle arrivante suivie d’Eilinn, elle offre un regard, indifférente de sa couleur de peau et de cheveux, admirative devant son ombrelle, et souriante pour Eilinn, symbole de la cuisine à elle toute seule. Un regard désapprobateur à Arutha, on ne pose pas des questions aux gens comme cela, c’est impoli ! Il n’y a qu’à Marraine qu’on pose ! Pauv’ Marraine.. Alors, elle sourit à l’Albinos.
-« Moi, c’est Yolanda, et je trouve que ta robe est jolie. »
Oui, elle est belle sa robe, elle est un peu aux couleurs des Josselinières, il manque le noir du sanglier, mais une fille ne porte pas de sanglier, et une jeune fille ne porte pas de noir, alors c’est presque pareil, cela mérite un sourire qui reste affiché sur son visage jusqu’à tomber sur celle qui pousse la porte à son tour.
-« Bonjour ! Moi c'est Alwenna Wolback de Montfort-Laval, tu m'appelles Lys si tu veux, c'est plus bien. Et elle, c'est ma cousine, Marie-Pomme Wolback, c'est ici que y'a la religion et les macarons ? »
Une déglutition, un recul léger, très discret, elle la connait en face d’elle, c’est celle qui la suivait à Paris, celle qui s’habillait comme elle, qui se coiffait comme elle, et pourtant devant elle, ce n’est plus une blonde habillée de rose, mais une brune vêtue de blanc. Elle hésite un instant, léger instant, mais le sourire revient, et elle ouvre la porte en grand de nouveau.
-« Moi, c’est Yolanda Isabel de Josselinière. C’est ici le Peterisme oui ! Les macarons pour la vie et toujours. »
Enfin, elle s’intéresse aux conversations à l’intérieur, grimace en voyant le chien-loup se jeter sur les macarons, se voile les yeux un instant, puis les re-ouvre pour entendre – oui, c’est bien connu que quand on se cache les yeux, le monde disparaît – les discussions autour, elle ouvre de grands yeux l’infante devant la révélation d’Anaell, Ella a une fille.. Heureuse pour la pâtissière malgré tout, parce qu’elle sait qu’elle vit seule avec son fils qui lui fait un peu peur des fois quand il rit tout seul. Alors, elle rejoint la table et écartant un peu les boîtes de macarons, elle monte sur la table pour s’éclaircir la voix.
-« On va commencer ! C’est pas trop dur, je crois.. Alors vous lisez bien qu’est-ce qu’on a écrit sur les parchemins sur le mur ! C’est l’histoire du Peterisme et les Dix commandements importants ! »
Soudain, elle réalise, les mains viennent serrer la jupe contre ses jambes, un coup d’œil à Arutha, han il a failli voir sa fleur ! Han ! Et déjà, elle redescend pour rejoindre les deux chaises couvertes l’une d’un drap rose et l’autre d’un drap bleu.
-« Nous, on est le Grand Pape et la Grande Papesse, et pour faire partie du Peterisme, il faut faire les gages ! Arutha, tu ‘spliques ? »
Ouais, vas y, fais un super beau discours N’amoureux ! Fais les rêver !
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-« Moi, c’est Yolanda, et je trouve que ta robe est jolie. »
Oui, elle est belle sa robe, elle est un peu aux couleurs des Josselinières, il manque le noir du sanglier, mais une fille ne porte pas de sanglier, et une jeune fille ne porte pas de noir, alors c’est presque pareil, cela mérite un sourire qui reste affiché sur son visage jusqu’à tomber sur celle qui pousse la porte à son tour.
-« Bonjour ! Moi c'est Alwenna Wolback de Montfort-Laval, tu m'appelles Lys si tu veux, c'est plus bien. Et elle, c'est ma cousine, Marie-Pomme Wolback, c'est ici que y'a la religion et les macarons ? »
Une déglutition, un recul léger, très discret, elle la connait en face d’elle, c’est celle qui la suivait à Paris, celle qui s’habillait comme elle, qui se coiffait comme elle, et pourtant devant elle, ce n’est plus une blonde habillée de rose, mais une brune vêtue de blanc. Elle hésite un instant, léger instant, mais le sourire revient, et elle ouvre la porte en grand de nouveau.
-« Moi, c’est Yolanda Isabel de Josselinière. C’est ici le Peterisme oui ! Les macarons pour la vie et toujours. »
Enfin, elle s’intéresse aux conversations à l’intérieur, grimace en voyant le chien-loup se jeter sur les macarons, se voile les yeux un instant, puis les re-ouvre pour entendre – oui, c’est bien connu que quand on se cache les yeux, le monde disparaît – les discussions autour, elle ouvre de grands yeux l’infante devant la révélation d’Anaell, Ella a une fille.. Heureuse pour la pâtissière malgré tout, parce qu’elle sait qu’elle vit seule avec son fils qui lui fait un peu peur des fois quand il rit tout seul. Alors, elle rejoint la table et écartant un peu les boîtes de macarons, elle monte sur la table pour s’éclaircir la voix.
-« On va commencer ! C’est pas trop dur, je crois.. Alors vous lisez bien qu’est-ce qu’on a écrit sur les parchemins sur le mur ! C’est l’histoire du Peterisme et les Dix commandements importants ! »
Soudain, elle réalise, les mains viennent serrer la jupe contre ses jambes, un coup d’œil à Arutha, han il a failli voir sa fleur ! Han ! Et déjà, elle redescend pour rejoindre les deux chaises couvertes l’une d’un drap rose et l’autre d’un drap bleu.
-« Nous, on est le Grand Pape et la Grande Papesse, et pour faire partie du Peterisme, il faut faire les gages ! Arutha, tu ‘spliques ? »
Ouais, vas y, fais un super beau discours N’amoureux ! Fais les rêver !
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