Bande annonce du volet II Après son premier succès, en voici venus le second volet, LA DUCHESSE ZIVA : Machalow, vous serez connétable, cest décidé.
Les royaumes Redondant II.
Cette fois, nos deux antis héros, le seigneur Machalow et son jeune plouc, vont affronter les joies du conseil ducal dans une nouvelle aventure, avec son lot de combats
CAPORAL : Bon bon. Mais deux armés pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?
de courage
SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?
SOLDAT 1 : Et comment, santé et gloire aux louveteaux !!!.
... Danachronismes
LE PROCUREUR : Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.
Dautoritarisme
SEIGNEUR MACHALOW : Il me semble vous avoir répéter déviter la bibine pendant le service.
...De concience professionnelle... JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?
SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.
... De rebondissements ... DOUNIERE : Nous avons arrêsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse sanguillonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.
Et de gentils petits boulets bien sur CLIENT : ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.
Revivez la folle période de lété 1457 en retrouvant des personnages des royaumes redondant 1 tel que la duchesse Ziva, mais aussi de nouveaux comme la duchesse du fromage de Brie, dans cette somptueuse parodie écrite.
Bientôt sur votre écran de PC, sur le forum du conseil de Champagne et ici sur la Gargote.
Les Royaumes redondant II
Conseil Ducal Sortie prévue le 21 janvier 1458 ... heuuu 2010[/quote]
[quote="Manu95"]
Les royaumes redondants II©
Un conseil ducal Introduction
de quoi ? Hé bé, vous verrez bien
An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à lapogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de lhistoire. Un coup détat, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire uvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec lensemble de ses vassaux. Cest ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin dy installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais cest bidon). Laire des Royaumes redondants
. UN JOUEUR CHIANT : Alors la, bravo. Non franchement bravo. Ton intro est vraiment très
originale. On peut dire que tu tes décarcassé.
MANUEL :
UN JOUEUR CHIANT : Ah
mais
heu je dois dire, que jai limpression davoir déjà entendu une intro similaire. Ah oui, cest mot pour mot ta première intro, je me trompe ? Tu nas rien foutu que de faire du copier collé feignasse
.
MANUEL : Certes, même intro, mais surtout, même abrutis qui me fait chier dès le début.
UN JOUEUR CHIANT :
Cest ainsi que se poursuit lhistoire, dune parodie qui se joue dun jeu qui imite lhistoire
Tome XII : [RP] Allégeance Page 1 [dans le bureau du manoir du domaine de la seigneurie du fief de Machalow] Le seigneur Machalow se dois de répondre à une vielle amie, lui ayant demandé de transmettre ses hommages à la nouvelle duchesse de Champagne, la fraichement élue duchesse Ziva. « Salut duchesse Dodoche
Cest nous quon à gagner les élections, cest nous quon à eu plein de voix de la populace et la baronne, enfin duchesse Ziva est sur le trône de champagne. Un soulagement. Bon je lui ai transmis comme tu me las aimablement demandé tes vux dallégeance de bonheur et patati patata. La duchesse Ziva à été ravie et sollicite même ton éternelle générosité pour faire don dun petite somme agréable à son plus vieux et plus fidèle vassal, le seigneur Machalow. Jte jure elle la dit pendant la cérémonie, sur la vie de ma mère.
Tchao duchesse Dodoche
Ton ptit pote Machalow »
JEUNE PLOUC : (levant sa plume) Vous pensez que cest correct cette façon de parler à une grande duchesse ?
SEIGNEUR MACHALOW : Holà, tu me critiques maintenant ? Cest une bonne amie à moi, alors je peux me permettre. Cesse de me rabaisser, et noublie point que de nous deux, cest toi le sous-fifre. Déjà que je suis couvert de honte de ne pas savoir écrire aussi bien que toi.
JEUNE PLOUC : (penaud) Navré mon maître, je ne recommencerais plus. Mais vous êtes sur de vouloir un poste de chambellan ? Vous nêtes pas un négociateur très diplomate à la base, alors si en plus vous ne savez pas écrire
SEIGNEUR MACHALOW : Tu ne connais rien à mes plans petit imbécile. La diplomatie je lexercerais à ma façon. Par exemple en allant soudoyer les joinvillois à devenir champenois.
JEUNE PLOUC : (haussant les épaules) Vous risquez de vous attirer des ennuis ainsi.
SEIGNEUR MACHALOW : (fronçant les sourcils) Ne tavais-je point dis de la fermer ?
JEUNE PLOUC : désolé
Page 2 [dans la salle des conseillers ducaux, plus tard] SEIGNEUR MACHALOW : (sinclinant) Ma baronne toutes mes félicitations pour cette élection.
UN CONSEILLER DUCAL : (murmure) Pssst seigneur Machalow, il vous faut maintenant dire « votre grâce », elle nest plus baronne votre suzeraine.
SEIGNEUR MACHALOW : (révolté) Votre grasse ? Mais cest insultant ! Je ne me montrerais jamais aussi vulgaire en affublant ma suzeraine dun blessant « votre grasse ».
LA DUCHESSE ZIVA : (hausse un sourcil)
UN CONSEILLER DUCAL : (sec) Cest ainsi que lon doit appeler une duchesse. Tout le monde icelieux doit sy plier, et seigneur Machalow, vous ne ferez pas exception.
SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Cela reste insultant, rendez vous compte des conséquences avenir que puis avoir cet appellation ? Votre grasse
non mais, comme si notre duchesse sempiffrait du matin au soir.
UN CONSEILLER DUCAL : La nest pas la question. Cest le protocole et
SEIGNEUR MACHALOW : (lui coupant la parole) Fort à parier que dans 5 à 6 siècles, lensemble des françoys seront complexés par leur silhouette. Nos descendants se verront toujours trop gros, trop obèse, et leur société tournera uniquement autour du paraître, de normes physiques draconiennes, ou devenir toujours plus mince sera une obsession pathologique
.
LA DUCHESSE ZIVA : (fonçant les sourcils) Machalow !
SEIGNEUR MACHALOW : (semballant) Une société malade, ou les jeunes filles seront mal dans leur peau, se trouveront jamais assez belle comparées aux photographies truqués de leur idoles mannequins, dont les mensurations se rapprocherons dun coton tige. Une souffrance physique mais aussi psychique, ou lanorexie leur volera la vie. Rendez-vous compte que
LA DUCHESSE ZIVA : (fronçant les sourcils) Machalow cela suffis ! Votre langage est odieux pour ne pas dire trempé dhérésie ! Ne dites plus mot, ou cest linquisition qui vous attend !
SEIGNEUR MACHALOW : (se reprenant) Mes excuses ma suzeraine. Si votre grâce pouvait oublier mes dernières paroles, jen serais fort aise.
LA DUCHESSE ZIVA : Très bien Machalow. Bon maintenant, voici la répartition des postes. Mon vassal, quavez-vous déjà émis comme souhait ? Juste pour savoir si jai rêvé ou non.
SEIGNEUR MACHALOW : (tout bas) Chambellan
UN CONSEILLER DUCAL : (éclatant de rire) Vous ? Chambellan ? Je ne vous savais pas aussi blagueur seigneur Machalow ! hahaha !
SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Je ne vois pas en quoi je serais blagueur. Jaime la diplomatie, il ny a rien de mal à aimer la diplomatie, non ?
UN CONSEILLER DUCAL : (plié en deux) Vous diplomate ??? Mouahahahahaha !!! Mais vous ne souhaitez quune chose, cest massacrer tous ce qui nest pas champenois !!! Bourguignons, artésiens, Chiens, chat, arbres, cailloux, bref, vous naimez ni rien ni personne !!!
SEIGNEUR MACHALOW : (rouge de colère portant la main sur le paumeau de son épée) Tu veux peut être vérifier si je naime personne trou du cul ?
LA DUCHESSE ZIVA : (tapant du poing sur la table) Arrêtez !!! Vous me faites honte dêtre votre duchesse. Machalow, cest une évidence que vous ne serez jamais un bon diplomate et encore moins chambellan, votre caractère nétant pas compatible avec ce poste. Et vous ne savez même pas écrire. Jai ouï dire que cest votre jean qui écrit vos missives.
SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant à lui-même) Sale petit rapporteur de page, il ne paye rien pour attendre ce crétin.
LA DUCHESSE ZIVA : (reprenant sur un ton plus posé) Machalow, vous serez connétable, cest décidé.
SEIGNEUR MACHALOW : (dépité) Génial
Page 3 [Bureau du connétable, 2 jours plus tard] JEUNE PLOUC : Vous vous en sortez ?
SEIGNEUR MACHALOW : Non. (buvant un coup) Pouahhh, cest immonde !!!, qui à osé me servir un breuvage aussi infecte ?
JEUNE PLOUC : (blasé) Cest un encrier remplis dencre maître.
SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Ah
heu , et pourquoi y faire tremper une plume ? Ca ne sert à rien une plume, ça ne se mange pas.
JEUNE PLOUC : (encore blasé) pour écrire.
SEIGNEUR MACHALOW : Cest donc cela lécriture ?
JEUNE PLOUC : (toujours blasé) Heu oui
SEIGNEUR MACHALOW : Bon et bien il parait que connétable cest une tache qui demande à souvent écrire, tu va donc avoir du pain sur la planche
JEUNE PLOUC : (surpris) Comment cela maître, vous ny pensez pas ?
SEIGNEUR MACHALOW : (menaçant) Ho que si, tu écriras pour moi, et tu as intérêt à garder cela pour toi, sinon je tétripe.
JEUNE PLOUC : bien maître.
SEIGNEUR MACHALOW : Parfais, bon mon prédécesseur à til laissé une note pour maider à prendre mes fonctions ?
JEUNE PLOUC : Oui.
SEIGNEUR MACHALOW : Qui dit til ?
JEUNE PLOUC : « Je suis pas la, bon courage, jai trop la flemme de técrire un état des lieux, dédéfection toi ma poule »
SEIGNEUR MACHALOW : (furieux) Quel crétin, et ça nous avance guère.
JEUNE PLOUC : Sinon il y a un vieux guide poussiéreux.
SEIGNEUR MACHALOW : Ah voila qui est intéressant, tu me le lit ?
JEUNE PLOUC : « La connétablie pour les nul »
SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Ca commence déjà fort
JEUNE PLOUC : « Donc pour lIG seulement. Pour les mandats, passez par la V2. Pour les enveloppes au prévôt, passez par la V3. Attention, il y a un bug dans lachat des marchandises pour la V2 et V3. Pensez à faire bosser les douaniers, et payer les loups. Attention, sil y a fermeture des frontières, vous devrez accorder ou refuser des laissez-passer. Pour plus defficacité, je tirais à pile ou face, à vous de voir »
SEIGNEUR MACHALOW : Je nai pas compris V2 et V3
JEUNE PLOUC : Moi non plus seigneur Machalow.
SEIGNEUR MACHALOW : On avisera. Bon pour la fermeture des frontière et les laissez-passer, pile ou face, cest quand même une chance sur deux de les accorder avec toutes les démarches chiantes à faire. Moi je vais faire plus simple, laisser croire que lon statut dessus, puis les refuser systématiquement, sauf ceux que ma suzeraine veux accordés. Comme cela, pas trop de labeur, pas de risque et pas dennuis.
JEUNE PLOUC : Sauf que maître vous devrez envoyer une missive pour chaque laisser-passez refusés aux chefs des armées, pour quils guettent déventuelles fraudes.
SEIGNEUR MACHALOW : (frustré) Mince, javais oublié ! Dire que cette procédure a déjà été approuvée par la duchesse. Je sens que je vais vite en avoir raz le cul.
JEUNE PLOUC : Maître, votre langage
Demain, Date :
Nouvelle duchesse, nouvelle alégeance. Et qui dautre quun vassal pour porter les courrier dalégeance à sa suzeraine, tel un vulgaire messager ? Machalow et sa frustration de nêtre que seigneur, cest demain, en toournant la page.
Page 4 [au château de Reims, le lendemain] (Sur lair de tournes les violons de Goldman) Grand évènement au château il ny a peu longtemps, les belles et les beaux nobliaux noble sang, de toute la champagne on vient prêter serment, pleuvent les flatteries pour la grande duchesse, oh pleuvent les flate- riiieeeeees. UN JOUEUR CHIANT : Je crois que la, on atteint la perfection
du ridicule.
MANUEL : Cest un peu le but dune parodie.
UN JOUEUR CHIANT : Tu nes pas obliger de nous casser les oreilles en chantant faux
MANUEL : Tes pathétiques remarques coulent comme leau de la pluie sur limperméable de mon indifférence.
UN JOUEUR CHIANT : hein ?
MANUEL : Laisse tomber, cest trop intellectuel pour toi. Bref, cest la cérémonie dallégeance de la noblesse champenoise. LA DUCHESSE ZIVA : Suivant !
Le seigneur Machalow sapproche et sincline posant genou au sol comme daccoutumé. LA DUCHESSE ZIVA : Machalow ? Tu na pas un titre suffisamment élevé pour prêté allégeance, que veux-tu ?
SEIGNEUR MACHALOW : Merci de me rappeler que je nai pas la classe. En fait je viens porter lhommage de la duchesse Dodoche.
LA DUCHESSE ZIVA : fais
SEIGNEUR MACHALOW : Den cest fait, la à linstant
LA DUCHESSE ZIVA : Heu tu na pas reçus de lettre de sa part ?
SEIGNEUR MACHALOW : Ah un bout de papier avec des gribouillis dessus ? Jai, mais jai rien compris. Dhabitude on me communique par dessin.
LA DUCHESSE ZIVA : (se tapant le plat de la main sur le front) Ah oui ! Joubliais que tu ne sais pas lire. Les gribouillis ce sont des
. lettres.
SEIGNEUR MACHALOW : Heu non, les lettres, cest du papier dans une sorte de grand papier plié non ?
LA DUCHESSE ZIVA : (simpatientant) Cest aussi un alphabet. Des signes quoi !
SEIGNEUR MACHALOW : Un alfabais ? Des cygnes, je ny comprendrais jamais rien à lécriture.
LA DUCHESSE ZIVA : (moqueuse) Je ne te le fait pas dire Machalow. Bon tu me le passes ce fichu courrier ?
SEIGNEUR MACHALOW : (lui tendant la lettre de la duchesse dodoche) Voila
LA DUCHESSE ZIVA : Merci mon fidèle vassal
SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant) Vous ne pourriez pas mélever au rang de baron au moins ? Je suis tant désireux de pouvoir moi aussi mamuser avec les autres en prêtant allégeance.
LA DUCHESSE ZIVA : Jamais de la vie ! Apprend déjà à écrire. Et à assurer tes fonctions de connétable, jai ouïs dire quun artésien voulait passer nos frontières. Alors vas.
SEIGNEUR MACHALOW :
Tome XIII : [RP] Conte artésien Page 8 [Dans le bureau du connétable] La tension est à son apogée. Alors que la champagne fête ou défaite lélection de la duchesse Ziva au pouvoir, lArtois lui, soctroye comme nouveau dirigeant, Yeuxcreux, un membre des bêtises de Cambrais, ce groupe de mercenaire qui a jadis fait parler de lui à Reims. Les frontières entre ces deux duchés sont devenue fermés, et un blocus est établis à Compiègne, afin déviter le moindre passage clandestin destranger en terre champenoise par le nord. JEUNE PAGE : Seigneur Machalow, jai une demande de laissez-passer très étrange. Voulez vous y jeter un coup dil ?
SEIGNEUR MACHALOW : Hum, normalement on les refuse systématiquement, enfin, passe la moi jeune servant.
JEUNE PAGE : (lui tendant le parchemin) Tenez.
SEIGNEUR MACHALOW : (regardant le parchemin)
Lit la moi plutôt
JEUNE PAGE : (reprenant le parchemin) Alors voila ce que ça dit « Messire le connétable
SEIGNEUR MACHALOW : Cest moi
JEUNE PAGE : Oui cest normal, cest à vous que cest adressé.
SEIGNEUR MACHALOW : Je sais sot, quattends tu pour me lire la suite ? Que je te batte ?
JEUNE PAGE : « Mes salutations tout dabord, je sollicite votre bonté légendaire afin
SEIGNEUR MACHALOW : Ca fait à peine gros fayot, déjà je ne laime pas.
JEUNE PAGE : Cest une sorte de formule de politesse, maître, vous devriez essayer un jour. Ca aide parfois.
SEIGNEUR MACHALOW : Encore une remarque de ce genre et cest mon bouclier sur la tronche que tu auras en guise de politesse de ma part. Continue ta lecture crétin.
JEUNE PAGE : «
afin de vous demander un laisser-passez pour mon enfant. En effet, je suis engrossé dune porté de 1 petit garçon et ce dernier se trouve actuellement en Artois. Etant actuellement en Champagne je me trouve dans une situation forte déconvenable. Je sais que vous ne souhaitez pas séparer un enfant de sa mère, aussi, lorsque ce dernier naitra, pourriez vous lui donner le droit de me rejoindre en champagne. Il est de on sang et donc champenois. Merci de votre générosité »
SEIGNEUR MACHALOW :
JEUNE PAGE : Maître ? Vous ne dites plus rien
SEIGNEUR MACHALOW : Cest sorcellerie. Comment peut-elle connaître le sexe de son futur enfant ? Comment peut-elle le porter en elle en étant en Champagne et lui en Artois ? A moins décarter les cuisses sur la frontière. Cette pauvre fille est folle. Jette ce parchemin dans la cheminé, je nai que faire des histoires dune hérétique.
UN JOUEUR CHIANT : En fait, si tu nas pas compris, elle a le compte de son fils RP qui est né IG en Artois, et elle son compte est en Champagne. Il ny a rien de sorcier la dedans, cest juste le jeu qui est comme ça. Jdit ça moi, jdit rien.
MANUEL : Javais compris, mais pour ton information, je fais réagir mon personnage de façon RP face à une demande RP. En fait faut juste que le joueur du ftus me fasse une demande HRP.
UN JOUEUR CHIANT : OK OK, cest juste pour tinformer au cas où tu sois aussi idiot que je ne limagine. Et je ne vois pas en quoi cest plus RP quun ftus écrit une missive, mis à part pour emmerder la joueuse. Enfin, fais comme bon te semble, libre à toi de passer pour un gros c****rd.
MANUEL : jassume et je te***********. Page 8 [Dans le bureau du connétable, une semaine plus tard] DOUNIERE CHIPONS : (alarmé) Messire le connétable ! Nous avons un problème singulier. Nos hommes
SEIGNEUR MACHALOW : Que se passe-t-il dame Chipons ?
DOUNIERE CHIPONS : (toujours alarmé) Nous avons arrèsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse snaguilonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.
SEIGNEUR MACHALOW : (suspicieux) Il me semble vous avoir répéter déviter la bibine pendant le service.
DOUNIERE CHIPONS : (sur la défensive) Je vous jure sur votre tête que nous sommes tous sobres !
SEIGNEUR MACHALOW : (méfiant) Humm, jai du mal à croire que ma tête vous revienne mais soit. Que dit cette
chose ?
DOUNIERE CHIPONS : Rien, elle ne parle pas
SEIGNEUR MACHALOW : Alors elle ne comprend pas le françoys. Sans doute un espion angloys. Fichez-la en procès, pour quon la condamne à mort.
DOUNIERE CHIPONS : (salut militaire) Bien messire le connétable.
Tome XIV : [RP] Procès dur. Page 2 [Sur les chemin de Champagne] Sur un chemin entre Troyes et Langres, une ombre file comme le vent, un sac bien remplis de son tout dernier méfait sur les épaules, son poignard encore à la main. Plus que deux miles avant la frontières bourguignonne. A ce moment la, à lui la liberté. Mais soudainement, une sorte de grand vortex surgi devant lui. Stoppant net sa course, il tente un demi-tour, pris de panique. Mais en vain. Lattraction est trop forte et le pauvre brigand est avalé en deux temps trois mouvements par ce long tunnel noir. Serait ce lenfer ? En tous les cas, instantanément, le brigand se retrouve debout, derrière une sorte de rampe en bois, devant un homme bien sapé, au regard autoritaire, et entouré dofficiers de la prévôté. LE JUGE : (un sourire sadique aux lèvres) Nous vous attendions messire Terreur_verte58634 !
TERREUR_VERTE58634 : (interdit) Ou
ou suis-je ?
LE JUGE : Vous êtes au tribunal de Champagne, accusé de brigandage.
TERREUR_VERTE58634 : Cest, cest sorcellerie, comment je suis arrivé ici ?
LE JUGE : Vous avez été arrèsté et mis en procès. A présent, la parole est au procureur
TERREUR_VERTE58634 : Attendez ! Je nai jamais été arrèsté, jai été
. aspiré, et je suis tombé ici. Marre des procès clic clic.
LE JUGE : (louchant de colère) Silence accusé !Vos propos sont hérétiques, et ce nest pas votre temps de parole. Messire le procureur, la parole est à vous.
LE PROCUREUR : (voix efféminée) Votre honneur, nous sommes réunis ici pour le procès de terreur verte58634, qui je dois avouer, à un nom bien affreux. Ses crimes ? Brigandage. Les preuves ? Et bien sa dernière victime, à pu mémoriser et retranscrire la fiche didentité complète, ce qui nous à permit grâce au bidet de le retrouvé et de lenvoyer en procès.
TERREUR_VERTE58634 : Cest quoi cette blague ? Le bidet ?
LE PROCUREUR : (voix efféminée) Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.
TERREUR_VERTE58634 : Je nai rien fait, cest faux, cest un mensonge, et
LE PROCUREUR : Pourtant, les preuves sont indiscutable, regarder, ce screen.
TERREUR_VERTE58634 : Screen ? Cest quoi ? Je suis en enfer cest pas possible !
LE PROCUREUR : (voix efféminée) Hihihi, lautre hé, il sait même pas ce quest un screen ! Cette grande folle hihihi. Le screen messire, cest une impression dimage, traité avec peintre, et hébergé sur image shrek en général et en colonel, des évènements de la victime. En loccurrence, ce screen authentique indique : « 4h16, vous avez été raquetté par Terreur_verte58634. Hélas il a triomphé et a jeté votre corps misérable dans un fossé puant, après vous avoir shooté la gueule à coup de pompe et défoncé le coxis à coup de
»
LE JUGE : Cest bon procureur, inutile de rentrer dans les détails. Bref. Raquette avec violence, vous serez, attendu que vous êtes un gros méchant récidiviste et communiste en plus, car tout habillé de rouge même les braies au moment des faits, condamné à la lourde peine de 2 jours de prison, avec autorisation de sortie en taverne, et 50 écus damende. Que justice soit faite.
TERREUR_VERTE58634 : Ah, bon daccord. Javoue que ça me va, parce que jai à présent plus de 2000 écus volés sur moi alors
enfin, hem
LE JUGE : (grimaçant) Ouais cest bien peu cher payer pour quelquun qui en plus, écoute Laurie !
TERREUR_VERTE58634 : hein ?
LE JUGE : (accusateur) Ne niez pas ! Vous avouez écouter Laurie sur votre fiche.
TERREUR_VERTE58634 :
Tome XV : [RP] Connétablie Page 15 [Au nord des murs de Compiègne] SOLDAT 1 : Moi jdit, qula duchesse, za quà se faire cuire un uf.
SOLDAT 2 : Ouais, farpaitement, elle nous prend pour des demeurés, mais on nest des professionnels nous
hips.
SOLDAT 1 : Ouais, des héros même. Pas comme cet abrutis de connétable, qui vient nous donner des leçons de loyauté.
SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?
SOLDAT 1 : Et comment ! Santé et gloire aux louveteaux !
Pendant ce temps, dans la tente du commandement CAPORAL : Nos hommes sennuient duchesse gwan
gwun gw...
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Apelle moi la duchesse du fromage de brie, ce sera plus simple. Ma nom est impossible à prononcer pour le commun des mortels, caporale.
CAPORAL : (septique) Dites toujours, duchesse du fromage de Brie.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : La duchesse Gwomenkhsaspronoz
CAPORAL :
En effet, je vais dire duchesse du fromage de Brie. Je disais que nos hommes sennuyent. Une bonne bagarre, cest ce quil leur manque. Bien que le Seigneur Marchais nous sollicite beaucoup pour punir ceux qui franchisent les frontières, mais bon quand les soldats boivent, cest quils nont rien dautre à faire.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Et bien voila qui tombe à point. Nous avons des estrangères qui sont signalées comme venant à notre rencontre avec ordre de la connétable de les repousser par la violence. On va enfin se dégourdir les bras, et surtout, avoir notre dose actuelle de sang
mouahahahahahaha !!!!!!!!!!!!!
CAPORAL : (Effrayé) Heu
vous allez bien ?
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (gênée) Hem
heu oui. Heu
pardonnez-moi. Dailleurs, nous nallons pas être les seules à intervenir. Larmé du 51 de la princesse Amora de Dijon est aussi prête à lassaut.
CAPORAL : (souriant) Du 51 ? Comme le pastis ? Jen ai la glotte qui dit bravo.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Infâme ignorant. Seul mon velours noir vaut le coup dêtre bu.
CAPORAL : Bon bon. Mais deux armées pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Non cest suffisant pour que se soit une orgie de sang, mouahahahaha !!!
CAPORAL : (blasé) Voila que ça lui reprend.
Page 15 [Au nord des murs de Compiègne ; plus tard] DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Chères soldates
UN JOUEUR CHIANT : Heu, cest normal que la duchesse parle toujours au féminin ?
MANUEL : Cest son tripe.
UN JOUEUR CHIANT : Je ne vois pas en quoi cest trippant.
MANUEL : Cest son caractère. Tu demanderas à LJD la duchesse Gwomenkhsaspronoz à loccasion.
UN JOUEUR CHIANT : Jai que ça à foutre daller parler psychologie des perso avec une joueuse qui veux se faire remarquer avec son RP. A moins quelle soit séduisante
MANUEL : Tu aurais une sacré surprise si tu la rencontrais héhéhé.
UN JOUEUR CHIANT : Hein ?
MANUEL : Non rien SOLDAT 1 : Tien voila le chef.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Dits donc soldate, pas de familiarité, tu mappelle Duchesse Gwomenkhsaspronoz.
SOLDAT 1 : (pouffant de rire) Prfff prfffffmouahahahahaha !!!! Tu parles dun nom affreux.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (dégainant son épée) Continue et je te pourfends.
SOLDAT 1 : (lui donnant une tape sur lépaule) Roooh, cest bon, reste cool et décontracte toi. Aller ! Je tinvite à boire un verre, je suis sur que tu me montreras ton adorable petit cul ensuite.
Mais la tête du soldat se met soudainement à rouler seule par terre. DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (rengainant son arme) Amadán*, le cul dune femme dAvalon nappartient à personne.
CAPORAL : Bon, duchesse de fromage de brie, avec tout le respect que je vous dois, lennemie arrive.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Alors déployez ma bannière afin que ces chiens tremblent devant ma devise !!!
CAPORAL : (lisant la bannière au fur et à mesure de son déploiement) « Ici ce nest pas meetic. Boulets, sabstenir !!! ». Heu vous êtes sur que cest une devise guerrière ?
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Damnaigh**, je me suis trompé. Bon tant pis. A lattaque !!!!!!!!!
Comme prévus, ce fut un massacre pour les 5 voyageurs. Du sang, encore du sang, plein de sang, toujours du sang, un incessant sang. CAPORAL : (fouillant les restes des voyageurs) défection, y a un blême. Duchesse du fromage de Brie ! Ils on un laissez-passer.
DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Comment ? Et ce trou du cul de connétable qui nous dit de les massacrer et qui leur donne un laissez-passer ? Qua-t-il fait encore comme gaffe cet imbécile ?
Pendant ce temps, dans le bureau du connétable. SEIGNEUR MACHALOW : (se grattant le crane) Flute ! Jai omis denvoyer un courrier pour que la duchesse Gwronmendalbatroz nattaque pas le convoi diplomatique qui arrive de lArtois.
JEUNE PLOUC : La duchesse Gwomenkhsaspronoz vous voulez dire ?
SEIGNEUR MACHALOW : (agacé) Oui bon ça va.
JEUNE PLOUC : (inquiet) Mais cest grave sils les attaquent ?
SEIGNEUR MACHALOW : (air grave) Cest plus que grave. Lavenir diplomatique en dépend.
JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?
SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.
JEUNE PLOUC : (étonné) Mais nest ce pas urgent ?
SEIGNEUR MACHALOW : (plein de sagesse) Tu apprendras quun noble, après un bon repas, à le devoir de faire une bonne sieste. Cest bon pour le transit il parait.
JEUNE PLOUC :
Page 15 [Mairie de Langres] SEIGNEUR MACHALOW : Comment ?
YANUB : Oui, le Commissaire aux commerces à été clair. Je ne peux pas te racheter les épées, pour les lui livrer par la suite. Il na apparemment pas lintention de dépenser le moindre sous des caisses ducales.
SEIGNEUR MACHALOW : Il y a trois semaines il ma donné carte blanche
YANUB : Il na sans doute pas prévu leffondrement des mines.
SEIGNEUR MACHALOW : Evidement, et mes épées forgées à mes frais, jen fais quoi ?
YANUB : Ni la mairie, ni le duché ne te les reprendront.
SEIGNEUR MACHALOW : En clair je peux me les mettre bien profond quoi.
YANUB : Ben tu en fais ce que tu veux, cest tes épées.
SEIGNEUR MACHALOW : Mouais. Bon.
MANUEL : Dailleurs je les ai encore en stock, 240 écus pièces.
UN JOUEUR CHIANT : Tes aussi opportuniste et radin que ton perso.
MANUEL : Ben quoi, on ne sait jamais, si un jour le duché de champagne en as les moyens
. Hem
. Bon jai rien dit
YANUB : Au fait, jai trouvé ton geste bien courageux, de te punir dun exil de 60 jours, suite à ton erreur de laissez-passer. Je suis sur que les 5 gugusses massacrés par une frénésie de 50 soldats ivre mort et en rute à ta stoïque demande, te trouveront courageux.
SEIGNEUR MACHALOW : Ah oui ? Merci bien. Yen as un qui ma écrit « tu fais bien de fuir ». Tu pense que cest un remerciement ?
YANUB : (pas convaincue)
Sans doute
.
Tome XV : [RP] Tavernades et drôleries Page 4 [Langres, à la taverne du repos du voyageur] JEUNE PLOUC : Maître, ce nest pas très honnête de votre part.
SEIGNEUR MACHALOW : Hey, je tiens ma parole, jôte mon épée et mon mantel et je quitte la luxure.
JEUNE PLOUC : Mais votre parole, cétait surtout un voyage de pénitence de 60 jours hors champagne. Or mon maître, ce nest pas le cas.
SEIGNEUR MACHALOW : Ho, jeune sot, si tu pouvais la fermer. Personne nen saura rien. Je reste dans cette taverne 60 jours caché sous ce scapulaire, personne ny verra rien.
JEUNE PLOUC : Heu seigneur Machalow, que vous vous cachiez dans votre propre taverne sous un déguisement, cest déjà sans doute risqué, mais vous mettre derrière le comptoir pour servir la clientèle, vous passez pour le propriétaire. Or cest exactement vous le propriétaire !
SEIGNEUR MACHALOW : Je prends le risque. Au moins, je fais quelques bénéfices. Jai congédié ma tavernière.
JEUNE PLOUC : Nous verrons.
JEUNE PLOUC : /me pense que le seigneur Machalow deviens gâteux.
VOYAGEUR DE PASSAGE : Dites, ce nest pas bien de traiter ce noble de gâteux.
SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ?
JEUNE PLOUC : Hey ! Doù tu peux lire dans mes pensés toi ?
SEIGNEUR MACHALOW : Hein ? jeune plouc tu dois faire erreur. Cest impossible. Seul le sans nom peut faire ainsi.
SEIGNEUR MACHALOW : /me pense que le jeune plouc est décidément très sot.
VOYAGEUR DE PASSAGE : Ah ben je comprends le petit, si vous le voyez toujours comme un débile.
SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ????
JEUNE PLOUC : Vous voyez ? Il recommence.
SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique. Ça veux dire que
(se tournant vers son jeune plouc) tu mas vraiment traité de gateux pignouf de gosse ? (donne un violent coupe de manche dépée sur le jeune plouc).
VIEIL HERMITE : Nécoutez pas ce vil homme, seigneur. Il pue lhérésie. Je men vais le combattre.
SEIGNEUR MACHALOW : Qui es-tu toi ? Présente-toi prestement !
VIEIL HERMITE : Je suis le
.. super chevalier du jet dail.
SEIGNEUR MACHALOW :
VIEIL HERMITE : Viens à moi imprudent importuneur de gens !
VOYAGEUR DE PASSAGE : Je tattends.
SEIGNEUR MACHALOW :
VIEIL HERMITE : /me bondi sur le voyageur poings en avant.
VOYAGEUR DE PASSAGE : /me évite lhermite et lui fait un croche patte
SEIGNEUR MACHALOW :
VIEIL HERMITE : /me saute pour éviter le croche patte et donne un gros coup de pied sur le visage du voyageur qui le projette en arrière.
SEIGNEUR MACHALOW :
VOYAGEUR DE PASSAGE : /me se rattrape sur une main, et de lautre, lance 15 coutels en 1 seconde.
SEIGNEUR MACHALOW :
VIEIL HERMITE : /me rattrape les couteaux avec les dents et dégaine son sabre laser.
VOYAGEUR DE PASSAGE : /me active son bouclier anti laser.
SEIGNEUR MACHALOW : /kick voyageur de passage
Voyageur de passage sort de la taverne. SEIGNEUR MACHALOW : /kick vieil hermite
vieil hermite sort de la taverne. JEUNE PLOUC : (se relevant) Bien joué maître. Voila enfin un peu de calme.
SEIGNEUR MACHALOW : Cest quils commençaient à me flanquer les pétoches, ces grands cons.
Page 5 [Langres, à la taverne du repos du voyageur ; le lendemain] SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Jeune servant, voyez ce client à la table en angle ? Et bien, il est fort à parier quil est bourguignon. Crois men, ça se voit tout de suite ceux qui ne sont pas des lumières.
JEUNE PLOUC : /me chuchote Vous et votre haine de la bourgogne, cela ne risque pas de vous porter tort ?
SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Je déteste, hais et pourfende qui je souhaite. Ce nest pas un pécore de ton espèce qui va me dicter ma conduite.
JEUNE PLOUC : /me chuchote Pardonnez moi maître.
CLIENT : Cest beau tout ce bleu.
SEIGNEUR MACHALOW : Quest ce que tu dis le bourguignon ?
CLIENT : Ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.
JEUNE PLOUC : /me chuchote Je dois avouer Maitre, que pour ce cas la, vous avez grand raison. Il semble très limité intellectuellement
SEIGNEUR MACHALOW : Du bleu ? Tu vois ou du bleu sombre crétin ? Tous est en bois vieux fou.
CLIENT : Ben vous parlez en écrivant en bleu. Dailleurs ce nest que des chuchotis.
SEIGNEUR MACHALOW : Sais-tu à qui tu tadresses le bourguignon ? Tu tiens des propos incohérents envers un noble seigneur, alors tais toi boit et payes ma bière.
CLIENT : Mais tu es con ou quoi ? Tu ne sais pas ce que cest que le bleu ? Houhou ! Cest une couleur. Retourne à la maternelle. Tu as écris en bleu des chuchotis ! Faut être profondément débile pour pas le voir et
couic.
SEIGNEUR MACHALOW : (rengainant son épée) Rappelle-moi de faire fermer définitivement nos frontières avec la bourgogne. Jen ai assez de leurs déchets.
JEUNE PLOUC : Cétait pas un bourguignon, il est de lorraine.
SEIGNEUR MACHALOW : Comment le sais-tu ? Il na rien dit de son origine. Moi je te dis quil est bourguignon.
JEUNE PLOUC : Ben, comme vous lavez fait avec le brigand sur les royaumes redondant 1, jai chouré ses papiers didentité, et lu sa fiche.
SEIGNEUR MACHALOW : Certes
Imparable
.
JEUNE PLOUC : Peut être devrions nous arrêter les chuchotis en public. Et plutôt utiliser la mésange ?
SEIGNEUR MACHALOW : La quoi ? La mésange ? Cest un piaf. A quoi veux-tu quil nous serve ?
JEUNE PLOUC : Non la mésange, cest le nom RP de MSN Messenger. Cest très pratique pour tchatcher entre nous sans que les autres entendent. En plus y a tout plein de smiley, jen ai même pris un avec une photo de Laurie.
SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique, tu es toi aussi un hérétique. Tu uses de propos hérétiques, tu utilises des objets diaboliques !!! Blasphèmeur !!!!!! Tu dois être brulé !! Un prêtre viiiiite !!!!!
JEUNE PLOUC : Pitié ! Pitié maître ! Promis, je nécouterai plus ses disques, je ne regarderai plus ses clips sur TPS.
SEIGNEUR MACHALOW : Bon soit, ça va pour cette fois, mais que je ne ty reprenne plus.
Tome XVI : [RP] Déclaration et confusion. Page 33 [Reims, Sur la place publique] SEIGNEUR MACHALOW : Bon pour une fois que tu as le droit de louvrir en public, fait ton devoir jeune servant. Crie mon annonce à toute la peuplade Champenoise
JEUNE PLOUC : Bien seigneur Machalow
Le jeune plouc monte alors sur un tonneau (il parait que cest très tendance à cette époque) et lit dune traite le parchemin quil tien entre ses petites menottes : JEUNE PLOUC : « Oyez ! Oyez ! Avis à toutes et toutes. Moi, Manuel dit Manu pour les intimes, 28 printemps, éducateur de jeunes enfants, que lon dit très charmant, propriétaire du domaine de la résidence de la flèche dor, plus particulièrement dun F2 dans une ville de 10 000 habitants de la banlieue nord de Paris, et auteur des Royaumes redondants, lance un appel à de potentielles prétendantes, souhaitant partager avec moi, amour gloire, et
non pas beauté forcément, mais rires et complicité et qui sait
, une vie bien remplis et une charmante petite famille. Intéressées contactez moi. ».
UN JOUEUR CHIANT : Nan mais je rêve ! Cest moi ou tu passes ouvertement sur ta parodie une annonce de rencontre HRP ? Sur un RP ? Cest pas toi qui dis que le RP et HRP ne doivent pas se mélanger ?
MANUEL : (prend un air malicieux) Oups, me suis trompé de document.
UN JOUEUR CHIANT : Cest ça, on te croit tous. Cest même plus de lopportunisme ça, cest du culot.
MANUEL : Bon ça va, tu ne vas pas me faire tout un procès ?
UN JOUEUR CHIANT : Non, juste que tu baisses dans mon estime, cest honteux ce que tu fais.
MANUEL : Ton estime ? Parce que je nétais pas déjà au plus bas depuis le début avec tes incessantes critiques ?
UN JOUEUR CHIANT : Si ! Mais bon, ça ne taideras pas à remonter.
MANUEL : Rien à foutre. SEIGNEUR MACHALOW : Manu, tu es vraiment un enfoiré !
JEUNE PLOUC : Mais maître, ce nest pas vous qui lavez écrit cette annonce ?
SEIGNEUR MACHALOW : Crétin, je ne sais pas écrire. Je faisais confiance au joueur derrière moi, Manu dit lenflure. Tu mentends lenflure ? Rend moi ma dignité !
UN JOUEUR CHIANT : Ouais, cest dégueux ce que tu fais à ton perso. Lui qui souhaite depuis toujours avoir sa digne descendance légitime et une épouse à honorer ? Ça tu ten fiche ?
MANUEL : Dans la mesure où ma vie HRP prime sur la vie RP de ma marionn
heu
de mon perso, aucun regret. Et moi, nai je pas droit davoir une femme à aimer et une charmante petite famille ? Machalow il sen fiche de ça ? Il sen fiche dautant plus quil nexiste quà travers mon clavier, et une série de 1 et de 0 qui se succèdent indéfiniment au cur dune machine appelé PC. Alors il peut se gratter.
UN JOUEUR CHIANT : égoïste
. SEIGNEUR MACHALOW : Ecoute moi bien le joueur qui me manipule ! TU crois avoir tout pouvoir sur ma vie, mais TU vas le regretter ! Je peux influencer mon IG. Pour preuve, à partir de ce jour, tu te feras régulièrement agresser sur les routes, et ne résistera plus à aucun brigandage.
MANUEL :
Sans doute est til à penser que le seigneur machalow a eu sa vengeance. En tous les cas, à chacun de ses voyages, cest un brigandage réussi quil se paye. Coïncidence ou malédiction ? Seul dieu, enfin, seul Aristote le sait
FIN [Crédits] Lauteur tien à remercier pour avoir été sa source dinspiration sans quils ne le sachent :
Notre ancienne grâce (cest fin non ?) la vicomtesse Siva, dans le rôle de la duchesse Ziva
La duchesse gwenhywar dans le rôle de la duchesse Gwomenkhsaspronoz
Lex douanière Chpiot dans le rôle de la douanière chipons
Lex mairesse de Langres Yunab, dans le rôle de Yanub.
Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc
Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow
Les loups de Champagne, avec le caporal, le soldat1 et le soldat 2
Le conseil Ducal daout/septembre 1457, avec le conseiller ducal
Mais aussi tous ces personnages bisounours sans qui le monde des RR seraient un eternel bain de sang, et ces quelques gentils boulet sans quoi les RR seraient dénué danachronisme dillogisme et de confusion RP/HRP.
Le procureur
Le juge
Le vieil Hermite
Le voyageur de Passage
Le client
Sans oublier nos méchants brigands sanguinaires ou autre organisations louches, sans lesquelles, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love.
Terreur_verte58634
Et enfin certain personnages auquel jai fait allusion, qui animent lhistoire des RR
Levan III
Les bourrins de Cambrai
Yeuxbleux
Pour finir Merci à notre LJD Lévan, pour ce magnifique jeu. * Imbécile
** Zut_________________