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Information and comments (7)

Info:
Les royaumes redondants ne sont pas vraiment du RP, mais plus une parodie de RP. C'est une caricature du jeu, dont l'auteur LJD Manu95, raconte avec humour et exagérations diverses scènes du quotidien de ce jeu, tant sur le plan IG, RP que en taverne. L'objectif est clairement de passer un bon moment à rire de situations cocasses (anachronismes, codages, rencontre en tavernes peu orthodoxes). L'aventure des royaumes redondants est vécue à travers deux personnages principaux, le seigneur Machalow et son jeune plouc de servant, qui réagiront à leur façon à toutes les rencontres étranges que tout perso à un jour faite dans le jeu. Bonne lecture

Les Royaumes redondants I II et III, + hors série 1

Manu95
Pour les censeurs (comme à chaque fois que je publie une parodie des royaumes redondant, je marque ne balise RP/HRP, conformément aux conseil de {Betty_boop}, par pure éthique et souci d'une meilleure conpréhention. en effet cette parodie n'est pas vraiment du RP, ni du HRP. Merci de votre compréhention.


SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ? Qu’est ce que tu m’annonces ?

MANUEL : Et bien, une entreprise, c’est comme une montgolfière, parfois, il faut savoir lâcher du lest.

SEIGNEUR MACHALOW : Hein ? C’est quoi ce charabia, ignoble que tu es ?

MANUEL : En clair c’est terminé, t’est viré. Je te fais mourir.

SEIGNEUR MACHALOW : Sale petit escroc ! Suppôt du sans nom !!! Traitre !!!! Comment oses-tu ?

MANUEL : Que les choses soient bien claires, tu n’es qu’un pantin qui s’articule et gesticule à ma demande. Tu n’existe que parce que je le veux bien. Tu n’es que le fruit de mon imagination et de ma plume, une création abstraite qui ne prend forme qu’à travers un langage crypté d la succession variée de 0 et de 1. Tu n’es que l’effet de l’excitation d’une impulsion électrique. Tu es née du mariage de mes doigts avec un clavier. Bref clair tu n’es rien, sans moi.

SEIGNEUR MACHALOW : (sidéré) …

MANUEL : Donc je peux disposer de toi comme bon me semble et te jeter dans les méandres de l’oubli d’un claquement de doigts.

SEIGNEUR MACHALOW : Et ma femme, et ma descendance ? Tu sais mieux que personne que je ne souhaite qu’espouse et descendance !!! Je refuse de mourir tant que tu ne m’as pas donné mon rêve.

MANUEL : (éclatant de rire) Mon pauvre ami, je partage exactement les mêmes aspirations que toi, mi à part une chose, tu as déjà une filotte, et tu n’es qu’un père indigne et maltraitant. Maintenant je souhaite me donner le temps de trouver ma moitié et de fonder ma famille, alors les rêves d’un personnage virtuel sans âme et enveloppe charnelle, j’en ai vraiment rien à carrer.

SEIGNEUR MACHALOW : (révolté) C’est si … égoïste !

MANUEL : Pas vraiment. D’une on ne peut pas être égoïste envers ce qui n’existe pas. De deux, mon aspiration passe avant bien des choses. Si j’ai une dulcinée, je lui consacrerais mon temps, donc je ne peux pas me permettre de te faire vivre. Et si j’ai des enfants, ce sera la même. Ce qui n’a jamais été ton cas. J’ai eu vent des misères de ta fille et de tes conquêtes et ce n’est pas joli joli. Et je ne parle même pas de ton pauvre jeune plouc.

SEIGNEUR MACHALOW : Si j’étais de chair et de sang, je t’aurai arraché la langue, éventré et pendu par les tripes. Et tu me feras au moins mourir en héros j’espère, tyrannique joueur.

MANUEL : De maladie.

SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ???? Et mon honneur ? Tu es un véritable fumier. Une ordure, un sous bourguignon… une défection …

MANUEL : Et puisque tu semble si courtois et orienté défection, ce sera le choléra. C’est vachement sympa tu verras, tu va avoir une diarrhée carabinée, au point d’avoir le fion comme écorché vif.
SEIGNEUR MACHALOW : Puéril en plus.

MANUEL : Mais avant d’en finir, je te rendrai hommage, en rediffusant les trois volets des royaumes redondant qui ont ait ta célébrité, et aussi tout à la fin un petit extra. On dit merci qui ?

SEIGNEUR MACHALOW : Va te faire voir.

MANUEL : Moi aussi je t’aime bien. Aller, lançons dès à présent l’intégrale des Royaumes Redondants !!!
_________________
Manu95
Les Royaumes Redondants©


Introduction … de quoi ? Hé bé, vous verrez bien…

An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants ….

UN JOUEUR CHIANT : heu tu veux dire les Royaumes renaissants non ?

MANUEL : c’est une parodie, tu connais la chanson, copyright, droit d’auteur, tribunaux et tout le tralala.

UN JOUEUR CHIANT : Ah !!! Je comprends maintenant Lavon Ier. En fait tu parodie lev ….

MANUEL : Ferme-la crétin fini, tu ne vas quand même pas pourrir mon œuvre dès l’intro ?

UN JOUEUR CHIANT : Ok j’me réserve pour plus tard.


C’est ainsi que commence l’histoire, d’une parodie qui se joue d’un jeu qui imite l’histoire …

Tome V page 12

Ouais, déjà le tome V et la page 12. Non mais vous ne croyez quand même pas que je vais me casser le cul à raconter, enfin parodier tous les RP de tous les joueurs du jeu des royaumes renaissant, non plus ? Ou alors je serais publié, après ma mort. Enfin pas moi mais mes textes qui seront publier après ma mort … vous avez compris ? Bon. Voila, donc je vais vous épargner tous les RP, et toute l’histoire de France enfin du royaume de France mais dans le jeu des Royaumes renaissants. Vous suivez toujours ? Non ? La fronde ça vous parle ? Oui je m’en doutais, Compiègne I les artésiens et Champenois qui se tapent sur la tronche allègrement, sans que les acteurs derrière leur écran ne bougent le cul de leur clavier. Ou non plutôt ne bougent le doigt de leur chaise. Enfin bon sans qu’ils ne s’arrêtent de taper. Oui parque les royaumes renaissant, enfin je vais dire les RR par ce que il est 4heure 15 du mat et j’ai la flemme de l’écrire en entier. Donc dans les RR c’est en fait des personnages racontés par des joueurs. Quand les personnages tapent sur leurs ennemis, ce sont en fait les joueurs qui tapent sur leur clavier. Les nouveau qui connaissent pas ce jeu ça vous donne envie d’essayer hein ? Avouez !!! D’ailleurs quand j’ai dit RP, en fait c’est Rôle Play que ça veux dire. Oui petit ? Tu me demandes …. C’est quoi Rôle Play ? T’a qu’à traduire. Bon, comme je sens que vous en avez marre de lire mes petits commentaires, je vais reprendre l’histoire que je veux raconter. Et pour me faciliter la tache et ne pas trop me tromper en interprétant mal les RP des autres, je raconterais celle de mon perso. Oui oui moi aussi je joue à ce jeu fabuleux.

Tome V : [RP] Devoir de Noblesse et Vassalité

UN JOUEUR CHIANT : C’est quoi ces crochets ?

MANUEL : Des balises pour dire que je fais du RP, que je joue mon perso en quelques sorte.

UN JOUEUR CHIANT : C’est vraiment nul ce truc.

MANUEL : C’est pour faire la différance entre les propos du joueur et ceux du personnage. De toute façon c’est obligatoire, sinon les sucreurs font disparaître ton histoire dans les oubliettes.

UN JOUEUR CHIANT : Les sucreurs ? Tu ne veux pas dire les censeurs plutôt ?

MANUEL : (murmures) Chut trou du cul !!! Tu oublis les copyrights ? (tout fort) Non non, les sucreurs

UN JOUEUR CHIANT : ben ils sucrent vraiment n’importe quoi …

MANUEL : Bon je peu continuer ?


Page 12 : [Routes entre Troyes et Conflans-les-sens, Avril 1457]

UN JOUEUR CHIANT : ben ça existe pas Conflans-les-sens !

MANUEL : Tu va continuer à me faire chier encore longtemps ?

UN JOUEUR CHIANT : C’est dans ma nature

MANUEL : Et ben, on n’est pas rendu …


Sur le chemin un homme bien habillé et un jeune garçon vêtu comme un vagabond marchent sur les grands chemins.

SEIGNEUR MARCHAIS : Jeune plouc, Haste toi, nous arrivons bientôt à la fin de nostre voyage

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, ça fait trois jours qu’on marche

UN JOUEUR CHIANT : Heu j’te coupe mais tu a bien dit seigneur Marchais ? Je croyais qu’il y avait un copyright pour tous ce qui touche les RR ? Tu aurais pu dire Seigneur Machalow.

MANUEL : tu rêves ! C’est mon perso, je m’autorise les droit d’auteur pour l’appeler par son vrai nom.

UN JOUEUR CHIANT : Et ton jeune page, c’est aussi ton perso alors, ton PNJ, pourquoi tu l’appelle jeune plouc ?

MANUEL : Par ce que j’en ai envie c’est tout. Je ne l’aime pas ce n’est pas ma faute non ? Bon maintenant me coupe plus.


SEIGNEUR MARCHAIS : Jeune plouc, attend moi ici, je dois aller me soulager.

JEUNE PLOUC : Oui mon maître

Le seigneur s’isole alors dans un sous bois. Le jeune page remarque au bout de la route deux hommes s’agresser.

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, Il y a une tentative de brigandage ! Vous devriez intervenir !

SEIGNEUR MARCHAIS : Non.

JEUNE PLOUC : Mais maître, avec tout le respect que je vous dois, vous êtes tenu par votre titre de protéger les faibles.

SEIGNEUR MARCHAIS : Silence jeune sot. Quand ton seigneur pissoys, sache qu’il ne faut point le déranger dans ses efforts !

JEUNE PLOUC : …

Mais nous, lecteur, allons regarder ce brigandage de plus près.

BRIGAND : Bonjour messire c’est pour un brigandage.

VICTIME : Bien. Veuillez vous présenter en répondant oralement aux questions qui figurent dans ce formulaire.

Le manant lit alors le formulaire et reprend la parole.

BRIGAND : Alors, je suis Terreur_verte58634, j’habite à Vendôme dans le duché de la Touraine. J’ai un champ de cochon et un champ de vache, et je suis charpentier. Je suis de Niveau trois et le joueur qui me joue moi aime … Les Pokémons, les télétobizz Laurie et les œuvres complètes de Freud.

VICTIME : Merci. Vous êtes autoriser à me brigander

BRIGAND : Avec plaisir….. vous vous défendez pas ?

VICTIME : Non mon coefficient de combat est de 2 et le votre de 5, et dans mes option de déplacement, j’ai coché me défendre que en si mon adversaire est moins fort que moi.

BRIGAND : Ah ? Bon tant pis … (prenant ses bien) Quoi c’est tout ? un sac de maïs et un caillou ?

VICTIME : Heu oui

BRIGAND : Bon maintenant les caractéristiques

VICTIME : Hein ?

BRIGAND : Ben oui, c’est les codages, je dois t’affaiblir et te faire perde les caractéristiques.

VICTIME : Humm … bon va z’y mais pas trop fort.

BRIGAND : (donnant un coup dans le ventre de sa victime) voila pour la perte de force

VICTIME : Ouille

BRIGAND : Pour l’intelligence, voyons hum … ah oui (donne un coup de poing sur la tête de sa victime). Et pour finir, le Charisme (donne un coup de pied à travers du visage de sa victime) Voila, avec une gueule pareille maintenant tu dois plus avoir grand charisme hahaha !!!!

VICTIME : …

Retournons voir maintenant du coté de nos héros.

SEIGNEUR MARCHAIS : (remontant ses braies et rattachant son mantel) La vache que ça fait du bien !

JEUNE PLOUC : Vous auriez pu intervenir non ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Pas envie.

JEUNE PLOUC : En tous cas regardez, il vient vers nous à présent.

BRIGAND : Tien tiens ; un noble. Voila d’quoi m’remplir les bources

SEIGNEUR MARCHAIS : Faudra d’abord me passer sur le corps, maraud

BRIGAND : J’vais m’gêner mon bon seigneur !!!!

Aussitôt un rude combat s’entame. Le brigand tente une attaque avec un bâton sur le seigneur mais ce dernier pare le coup avec les mains. Grace à une prise dont il à le secret, il met à terre son agresseur. Ce dernier repart bredouille après s’être excusé à genoux.

JEUNE PLOUC : Vous ne l’avez pas tué ? Ni amocher ? Vous êtes souffrant maître ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Non rien à voir. Ca aurait été de moi il serait mort, ou dans un état critique. Mais c’est les codages, On peut pas faire de mal à un agresseur qui nous brigande. On lui pardonne automatiquement, contre sa volonté. Ils appellent ça le bisounoursisme.

JEUNE PLOUC : Et vous n’avez point usé de votre épée.

SEIGNEUR MARCHAIS : pas codée non plus pour les brigandages

JEUNE PLOUC : Ou va me monde

SEIGNEUR MARCHAIS : Je te l’fait pas dire. Mais ne te fais point de souci, regarde ce que j’ai réussi à lui prendre : ses papiers d’identités. J’ai tout dessus. Nom, lieux d’habitation, champs, âge, date de naissance, niveau, biographie, numéro de son permis de cheval. (fronçant les sourcils à sa lecture) Par contre y a un truc que je comprends pas …

JEUNE PLOUC : Quoi ?

SEIGNEUR MARCHAIS : c’est qui Laurie ?

Page 13 : [Taverne de Conflans-les-sens, plus tard]

MANUEL : Et si il y en a encore un qui me dit que Conflans-les-sens ça n’existe pas je l’étripe.

JEUNE PLOUC : Vous n’trouvez pas que ça fait du bien de faire une halte dans une auberge seigneur Marchais ?

SEIGNEUR MARCHAIS : (sur un ton sévère) Encore une remarque et je te pends par les boyaux sur la place publique. Nous sommes attendus et nous devons faire halte juste pour un servant qui n’est point capable de rester à jeun plus d’une semaine.

JEUNE PLOUC : …

UNE FEMME : (outré) Une semaine sans manger ? Vous ne vous faites pas chier monsieur. Et puis vous avez vu comment vous parlez à un enfant ? le pauvre petit trésor, si fragile. Vous allez le traumatiser. Il a besoin d’attention d’amour, d’affectivité de loisirs, de respect, de …

SEIGNEUR MARCHAIS : (agacé) Ferme ton museau femelle. Ce n’est pas une pécore de paysanne qui va me dire ce que j’ai à faire. Sais-tu seulement à qui tu ose parler ?

UNE FEMME : (remontée) Un macho ! Ouai, parfaitement môsieur. Croyez vous que les femmes se soient battues pour l’égalité des sexes pour se faire insulter par des types comme vous ? Croyez vous que l’on a fait mai 68 pour rien ? On est en démocratie ici môsieur !

SEIGNEUR MARCHAIS : Démocratie ? 68 ? Tu es folle à lier misérable gueuse. Je t’aurais bien coupé la langue pour ne point entendre tes propos hérétiques.

Un jeune homme entre alors dans la taverne.

JEUNE HOMME : Salut ! Coucou mon cœur !

UNE FEMME : Mon amourrrrr j’étais si triste de ne pas te voir. Je t’aiiiiime

Les deux s’embrassent sur la bouche, même qu’ils mettent la langue en plus…

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : Beurk

L’homme caresse le dos de la femme.

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

La femme prend la main de l’homme puis monte sur ses genoux.

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

JEUNE HOMME : Je t’aime ma chérie

UNE FEMME : Moi aussi mon sucre d’amour

SEIGNEUR MARCHAIS : …

JEUNE PLOUC : …

UNE FEMME : Au fait, les bébés vont bientôt venir.

JEUNE HOMME : C’est vrai ? ça fait 8 mois maintenant.

UNE FEMME : Oui. Ce sera une fille et un garçon

SEIGNEUR MARCHAIS : (hausse un sourcil)…

JEUNE PLOUC : (écarquille les yeux, bouche béante)…

JEUNE HOMME : Oh des jumeau ? Quelle bonne nouvelle !!!

SEIGNEUR MARCHAIS : (mielleux) Vous voulez dire que votre femme, est engrossé d’un futur fillot et d’un futur fillote ?

JEUNE HOMME : C’est ça pourquoi ? Vous parlez de façon bizarre quand même.

SEIGNEUR MARCHAIS : Des hérétiques !!!!!! Ce sont des hérétiques !!! Jeune servant empresse toi d’aller recourir à un inquisiteur !!!

JEUNE HOMME : Holà calmez-vous. Tenez, il parait que la musique adoucie les mœurs

L’homme encastre alors une sorte de boule blanche dans deux trous du mur. Ce bout blanc est relié à une étrange cordelette, elle-même lié à une grosse boite. Une musique diabolique sort alors de cet instrument du sans nom.

SEIGNEUR MARCHAIS : C’est sorcellerie !!!!!!!!!

JEUNE HOMME : (haussant les épaules) Mais non c’est un juke box.

Mais le seigneur Marchais déjà dégaine son épée, et fracasse l’objet du malin. Puis d’un geste rageur, pointe son arme sur les deux hérétiques, qui fuient sans demander leur reste.

SEIGNEUR MARCHAIS : Partons. Quittons cette antre du sans nom. L’air est irrespirable ici.

JEUNE PLOUC : Oui seigneur Marchais. J’ai hâte d’être chez la baronne de mont-sur-rail et de val, de vau de … de …

SEIGNEUR MARCHAIS : De la ville morte, sot. La baronne de mont sur rail et de la ville morte, Maitresse de la grande maison des champs mourant, et ma suzeraine avant tout. Allons ne trainons point. Et je ne veux plus entendre parler d’une halte.

JEUNE PLOUC : Oui maître.

Page 14 : [Baronnerie de la Ville Morte, 3 jours plus tard]

JEUNE PLOUC : Heu vous êtes sur que vous allez transporter cela à Langres ?

SEIGNEUR MARCHAIS : C’est ma suzeraine qui me l’a demandé personnellement. Langres a besoin de fortifier ses remparts et il en faut du matériel pour ce faire.

JEUNE PLOUC : Oui mais quand même 230 quintaux de pierre, sans compter que vous transportez aussi vos affaires personnelles, 56 rames et deux barques …

SEIGNEUR MARCHAIS : Ben les barques me sont tombées sur la tête pendant une sieste, est ce de ma faute ? Elles sont à moi, donc je les ramène à Langres.et puis on à le droit dans les codages de transporter 255 marchandises de chaque denrée il me semble, alors je ne dépasse pas le plafond légal.

JEUNE PLOUC : Oui mais seigneur Marchais, ça va être un peu lourd pour vous non ? Même trop ? C’est impossible à transporter tout cela sans vous blesser.

Le seigneur Marchais réfléchis

SEIGNEUR MARCHAIS : Tes paroles sont pleines de bon sens jeune servants. Tu as raison. Il me serai dommageable de vouloir transporter toute cette charge moi-même. J’admire ta clairvoyance et ton courage de te proposer avec tant de spontanéité à faire cette besogne.

JEUNE PLOUC : Mais mais mais …

SEIGNEUR MARCHAIS : Tu es loyal et dévoué non ?

JEUNE PLOUC : …

SEIGNEUR MARCHAIS : Bon allons y, la route nous attend.

JEUNE PLOUC : Seigneur Marchais, vous ne craignez pas que des brigands ne tentent de piller vos bien ? ils pourraient tout vous prendre ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Bien sur, ou avais je la tête. Mais j’ai plus d’un tour dans mon sac vois-tu ? Regarde !

Le seigneur Marchais exhibe fièrement une feuille de parchemin.

JEUNE PLOUC : C’est quoi de truc, un morceau de papier ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Ignare, c’est un mandat. Un mandat ducal. Les brigands ne peuvent pas voler un bout de papier n’est ce pas ? Ca n’a aucune valeur donc ils ne le prennent pas.

JEUNE PLOUC : oui et alors ?

SEIGNEUR MARCHAIS : Et bien jeune sot, il me suffis de mettre tous mes biens dans ce mandat.

JEUNE PLOUC : …

SEIGNEUR MARCHAIS : Regarde comme ça

Le nobliau accole alors le bout de parchemin sur le paquetage de 13,2 tonnes.

JEUNE PLOUC : (pas convaincu) C’est sur que comme ça, on ne peut pas deviner que vous transportez des choses de valeurs.

SEIGNEUR MARCHAIS : Et oui, en Champagne nous sommes toujours très ingénieux.

Page 15 [Taverne de Troyes, 2 jours plus tard]

MANUEL : Bon en raison de protestations et d’accusations de partialité et de favoritisme, le seigneur Marchais sera en vertu des règles de copyright, renommé pour cette parodie, le seigneur Machalow.

JOUEUR CHIANT : Ah ben c’est pas trop tôt

MANUEL : Toi ferme la avant que je t’en foute une.

JOUEUR CHIANT : Oh bon ça va hein ?


SEIGNEUR MACHALOW : Encore une halte en taverne. Cela deviens une habitude. Tu n’est vraiment pas bien solide.

JEUNE PLOUC : Seigneur Machalow, excusez moi d’être faible.

SEIGNEUR MACHALOW : Bon soit. On va trouver une solution au problème. Tavernier !!!!!!!

TAVERNIER : Oui noble seigneur ?

SEIGNEUR MACHALOW : Dite moi, y a-t-il moyen de vous acheter un canasson pour remplacer mon inutile servant ?

TAVERNIER : Ah que c’est bien possible noble seigneur. J’ai justement moi-même un beau bestiaux, bien robuste, et travailleur, vous ne pouvez pas imaginez.

SEIGNEUR MACHALOW : Parfais, votre prix sera le mien, mais attention, si est trop haut, je vous tranche la main.

TAVERNIER : Loin de moi l’idée de vous escroquer noble seigneur. Alors pour un bon cheval disons pour une vingtaine de jours la location, ce sera …. 3€00 par SMS, plus le prix d’un SMS.

SEIGNEUR MACHALOW : (écarquille les yeux) Comment ? je ne comprend rien

TAVERNIER : Oui noble seigneur, pour utiliser un cheval dans les RR, c’est un allopass. Vous avez bien un portable ?

SEIGNEUR MACHALOW : (le regard méfiant)… Vous parlez comme un hérétique

TAVERNIER : Bon heuuu, que direz-vous alors de 4 euro 50 ?

SEIGNEUR MACHALOW : (dégainant son épée) Les hérétiques ne doivent pas vivre.

TAVERNIER : Bon bon oui heuuu alors 4 écus et 50 deniers, noble seigneur !!!

SEIGNEUR MACHALOW : (rengaine son épée) Je préfère. C’est même très bon marché tavernier. Voila une offre généreuse. C’est bien rare mais très agréable de voir un pécore se soucier du bien être financier des nobles.

TAVERNIER : Allons bon arrosons tous cela !!!!!!!!!!

Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
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Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.
Tavernier offre une tournée générale.


SEIGNEUR MACHALOW : *hips* Vous êtes *hips* complètement *hips* fou ? Autant de chopine *hips*de bière *hips* à me faire boire ?

TAVERNIER : Ah ben ça, si vous y avez oublié d’y cocher la chope, ci est pas ma faute à moi.
SEIGNEUR MACHALOW : Cocher *hips* une choppe*hips* ? tu tien des *hips* propos bien *hips* étrange.

TAVERNIER : Non non je vous assure, si vous cocher la petit image de choppe en haut à droite de votre fenêtre taverne, vous ne buvez plus de bière mais de la tisane. Les tavernes c’est bière ou tisane, au choix

SEIGNEUR MACHALOW : …

JEUNE PLOUC : (rigolant) C’est marrant seigneur marchalow, vous hipsez !

Le seigneur Machalow : refile un violent coup de poing, décrochant la mâchoire de son jeune serviteur. Ce dernier s’effondre sur le sol.

SEIGNEUR MACHALOW : ’est *hips* marrant petit *hips* impertinent, tu *hips* pissoy le *hips* sang. (à l’adresse du tavernier) Bon et *hips* toi sale escroc, *hips* je vais te régler *hips*... je … je …*hips* ….

Et le seigneur Machalow s’effondre sur la table, ronflant bruyamment.


Tome VI : [RP] La bataille de Langres

page 3 [Devant les remparts de Langres, après midi du moi d’août 1457]

SOLDAT : On va attendre encore longtemps ?

SEIGNEUR MACHALOW : je n’en sais rien. J’ai ouï dire que leur petite troupe n’était pas loin de nous, au sud, en Bourgogne.

JEUNE PLOUC : C’est un peu la même mission que lorsque vous avez intercepté le dangereux groupe des vers luisants, seigneur Machalow ?

SEIGNEUR MACHALOW : Exact. C’est aussi une mission d’interception, comme celle que la princesse Amora nous avais confié avec ces vils vers luisants.

SOLDAT : La princesse Amora ? Amora de Dijon ?

SEIGNEUR MACHALOW : De Dijon je ne sais pas mais c’est une bourguignonne en effet.

JEUNE PLOUC : Et vous acceptez des ordres d’une bourguignonne maintenant ?

SEIGNEUR MACHALOW : Non, c’est de la princesse de France que je les accepte, jeune sot.

SOLDAT : Et vous n’êtes pas inquiet des actions politiques des Bêtises de Cambrai ?

JEUNE PLOUC : Les Bêtises de Cambrai ?

SEIGNEUR MACHALOW : Les bêtises de Cambrai, c’est les mercenaires qui ont bourriné le château imbécile. Tu ignorais ça ? Et non je ne m’en souci pas pour l’instant. Le plus grand danger vient du sud.

JEUNE PLOUC : S’ils sont aussi nombreux que les vers luisants lorsque vous les avez arrêtés, ce n’est pas trop un danger

SEIGNEUR MACHALOW : Humm ils sont sensiblement plus nombreux cette fois. D’ailleurs je comprend pas pourquoi ont nous à ôté des soldats pour Dijon.

SOLDAT : pointant du doigt vers l’horizon) Maréchal, c’est cela que vous appelez sensiblement plus ?

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant l’horizon) oh la vache !!!! Les bannières de nos ennemis sous une cinquantaine d’hommes. Mais c’est pure folie !!! on sera jamais assez nombreux. Jeune plouc, va vite mettre Cornette à l’abri au domaine Machalow.

JEUNE PLOUC : Mais Maître, vous allez mourir, laissez moi vous aider, j’ai un arc et …

SEIGNEUR MACHALOW : Protège ma fillote crétin !!! Et puis je préfère pas que tu nous aide, tu vise comme un pied. Je ne veux pas que tu massacre plus de soldats de notre armée. On est déjà tous vouer à une mort certaine de toute façon, pas besoin de l’accélérer.

SOLDAT : …

JEUNE PLOUC : Oui maître

Puis le jeune page s’enfuit en courant

SOLDAT : (tremblant) Maréchal, si vous voulez, je peux laisser votre page combattre. Vous savez, on n’a pas d’archer, ça peut aider un archer. Et je me chargerait de votre fille …

SEIGNEUR MACHALOW : Tu reste ici. On va mourir pour la Champagne, c’est une belle mort crois moi.

SOLDAT : (marmonnant dans sa barbe) moi je préfèrerais vivre pour le déshonneur de la Champagne mais bon …

SEIGNEUR MACHALOW : Plaît-il ?

SOLDAT : (pâle) Non non, rien, j’ai rien dit.


Page 4 [une heure plus tard]

Les hurlements des soldats sur le champ de bataille clamant force et honneur, le courage des vaillants champenois face à l’ennemi, la sueur coulant sur les visages crispés, déformé par la rage, le tout sur la symphonie les tintements des épées … est loin de la scène qui se déroule sous vos yeux. En fait imaginez 8 hommes chargés et piétinés par un troupeau de buffles enragées. Vous y arrivez ? Et bien c’est exactement cela. Piétinés, massacrés. L’armée de défense de langres a été une vraie mascarade. En vain, le seigneur Machalow hurle de tout cœur « ola vaillant soldats, tenez vous position, serrez les rangs !!!! pour le royyyyyyyy !!!!! » dont la traduction contemporaine serait proche de « pt’in les mec, héééé, hoooo héé ! Mais non, vous barrez pas !!!! Hééé ho me laissez pas tout seul !!! mamaaaan !!! », afin d’encourager les restes de ses troupes. Oui les restes de ses troupes et non pas le reste de ses troupes. Il y a une nuance que j’en suis sur, vous cernez très bien. Bref au final, le bilan est désastreux, mais le duché de Champagne veille bien à féliciter le courage de ces soldats, pour s’être sacrifiés, et précise que la champagne se porte très bien …. C’est hélas pas le cas de tout le monde. Le seigneur Machalow est fait secrètement prisonnier à l’écart du camp.

MYSTERIEUSE BRIGANDE : Es-tu en état de parler ?

SEIGNEUR MACHALOW : J’ai pris 23,7 coup d’épée dans le bide et sur la tête, mais sinon ça va, je peux parler.

MYSTERIEUSE BRIGANDE : Parfais.

JOUEUR CHIANT : Attend après tout ça, il n’est pas mort ? C’est truqué.

MANUEL : bienvenue dans les RR, ou mourir équivaux à 45 jour d’arrêt maladie.


La brigande interroge le seigneur Machalow pendant des heures, puis le laisse gisant sur le sol.

MANUEL : (hurlant) d’ailleurs à ce jour, RP parlant on l’a pas encore retrouvé mon seigneur bordel de défection !!! Quoi je gueule ? Oui et alors !!! J’ai le droit non ? ça fait 50 jour qu’il gis dans un bois de défection, avec une odeur de défection, des fournie de défection, des rapaces de défection et un soleil de défection, enfin si il attend l’hiver le soleil de défection le fera plus chier au moins. Mais bon, défection à la fin !!!

MANUEL : …



Page 5 [Marcher de Troyes, 2 jours plus tard]

Une baronne traverse la foule, à la recherche d’une petite tête. Le petit serviteur de son vassal est dans le coin avec sa fillote, lui a-t-on appris il y a quelques instants. Aussi elle cherche. Sans aucun doute au vu de la générosité du seigneur, le pauvre servant dois avoir tout juste de quoi se payer un grain de maïs. Soudain, entre deux tamago, elle l’aperçoit en compagnie de Cornette, la petite fillote de Machalow.

JOUEUR CHIANT : Heu comme ça au passage, c’est quoi un tamago ?

MANUEL : Un personnage joué par un joueur qui ne fait pas de RP, qui ne fait que le IG

JOUEUR CHIANT : IG ? j’ai rien compris

MANUEL : Ca ne m’étonne pas. Mais ne comptes pas sur moi pour t’expliquer, tu lis la fac le guide, tu va emmerder les autres dans « Je ne comprends pas » et tu me laisse poursuivre, c’est clair gros boulet ?

JOUEUR CHIANT : (murmures) Petit con ….


LA BARONNE ZIVA : Ah te voila, je te cherchais Jean.

JEUNE PLOUC : Oh ! Baronne de la vau, de vaaa

LA BARONNE ZIVA : De la ville morte et de mont sur rail. Inutile de répéter, tu as l’air idiot à bégayer ainsi.

JEUNE PLOUC : …

LA BARONNE ZIVA : Conte moi les mésaventures de ton maître, je suis fort inquiète à son sujet. Son armée ne donne plus signe de vie.

JEUNE PLOUC : Il m’a demandé de m’occuper de Cornette. Moi je préfère tirer à l’arc, je ne suis pas nourrice, mais il m’a traité de crétin, enfin comme d’habitude …

LA BARONNE ZIVA : Certes, mais mon vassal.

JEUNE PLOUC : … Et elle n’est pas facile parfois la gamine, elle n’a que cesse de réclamer son père, mais si je l’amenais vers lui, il, enfin son cadavre m’aurait tué …

CORNETTE : …

LA BARONNE ZIVA : (étonné) Son cadavre ?

JEUNE PLOUC : Ah heu oui, son cadavre. Enfin ils étaient très nombreux, et je crois que le seigneur Marchais, ne pouvais pas s’en sortir.

CORNETTE : (choqué) …

LA BARONNE ZIVA : (très inquiète) Pourrais-tu être plus précis Jean ?

JEUNE PLOUC : Et bien ils étaient 23 sur lui, enfin 24 si on compte un nabot de 3 pied de haut …

LA BARONNE ZIVA : (agacé) un peu comme toi …. Abrège

JEUNE PLOUC : (hurlant) Il l’ont tous transpercé !!!!!! Il pissoyait le sang, il y en avait partout !!!!!!

CORNETTE : (tétanisée) …

LA BARONNE ZIVA : (gênée) Heu petite cornette, tu veux pas t’acheter une jolie pomme bien juteuse ?

CORNETTE : (tétanisée) …

LA BARONNE ZIVA : (encore plus gêné) il y a un étal la bas, je te donne les écus nécessaire et …

JEUNE PLOUC : (étonné) je crois qu’elle est bloquée. Ça arrive parfois en taverne.

LA BARONNE ZIVA : (soupirant) je crois surtout que tu as été légèrement maladroit (murmurant pour elle-même) pour ne pas dire totalement abrutis.

JEUNE PLOUC : ah.

UN TROYEN : Hey salut Ziva,

LA BARONNE ZIVA : (fâché) Toi, parles moi encore avec cette familiarité et je peux t’assurer que je me chargerais de te faire connaître le mot noblesse d’une façon que tu n’apprécieras surement pas.

UN TROYEN : (penaud) Mes excuses, noble dame.

LA BARONNE ZIVA : Pourquoi viens tu me parler ?

UN TROYEN : Rien, pour faire la conversation … Tien par exemple j’ai vu votre vassal, le seigneur Machalow tout à l’heure.

LA BARONNE ZIVA : Comment ? c’est impossible ! Vous avez trop bu mon cher

UN TROYEN : Si si, sur Mésange

JOUEUR CHIANT : Mesa…

MANUEL : (coupant la parole) La ferme.


LA BARONNE ZIVA : vous êtes bon à enfermé

UN TROYEN : Mais je vous assure baronne que

LA BARONNE ZIVA : Continuez à raconter n’importe quoi sur mon pauvre vassal et je vous fais enfermer.

Le Troyen s’enfuit alors aussi vite qu’il le pu

LA BARONNE ZIVA : Bon quand à toi Jean, prend Cornette avec toi et file au domaine de la ville morte.

JEUNE PLOUC : Oui baronne de …de … heu … oui madame. Aller, venez demoiselle Cornette, il est temps d’y aller.

CORNETTE : …

JEUNE PLOUC : Demoizelle Cornette ?

CORNETTE : …

Le jeune plouc saisie alors la petite fille et la porte sur ses maigres épaules.

LA BARONNE ZIVA : Veille à ne pas te faire du mal en la portant Jean.

JEUNE PLOUC : ça va, j’ai l’habitude. Mon maître ma fait porter plus de 13 tonnes de marchandise il y a peu.

LA BARONNE ZIVA : (choqué) …


Page 6 [Baronnerie de la Ville Morte, le lendemain]

JEUNE PLOUC : Nous voici arrivé maîtresse. Vous allez pouvoir aller vous dégourdir les jambes. (murmure) Et moi être enfin tranquille.

CORNETTE : Z‘veux pas. Z’veux papa !

JEUNE PLOUC : (blasé) Votre père, heu à fort à faire en ce moment.

CORNETTE : Z’veux papa

JEUNE PLOUC : (toujours blasé) il est à Langres vous savez il doit, gérer ses terres.

CORNETTE : Menteur il est pas à Langres !!! Z’veux – mon- pa - pa !!!

JEUNE PLOUC : (encore blasé) Oui bon ben papa est occupé à enlever les 23 épées qui lui transpercent le corps. Il reviendra une fois qu’il se sera décloué du sol. Même si c’est dans une grande boite en bois. Mais je te le promet. La Baronne Ziva va le chercher.

CORNETTE : (boudeuse) Z’veux maman.

JEUNE PLOUC : (murmure) Elle ne s’arrête jamais … (plus fort) Votre maman, elle a … hum crevée dans un incendie, ou alors heu par une maladie, ou par saignée. En fait votre père a eu tellement de femme que j’ai du mal à me souvenir lesquelles sont morte de quoi.

CORNETTE : (en larme) bouuuahhhhhhhhh ouuinnnnn ma maman !!! mon papa !!! maman !!! mon papa !!! ma maman !!! mon papa !!! ma maman !!! mon papa !!!

JEUNE PLOUC : (se retirant discrètement) ben heu je vais vous laisser à vos occupations demoiselle Cornette.

CORNETTE : Nan !!! Z’veux pas. Z’veux toi.

JEUNE PLOUC : Heu mais …. (tout bas) c’est bien la fille à son père, à me faire chier comme ça. (plus haut) Mais demoiselle Cornette je ne vous serais que d’un grand ennui.

CORNETTE : Reste, sinon ze dit à papa que tu m’as touché.

JEUNE PLOUC : (effrayé) Ahhh !!! Non non non non !!! chuuut !!!! Ne lui dite rien !!!(murmure) En même temps il est mort le grincheux, mais quelle sale petite menteuse celle la (tout haut) je suis disponible à votre service ô ma grande maîtresse.

CORNETTE : Chante-moi une chanson !!!

La petite fille saute sur les genoux du jeune servant.

JEUNE PLOUC : (tout bas) génial. Je vais avoir l’air d’un con une fois de plus.

Le jeune servant se met alors à chanter gaiement à tue tête.

JEUNE PLOUC : Mon petit oiseauuuu, a pris sa volééééé… a pris sa … a la volette, a pris sa voléééé. Vilaine petite peeeeeste … pourquoi m’emmerdeeeer … vilaine …

CORNETTE : Hé, mais c’est pas ça !

JEUNE PLOUC : Heu mais si c’est les paroles, la suite de la chanson, je vous assure, maîtresse. Vous la chanterez à votre père lors de son enterrement, je suis sur qu’il sera ravis.

Mais le jeune page n’eu le temps de terminer sa phrase qu’une statuette de marbre lui vole au dessus de la tête, manquant de lui fracasser le crâne d’un demi pouce, pour finir encastrée dans le mur.

SEIGNEUR MACHALOW : Comment ose tu toucher la fillote d’un noble avec tes sales mains, misérable petite bouse.

JEUNE PLOUC : Seigneur Machalow … je …tu … je … enfin … heu … vous êtes vivant ?

CORNETTE : (accourant dans les bras de son père) Papa !!!!!!!!! (une fois dans ses bras) tu sais, zean m’a appris une très zolie chanson, tu veux que je te la chante ?

JEUNE PLOUC : (paniqué) Non !!!! Non !!!! Non maîtresse !!! Votre père doit être fatigué et... .Mais maître comment se fait t’il ? Vous étiez disparus au combat et la baronne de vau de ver de …. Enfin la baronne vous cherche en ce moment.

SEIGNEUR MACHALOW : (reprenant son calme) ha heu … non mais en fait je suis toujours mourant la bas, et on va sans doute venir me chercher. Enfin j’espère que l’on va venir me chercher. Par ce que si on ne viens pas me chercher, ça va quand même être chiant pour moi. Avec les mouches et les fourmis qui vont rappliquées. Donc il est primordial de venir me chercher.

JEUNE PLOUC : Je vous me faite peur. Maître, c’est impossible, c’est diablerie. Vous ne pouvez pas être ici et la bas ? Non, vous ne pouvez pas être ici et la bas ? Vous ne pouvez pas être ici et la bas !

SEIGNEUR MACHALOW : Ho ! Débloque !!! Il se trouve que, les élections ducales approchent et que je suis sur une liste, et bien placé en plus (murmurant dans ses dent) Bien que la baronne a mis son époux devant son vassal, tssss. (reprenant plus fort) Alors je me dois d’être présent aux réunions même si je suis mourant sur le champ de bataille. De plus je suis IG bloquer comme un con à Langres pour 45 jours, à chaque fois que je parle, ça dois être entre parenthèse, en HRP, pour pas trop choquer les gens qui savent que je suis pas avec eux en fait.

JEUNE PLOUC : (blème) …

SEIGNEUR MACHALOW : Bon avec toi je met pas de parenthèses (murmurant) de toutes façon, il ne comprend rien à rien celui la.

JEUNE PLOUC : (toujours blème) …

SEIGNEUR MACHALOW : C’est pas tout mais j’ai un cour à donner à l’université de Reims dans une heure. Tu m’accompagnes.

JEUNE PLOUC : (choqué et perdu) Mais on est à 5 jour de la capitale … et puis comment vous accompagner puisque vous … n’êtes pas la ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ca passera, je suis près à provoquer des incohérences pour la gloire et les écus. Et puis même absent, tu restes mon sous fifre alors tu m’obéis. Sinon mon pied dans ton derrière, tu le sentiras bien présent crois m’en.

MANUEL : Avant de la terminer, j’ai volontairement fait allusion à trois films ou série télévisée sur cette page. J’offre un verre de tisane ou mon corps suivant le sexe du gagnant, à qui trouve le premier ces trois films. Mp autorisé.

JOUEUR CHIANT : (fier) Moi j’ai déjà trouvé

MANUEL : Ouai, mais les boulets n’ont pas le droit de jouer. Dommage pour toi

JOUEUR CHIANT : (marmonnant) Pauvre con.


Page 7 [Taverne de conflant les sens, quelques heures plus tard]

JOUEUR CHIANT : C’est moi ou ils ne passent que dans cette taverne ? Et les autres ?

MANUEL : J’t’en pose des questions ? Peut être que la bière y est meilleure …

Le seigneur et son servant entrent dans la taverne.

CLIENT 1 : (a l’adresse de l’homme) S’lut manu.

JEUNE PLOUC : (à voix basse) Vous le connaissez maître ?

SEIGNEUR MACHALOW : (a voix basse) Non. (plus fort) Holà miséreux, comment connais tu mon nom ? Et déjà c’est seigneur Machalow pour votre gouverne.

JEUNE PLOUC : Ouai d’abord j’te f’rait dire. Alors joue pas au plus malin avec moi sinon mon maitre il va te pourrir la tronche que même ton miroir il te reconnaitra plus.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant sévèrement son servant) T’a fini oui ? Faut te calmer.

CLIENT 1 : Ben facile, ton nom il est marqué au dessus de ta tête.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant le plafond) Je crois pas non.

CLIENT 1 : Si dans le cadre jaune ou on voit ta tête, au dessus en rouge, y a marquer manu95.

SEIGNEUR MACHALOW : Je crois que c’est toi que je vais pas encadrer. Et crois moi si tu continus à me prendre pour un imbécile, à parler de cette façon à un noble comme moi, je ne donne pas cher de ta peau.

CLIENT 1 : Oh ça va hein ? De toute façon c’est aussi marquer sur ta fiche.

Mais le jeune client se retrouve la tête décollé des épaules avant même d’avoir eu le temps de dire ouf.

CLIENT 1 : Ou…. Splllatch.

SEIGNEUR MACHALOW : (rengainant son épée) Il commençais à me courir sur le haricot.

JEUNE PLOUC : J’ai vu ça maître. Dites moi, pardonnez mon indiscrétion mais vous avez deux filles n’est ce pas ? Cornette la benjamine et Isaurus rex la plus vielle ?

SEIGNEUR MACHALOW : Alors non je ne te pardonne pas et oui Cornette est la plus jeune, et Isaurus Rex est la plus vielle. Mais j’ai point fillote qui s’appelle benjamine, tu divagues.

JEUNE PLOUC : Alors comment expliquer que Isaurus rex aie 5 ans, et Cornette 6 ans ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ben juste qu’elles ne grandissent pas à la même vitesse, rien de plus simple.

JEUNE PLOUC : (choquer) …

CLIENT 2 : kikouuuuuuuuuuuuuu !!!!!!!!!!!!!!! lol !!!!!!!!!!!!!

SEIGNEUR MACHALOW : (sursautant) C’est qui ? C’est quoi ? A l’attaque !!!!!!!!!!

JEUNE PLOUC : C’est juste un client qui entre maître.

CLIEN 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : (blasé) Voila autre chose. Qu’est ce qu’il dit ?

JEUNE PLOUC : Je ne sais pas, c’est incompréhensible.

CLIENT 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : Il se moque de nous ?

JEUNE PLOUC : Non je pense qu’il parle un dialecte des contrées du nord. Sans doute ce jeune et fougueux visiteur cherche t’il à communiquer avec nous ?

CLIEN 2 : lol

SEIGNEUR MACHALOW : Il refait toujours le même couinement.

JEUNE PLOUC : Il est peut être bloqué, ou ne sait dire que cela.

CLIENT 2 : lol tp cool.

JEUNE PLOUC : Ah non, tien. Il change sa phonétique.

SEIGNEUR MACHALOW : (dégainant son épée) c’est un angloys ?

JEUNE PLOUC : Je crois qu’il vient en paix.

CLIENT 2 : lol jm tp c je. Coool é vs ?

SEIGNEUR MACHALOW : Par ce que tu arrive à comprendre qu’il vient en paix dans ses grognements ? Si ça se trouve il m’insulte.

JEUNE PLOUC : J’admet maître ne rien comprendre. Je ne parle pas sa langue.

CLIENT 2 : looooool ta k HT l’dico sms.

SEIGNEUR MACHALOW : Je sens qu’il va rejoindre l’autre crétin dans l’au-delà.

JEUNE PLOUC : (souriant) Vous aurez fait aujourd’hui plus d’exercice que d’habitude maître

CLIENT 2 : lo…

Mais le jeune crétin n’a pu finir ses bafouilles, et une tête supplémentaire roule sur le sol.

SEIGNEUR MACHALOW : Faudra songer à astiquer ma lame.

JEUNE PLOUC : (choquer) Vous voulez dire nettoyer votre épée ?

SEIGNEUR MACHALOW : (suspicieux) Oui … que veux tu que ce soit d’autre ?


Page 8 [Reims, 4 jours plus tard]

Sur un tonneau, un manant les mains en porte voix s’adresse à la foule. Musclé, 2m20 couvert de cicatrices, un œil en moins, vêtu d’un scapulaire violet pétant et d’un bandana rose bonbon hurle.

INCONNU : Hahahaha mouahahahaha. Tremblez pauvres champenois !!!! Tremblez devant le fléau qui arrive. Moi grand maître de l’armée des obscures lumières noires ; demi démon par alliance avec une catin à la jambe de bois, et fils de mes deux parents, vous conseille de fuir la Champagne. Car la grande armée va venir piller bruler répandre le sang, de vos enfants, par la force de leur épée, de leur méchanceté et de leur puissance du coté obscur de la … de la … du sans nom. Tremblez car la famine vous guettera. Inclinez vous à moi ou mourrez. Joignez vous à moi … enfin à nous, croyez pas que je suis tous seul surtout. Non surtout ne le pensez pas parce que je ne suis pas tous seul. Mais si je suis seul à parler comme un con, en fait j’ai plein de gens derrière moi, on est très nombreux… par exemple, il y a … il y a … y a moi, et même que j’ai une épée. Et puis il y a …. Plein de … hum PNJ … Mais oh attention il n’y pas que eux. On est des milliards en fait. et c’est même pas des multi comptes … enfin … y en as c’est pas des multi comptes … et … hem … Mouahahahahahahaha tremblezzzzz pauvr... arrrg…..

L’homme est passé en deux seconde de debout sur un tonnel, à allonger sur le sol une flèche entre les deux yeux.

SEIGNEUR MACHALOW : Bien visé mon jeune servant

JEUNE PLOUC : Vous trouvez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Oui je t’assure, une flèche entre les deux yeux, à cette distance, c’est un coup de maître.

JEUNE PLOUC : Sauf que …

SEIGNEUR MACHALOW : Sauf que quoi ?

JEUNE PLOUC : Ben je visais les bources, c’est plus marrant une flèche dans les bources

SEIGNEUR MACHALOW : (soupirant) je retire ce que j’ai dit, tu es définitivement un nullard, un loser.

JEUNE PLOUC : Vous parler angloys maintenant ?

SEIGNEUR MACHALOW : T’en fais pas, je m’en confesserais.

JEUNE PLOUC : Qu’est ce qu’on fait du cadavre seigneur Machalow ?

SEIGNEUR MACHALOW : Rien, la prévôté l’arrestera, la justice le jugera et il croupira dans une geôle. La routine quoi.

JEUNE PLOUC : Et nous, que faisons nous ?

SEIGNEUR MACHALOW : Je termine mes cours et on rentre à Langres… toi tu retournes à ville morte bien sur

JEUNE PLOUC : Pourquoi ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ils ne devraient pas tarder à retrouver mon corps la bas, alors faut pas que j’soit à la bourre. Sinon le RP va encore plus trainer qu’il n’y parait.

MANUEL : hein n’est ce pas ?

SEIGNEUR MACHALOW : Et puis, le conseil ducal, m’attend. Bientôt

JEUNE PLOUC : vous visez quel poste ?

SEIGNEUR MACHALOW : La diplomatie. J’ai toujours été doué dans ce domaine. Privilégier le dialogue quel qu’en soit la situation.

JEUNE PLOUC : (dans sa barbe) Pauvre Champagne.


[center]FIN[/center]

JOUEUR CHIANT : Ca y est, c’est fini ?

MANUEL : Ouai.

JOUEUR CHIANT : Enfin. Ça commençait à devenir vraiment chiant.

MANUEL : Dit plutôt que tu n’as rien compris.

JOUEUR CHIANT : Si, mais y avais vraiment pas de quoi rire.

MANUEL : Ben tant pis, moi qui pensais faire une suite un jour ou l’autre.

JOUEUR CHIANT : Ah ben te fatigues pas à nous imposer cette souffrance.

MANUEL : tu sais quoi ?

JOUEUR CHIANT : Non ?

MANUEL : Ben je serais mon personnage, je t’aurais déjà décollé la tête de tes épaules.

JOUEUR CHIANT : J’ai pas compris

MANUEL : Ca me rassure. Ca ne viens pas alors de mon texte ta non-hilarité. C’est simplement que tu es définitivement abruti.

JOUEUR CHIANT : …



[center]Cette fois c’est VRAIMENT la FIN[/center]


[u]Crédit :[/u]
L’auteur tien à remercier pour avoir été sa source d’inspiration sans qu’il ne le sachent :

La Baronne de Villemor et de Montmirail Siva, dans le rôle de la baronne de ville morte et de mont sur rail Ziva

Corneillie dans le rôle de Cornette

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow
(enfin bon il est pa facile de faire un tournage avec un abruti pareil.)


SEIGNEUR MARCHAIS : (louchant de colère) Comment ?????

MANUEL : heu non non rien, noble seigneur Marchais, rien rien.

Mais aussi tous ces personnages bisounours sans qui le monde des RR seraient un eternel bain de sang, et ces quelques gentils boulet sans quoi les RR seraient dénué d’anachronisme d’illogisme et de confusion RP/HRP.
Femme 1
Jeune Homme 1
Tavernier
Clien1
Clien2
Inconnu

Sans oublier nos méchants brigands sanguinaires ou autre organisations louches, sans lesquelles, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love :
Terreur_verte58634
Mystérieuse brigande.

Et enfin certain personnages auquel j’ai fait allusion, qui animent l’histoire des RR :
Levan III
Armoria
Les bourrins de Cambrai
Les lucioles
Isaure
Corneillie

Pour finir Merci à notre LJD Lévan, (attention c’est pas Lévan IIII c’est son joueur, enfin si certain n’ont toujours pas compris après une parodie longue de 22 pages word, police 12, time new roman avec marge 2.5 à gauche, droit haut et bas, et avec une interligne de 1 cm, alors j’y peux plus rien), pour ce magnifique jeu.



FIN (je l’ai déjà dit je sais)

La suite bientôt, sur votre écran, après le codage de la V4 des routes maritimes(ah , c'est déjà codé maintenant ?), du Niveau 5 et des bananes.
_________________
Manu95
Bande annonce du volet II


Après son premier succès, en voici venus le second volet,

LA DUCHESSE ZIVA : Machalow, vous serez connétable, c’est décidé.

Les royaumes Redondant II.

Cette fois, nos deux antis héros, le seigneur Machalow et son jeune plouc, vont affronter les joies du conseil ducal dans une nouvelle aventure, avec son lot de combats …


CAPORAL : Bon bon. Mais deux armés pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?

… de courage …

SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?

SOLDAT 1 : Et comment, santé et gloire aux louveteaux !!!.

... D’anachronismes…

LE PROCUREUR : Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.

… D’autoritarisme …

SEIGNEUR MACHALOW : Il me semble vous avoir répéter d’éviter la bibine pendant le service.

...De concience professionnelle...

JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?

SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.

... De rebondissements ...

DOUNIERE : Nous avons arrêsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse sanguillonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.

Et de gentils petits boulets bien sur

CLIENT : ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.

Revivez la folle période de l’été 1457 en retrouvant des personnages des royaumes redondant 1 tel que la duchesse Ziva, mais aussi de nouveaux comme la duchesse du fromage de Brie, dans cette somptueuse parodie écrite.

Bientôt sur votre écran de PC, sur le forum du conseil de Champagne et ici sur la Gargote.

Les Royaumes redondant II
Conseil Ducal

Sortie prévue le 21 janvier 1458 ... heuuu 2010[/quote]

[quote="Manu95"]Les royaumes redondants II©

Un conseil ducal




Introduction … de quoi ? Hé bé, vous verrez bien…

An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants ….

UN JOUEUR CHIANT : Alors la, bravo. Non franchement bravo. Ton intro est vraiment très … originale. On peut dire que tu t’es décarcassé.

MANUEL : …

UN JOUEUR CHIANT : Ah …mais … heu je dois dire, que j’ai l’impression d’avoir déjà entendu une intro similaire. Ah oui, c’est mot pour mot ta première intro, je me trompe ? Tu n’as rien foutu que de faire du copier collé feignasse ….

MANUEL : Certes, même intro, mais surtout, même abrutis qui me fait chier dès le début.

UN JOUEUR CHIANT : …


C’est ainsi que se poursuit l’histoire, d’une parodie qui se joue d’un jeu qui imite l’histoire …


Tome XII : [RP] Allégeance

Page 1 [dans le bureau du manoir du domaine de la seigneurie du fief de Machalow]

Le seigneur Machalow se dois de répondre à une vielle amie, lui ayant demandé de transmettre ses hommages à la nouvelle duchesse de Champagne, la fraichement élue duchesse Ziva.

« Salut duchesse Dodoche

C’est nous qu’on à gagner les élections, c’est nous qu’on à eu plein de voix de la populace et la baronne, enfin duchesse Ziva est sur le trône de champagne. Un soulagement. Bon je lui ai transmis comme tu me l’as aimablement demandé tes vœux d’allégeance de bonheur et patati patata. La duchesse Ziva à été ravie et sollicite même ton éternelle générosité pour faire don d’un petite somme agréable à son plus vieux et plus fidèle vassal, le seigneur Machalow. J’te jure elle l’a dit pendant la cérémonie, sur la vie de ma mère.

Tchao duchesse Dodoche
Ton p’tit pote Machalow »

JEUNE PLOUC : (levant sa plume) Vous pensez que c’est correct cette façon de parler à une grande duchesse ?

SEIGNEUR MACHALOW : Holà, tu me critiques maintenant ? C’est une bonne amie à moi, alors je peux me permettre. Cesse de me rabaisser, et n’oublie point que de nous deux, c’est toi le sous-fifre. Déjà que je suis couvert de honte de ne pas savoir écrire aussi bien que toi.

JEUNE PLOUC : (penaud) Navré mon maître, je ne recommencerais plus. Mais vous êtes sur de vouloir un poste de chambellan ? Vous n’êtes pas un négociateur très diplomate à la base, alors si en plus vous ne savez pas écrire …

SEIGNEUR MACHALOW : Tu ne connais rien à mes plans petit imbécile. La diplomatie je l’exercerais à ma façon. Par exemple en allant soudoyer les joinvillois à devenir champenois.

JEUNE PLOUC : (haussant les épaules) Vous risquez de vous attirer des ennuis ainsi.

SEIGNEUR MACHALOW : (fronçant les sourcils) Ne t’avais-je point dis de la fermer ?

JEUNE PLOUC : désolé …

Page 2 [dans la salle des conseillers ducaux, plus tard]

SEIGNEUR MACHALOW : (s’inclinant) Ma baronne toutes mes félicitations pour cette élection.

UN CONSEILLER DUCAL : (murmure) Pssst seigneur Machalow, il vous faut maintenant dire « votre grâce », elle n’est plus baronne votre suzeraine.

SEIGNEUR MACHALOW : (révolté) Votre grasse ? Mais c’est insultant ! Je ne me montrerais jamais aussi vulgaire en affublant ma suzeraine d’un blessant « votre grasse ».

LA DUCHESSE ZIVA : (hausse un sourcil) …

UN CONSEILLER DUCAL : (sec) C’est ainsi que l’on doit appeler une duchesse. Tout le monde icelieux doit s’y plier, et seigneur Machalow, vous ne ferez pas exception.

SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Cela reste insultant, rendez vous compte des conséquences avenir que puis avoir cet appellation ? Votre grasse … non mais, comme si notre duchesse s’empiffrait du matin au soir.

UN CONSEILLER DUCAL : La n’est pas la question. C’est le protocole et …

SEIGNEUR MACHALOW : (lui coupant la parole) Fort à parier que dans 5 à 6 siècles, l’ensemble des françoys seront complexés par leur silhouette. Nos descendants se verront toujours trop gros, trop obèse, et leur société tournera uniquement autour du paraître, de normes physiques draconiennes, ou devenir toujours plus mince sera une obsession pathologique ….

LA DUCHESSE ZIVA : (fonçant les sourcils) Machalow !

SEIGNEUR MACHALOW : (s’emballant) Une société malade, ou les jeunes filles seront mal dans leur peau, se trouveront jamais assez belle comparées aux photographies truqués de leur idoles mannequins, dont les mensurations se rapprocherons d’un coton tige. Une souffrance physique mais aussi psychique, ou l’anorexie leur volera la vie. Rendez-vous compte que …

LA DUCHESSE ZIVA : (fronçant les sourcils) Machalow cela suffis ! Votre langage est odieux pour ne pas dire trempé d’hérésie ! Ne dites plus mot, ou c’est l’inquisition qui vous attend !

SEIGNEUR MACHALOW : (se reprenant) Mes excuses ma suzeraine. Si votre grâce pouvait oublier mes dernières paroles, j’en serais fort aise.

LA DUCHESSE ZIVA : Très bien Machalow. Bon maintenant, voici la répartition des postes. Mon vassal, qu’avez-vous déjà émis comme souhait ? Juste pour savoir si j’ai rêvé ou non.

SEIGNEUR MACHALOW : (tout bas) Chambellan …

UN CONSEILLER DUCAL : (éclatant de rire) Vous ? Chambellan ? Je ne vous savais pas aussi blagueur seigneur Machalow ! hahaha !

SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Je ne vois pas en quoi je serais blagueur. J’aime la diplomatie, il n’y a rien de mal à aimer la diplomatie, non ?

UN CONSEILLER DUCAL : (plié en deux) Vous diplomate ??? Mouahahahahaha !!! Mais vous ne souhaitez qu’une chose, c’est massacrer tous ce qui n’est pas champenois !!! Bourguignons, artésiens, Chiens, chat, arbres, cailloux, bref, vous n’aimez ni rien ni personne !!!

SEIGNEUR MACHALOW : (rouge de colère portant la main sur le paumeau de son épée) Tu veux peut être vérifier si je n’aime personne trou du cul ?

LA DUCHESSE ZIVA : (tapant du poing sur la table) Arrêtez !!! Vous me faites honte d’être votre duchesse. Machalow, c’est une évidence que vous ne serez jamais un bon diplomate et encore moins chambellan, votre caractère n’étant pas compatible avec ce poste. Et vous ne savez même pas écrire. J’ai ouï dire que c’est votre jean qui écrit vos missives.

SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant à lui-même) Sale petit rapporteur de page, il ne paye rien pour attendre ce crétin.

LA DUCHESSE ZIVA : (reprenant sur un ton plus posé) Machalow, vous serez connétable, c’est décidé.

SEIGNEUR MACHALOW : (dépité) Génial …

Page 3 [Bureau du connétable, 2 jours plus tard]

JEUNE PLOUC : Vous vous en sortez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Non. (buvant un coup) Pouahhh, c’est immonde !!!, qui à osé me servir un breuvage aussi infecte ?

JEUNE PLOUC : (blasé) C’est un encrier remplis d’encre maître.

SEIGNEUR MACHALOW : (vexé) Ah … heu , et pourquoi y faire tremper une plume ? Ca ne sert à rien une plume, ça ne se mange pas.

JEUNE PLOUC : (encore blasé) pour écrire.

SEIGNEUR MACHALOW : C’est donc cela l’écriture ?

JEUNE PLOUC : (toujours blasé) Heu oui

SEIGNEUR MACHALOW : Bon et bien il parait que connétable c’est une tache qui demande à souvent écrire, tu va donc avoir du pain sur la planche

JEUNE PLOUC : (surpris) Comment cela maître, vous n’y pensez pas ?

SEIGNEUR MACHALOW : (menaçant) Ho que si, tu écriras pour moi, et tu as intérêt à garder cela pour toi, sinon je t’étripe.

JEUNE PLOUC : bien maître.

SEIGNEUR MACHALOW : Parfais, bon mon prédécesseur à t’il laissé une note pour m’aider à prendre mes fonctions ?

JEUNE PLOUC : Oui.

SEIGNEUR MACHALOW : Qui dit t’il ?

JEUNE PLOUC : « Je suis pas la, bon courage, j’ai trop la flemme de t’écrire un état des lieux, dédéfection toi ma poule »

SEIGNEUR MACHALOW : (furieux) Quel crétin, et ça nous avance guère.

JEUNE PLOUC : Sinon il y a un vieux guide poussiéreux.

SEIGNEUR MACHALOW : Ah voila qui est intéressant, tu me le lit ?

JEUNE PLOUC : « La connétablie pour les nul »

SEIGNEUR MACHALOW : (irrité) Ca commence déjà fort

JEUNE PLOUC : « Donc pour l’IG seulement. Pour les mandats, passez par la V2. Pour les enveloppes au prévôt, passez par la V3. Attention, il y a un bug dans l’achat des marchandises pour la V2 et V3. Pensez à faire bosser les douaniers, et payer les loups. Attention, s’il y a fermeture des frontières, vous devrez accorder ou refuser des laissez-passer. Pour plus d’efficacité, je tirais à pile ou face, à vous de voir »

SEIGNEUR MACHALOW : Je n’ai pas compris V2 et V3 …

JEUNE PLOUC : Moi non plus seigneur Machalow.

SEIGNEUR MACHALOW : On avisera. Bon pour la fermeture des frontière et les laissez-passer, pile ou face, c’est quand même une chance sur deux de les accorder avec toutes les démarches chiantes à faire. Moi je vais faire plus simple, laisser croire que l’on statut dessus, puis les refuser systématiquement, sauf ceux que ma suzeraine veux accordés. Comme cela, pas trop de labeur, pas de risque et pas d’ennuis.

JEUNE PLOUC : Sauf que maître vous devrez envoyer une missive pour chaque laisser-passez refusés aux chefs des armées, pour qu’ils guettent d’éventuelles fraudes.

SEIGNEUR MACHALOW : (frustré) Mince, j’avais oublié ! Dire que cette procédure a déjà été approuvée par la duchesse. Je sens que je vais vite en avoir raz le cul.

JEUNE PLOUC : Maître, votre langage…

Demain, Date :
Nouvelle duchesse, nouvelle alégeance. Et qui d’autre qu’un vassal pour porter les courrier d’alégeance à sa suzeraine, tel un vulgaire messager ? Machalow et sa frustration de n’être que seigneur, c’est demain, en toournant la page.

Page 4 [au château de Reims, le lendemain]

(Sur l’air de tournes les violons de Goldman) Grand évènement au château il n’y a peu longtemps, les belles et les beaux nobliaux noble sang, de toute la champagne on vient prêter serment, pleuvent les flatteries pour la grande duchesse, oh pleuvent les flate- riiieeeeees.

UN JOUEUR CHIANT : Je crois que la, on atteint la perfection … du ridicule.

MANUEL : C’est un peu le but d’une parodie.

UN JOUEUR CHIANT : Tu n’es pas obliger de nous casser les oreilles en chantant faux

MANUEL : Tes pathétiques remarques coulent comme l’eau de la pluie sur l’imperméable de mon indifférence.

UN JOUEUR CHIANT : hein ?

MANUEL : Laisse tomber, c’est trop intellectuel pour toi.


Bref, c’est la cérémonie d’allégeance de la noblesse champenoise.

LA DUCHESSE ZIVA : Suivant !

Le seigneur Machalow s’approche et s’incline posant genou au sol comme d’accoutumé.

LA DUCHESSE ZIVA : Machalow ? Tu n’a pas un titre suffisamment élevé pour prêté allégeance, que veux-tu ?

SEIGNEUR MACHALOW : Merci de me rappeler que je n’ai pas la classe. En fait je viens porter l’hommage de la duchesse Dodoche.

LA DUCHESSE ZIVA : fais

SEIGNEUR MACHALOW : Den c’est fait, la à l’instant …

LA DUCHESSE ZIVA : Heu tu n’a pas reçus de lettre de sa part ?

SEIGNEUR MACHALOW : Ah un bout de papier avec des gribouillis dessus ? J’ai, mais j’ai rien compris. D’habitude on me communique par dessin.

LA DUCHESSE ZIVA : (se tapant le plat de la main sur le front) Ah oui ! J’oubliais que tu ne sais pas lire. Les gribouillis ce sont des …. lettres.

SEIGNEUR MACHALOW : Heu non, les lettres, c’est du papier dans une sorte de grand papier plié non ?

LA DUCHESSE ZIVA : (s’impatientant) C’est aussi un alphabet. Des signes quoi !

SEIGNEUR MACHALOW : Un alfabais ? Des cygnes, je n’y comprendrais jamais rien à l’écriture.

LA DUCHESSE ZIVA : (moqueuse) Je ne te le fait pas dire Machalow. Bon tu me le passes ce fichu courrier ?

SEIGNEUR MACHALOW : (lui tendant la lettre de la duchesse dodoche) Voila

LA DUCHESSE ZIVA : Merci mon fidèle vassal

SEIGNEUR MACHALOW : (murmurant) Vous ne pourriez pas m’élever au rang de baron au moins ? Je suis tant désireux de pouvoir moi aussi m’amuser avec les autres en prêtant allégeance.

LA DUCHESSE ZIVA : Jamais de la vie ! Apprend déjà à écrire. Et à assurer tes fonctions de connétable, j’ai ouïs dire qu’un artésien voulait passer nos frontières. Alors vas.

SEIGNEUR MACHALOW : …


Tome XIII : [RP] Conte artésien

Page 8 [Dans le bureau du connétable]

La tension est à son apogée. Alors que la champagne fête ou défaite l’élection de la duchesse Ziva au pouvoir, l’Artois lui, s’octroye comme nouveau dirigeant, Yeuxcreux, un membre des bêtises de Cambrais, ce groupe de mercenaire qui a jadis fait parler de lui à Reims. Les frontières entre ces deux duchés sont devenue fermés, et un blocus est établis à Compiègne, afin d’éviter le moindre passage clandestin d’estranger en terre champenoise par le nord.

JEUNE PAGE : Seigneur Machalow, j’ai une demande de laissez-passer très étrange. Voulez vous y jeter un coup d’œil ?

SEIGNEUR MACHALOW : Hum, normalement on les refuse systématiquement, enfin, passe la moi jeune servant.

JEUNE PAGE : (lui tendant le parchemin) Tenez.

SEIGNEUR MACHALOW : (regardant le parchemin) … Lit la moi plutôt

JEUNE PAGE : (reprenant le parchemin) Alors voila ce que ça dit « Messire le connétable …

SEIGNEUR MACHALOW : C’est moi

JEUNE PAGE : Oui c’est normal, c’est à vous que c’est adressé.

SEIGNEUR MACHALOW : Je sais sot, qu’attends tu pour me lire la suite ? Que je te batte ?

JEUNE PAGE : « Mes salutations tout d’abord, je sollicite votre bonté légendaire afin …

SEIGNEUR MACHALOW : Ca fait à peine gros fayot, déjà je ne l’aime pas.

JEUNE PAGE : C’est une sorte de formule de politesse, maître, vous devriez essayer un jour. Ca aide parfois.

SEIGNEUR MACHALOW : Encore une remarque de ce genre et c’est mon bouclier sur la tronche que tu auras en guise de politesse de ma part. Continue ta lecture crétin.

JEUNE PAGE : « … afin de vous demander un laisser-passez pour mon enfant. En effet, je suis engrossé d’une porté de 1 petit garçon et ce dernier se trouve actuellement en Artois. Etant actuellement en Champagne je me trouve dans une situation forte déconvenable. Je sais que vous ne souhaitez pas séparer un enfant de sa mère, aussi, lorsque ce dernier naitra, pourriez vous lui donner le droit de me rejoindre en champagne. Il est de on sang et donc champenois. Merci de votre générosité »

SEIGNEUR MACHALOW : …

JEUNE PAGE : Maître ? Vous ne dites plus rien

SEIGNEUR MACHALOW : C’est sorcellerie. Comment peut-elle connaître le sexe de son futur enfant ? Comment peut-elle le porter en elle en étant en Champagne et lui en Artois ? A moins d’écarter les cuisses sur la frontière. Cette pauvre fille est folle. Jette ce parchemin dans la cheminé, je n’ai que faire des histoires d’une hérétique.

UN JOUEUR CHIANT : En fait, si tu n’as pas compris, elle a le compte de son fils RP qui est né IG en Artois, et elle son compte est en Champagne. Il n’y a rien de sorcier la dedans, c’est juste le jeu qui est comme ça. J’dit ça moi, j’dit rien.

MANUEL : J’avais compris, mais pour ton information, je fais réagir mon personnage de façon RP face à une demande RP. En fait faut juste que le joueur du fœtus me fasse une demande HRP.

UN JOUEUR CHIANT : OK OK, c’est juste pour t’informer au cas où tu sois aussi idiot que je ne l’imagine. Et je ne vois pas en quoi c’est plus RP qu’un fœtus écrit une missive, mis à part pour emmerder la joueuse. Enfin, fais comme bon te semble, libre à toi de passer pour un gros c****rd.

MANUEL : j’assume et je t’e***********.


Page 8 [Dans le bureau du connétable, une semaine plus tard]

DOUNIERE CHIPONS : (alarmé) Messire le connétable ! Nous avons un problème singulier. Nos hommes …

SEIGNEUR MACHALOW : Que se passe-t-il dame Chipons ?

DOUNIERE CHIPONS : (toujours alarmé) Nous avons arrèsté une chose pour le moins répugnante. Une sorte de masse snaguilonante relié par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, on dirait un bébé miniature.

SEIGNEUR MACHALOW : (suspicieux) Il me semble vous avoir répéter d’éviter la bibine pendant le service.

DOUNIERE CHIPONS : (sur la défensive) Je vous jure sur votre tête que nous sommes tous sobres !

SEIGNEUR MACHALOW : (méfiant) Humm, j’ai du mal à croire que ma tête vous revienne mais soit. Que dit cette … chose ?

DOUNIERE CHIPONS : Rien, elle ne parle pas

SEIGNEUR MACHALOW : Alors elle ne comprend pas le françoys. Sans doute un espion angloys. Fichez-la en procès, pour qu’on la condamne à mort.

DOUNIERE CHIPONS : (salut militaire) Bien messire le connétable.


Tome XIV : [RP] Procès dur.

Page 2 [Sur les chemin de Champagne]

Sur un chemin entre Troyes et Langres, une ombre file comme le vent, un sac bien remplis de son tout dernier méfait sur les épaules, son poignard encore à la main. Plus que deux miles avant la frontières bourguignonne. A ce moment la, à lui la liberté. Mais soudainement, une sorte de grand vortex surgi devant lui. Stoppant net sa course, il tente un demi-tour, pris de panique. Mais en vain. L’attraction est trop forte et le pauvre brigand est avalé en deux temps trois mouvements par ce long tunnel noir. Serait ce l’enfer ? En tous les cas, instantanément, le brigand se retrouve debout, derrière une sorte de rampe en bois, devant un homme bien sapé, au regard autoritaire, et entouré d’officiers de la prévôté.

LE JUGE : (un sourire sadique aux lèvres) Nous vous attendions messire Terreur_verte58634 !

TERREUR_VERTE58634 : (interdit) Ou … ou suis-je ?

LE JUGE : Vous êtes au tribunal de Champagne, accusé de brigandage.

TERREUR_VERTE58634 : C’est, c’est sorcellerie, comment je suis arrivé ici ?

LE JUGE : Vous avez été arrèsté et mis en procès. A présent, la parole est au procureur

TERREUR_VERTE58634 : Attendez ! Je n’ai jamais été arrèsté, j’ai été …. aspiré, et je suis tombé ici. Marre des procès clic clic.

LE JUGE : (louchant de colère) Silence accusé !Vos propos sont hérétiques, et ce n’est pas votre temps de parole. Messire le procureur, la parole est à vous.

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Votre honneur, nous sommes réunis ici pour le procès de terreur verte58634, qui je dois avouer, à un nom bien affreux. Ses crimes ? Brigandage. Les preuves ? Et bien sa dernière victime, à pu mémoriser et retranscrire la fiche d’identité complète, ce qui nous à permit grâce au bidet de le retrouvé et de l’envoyer en procès.

TERREUR_VERTE58634 : C’est quoi cette blague ? Le bidet ?

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Le bidet, oui, notre service de pistage par satellite de toutes personnes circulant sur le sol Champenois. Nous vous avons localisé ainsi.

TERREUR_VERTE58634 : Je n’ai rien fait, c’est faux, c’est un mensonge, et …

LE PROCUREUR : Pourtant, les preuves sont indiscutable, regarder, ce screen.

TERREUR_VERTE58634 : Screen ? C’est quoi ? Je suis en enfer c’est pas possible !

LE PROCUREUR : (voix efféminée) Hihihi, l’autre hé, il sait même pas ce qu’est un screen ! Cette grande folle hihihi. Le screen messire, c’est une impression d’image, traité avec peintre, et hébergé sur image shrek en général et en colonel, des évènements de la victime. En l’occurrence, ce screen authentique indique : « 4h16, vous avez été raquetté par Terreur_verte58634. Hélas il a triomphé et a jeté votre corps misérable dans un fossé puant, après vous avoir shooté la gueule à coup de pompe et défoncé le coxis à coup de … »

LE JUGE : C’est bon procureur, inutile de rentrer dans les détails. Bref. Raquette avec violence, vous serez, attendu que vous êtes un gros méchant récidiviste et communiste en plus, car tout habillé de rouge même les braies au moment des faits, condamné à la lourde peine de 2 jours de prison, avec autorisation de sortie en taverne, et 50 écus d’amende. Que justice soit faite.

TERREUR_VERTE58634 : Ah, bon d’accord. J’avoue que ça me va, parce que j’ai à présent plus de 2000 écus volés sur moi alors … enfin, hem…

LE JUGE : (grimaçant) Ouais c’est bien peu cher payer pour quelqu’un qui en plus, écoute Laurie !

TERREUR_VERTE58634 : hein ?

LE JUGE : (accusateur) Ne niez pas ! Vous avouez écouter Laurie sur votre fiche.

TERREUR_VERTE58634 : …


Tome XV : [RP] Connétablie

Page 15 [Au nord des murs de Compiègne]

SOLDAT 1 : Moi j’dit, qu’la duchesse, za qu’à se faire cuire un Œuf.

SOLDAT 2 : Ouais, farpaitement, elle nous prend pour des demeurés, mais on n’est des professionnels nous … hips.

SOLDAT 1 : Ouais, des héros même. Pas comme cet abrutis de connétable, qui vient nous donner des leçons de loyauté.

SOLDAT 2 : Tu reveux une chopine ?

SOLDAT 1 : Et comment ! Santé et gloire aux louveteaux !

Pendant ce temps, dans la tente du commandement

CAPORAL : Nos hommes s’ennuient duchesse gwan …gwun gw...

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Apelle moi la duchesse du fromage de brie, ce sera plus simple. Ma nom est impossible à prononcer pour le commun des mortels, caporale.

CAPORAL : (septique) Dites toujours, duchesse du fromage de Brie.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : La duchesse Gwomenkhsaspronoz

CAPORAL : … En effet, je vais dire duchesse du fromage de Brie. Je disais que nos hommes s’ennuyent. Une bonne bagarre, c’est ce qu’il leur manque. Bien que le Seigneur Marchais nous sollicite beaucoup pour punir ceux qui franchisent les frontières, mais bon quand les soldats boivent, c’est qu’ils n’ont rien d’autre à faire.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Et bien voila qui tombe à point. Nous avons des estrangères qui sont signalées comme venant à notre rencontre avec ordre de la connétable de les repousser par la violence. On va enfin se dégourdir les bras, et surtout, avoir notre dose actuelle de sang … mouahahahahahaha !!!!!!!!!!!!!

CAPORAL : (Effrayé) Heu … vous allez bien ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (gênée) Hem … heu oui. Heu … pardonnez-moi. D’ailleurs, nous n’allons pas être les seules à intervenir. L’armé du 51 de la princesse Amora de Dijon est aussi prête à l’assaut.

CAPORAL : (souriant) Du 51 ? Comme le pastis ? J’en ai la glotte qui dit bravo.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Infâme ignorant. Seul mon velours noir vaut le coup d’être bu.

CAPORAL : Bon bon. Mais deux armées pour 5 pécores, ça ne fait pas beaucoup ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Non c’est suffisant pour que se soit une orgie de sang, mouahahahaha !!!

CAPORAL : (blasé) Voila que ça lui reprend.


Page 15 [Au nord des murs de Compiègne ; plus tard]

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Chères soldates …

UN JOUEUR CHIANT : Heu, c’est normal que la duchesse parle toujours au féminin ?

MANUEL : C’est son tripe.

UN JOUEUR CHIANT : Je ne vois pas en quoi c’est trippant.

MANUEL : C’est son caractère. Tu demanderas à LJD la duchesse Gwomenkhsaspronoz à l’occasion.

UN JOUEUR CHIANT : J’ai que ça à foutre d’aller parler psychologie des perso avec une joueuse qui veux se faire remarquer avec son RP. A moins qu’elle soit séduisante …

MANUEL : Tu aurais une sacré surprise si tu la rencontrais héhéhé.

UN JOUEUR CHIANT : Hein ?

MANUEL : Non rien


SOLDAT 1 : Tien voila le chef.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Dits donc soldate, pas de familiarité, tu m’appelle Duchesse Gwomenkhsaspronoz.

SOLDAT 1 : (pouffant de rire) Prfff prfffffmouahahahahaha !!!! Tu parles d’un nom affreux.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (dégainant son épée) Continue et je te pourfends.

SOLDAT 1 : (lui donnant une tape sur l’épaule) Roooh, c’est bon, reste cool et décontracte toi. Aller ! Je t’invite à boire un verre, je suis sur que tu me montreras ton adorable petit cul ensuite.

Mais la tête du soldat se met soudainement à rouler seule par terre.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (rengainant son arme) Amadán*, le cul d’une femme d’Avalon n’appartient à personne.

CAPORAL : Bon, duchesse de fromage de brie, avec tout le respect que je vous dois, l’ennemie arrive.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Alors déployez ma bannière afin que ces chiens tremblent devant ma devise !!!

CAPORAL : (lisant la bannière au fur et à mesure de son déploiement) « Ici ce n’est pas meetic. Boulets, s’abstenir !!! ». Heu vous êtes sur que c’est une devise guerrière ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Damnaigh**, je me suis trompé. Bon tant pis. A l’attaque !!!!!!!!!

Comme prévus, ce fut un massacre pour les 5 voyageurs. Du sang, encore du sang, plein de sang, toujours du sang, un incessant sang.

CAPORAL : (fouillant les restes des voyageurs) défection, y a un blême. Duchesse du fromage de Brie ! Ils on un laissez-passer.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Comment ? Et ce trou du cul de connétable qui nous dit de les massacrer et qui leur donne un laissez-passer ? Qu’a-t-il fait encore comme gaffe cet imbécile ?

Pendant ce temps, dans le bureau du connétable.

SEIGNEUR MACHALOW : (se grattant le crane) Flute ! J’ai omis d’envoyer un courrier pour que la duchesse Gwronmendalbatroz n’attaque pas le convoi diplomatique qui arrive de l’Artois.

JEUNE PLOUC : La duchesse Gwomenkhsaspronoz vous voulez dire ?

SEIGNEUR MACHALOW : (agacé) Oui bon ça va.

JEUNE PLOUC : (inquiet) Mais c’est grave s’ils les attaquent ?

SEIGNEUR MACHALOW : (air grave) C’est plus que grave. L’avenir diplomatique en dépend.

JEUNE PLOUC : Alors, devons nous dès à présent leur envoyer une missive ?

SEIGNEUR MACHALOW : Après la sieste jeune servant.

JEUNE PLOUC : (étonné) Mais n’est ce pas urgent ?

SEIGNEUR MACHALOW : (plein de sagesse) Tu apprendras qu’un noble, après un bon repas, à le devoir de faire une bonne sieste. C’est bon pour le transit il parait.

JEUNE PLOUC : …

Page 15 [Mairie de Langres]

SEIGNEUR MACHALOW : Comment ?

YANUB : Oui, le Commissaire aux commerces à été clair. Je ne peux pas te racheter les épées, pour les lui livrer par la suite. Il n’a apparemment pas l’intention de dépenser le moindre sous des caisses ducales.

SEIGNEUR MACHALOW : Il y a trois semaines il m’a donné carte blanche …

YANUB : Il n’a sans doute pas prévu l’effondrement des mines.

SEIGNEUR MACHALOW : Evidement, et mes épées forgées à mes frais, j’en fais quoi ?

YANUB : Ni la mairie, ni le duché ne te les reprendront.

SEIGNEUR MACHALOW : En clair je peux me les mettre bien profond quoi.

YANUB : Ben tu en fais ce que tu veux, c’est tes épées.

SEIGNEUR MACHALOW : Mouais. Bon.

MANUEL : D’ailleurs je les ai encore en stock, 240 écus pièces.

UN JOUEUR CHIANT : T’es aussi opportuniste et radin que ton perso.

MANUEL : Ben quoi, on ne sait jamais, si un jour le duché de champagne en as les moyens …. Hem …. Bon j’ai rien dit…


YANUB : Au fait, j’ai trouvé ton geste bien courageux, de te punir d’un exil de 60 jours, suite à ton erreur de laissez-passer. Je suis sur que les 5 gugusses massacrés par une frénésie de 50 soldats ivre mort et en rute à ta stoïque demande, te trouveront courageux.

SEIGNEUR MACHALOW : Ah oui ? Merci bien. Y’en as un qui m’a écrit « tu fais bien de fuir ». Tu pense que c’est un remerciement ?

YANUB : (pas convaincue)… Sans doute ….


Tome XV : [RP] Tavernades et drôleries

Page 4 [Langres, à la taverne du repos du voyageur]

JEUNE PLOUC : Maître, ce n’est pas très honnête de votre part.

SEIGNEUR MACHALOW : Hey, je tiens ma parole, j’ôte mon épée et mon mantel et je quitte la luxure.

JEUNE PLOUC : Mais votre parole, c’était surtout un voyage de pénitence de 60 jours hors champagne. Or mon maître, ce n’est pas le cas.

SEIGNEUR MACHALOW : Ho, jeune sot, si tu pouvais la fermer. Personne n’en saura rien. Je reste dans cette taverne 60 jours caché sous ce scapulaire, personne n’y verra rien.

JEUNE PLOUC : Heu seigneur Machalow, que vous vous cachiez dans votre propre taverne sous un déguisement, c’est déjà sans doute risqué, mais vous mettre derrière le comptoir pour servir la clientèle, vous passez pour le propriétaire. Or c’est exactement vous le propriétaire !

SEIGNEUR MACHALOW : Je prends le risque. Au moins, je fais quelques bénéfices. J’ai congédié ma tavernière.

JEUNE PLOUC : Nous verrons.

JEUNE PLOUC : /me pense que le seigneur Machalow deviens gâteux.

VOYAGEUR DE PASSAGE : Dites, ce n’est pas bien de traiter ce noble de gâteux.

SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ?

JEUNE PLOUC : Hey ! D’où tu peux lire dans mes pensés toi ?

SEIGNEUR MACHALOW : Hein ? jeune plouc tu dois faire erreur. C’est impossible. Seul le sans nom peut faire ainsi.

SEIGNEUR MACHALOW : /me pense que le jeune plouc est décidément très sot.

VOYAGEUR DE PASSAGE : Ah ben je comprends le petit, si vous le voyez toujours comme un débile.

SEIGNEUR MACHALOW : Quoi ????

JEUNE PLOUC : Vous voyez ? Il recommence.

SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique. Ça veux dire que … (se tournant vers son jeune plouc) tu m’as vraiment traité de gateux pignouf de gosse ? (donne un violent coupe de manche d’épée sur le jeune plouc).

VIEIL HERMITE : N’écoutez pas ce vil homme, seigneur. Il pue l’hérésie. Je m’en vais le combattre.

SEIGNEUR MACHALOW : Qui es-tu toi ? Présente-toi prestement !

VIEIL HERMITE : Je suis le ….. super chevalier du jet d’ail.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : Viens à moi imprudent importuneur de gens !

VOYAGEUR DE PASSAGE : Je t’attends.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me bondi sur le voyageur poings en avant.

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me évite l’hermite et lui fait un croche patte

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me saute pour éviter le croche patte et donne un gros coup de pied sur le visage du voyageur qui le projette en arrière.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me se rattrape sur une main, et de l’autre, lance 15 coutels en 1 seconde.

SEIGNEUR MACHALOW : …

VIEIL HERMITE : /me rattrape les couteaux avec les dents et dégaine son sabre laser.

VOYAGEUR DE PASSAGE : /me active son bouclier anti laser.

SEIGNEUR MACHALOW : /kick voyageur de passage

Voyageur de passage sort de la taverne.

SEIGNEUR MACHALOW : /kick vieil hermite

vieil hermite sort de la taverne.

JEUNE PLOUC : (se relevant) Bien joué maître. Voila enfin un peu de calme.

SEIGNEUR MACHALOW : C’est qu’ils commençaient à me flanquer les pétoches, ces grands cons.

Page 5 [Langres, à la taverne du repos du voyageur ; le lendemain]

SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Jeune servant, voyez ce client à la table en angle ? Et bien, il est fort à parier qu’il est bourguignon. Crois m’en, ça se voit tout de suite ceux qui ne sont pas des lumières.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Vous et votre haine de la bourgogne, cela ne risque pas de vous porter tort ?

SEIGNEUR MACHALOW : /me chuchote Je déteste, hais et pourfende qui je souhaite. Ce n’est pas un pécore de ton espèce qui va me dicter ma conduite.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Pardonnez moi maître.

CLIENT : C’est beau tout ce bleu.

SEIGNEUR MACHALOW : Qu’est ce que tu dis le bourguignon ?

CLIENT : Ben vous chuchotez, et ça fait du bleu.

JEUNE PLOUC : /me chuchote Je dois avouer Maitre, que pour ce cas la, vous avez grand raison. Il semble très limité intellectuellement

SEIGNEUR MACHALOW : Du bleu ? Tu vois ou du bleu sombre crétin ? Tous est en bois vieux fou.

CLIENT : Ben vous parlez en écrivant en bleu. D’ailleurs ce n’est que des chuchotis.

SEIGNEUR MACHALOW : Sais-tu à qui tu t’adresses le bourguignon ? Tu tiens des propos incohérents envers un noble seigneur, alors tais toi boit et payes ma bière.

CLIENT : Mais tu es con ou quoi ? Tu ne sais pas ce que c’est que le bleu ? Houhou ! C’est une couleur. Retourne à la maternelle. Tu as écris en bleu des chuchotis ! Faut être profondément débile pour pas le voir et …couic.

SEIGNEUR MACHALOW : (rengainant son épée) Rappelle-moi de faire fermer définitivement nos frontières avec la bourgogne. J’en ai assez de leurs déchets.

JEUNE PLOUC : C’était pas un bourguignon, il est de lorraine.

SEIGNEUR MACHALOW : Comment le sais-tu ? Il n’a rien dit de son origine. Moi je te dis qu’il est bourguignon.

JEUNE PLOUC : Ben, comme vous l’avez fait avec le brigand sur les royaumes redondant 1, j’ai chouré ses papiers d’identité, et lu sa fiche.

SEIGNEUR MACHALOW : Certes … Imparable ….

JEUNE PLOUC : Peut être devrions nous arrêter les chuchotis en public. Et plutôt utiliser la mésange ?

SEIGNEUR MACHALOW : La quoi ? La mésange ? C’est un piaf. A quoi veux-tu qu’il nous serve ?

JEUNE PLOUC : Non la mésange, c’est le nom RP de MSN Messenger. C’est très pratique pour tchatcher entre nous sans que les autres entendent. En plus y a tout plein de smiley, j’en ai même pris un avec une photo de Laurie.

SEIGNEUR MACHALOW : Hérétique, tu es toi aussi un hérétique. Tu uses de propos hérétiques, tu utilises des objets diaboliques !!! Blasphèmeur !!!!!! Tu dois être brulé !! Un prêtre viiiiite !!!!!

JEUNE PLOUC : Pitié ! Pitié maître ! Promis, je n’écouterai plus ses disques, je ne regarderai plus ses clips sur TPS.

SEIGNEUR MACHALOW : Bon soit, ça va pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne plus.


Tome XVI : [RP] Déclaration et confusion.

Page 33 [Reims, Sur la place publique]

SEIGNEUR MACHALOW : Bon pour une fois que tu as le droit de l’ouvrir en public, fait ton devoir jeune servant. Crie mon annonce à toute la peuplade Champenoise

JEUNE PLOUC : Bien seigneur Machalow

Le jeune plouc monte alors sur un tonneau (il parait que c’est très tendance à cette époque) et lit d’une traite le parchemin qu’il tien entre ses petites menottes :

JEUNE PLOUC : « Oyez ! Oyez ! Avis à toutes et toutes. Moi, Manuel dit Manu pour les intimes, 28 printemps, éducateur de jeunes enfants, que l’on dit très charmant, propriétaire du domaine de la résidence de la flèche d’or, plus particulièrement d’un F2 dans une ville de 10 000 habitants de la banlieue nord de Paris, et auteur des Royaumes redondants, lance un appel à de potentielles prétendantes, souhaitant partager avec moi, amour gloire, et … non pas beauté forcément, mais rires et complicité et qui sait … , une vie bien remplis et une charmante petite famille. Intéressées contactez moi. ».

UN JOUEUR CHIANT : Nan mais je rêve ! C’est moi ou tu passes ouvertement sur ta parodie une annonce de rencontre HRP ? Sur un RP ? C’est pas toi qui dis que le RP et HRP ne doivent pas se mélanger ?

MANUEL : (prend un air malicieux) Oups, me suis trompé de document.

UN JOUEUR CHIANT : C’est ça, on te croit tous. C’est même plus de l’opportunisme ça, c’est du culot.

MANUEL : Bon ça va, tu ne vas pas me faire tout un procès ?

UN JOUEUR CHIANT : Non, juste que tu baisses dans mon estime, c’est honteux ce que tu fais.

MANUEL : Ton estime ? Parce que je n’étais pas déjà au plus bas depuis le début avec tes incessantes critiques ?

UN JOUEUR CHIANT : Si ! Mais bon, ça ne t’aideras pas à remonter.

MANUEL : Rien à foutre.


SEIGNEUR MACHALOW : Manu, tu es vraiment un enfoiré !

JEUNE PLOUC : Mais maître, ce n’est pas vous qui l’avez écrit cette annonce ?

SEIGNEUR MACHALOW : Crétin, je ne sais pas écrire. Je faisais confiance au joueur derrière moi, Manu dit l’enflure. Tu m’entends l’enflure ? Rend moi ma dignité !

UN JOUEUR CHIANT : Ouais, c’est dégueux ce que tu fais à ton perso. Lui qui souhaite depuis toujours avoir sa digne descendance légitime et une épouse à honorer ? Ça tu t’en fiche ?

MANUEL : Dans la mesure où ma vie HRP prime sur la vie RP de ma marionn…heu … de mon perso, aucun regret. Et moi, n’ai je pas droit d’avoir une femme à aimer et une charmante petite famille ? Machalow il s’en fiche de ça ? Il s’en fiche d’autant plus qu’il n’existe qu’à travers mon clavier, et une série de 1 et de 0 qui se succèdent indéfiniment au cœur d’une machine appelé PC. Alors il peut se gratter.

UN JOUEUR CHIANT : égoïste….


SEIGNEUR MACHALOW : Ecoute moi bien le joueur qui me manipule ! TU crois avoir tout pouvoir sur ma vie, mais TU vas le regretter ! Je peux influencer mon IG. Pour preuve, à partir de ce jour, tu te feras régulièrement agresser sur les routes, et ne résistera plus à aucun brigandage.

MANUEL : …

Sans doute est t’il à penser que le seigneur machalow a eu sa vengeance. En tous les cas, à chacun de ses voyages, c’est un brigandage réussi qu’il se paye. Coïncidence ou malédiction ? Seul dieu, enfin, seul Aristote le sait …

FIN


[Crédits]

L’auteur tien à remercier pour avoir été sa source d’inspiration sans qu’ils ne le sachent :

Notre ancienne grâce (c’est fin non ?) la vicomtesse Siva, dans le rôle de la duchesse Ziva

La duchesse gwenhywar dans le rôle de la duchesse Gwomenkhsaspronoz

L’ex douanière Chpiot dans le rôle de la douanière chipons

L’ex mairesse de Langres Yunab, dans le rôle de Yanub.

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow

Les loups de Champagne, avec le caporal, le soldat1 et le soldat 2

Le conseil Ducal d’aout/septembre 1457, avec le conseiller ducal

Mais aussi tous ces personnages bisounours sans qui le monde des RR seraient un eternel bain de sang, et ces quelques gentils boulet sans quoi les RR seraient dénué d’anachronisme d’illogisme et de confusion RP/HRP.
Le procureur
Le juge
Le vieil Hermite
Le voyageur de Passage
Le client

Sans oublier nos méchants brigands sanguinaires ou autre organisations louches, sans lesquelles, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love.
Terreur_verte58634


Et enfin certain personnages auquel j’ai fait allusion, qui animent l’histoire des RR
Levan III
Les bourrins de Cambrai
Yeuxbleux

Pour finir Merci à notre LJD Lévan, pour ce magnifique jeu.



* Imbécile
** Zut

_________________
Manu95
Bande annonce du volet III

Parce que vous avez été nombreux à les réclamer …

UN JOUEUR CHIANT : Ca n’arrivera jamais rassures toi.

Parce que vous avez été nombreux à les adorer …

UN JOUEUR CHIANT : J’ai toujours trouvé tes parodies nulles à chier, et ça ne changera pas.

Ils sont retours …

JEUNE PLOUC : Hein ?

Revivez à nouveau les aventures du seigneur Machalow et de son jeune plouc de servant …

JEUNE PLOUC : Maître, je doute qu’elle ne fasse pas de bonnes choses à ce poste.

SEIGNEUR MACHALOW : Sadique comme elle est, elle risque de détourner habilement des fonds pour ses propres intérêts.

A travers une Champagne déchirée …

CACA : Y a plus d’flouzzz, qu’y puis-je ?

Un rassemblement sportif …

SEIGNEUR MACHALOW : Bien entendu. Tu as vaincu mon coéquipier Angebrisèle, et je compte bien le venger. Que le meilleur gagne.

Des souvenirs du passé …

MANU95 : C’est dingue comme on s’intègre vite dans cette ville. J’crois bien que je vais rester, c’est vraiment sympa ici. Bon je vais aller arroser le verger.

Mais rencontrez aussi de vieilles connaissances, telle qu’une duchesse sanguinaire …

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (en colère) Un stupide animal et encore on ne sait pas lequel !!!! Vous croyez vraiment que je vais me contenter de ce petit machin inutile pour soulager ma soif de sang ???

Mais découvrez aussi de nouveau (anti)héros, comme une petite fille trop intelligente …

ASTRALE LA ROUGEOLE : Maire à 12 ans ? C’est pas un peu trop vieux pour briguer un mandat municipal ?

Une normande aventurière …

CAP. ALI’ TZARINE : Bien ! Il est de coutume de demander la permission d’accostage, si nous ne voulons pas finir par les fonds à coup de canons.

Et bien d’autres encore …

Et ô grande nouveauté, un clin d’œil à une célébrité du 21ème siècle(non pas Stéphane Bern, bien qu'il aie beaucoup insisté), qui voyagera à l’occasion dans le passé, pour rendre visite à nos irrésistibles amis …

Dans : Les Royaumes Redondant III



Les royaumes redondants III
Redonderies


Introduction

Page 15 [Au nord des murs de Compiègne]

C’est la guerre. L’Artois, dirigée par Yeux creux, un membre des « Bêtises de Cambrai », et la Champagne, dirigée par la duchesse Ziva, se livre une bataille sans merci. C’est en cette période noire que l’armée Avaltout, dirigée par la duchesse Gwomenkhsaspronoz, garde les frontières champenoises, au nord de la célèbre ville de Compiègne, en coopération avec l’armée du 51 de la princesse Amora. C’est alors, en ces moments d’extrêmes tensions qu’une sorte de masse sanguilonante reliée par une sorte de cordelette à une petite forme de vie primitive, similaire à un bébé miniature, arrive d’Artois.

CAPORAL : Duchesse du fromage de Brie, on vient.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (sourire sadique) Parfait !!! Nous allons enfin faire couler la sang d’une pauvre bougresse, en lui tranchant une à une les membres et la langue, en lui retirant lentement ses trippes de sa corps écorché vive, et s’abreuver de sa sang en ripaillant autour des restes de sa charogne encore chaude. Et vous me laisserez la cœur, en dessert. C’est ce que j’aime la plus.

CAPORAL : (au bord de la nausée) On vous le laissera, soyez en sur duchesse du fromage de Brie.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (satisfait) Déployez ma bannière !!!!

CAPORAL : Celle qui dit « Ici ce n’est pas meetic. Boulets, s’abstenir » ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Je n’en ai point d’autres de moins ridicules. C’est soit celle la, soit celle d’une réclame vantant les mérites d’une marque d’une camembert.

CAPORAL : Bien. Bannière déployée !!!

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Soldats !!! Soyez prêtes !!!! A ma commandement !!!!

SOLDAT 1 : (murmure à son voisin) Prêtes ? La duchesse ne nous prend pas pour des tantes par hasard ?

SOLDAT 2 : (murmure) Non, elle à toujours l’habitude d’accorder tous ses mots au féminin. C’est son jargon.

SOLDAT 1 : (dépité) … super …


DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (les yeux rond) Qu’est ce donc ?

CAPORAL : (surpris) Je ne sais pas. On dirait une sorte de mollusque invertébrée, ou un rampant.

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (en colère) Un stupide animal et encore on ne sait pas lequel !!!! Vous croyez vraiment que je vais me contenter de ce petit machin inutile pour soulager ma soif de sang ???

CAPORAL : Hélas il n’y a que ça. Que faisons-nous alors, duchesse du fromage de Brie ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : Le connétable nous à dit, de massacrer tout ce qui ne portait pas de laisser passer, hommes, femmes, enfants, vaches, chiens, chats, poissons, piafs, insectes, arbres, fleurs … Tout !!! Vous m’entendez ??? Tout !!!!!! Alors que l’on me transperce cette chose immonde de mille et une épées. Que le sang coule à flot et que la chair gicle à souhait !!!

CAPORAL : A vos ordres duchesse du fromage de Brie !!!!

Devant la violence de cette scène, nous préférons vous passer cet interlude musical :

Parrrtiiiir un jouuuuuur !!! Sans retouuuur !!! Effaceeeeeeer !!!! Notre amouuuuur !!!!….

Devant la violence atroce de cet interlude musical, nous préférons de suite revenir au cour de notre histoire.

CAPORAL : Que fait-on des restes duchesse du fromage de Brie ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (s’essuyant le sang restant sur le coin de sa bouche) Elles sont en état d’arrestation. Empaquetez-les, et envoyez-les aux douanes de Compiègne. Elles sauront quoi faire la bas. Nous, ça ne nous concerne plus.

CAPORAL : Vous avez laissé le cœur ?

DUCHESSE GWOMENKHSASPRONOZ : (méprisant) Trop petit …

Générique de début, la présentation quoi… pour vous dire de quoi il s’agit, alors faut être attentif… si si assurément.

An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants …

UN JOUEUR CHIANT : Jusqu’ ici j’avais cru que tu avais enfin changé ton intro, mais non.

MANUEL : …

UN JOUEUR CHIANT : Bon tu as fait quelques rajouts et encore c’est un peu un sketch que tu as repris des royaumes redondants, ça casse rien quoi. Pas de nouveau perso, de nouvelles scènes. Bref que du vieux rasant et barbant.

MANUEL : Le jour ou les royaumes redondants te plairont, le seigneur Machalow sera diplomate.

UN JOUEUR CHIANT : Ca n’arrivera jamais rassures toi. J’ai toujours trouvé tes parodies nulles à chier, et ça ne changera pas.

MANUEL : Ce qui m’étonne le plus, c’est de constater que tu les suives avec toujours autant d’assiduité.

UN JOUEUR CHIANT : Faut bien que quelqu’un aie un regard critique.

MANUEL : Faut surtout que tu assouvisses ton besoin de faire chier ton monde. Tu ressembles à un personnage champenois pour le coup.

UN JOUEUR CHIANT : …


C’est ainsi que se poursuit l’histoire, d’une parodie qui se joue d’un jeu qui imite l’histoire …


Tome XV : [RP] Précoce, très précoce


Page5 [au pied d’un arbre tordu et rachitique, qui ressemble de loin à un chêne malade]

C’est sous ce truc en bois mort, que le conseil ducal, composé de 12 membres dont 5 dormeurs un absent, 2 comateux, un bisounours et 3 hystériques, écoute et répond aux inquiétudes du peuple.

CACA : Y a plus d’flouzzz, qu’y puis-je ? C’pas ma faute si on s’est fait piller le château quand même ? Et vous me réclamez un plan de redressement économique ? A par les impôts j’vois pas d’solutions.

Une petite fille de 5 ans s’approche alors du CACA (Commissaire Aux Commerces Analphabète).

ASTRALE LA ROUGEOLE : Messire le CACA, désolé de solliciter votre attention sur la petite fille que ze suis, mais z’ai grand envie d’étayer une théorie, certes un peu simpliste, mais qui me semble plus approprié à la situation financière actuelle. Hormis les impôts, nous avons en Sampagne d’autres moyens d’augmenter notre frêle trésorerie, et cela peut passer par l’exportation de nos productions, après avoir fait une recherche poussée sur les besoins de nos voisins. Nous pouvons aussi solliciter l’œuvre bénévole des sampenois. Par exemple, ze produit en ce moment de la farine pour la revendre sur les marcés à prix réduits pour les plus démunis, par sarritée. C’est aussi pour soulager les couts en dépense que nous surveillons et gardons bénévolement les portes de la ville par un système de roulement. Ze doit faire ma ronde ce soir d’ailleurs. Sinon encore, le RMI, quel gouffre financier que de donner aux pauvres un RMI qui ponctionne avidement nos faibles caisses, alors que travailler à l’église, est tout aussi rémunérateur, et soutien une bonne cause. Une campagne d’information encourazant à préférer l’église au RMI serait des plus judicieuses en ce moment. Le souci en Sampagne, c’est que sans exportation, la surproduction nous gangrène l’économie, et beaucoup de paysans et éleveurs vendent à perte. On observe un phénomène de déflation de nos produits régionaux. Ze le ressens d’ailleurs personnellement par ma grande difficulté à vendre mes terres agricoles, même à prix cassé, personne ne souhaite acquérir des samps, au vu de leur faible rentabilité et de leur cout fiscaux. Et qui dit moins de samps et moins de rentabilité, dit moins d’offre d’emplois. La boucle se referme. Bref, voici ma vision certes maladroite mais innocente, d’une petite fille qui va bientôt fêter ses 6 printemps. Puisse Aristote protézer notre champagne.

CACA : …

ASTRALE LA ROUGEOLE : Tu ne dis plus rien ?

CACA : Tu as 5 ans et tu gères des champs, parles économie, fabriques de la farine, et travailles pour la maréchaussée ?

ASTRALE LA ROUGEOLE : Ben ouai et alors, ou est le problème ?

SEIGNEUR MACHALOW : (ricanant) Manque plus qu’elle sache lire.

ASTRALE LA ROUGEOLE : Ze donne parfois des cours de grec à l’université, et ze suis en train de rédizer un ouvrage intituler : « Entre les lignes du codex ». Il sortira bientôt aux éditions « Ray mon bar ».

SEIGNEUR MACHALOW : (choqué) …

JEUNE PLOUC : Maître, voyez, finalement, vous n’êtes pas si strict que cela avec vos enfants. Vous n’avez jamais obligé vos filles à travailler dans les champs, gérer vos terres, forger vos épées, et garder vos murs. Cette petite fille est une esclave, cela se vois. Vous, vous n’avez au pire, juste que vendu votre ainé à un bourguignon.

SEIGNEUR MACHALOW : Ma plus belle affaire. Elle doit être en train de le torturer à l’heure qu’il est.

JEUNE PLOUC : Isaurus Rex, est une vraie terreur. A 4 ans souvenez-vous, elle a repoussé une invasion artésienne dans la grande armée de la duchesse du Fromage de Brie.

SEIGNEUR MACHALOW : Oui, j’ai d’ailleurs entendu dire qu’ils prévoyaient de lui faire obtenir le poste de maire, à ses 12 ans.

JEUNE PLOUC : Maître, je doute qu’elle ne fasse pas de bonnes choses à ce poste.

SEIGNEUR MACHALOW : Sadique comme elle est, elle risque de détourner habilement des fonds pour ses propres intérêts.

JEUNE PLOUC : Le temps nous le dira.

ASTRALE LA ROUGEOLE : Maire à 12 ans ? C’est pas un peu trop vieux pour briguer un mandat municipal ?

SEIGNEUR MACHALOW : …

Tome XVIII : [RP] Sportivement vôtre

Page3 [Sur un terrain de soule, la finale du grand festival de la couronne dentaire]


CHONIQUEUR : Très bien, maintenant après la prestation à l’épée de la duchesse Ziva de Chouigny et de la duchesse Malteseres de Bruyère, passons maintenant à la finale de soule. Nelson êtes vous avec nous ?

NELSON ROCKFORT : Yes Patrick je disais, oui Patrick. C’est, c’est, c’est absolument fabuleux, ce qui se passe actuellement dans les tribunes, is it absoluty fabulous in the tribune. Il faut voir co-co-co-comment les supporters en rute chantent et boivent pour encourager leur équipe favorite, this is a full drinking supporters.

CHONIQUEUR : J’entends bien Nelson, mais le match, comment se déroule t’il ?

NELSON ROCKFORT : Yes Patrick je disais, oui Patrick C'est sous ce magnifique soleil, the beautifull sun, que les joueurs des deux équipent se déchirent la gu****, se défoncent la tronche et s’explosent le coxis, this is a f***ing match, à coup de mandales, de tornioles, de coups de pieds, et bien sur de coups de boules quand il s’agit d’un numéro 10, the nomber of sir Zizou if you remember, si vous vous souvenez. Ohhh et je vois le numéro 5 des bleus qui prend la soule et cours vers le but adverse, mais il se retrouve intercepté et submergé pour ne pas dire écrasé par un amas de 11 adversaires. Imaginez onze bœufs en rute complètement survoltés, tentant d’arracher des petites menottes du pauvre numéro 5, la soule, dans des positions très singulière, in an éroticals positions … et …. HOLALALALA ! Ho ce n'est pas possible ! Pas possible ça !

CHONIQUEUR : Que se passe-t-il Nelson ?

NELSON ROCKFORT : This is incredible Patrick, voila que notre jeune et frêle numéro 5 se relève, et s’extirpe avec toute la grasse du mollusque avant de reprendre sa courrrrrse effrénée vers le but adverse. Mais co-co-comment fait-il pour jouer avec tant d’aisance, tant de dextérité, et avec une si incroyable résistance ?

UN SPECTATEUR : … La drogue petit …

NELSON ROCKFORT : …

NELSON ROCKFORT : Yes Patrick je disais, oui Patrick comme le disait in English ce supporter enthousiaste, c’est la toute la beauté du sport, l’esprit de combativité, this is the magic sport, the rushing fight, et … HOLALALALALA ! Quel malheur ! Mon dieu c'est horrible !

CHONIQUEUR : Qu’y a t’il encore Nelson ?

NELSON ROCKFORT : Quel malheur !!! Le numéro 5 vient de s’écrouler sur le terrain, apparemment victime d’une effroyable crise cardiaque, à moins qu’il ne soit mort brutalement de vieillesse, je rappelle qu’un sportif a une espérance de vie de 35 ans, au delà il devient une légende, et je pense que le conseil ducal va une fois de plus démentir l’usage de produits dopants sur ses athlètes, ces langues de p*** la …

CHONIQUEUR : Heu Nelson ?

NELSON ROCKFORT : Hem … Yes Patrick can you hear me ?

CHONIQUEUR : Oui oui Nelson.

NELSON ROCKFORT : Yes Patric je disais, oui Patrick suite à cette regrettable blessure, les rouges ont reprit la soule en main, they are take the pig vessie in her hands, et reconquièrent le terrain avec tout la force et la brutalité qui fait la beauté de se sport, massacrant un par un leurs adversaires, le sang gicle, la chair s’étale, la cervelle vole, this is a real buch rie. Et c’est le buuuuuuuuuttttttt !!!!!!! But du numéro 18, magnifique but, this is un beautiful victory !!! Ohhhh comme c’est bon Patrick … je me sens plus pisser, j’ai le bout qui se t…

CHONIQUEUR : (choqué) Heu Nelson ?

NELSON ROCKFORT : …. (reprenant son calme) Yes Patrick je disais, oui Patrick, c’est sur ce match band…. heu merveilleux que je rends l’antenne, et bientôt autre chose *couic*

CHONIQUEUR : (prenant un air innocent) Je crois que nous avons perdu Nelson


Page 4 [sur le stand des archers du grand festival de la couronne dentaire]


VICOMTE ASTERICUS : Seigneur Machalow c’est un plaisir de vous affronter en cette demi-finale. J’espère que cela est réciproque.

SEIGNEUR MACHALOW : Bien entendu. Tu as vaincu mon coéquipier Angebrisèle, et je compte bien le venger. Que le meilleur gagne.

VICOMTE ASTERICUS : Oui mais avant, observons l’autre demi finale, elle promet d’être intéressante.

Trois jours se passent durant lesquels les archers décochent chacun une volé de 6 flèches. Puis un beau matin.

GAMINE ODIEUSE : Tenez m’sieur. C’est la cible d’Ali’tsarine.

ARBITRE : Merci petite.

Plus tard

ARBITRE : En raison d’une falsification de screen, l’archère Ali’tsarine est éliminée du concours.

GAMINE ODIEUSE : Hihihi !

ALI’TSARINE : Quoi ???

SEIGNEUR MACHALOW : Screen ? J’ai déjà entendu parler de ça, mais ou ??? J’y comprends rien, comment peut-on tricher sur ses flèches, elle à tirer ses flèches se plantent dans la cible et vous vérifiez non ? D’autant que vous aviez mis trois jours à vérifier …

GAMINE ODIEUSE : Mouahahahahahahahaha !!!!!!! C’était une blague une blague hihihi ! J’ai modifié les screens pour embêter Ali ! Hihihi ! C’est drôle non ?

ALI’TSARINE : Très marrant… pff comment tourner cela en RP ? Bon on va dire que tu as apporté la lice à l’arbitre et que tu as dessiné dessus, ou alors non, que tu l’as échangé avec une autre … une autre moins forte évidement.

SEIGNEUR MACHALOW : J’ai rien compris.

JEUNE PLOUC : Moi j’ai tout compris maître.

SEIGNEUR MACHALOW : Tsss … espèce d’intello.

ARBITRE : Faites ce que vous voulez, vous êtes éliminé de toute façon.

GAMINE ODIEUSE : Grâce à moi hihihihi

MAYEULE : (en larme) Manu, heu pourquoi tu te moques et tu diabolises comme ça des enfants dans ta parodie ? La petite aux cibles, astrale la rougeole, Isaurus Rex. Tu vas continuer jusqu’à quand ?

MANUEL : * Mayeule ? Heu … j’arrête promis … mais que fait tu la ? Tu t’es trompé de parodie. Retourne d‘ou tu viens ma pitchounette.



Tome XVIII : [RP] Souvenirs

Page 18 [Sur les chemins près d’Argonne]

JEUNE PLOUC : Tien qu’est ce donc ?

SEIGNEUR MACHALOW : Une sorte de vieille étable puante. Hors de question d’y faire halte.

JEUNE PLOUC : Il y a du monde à l’intérieur.

SEIGNEUR MACHALOW : Sans doute une orgie de bouseux, complètement imbibés de vinasse, qui se cachent des yeux du monde pour cuver tranquillement leur déchéance.

JEUNE PLOUC : Il y a une pancarte à l’entrée … (lisant tout haut) « la grange des jus ».

SEIGNEUR MACHALOW : C’est bien ce que je disais, des jus. C'est clair qu'ils doivent en boire du jus.

JEUNE PLOUC : C’est peut être une réunion sectaire entre hérétiques ?

SEIGNEUR MACHALOW : Je ne veux même pas savoir ce qu’ils font dans ce taudis. Passons notre chemin jeune plouc.

JEUNE PLOUC : Peut être refont-ils la Champagne. J’ai entendu une rumeur sur le fait que des argonautes se regrouperaient pour parler de la duchesse de Sainte-Menehould Maltesers.

SEIGNEUR MACHALOW : Ignorants qu’ils sont, Sainte-Menehould n’est point un duché.

JEUNE PLOUC : Je le sais maître, sa grâce Maltesers est duchesse de Bruyère.

SEIGNEUR MACHALOW : Sa grasse, sa grasse. A croire que tous les ducs et duchesses ne sont que des obèses. Quelle appellation humiliante.

JEUNE PLOUC : …

SEIGNEUR MACHALOW : Bon avançons, nous avons encore du chemin à faire.

JEUNE PLOUC : Oui seigneur Machalow

Plus tard, la nuit tombée, autour d’un feu de bois.

SEIGNEUR MACHALOW : Je pense qu’ici nous serons bien pour passer la nuit.

JEUNE PLOUC : Maître ! Pardonnez mon indiscrétion, mais souvent vous dites que la Champagne n’est plus ce qu’elle était, cela veux dire que c’était mieux avant ?

SEIGNEUR MACHALOW : En effet, beaucoup mieux.

JEUNE PLOUC : Jeune, étiez-vous moins abrutis ?

SEIGNEUR MACHALOW : (rugissant) Comment ?

JEUNE PLOUC : (bégayant) Je … je … en faite … je ne connais pas votre passé, je serais heureux que vous me contiez votre enfance.

SEIGNEUR MACHALOW : Bon et bien allons-y Freud.

JEUNE PLOUC : Hein ?

SEIGNEUR MACHALOW : Heu rien rien. Ouvre grand tes oreilles à présent.

Une vague de flou recouvre la scène avant de passer à une autre scène, ou cette fois les sons bruits et voix ont comme une sorte d’écho de résonance. Bref vous l’avez compris, c’est un effet optique et sonore pour dire que l’on retourne dans un passé, dans un souvenir. Et ce souvenir est dans une taverne langroise.

MANU95 : Bonjour, je viens d’arriver en ville. Je n’ai pas de passé, pas d’enfance vu que je viens de naitre il y a trois jours.

LIA : Ha, heu, bon. Il faudra sans doute que tu t’écrives quand même une histoire RP sur ton existence avant ta naissance IG, sinon ça le fera pas.

MANU95 : RP ? IG ?

LIA : Oui, je vais pas te détailler tout, tu comprendras vite en temps voulu. Bon en guise de bienvenue, je t’offre un verre de bière.

MANU95 : Merci

LIA : Ensuite, je vais t’aider à démarrer ici. Pour manger tu peux acheter du pain, du mais, mais aussi de la viande qui te donne des points de force, du lait pour des points d’intelligence ou des fruits ou légumes pour des points de charisme. Pour gagner de l’argent, tu peux travailler à la mine, dans un champ si tu vois des offres d’emplois à des points de caractéristiques égaux ou inferieurs à la valeur de ceux que tu possèdes. Tu peux aussi cueillir des fruits au verger, mais pour en avoir plus, il te faut une échelle. Par exemple, avec une grande échelle, il n’est pas rare de cueillir 2 fruits et quart par jour. Enfin tu peux travailler à l’église. C’est mal payer mais tu gagneras des points de réputation, idéal pour monter au niveau supérieur, j’entends la classe sociale pour le niveau supérieur, et non un étage d’ascenseur. Ah et tu peux mendier, mais tu perds en réputation.

MANU95 : … J’ai rien compris.

LIA : (dépité) Ben en clair, tu bouffes, tu bosses, et tu gagnes des sous. C’est clair ?

MANU95 : Très clair la.

DEVINE : Brave homme, que diriez-vous de vous enticher avec moi, et sans doute d’avoir des petits enfants par la suite ?

MANU95 : Vous êtes des plus ravissantes, et même si je ne vous connais pas, que je ne connais rien de votre vie, et que cela semble réciproque, j’accepte aveuglément cette proposition. Me voila sous le charme.

GWOMENKHSASPRONOZ : Pour ma part j’aurais une proposition à vous faire. Elle se trouve qu’elle n’y as pas de lieutenant de la prévôté, seriez vous intéressé par cette fonction ?

MANU95 : Combien cela est rémunéré ?

GWOMENKHSASPRONOZ : Pas une radis.

MANU95 : J’accepte quand même. C’est pas payé, c’est du travail, et j’y connais rien du tout à ces fonctions, mais au moins je pourrais me la pèter avec l’uniforme.

GWOMENKHSASPRONOZ : Félicitation lieutenant. Vous êtes engagée.

MANU95 : C’est dingue comme on s’intègre vite dans cette ville. J’crois bien que je vais rester, c’est vraiment sympa ici. Bon je vais aller arroser le verger.

DEVINE : Arroser le verger ?

LIA : En clair il va pisser.

DEVINE : (conquise) Ahhh !!! Comme cela est dit avec tant de romantisme !

A nouveau une vague de flou recouvre la scène avant de repasser (pas au fer) à la scène précédente. Pour les attardés qui ne suivent pas, cela veux dire qu’on revient au présent, au feu de camps.

SEIGNEUR MACHALOW : (dans un soupir) Ahhhhh c’était le bon temps.

JEUNE PLOUC : J’imagine.

SEIGNEUR MACHALOW : Mais cette Devine m’a laisser tomber comme une défection, pour un militaire bourguignon.

JEUNE PLOUC : C’est pour cela maître que vous n’aimez pas les bourguignons ?

SEIGNEUR MACHALOW : Entre autre. Mais une autre raison aussi. Les bourguignons ont prit Devine, mais ils ont aussi tenté de prendre Langres tout entier. J’en suis certain.

JEUNE PLOUC : (choqué) Toute la bourgogne est passée sur cette Devine, et vous dites qu’ils voulaient se taper tout Langres aussi ? Quels obsédés !!!

SEIGNEUR MACHALOW : Sombre crétin ! C’est juste un bourguignon qui m’a pris Devine ! Et la bourgogne complotait pour faire de Langres son territoire, tout simplement ! Tu es un tordu jeune abrutis.

JEUNE PLOUC : (honteux) Mes excuses … et comment se nommais le bourguignon qui vous à pris votre amour ?

SEIGNEUR MACHALOW : (grognant entre ses dents) Michel Gérard Joseph Colucci

Livre de poche : [RP] Bonus de dernière minute : Un sucreur tête en l’air

Débats sur une liste Ducale

Un homme habillé de noir, lunettes de soleil noires, ganté de noir, avec un masque noir, et une culotte Batman noire, s’approche d’un rassemblement politique, puisqu’il s’agit d’une campagne electorale.

JEUNE PLOUC : (voyant l’homme) Wahou ! Qu’est ce donc ???,

SEIGNEUR MACHALOW : Je n’ai jamais vu un gars avec un tel accoutrement. Un païen à coup sur. Je pense qu’il va très vite terminer sur un bucher celui la.

L’homme désigné, toujours vêtu de noir, prend la parole. A remarquer qu’il porte des chaussettes Oui-Oui, et une montre bracelet Dora l’exploratrice.

SUCREUR : Honte à vous, la noblesse de Champagne, d’affamer le peuple et de le laisser mourir de faim !!!! A quand une liste tenue par le peuple et pour le peuple ? Un conseil ducal tenu par le peuple, et fait pour le peuple ?

SEIGNEUR MACHALOW : …

JEUNE PLOUC : vous avez vu maître ? Il a parler.

SEIGNEUR MACHALOW : Certes. Mais il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Un truc qui cloche. Il est bien étrange de type.

JEUNE PLOUC : Un Bourguignon ?

SUCREUR : Et prudence champenois, car il est félon de mélanger le HRP et le RP. Si cela continue, vous risquer de voir votre topique verrouillé.

JEUNE PLOUC : ???

SEIGNEUR MACHALOW : ???

ANGEBRISELE : Quel est ce jargon étrange ?

UN JOUEUR CHIANT : Ôte moi d’un doute, c’est n’est tout de même pas un …

MANUEL : Et si ! C’est un des sucreurs, les gardiens du bon déroulement du jeu dans les gargotes et halles.

UN JOUEUR CHIANT : Je rêve ou tu as clairement et ouvertement parodié un sucreur ?

MANUEL : Je m’excuse, mais c’et tiré d’un fait réel. Un sucreur qui a fait du RP sous son compte HRP sucreur.

UN JOUEUR CHIANT : Ca t’arrive jamais d’être tête en l’air toi ? Môsieur est trop parfait, j’imagine ?

MANUEL : Si, ça m’arrive. Je ne blâme personne, mais j’ai trouvé amusant de m’en inspirer. Et puis cela fait deux fois que les sucreurs me sucrent provisoirement un topic des royaumes redondant, alors je leur devais bien un petit clin d’œil non ? En toute amitié bien entendu.



Tome XX : [RP] Navigation

Page 7 : [au port de Rouen]

SECOND : Vous êtes vraiment sure de vous, capitaine Ali’tsarine ?

CAP. ALI’ TZARINE : Bien entendu, pourquoi ?

SECOND : Et bien, on dit un mauvais marcheur, alors vous pensez qu’avec un nom pareil, je suis en droit de m’inquiéter.

CAP. ALI’ TZARINE : Justement, il ne va pas sur terre ferme, mais sur l’eau crétin ! Il peut être un mauvais marcheur, j’en ai cure. Tant qu’il n’est pas un mauvais nageur, cela me convient.

SECOND : (pas rassuré du tout) Vous m’en voyez … rassuré.

CAP. ALI’ TZARINE : Bien, alors embarquons de suite.

SECOND : (au garde à vous) A vos ordres !

4 heures plus tard

Le navire vogue sur un fleuve dont on taira le nom, mais dont il est facile de deviner qu’il s’agisse de la Seine.

MATELOT : Honfleur en vue !!!!!

CAP. ALI’ TZARINE : Bien ! Il est de coutume de demander la permission d’accostage, si nous ne voulons pas finir par les fonds à coup de canons.

SECOND : Capitaine Ali’tsarine ! Capitaine Ali’tsarine ! Puis je le faire ? Allez !!! S’il vous plait !!! Capitaine Ali’tsarine !

CAP. ALI’ TZARINE : Bon, bon, si ça peut te faire plaisir.

SECOND : Merci !

Le second sort alors de son sac un radio émetteur et récepteur (32 point d’encombrements pour les curieux), dont la vue fait sortir des yeux rond d’étonnement au capitaine Ali’tsarine.

SECOND : Allo ! J’appelle tour de contrôle. Vous m’entendez ? Ici vol fluvial numéro 4856 en provenance de Rouen et à destination pour escale de Honfleur.

CAP. ALI’ TZARINE : … Je doute qu’ils répondent à tes pitreries. Déjà, c’est quoi ce machin ?

SECOND : Un émetteur récepteur, un moyen de communication.

CAP. ALI’ TZARINE : J’ai l’impression d’avoir 5 siècles de retard sur mon époque.

SECOND : Sans doute. Je reprends. Ici vol 4856 pour Honfleur, J’appelle tour de contrôle. Est ce que vous me recevez ?

CAP. ALI’ TZARINE : …

CHEF DE PORT : Ici tour … heu … Phare de contrôle de Honfleur, je vous reçois 5 sur 5 ! Que voulez vous navire 4856 ?

CAP. ALI’ TZARINE : (bouche bée) …

SECOND : Sommes à 2 miles à l’ouest, en approche finale de Honfleur, vitesse 16 nœud, altitude 0 pieds, suivant le cap 274. Demandons autorisation d’atterrir au plus vite.

CAP. ALI’ TZARINE : …

CHEF DE PORT : Vous avez autorisation d’accoster sur le quai numéro 2 du port d’Honfleur. Les paramètres météo sont : vent direction ouest nord ouest, vitesse 3 nœud. Ciel dégagé, température extérieure 21 C°.

CAP. ALI’ TZARINE : …

SECOND : Merci tour de contrôle. Pourriez vous aussi nous éclairer la piste ?

CHEF DE PORT : Impossible matelot. Le phare ne peut être éclairé pour vous guider.

SECOND : Pourquoi ça ? Vous n’avez pas encore découvert le feu ? Ou alors économie de bois ... bandes d’avares ?

CHEF DE PORT : Juste qu’on est un port de niveau 2. Donc pas d’éclairage codé à ce niveau la.

SECOND et CAP. ALI’ TZARINE : …


Page 9 : [en mer]

Dix jours plus tard, en pleine mer, enfin en plein océan plutôt, car nous sommes dans l’atlantique voyez-vous.

CAP. ALI’ TZARINE : J’en ai marre, de ce voyage interminable !!! Le vent qui ne change pas, et une équipe de bras cassés écervelés pour équipage !! Qu’ai-je fait à Aristote et au tout puissant pour mériter cela ??? Et pourquoi ne pas ramer d’ailleurs ?

SECOND : Ben capitaine, on n’a pas pris de rames avec nous. Et personne n’a d’évènements boulasse en ce moment. Et puis avec les 35 heures …

CAP. ALI’ TZARINE : (Hurlant en lui lançant sa longue vue sur la tête) Je t’en ficherai des 35 heures, feignasse de fonctionnaire ducal !!! Et d’abord, on est ou exactement ???

SECOND : (se frottant résigné la tête) Capitaine, vous devriez regarder la carte, ça pourrait au moins nous aider sur ce dernier point ?

CAP. ALI’ TZARINE : (vexé de n’y avoir pensé) Tu as raison. (dépliant la carte) Alors si mes calculs sont exacts, on devrait …. Quoi ??????? Qui à osé ???

SECOND : (étonné) Osé quoi capitaine ?

CAP. ALI’ TZARINE : Ecrire des chiffres sur la carte !!! De 1 à 9 sur chaque case !!!! C’est immonde et devenu illisible !!! Y a aucune logique la dedans !!!

MATELOT : (fier) Si, si, il y a une logique.

CAP. ALI’ TZARINE : (rugissant de colère) C’est toi qui à fait ça ?

MATELOT : (souriant) Oui.

CAP. ALI’ TZARINE : (regard de tueuse) Et qu’est ce donc ???

MATELOT : Un sudoku

CAP. ALI’ TZARINE : Un quoi ?

MATELOT : Un jeu de logique et de patience passionnant ou il faut remplir des lignes, des carrés, et des colonnes avec les 9 chiffres, sans en répéter un seul par ligne, colonne et carré de 9 cases. Et … je vois que ça vous passionne pas.

CAP. ALI’ TZARINE : (grinçant) Pas le moins du monde. Ce qui me passionne la, c’est de t’éclater la tronche sur la barre.

MATELOT : Comprenez capitaine, je me faisais chier sur ce rafiot. Alors quand j’ai vu cette grille, j’ai fait un sudoku.

CAP. ALI’ TZARINE : Pour ça que tu as bousillé une carte, grand c** !!! Tu seras privé de dessert pendant 4 jours.

MATELOT : Mais … capitaine !!!

CAP. ALI’ TZARINE : 8 jours

MATELOT : Heu … bien capitaine !!! Merci capitaine !!!

CAP. ALI’ TZARINE : Bon le vent change de direction, il est enfin en notre faveur. Je pense qu’il est temps de hissez les voiles.

SECOND : Impossible capitaine.

CAP. ALI’ TZARINE : Et pourquoi ça, simple et inutile second ?

SECOND : Cela nous mettrait en grand danger ! Nous essuyons une violente tempête en ce moment.

CAP. ALI’ TZARINE : Es-tu fou ? Je ne sens aucune bourrasques, aucun déchainement climatique, à peine un doux vent qui me caresse le visage.

SECOND : Ne me dites pas que …

CAP. ALI’ TZARINE : Que quoi, grand imbécile ?

SECOND : Que vous n’avez pas le cour d’astronomie à 100 % ?

CAP. ALI’ TZARINE : (sifflant entre ses dents) Et alors ?

SECOND : Et bien, voila pourquoi vous ne sentez pas la violence des vents qui manquent de nous retourner !!!

CAP. ALI’ TZARINE : Ca apporte cela les connaissances en astronomie ?

SECOND : En l’occurrence. Connaitre la force des vents, sur une échèle de 1 à 4, mais aussi cela vous donne la compétence de grimper sur le mat et de voir plus loin, d’une case il me semble.

CAP. ALI’ TZARINE : (surpris) Ah ? J’avoue que le lien est difficile à faire. Et pour les étoiles, et le soleil ? Cela nous aide à mieux comprendre les astres et à nous guider avec non ?

SECOND : Rien à voir. L’astronomie ici, permet de naviguer en connaissant mieux les vents et l’art de la grimpette, et non en observant et étudiant les astres voyons …. Hahaha !!! Se guider avec les étoiles, hahaha, c’est d’un ridicule.

CAP. ALI’ TZARINE : (lui donne un coup sur la tête) Silence insolent. Je prédis qu’un jour, nous en viendrons à cette science, qui sera sans doute la plus fiable pour se déplacer en mer … et qui sait, découvrir de nouvelles terres.

SECOND : (pas convaincu) Possible …


Page 12 : [en mer toujours]

MATELOT : Vaisseau ennemi à tribord !!!

CAP. ALI’ TZARINE : Mince, il est gros !!!

SECOND : Heuuu, un vaisseau ???

CAP. ALI’ TZARINE : Oui, pourquoi cette question ?

SECOND : Ben un vaisseau, c’est pour aller dans l’espace, non ? La ce que je vois c’est un bateau.

CAP. ALI’ TZARINE : Triple andouille ! On dit aussi vaisseau pour les bateau. Et la, crois moi, ce vaisseau de guerre va ne faire qu’une bouché de nous. Barre à bâbord !!!!!

SECOND : …

La manœuvre est fine, mais le résultat reste inchangé. Le terrible vaisseau de guerre déclenche une batterie de canons qui eu vite fait d’en finir. Pourtant tout ne se passe pas comme prévus. Malgré les tirs de canons incessants et le nombre innombrable de morceaux de bois qui volent, le mauvais marcheur ne sombre pas.

TERREUR_VERTE58634 : Raaaaahhhhh !!! Corne de bouc !!! C’est quoi encore tout cela ??? Pourquoi ce stupide rafiot ne coule donc pas, milles sabords ???

A nouveau sur le mauvais marcheur.

CAP. ALI’ TZARINE : J’y comprends rien. On à 0 point de dégâts, et pourtant on ne coule pas.

SECOND : 0 points de vie ? Heu ça veux dire quoi ça ?

CAP. ALI’ TZARINE : C’est trop compliquer pour toi, tu ne maîtrises pas l’ingénierie navale. Mais disons que c’est le niveau d’avarie du bateau, et, en l’occurrence, on devrait déjà avoir coulé.

SECOND : C’est plutôt une bonne chose alors ? On à résister à l’assaut ?

CAP. ALI’ TZARINE : Il faut croire. Pourtant, impossible de manœuvrer, on reste bloqué sur place. Non dois y avoir un bug. Et l’autre crétin qui nous tire dessus. (utilisant les mains en porte voix) Hooo !!! C’est bon !!! Calme toi, on est vaincu, mais on ne coule pas y a un bug !!! Alors calme ta joie ok !?

TERREUR_VERTE58634 : (répondant les mains en porte voix) Ok !!!!!

SECOND : Bon alors que faisons nous ?

CAP. ALI’ TZARINE : Je vais aller voir dans la soute si on n’a pas un petit dégât.

MATELOT : Inutile capitaine !!! J’ai déjà tout vérifié et réparer !!!

CAP. ALI’ TZARINE : Réparer ? Comment ça réparé ?

MATELOT : Oui ! Avec du chewing-gum.

CAP. ALI’ TZARINE : Qu’est ce donc que ce truc ?

MATELOT : Le chewing-gum ? C’est un produit élastique que l’on mâche, à base de résine de fruits et de fiente de porc.

CAP. ALI’ TZARINE : (une moue très dégouté) Beurk.

MATELOT : C’est très goûtu vous savez ? Mais ça peut servir à colmater les trous. En l’occurrence, j’ai arrêté une grosse fuite

CAP. ALI’ TZARINE : Ah ben c’est malin, c’est pour ça qu’on ne coule pas, et qu’on est coincé ici.

SECOND : Capitaine Ali’tsarine, vous préfèreriez couler et mourir ?

CAP. ALI’ TZARINE : (hurlant) Oui !!! Plutôt mourir que de rester éternellement dans ce navire de défection, avec pour seule vue un océan de défection, des nuages de défection, à pêcher et à bouffer des poissons de défection, avec un équipage de défection !!!

SECOND : (blasé) Heuuu merci pour le compliment. Pour la pèche, on ne peut pas.

CAP. ALI’ TZARINE : Comment ??? Pourquoi donc ???

SECOND : Pas codé…

CAP. ALI’ TZARINE : Meeeeeeeeeeeeeeeerde !!!!!!!!!!!!

SECOND : Sinon reste plus qu’une chose à faire.

CAP. ALI’ TZARINE : Quoi donc ?

SECOND : Prévenir un admin.

CAP. ALI’ TZARINE : Un admin ?

SECOND : Oui ! Les créateurs du jeu. Ils débloqueront ce bug, et nous pourrons mourir.

CAP. ALI’ TZARINE : Parfait …


[Crédits]

L’auteur tien à remercier pour avoir été sa source d’inspiration, parfois sans qu’ils ne le sachent :

La duchesse Gwenhywar dans le rôle de la duchesse Gwomenkhsaspronoz.

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc.

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow et de Manu95.

Les loups de Champagne, avec le caporal, le soldat1 et le soldat 2.

Le CAC de Champagne dans le rôle du CACA.

Astrid la rouge dans le rôle de Astrale la rougeole.

Nelson Monfort (il joue aux RR lui maintenant ?) dans le rôle de Nelson Rockfort.

Delvine, dans le rôle de Devine.

Léa29, dans le rôle de Lia.

Dame Alizarine dans le rôle de l’archère puis du capitaine Ali’tsarine.

Mais aussi tous ces personnages PNJ, dont j’ai dépassé hélas le quota autorisé fixé à 5
Chef de port
L’équipage d’un mauvais marcheur avec le second et le Matelot
Gamine odieuse
L’arbitre
Le chroniqueur du 6ème Grand festival de la couronne dans le rôle de … ben du Chroniqueur.
Le sucreur (enfin bon est ce vraiment un PNJ ? On va finir par tous s’y perdre et sombrer dans la schizophrénie à force de mélanger RP HRP et d’abuser du jeu des RR non ? Bon un Vallion et ça passera …. Mince un valium je voulais dire … fiou je crois que j’ai vraiment besoin de repos…)

Avec aussi notre bon et maintenant bien connu méchant brigand, enfin pirate à présent, mais toujours sanguinaire, sans lequel, le monde des RR serait une pensée 21ème siècle, et totalement peace and love.
Terreur_verte58634


UN JOUEUR CHIANT : Et moi ? Tu m’oublis.

MANUEL : Tien, t’es encore la toi ? J’y viens.



Des personnes ou personnages HRP des RR.
Joueur Chiant
Mayeule
Les censeurs du jeu (aller on va le dire, en fait c’est eux que j’ai nommé les sucreurs … qui n’avais pas compris ?), pour m’avoir verrouillé et déverrouillé une nouvelle fois. En m’excusant sincèrement d’avoir été pour eux une énigme délicate à résoudre, notamment en matière de balisage

Et enfin certain personnages auquel j’ai fait allusion, qui animent l’histoire des RR.
Levan III
Les bourrins de Cambrai
Yeuxbleux
Armoria
Ansegisel
Isaure
La duchesse Maltéa de Brienne.
La duchesse Siva de Chiny
Coluche (l’ex général bourguignon pas le comédien)
Nos admins


Pour finir Merci à notre LJD Levan, pour ce magnifique jeu.



Dans un océan, après le tir de 5 185 426,3 boulets (de canons hein ? N’allez pas confondre, sont pas si nombreux les autres).

TERREUR_VERTE58634 : (se frottant les mains) Ahhhh enfin, il a coulé ce misérable rafiot. Par ma barbe, j’espère que le butin sera à la hauteur.

TERREUR_VERTE58634 : (hurlant) Quoi !!!!!! Ou est le butin ??? Logiquement il n’a que 2 % de chance de disparaître chaque jour et on est aujourd’hui. Alors ??? Je serais maudit ??? Hého !!!

ADMIN : Juste un codage pas encore terminé. Et puis la, on part en vacances alors tant pis. Et bon jeu.

TERREUR_VERTE58634 : Jeu de meeeeeeeeeeerdeeeee !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


FIN

* Mayeule est un personnage enfant du monde des « Loup galeux d’un tierce lieu » (parodie des loups garous de Thiercelieux) auquel je souhaitais rendre hommage dans le monde des royaumes redondants. Un hommage très faible, avec une éphémère apparition, je n’ai pas pu faire mieux. Après tout, un fossé d’un demi-millénaire sépare ces deux mondes. On peut retrouver Mayeule dans les « Loups galeux d’un tierce lieu 3, le vil âge » et dans le premier et second hors série de cette saga.
_________________
Manu95
Les Royaumes Redondants© hors série 1

Les royaumes redondants c’est quoi déjà ?


An de grâce 1452. La guerre de 100 ans vit ses dernières années. Charles VII le victorieux, sur le trône du royaume de France, touche à l’apogée de sa puissance. Il a enchainé reconquête sur reconquête et a repris bon nombre de territoire français comme le Maine la Normandie, et une partie du sud ouest. Toutefois, Une expédition conduite par Talbot, anglais, reprend Bordeaux avec l'aide de la population en octobre 1452. Mais un évènement va perturber de façon irrémédiable la cour de l’histoire. Un coup d’état, minutieusement préparé, que les historiens se porteraient à croire œuvre de sorcellerie, détrône Charles VII, qui se retrouve exécuté sans aucune forme de procès, avec l’ensemble de ses vassaux. C’est ainsi que Lavon Ier monte sur le trône, fait exterminer toutes la population de son nouveau royaume, afin d’y installer son peuple. Une nouvelle aire vient de démarrer. Une aire ou le maïs apparaît pouf pouf comme du pop corn (oui je sais c’est bidon). L’aire des Royaumes redondants ….

UN JOUEUR CHIANT : Heu tu as dit que tu arrêterais de nous donner la gerbe avec tes parodies, à la fin du troisième volet …

MANUEL : Ah tien, tu m’avais manqué toi.

UN JOUEUR CHIANT : C’est ça, cause toujours. Alors tu t’arrêtes jamais toi ?

MANUEL : Je fais une promesse à une amie, LJD feu Magdeleine. Un hors série.

UN JOUEUR CHIANT : Alors on est condamné à te lire avec ennuie pour l’éternité.

MANUEL : En quelque sorte. Mais rassure toi, ce hors série sera très court.

UN JOUEUR CHIANT : Tant mieux …




Visite guidé

Sur un navire, nommé « l’âge mature », un jeune garçon se prépare à prendre la parole sur un tonnel en bois, face à une petite assemblé. Imaginez vous un bateau, avec assis sur quelques bancs, des passagers tout ouïe, qui traverse une des plus grandes villes d’Europe. Oui car actuellement ce navire vient d’entrer dans Paris. Et le capitaine du navire, le célèbre seigneur Machalow, a donner pour consigne à son jeune plouc de servant, d’annoncer l’entré dans la ville du monarque. Mais ce jeune homme plein de fouge et dont les premiers afflux de testostérone, va forcément faire du zèle.

JEUNE PLOUC : Oyez oyez, Mesdames messieurs, ici votre guide sympathique pour votre service. Nous allons à présent aborder la visite de Paris, ville lumière.

JEUNE PLOUC : Good moooooorniiiigg allllll. I’m your god, your king, your teacher. You must listen me, noobs. I meet you Paris, the light town.

JEUNE PLOUC : Sur votre droite, vous pouvez tout d’abord admirer notre dame de Paris. Architecture majestueuse qui est aussi le point zéro pour mesurer la distance entre Paris et les autres villes. C’est aussi de la que partent toutes les routes et autoroutes de France.

JEUNE PLOUC : In Your Right, there are my ladie of Paris. It’s not à protit… a présta … hem, a prostate, but a house. Pervers, stay sit down. My ladie of Paris is a big house of god, and the ways and higntways start here.

JEUNE PLOUC : A ma droite, admirez à présent l’hôtel de ville. Lieu de travail du maire de Paris, administrateur de la commune actuellement prénommé messire De La Noé. Il avouer dernièrement son penchant pour les hommes.

JEUNE PLOUC : In my right, see the town hostel. 59 ecu by Nitgh. It’s here then Sir De La Noé, a gay man, works wy … other mans.

JEUNE PLOUC : A ma gauche, le bar de chez dudule. On y bouffe bien et surtout, la bière y est pas chère.

JEUNE PLOUC : In my left, the Dudule Bar. It’s a fast food, and you can’t drink.

JEUNE PLOUC : Attention, nous allons passer sous le pont Alexandre III. Baissez la tête pour éviter de vous cogner.

JEUNE PLOUC : Warning, Your attention please … Bourguignon, lift up.

JEUNE PLOUC : A ma droite, vous pouvez voir l’Obélix, qui n’est pas la statue d’un célèbre gaulois, mais une sorte de … zizi en pierre taillée, dont on ne connais toujours pas l’utilisation.

JEUNE PLOUC : In my Right, There is, Obelix, not a gaulois‘s statue, but a …. A …. French Popaul.

JEUNE PLOUC : Enfin pour terminer la visite, voici à ma gauche, la fierté de notre royaume, la majestueuse tour Eiffel. Construite au début du XXème siècle, cet édifice de pierre a demander une quantité énorme de minerai de fer, d’où la pénurie actuelle dans les duchés du DR. Mais son utilité n’est plus à prouver car elle sert d’antenne télé et radio, et bientôt nous y feront aussi passer le numérique. La tour Eiffel à été construite je le rappelle par messire Eiffel.

JEUNE PLOUC : So in my left, the best monument of Paris, the Eiffel tower. Its build by sir Eiffel, with enormous metal, in the XX siècle. She are à radio and TV station and she will equipped by numétic technology.

JEUNE PLOUC : A présent je vous souhaite un agréable voyage vers la Normandie, et n’oubliez pas le guide.

JEUNE PLOUC : Now, give me your money, go too the f***ing cales, and be quiet.

Plus tard dans la cabine de pilotage

SEIGNEUR MACHALOW : Jeune servant, qu’est ce donc toutes cette mascarade ?

JEUNE PLOUC : Une idée à moi seigneur Machalow. Profiter de notre passage dans Paris, pour divertir les gens. (montrant des écus) Et puis regardez, cela rapporte.

SEIGNEUR MACHALOW : En effet, c’est une excellente idée. Sans doute devrions-nous rester à Paris la prochaine fois et créer un service de visite de la capitale par les fleuves. Voyons comment pourrions nous appeler cette nouvelle compagnie ?

JEUNE PLOUC : (voyant un insecte volant s’écraser sur le plafond de la cabine) Pourquoi pas la compagnie des bateaux mouches ?

SEIGNEUR MACHALOW : Un nom affreux, mais bon on va garder quand même. Au fait tous ces édifices que tu leur a montré, je n’en ai vu aucun. Suis-je fou ?

JEUNE PLOUC : Maître, tout l’art de l’arnaque est la. Nous leur montrerons des batiments qui n’existent pas et n’existeront jamais.

SEIGNEUR MACHALOW : Hahahaha !!!! Tu est rusé mon jeune servant. Et perspicace. Nous avons un bel avenir devant nous.

JEUNE PLOUC : Merci mon maître



Le chemin se termine … et c’est une impasse


JEUNE PLOUC : (Inquièt) Seigneur Machalows, vous allez bien ?

SEIGNEUR MACHALOW : (dans les latrines, depuis plus de 48 heures). J’ai une chiasse cataclysmique, je me vide des deux bouts des boyaux depuis deux jours, et tu me demandes si je vais bien, sot de servant ???

JEUNE PLOUC : C’est que … je m’inquiète. Vous me semblez mal.

SEIGNEUR MACHALOW : Mal ??? Mal ??? Le mot est faible … Oui, j’ai mal. Je souffre le martyre. J’ai le fion rougeoyant et flamboyant à tel point, que j’ai l’impression que ce sont les flammes du sans nom, qui en jaillissent !!! A chaque crue de mon fessier, j’ai l’impression de transiter dans mon troufignon toutes les réserves de procelaine du royaume de France. Alors oui, j’ai mal !!! J’ai affreusement mal !!! Aïe Aïe Aïe !!!

JEUNE PLOUC : ...

SEIGNEUR MACHALOW : (anxieux, le séant posé sur les latrines) Bon sang, ce crétin de joueur qui m’a manipulé va vraiment faire ce qu’il dit …


La nuit suivante.

SEIGNEUR MACHALOW : (voix faible) Mon bon petit servant vient la.

JEUNE PLOUC : (sur la défensive) Vous n’allez pas me taper ?

SEIGNEUR MACHALOW : (voix faible) Je suis bien trop faible pour cela … je … je crois que je vais mourir…

JEUNE PLOUC : (murmurant à lui-même) Ahhhhh enfin, yeaaaapyyyyy !!! Ce vieux crouton va enfin crever !!! (de vive voix) Ohhh !!! C’est vraiment dommage …. Vraiment …. Je suis sincère …. Vous allez manquer à beaucoup de monde … par exemple heuuu …. Heu ………

SEIGNEUR MACHALOW : (voix faible) Te fatigue pas crétin. Avant de partir, je te dévoile mon testament. Mon bateau ira, à ma suzeraine, ma fortune à ma bastarde, et …. Pour toi, je t’offre tous les ouvrages de ma bibliothèque.

JEUNE PLOUC : Quoi ???? Pour moi, des vieux bouquins ??? Vous vous foutez de moi ?? Qu’est ce que je vais faire de ces vieux machin poussiéreux ?

SEIGNEUR MACHALOW : Tu sais lire toi au moins non ? Alors tu en feras meilleur usage que moi …. Bon maintenant laisse moi mourir… arrrrgglll rgggllllll ggl ………

JEUNE PLOUC : Maître ? Maître ??? (après un instant) Ah … je crois qu’il est mort.

Dans l’autre monde

ANGEBRISELE : Ah te voila enfin toi !!!

SEIGNEUR MACHALOW : Oui, ben j’en avais un peu marre de m’essuyer sans cesse la rondelle

ANGEBRISELE : (écoeuré) C’est cela oui …. Bon en tous cas, bienvenue de l’autre côté, et prépare toi à la …déception.

SEIGNEUR MACHALOW : Déception ? La félicité promise n’est t’elle pas aussi magnifique que prévue?

ANGEBRISELE : Tu plaisante j’espère ? On a promis 70 pucelles à tous ceux qui se feraient sauter la tronche à coup de hache ou d’épée, et bon … ben par curiosité, j’ai essayé.

SEIGNEUR MACHALOW : Ha et il n’y avait pas 70 pucelles ?

ANGEBRISELE : Ben en fait sont bien 70, mais c’était inutile de se faire sauter la tronche à coup de hache. Tous le monde y a droit en fait.

SEIGNEUR MACHALOW : Ben, à par le fait que tu passes pour un imbécile, ce n’est pas si décevant non ?

ANGEBRISELE : Ben regarde la gueule des 70 pucelles et tu m’en diras des nouvelles.

SEIGNEUR MACHALOW : (se tournant de 120° à gauche, quoique certains historiens religieux pensent qu’il s’agissait en fait de 140° à gauche) C’est qui ces boulets ?

ANGEBRISELE : Des bourguignons, des artésiens, et quelques angloys. Que des mâles bien sur. J’imagine que comme moi, ça ôte à ton corps spirituel toute libido ?

SEIGNEUR MACHALOW : Eurk, c’est dégoutant certes. Je retourne sur terre dans ces conditions.

C’est ce qu’il fît. Aussi, imaginons la réaction de son jeune plouc à la vue de cette résurection, à la piété plus que douteuse.

JEUNE PLOUC : (tétanisé de peur) Maître ??? Vous vivez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Oui oui, je suis revenus de la bas.

JEUNE PLOUC : La bas ?

SEIGNEUR MACHALOW : (à lui-même) Bon je vais pas lui dire que l’au delà c’est grave craignos, alors mentons. (puis tout haut) Tout est neuf, tout est sauvage.

JEUNE PLOUC : La bas ?

SEIGNEUR MACHALOW : Libre comté, non sans grillage.

JEUNE PLOUC : La bas ?

SEIGNEUR MACHALOW : Beau comme on imagine pas.

JEUNE PLOUC : La bas ?

SEIGNEUR MACHALOW : En fait on ne m’a pas laisser le choix.

JEUNE PLOUC : La bas

MANUEL : Heu bon, vous avez terminés avec vos références ? C’est pas vous qui aurez des em*** avec les droits d’auteur et la SACEM

JEUNE PLOUC : Ok

SEIGNEUR MACHALOW : J’avoue que vu ce que tu m’a fais subir, ce ne serait que justice … Enfin reprenons.

JEUNE PLOUC : Mais maître, ou étiez vous passez ?

SEIGNEUR MACHALOW : Au bout … enfin au bout du chemin, et il n’y avais pas de péages en plus … enfin au bout, j’était bien … j’était libre … et … je souligne, j’était hétéro hein ? Ne va pas croire que j’ai … enfin … avec les bourguignons …. Jamais ô grand jamais.

JEUNE PLOUC : (à lui-même) Mon dieu, voila qu’il divague de nouveau. (prenant un oreiller) Bon j’ai pas le choix.

SEIGNEUR MACHALOW : (le voyant faire) Mais que fait tu ???

JEUNE PLOUC : Désolé maître, mais j’ai annoncé à votre suzeraine votre mort

SEIGNEUR MACHALOW : Hé ben, t’a pas trainé toi … sympa.

JEUNE PLOUC : Et si elle découvre que je me suis trompé, elle me tuera. Donc …

SEIGNEUR MACHALOW : Donc ?

Mais le jeune plouc déjà presse le coussin, (ou l’oreiller les historiens ne sont pas unanimes la dessus) sur le visage du seigneur Machalow. Se dernier s’éteint définitivement cette fois.

[Crédits]

L’auteur tien à remercier bal bla bla

Ansegisel, dans le rôle d’angebrisèle

Jean Lesseau, dans le rôle du Jeune plouc.

Le seigneur Marchais dans le rôle du seigneur Machalow et de Manu95.


[color=blue]LA JOUEUSE DE FEU MACDOLAINE : en alors, c’est tout ?

MANUEL : ben quoi ?

LA JOUEUSE DE FEU MACDOLAINE : ben le hors série est pas très long, tu ne t’ai pas autant crevé la rondelle que les autres fois

MANUEL : ben tien, j’avais dit en même temps que j’arrêtais dès le troisième volet, donc bon …

LA JOUEUSE DE FEU MACDOLAINE : mouais


Pour finir Merci à notre LJD Levan, pour ce magnifique jeu.

A nouveau, dans l’au delà

SEIGNEUR MACHALOW : Noooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


FIN
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