Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP] Mariage de McLegrand et Tsampa

P27kw
Mgr Lyonis sourit alors à son co-officiant puis vit que du monde commençait à arriver.

Mais soudain il vit arriver dans une superbe robe dorée une jeune femme. Il se dit qu'il l'avait déjà vu quelque part. Lyonis aperçu que cette jeune femme très distinguée s'assit au premier rang. Il se doutait alors que c'était une femme reconnue et importante.

Il chercha alors dans son esprit où est-ce qu'il avait pu rencontrer cette femme.

Soudain il se rappela c'était la Reine de France. Il était surpris de la voir icilieu, c'était un honneur de pouvoir officier en sa présence. La regardant d'un air doux il lui fit un sourire et puis continua à guetter l'arrivée des invités.
Leanore


C'est à Léanore que McLegrand avait demandé d'afficher les bans de son mariage avec la duchesse d'Alençon. Cela faisait quelques temps qu'elle était au courant et bien entendu avait prévu d'y assister. Cependant il avait fallu se rendre à Paris....... Il n'avait pas fallu songer un instant à un mariage dans la petite ville de Patay puisqu'il s'agissait d'une duchesse. ET la fiancée n'étant pas patichonne mais alençonnaise, les futurs mariés avaient sans doute eu un dilemme quant au lieu de la cérémonie. Alors Paris était sans doute la meilleure solution pour eux. Léanore s'y était donc rendue avec joie d'autant qu'elle connaissait le marié depuis fort longtemps et lorsqu'il lui avait présenté sa fiancée, elle en fut très surprise car Mc n'était pas homme à s'intéresser aux femmes mais plutôt aux chiffres, à la soule etc......Léanore avait donc regardé Tsampa d'un oeil admirateur puisqu'elle avait réussi à conquérir le coeur de son ami et le sortir du célibat.

Lorsqu'elle arriva à la capitale, elle fut émerveillée par la grandeur. Elle demanda son chemin pour se rendre à la cathédrale et en parcourant les rues de Paris, elle se rendit compte que non seulement la capitale était immense mais aussi dans certains endroits d'une saleté repoussante. La jeune médicastre secoua la tête bien tristement en pensant à toutes ces maladies que pourraient attraper les parisiens au contact des immondices et des rigoles d'eau sale qui coulaient dans les ruelles.

Enfin elle découvrit la cathédrale, toute blanche et immaculée, et elle dut lever la tête très haut pour pouvoir admirer la rosace qui ornait sa devanture elle-même flanquée de deux tours. L'ensemble était orné de statuettes saintes, gargouilles effrayantes, sculptures représentant des scènes du parchemin sacré. Cette cathédrale était un véritable livre ouvert. La jeune femme eut beaucoup d'admiration pour les hommes qui avaient construit un tel édifice.

Soudain elle n'osait plus entrer. Elle voyait aux alentours des allers et venues de calèches et de carrosses qui rivalisaient dans les dorures et ornements de toute sortes. Des belles dames et de beaux messieurs en descendaient et entraient dans la cathédrale. Finalement elle se décida. Elle n'avait pas fait tout ce chemin pour rester sur le parvis.

L'intérieur était tout aussi magnifique. La lumière pénétrait par des vitraux lumineux, des arcs savamment ciselés supportaient toute la voute et encore des statues décoraient l'ensemble.

Léanore s'assit sur un banc pas trop près du choeur estimant qu'il fallait laisser sa place aux nobliaux qui ne manqueraient pas de venir assister ou plutôt venir se montrer.

C'est de ce poste d'observation où elle était persuadée qu'on ne la verrait point qu'elle eut la surprise d'apercevoir Saino. Ancien patichon, exilé à Castelnaudary, elle se souvenait de lui, étudiant, passant devant sa boutique hiver comme été pour se rendre à l'université. C'était lui qui lui avait fait l'honneur d'effectuer sa première grosse commande : un mantel. Elle l'observait de loin, n'osant pas aller l'interrompre dans sa discussion. Il était prêtre à présent. Et puis se souviendrait -il d'elle ?

Des personnes continuaient à arriver puis Léanore eut le souffle coupée en apercevant une dame vêtue d'une robe et d'une cape faites d'un tissu de texture exceptionnelle. C'était elle, la reyne, venue sans doute en simple équipage pour éviter les soucis inhérents à son statut. C'était la deuxième fois qu'elle voyait la reyne, la première étant lors du voyage de son altesse en Orléanais et où Léanore était venue présenter ses hommages à sa souveraine en tant que conseillère ducale.

Léanore était heureuse de ces instants. Elle retrouverait sans doute d'anciens patichons lors de cette cérémonie de mariage.

_________________
Nicolas.df
Ainsi donc, le jour était venu où la duduche mairesse chamane hérautique méchante allait devenir, en plus de tout cela, madame McLegrand. L'Italien avait une pensée émue pour le pauvre secrétaire qui serait obligé à l'avenir de rédiger les en-têtes des courriers... quoi qu'il était peu probable qu'elle utilise ce genre de titulature dans un cadre officiel. Enfin, il était concevable qu'elle n'estime pas un fou rire comme la première réaction à ses missives, mais tout de même, cela aurait ajouté un peu d'humour à...

Tiens, mais c'était Notre Dame, ça. Déjà ? L'avantage de s'encombrer l'esprit avec des réflexions oiseuses, c'est qu'on ne voyait pas le temps passer, ce qui constituait un confort indéniable en matière de marche à pied dans les rues de la capitale.

Or donc, Notre Dame. Il y avait moins de monde que la dernière fois qu'il était venu, pour le mariage du vice-amiral. Il devinait que cette cérémonie serait moins animée : sans Odoacre pour jouer le chien dans un jeu de quilles, les unions devant le regard du Très-Haut avaient tendance à bien se passer. La preuve en était que cette fois, la garde royale n'était pas présente et... mais si, elle était présente ! Nicolas haussa un sourcil, surpris de rencontrer ici des hommes et des femmes vêtus du tabard qu'il avait lui-même arboré dans le temps. Aucun visage ne lui disant quoi que ce soit, il s'agissait probablement de nouvelles recrues. Mais que faisaient-elles là au juste ? Tsampa ne les avait sûrement pas réclamées pour des motifs d'apparat, ce n'était pas son genre...

La réponse, qu'il mit quelques instants à reconnaître puisqu'elle ne portait pas sa couronne, était au premier rang.


Porco dio !

Le juron lui avait échappé. Heureusement, les quelques regards qui se tournèrent vers lui étaient plus curieux que réprobateurs... l'avantage des langues étrangères. Il tâcha de reprendre contenance et alla s'asseoir dans l'autre rangée, marmonnant des insanités dans son absence de barbe. Pour une raison incertaine, voir la Reyne abhorrée ici, dans ce qui était censé être un jour de réjouissances aux côtés d'une amie, ne fit que renforcer sa résolution à en débarrasser le pays. L'annonce du Lys Pourpre lui avait fait comprendre qu'il n'était pas le seul à envisager des solutions radicales quant au problème Castelmaure... aussi l'espoir était-il permis.
_________________
Nabel_de_volvent
Travailler... encore et toujours, pour lui permettre de vivre, revivre, avoir une vie à peu près normale, loin des armées, des batailles, des jours de famine, de tout ce qu'elle regrettait, mais ne pouvais corriger ... seule.
Alors dans l'auberge qu'elle squattait depuis plusieurs jours en Anjou, la blonde fut quelque peu surprise d'entendre le tavernier frapper à la porte de sa petite chambre et encore plus de lire le vélin roulé.
Sacré lui ! toujours là pour lui remonter le moral, toujours même quand le monde entier, enfin ses amis... bref n'est-il pas que la nouvelle tombe, aussi étrange qu'elle soit, même si la renarde était au courant ... enfin il lui semblait !
Mais pas d'invitation, rien pour la pauvre ... alors là ! Pour louper le mariage de sa brune, il faudrait lui couper une jambe, voir deux, ou bien même lui ôter la vie !
Ni une, ni deux, balluchon fait, elle dévale l'escalier, laisse quelques pièces sur le comptoir, récupère Artois ... et file en direction de Paris ...

Les jours passant, la Capitale se rapprochait, enfin elle s'approchait de Paris ... quelques jours pour penser à comment faire sans même se faire remarquer, quelques pensées égarées, un peu Lui, un peu pour lui ... un peu pour ce qu'elle a laissé derrière elle, et ce qu'elle verra dans quelques heures, si elle arrive !
Mais à peine le temps de prononcer quelques injure contre le froid qui la torture même sous sa cape épaisse, l'Adorable voit enfin les mur de la cité, et capuche sur la chevelure blonde, elle pénètre dans la ville royale, à la recherche d'une auberge.
Quelques économies dépensées dans la location d'une chambre, de quoi se restaurer, et de quoi se faire une toilette, et Nabel repart déjà ...

Nostre Dame, lieu tellement ... ouai pas comme Alençon, ou Bertincourt, ou encore l'Anjou, non tout sauf ça ... alors elle observe, sans même oser s'approcher de l'immense édifice, peut être aussi bloquée par le coche qu'elle vient d'apercevoir, frappé aux armoiries du duché d'Alençon ...


Tsampa ...

Prénom murmuré, mélange d'émotions, tiraillé entre tristesse et souvenirs, entre bonheur et remords ... et si ... non ne pas commencer avec cela, ne pas penser à ce que ce jour serait si elle n'avait pas fait tout cela. Alors, peinée, et heureuse pour Elle, la blonde ressert un peu plus sa cape sur sa robe rose, et réajuste la capuche sur ses cheveux, la cachant quelque peu ... adossée à un mur, elle attend de voir Tsampa descendre et peut être qu'après elle entrerait dans l'église ...
_________________
Keridil
Ils avaient mis du temps à se décider les Amahir-Euphor-Volvent.
D'habitude, on ne rechigne pas pour aller à Paris, moins encore pour des épousailles, mais en l'occurrence, déjà qu'ils n'ont pas beaucoup de temps pour eux, si c'est pour le passer à célébrer l'amour d'autrui plutôt que le leur...
En plus, Keri c'est pas un grand fan de Mc. Oh, il n'a rien contre lui, mais plutôt contre ses idées avant-gardistes et en même temps tellement passées de mode. Mais bon, tant pis, en bons nobles orléanais, ils avaient sorti le coche aux couleurs de Bréméan-Railly surmontées d'Amahir-Volvent et hop, en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, ils étaient à Paris.
Là, ils ont décidé de squatter au Louvres. Parce qu'en bons vassaux de Sa Majesté, ils y ont leurs appartements. Ah bah si ! Della elle a dit oui quand Keri lui a demandé alors qu'on vienne pas me dire le contraire. Non mais !
Un appartement au Louvre c'est quand même drôlement classe, drôlement pratique, et drôlement moins cher qu'une chambre pourtant miteuse dans la première auberge venue.
Parés comme les Seigneurs qu'ils sont, la blonde et le brun ont fait leur chemin et les voilà arrivés à Notre-Dame.
Chose surprenante, ils avaient le carrosse royal devant le leur, avant de le perdre de vue au détour d'un carrefour.
Le parvis de la cathédrale est un peu peuplé, mais avec l'habitude, on ne s'émerveille plus forcément, et rapidement, Bréméan est à l'intérieur, signé et installé.
Il a bien sur salué les présents qu'il a pu reconnaître, comme on le fait à chaque mariage, mais il n'a point vu la royale Béatrice, tout devant, puisqu'il se trouve deux rangs derrière, alors s'il devait reconnaître toutes les chevelures brunes...
Bref voilà où nous en sommes...gageons que Della saura bavarder un peu avant que la musique ne retentisse et que commence l'office.

_________________
Eilinn_melani
Le Premier Maitre d'Hôtel n'aime pas les mariages. C'est gnangnan, on joue à la plante verte en faisant croire que c'est trop choupi les fleurs et les coeurs accrochés partout, et en se retenant de lever les yeux au ciel en voyant les futurs mariés se faire des gouzi-gouzi. Et même que parfois ya rien à manger.

Bref, ce matin, aux cuisines du Louvre, ça joue au tire-au-flanc, tandis que Germain, la victime en chef du P.M.H., tente de faire changer d'avis le-dit chef.

- Je veux pas y aller j'ai trop de travail !
- Aucune cérémonie n'est prévue aujourd'hui... et la Reyne est en Alençon.
Comme quoi même les officiers du Louvre on leur dit rien.
- Mais euh si... je dois vérifier les stocks de... euh... trucs.
- Ouais, et ma grand-mère c'est les Bittelses.
- Les quoi ?
- Non rien, des troubadours anglais. Allez, fichez le camp ! Quand vous faites la tronche vous êtes encore plus imbuvable que d'habitude !
- Nanméoh ! Comment que tu me causes ?!?
Germain sortit alors l'arme ultime.
- Au fait la voiture de la Castelmèmère a été annoncé il y a vingt minutes, vous allez bien faire son service ce jour ?
Regard meurtrier de l'Avize à son second.
- C'est mesquin ça.
Pestant et bougonnant, comme quoi c'était nulle la vie, le Premier Maitre d'Hôtel alla se changer, pour se rendre aux épousailles du vassal de son tuteur, qu'il était bien obligé de représenter en son absence.
- J'veux pas y allleeeeeeeeeeer !
Triste monde tragique, lalalalala...

Notre Dame, mais on s'en doute.

Eilinn accrocha un sourire sur son visage, et entra dans la cathédrale. Même ce jour là le bâtiment religieux ne lui faisait aucun effet, et arguant de son statut de presque-suzeraine du marié, alla s'installer au second rang.
Froncement de sourcil en reconnaissant d'abord une robe avec "l'Attia's touch", avant de réussir à identifier celle qui la portait. Les yeux s'arrondirent, mais Eilinn ne bougea pas.
Pas envie.
Eilinn boude. Eilinn aime pas les mariages, même si Eilinn aime bien Mac. Quand même.

_________________

Les Tweets du Peterisme
Mclegrand
"Bonjour mon grand frère qui se marie aujourd'hui et qui va de plus en plus me manquer... Allez ne t'inquiète pas, tout va bien se passer...

Tu veux manger ou boire quelque chose? Car après tu ne pourras plus, je te fais enfiler ton costume, et hors de question que tu le taches..."


Mc regarda Ju un peu confus...

Non, vraiment, je sais que c'est rare, mais là... je n'ai pas faim, du tout.

Aide-moi juste à m'habiller, il faut que tout soit parfait et je sais que si c'est moi qui m'en occupe, je vais oublier des milliers de détails.


Il se tait, tant que possible, pendant son habillage... pas vraiment envie de parler, juste réfléchir à toute la journée qui allait se dérouler... le mariage, l'entrée dans l'église, la cérémonie, les personnes invitées, les personnes oubliées... qui viendrait, qui ne viendrait pas... ce qu'il faudrait dire pendant la cérémonie, penser à le dire clairement...
Ah, encore une chose. La cape rouge. Wow. Décidément, Ju est une couturière hors pair.

En chemin pour la cathédrale
Dans le coche, Mc parlait peu... et encore, c'est un euphémisme. Il répondait vaguement par des réponses courtes, des "oui." et des "non." au quelques questions que sa soeur et son cavalier, François, tentaient de lui poser... la pauvre, certes, mais Mc n'avait vraiment pas envie de dire quoi que ce soit avant la fin de la cérémonie... parler était trop, pour qu'il puisse ressortir tout ce qu'il ressentait en ce moment, ce jour spécial...

Parvis.
Du monde qui circule sur le parvis, dans tous les sens. Des marchands. Des passants. Des parisiens, quoi. Et quelques coches dont on voit bien qu'ils détonnent dans le paysage. Mais... surtout... Notre-Dame, qui trône là-devant.

Notre-Dame. Déjà quand on y va "comme ça" ou qu'on passe devant, elle impressionne, mais là... c'est SON mariage. Et il est juste devant. Et l'édifice l'accueille, lui, pour ça... Puis il doit entrer, en plus. Avant elle. pour l'attendre et la voir venir. Elle.

Un regard vers Ju et François


Il faut y aller...
_________________
Bel.garath
Bel' avait été invité lui aussi au mariage de Mc et de la Duchesse d'Alençon. Il connaissait un petit peu Mc et l'appréciait, mais ne connaissait absolument pas la Duchesse, ne l'avait jamais rencontré, et à dire vrai, ne savait même pas à quoi elle ressemblait. Mais ce léger détail ne le dérangea pas plus que cela.
Ce qui l'embêtait un peu plus en fait, c'était d'être dans le Maine a ce moment là, pour essayer d'poutrer des Lunes qui s'cachaient bien, les saligotes... mais à dire vrai, c'était plutot le calme plat là-bas. Aussi demanda-t-il l'autorisation de quitter les rangs pendant très peu de temps pour se rendre sur les lieux du mariage.
PARIS!! La belle PARIS.... il ne s'y était rendu qu'une fois auparavant, mais plutôt dans des quartiers mal famés, rien à voir avec la belle Nostre-Dame.

Aussi, lorsque son cheval approcha de la-dite cathédrale, il ralentit le pas pour observer le monument magnifique. A quelques dizaines de mètres, il mis pied à terre, et marcha lentement vers le parvis, monta les quelques marche, et passa discrètement la tête par l'immense porte en bois de la cathédrale. Il scruta les rangs en cherchant rapidement s'il connaissait quelqu'un. Avec Xalta, ils s'étaient dit qu'ils iraient ensemble à la cérémonie, aussi chercha-t-il principalement une tête rousse.
TROUVEE !!! Youpi!!!! maintenant....comment faire pour s'approcher discrètement, sans attirer l'attention? S'approcher du rang où se trouvait la jeune femme puis


Pardon...pardon....s'cusez-moi.... Pardon, j'vais là bas. S'cusez... et zoup! le voila assis à côté de la rouqine.

Bonjour toi! s'cuse moi, j'ai pris un peu de temps en route.... m'enfin, comme je te l'avais dit, me voila! Tu te sentiras un peu moins seule.

Puis il lui sourit et s'installa un peu plus confortablement, dérangeant un peu son voisin qui grommelait déjà.
_________________
Xalta
Étant dans les premières personnes arrivées, elle regarde distraitement qui entre dans le saint édifice, cherchant à savoir si elle reconnait ou non du monde. Elle fait sans insistance et de la manière la plus discrète qu'il soit. Elle regarde les hommes d'église déjà présents,puis reporte son attention sur les entrants, elle lève un sourcil surpris en reconnaissant la reyne qui est habillée de façon très élégante mais qui fait une arrivée discrète, ce qui se comprend au vu des derniers évènements. Elle hésite un instant à se déplacer pour aller la saluer comme il se doit, mais le souvenir de sa première rencontre à Gien et de la bourde de sa cadette lui revient en mémoire.

Puis elle aperçut Léanore, qui fut maire de Patay récemment, en même temps que son mandat de maire de Gien d'ailleurs, elle irait la saluer après la cérémonie également, en fait elle ferait de même avec toutes les personnes de sa connaissance. D'autres personnes entrèrent comme le juge alençonnais qu'elle avait pu croiser en taverne a Verneuil il y a peu de temps et avec lequel elle avait partagé des calissons qu'elle avait ramené de Provence. Elle se sentait moins en terre étrangère au fur et à mesure des entrées.

Elle se demandait tout de même si le sieur d'Oulvenne viendrait, ils s'étaient mis d'accord pour se retrouver à ces noces et pour se soutenir moralement l'un l'autre, si elle avait bien compris , il n'était pas très friand tout comme elle de ce genre d'évènements. Elle en était là dans ses pensées quand un homme vint se présenter au bout du banc pour se glisser de façon très "élégante" jusqu'à ses côtés. Elle ne put s'empêcher de sourire en voyant son postérieur frôler le nez d'une gente dame .

Bonjour Vous ! Ravie de te voir là ! J'étais en train de me demander si tu finirais par arriver , mais il est vrai qu'il y a quelques lieues du campement jusqu'ici. Merci en tout cas, il est vrai que je me sentirais moins seule, par contre ne t'endors pas ! Sinon, je pourrais pas m'endormir, deux qui dorment c'est beaucoup moins discret qu'une seule personne.

Elle lui sourit à son tour, puis sourit à l'homme quelque peu bousculé par Garath et lui chuchote

Veuillez l'excuser, depuis quelques temps, il a pris un peu en volume, le manque d'exercice je crois, rester assis sur un cheval à contempler les paysages de nos belles provinces n'aide pas vraiment à rester svelte...

Un regard en coin au giennois et un petit rire discret avant de reprendre sa place et son sérieux.
_________________
Della
Mariage, mariage, mariage !
Il n'y avait plus que ça, des mariages !
A croire que tout le Royaume avait décidé de se mettre la corde au cou !
Peut-être est-ce que les hommes, sachant Della mariée, finissaient par accepter qu'elle ne serait jamais leur et donc, choisissaient une autre ?

Dans le fond, on ne se marre pas...elle a bien le droit de rêver, Della, comme tout le monde !

Vous l'aurez compris, ce mariage-là ne l'emballait pas des masses.
Pourtant, elle avait une nouvelle robe et même une nouvelle étole de fourrure.
Mais non, le coeur n'y était pas et elle suivit son époux parce qu'il le fallait bien.
Elle serait bien restée dans leurs appartements, au Louvre, à rêvasser au fond de son lit.
Devant le regard de Kéri Kéri Chéri, elle avait craqué.

C'est donc ainsi qu'elle se retrouva à Notre Dame, assise aux côtés de son époux.
Mc, Della l'aimait bien. Vraiment. Il avait ce talent de l'éloquence qui donnait des frissons dans le dos quand on l'écoutait. Il avait cette prestance d'un homme sûr de lui, franc et opiniâtre. Elle l'aurait bien débaucher pour en faire un de ses ambassadeurs s'il avait été Bourguignon.
Tsampa, elle ne la connaissait que très peu. Surtout à travers les histoires racontées par Nabel. Elles étaient tellement amies...Au souvenir de Nabel, Della ressentit une drôle d'impression, quelque chose d'étrange en elle. Elle se sentit soudain nerveuse...
A priori, il n'y avait aucune raison...mais elle se redressa quand même et observa tout autour d'elle, cherchant quelqu'un du regard...quelqu'un qu'elle ne vit pas encore mais qui était là, elle le savait.

_________________
[Blason en réactualisation]
    Della de la Mirandole d'Amahir-Euphor
    Chambellan de Bourgogne

Colhomban
Lorsqu’il avait su que sa cadette était devenue duchesse d’Alençon, au fond de lui le brun avait ressenti de la fierté. Une estime réelle pour ce petit bout de femme têtue qui n’avait eu de cesse de batailler depuis sa tendre enfance. Ho ça, petite, elle lui en avait fait voir ! Et il se souvenait très bien de la demoiselle galopant sur les terres familiales après ses frères qui ne voulaient pas s’empêtrer d’une donzelle pour leurs jeux d’extérieur. Combien de raclées avait-elle mis à Théodore, pourtant son aîné de deux ans, pour la simple et bonne raison que ce dernier n’avait pas de considération pour la gent féminine ? Colhomban sourit à ce souvenir, et talonna son hongre de plus belle. Il ne devait pas être en retard… Ils  avaient repris contact dans la froideur, aussi, s’il manquait à l’appel en ce jour important, Tsampa ne lui pardonnerait jamais. Déjà qu’elle était loin de le faire... N’avait-elle pas précisé dans un de ses courriers que McLegrand l’avait poussé à répondre aux tentatives de réconciliation  de Colhomban ? Cela signifiait qu’elle n’avait pas eu l’intention de le faire… L’aveu l’avait vexé, et peiné toute à la fois. Ils n’avaient plus de parents, aussi les liens dans leur fratrie restaient les vestiges d’une famille éparse. Heyctor, le véritable aîné, était décédé depuis plusieurs années, Zeji vivait en Normandie, Tsampa en Alençon, Théodore vaquait dans les royaumes, et lui… Lui n’avait de cesse d’essayer de se trouver des raisons de vivre. Traînant ses bottes sur les chemins, pour mener à bien un projet d’envergure, et pourtant dangereux.
 
Depuis la mort de Sorianne, sa fiancée, le nobliau avait perdu le gout des choses et il s’abîmait à contempler la vie sans elle. Plus rien n’avait de sens malheureusement. Du moins s’était ce qu’il pensait avant sa rencontre avec la Grande Dame de Reims. Son cœur se réchauffa à la seule évocation de la blonde. Un rayon de soleil dans une vie bien terne. Elle lui avait tendu la main alors qu’il perdait pieds, et ensemble ils avaient redoré le blason de leur existence, s’offrant des moments tendres qu’ils ne pensaient plus apprécier. Il l’avait quitté avec douleur, sachant qu’ils ne se reverraient point : chacun entreprenait un projet à long terme qu’ils ne pouvaient quitter au détriment de l’autre. Bien que courte, cette parenthèse lui avait fait du bien, et s’est ragaillardi qu’il se rendait au mariage de sa sœur. Il avait certes vieilli, maigri même, mais il se sentait reposer après des mois d’un tourment qui ne lui laissait que peu d’occasion de sommeil.
 
Se fut ainsi qu’il arriva sur Paris, le jour même de la cérémonie, talonner par son fidèle valet qui n’aurait en rien quitté son maître. Surtout quand ce dernier s’apprêtait à rentrer dans la plus grande Cathédrale de France les braies couvertes de poussière…

 
Arthur… Cessez donc de vous agiter autour de moi avec ce plumeau. Vous voyez bien que la poussière accroche ! C’est ridicule… Non ! Non, je ne vais pas lever les bras sur le parvis de la cathédrale pour que vous puissiez jouer de votre instrument sur moi. Je sais que les anglais ont peu de considération pour l’aristotélicisme, mais comme je sais que vous en avez pour moi, j’ose espérer que vous allez vous calmer !
 
Pam ! Piqué au vif le valet ! Arthur Bingley, angloys de son état, se renfrogna et tendit des vêtements propres à son maître, l’exhortant avec son regard de chien battu à se présenter à sa famille proprement. Et dans ces moments là, la ressemblance avec un cocker était si frappante que Colhomban ne lui refusait rien. Il leur fallait trouver un refuge pour se changer, et s’est tout bonnement dans une petite taverne qu’ils le firent. Parés de neuf, étincelants même sous la lumière du jour (Bingley s’étant esquinté à lustrer boutons et chaussures), les deux hommes s’avancèrent vers le lieu de la cérémonie d’un pas pressé.
 
C’est ici qu’on peut enlever la mariée ?
 
Le brun s’était penché à la porte du coche de sa sœur, un sourire malicieux flottant sur ses lèvres. Il l’avait toujours taquiné, et même après leur brouille et une séparation de presque un an, il avait encore envi de le faire. Un peu mal à l’aise cependant il tira sur son col de chemise, et le sourire devint timide. Colhomban était l’aîné certes, mais il avait beau couvé sa fratrie avec les attentions d’une mère il n’arrivait pas vraiment à ses fins…
 
Tu es ravissante…
 
Il darda sur elle un regard teinté de tristesse. N’aurait-il pas du convoler lui-même bien avant ? Trentenaire, et… « veuf » ! Son cœur se pinça à cette seule pensée, et il eut du mal à garder une contenance détachée. Puis remarquant qu’il scrutait ses chausses avec beaucoup trop d’attention il se tourna vers sa sœur restée coite.
 
Peut-être devait-il la saluer non ?
Alors qu’il ouvrait la bouche pour se faire il se surprit à dire toute autre chose.

 
Tu m’as manqué Althea...
 
_________________
Jmorelle
[Que feraient-ils sans elle... pas grand chose...]


Ju regardait à présent son frère qui avait le regard lointain, la langue presque coupée, ayant du mal à prononcer une phrase complète. Où était sa verve habituelle? Peut-être la retrouverait-il devant sa promise, quand celle-ci s'avancerait vers lui dans l'allée centrale, pendant que son coeur battrait à pleins poumons en se disant: oui c'est elle! Ou bien: vite, une sortie!

Ding dong! ding dong!

Le sonneur de cloches de Nostre-Dame la tira de ses pensées. Puisque frérot avait décidé de faire la statue aujourd'hui, elle devait réagir pour deux. Elle avait pris le soin juste avant son arrivée de déplier ses habits sur le lit, afin que tout soit prêt pour quand il arriverait. Toujours main dans celle de son frère, elle le traîna presque jusqu'au lit afin qu'il vienne s'habiller.


Eh bien puisque tu n'as pas faim et que tu veux t'habiller, on se bouge un peu! Ca serait malin que tu inverses les rôles pour ton mariage et qu'au lieu d'attendre la mariée, ce soit toi que l'on attende!

Petit sourire malicieux, avant de l'aider à se déshabiller et mettre ses vêtements propres. Quoi, on s'en fiche, une soeur peut bien dévêtir son frère, pas de honte à avoir... Et puis, elle avait l'impression de jouer à la poupée... Elle pouvait en faire ce qu'elle voulait! Assis! Debout! On lève les bras pour faire passer la chemise! Donne ton pied que je t'enfile ton bas! On aurait presque pu jouer au loup y es-tu... Vous ne connaissez pas? Quel dommage! Alors petite mise en situation... En imaginant Mc en loup...

[on se chante la chansonnette dans la tête... puis la fin:]
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- Je mets des dessous propres...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- Je mets mes bas comme les nanas...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- J'enfile ma chemise crème et je la lace...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- J'enfile mes braies serrées qui mettent en valeur mes jambes d'athlète et mes attributs masculins...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- Je mets mes bottes rouges, le même rituel, d'abord la gauche, puis la droite...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- Je me mets debout pour passer ma surchemise à épaulettes carmin brodée d'or, et on accroche les fibules assorties pour la fermer tout en remettant le col en ordre...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- On me passe la ceinture dorée pour tenir mes bras et éviter que je les remonte constamment pendant la cérémonie...
Loup y es-tuuuuuuuuuuuuuu, que fais-tuuuuuuuuu, m'entends-tuuuuuuuu?
- Attention on en est à la cape, la fibule assortie aux autres est accrochée, me voilà prêt, je sors, aouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu!



Tututut!

Ju le stoppa net, son sourcil froncé comme à son habitude quand quelque chose n'allait pas... Elle alla chercher un peigne et lui remit un bel épi en place...

La coiffure c'est aussi compris dans l'habillage, ne crois pas que tu vas y échapper...

Elle fit quelques pas en arrière, afin de regarder le résultat final. Bien! Convenable! Il était grand temps qu'elle prenne à nouveau le temps de coudre afin de créer de nouveaux modèles masculins, celui-ci étant cependant sa plus belle réussite jusque-là, le plus demandé... Elle glissa son bras sous le sien, puis d'un sourire...

Monsieur le marié, on peut y aller...

Le tirant un peu, elle finit par réussir à le faire avancer d'un pas, puis de deux, afin de se rendre à la carriole. Pas question qu'il aille souiller ses beaux vêtements sur les pavés de Paris, il devait rester propre jusqu'au parvis. Elle récupéra au passage son cavalier qui les attendait bien sagement à l'entrée de la chambre. Elle s'arrêta net à nouveau, un sourire naissant au coin des lèvres... Cela faisait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu habillé ainsi... Elle glissa son deuxième bras sous le sien, et reprit sa marche, les deux hommes de sa vie autour d'elle. Comment ne pas être plus heureuse...

[Opération on pousse le futur dans la carriole...]

Elle aurait dû penser à prendre une aiguille pour lui piquer les fesses et le faire monter plus rapidement... A noter dans son petit carnet pour une prochaine fois. Enfin, elle espérait que cela serait son seul mariage et qu'il ne ferait pas de bêtises comme tant d'autres. Connaissant son rêveur de frangin, elle ne craignait pas trop cela.

Elle s'était installée à côté de François, afin de ne pas trop froisser le tissu de la tenue de Mc. Et puis, en face de lui, ça lui permettait de constater son état. Les mains serrées, la lèvre inférieure mordue, le regard fixé sur un point invisible, il était... concentré? Ailleurs? En train de stresser? En train de faire des calculs?

Tout en glissant sa main dans celle de François, elle se risqua à quelques questions afin de détendre son frère.


Ca va?

- gmrflb...


....


Tu n'as pas trop chaud?

- rpntkckd...

....


Tu sais qui va venir?

- prnrbmlg....


Combien font deux et deux?

- mlngjtp... 5.... 7....



Ju regarda François puis de nouveau Mc, et finit par éclater de rire... Non là, il n'allait pas trop bien... Elle le laissa tranquille, jusqu'à l'arrivée à la cathédrale. Une main posée sur le genou de Mc afin de le sortir de sa torpeur...

Mc... On est arrivés... faut y aller...

Le temps qu'il se réveille, comprenne où il était, quelques minutes qui pouvaient sembler une éternité, et voilà Mc qui répond enfin audiblement...

-Il faut y aller...

Ouf, tout rentrait dans l'ordre avant la cérémonie! Ju souffla un peu, et attendit qu'on l'aide à descendre. Une dame reste une dame, et attend toujours qu'on l'aide à sortir... Papa qui avait dit...
_________________
Petitsuisse


Thibaud avait reçu une invitation au mariage de la duchesse a Notre Dame.
Devant retrouver sa douce femme en notre capitale ou quelques affaires chez des modélistes l'avait attirés sans doute influencé par sa présence a la cour Champenoise, il s'était alors organisé pour assister a l'événement.

Ainsi l'attelage frappé des armes de Carrouges fît halte non loin du parvis de Notre Dame.
Chemin faisant pour gagner l'intérieur de l'édifice le Duc fît l'aumône a quelques miséreux ou quelques artistes tentant de gagner ou de subvenir a leur besoins.
Sa douce Océade a son bras et ses hommes de gardes les accompagnant, le duc arriva et entra dans l'immense battisse.
Ils cherchèrent une place ou l'on pourrait suivre la cérémonie sans rien louper quand ils aperçurent La Reine.

Le couple fît une révérence afin de saluer sa majesté et le duc ne pût cacher un léger sourire qui traduisait un certain amusement a croisé sa souveraine a chaque fois lors de mariages.

_________________

Grand Consul de l'Ordre Royal des Hospitaliers de Saint- Jean de Jérusalem
Oceade
Son époux lui avait transmis l'invitation au mariage de la duchesse, elle avait donc rejoint Paris où elle avait couru les boutiques pour acquérir une robe qui ne la serrerait pas à la taille.
La toilette trouvé et revêtue, elle avait rejoint son époux devant le parvis de Nostre dame.
C'est ensemble qu'ils pénétrérent dans la batisse où se déroulerait la cérémonie.
Ils aperçurent alors la Reine et allérent la saluer. La jeune femme eut un sourire complice envers son époux, comprenant ses pensées et se remémorant le jour de leurs épousailles où pour la premiére fois Oceade avait rencontré sa parente par alliance.

_________________

Ab ime pectore
Elianor_de_vergy
Notre Dame.... S'il y avait bien un endroit en Paris où la dauphine aurait préféré ne jamais remettre les pieds, c'était bien cette cathédrale où sa propre union avait été célébrée. Oui, n'eût été l'estime qu'elle portait à sa consoeur Alençon, jamais elle n'eût remis le bout de la poulaine en ce lieu où elle avait été unie à vie à un époux qu'elle haïssait du plus profond de la tripe.

Mais elle avait accepté de venir, il convenait maintenant de faire bonne figure. L'on n'affiche pas ses déconvenues conjugales en public lorsqu'on est bien née. Non mais!

Secouant donc ses boucles _ au risque de mettre en péril le fragile équilibre de sa couronne princière _ la poupée s'efforça de chasser ses idées noires. Ce jour était jour de fête pour Tsampa, elle n'allait pas le gâcher en jouant les chevaliers à la triste figure. Et puis, elle était finalement bien accompagnée ce jour. Point de mari abhorré à l'horizon, c'est au bras de son jeune frère chéri qu'elle entrerait dans le lieu saint.

Quittant sa litière somptueusement ornée, elle lissa du plat de la main les plis de sa nouvelle robe, merveille sortie des doigts experts de maîtresse Attia. Posant ensuite sa menotte sur le bras de son frère, elle traversa le parvis et gagna l'intérieur de la cathédrale, se dirigeant tout naturellement vers les premiers rangs. Le tout premier étant, à tout seigneur tout honneur, occupé par la reyne, la quintefeuille prit place sur le banc opposé. Lorgnant tout de même avec curiosité vers cette cousine par alliance qu'elle n'avait finalement point encore rencontré plus de quelques minutes au milieu du tourbillon de la cour ou de la maison royale.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)