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[RP] Mariage de McLegrand et Tsampa

Stella...
Les jours, les semaines, les mois étaient passés depuis son arrivée en Alençon. Elle en avait vu des évènements défiler la Blondinette. Des beaux comme des moins beaux. Mais le plus doux à ses yeux allait être le mariage de la Duchesse régnante d'Alençon. Un mariage comme beaucoup de femme aimerait avoir surtout quand la femme en question trouve son Prince Charmant !
Bon la Stellou depuis longtemps elle ne le cherchait plus... Elle l'avait trouvé et pour rien au monde elle le laisserait filer.
D'ailleurs, c'est allant le sortir de son bureau qu'elle dit :


Allez mon Ange on y va ! Paris c'est pas la porte à côté et j'ai pas envie d'être en retard !


Tout était prêt, ne restait qu'à monter dans le coche et prendre la route en amoureux. Pas de vilaine mioche pour lui gâcher se plaisir de voyager à nouveau, bien qu'elle savait qu'elle serait surement à Notre-Dame en compagnie de la Comtesse de St Omer.

Un moment tranquille rien qu'avec lui, avant de retrouver l'immensité et la densité de la capitale !

{Le jour J-Notre-Dame-}

Après quelques journées de voyage, le couple arriva devant la Cathédrale. Ils sortirent de la voiture et c'est sans perdre un instant qu'elle lui chopa le bras, le coeur battant.
Les yeux qui cherchèrent Deedlitt, son époux et le monstre en question, tels des satellites en hyper fonction, et elle aperçut au loin, une femme étrange. Le doute s'installa aussitôt. Elle connaissait bien cette façon de faire, de se cacher, avant de rentrer quelque part pour ne pas louper quelque chose d'important lorsqu'on y a pas été convié.

Nabel...

Un murmure suivit d'un soupire qui en disait long, et pourtant elle n'avait fait que le penser. Sepa avait-il entendu ?
Une chose était certaine, le prénom de sa douce cousine, amie et confidente, sortit, la Pestouille Apprentie presque Tout, savait que c'était elle. Mais que faire ?

Elle avait envie de lâcher Sepa et d'aller la retrouver, mais si ce n'était pas elle ? Et puis, si c'était elle, mais qu'elle voulait rester discrète ?

Son coeur battait tellement vite, ses prunelles devinrent brillantes et c'est jetant un dernier regard sur la cape rose, qu'elle fit le premier pas vers les marches de la Cathédrale jusqu'à ce que le coche aux armoiries de Tsampa se fit voir.
Le minois légèrement attristée par ses pensées pour la renarde, et elle sourit légèrement en voyant la magnifique Duchesse sortir du coche.
C'était ni l'heure, ni l'endroit d'être triste. On célébrait un mariage, il fallait se réjouir de l'évènement même si c'était difficile.

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Alethea
Elle n’arrive pas à s’empêcher de comparer… Saint Remy était plus petite que Notre Dame mais elle a passé tellement de temps à en apprendre les plans par cœur et à en prévoir la protection dans les moindres détails, puis tellement d’heures à en vérifier les moindres recoins et à y enchainer les rondes pour ne rien laisser au hasard avant l’arrivée de la foule venue pour le sacre de la reine, qu’elle a presque l’impression d’en être imprégnée de cette cathédrale champenoise. Et maintenant, là, sur le parvis de sa majestueuse grande sœur, elle ne peut s’empêcher de scruter, observer, comparer…

Le Chevalier a pourtant délaissé ce qui la relie à ses habituelles activités. La cape azur brodée d’argent de son Ordre a été remplacée par une autre, plus chaude et plus neutre, de laine noire et elle a revêtu une lourde robe de velours jaune pâle, dont elle cache le décolleté sous une chaude étole, à la place de ses habituelles braies. Sa bâtarde à la garde frappée de l’animal mythique est soigneusement rangée dans leur chambre à l’auberge. Par reflexe, pourtant, elle a glissé une fine dague dans sa botte juste avant de quitter la chambre.

La main de son époux qui se glisse dans la sienne pour l’entrainer vers l’intérieur, la sort de sa contemplation. ‘Licorne’ et ‘Poitou’ échangent un baiser rapide avant d’entrer dans le sanctuaire qui abritera la cérémonie de mariage de celle qu’ils connaissent comme ‘Alençon’, sœur héraldique qui a pris Alethea sous sa protection quelques mois plus tôt alors qu’elle débarquait à peine à la Chapelle Saint Antoine. Eux avaient fait le choix de n’inviter ni la Licorne ni l’hérauderie. Leur mariage, s’était caché sous la neige de décembre dans une petite chapelle auvergnate avec quelques proches. Et à cet instant Thea priait secrètement pour que ce ne soit pas la seule différence avec la cérémonie de Tsampa… que celui de la douce alençonnaise soit plus paisible que le sien… les rebondissements c’est très surfait finalement et quand on en est la victime c’est bien moins drôle.

Essayant de ne pas trop faire de bruit avec le fer de ses bottes elle remonte donc la nef jusqu’au cœur de la cathédrale. Le marié attend déjà et au premier rang la Licorneuse remarque la présence de la Reine mais ils font le choix de s’installer de l’autre côté, derrière ‘Guyenne’ qu’elle salue d’un discret signe de tête. La brune qui n’a pas lâché la main d’Eragon prend place silencieusement en attendant la mariée. Mais le bruit sourd d’un corps qui s’effondre la fait bondir du banc qu’elle occupait depuis quelques minutes à peine. Instinctivement c’est vers la Reine qu’elle dirige pourtant son regard. Sa garde l’a déjà entourée et le danger ne semble pas venir de là. La Saint Yriex remarque alors le curé au sol. Autour de lui on s’agite et il lui semble inutile d’ajouter sa curiosité à l’empressement inquiet de ses proches. Elle reste debout pourtant, le temps que ça se calme elle garde un œil attentif et froid sur la scène.

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Jakarta
Jak qui regardait l'arrivée de la presque Mariée fut intriguait par une ombre. L'ombre en question était une femme, sans doute jeune vu qu'elle tenait debout et qui portait une robe rose qui, il en était convaincu lui allait a ravir. En la regardant, celle ci lui rappelait quelqu'un, mais avant d'en être réellement sur, il fut surpris par l'arrivée de Manue, venu le saluer

Bonjour Manue,
Je n'ai pas oublié les alliances, heureusement pour moi. Mais j'avoue avoir vérifier une dizaine de fois avant de venir. Sinon, si cela t'intéresse je vais bien, je pense que toi aussi.


Souriant a Manue, il rechercha la mystérieuse Dame, mais le temps de parler, il l'avait perdu de vue. Il pensa qu'après le mariage, elle serais toujours la, et si oui, il irait voir si la personne a qui il pense est la dame en question. Finissant a peine ses pensés, Il fut tiré par Chrystel assez rapidement dans l'église.

Un peu rapide, mais Bonjour.
Belle journée pour une cérémonie non?


Se taisant, il la suivi sans faire d'histoire, en même temps il n'y en avait pas, attendant la suite.
--Theodore.



Col ! Mais qu’est ce qu’il fait là !

La phrase fuse dans l’air et le frappe de plein fouet. Il y a donc encore des inimitiés après tout ce temps ? Cela ne l’étonne guère. Après tout ne ressent-il pas la même chose ? Il avance vers sa cadette quand l’aîné part à fond de train. Que se passe-t-il ? Sa tête tourne vers la cathédrale, à peine a-t-il esquissé le geste que Tsampa lui passe devant et le pousse.

Veille sur elle !

La phrase revient dans sa tête. Est-ce que ce n’était pas un appel à la confiance ? A cet instant la dualité s’installe chez le jeune homme. Envie de faire suer son monde, mais surtout envie d’être reconnu par la fratrie. Ca commencerait donc par là ? Il soupire intérieurement. Faire les gardes chiourmes… Y’a quand même mieux pour un début ! La brune continue sa marche d’un pas pressé. Maintenant ou jamais... Théo tend la main et lui saisit le poignet.

Il a dit d’attendre.

Leurs regards se rencontrent. Elle se renfrogne, il le sent. Sa prise se desserre un peu. Il ne manquerait plus qu’elle se mette à crier sur le parvis pour attirer encore plus de curieux. Col avait raison, Tsampa serait toujours plus forte. Dans ses yeux une lueur de tristesse. C’est qu’il l’aime sa sœur. Elle lui en a collé des raclées quand il se payait sa tête, mais par chaque claque elle essayait de le rendre meilleur. Peut-être que s’est-elle au final qui a toujours tenté de le racheter ? Elle, et personne d’autre. Elle a cru en lui la première. Et a été déçue la première. Seule au peloton de tête. Il glisse sa main dans la sienne et continue à la scruter. Elle ressemble à mère. En plus dur. Elle a le visage sévère pour une jeune femme. Il sent les doigts de la brune s’agiter contre les siens. Ho ça, elle ne se laissera pas faire. Les mélos c’est pas son truc… Mais il en a besoin. Après tout c’est le jour de sa vie, si la journée doit être parfaite ça peut bien commencer par une « réconciliation ».

Althea… Je…

Il prend une inspiration. Il ne peut certes pas la serrer contre lui de peur de froisser sa robe.

Je suis désolé. Vraiment…

Et quand Théodore dit cela c’est qu’il dépose son âme à ses pieds, car ça lui coûte.
Jmorelle
Qu'est-ce qu'il fait? qu'est-ce qu'il fait? Bah elle n'en savait fichtre rien, la frangine! Elle n'avait jamais vu un clerc s'évanouir avant une cérémonie elle, et elle n'était pas médicastre... Elle haussa les épaules en regardant le futur marié, l'air de dire "bah jsais pô moi... c'est ton beauf tu te débrouilles hein..." Enfin pas tout à fait car ce n'était pas super pour le futur et encore moins pour la future de devoir subir une telle chose le jour de leur mariage... Mais elle ne s'étonnait plus de ce qu'elle voyait à chaque cérémonie "officielle". Elle avait bien vu un soit disant haut placé de l'EA faire des siennes le jour du sacre de la reyne en essayant de lui voler la vedette au lieu de garder sa place de simple clerc, elle avait bien vu des gens tenter de tuer des futurs mariés, elle avait vu une mariée s'enfuir... Alors au final... Elle était limite blasée, même si elle trouvait ça plus que lamentable de réagir ainsi au lieu de tout simplement être présent pour les futurs mariés. Les gens aimaient se montrer, il fallait s'y faire... Souvent, leur propre intérêt passait avant celui des autres...

Bref, elle n'était pas là pour tergiverser, mais pour conduire son frère à l'autel, et elle tiendrait son rôle de A à Z. Pendant qu'une personne qu'elle ne connaissait - à vrai dire elle ne connaissait quasiment personne pour le moment - pas encore s'occupait de ranimer le clerc, Ju vérifia une dernière fois la tenue de Mc tout en lui parlant pour le rassurer.


Bon bah tu peux te détendre un peu, je crois qu'il va falloir attendre un peu pour ton union. Au fait, elle est belle au moins, ta fiancée? Parce qu'avec tout ça, je ne l'ai toujours pas vue... Faudra que tu penses à faire les présentations après la cérémonie...
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Eragon.
Décidément l'hiver prenait fin et ça se voyait, le rythme des mariages reprenait. Après que ce soit a la Licorneuse de suivre son époux lors d'un mariage Poitevin c'était ici plutôt l'inverse.
Car il aurait tout bonnement ignoré l'annonce mais la son épouse avait été invitée personnellement et il l'accompagnerait donc vêtu sobrement de braies noirs et d'une tunique blanche.

La petite main de son épouse dans la sienne ils franchirent le parvis de la cathédrale souriant à droite à gauche, la routine de la mondanité parisienne. Il pressa le pas pour rejoindre les bancs, beaucoup des confrères et consoeurs de l'Hérauderie étaient présent, c'est que la chapelle Saint Antoine devait être bien vide en ce moment.

Non il n'aimait pas vraiment les mariages..

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Héraldique Européenne-Gaso
Nabel_de_volvent
C'est à ce moment même où la majorité des invités arrivent que la blonde souffre ... plus même que lorsqu'elle était partie en exil, plus que lorsqu'elle avait était reniée par son mari ...
D'abord Della...
La Renarde se redresse.. guette... esquisse un pas, et reviens en arrière...
Le coeur serré ... sans Charles Louis ... mais avec Ker ... elle les regarde, regarde la cheffe de famille chercher au loin sa nièce, mais ne fait rien ... Pas un geste de l'Adorable, juste un soupire, emplie de tristesse ....

Et puis Stella ... son Etoile ... cousine, et amie de longue date ... là encore, par pur réflexe, l'Adorable avance de quelques centimètres, quand elle sait que Stella l'a reconnue ... se faire voir, elle ne l'avait pas voulue, et pourtant, on la savait là !
Louper les épousailles de sa brune était in envisageable, ses plus proches amis, anciennement amis le savait ... elle était attendue, mais pourquoi !

Une noble ... une Vergy, celle qui à une époque lui avait tendue les bras, lui avait fait oublié que le temps était long en Alençon ... les personnes défilaient, traversant le parvis de Nostre Dame, et Nabel observait ...

Jak ... Jak ... et puis le frère, le frère ? à peine le temps de se demander ce qu'il fait là ... Tsampa ... les larmes arrivèrent aussi vite que la Duchesse était sortie de la voiture, aussi vite que son étonnement de la voir vêtue ainsi ! sourire, larmes, joie et tristesse, sentiments quotidiens de tous traître ... enfin ceux qui éprouve encore des remords !

Vite que tu rentres, vite que je m'installe derrière un gigantesque pillier de la cathédrale, et que je te regarde t'unir, à celui qui je sais te rendra heureuse !

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Beatritz
Au premier rang, soudain, la solitude de la Reine fut rompue - et demeura intacte, d'une certaine façon. Blanche était arrivée. Blanche, l'ombre de la Reine. Sa dame de compagnie constante et attentive. Son chien de garde. Sa Princesse bretonne.

En attendant que l'édifice se remplisse et que l'office commençât, il n'y avait rien à faire que penser et écouter ce qu'il se passait en arrière. Se faire bercer par les étoffes balayant les dalles, par le rythme des pas de semelles de cuir et de clous, par les bancs raclant le sol. Prendre la main de Blanche, avec émotion. Blanche était de toutes les circonstances, audiences politiques comme mondanités gourmandes. Elle était le peu de constance dans la farandole de son monde. Elle n'avait pas même à dire "Merci d'être venue". Elle était venue, car elle était toujours là. La remercier aurait été douter d'elle ; aurait été suggérer qu'elle eut pu oublier de venir...

Elle murmura à la Bretonne :


-"Tsampa d'Eusebius est l'actuelle Duchesse d'Alençon, et la vassale de la Comtesse Deedlitt de Cassal, qui a bon nombre de titres artésiens, flamands et une vicomté alençonnaise. Mc Legrand est le seigneur de Gaudigny, il est vassal de Boiscommun. Peut-être le situerez-vous facilement : le baron de Boiscommun est le beau-père du Premier Maitre d'Hotel, Eilinn Melani."
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-- Nobles, peuplez le Louvre ! Que ça vive !--
Niconoss
L'impérial en direct de Nostre-Dame, c'était quand même la classe, il n'avait pas l'habitude de se balader en France, mais d'avoir fait un tour en Alençon, n'arrangeait pas les choses, il était maintenant invité à des mariages la bas, à des œuvres caritatives enfin la total, comme si il était devenu un mondain français. Enfin bref, il était la un peu par hasard, il avait contacté Tsampa et Mclegrand pour prendre des nouvelles, d'eux et de l'Alençon et c'est comme sa qu'il appris qu'ils allaient se marier, c'est aussi comme sa qu'il fut un peu invité au dernier moment puisqu'il n'avait pas vu la soit disant annonce. A priori tout le monde avait oublier qu'il avait déjà quitter l'Alençon, faut dire qu'il y avait fait un passage éclair, mais assez fort en émotion, il avait créer des liens, trouver des amis en peu de temps, même si il n'avait plus énormément de contact. Il c'était aussi bien battu, c'était la son passe temps en général donc tout allait bien. Il avait même fait un peu de politique et de soule. Enfin un petit passage remarquer, on lui avait même promis une récompense, qu'il n'avait jamais récuperer, mais quand même. Il aimait bien ce duché, même si il avait eu envie de retourner rapidemment en Lorraine en ayant au préalable fait un détour par les terres savoyardes pour se battre encore.

Toujours est il que même si l'invitation avait été faite au dernier moment, il n'avait pas hésité une minute à venir. Il faut dire que Mc était un ami de longue date, et ce grâce à la soule, adversaire plusieurs fois, mais aussi ami d'arbitrage et autre. Enfin ils c'étaient retrouvé par hasard ensemble en Alençon et tout allait bien.

Il était donc la, après un long voyage comme toujours, il avait des affaires à régler en Lorraine, mais tanpis un peu de détente que diable. Il était la donc à l'entrée de cette magnifique bâtisse appelé "Nostre-Dame", il y entra pleins de simplicité et d'émerveillement.

Il s'assit directement au fond, comme il le faisait habituellement, et regarda un peu qui se trouva la dedans. Il reconnu Jak, Chrystel, Manuelam, Petitsuisse, Nicolas, et pleins d'autre avec qui il avait travaillé, il souriait quand on le regardait puis il arpenta le reste de la nef et vit les mariés évidemment c'est mieux, et même la Reine qui était ancienne héraut Lorraine, qu'il avait donc pu côtoyer plusieurs fois.

S'asseyant et attendant le début de la cérémonie, il ne fit plus rien.

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Amael
Il aurait pu la jouer gamin boudeur et resté en Lorraine sans rien dire, après tout, elle ne lui avait pas donné de nouvelles depuis longtemps, bon lui non plus, c'est vrai... Et il n'avait même pas reçu d'invitation personnelle. Lui ! Elle ne l'avait pas invité personnellement. Au début, le caractère difficile d'Amaël l'avait emporté, lorsqu'apprenant le futur mariage de Tsampa et Mclegrand, il s'était senti oublié par elle.
Le temps passant, et August le convaincant, il finit par décider d'être présent. C'était Tsampa, tout de même, sa comparse de toujours, celle qui malgré tout ses défauts et de nombreuses critiques, mérités ou non, avait toujours été là et l'avait toujours soutenu lorsqu'en enfant et jeune homme, il était allègrement jalousé en Alençon. Même s'il savait qu'elle avait eu des différents avec ses parents, il savait aussi qu'elle avait longtemps été parmi des leurs, de ceux qui avaient travaillé, s'étaient investis aux côtés de sa mère et de son père lorsqu'ils dirigeaient l'Alençon.
Les bons sentiments et souvenirs l'avaient donc emporté sur son mauvais caractère, et après avoir obtenu du duc de Lorraine de s'absenter de Lorraine le temps de ce voyage à Paris, il avait gagné la capitale. Comme à chaque fois qu'il venait à Paris, il séjournait dans l'hôtel particulier de sa famille.

Arrivé un jour avant, il s'était contenté de se reposer de son voyage, sans prévenir aucune de ses connaissances parisiennes de sa présence en la capitale française.
Le jour venu, en grands habits ecclésiastiques d'apparats, le carrosse armoriés aux couleurs de la famille Du Ried et de l'évêché de Metz amena Amaël à Notre-Dame.
Il espérait que sa présence serait une bonne surprise pour son amie et qu'il reverrait de vieilles connaissances alençonnaises.

Mitre sur la terre, croix pectorale en évidence, crosse à la main, vêtu de ses habits de soie, de lin et de tout ce que vous voulez de beau et d'assez cher, le tout violet et noir, le prélat impérial pénétra dans Notre-Dame, qu'il connaissait bien, il n'en était pas à sa première visite. Et alors qu'il remontait tranquillement la nef, une question s'imposa.
Où devait-il se placer ? Dans le choeur, réservé aux clercs, ou parmi les bancs des fidèles ?

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Tsampa
"Ce sera un jour pas comme les autres!"

Ah ben oui. Différent, ça, c'est sur!
Les yeux équarquillés d'étonnement sur ce frère qui d'un coup, là, lui sert des excuses sur un plateau d'argent. Comme si c'était le moment. Mais de moment, est-ce qu'il en est de plus propices que d'autres pour ces sentiments là? Peut-être pas, mais en quelques secondes, la brune a tranché. Non, ce n'est pas le moment. C'est son moment, à elle, à Lui, à eux quoi. Le reste, plus tard. Ou pas. Mais pas maintenant.

Alors, laissant revenir à elle le pourquoi elle est là, à attendre devant le coche ducal, elle regarde son frère et sur ce ton monocorde dont elle a su faire sa spécialité, elle s'adresse à lui.

Ecoute, Théo, le plan, là, c'est que je remonte l'allée centrale de Notre Dame et que j'épouse celui qui doit attendre devant l'autel depuis un moment déjà. Qui attend même depuis plus d'un an en fait. Pas forcément là, mais c'est pareil. Donc, tu vas aller chercher Colhomban, où qu'il soit, quoi qu'il fasse, tu le tires par le catogan même s'il faut, mais tu me le ramènes ici, qu'il prenne mon bras et qu'il m'accompagne!

Accompagnant ses paroles d'un geste de la main qui ne laisse pourtant aucun doutes sur la signification de ses paroles, voyant que son frère ne bouge pas, elle hésite à en remettre une couche mais les dents serrées, s'avisant que d'insister ne sert à rien, elle laisse échapper un glacial

S'il te plais.
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Eilinn_melani
[Dans l'allée centrale, à refuser de faire du bouche-à-bouche à un homme d'église]

La scène était assez étrange : un mariage presque "huppé", surtout vu les personnes présentes, une duchesse à marier, et voilà que hop ! l'officiant qui s'évanouit. Comme ça, sans prévenir, même pas de certificat médical, de signal d'alarme, rien. Surélevant toujours la tête de Zéji, pour lui passer le flacon de sels sous le nez, Eilinn avait presque sursauté en voyant un homme nonchalament balancer une beigne à l'homme d'église. Elle manqua se récrier, fallait admettre que Zéji tenait plus du haricot vert famélique que du poireau de combat. Mais cela restait pour la bonne cause.


Peut-être faudrait-il l'emmener ailleurs ?


Sous-entendu : faudrait peut-être voir à vous remuer un peu les garçons, je pourrais pas porter plus lourd que moi sans dommages. Elle chuchota à Mac, pouvant être entendue de l'homme qui venait de gifler l'homme d'Eglise.

J'espère que si il ne se réveille pas, vous avez un plan B ?

Annuler le mariage ? Quelle idée !
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Les Tweets du Peterisme
Elianor_de_vergy
Un mouvement secoua l'assistance, et la miniature tourna sa frimousse vers l'entrée, persuadée que cela ne pouvait que signifier l'arrivée de la future épousée. Mais rien, nada, que dalle à l'entrée de l'édifice. Enfin, entendons-nous bien, rien qui ressemblât à la duchesse d'Alençon.

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche, pour tenter d'identifier la cause du soudain brouhaha ambiant. Ah, ce devait être ça, la cause. Oui, le célébrant, évanoui de tout son long dans la nef, assurément il y avait de quoi déclencher une certaine agitation! Des pucelles pucelantes qui se pâmaient d'émotion au pied de l'autel, ça s'était déjà vu. Des damoiseaux qu'un coup de sang faisait défaillir, ca s'était déjà vu aussi, encore que plus rarement. Mais des prêtres qui tournaient de l'oeil avant même de débuter la cérémonie, ça, s'était moins courant !

Légèrement renfrognée à l'idée que ce contretemps allait allonger d'autant la durée du mariage, la poupée en profita pour se pencher vers son frère et sa damoiselle de compagnie et leur nommer quelques-uns des présents.


Comme je vous le disais, c'est l'actuelle duchesse d'Alençon qui se marie ce jour, sa Grâce Tsampa d'Eusebius. Elle est également héraut royal, c'est d'ailleurs à Saint Antoine que j'ai fait sa connaissance. Son promis, sauf erreur de ma part, est seigneur orléannais. Et au premier rang, de l'autre côté de la nef, c'est Sa Majesté Beatrice qui a pris place.

Elle acheva sur une petite gausserie qu'elle n'avait pas pu retenir davantage.

Décidément, je crois n'avoir jamais ni vu ni entendu parler d'un mariage en Notre Dame qui se serait déroulé sans anicroche... Celui-ci ne fera visiblement pas exception à la règle! Pauvre Tsampa... Ce genre de contretemps est tout à fait éprouvant pour les nerfs, j'espère pour elle que les choses reprendront rapidement leur cours normal.
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Kelkun
Voyant le Père Zeji allongé par terre et un homme qui lui collait une bonne baffe en compagnie du futur marié, Kelkun se demanda s'il avait déjà assisté à un mariage normal lorsqu'il pensa au sien. Ah non même pas... As avait trouvé le moyen d'assister à la cérémonie perché en haut d'un des piliers de l'Église, pensa-t-il.

Il jeta un nouveau coup d'œil en direction du preneur de baffes histoire de s'assurer que tout allait bien. Ils n'avaient pas l'air de s'alarmer autour de lui et il décida donc d'en faire autant en se penchant à l'oreille de la Rousse qui l'avait accompagné à Paris pour l'occasion.

Eh ben j'te l'dis... On n'est pas prêt de rentrer à Alençon !

Le Capitaine Alençonnais attrapa la main de la jeune femme - le Père Zeji n'étant pas capable de leur faire une remarque dans son état - et attendit que la cérémonie commence vraiment, on n'avait pas encore vue la Duchesse.
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Mclegrand
Un haussement d'épaule? quoi un haussement d'épaule ?

Mais !
maismaismaismaismais !! ( et !!!, même. Je mets trois points d'exclamations si je veux. )
ça m'aide pas !

Eilinn arrive...Mc aimait bien Eilinn, aussi. Il ne savait pas trop pourquoi, mais bon. Enfin, là maintenant il sait pourquoi.. Elle a des sels sur elle et tente de réanimer Zeji et ...

Mc, tu veux bien le gifler un peu ?


Hein !?! Gifler l'officiant, mon futur beau-frère ? mais euh... C'est un homme d'église ! Et s'il se réveille et qu'il voit que c'est moi qui l'aurait giflé devant les invités, dans Notre Dame ? Et si... quoi encore ?
Un homme complètement paniqué débarque et constate que c'est Zeji au sol...
Colh... Première pensée... Pourquoi il est pas avec Tsampa ? Qui est avec elle ? Où est-elle ? Et à part ça, ça va ? Nan, l'est pas encore mort ...
Mc opina quand Col comprit qu'il n'était qu'évanoui... mais fronça les sourcils, pour lui signifier qu'il ne s'attendait pas à le voir sans Tsampa.
Il le gifle. Ouch, adoitfairemal. Toujours rien...

Ju : "Bon bah tu peux te détendre un peu"
Eilinn : "Peut-être faudrait-il l'emmener ailleurs ? "

Euuuuh... me détendre en l'emmenant ailleurs... pourquoi pas. Enfin bon, s'il peut rester dans le coin et officier, ça serait pas mal.
Puis Eilinn, moins fort, lui posa la question du plan B...

On a l'autre officiant, et vu la densité de clercs dans le coin, on pourra se marier de toute façon. Mais attends.

Se détendre. Bon, déjà, évacuer la tension. Mc se pencha et repensa à ce jour. petita, il DOIT officier. Petitb, il DOIT assister au mariage. Petitc, il a pas le droit de s'évanouir comme ça quand je rentre, à mon mariage.
Donc.
Mc gifla Zeji à son tour... plus fort.

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