Gin.
Le feuillage des haies qui bordaient le chemin, se balançaient au grès du vent léger. Deux tetes apparurent. Une blonde, l'autre plus petite et brune. Gin et Cira s'avançaient sur le chemin. Gin avait CIRA dans les bras. Elle n'était pas prête de la poser à terre. Cira était la fille d'ESMEIRA et ROBIN. Une bonne bouille. Une belle bouille. Un visage rond, de bonnes joues, des yeux...de grands yeux d'un bleu profond. Des cheveux fins, noirs ébène coupés au carré encadraient ce petit visage. La frange bordait ce regard curieux et vif. Elle était à croquer dans sa petite robe en coton qui laissait paraitre ses petits jambes potelées.
Gin revenait de chez ROBIN. ESMEIRA étant en état de choc suite à la mort de Lanna et son enfant, Gin avait souhaité prendre Cira chez elle pour la nuit et soulager ainsi ROBIN. Aussitot sortis de chez ses parents, la gamine s'était amusée à rendre folle Gin en se cachant dans des endroits pas possibles dans la ferme.
Gin avait bien passé 1/4 d'heure à lui courir après avant de pouvoir l'attraper. A sa décharge, il faut dire que l'enfant avait grand besoin de se dégourdir les jambes. Une enfant de cet age, ça doit bouger.
Cira, le pouce à la bouche, sa poupée dans l'autre main se laissait balloter par les pas rapides de Gin.
- heureusement que la maison n'est pas loin parce que tu n'es pas légère hein ?
Cira répondit un "hmmm" qui voulait dire ...ben en fait Gin interpréta ce "hmm" comme un oui de quelqu'un qui n'avait pas envie d'ouvrir la bouche pour le laisser sortir mais ce n'était qu'une supposition.
Gin ouvrit le petit portail du jardin de ZAK, le referma et posa Cira parterre.
- Nous y voici Poupette ! Tu peux courir dans tous les sens si tu veux, là tu ne peux sortir dans la rue.
A peine eut-elle fini sa phrase, qu'elle entendit les pattes de Papouille courir sur le gravier.
- Ou tu étais toi, encore derrière le jardin hein ? si jamais tu as encore creusé dans le potager tu vas m'entendre ! Laisse la petite...doucement c'est un bébé...
Papouille s'empressa de sentir Cira sous toutes les coutures. La queue remuant dans tous les sens.
Cira essayait de l'attraper tandis que Papouille essayait de lui échapper tout en continuant à la renifler.
Gin entra dans la maison laissant la porte ouverte. Dans la cuisine, elle se servit un verre d'eau et en but la moitié.
- Ciraaaaaaa, tu as soif ? tu veux boire ?
Gin entendait Cira rire avec le chien. Tant mieux, tant mieux. Elle, qui craignait que la petite soit un peu réticente de se voir dans une autre maison... finalement cela se passait mieux qu'elle l'espérait aussi elle n'osa pas interrompre le jeu.
Elle revint s'asseoir sur le banc pour les regarder jouer.
- Tiens Cira, lance lui ça, c'est son jouet préféré !
Gin tendit un morceau de tissus noué. Cira le saisit et l'envoya sur papouille en pleine figure. Le chien commença à mordiller son jouet. Cira attrapa le jouet par un bout et le tira de son coté tandis que Papouille ne lachait pas et tirait de son coté en grognant.
- Cira, tu joues encore un peu ensuite il faudra rentrer, poupette. Il faut te laver, manger et ensuite on va se raconter des histoires pour s'endormir.
Gin réfléchissait déjà aux histoires qu'elle allait lui raconter. Elle s'apprêtait à lui en raconter jusqu'à ce qu'elle tombe de sommeil. Son lit, son papa, sa maman allaient surement lui manquer, il ne fallait pas qu'elle lui laisse le temps de s'en rendre compte.
Gin revenait de chez ROBIN. ESMEIRA étant en état de choc suite à la mort de Lanna et son enfant, Gin avait souhaité prendre Cira chez elle pour la nuit et soulager ainsi ROBIN. Aussitot sortis de chez ses parents, la gamine s'était amusée à rendre folle Gin en se cachant dans des endroits pas possibles dans la ferme.
Gin avait bien passé 1/4 d'heure à lui courir après avant de pouvoir l'attraper. A sa décharge, il faut dire que l'enfant avait grand besoin de se dégourdir les jambes. Une enfant de cet age, ça doit bouger.
Cira, le pouce à la bouche, sa poupée dans l'autre main se laissait balloter par les pas rapides de Gin.
- heureusement que la maison n'est pas loin parce que tu n'es pas légère hein ?
Cira répondit un "hmmm" qui voulait dire ...ben en fait Gin interpréta ce "hmm" comme un oui de quelqu'un qui n'avait pas envie d'ouvrir la bouche pour le laisser sortir mais ce n'était qu'une supposition.
Gin ouvrit le petit portail du jardin de ZAK, le referma et posa Cira parterre.
- Nous y voici Poupette ! Tu peux courir dans tous les sens si tu veux, là tu ne peux sortir dans la rue.
A peine eut-elle fini sa phrase, qu'elle entendit les pattes de Papouille courir sur le gravier.
- Ou tu étais toi, encore derrière le jardin hein ? si jamais tu as encore creusé dans le potager tu vas m'entendre ! Laisse la petite...doucement c'est un bébé...
Papouille s'empressa de sentir Cira sous toutes les coutures. La queue remuant dans tous les sens.
Cira essayait de l'attraper tandis que Papouille essayait de lui échapper tout en continuant à la renifler.
Gin entra dans la maison laissant la porte ouverte. Dans la cuisine, elle se servit un verre d'eau et en but la moitié.
- Ciraaaaaaa, tu as soif ? tu veux boire ?
Gin entendait Cira rire avec le chien. Tant mieux, tant mieux. Elle, qui craignait que la petite soit un peu réticente de se voir dans une autre maison... finalement cela se passait mieux qu'elle l'espérait aussi elle n'osa pas interrompre le jeu.
Elle revint s'asseoir sur le banc pour les regarder jouer.
- Tiens Cira, lance lui ça, c'est son jouet préféré !
Gin tendit un morceau de tissus noué. Cira le saisit et l'envoya sur papouille en pleine figure. Le chien commença à mordiller son jouet. Cira attrapa le jouet par un bout et le tira de son coté tandis que Papouille ne lachait pas et tirait de son coté en grognant.
- Cira, tu joues encore un peu ensuite il faudra rentrer, poupette. Il faut te laver, manger et ensuite on va se raconter des histoires pour s'endormir.
Gin réfléchissait déjà aux histoires qu'elle allait lui raconter. Elle s'apprêtait à lui en raconter jusqu'à ce qu'elle tombe de sommeil. Son lit, son papa, sa maman allaient surement lui manquer, il ne fallait pas qu'elle lui laisse le temps de s'en rendre compte.