Daovarius
Laprès midi avait passé, après avoir finalement goûter le "pain jambon" de Gin, ils avaient finis par réussir à passer la selle à l'étalon.
Bien que l'étalon s'était laissé faire. Je voulais que les enfants y arrivent seule, dans le besoin. C'était de là que venais cette envie subite de leur apprendre à chevauché. Une vie sur les chemins nétais jamais sure. Et je préférais les voir fuir. Néanmoins nous n'en étions pas là.
J'observais Léenn regarder avec envie Max et Tannoz. Le jeune garçon avait posé sa main sur le front de l'étalon et le grattais avec un large sourire aux lèvres.
Max souriant, chose rare pour ce jeune homme souvent impassible. Il tenait bien de son père et de lui même. Un futur soldat. Je songeais a sa mère dont j'étais sans nouvelle, sa volonté de l'instruire. Viendrai bien un moment ou je devrais l'envoyer chez les moines. A moins que je ne lemmène à l'université en ma compagnie. Apres jétudiais en voie de l'armée. et le jeune homme savait lire et écrire. Grand Pa y avait veillé, comme il l'avait pour chacun de ses enfants. Il y songerai une fois rentré.
Il s'avance un peu et s'empare du licou du cheval. Il attrape son fils et le pose sur la selle, legere protestation qui passérent bien vite.
Un instant le jeune homme blémit. De mémoire de ses dix ans, il n'avait jamais été si éloigné du sol.
- Bien premiere lecon! Tenir assis!
Je souris et sans me baisser, passais les pieds de Max dans les etriers. Avant de regler ces derniers.
- Veille toujours a etre bien dans tes etrillers. Jamais trop bas dans une melé sans etrillers il t'es impossible de tenir. Face à un lancier ou a un autre cavalier, ce son eux qui tempecherons de chuter. Si tu te retiens aux renes, ton cheval s'arretera. Et ce n'est pas le but recherché, crois moi.
Je prends les renes et les met dans les mains du jeune garcon.
Comment les tiendrais tu ?
Le jeune homme hésita, sans doute que si il avait su, il aurait un peu plus observé son ainé chevauché.
Il prit les renes et les tînt.
Je lui fit non de la tete.Et lui montrais.
Ainsi tu peux etre ferme mais tu dois aussi laisser du mou.
Il opine et reprend les renes sans broncher. son front se plisse soucieux. Je lui souris. Et decidais delui raconter une anecdote.
La premiere fois que j'ai monter Avel, notre instructeur ne nous a rien dis,nous avions tous notre équipement. Imagine moi avec une armure plus lourde que moi et une lance bien plus longue encore. J'ai fini a terre tres vite. Je tenais mal mes renes, Avel etant tétu elle s'est vite rebiffé.
Le sourire du jeune homme réapparu sur son visage, savoir que n'importe quel cavalier était forcément tomber un jour le rassurais. Je continuais.
Tannoz essayera surement de s'imposer. C'est donc a toi son cavalier de le retenir quand il part. De lui laisser du mou lorsque tu sens qu'il simpatiente un peu.
Tu devras des a présent t'occuper de lui comme je le fais avec Avel. Tu es son maitre. A toi de le nourrir, de le brosser, de le monter. Il doit avoir confiance en toi, te connaitre. Et tu dois aussi le connaitre et voir confiance en lui.
Je siffle la jument qui s'avanca nonchalament. Tenant toujours le licou de l'étalon je fais grimper Léenn,qui nous écoutais tres attentivement, sur le devant de a selle, avant dy grimper moi même.
Je me retourne vers Max et lui sourit rassurant,
Souviens toi de tes etriers et de tes renes pour le moment. Quand tu te sentira mieux et que je jugerai que Tannoz sera plus docile nous passerons a autre chose, mais pour le moment nous chevaucherons avec Avel.
Je me retourne et envoy un baiser a Gin, avant de lui faire signe que nous allions faire une petite promenade.
Leenn ayant surpris mon geste sourit
c'est vrai que tu es tres amoureux papa.
Je souris et mis Avel au pas entrainant derrière nous le jeune homme qui tentait de garder son air impassible des bons jours.
Bien que l'étalon s'était laissé faire. Je voulais que les enfants y arrivent seule, dans le besoin. C'était de là que venais cette envie subite de leur apprendre à chevauché. Une vie sur les chemins nétais jamais sure. Et je préférais les voir fuir. Néanmoins nous n'en étions pas là.
J'observais Léenn regarder avec envie Max et Tannoz. Le jeune garçon avait posé sa main sur le front de l'étalon et le grattais avec un large sourire aux lèvres.
Max souriant, chose rare pour ce jeune homme souvent impassible. Il tenait bien de son père et de lui même. Un futur soldat. Je songeais a sa mère dont j'étais sans nouvelle, sa volonté de l'instruire. Viendrai bien un moment ou je devrais l'envoyer chez les moines. A moins que je ne lemmène à l'université en ma compagnie. Apres jétudiais en voie de l'armée. et le jeune homme savait lire et écrire. Grand Pa y avait veillé, comme il l'avait pour chacun de ses enfants. Il y songerai une fois rentré.
Il s'avance un peu et s'empare du licou du cheval. Il attrape son fils et le pose sur la selle, legere protestation qui passérent bien vite.
Un instant le jeune homme blémit. De mémoire de ses dix ans, il n'avait jamais été si éloigné du sol.
- Bien premiere lecon! Tenir assis!
Je souris et sans me baisser, passais les pieds de Max dans les etriers. Avant de regler ces derniers.
- Veille toujours a etre bien dans tes etrillers. Jamais trop bas dans une melé sans etrillers il t'es impossible de tenir. Face à un lancier ou a un autre cavalier, ce son eux qui tempecherons de chuter. Si tu te retiens aux renes, ton cheval s'arretera. Et ce n'est pas le but recherché, crois moi.
Je prends les renes et les met dans les mains du jeune garcon.
Comment les tiendrais tu ?
Le jeune homme hésita, sans doute que si il avait su, il aurait un peu plus observé son ainé chevauché.
Il prit les renes et les tînt.
Je lui fit non de la tete.Et lui montrais.
Ainsi tu peux etre ferme mais tu dois aussi laisser du mou.
Il opine et reprend les renes sans broncher. son front se plisse soucieux. Je lui souris. Et decidais delui raconter une anecdote.
La premiere fois que j'ai monter Avel, notre instructeur ne nous a rien dis,nous avions tous notre équipement. Imagine moi avec une armure plus lourde que moi et une lance bien plus longue encore. J'ai fini a terre tres vite. Je tenais mal mes renes, Avel etant tétu elle s'est vite rebiffé.
Le sourire du jeune homme réapparu sur son visage, savoir que n'importe quel cavalier était forcément tomber un jour le rassurais. Je continuais.
Tannoz essayera surement de s'imposer. C'est donc a toi son cavalier de le retenir quand il part. De lui laisser du mou lorsque tu sens qu'il simpatiente un peu.
Tu devras des a présent t'occuper de lui comme je le fais avec Avel. Tu es son maitre. A toi de le nourrir, de le brosser, de le monter. Il doit avoir confiance en toi, te connaitre. Et tu dois aussi le connaitre et voir confiance en lui.
Je siffle la jument qui s'avanca nonchalament. Tenant toujours le licou de l'étalon je fais grimper Léenn,qui nous écoutais tres attentivement, sur le devant de a selle, avant dy grimper moi même.
Je me retourne vers Max et lui sourit rassurant,
Souviens toi de tes etriers et de tes renes pour le moment. Quand tu te sentira mieux et que je jugerai que Tannoz sera plus docile nous passerons a autre chose, mais pour le moment nous chevaucherons avec Avel.
Je me retourne et envoy un baiser a Gin, avant de lui faire signe que nous allions faire une petite promenade.
Leenn ayant surpris mon geste sourit
c'est vrai que tu es tres amoureux papa.
Je souris et mis Avel au pas entrainant derrière nous le jeune homme qui tentait de garder son air impassible des bons jours.