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[RP] Dans l'antre

Seblebeau
seb s'etait precipité dans l'antre et entendant du bruit s'etait un pêu caché...mais n'entendant rien il essayait de se faufiler pour se rapprocher quand felina l'entendit...

Qui va là ?? Montrez vous !!

seb tout penaud sortit de sa cachette avec son bouclier et son épée à la main....

j'suis là et j'ai l'intention de t'aider à debusquer ce rat!!
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Communard
Communard distingue enfin l'entrée du donjon.
Devant la porte une ombre de femme l'inspecte, cherchant visiblement à entrer.
Ca ne peut être que Félina. Prudent par nature il assure sa position, bien dissimulé derrière les nombreux bosquets du marais.

Il est encore trop loin pour qu'elle le reconnaisse mais déjà Félina appelle..


Qui va là ?? Montrez vous !!

A sa grande surprise Communard voit sortir Seb des fourées.... il ne l'avait pas entendu arrivé. Décidément le forgeron a encore grand à apprendre sur l'embuscade.
Le forgeron n'a plus de raison de se cacher, il sort de l'ombre et s'en va rejoindre les deux autres auprès de la porte.


J'tions là aussi...

Le regard de Félina lui fait comprendre que l'heure n'est pas à la parlotte mais à l'action.
D'un pas il s'approche de la porte et l'observe.
Le temps et les intempéries flamandes ont faire leur oeuvre, les gonds sont rongés par la rouille.
Le forgeron connaît bien le fer et comprend que c'est là qu'il faut frapper, la chaîne reliant les 2 montants est elle solide.
Sand doute le cavalier a-t-il pris soin de protéger sa porte.

Communard dépose son épée et son bouclier. Il recule de 3 mètres.
Les nombreux poutrages mis pendant les parties de soule lui reviennent en tête mais aujourd'hui il n'est pas question de jeu.
Il accompagne Félina dans cette aventure car ils ont aujourd'hui un ennemi commun. Sa vigilance vis à vis de celle qu'il pense versatile ne doit pas se relâcher.
Il faut attraper cet homme, le faire parler, savoir qui des deux est en son droit.

Le capitaine part en courant de toutes ses jambes, il sert les poings et présente son épaule au plus près des gonds.

CCRRRAACCC....

Dans un rafut terrible les gonds cèdent et la porte s'écroule, toujours retenu par le montant gauche et la chaîne centrale.
Le forgeron est à terre, il se relève rapidement et s'en va reprendre son épée et son bouclier.
Tandis qu'il revient vers ses compagnons il leur adresse un simple.


C'est ouvert.... entrons et trouvons le.

Passant derrière eux Communard récupère son épée et son bouclier.
En gaucher il porte sa protection au bras droit. Il saisit fermement les sangles et porte le bouclier à hauteur.
Une vive douleur à l'épaule se fait sentir et lui arrache un rictus.
Dissimulant son mal il envoie un signe de tête indiquant qu'il est prêt.

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La mort ferme les yeux des morts et ouvre ceux des vivants.
Le départ d'un ami oblige à se reconstruire autrement...
Edonice
(posté pour la joueuse de Félina)




J'suis là et j'ai l'intention de t'aider à debusquer ce rat!!

La voix vient de la droite et elle aperçoit Seb qui n'était pas l'ombre à qui elle s'adressait.

Elle garde sa dague pointée vers l'ombre et soudain c'est Communard qui sort des fourrés et s'approche d'eux. La féline leur sourit à peine, quand bien même serait elle contente de les voir elle ne le montrera sûrement pas. Pourtant leur soutient sera bien indispensable face à cet homme.
La Féline s'éloigne et laisse Communard se charger de la porte.
Elle cède sous le poutrage violent du forgeron et la sauvageonne en reste béate d'admiration. Décidément, le forgeron flamand est plein de ressources sous ses airs calmes.


C'est ouvert.... entrons et trouvons le.

Sans se rendre compte que l'homme s'est fait mal en se jetant contre la porte, la Féline lui emboîte le pas, et fait un signe de tête à Seb pour qu'il les suive. Elle se méfie de sa fougue et espère qu'il restera calme malgré sa fureur.


Par là .. il y a une femme ici, elle doit savoir où est son "maître". Nous devons la faire parler.

Ils se dirigent vers l'endroit éclairé, le seul du donjon.
--Vanceslas
Il courait aussi vite qu'il le pouvait. Le maître lui avait dit d'aider sa grand-mère à les retenir et il savait qu'il avait intéret à obéir.

Il franchit les obstacles en habitué et arriva tout essouflé devant le château en ruine. Il entendait du bruit. Les étrangers étaient encore là et il ne devait que gagner du temps.

Lorsqu'il arriva, la porte avait cédé. Ils étaient donc entrés et la gamin eut peur pour sa grand-mère. Il prit la petite fronde qui lui servait à chasser les oiseaux, et courut droit devant lui.


"Grand-mère, t'es là ?"
--La_vieille
Elle se tenait à la fenêtre, dissimuler derrière une tenture, l’intruse devait partir. Le maître n’allait pas aimer la trouver là à son retour, il n’aimait pas les intrus.
Elle jeta un œil par la fenêtre pour voir si la femme partait et se qu’elle vit la glaça , ils étaient trois maintenant ! Jamais le maître n’aimerait ca, ils devaient à tout pris partir !

Elle était a se demander que faire en triturant dans tous les sens son torchon lorsqu’elle entendit un CRACCCC assourdissant…ils avaient forcé la porte !
C’est certain le maître n’allait pas aimer du tout ! Elle se précipita en dehors de la cuisine, ils étaient entrés et se dirigeaient dans sa direction…

Par là .. il y a une femme ici, elle doit savoir où est son "maître". Nous devons la faire parler.

Ils n’avaient pas l’air commode surtout la femme, elle ne savait pas ce qu’ils voulaient à son maître mais ce n’était surement pas du bien, elle aller faire face a ses intrus lorsqu’elle entendit son petit fils
"Grand-mère, t'es là ?"

Elle se dirigea au son de sa voix et lorsqu’elle le vit elle l’attrapa par le bras.
T’étais ou toi ? Faut prévenir le maître, y a des intrus ! Vite va le prévenir !
Elle ne savait pas que son petit fils l’avait déjà fait, aussi le poussa t elle pour qu’il y aille ! Elle elle ferrait de son mieux avec ces intrus en espérant que son maître arrive vite.
--_felina_


"Grand-mère, t'es là ?"

Un gamin fait soudain irruption en même temps qu'eux, alors qu'ils pénètrenttous trois dans la cuisine. La Féline reste près de la porte pour l'empêcher de fuir alors que la femme lui intime de partir.
T’étais ou toi ? Faut prévenir le maître, y a des intrus ! Vite va le prévenir !

Un regard vers Communard et Seb, comme pour leur signifier de se tenir prêt à toute éventualité puis; d'une voix calme, mais ferme, elle s'adresse à la vieille femme :


Personne n'ira nul part. Dis moi où est ton maître la vieille, si tu tiens à ta vie et à celle de ...

Elle regarde l'enfant, faisant tournoyer sa dague entre ses doigts, et lui lance un sourire sadique.

Ce gamin ...

Elle repose son regard froid sur le femme, attendant qu'elle parle. Elle n'est venue que pour voir cet homme et sa patience commence à s'effriter au fur et à mesure que le temps passe. Elle n'a pas l'habitude de menacer les enfants, mais là, elle ne réfléchit plus vraiment.
--La_vieille
Elle s’est faite surprendre dans la cuisine, et son petit fils avec elle, le maître n’allait décidément pas aimer cela.

Ils sont trois jamais elle ne pourrait s’échapper avec son petit fils, et la femme qui semble mener le groupe n’a pas l’air commode. C’est étrange, penst-elle, que ces hommes se laissent commander par une femme, elle ne comprend pas, jamais le maître n’aurait accepté ça !


Personne n'ira nul part. Dis moi où est ton maître la vieille, si tu tiens à ta vie et à celle de ...
Ce gamin ...


Cette femme menace son petit fils, elle fait tournoyer sa dague pour bien lui monter qu’elle s’est s’en servir, un frisson la parcours un cours instant lorsqu’elle voit le regard et le sourire sadique qu’elle a.
En cette instant, elle ressemblerait presque à son maître !
Mais ce n’est pas le maître ! Elle se redresse, poussant son petit fils derrière elle


J’vous l’ai dit, il est point là ! J’sais pas ou il est ! D’ailleurs même si j’le savais j’vous dirais rien alors allez vous en !
--_felina_
J’vous l’ai dit, il est point là ! J’sais pas ou il est ! D’ailleurs même si j’le savais j’vous dirais rien alors allez vous en !

La femme ne parlera pas, la Féline le sait. Elle a peur mais elle ne trahira pas son maître. Pourtant l'instinct de Félina lui dicte d'aller vite, et de débusquer cet homme le plus rapidement possible avant qu'il le fasse d'autres victimes.

Elle fait donc un pas vers la femme et le gamin et se saisit de se dernier en le tirant violemment par le bras. Alors elle inverse les rôles. Elle repousse l'enfant loin d'elle vers Communard et Seb et pointe sa dague sur la gorge de la vieille femme.


Et toi le môme ? Me diras tu où je où trouver ton maître ou dois-je égorger c'te vieille peau et l'trouver moi même.


Son regard est glacial, et son ton plus sec que jamais. Seule ma mercenaire est présente en cet instant, et si le gamin ne parle pas, elle n'hésitera pas un instant à tuer cette femme, ne serait ce que pour calmer sa colère, sans autre forme de procès.
Communard
Communard est tendu, lui qui crée des armes depuis des mois maintenant n'a guère eu l'occasion de s'en servir qu'à l'entraînement.

Cette fois la situation n'est plus la même, 2 êtres sont en face de sa lame. Ils ne sont point ses ennemis mais gêne son but. Communard n'est plus tel qu'il est à son habitude, la rage le prend, les sévices infligées par le cavalier lui donne le besoin de passer ses nerfs.

Lorsque Félina pousse vers eux le gamin et pointe sa dague sur la gorge de la vieille Communard ne réfléchit plus.

Il saisit le gamin par ce qui lui fait office de chemise, il sert de sa main l'encolure et plonge son regard dans celui du bonhomme.

Son regard est mêlé de colère et de compassion.... les sentiments traversent ses yeux, mais sa force forgée au marteau sert le gamin.
Il sent sa poigne se resserer et voit le gamin respirer avec difficulté.

Il entend Félina.


Et toi le môme ? Me diras tu où je où trouver ton maître ou dois-je égorger c'te vieille peau et l'trouver moi même.

'coute gamin... l'vie d'une p'tiote est en péril et foy d'moi on la r'trouvera....

Parle sans attendre sans quoi.....

Parrrrlllleee !!!!


La compassion a disparu des yeux du forgeron... Le garçon n'est plus, reste l'ennemi.
Le gamin dans la main droite et l'épée dans la gauche il lève son épée autant pour l'effrayer que pour éteindre cette rage qui monte en lui.


Parle !!!!
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La mort ferme les yeux des morts et ouvre ceux des vivants.
Le départ d'un ami oblige à se reconstruire autrement...
--Vanceslas
Il est terrorisé. En lui se mêle la crainte du maître et celle de ces ennemis. Il y a cette femme qui menace sa grand-mère et cet homme.

Il lui hurle de parler et lorsqu'il lève son arme, le petit reconnaît ce regard. Le même que celui du maître lorsque sa rage est plus forte que tout. L'enfant lève son bras pour le mettre devant ses yeux, faible rempart contre une épée.

Le maître lui avait demandé de les retarder, ce devait être suffisant. Il ouvrit grand la bouche et au départ aucun son n'en sortit. Il se racla alors la gorge et osa d'une voix timide.


"La dernière fois qu'j'ai vu l'maître, l'était dans la cabine d'la gamine. I'm'a dit de rentrer ici avec grand-mère, lui avait à faire. Sais pas où il est parti, mais l'a pris l'chemin d'la plage, vers la ville."

L'enfant avait peur que l'homme et la femme ne les tuent et une envie subite de se soulager le prit tant la terreur était grande.

"J'vous ai tout dit ..."

Allaient-ils partir et les laisser en vie ? Ils étaient comme le maître, lui et sa grand-mère n'étaient rien pour lui, rien d'autre que des moyens d'obtenir ce qu'ils voulaient.
Communard
Le gamin parlait et Communard écoutait sa voix tremblante sous sa poigne.
Il prenait un certain plaisir à dominer ce petit être comme face à l'animal blessé en chasse pendant quelques maraudes sur les terres nobiliaires.

Les paroles du garçon étaient hachées par la peur mais l'essentiel était clair.


La dernière fois qu'j'ai vu l'maître, l'était dans la cabine d'la gamine. I'm'a dit de rentrer ici avec grand-mère, lui avait à faire. Sais pas où il est parti, mais l'a pris l'chemin d'la plage, vers la ville.

J'vous ai tout dit ...


Communard regarda une dernière fois l'enfant, ne pouvant s'empêcher malgré sa colère d'avoir une seconde la pensée qu'il avait été à cette place autre fois face au prêtre.

Non ! La vie d'Edonice était en jeu, le cavalier s'en était allé la rejoindre à sa cabane puis avait repris le chemin de la ville.
La nuit tombait à présent et il leur serait plus difficile à chaque minute de retrouver cet homme.

Afin de prouver sa détermination mais également pour chasser de lui ces pensées d'enfance trop tendres il jette le gamin à 2 mètres de lui tel un vulgaire sac en toile de jute.
Le léger rictus qui accompagne son geste peut passer pour un sourire sadique mais Communard se rend bien compte que la douleur à sa épaule est vive.

Il se retourne rapidement, récupère son bouclier et parle pour cacher sa gêne à le mettre à son bras.


Nous s'tions trompé Félina.... il nous a berné l'enfant d'poivrot !

Faut r'prendre les ch'vaux et filer à la cabane d'eul p'tite.
Vite....


Communard ne réfléchit plus encore une fois mais alors qu'il est prêt à partir il se retourne, fais quelques pas de manière à se placer bien face à elle puis il s'adresse à la vieille.

Si jamais malheur arrive à s'tenfant tiens toi pour dit que cette demeure brûlera.... avec toi dedans si tu en faisais l'choix !
Foy d'moi ton maître paiera si malheur est fait.... et ses compères également !


D'un oeil pressant il regarde Félina et Seb.

Hâtons nous....
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La mort ferme les yeux des morts et ouvre ceux des vivants.
Le départ d'un ami oblige à se reconstruire autrement...
Seblebeau
seb etait un peu pataud, un peu hors du temps..ne sachant trop ce qu'il faisait là, il decida de suivre felina et communard qui etaient bien mieux agueris à toutes ces actions; son seul but à lui n'avait jamais été que de vivre dans la joie et se retrouver dans l'antre d'un mecreant n'etait pas dans sa nature.malgré tout, les paroles de communard lui donnerent un peu de courage; il tint son épée avec un peu plus de vigueur et se decida à les suivre jusqu'à la maison d'edonice puisque c'etait l'prochain voyage dans cette quete au mechant...


faut qu'on s'depeche commu...j'comence à pas etre rassuré... Edonice etait avec Kaelle et Cajoline... s'il est là bas ...


seb n'osait pas bouger malgré tout, il se contenterai de suivre la troupe car il etait un peu trouillard quand meme..

.
regardant la vieille femme , il ne put qu'avoir pitié en cette dame qui n'etait pour pas grand chose aux evenements qui se passaient à dunkerque , bien que tout provienne de son trou à rat..


faites pas l'idiote m'dame... prenez vos afaires et quittez la ville, ça sera mieux pour tout l'monde!!
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--_felina_
La dernière fois qu'j'ai vu l'maître, l'était dans la cabine d'la gamine. I'm'a dit de rentrer ici avec grand-mère, lui avait à faire. Sais pas où il est parti, mais l'a pris l'chemin d'la plage, vers la ville.

J'vous ai tout dit ...


La Féline prend soudain conscience de l'affreuse réalité ... Elle s'est faîte avoir. Soudain Communard change d'attitude et pousse l'enfant contre le le mur avec une violence telle que la sauvageonne en reste un instant abasourdie. Elle réalise alors seulement qu'il semble souffrir de l'épaule mais la fureur qu'elle lit dans son regard et ses mots la font frissonner. Elle ne reconnaît plus le forgeron clame et serein.

Nous s'tions trompé Félina.... il nous a berné l'enfant d'poivrot !


Faut r'prendre les ch'vaux et filer à la cabane d'eul p'tite.
Vite....


La peur qu'elle perçoit dans sa voix se propage aussitôt en elle. Edonice, cet homme va la tuer.Comme il leur intime de se dépêcher elle lance un regard menaçant vers la vieille femme et l'enfant, ne prononçant pas un mot.

Seb et Communard semblent tout aussi pressée qu'elle de partir et la Féline se retourne vers eux.
Dans son regard, une étrange de lueur : peur et colère mélangées.Et s'ils arrivaient trop tard, si déjà l'homme avait tué la fillette ... ??!! Elle n'ose y songer mais pourtant ...

La Féline serre les poings à lui faire mal et se précipite vers la porte.


Allons y !! A la plage il n'y a plus une seconde à perdre !!

Elle s'élance alors dans la cour du château, franchit la porte et s'engouffre dans le marécage. Elle n'a jamais courut aussi vite de toute sa vie, sans se retourner.


[suite sur la plage de Dunkerque]
Seblebeau
seb voit felina serrer les poings et se sauver en courant dans la cour du chateau...
Allons y !! A la plage il n'y a plus une seconde à perdre !!

il eut pas l'temps de reagir qu'elle etait deja partie....il s'elança à ses trousses mais felina etait tres agile et se deplaçait vite dans les marais...seb , un peu pataud, n'arrivait pas à passer par dessus toutes des flaques , ces fourrées et tombait plus que de raison...

il decida donc d'aller un peu moins vite et d'assurer la marche...il arriverai bien à la plage, de toute façon il savait ou elle se trouvait...

seb regarda devant lui et ne vit plus felina...elle allait vraiment tres vite!!


j'comprends pas pourquoi on va là bas mais po grave, j'suis !! de toute façon faut bien l'attrapper ce voyou!!

tout en cheminant seb se demandait ou pouvait bien etre sa femme....
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Seblebeau
( suite aux darioles epicées )
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