--Trokinas
Trokinas reprenait ses esprits progressivement. Il avait vaguement conscience de son environnement. Il avait vu Aliénaure qui le reconfortait et cela lui fit un bien fou. Il se sentait bien même si la douleur de sa main lui rappelait la dureté de la vie, il voyait celle qu'il aimait droit devant lui, et du coup, plus rien n'avait d'importance.
Il voulut se relever, mais sentit que son corps n'en avait pas la force : la nuit de folie, le stress, la blessure, tout était réuni pour qu'il lache enfin. Cela faisait deux mois qu'il tenait sur les nerfs, et maintenant, il pouvait enfin se relacher : il n'était plus Comte et sa Douce était sauvée. Le reste n'avait plus d'importance.
Puis on lui glissa une substance dans la bouche, et le sentiment d'irrealité augmenta. Il sentit une main lui tenir la sienne, et il la serra avec passion. Il réussit à dire un mot.
Merci ma Douce
Puis il sentit qu'on allait s'occuper de quelqu'un d'autre que lui.
L'opium permit aussi de calmer la douleur. Il décida cette fois, qu'il avait passé assez de temps au sol, et se releva. Enfin essaya. Il dut s'y reprendre à deux fois, et c'est au prix d'un violent vertige qu'il arriva à reprendre la position debout.
Il regarda autour de lui, et vit le visage de l'encapuchonné. L'homme qui avait faillit tué sa Douce. Il s'approcha de lui, et le regarda de haut. Il sentit une rage monter et malgré la bassesse du geste, lui décocha un violent coup de pied dans le visage. Le Maire avec qui il avait conversé, négocier discuter, en arriver là?
Il vit son épée et fut tenté de lui régler son compte. Mais il n'en fit rien. Pourquoi? Pas parce qu'il eut pitié ou par bonté d'âme, simplement parce qu'il voulait oublier ce paubre homme qui avait tout perdu. Trokinas trouvait que c'était bien plus profitable de le laisser souffrir que d'abréger ses souffrances. Puis le Baron prit conscience qu'Aliénaure était plus loin et visiblement perdu dans les limbes de l'esprit. Il se précipita vers elle et voulut en savoir plus.
Finitou que se passe t il?
Il voulut se relever, mais sentit que son corps n'en avait pas la force : la nuit de folie, le stress, la blessure, tout était réuni pour qu'il lache enfin. Cela faisait deux mois qu'il tenait sur les nerfs, et maintenant, il pouvait enfin se relacher : il n'était plus Comte et sa Douce était sauvée. Le reste n'avait plus d'importance.
Puis on lui glissa une substance dans la bouche, et le sentiment d'irrealité augmenta. Il sentit une main lui tenir la sienne, et il la serra avec passion. Il réussit à dire un mot.
Merci ma Douce
Puis il sentit qu'on allait s'occuper de quelqu'un d'autre que lui.
L'opium permit aussi de calmer la douleur. Il décida cette fois, qu'il avait passé assez de temps au sol, et se releva. Enfin essaya. Il dut s'y reprendre à deux fois, et c'est au prix d'un violent vertige qu'il arriva à reprendre la position debout.
Il regarda autour de lui, et vit le visage de l'encapuchonné. L'homme qui avait faillit tué sa Douce. Il s'approcha de lui, et le regarda de haut. Il sentit une rage monter et malgré la bassesse du geste, lui décocha un violent coup de pied dans le visage. Le Maire avec qui il avait conversé, négocier discuter, en arriver là?
Il vit son épée et fut tenté de lui régler son compte. Mais il n'en fit rien. Pourquoi? Pas parce qu'il eut pitié ou par bonté d'âme, simplement parce qu'il voulait oublier ce paubre homme qui avait tout perdu. Trokinas trouvait que c'était bien plus profitable de le laisser souffrir que d'abréger ses souffrances. Puis le Baron prit conscience qu'Aliénaure était plus loin et visiblement perdu dans les limbes de l'esprit. Il se précipita vers elle et voulut en savoir plus.
Finitou que se passe t il?