Falco.
Retour en Gascogne
Pattes de galinule! Foutus Perigourdins..
Ils ont traversé la Guyenne, contrée fort laide, enrobés de leurs insignes et couleurs truquées.
Ils se sont dispersés pour faire d'une pierre deux coups.
Attendre leurs compagnons bloqués en Perigord et estimer l'état général de la Guyenne.
Dans quel but?
Celui qui se pose la question quand une troupe rapide improvise des barrages de routes, traverse banniére au vent des villes,est un sot.
Le Fossoyeur sait que Gascogne devra tôt ou tard se rendre à l'évidence.
Seul un raid et une razzia vers un voisin pourra apporter minerais et biens convertibles en or qui permettrons de sortir rapidement de la stagnation.
Ils ont pu constater que si la garnison de Bazas est potentiellement puissante, l'armée est atone et la douane tenue par des benêts.
Nul force n'a génée leurs patrouilles.
Et si les prises furent maigres, aucune réaction brutale ne fut au rendez vous.
Hormis la justice pour certains..Justice incompétente, transgressant son propre coutumier.
L'idée générale est donc que la Guyenne est cible propice à un raid rapide.
Huits villes, mais peu de capitaines.
Prendre une ville ou deux avec force et rapidité serait aisé.
Duché puissant mais ensommeillé, donc.
Cependant, du Perigord personne n'est sorti.
Et ses demandes de laisser passer pour évacuer guerriers et materiel ont essuyé refus sur refus.
Pire..Ces gourdes ont emprisonné leurs compagnons, ne lévent pas leurs lances d'armées tuant tout ce qui vit..Pour des gens pressés de se débarasser de leurs ennemis ils ont une attitude étrange.
C'est donc passablement en colére qu'il a fait demi tour.
On ne peut réussir une galopade à chaque coup.
Par contre il lorgne vers le ciel de plus en plus souvent le sac d'os.
S'il avait un souhait, ce serait qu'Aristote le lâche un peu.
Une seconde Grande Echelle est tombée à l'aube en travers de sa route.
Son Ch'val à l'esprit monomaniaque et prédateur n'a fait qu'une bouchée de l'angelot bombardier.
Du moins c'est ainsi qu'il interprête la ruade et sa chute sur le sol gelé.
L'entrée à Labrit se fait en silence.
Le fondement endolori, et une migraine tenace en retour.
Staron a une drôle de façon d'être ronchon..
Une pose est nescessaire.
La cavalerie est en désordre, un peu dépitée aussi.
Pourtant il devra faire route sous peu.
Le Béarn se prépare lui aussi à une chevauchée.
Il est temps de concretement agir de concert.
Pour la Navarre en gestation.
Moulu, l'armure piqueté de rouille à cause des brumes, son pas hésite entre l'Eglise et une Auberge.
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Tableau de chasse de Guyenne:
Pattes de galinule! Foutus Perigourdins..
Ils ont traversé la Guyenne, contrée fort laide, enrobés de leurs insignes et couleurs truquées.
Ils se sont dispersés pour faire d'une pierre deux coups.
Attendre leurs compagnons bloqués en Perigord et estimer l'état général de la Guyenne.
Dans quel but?
Celui qui se pose la question quand une troupe rapide improvise des barrages de routes, traverse banniére au vent des villes,est un sot.
Le Fossoyeur sait que Gascogne devra tôt ou tard se rendre à l'évidence.
Seul un raid et une razzia vers un voisin pourra apporter minerais et biens convertibles en or qui permettrons de sortir rapidement de la stagnation.
Ils ont pu constater que si la garnison de Bazas est potentiellement puissante, l'armée est atone et la douane tenue par des benêts.
Nul force n'a génée leurs patrouilles.
Et si les prises furent maigres, aucune réaction brutale ne fut au rendez vous.
Hormis la justice pour certains..Justice incompétente, transgressant son propre coutumier.
L'idée générale est donc que la Guyenne est cible propice à un raid rapide.
Huits villes, mais peu de capitaines.
Prendre une ville ou deux avec force et rapidité serait aisé.
Duché puissant mais ensommeillé, donc.
Cependant, du Perigord personne n'est sorti.
Et ses demandes de laisser passer pour évacuer guerriers et materiel ont essuyé refus sur refus.
Pire..Ces gourdes ont emprisonné leurs compagnons, ne lévent pas leurs lances d'armées tuant tout ce qui vit..Pour des gens pressés de se débarasser de leurs ennemis ils ont une attitude étrange.
C'est donc passablement en colére qu'il a fait demi tour.
On ne peut réussir une galopade à chaque coup.
Par contre il lorgne vers le ciel de plus en plus souvent le sac d'os.
S'il avait un souhait, ce serait qu'Aristote le lâche un peu.
Une seconde Grande Echelle est tombée à l'aube en travers de sa route.
Son Ch'val à l'esprit monomaniaque et prédateur n'a fait qu'une bouchée de l'angelot bombardier.
Du moins c'est ainsi qu'il interprête la ruade et sa chute sur le sol gelé.
L'entrée à Labrit se fait en silence.
Le fondement endolori, et une migraine tenace en retour.
Staron a une drôle de façon d'être ronchon..
Une pose est nescessaire.
La cavalerie est en désordre, un peu dépitée aussi.
Pourtant il devra faire route sous peu.
Le Béarn se prépare lui aussi à une chevauchée.
Il est temps de concretement agir de concert.
Pour la Navarre en gestation.
Moulu, l'armure piqueté de rouille à cause des brumes, son pas hésite entre l'Eglise et une Auberge.
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Tableau de chasse de Guyenne: