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[RP] L'Eglise de Tournai

Keewy
Cela faisait des semaines et des semaines que lfruit voulait parler à Astrid, mais le manque de temps peut être et pis faut dire qu'en ce moment la diaconnesse de Tournai même en zozotant elle savait causer et remettre les choses à place, Kee ne voulait pas trop la chatouiller non plus.

Enfin bref, en ce dimanche Keewy avait décreté ,hum un decret municipal pour aller à l'office ca serait peut etre pas mal ça , à y réfléchir, s'en alla en chantonnant à l'église.

Elle croisa quelques tournaisiens qu'elle salua de la tête et toute en avance qu'elle était , se posta en bas des marches de l'église.

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Astrid_
Sur le parvis de l'église Astrid attend les villageois. Vont ils être au rendez vous?

C'est là qu'elle aperçoit la bourgmestre tout en bas des marches ........ un grand sourire se dessine sur son visage, justement elle pensait à son baptême sans vraiment trop s'en inquiéter. Une grande partie des villageois étaient absent et ses épousailles elles mêmes étaient sans cesse repoussées.

Un signe de main en invite à la dame fruitée pour l'inviter à la rejoindre.

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Skal
Il avait croisé la diaconesse de Tournai un peu plus tôt. Elle lui avait offert gentiment une chope et lui avait demandé si il pouvait venir se rendre à l'église pour la messe du dimanche.
Il doit bien l'avouer, ça faisait un petit moment qu'il ne s'était rendu dans ce lieu, principalement par manque de temps.
Mais quoi de mieux qu'une matinée devant le très haut pour une fin de mandat?
Pourrait il bénir le futur mandat, peut être que cela aiderait le comte sortant à ne pas imaginer le pire pour ces deux prochains mois...

Il rentra seul, son épouse le rejoindrait sûrement un peu plus tard. Il salua son amie bourgmestre et fit un signe respectueux envers la diaconesse puis il s'installa dans le fond pour méditer un peu avant le début de la cérémonie.

Il pouvait enfin prendre le temps de réfléchir à tout ce qui se passer en ce moment. Son mandat, la situation économique qui s'était nettement améliorée, puis aussi à la guerre qui s'approchait de plus en plus des Flandres.
Il était à la fois déçu et à la fois triste, on pouvait d'ailleurs le voir sur son visage. Pourtant il devrait être heureux de ce mandat qui est sans doute l'un des plus réussi depuis des années mais l'attitude des nobles Flamands lui gâcher ce plaisir.
Des nobles qui souhaitaient entrer en guerre au lieu de prôner la neutralité.... Il ne le comprenait pas, enfin si il le comprenait mais pas pour les bonnes raisons.

En silence, il continua à penser....

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Beeky
Le temps estait ce qu'il y avait de plus précieux et la vicomtesse en manquait par bien trop. Elle estait en semi-retrite et oncques n'avait eu autant à faire... Elle devait préparer son départ des Flandres mais ne parvenait poinct à lever le pied.

Les chariots estaient prests mais cette fois, on voyagerait léger. La vicomtesse estait aux anges, elle allait rejoindre son cher espoux et plus rien n'avait la mesme lueur, la mesme saveur, le paradis estait derechef sur terre.

C'est pleine d'aimables pensées que l'archidiacre alla d'un pas alerte vers la petite église de Tournai. Elle avait appris que l'archevesque estait installé au village et cela estait grand ravissement pour les ouailles. Aller à la messe donnait la boulasse et par ces temps troublés, il ne fallait poinct rater la chose !

La dame gravit allégrement les marches du parvis et salua sa filleule qui s'est confiée à elle. La population estait trop troublée pour aller vers le Très-Haut, c'est pourtant les paroles du Créateur qui peuvent apaiser les coeurs tristes et les asmes desespérées.

Par fin, elle s'installerait sur son prie-dieu et attendrait le début de l'office.

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Retour en douceur (ou pas ^^ ) après un long WE...
Khalidia
Khalidia avait souvent embêté Astrid afin qu'elle l'aide pour les points d'état en institution, elle, la diaconesse. Et quand elle lui avait glissé qu'elle serait reconnaissante s'il pointait le bout de son nez à l'église, il lui en avait fait la promesse.

Et donc, en ce dimanche ensoleillé, il avait suivi sa compagne, la belle et douce maire de Tournai, le meilleur fruit des Flandres pour l'accompagner à l'église. Et tandis qu'elle se postait en bas des marches, lui les gravit pour aller s'installer dans un coin frais de l'édifice.

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Blanche30
Blanche s'était réveillée ce matin là avec l'intention de se rendre à la messe. Il n'y en avait plus à Anvers, aussi, autant en profiter. Une fois prête à partir, elle demanda où se trouvait son époux. Aussi surprenant que cela puisse paraître, on lui répondit qu'il était déjà dans la maison de Christos ! Très bien, alors en route !

Arrivée sur la grande place de Tournai, la blonde se dirigea d'un pas alerte vers l'église. Elle entra, salua d'un sourire et d'un signe de tête ceux qu'elle reconnaissait, et repéra son époux. Elle s'approche de lui et, après avoir déposé un baiser sur sa tempe, s'assit à ses côtés. Il n'avait pas l'air heureux, et on pouvait deviner pourquoi. En silence, Blanche prit la main de Skal, et la serra tendrement. Il n'avait rien à se reprocher, et avait vraiment été parfait ces deux derniers mois. Elle ne lui dirait pas qu'il avait été parfait bien sûr, sinon il lui rappellerait ses paroles jusqu'à la fin de leurs jours. Mais elle le pensait.

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Astrid_
Si le ciel restait gris en cette matinée automnale Flamande, le coeur de la petite diaconesse de Tournai était si empli de lumière qu'elle en irradiait l'iris de ses verts yeux.

Chacun fut salué, les enfants d'Attigny arrivent ........... La messe peut commencer et tant pis pour son filleul de coeur qui n'a pas trouvé le chemin de l'église ce matin. Il ne sera ni le premier, ni le dernier à être en retard à l'office du dimanche et en sera pardonné.

De son petit pas rapide et sautillant, Astrid remonte l'allée centrale et se place face aux fidèles devant l'autel.

Lève les bras au ciel et les abaisse comme pour embrasser ses ouailles.


Que la lumière du Très Haut brille sur nous, illumine nos coeurs, panse nos âmes.

Mes enfants bienvenue sez vous, bienvenue dans la maison du Très Haut.



Ensemble confessons nos fautes


et d'entonner le confiteor avec les fidèles





La diaconesse s'avance d'un pas pour être au plus proche de ses ouailles ............... Nous voici lavés de nos péssés................. Sentons en nous ressurzir l'enfançon que nous étions.


... que l'insouciance et l'amour nous transportent dans ce moment de grasce ou nous allons réitérer notre appartenance à la très sainte famille Aristotélicienne. Ensemble soudés dans notre foi sans faille sous le regard protecteur du Très Haut, Aristote et Christos




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Tibere
Tibère était un peu en retard. Il entendait Astrid en train de réciter le credo, alors qu'il enfilait les vêtements sacerdotaux. Il entra lentement dans le choeur, salua la diaconnesse, puis alla se placer sur un des côtés où se trouvaient de lourdes chaises en bois flamand habilement ouvragées. Il prit place sur la plus imposante réservée à l'évêque et se concentra sur la suite.
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Archevêque de Malines. Général de la Compagnie d'Aristote.
Lucas1er
Lucas repassait par Tournai. Y avait de nouveau la messe de Astrid.
Les gens voudraient se montrer vu que ya Tibere.
Il se dit, c'est l'occasion de voir si ya des jolies filles a Tournai.

Il se confesse et fait les prieres.
Sirwilliam
citation inutile et due à une erreur je pense retirée.

Je suis en retard mais je viens quand même sinon Astrid m'as dit qu'elle me mettrait un coup de pied au derrière...
Astrid_
Astrid se réjouit de voir enfin son filleul de coeur Sirwilliam. Certes elle l'a quelque peu menacé, dans le but de le voir oser se montrer en ville et surtout à l'office du dimanche. Elle n'ose pas trop afficher vers lui le sourire de satisfaction qui lui vient aux lèvres et se contente de désigner Bérénice Dubois débutant la lecture de la hiégraphie de l'archange syphaël.

L’incroyable destin de Sylphaël d’Hédon


En ces temps troublés pour la Cité vivait un jeune homme nommé Sylphaël d’Hédon. Il savait briller en société, était doué de talents en tous les arts mais ce qui faisait l’admiration de son entourage était son extraordinaire capacité à savourer chaque instant de la vie.
Nous le croisions fréquemment en compagnie de deux complices de taverne, Colomba la Radieuse et Lucifer le Cyclothyme mais tandis que ce dernier s’enivrait à l’excès jusqu’à devenir violent peu avant le coma éthylique (donnant lieu au célèbre quolibet « quand Lucifer boit, Colomba raque ») Sylphaël, roi des nuits d’Oanylone, goûtait tous les vins puis partait légèrement titubant donner son concert de lyre au profit de l’association « sagesse amassée d’Oane ».On voyait alors toutes les torches de ses adulateurs chavirés l’envoyer droit au firmament.
Souvent, le lendemain à l’aurore et après qu’il eût trouvé de nouvelles sources de délices en étudiant avec Colomba, il n’était pas rare de voir Sylphaël préparer une tisane au chevet d’un Lucifer aux traits ruinés, nauséeux, blafard.
« tu confonds jouissance et bonheur, mon pauvre Luc ! » le sermonnait Sylph tandis que son ami s’apprêtait pour une journée de mortifications et d’autopunitions en tous genres car telle une girouette folle, Lucifer le versatile ne cessait de passer d’un état de soif de plaisir extrême à un abattement coupable et dépressif «et ainsi éprouves-tu très durement ton corps par d’incessantes privations, d’éternels excès »
Quelque temps plus tard, Colomba, succombant au charme dévastateur de Sylphaël le voluptueux, l’épousa. Cependant malgré leur bonheur insolent les deux jeunes gens s’inquiétaient pour leur ami, qui comme bien d’autres habitants d’Oanylone, sombrait chaque jour plus gravement dans un abîme sans fond, mêlant la pratique d’inquiétantes coutumes sexuelles la nuit et , formulant d’étranges prières le jour, prostré et nu, au sommet d’une colonne sous l’œil bienveillant de la Créature sans Nom.
Celle-ci oeuvrait désormais partout dans la ville, sortant de la pénombre, flairant ses proies parmi les décombres de plus en plus nombreux sous les coups de boutoir de la colère de Dieu car l’heure du châtiment avait commencé.


La rébellion des corrompus


La Créature Sans Nom avait trouvé facilement ses auxiliaires parmi les êtres les plus débauchés de la Cité au nombre de sept dont Lucifer le Cyclothyme et ces factotum diffusaient leurs mauvaises pensées avec déconcertante facilité, instillant dans les esprits égarés par la peur d’obscures idées telles que :
«Dieu a créé les riches pour donner aux pauvres le paradis en spectacle » «l’humain retrouvera ses biens s’il ne doute point de la faiblesse de Dieu » «L'éternité c'est long, surtout vers la fin» tant et si bien que la colère ainsi attisée déclencha un massacre.
Un matin nous retrouvions éventré dans les gravats et parmi bien d’autres, le corps de Colomba et pour la première fois je vis Sylphaël s’effondrer dans le même temps que s’écroulait la ville.


La Tentation


Deux jours plus tard tandis que la Cité en ruine se vidait de ses habitants j’aperçu Sylphaël courir en tous sens dans une ruelle. Son teint était blême. Il me fit ce récit :
« Cette nuit je me réveillais brusquement sentant la présence sous mon drap d’une forme : celle-ci semblait peser à mes côtés puis s’enrouler autour de mes jambes jusqu’à ce qu’elle m’étreigne complètement. Je fus pris d’une angoisse oppressante cependant je croyais reconnaître dans cette forme le corps de Colomba, mon épouse défunte et en même temps que la terreur peu à peu m’envahissait j’étais empli d’un flot de tendresse immense à son égard mais je savais qu’elle n’était plus et ce sentiment cédait la place à une impression de manque et une douleur irrépressible soudain je compris que j’étais en proie à un extraordinaire maléfice je devais lutter de toutes mes forces pour ne pas céder à cette chose abominable. Sans doute paralysé par une peur intense j’avais les pires difficultés à me mouvoir et la chose m’emprisonnait comme un étau. Après d’interminables secondes je parvins à atteindre la lampe à huile (j’avais l’unique pensée de faire la lumière pour affronter le sortilège) mais la flamme ne s’alluma pas. Alors, cédant à la panique, je me débattais avec l’énergie du désespoir car cette fois-ci j’allais mourir je ne cessais de crier « vas-t’en » en litanie ininterrompue et de plus en plus fort à la force maléfique dont j’étais la victime. Mon pouls s’emballait, mon cœur palpitait si vite qu’il allait exploser, la chose desserra son étreinte puis je ne sentis plus rien j’allumais la lampe et cette fois-ci, étrangement, la lumière se fît.
Le reste de la nuit j’ai médité sur cette tentative de possession de l’Innommable Créature et l’état d’acédie qui faillit me tuer lorsque j’étais pétrifié par l’angoisse.
Il nous faut accepter le courroux de Dieu, et cette ville, ç’est bien nous qui l’avons condamnée à la destruction, je m’en vais rejoindre le groupe des vertueux.
"pardonne-moi mon ami" lui dis-je "mais comment espères-tu incarner une vertu toi dont l'existence fût toute entière consacrée aux plaisirs ?"
il répondit "mais parce que cette vertu est le plaisir même ! Dieu nous donna les sens pour le goûter et parce que l'amour de la vie reste l'Amour"
sans s'attarder il partit prier pour sauver le monde en compagnie des Vertueux rassemblés à la septième Porte.

La cité d’Oanylone, bâtie en forme de cadran comportait huit portes correspondants aux subdivisions cardinales et la porte Ouest en était la septième, j’observais Sylphaël s’éloigner vers le couchant, ce fût la toute dernière fois que je le vis.
Infiniment plus couard, je quittais la ville précipitamment sans arme ni bagage, avant l’ultime chaos. ainsi il restait désormais sept vertueux face à sept corrompus.
Parmi les compagnons de fuite que je rencontrais par la suite, quelques uns avaient observé de loin le cataclysme final, l’engloutissement de la Cité et leurs témoignages concordaient aussi sur ce point, sept silhouettes avaient été vues, aspirées vers le soleil par des faisceaux ardents.
Je fus heureux de penser à la destination finale de Sylphaël qui toute sa vie avait été rayonnant.




édité pour correction
Keewy
La bourgmestre était là mais surtout la simple tournaisienne qu'elle était et resterait.
Elle écouta attentivement la lecture faite par Bérénice se disant que ma foi , elle devrait en écouter ou lire les écrits d'avantage
Un sourire discret sur le visage, un regard tendre vers son compagnon, puis se reconcentra sur la suite de l'office dominicale

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Beeky
La vicomtesse odissait la célébration avec grande attention, mesurant le chemin parcourut par sa filleule qu'elle avait recueillit toute gauche et négligée, au vocabulaire... si particulier, dès son cinquième printemps.

La damoiselle estait devenue fort joliette et diaconesse grandement laborieuse, réussissant exploit cyclopéen de rameuter paroissiens afin d'assister à l'office, dans la cité que l'on disait mauvais élève flamand. Il estait fort injuste que l'on fasse ainsi le procès des Tournaisiens, mais la seule justice n'estait-elle poinct divine...?

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Retour en douceur (ou pas ^^ ) après un long WE...
Astrid_
Soeur Astrid monte en chaire (une fois n'est pas coutume, mais les pontes de Malines étant présent elle veut bien faire la pauvrette) ......... cherche frénétiquement son sermon et ne trouve qu'un fond de poche décousu. Bien il faudra improviser.

Prière au Très Haut pour demander de l'aide et la voilà qui se jette sans filets dans son sermon.


Mes enfants................ Certes nous pourrions faire un parallèle entre la vie de Syphaël et la conzoncture actuelle de notre comté.

Maiiiiiiiis ze m'y refuse, la situation et les pressions sont bien trop grande pour que z'en razoute une cousse et vous savire le coeur et les esgourdes.

Adonc prenons l'enseignement que nous procure ce texte tout simplement comme l'aurait fait le bon Archanze Syphaël avec amour et optimisme.

Certains pourraient penser que cet homme fut gâté par la vie dès sa naissance et qu'il était donc lozique que son destin fut d'incarné par une vertu! Si nous avons bien écouté il semblerait que son ami Lucifer lui aussi était venu au monde avec des qualités identiques.

Ce qui différencie Syphaël de lucifer c'est la capacité qu'il avait de ne point connaitre l'égoïsme et d'aimer profondément son prossain.................... Syphaël aurait pu se laisser tenter par les excès mais sa nature lui permettais de connaitre ses limites et son entendement en la matière fut si fort qu'il réussit à vaincre la tentation.

Tout comme l'archanze du plaisir, sassons prendre le meilleur de saque soze saque zour. Prenons plaisir à être ensemble, auzourd'hui, ici!

Tous descendant d'Oane, comme nos ancètres réunis autour de sa tombe rézouissons nous de pouvoir partazer ensemble cet instant délicieux. Retrouvons l'insoucience de l'enfançon que nous avons été. Laissons tomber le temps de cette communion nos sarzes et nos soucis pour nous laisser bercer par le Très Haut.

Pourquoi bouder ce plaisir?

Syphaël nous en apporte la réponse : ze cite "mais parce que cette vertu est le plaisir même ! Dieu nous donna les sens pour le goûter et parce que l'amour de la vie reste l'Amour"

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Astrid_
Vous êtes à présent invités à communier avec les saints, en recevant le pain et le vin :



Santons ensemble un petit cantique pendant que ceux qui le souhaitent s'avancent pour prendre le repas de la fraternité
...........

Citation:
Où l'on me verse du bon vin

Canon

Où l'on me verse du bon vin
Volontiers, volontiers
Je ferai longue pause
Comme les fleurs de mon jardin
Comme les fleurs de mon jardin
Je prends racine où l'on m'arrose
.


http://www.wat.tv/audio/ou-on-me-verse-bw7f_2g3rb_.html


Prions Ensemble à la mémoire de la mère de tous les fidèles flamands, Sainte Illinda, qui veille sur nous aux cotés du Très Haut, en ces temps trouble plus que zamais.



Avant de nous quitter les nouvelles
.............. regarde la Bourgmestre se souvenant soudain qu'elle ne lui a pas demandé s'il y avait des annonces spéciales à faire pour la mairie............

Pensez à payer vos impôts si ce n'est encore fait. Les impôts sont une partie de vos revenus que vous versez à la communauté et qui permettent au comté d'assurer notre défense de commercer et bien d'autre soze dont ze ne vous ferai pas l'article icelieu.

Le samedi est un zour consacré aux mines; Il est donc conseillé ce zour là d'y envoyer vos zens ou bien de laisser vos samps et éssopes pour s'y rendre. De même que de faire en sorte de ne pas embausser ce zour là. Le salaire est de 16 écus ce qui est plus qu'honorable et le comté à vraiment besoin de minerai de fer.

Enfin le Samedi 1er octobre Monseigneur Tibère procèdera au couronnement du comte des Flandres. Ce sera l'occasion de voir si vous avez bien reçu l'enseignement que z'essaie de vous donner ici, à savoir ne pas faire faux bond à l'église sous prétexte que vous n'êtes pas d'accord avec une politique.



ALLEZ EN PAIX, ENFANTS DE DIEU ! PRIEZ POUR VOS AMIS ET VOS ENNEMIS


Aaaaaaaameennnnnnnn

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