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[RP] Atelier de malice..là où se cotoient les vis.

Zeliejeanne
Zélie remarque le clin d'oeil de la commerçante et sourit au jeu de mot toiture ... torture.
Elle n'éprouve plus aucune gêne face à Malycia.
Après tout de quoi pourrait elle avoir honte ? d''aimer son mari au point qu'elle fut incapable de lui refuser quoique ce soit ? sûrement pas.
De le vénérer et d'avoir envie de le rendre heureux et de faire avec lui tous ces voyages magnifiques ? encore moins.
Alors c'est avec aplomb que Zélie décide de la livraison.


Pour ce qui est de la croix ??? Pourriez vous nous la livrer rapidement ?

Un sourire complice envers Malycia.

Je crois que nous allons devenir de très bons clients n'est-ce pas mon amour ?
Je repasserai de temps à autres voir si vous avez fabriqué des nouveautés. J'aurai peut être aussi quelques suggestions .....


Zélie rit et attend son époux pour quitter la boutique.
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Nevgerel
A cet instant parvint notre Nevgerel trotteur devant l'échoppe. Quelle journée, il fallait qu'il soit partout ! Il lâcha les bras de la charrette à mort-nioutes dont certains gigotaient encore à la façon des crabes sur le marché aux poissons et parmi lesquels on trouvait les gagnants du tiercé, agita une clochette en hurlant

- Ils sont frais mes morts-nioutes, ils sont frais ! Calanchards des profondeurs, Carmardeux à têtes plates, Trépassoirs de ligne, Crevettes roses et Macchabées tachetés ! Qui veut du mort-nioute ? Allez, allez, on n'hésite pas !
Malycia
Elle prend note de l'adresse et songe d'un coup à s'offrir les services d'un livreur...elle devrait bien pouvoir trouver ça parmi les hommes de main de son cher Slamdad, elle relève le nez aux compliments de sa nouvelles cliente et ne manque pas de lui faire son plus beau sourire, ne pas effrayer les clients, c'est sa devise.

Des suggestions... ah oui surtout n'hésitez pas je peux egalement faire des réalisations sur commande...

Une cloche qui retentit devant sa porte l'interrompt, hum? qu'est ce dont?

Excusez moi on dirait bien que j'ai une livraison.

Elle avait reconnu la voix du rimailleur qui pour le coup faisait office de croque mort, c'est qu'il était à toutes mains c't'homme là.
Elle s'empressa d'aller lui ouvrir tout juste si elle ne le fit pas en courant, faut dire depuis le temps qu'elle lui en réclamait, faudrait pas qu'il se tire à peine arrivé.
Elle jette un oeil sur l'arrivage...ah oui sont plus frais que ceux qu'elle avait pu répérer un jour au cimetière....faut un minimum quand même.

Bonjour Nev, je vais t'en prendre que deux...j'aurais pas bien le temps d'en tester plus pour cette fois.
Dis voir je fais quoi ensuite des restes? Tu les récupères ?


Elle sentait que là elle allait peut être abuser mais....qui ne tente rien n'à rien.

euh....tu pourrais me rendre un service?....je dois faire livrer un objet encombrant et je te vois là avec ta charrette...mais bon je te paierais hein!
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Catouline
Catouline avait croiser Malycia en taverne elle lui avait parler d'un psaume plutôt intéressant et de son atelier, elle était trop curieuse et voulait voir ça avant de quitter Tournai, elle fait donc un petit détour par l'atelier de Malycia pour voir cela

Elle l'avait trouver facilement à croire qu'elle devait vraiment avoir cet ustensile pour l'arrosage elle pousse la porte

Y a quelqu'un ? c'est Catou .. Malycia tu es là ?

Elle espérait ne pas tomber sur quelqu'un d'autre elle serait bien embarrassée d'expliquer ce qu'elle venait chercher, elle regarde un peu dans l'atelier en attendant une réponse

Après un long moment n'ayant vu personne, elle sort un peu déçue mais ce promet de revenir la voir une autre fois ... elle s'en va reprendre la route

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Catouline
Giovani


Giovani, curieux comme tout depuis sa soirée en taverne la veille et après une nuit fort reposante dans un vrai lit, s'était débrouillé pour aller visiter ce fameux atelier dont on lui avait dit le plus grand...rien.

La porte était entrouverte, il jeta un coup d'oeil à l'intérieur et la poussa délicatement, alors qu'elle grinçait inversement à la légèreté de son geste. Un léger frisson lui parcourut la colonne vertébrale alors qu'il posait le pied sur la terre battue.


Malyciaaaa ? Malyciaaa ???

Il n'eut pour toute réponse que des bruits de chaîne provenant de l'arrière boutique. Pas de cris, il en fut rassuré. Il osa regarder les objets entreposés ici, après tout elle lui avait dit qu'il pouvait passer sans problèmes.

Un à un, il essayait de deviner à quoi pouvaient bien servir ces instruments, et comment ils étaient utilisés. Plusieurs fois perplexe, il passait d'un objet à l'autre, curieusement attiré et rebuté à la fois.

Son attention se porta plus précisément sur un tube, creux aux deux bouts, avec une chainette au milieu, d'environ un mère reliant l'objet au mur. Mu par son esprit de découverte, il sous pesa l'objet, essaya d'en deviner l'alliage, puis inséra en même temps les deux doigts à chaque extrémité.


Ho ho...

Plus il tirait, plus le tube oppressait ses deux doigts et moins ils avaient de mobilité. Il comprit bien vite qu'il ferait mieux d'arrêter d'essayer de se libérer. Il regarda la chainette, attaché fermement au mur à un énorme cercle en métal, sans doute préalablement utilisé pour attacher les chevaux.

Il resta immobile un moment, tergiversant sur l'accueil qu'il allait sans doute recevoir et la manière de se libérer avant qu'elle ne le chope la main dans le tube... Mais son crâne de piaf ne marchait pas à toute berzingue, et il fut obligé de se résoudre à l'appeler à nouveau...


Malyciaaaa ?Malyciaaaa ?

C'est à cet instant qu'il crut deviner ce qui était inscrit sur une pancarte accrochée au mur. Ça devait être marqué "ne touchez pas"...
Malycia
Soirée de beuverie en taverne, y en a pas tant et faut en profiter quand ça se présente, le seul soucis les lendemains qui déchantent.
Cuvant encore les relants de bière de la veille, Malycia s'était endormie dans une pièce adjaçante à son atelier, elle y avait installé là une paillasse pour les nuits où elle bosserait tard à ses créations...et puis surtout pour quand elle serait trop bourrée pour retourner jusqu'au donjon.
Enfin ce matin là...peut être même plus tard, encore à rêver ad libitum,
comme si c'était comme dans ses prières, qui l'emprisonnent et la libèrent,elle rêve d'apesanteur, des heures et des heures de voltige à plusieurs...Douce torpeur dont on la sort, quelqu'un scande son nom, est ce en rêve qui donc l'interpelle.
Elle ouvre un oeil...un second....ah oui c'est bien son nom!


Hum? C'est qui donc?

Elle s'etire, et se tire de son pseudo lit, qui peut donc bien venir la reveiller à une heure si matinale...oui même si le soleil est dejà haut c'est toujours trop tôt, elle passe ses doigts dans sa tignasse emmêlée, de toute façon quoiqu'elle fasse y aura toujours des noeuds, et se dirige vers les appels qui ressemblent d'ailleurs de plus en plus à des cris de détresse, un curieux aurait il eu la mauvaise idée de tester un de ses instruments de torture? Non si c'étaient des cris de douleurs ils seraient bien différents...Soudain un éclair jaillit dans sa mémoire, ben oui les femmes ont un tant soit peu un peu de cervelle, quand même, elle est brune ne l'oubliez pas, et se souvient du cambrésien de la veille.Hé oui c'est bien lui qu'elle découvre coincé, c'est avec un sourire amusé qu'elle se dirige vers lui, quelle prise, encore mieux que la pêche au gros.

Tient donc, vous semblez dans une bien facheuse position!
Et ça fait longtemps que vous êtes pris au piège comme un rat? Vous savez que c'est dangereux de vous retrouvez là....à ma merci....depuis le temps que je cherchais quelqu'un pour tester mes instruments.


Elle reste campée là à rire de lui, le laissant mijoter un peu, et fait durer un peu la situation des plus cocasses dans laquelle il s'est mise!
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Giovani


Un rat aurait quand même moins de charme non ? Non ? Ha...

Sinon ben euh... ça doit faire une petite heure environ... C'est "marrant", j'ai l'impression de ne plus avoir de sang dans les doigts... C'est bien foutu vot' machin, heureusement que j'y ai mis que mes doigts...


Il faisait un peu le malin mais il commençait à avoir mal, comme si le sang ne parcourait plus ses veines et lui donnait l'impression d'être anesthésié. Il lui souriait néanmoins, essayant tant bien que mal de rester stoïque malgré la débilité de son geste...

Elle venait de se réveiller et avait sans doute pour elle une tête des bons jours étant donné la blancheur de son teint. Il se tourna tant bien que mal vers elle, la chainette maintenant tendue.


L'est vraiment fourni votre atelier, on dirait un musée macabre... Mais dites... vous l'avez laissé à la portée de tout le monde un peu exprès ce tube non ?

Il attendait sa réponse en lui souriant, repensant maintenant à sa dernière phrase. Dangereux ? Elle n'a pas l'air si dangereuse que ça... Mais si elle l'était... Son visage s'assombrit un peu, une goutte de sueur perla sur son front et les bonnes choses n'arrivant jamais seules, il commençait à avoir très envie d'uriner...
Malycia
Moins de charme...ça reste à voir, j'ai deja vu des rats avec le poil des plus soyeux!

Elle en profite pour le détailler de la tête aux pieds, puis des pieds à la tête...vu sa tenue légère,un futur adhérent du club des burnes au vent de Nevgerel....hum c'est vrai que vu sous cet angle il était quand même plus appétissant qu'un rat, d'autant plus que depuis qu'elle expérimentait ses créations sur ces derniers étrangement elle n'en voyait plus beaucoup s'aventurer dans le quartier.

Une heure quand même, je ne savais pas que j'avais le sommeil aussi lourd.

Toujours pas décidée à le libérer, et pas encore bien réveillée, elle se demande au final si elle ne va pas le laisser encore un peu dans cette position.

Je vous rassure vous auriez pu tenter d'y mettre autre chose vous ne seriez pas resté coincé, ça ne fonctionne que si on y met les doigts.
Je me demandais combien de temps vous pourriez tenir dans cette position, et vos autres doigts vous pouvez encore les remuer?
A votre avis je pourrais vous faire avouer n'importe quoi?
Nan mais je demande comme tous ces objets sont destinés à la torture, faut bien que je saches l'effet produit, et comme vous êtes le premier à vous y laisser prendre, j'en profite un peu...ça ne vous dérange pas au moins, enfin dans le cas contraire...


Un sourire carnassier se dessine sur son visage, maintenant qu'elle en tenait un pas sur qu'elle ait envie de le lacher si vite.

...je vous laisse attacher là un peu plus longtemps.
Mais vous vous méprenez quand même sur mes activités, ce n'est pas un musée tous ces objets sont destinés à être utilisés.


Elle s'éloigne un instant pour se diriger vers la porte de son atelier qu'elle verouille avec soins, dissimule ensuite la clef au fond de sa poche et revient vers son prisionner.

Bon maintenant plus aucun risque d'être dérangés.
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Giovani
Il la regardait tourner autour de lui, le sourire aux lèvres, comme si un de ses rêves venait de s'exaucer. Il ne lui dirait pas qu'il l'avait même entendu ronfler, ça pourrait en rajouter à ses supplices... La situation cocasse dans laquelle il l'était l'excitait et l'effrayait à la fois. Elle n'avait pas l'air de vouloir lui faire de mal mais ses réactions, et la décoration ne le mettaient tout de même pas trop à l'aise...

J'veux bien garder mon poil, même s'il n'est pas des plus soyeux...

Il s'applaudit intérieurement devant cette perche tendue. Il était certain qu'il y avait bien dans cette pièce un instrument d'épilation plus ou moins sadique. N'en rajoute pas crétin... n'en rajoute pas...

Combien de temps ben j'sais pas moi... Là j'peux bouger mes doigts de pied, les doigts de la main un petit peu, Il lui en fit la démonstration mais j'ai surtout l'impression d'avoir des fourmis qui remontent petit à petit jusqu'à mes épaules... Quant à mon dernier doigt, comprenez qu'il ait pas envie dans cette position de faire couiner la rombière...donc joker...

Elle voulait le garder ainsi attaché. Était-elle en train de jouer ou avait-elle réellement la volonté de le torturer... Et si finalement il était tombé sur une cinglée, qui allait le vider de son sang jusqu'à la mort, en le regardant implorer son pardon pendant qu'elle s'adonne à quelque spectacle pornographique... non...il essaya d'arrêter d'y penser. Une légère confiance en l'être humain ne pourrait pas lui faire de mal.

Ha vous fermez la porte ? Vous voulez qu'on discute tranquillement c'est ça ?

Il la regardait marcher, imaginant sa silhouette sous ses vêtements l'annihilant. Sur ses bas rouge qu'il examina un temps, il crut apercevoir quelques gouttes de sang...Toujours stoïque, son rictus l'abandonna au profit d'une transpiration plus abondante...

J'ai envie de pisser... Pis z'auriez pas de l'eau ou de la bière ?
Claire..
Claire était arrivée depuis hier sur Tournai et il lui tardait de découvrir l'atelier de Malycia. Elle s'étaient rencontrées sur Anvers et partagaient quelques activités -nocturnes- communes.

Noiraude était restée en taverne mais ne tarderait pas à venir la rejoindre devant la porte.
Là dans le petit renfoncement près de la porte la jeune femme attendit quelques minutes observant deux femmes traversant la rue en gloussant. Le sourcil relevé, la jeune Anversoise intriguée attendit qu'elles disparaissent totalement dans la ruelle.

La curieuse tendit l'oreille, la collant àla porte... elle n'etendit rien.

Haussant les épaules elle tenta quand même sa chance, et donna deux coups secs dans la porte.

Elle attendit ainsi dans la pénombre qu'on lui ouvre.

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Malycia
[avant l'arrivée de Cyana]

Pas très poilu pourtant pour un brun, n’allez pas penser non plus que la brune soit pour autant très poilue, bon et puis ça ne vous regarde pas ça !
Elle pourrait toujours tenter de tester sur lui une de ses outils de charpentier qui lui servait pour poncer le bois, pour sur que même sa peau n’y resisterait pas, il la remercierait peut etre pour ça,
Il aurait un bel epiderme tout neuf….
Bref….que faire de lui, elle se mordille le doigt tout en y réfléchissant, y avait tant de choses qu’elle aimerait bien essayer, mais....pas sur qu’il résiste, et puis il avait peut être de la famille qui le réclamerait, il n’avait rien fait de mal, faudrait qu’elle le questionne un peu, c’était peut être un hérétique.
Elle prend un air faussement outré, quand il évoque les rombières.


Que qui que quoi ? Vous egorgez les rombières à les en faire couiner avec un doigt ? Mais qu’est ce donc que ce maléfice, seriez pas un hérétique ou un genre de sorcier.

Fallait bien qu’elle trouve un motif pour le torturer un peu, non ? Oui bon un peu gros quand même comme excuse, elle avait bien compris de quel doigt il parlait, et justement ça lui donnait aussi une autre idée…hum à suivre…
Toujours à tourner autour, elle songea à un ptit supplice, oh rien de bien méchant juste de quoi s’amuser un peu.
Elle regarde vers la porte, puis vers ses fesses à peine couvertes, et tout en lui répondant se dirige vers une autre pièce.


Ah une ptite envie de faire pipi ? et vous voulez en plus boire une verre d’eau, pas raisonnable, ça ne va pas vous faire disparaître votre envie, si je vous dépose un seau entre les jambes vous pensez vous en tirer car je ne suis pas encore décidée à vous détacher.
Oh et puis non parait qu’une envie d’uriner peut vous faire avouer n’importe quoi !


Depuis l’autre pièce il pouvait entendre des bruits de métal qui s’entrechoquent, des outils surement, c’est le bazar sur son établi, elle voudrait bien remettre la main sur ce qu’elle cherche, elle grommelle pousse quelques jurons puis finit enfin par trouver et revient près de lui un seau à la main malgré tout, il serait bien capable d’uriner sur ses pieds.

Voilà pour vous soulager, je ne voudrais pas avoir à nettoyer ! bon ne bougez pas je reviens….petit rictus sur ses lèvres….ah oui je suis bête vous ne pouvez pas !

A-t-il remarqué que sa geolière avait maintenant sa main droite gantée de cuir, elle le laisse devant son seau, pissera, pissera pas….et se dirige de nouveau vers la porte qu’elle déverrouille et sort quelques instants, et revient avec une poignée d’horties dans la main !
Quelle vicieuse quand même, la voilà qui vient alors lui fouetter les fesses avec la plante ô combien urticante.
Ca l’amuse en tout cas énormément, à tel point qu’elle n’entend même pas qu’une visiteuse attend derrière la lourde porte epaisse ; faut peut être qu’elle cogne plus fort !

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Giovani
Qu'est-ce qu'elle est en train de lui raconter ? Égorger une rombière ? Mais n'importe quoi... Avait-elle vraiment besoin d'excuses pour lui faire subir quelque supplice ? C'était finalement bon à savoir, elle n'irait pas trop loin... Ça le rassura un peu...et il ne lui répondit pas sur ce point.

Elle s'était réveillée vite la bougre, et ne manquait pas de répartie ! La joie se lisait dans son regard, ses yeux passant rapidement d'un objet de torture à l'autre, de légers rictus malsains apparaissaient chaque fois qu'elle devait trouver une nouvelle idée.

Un seau ? Elle lui apportait un seau... Il se voyait mal pisser dans un seau en plein milieu d'une pièce devant elle...


Ha ouais quand même ! Mais vous savez que c'est un peu gênant de faire ça là, devant vous... et puis... faudrait me la tenir...sinon je vais en foutre partout ! J'vous rappelle que je suis attaché...

Chantage pour qu'elle le libère, espérant que l'idée seule la dégouterait. Mais ça...il n'en était pas sur...

C'est au moment où il prononçait ses paroles qu'elle sortait et revenait gantée, un joli bouquet d'orties à la main.


Ha vous voulez essayer l'ortie pour notre histoire de parfum ? Pensez...Aïe...que ça ferait... Houuu...l'affaire ? Z'avez une... curieuse mani...èRE de me le faire sen...Ha...tir !!! Mais ! Hoo...

Les premiers coups lui donnèrent une sorte de décharge électrique dans les reins... puis les autres faisaient augmenter ce sentiment ambigu de douleur, presque plaisante alors qu'il la regardait s'évertuer sur son fessier...

Surtout ne pas montrer que ça lui fait mal, ou elle continuerait de plus belle... Il se dandinait à chaque coup, essayant tant bien que mal de les éviter, les coups placés au même endroit devenant de plus en plus insupportables à mesure qu'elle les "prodiguait"...


Ca n'améliorera pas la circulation sang...INE dans mes doigts !!! D'AILleurs, je les sens PLUS ! Pensez pas que...outch...pensez que je pourrai encore utiliser mes MEMMMBRES ?!

Il espérait que peut-être, elle aimerait qu'il garde une certaine mobilité pour plus tard. La façon dont elle le regardait la trahissait quelque peu...

Il entendit frapper à la porte, quelqu'un avait-il été alerté par ses petits cris ? Ou était-ce les testeuses qui avaient promis à Malycia de passer ? Dans le doute... il ne l'alerta pas... une seule tortionnaire suffisait amplement pour le moment...
Noiraude
Après avoir bien rit et bu en taverne Noiraude se décida enfin à partir à la recherche de l'atelier de Malycia. Cette dernière l'avait invité à visité son antre.La description de l'atelier avait attisé la curiosité de la jeune femme.
Elle se retrouva dans la ville ,les yeux plaqués sur les pancartes à la recherche du fameux endroit.

Elle finit par découvrir son amie Claire ,l'oreille collée à une porte.
Elle s'approcha d'elle silencieusement.



BOUHHHH!
Je t'y prend à écouter aux portes!!
Claire..
Citation:
BOUHHHH!
Je t'y prend à écouter aux portes!!



Claire sursauta, elle voulu se retourner mais se prit dans sa cape et se cogna la tête.


Noiraude !! Chuttttttttttttt! fit-elle le doigt sur la bouche

Je crois que j'ai entendu quelque chose dedans dit-elle en indiquant l'atelier du même doigt.
Elle sourit puis entrepris de coller à nouveau son oreille


Attendons un peu...
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Viken
Un trajet comme un autre de Bruges à Tournai l'avait finalement conduit à se retrouver une nouvelle fois face à lui-même.
Il avait cru pourtant un moment être sorti des terribles méandres vers lesquels son esprit le laissait dériver. Il n'avait fallu qu'un instant pour que ce fragile équilibre se brise à nouveau.

Quelques mots anodins venus d'inconnus, une histoire d'atelier qui aurait pu d'ordinaire prêter à sourire, une rumeur persistante de moeurs étranges, des soupçons qui se précisent et peu à peu se transforment en un horrible doute. La sensation de perdre lentement pied face à une situation à laquelle il aurait dû s'attendre.

Viken avait préféré s'isoler toute la nuit pour essayer de contrôler ce qu'il sentait venir. Il avait arpenté seul les rues de Tournai de long en large, une bonne partie de la nuit, cherchant dans la noirceur de cette nuit à se débarrasser de la noirceur de son âme. Il espérait naïvement trouver l'apaisement alors qu'il s'enfonçait inexorablement dans la souffrance.

A maintes reprises, il était passé devant l'atelier de Malycia, imaginant les scènes les plus immondes, échaffaudant les pires scénaris. Ses gestes devenaient décousus tout comme pouvaient l'être ses pensées, il sombrait lentement vers un état qu'il ne connaissait que trop bien.

Cherchant à se reprendre, il marcha jusqu'à l'épuisement durant de longues heures, finissant par s'écrouler aux portes de l'église. Mais le corps ne peut pas apaiser le mal de l'esprit bien longtemps, et après une petite heure de sommeil agité, le jour lui fit ouvrir les yeux sur ce monde qui désormais lui faisait peur.

Désormais, tout se mélangeait dans son esprit, les images du passé qu'il n'avait pourtant pas vécu, celles qu'il avait lui même fabriquées sur la base des récits qu'on lui avait volontairement jeté à la figure, les images de sa mère se noyant en pleine mer sous les yeux de son père riant à sa folie les bras levés vers le ciel alors que son embarcation s'enfonçait lentement dans les flots.
Dans un curieux mélange, venaient s'ajouter des images de tortures et de scènes sanglantes. Des yeux sombres le regardant se vider de son sang et un sourire éclatant à chacun de ses cris de douleur.

Viken était dans un état second lorsqu'il prit la direction de l'atelier, il se sentait comme attiré irrésistiblement vers ce lieu comme s'il allait y trouver enfin la délivrance.

Arrivé sur les lieux, il vit Cyana et Noiraude qui attendaient devant la porte visiblement fermée. Il ne prit pas le temps de les saluer, obsédé par son idée ... il fallait qu'il entre à tout prix.

Tambourinant comme un fou sur la porte, il hurlait à s'en rompre les cordes vocales.


Maly ... Ouvres moi !! .... Maly ... Ouvres cette porte !! ... Ouvres ou je l'enfonce !!
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