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[RP] Atelier de malice..là où se cotoient les vis.

--Dagobert_simon_krum


Après sa mésaventure au lavoir, où les filles s'étaient rebiffées, Dagobert avait décidé de se calmer. Son arrivée tardive chez Anna Santa Clara, ses fleurs défraîchies, sa mine renfrognée, l'oubli de son pigeon portable qu'il avait égaré près du buisson derrière lequel il s'était caché et qu'il avait du quitter précipitamment, tout ça avait du être expliqué à sa promise. Bien qu'Anna Santa Clara prenait pour parole d'Aristote tout ce qu'il lui disait, ses parents quand à eux, l'avait fait parler, l'avait jugé pour finir par l'acquitter de tout soupçon. Donc, sagesse était de mise. Mais quand on vint lui faire une telle proposition, son vermiceau se remit à frétiller metant fin aux résolutions qu'il avait prises.

Il sauta donc de la carriole, précédé en cela de Robert et Cruisy Bel dent, d'anciens compères avec qui il avait connu ses premières émotions dans les bras de la grosse Francine, experte en chatteries, succions, et autres plaisirs charnels. Il alla se planquer tout comme eux, derrière le gros chêne, à l'endroit même où il embrassa pour la première fois, la petite rouquine aux tâches de rousseur. Il avait oublié la giffle qui avait suivi.
Voila il était planqué, plus qu'à attendre le bon moment.
Malycia
Pendant ce temps, alors qu'une brigade de mâles décérébrés se planquait dans les fourrés, la brune était encore lovée dans les bras de Morphée.
Ils n'avaient surement pas dû voir l'homme qui avait quitté l'atelier avant que l'aube ne se lève, tout comme lui ne se doutait pas qu'il pouvait se préparer un complot devant la porte de sa jeune maitresse.
Il avait dû quitter ses bras et ses draps bien avant que Tournai ne soit en ébullition, personne ne devait connaitre son identité ni même savoir qu'il avait pu la visiter.
C'est donc en catimini qu'il l'avait laissée dans la chaleur de la nuit qui se terminait, silhouette sombre qui filait vers sa destinée.
Les autres dehors pourraient bien faire un boucan d'enfer qu'elle ne sourcillerait pas, pas après la chevauchée fantastique dont elle avait était la cavalière émérite.
L'heure était à la récupération et c'est dans le plus profond des sommeils qu'elle restait plongée.

_________________
Medso.
Medso passa devant l'atelier...

Il faisait nuit, et froid.

Il était l'heure de quitter ce village.


Il regarda la batisse qui semblait close.
Un de ces quatres, il franchirait -peut etre- la porte de cet atelier.

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Bartox
Il n'avait jamais prêté attention à l'aspect général de la bâtisse. Surement était-il pressé d'y pénétrer - dans la bâtisse - ou que la nuit était déjà tombée quand les embrassades l'emmenaient jusqu'à la couche, modeste et spartiate, qui servait d'arène aux jeux lascifs et amoureux des deux amants. Elle tenait debout, malgré un manque évident d'entretien, surement la maîtresse des lieux n'avait-elle porté que peu d'attention à la façade, préférant se consacrer aux dangereux ustensiles éparpillés dans le sous-sol.. et à ses convives.


Toc Toc Toc !
Jans.van.hertjacht


L'arrivée à Tournai s'était passée... sans encombre. "Jans" et ceux qu'il avait accompagné dans ce périple à travers les Flandres en avaient été les premiers surpris. Comment, on n'avait pas même tenté de les assassiner devant les murailles de la ville ? Quelle était cette drôle d'histoire ? Peu importait dans le fond : tout le monde était sauf, et les armées ne s'étaient pas encore battues les unes contre les autres.

Le soulagement - relatif - avait néanmoins rapidement fait place à la circonspection. Et maintenant, que faisait-on ? Allait-on se bourrer collectivement le pif, ou finir bourrés ensemble en taverne ? Sur les places publiques et dans tous les lieux où les oreilles pouvaient trainer, la peur et l'agacement régnaient en maître. Les piliers de comptoir allaient de leur commentaire et refaisaient le monde, tandis que les paysans guettaient le ciel, attendant une éventuelle chute de sauterelles. Pendant ce temps, les nobles remballaient leurs tapisseries, les bourgeois leurs candélabres. Les pauvres hères cachaient leur blé et priaient au miracle, les plus vindicatifs se balançaient des insultes, les lapins lapinaient et les attentistes attendaient.

Attentiste parmi les attentistes, "Jans" s'était trouvé une occupation accaparante. Il s'était en effet mis dans l'idée d'offrir un objet très spécial à une personne chère à son cœur. Or, selon lui et les rumeurs qui circulaient à Tournai, il n'existait en Flandres qu'une seule femme de bon goût capable de le conseiller dans ce domaine. Cette femme, c'était Malycia. Était-ce vrai ? Était-ce faux ? En tout cas, il décida que seule l'expérience pouvait trancher.

"Jans" fit parvenir un pli à la jeune femme, qui saurait peut-être l'aiguiller.


Citation:
A Tournai, le 7 de mai.

Madame,

je m'appelle Jans Van Herjacht, Flamand mais surtout en quête d'un cadeau pour l'une de mes amies. Je pensais lui offrir un écritoire, mais ses activités nécessitent davantage un instrument menaçant mais pas totalement dangereux. En désespoir de cause, j'avais donc pensé lui offrir une cravache.

On m'a dit que vous aviez un goût sûr pour les instruments et les armes, et je vous avoue sans crainte du ridicule que je suis incapable de décider si mon idée est bonne, ou pas.

Si l'idée de rencontrer un inconnu pour discuter de cela ne vous file pas d'urticaire, je suis disposé à vous rencontrer pour échanger avec vous des idées.

Que le Très-Haut vous veille,

J.v.H.

_________________
Malycia
Les jours et les nuits s'égrenaient à une telle vitesse qu'elle en avait oublié d'ouvrir à celui qui avait cogné à la porte, avait il attendu longtemps, s'y trouvait il encore, à espérer que non.
D'autant qu'il connaissait une autre entrée à ce lieu pour s'y être introduit en pleine nuit, quelle idée lui avait pris ce jour là de vouloir entrer par la grande porte.
Mais pourquoi s'en soucier aujourd'hui, il est comme un fantôme apparaissant et disparaissant au gré du temps, en avait il été autrement avec lui, pas dans son souvenir.
Les hommes n'étaient devenus pour elle que des passagers qui parfois faisaient un bout de chemin avec elle, elle n'y prêtait plus une grande attention, là pas là, sa vie continuait, et pour les nuits esseulées elle avait trouvé un palliatif qui lui au moins ne lui faisait jamais défaut.
D'ailleurs sa collection s'était amoindrie, elle n'était pas la seule femme à déplorer l'absence de mâles pour égayer les nuits des tournaisiennes, depuis le temps qu'elle se cherchait de nouveaux modèles, il serait temps pour elle de s'y remettre, le problème, et pas des moindres, trouver un homme qui accepte de servir d'étalon...
Farfouillant dans tout son foutoir, râlant par la même occasion après Eulaly ne pas encore être passée pour tout nettoyer, elle est dérangée par les cris d'un oiseau qu'on torture.
Un pigeon,sur le rebord de la fenêtre qui se fait attaquer par son corbeau, le volatile ne les aime pas, en général il les dévore avant qu'ils ne réussissent à lui délivrer leur précieux parchemins qui lui sont destinés, coup de chance pour celui ci il aura la vie sauve, enfin dans quel état...


Opium, lâche le tout de suite!

Croâ! Croâ!

Oiseau de malheur, t'es pire que moi!


Et de lui balancer des grains de maïs pour qu'il déguerpisse le temps de récupérer le pauvre pigeon à moitié déplumé et surtout le pli qu'il porte sur lui.



A l'inconnu

Votre requête est pour le moins incongrue, mais si vous cherchez un objet pour le moins original, on vous aura indiqué la bonne adresse.
De cravaches par contre je n'ai point, bien trop commun, il me faudra pour vous orienter et vous guider dans votre choix que j'en apprennes d'avantage sur cette amie.

Si l'idée de vous déplacer jusqu'à mon atelier ne vous file pas de cauchemars, je vous y recevrais à la mi journée, prenez garde à ne pas entrer sans y être invité, ou même à tenter une observation par les fenêtres, sous elles des pièges ont été posés.
Et par pitié ne mêlez pas le très haut à mon commerce, je doute qu'il apprécie.

Malycia

ps: je ne sais ce qui a pu arriver à votre pigeon, mais je crains qu'il ait subit l'attaque d'oiseaux un peu teigneux


Pli glissé autour de la patte de l'oiseau, qu'elle relâche se demandant si il arriverait bien à destination.
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Jans.van.hertjacht


Une réponse parvint finalement à "Jans", sous l'aspect pour le moins étonnant d'un pigeon à moitié dévoré. Bigre, les petites affaires commençaient bien !

Le Flamand prit le message qui lui était destiné, et envoya ce qui restait du volatile se faire plumer par les chats. Il lut rapidement la réponse, hocha la tête, satisfait.


Hé bien oui, j'irai.

Ce n'était pas dit à contrecœur, bien au contraire. S'il ne pouvait offrir une cravache, il trouverait certainement un autre objet digne de la personne à qui le présent serait destiné. Après tout, son idée n'était pas fixée, et il pouvait toujours la changer au dernier moment. En tout cas, il ne lui semblait pas indispensable d'offrir des instruments que la fière Muse possédait déjà.

A la mi-journée, donc, vêtu d'un capuchon masquant ses traits, il se présenta devant la porte de l'Épineuse. D'un air dégagé, mais prenant quand même bien garde de ne regarder ni aux carreaux, ni même les moulures de la façade, il frappa doucement le bois.


Toc. Toc. Toc. Toc.

Allait-on lui lâcher les chiens ? "Jans" sourit, amusé. Si tel était le cas, il serait toujours temps de déguerpir et de grimper dans un arbre. Même si jouer à chat, à son âge, ne faisait pas très sérieux.
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Eulaly_de_baylaucq
Mouarf !!!
C'est trainant les pieds qu'elle s'avance vers l'atelier de Malycia.


Il a intérêt à venir... Elle a intérêt à se taire... Pourquoi on l'a pas fermé à clefs aussi ?... Tsss...

Elle bougonne Eulaly. Cà ce n'est pas nouveau mais la raison de sa mauvaise humeur du jour est qu'elle subit depuis quelques temps un odieux chantage et qu'elle va devoir se taper un boulot monstre pour que Malycia ne raconte rien de ce qui c'est passé dans la remise de la taverne municipale à sa famille.
Le boulot monstre ?
Le ménage chez Maly.
Ceux qui sont déjà entrés dans ce capharnaüm qu'est l'atelier des vices comprendront.

Lorsqu'elle arrive, elle voit un jeune homme planté devant la porte.


B'jour. Vous êtes là pour le ménage aussi ?
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Malycia
Entrez!

Elle n'avait pas envie de se déplacer jusqu'à la porte pour accueillir son peut être futur client, après tout qu'avait elle à craindre d'un inconnu.
La tournure des phrases de son courrier ne laissait pas présager qu'il puisse s'agir d'un kamikaze prêt à lui sauter à la gorge et mettre en péril sa propre vie comme ce fou de l'avant veille sur les remparts.
Ni d'un possible kidnappeur, il n'aurait osé venir jusque dans la gueule du loup, ou plus précisément dans l'antre des sévices.
C'est donc depuis le fond de son atelier qu'elle avait lancé ce "entrez" ça laissera à ce JVH tout le loisir de découvrir l'endroit où il mettait les pieds, et surtout de faire bien attention où il les posait.

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Jans.van.hertjacht
Il attendait une réponse, inquiet mais pas trop. Au pire, il lèverait le voile et se révèlerait. Encore que ce n'était peut-être pas la chose la plus intelligente à faire. Enfin, qu'importait ! Il saurait sans doute quoi faire, le moment venu et devant Malycia, si cette dernière ne le reconnaissait pas.

B'jour. Vous êtes là pour le ménage aussi ?

"Jans" sursauta et se tourna vers la jeune fille. Eulaly ! Diantre ! Il sourit. Oui, peut-être était-il venu faire le ménage, mais pas chez Malycia. Enfin, sauf s'il repartait avec un objet dûment cédé par la propriétaire !


Bonjour. Non, j'ai rendez-vous.

Il hésita à demander si l'atelier était sale, car à voir la mine contrite de la jeune fille, on aurait cru qu'il s'agissait de laver quelque écurie d'Augias. Heureusement, il n'eut pas le temps de poser la question ni à faire davantage la conversation, car la maîtresse des lieux l'invitait à rentrer. Il poussa la porte, et mit un pied dans l'antre, puis l'autre. Seuil franchi !

Au premier coup d'œil, il trouva l'endroit sombre. Était-ce une lubie ? Ou l'effet de voiles noirs ? Ou la frousse ? En tout cas, il avançait à petits pas, à l'aveugle. Les dalles étaient-elles piégées ? Des araignées géantes allaient-elles l'avaler pour le goûter ? Allait-il repartir avec le Saint Graal et laisser les coupes d'or à leur place ?

"Jans" grogna. Toutes ses réflexions, heureusement faites à lui-même, étaient ridicules. L'endroit n'était pas si terrible que ça, hein ! Il sourit, pour lui même et pour se rassurer, tout en continuant à avancer bravement.

Alors bêtement, il glissa sur un caillou et tomba sur les fesses. Il grogna d'une voix qui n'avait rien de masculine :


Paaaaaaar... Aristote ! Mais quelle quiche !
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Eulaly_de_baylaucq
Citation:
Bonjour. Non, j'ai rendez-vous.

Ah.

Sans pudeur, elle le déshabille du regard, des pieds à la tête. Un mec qu'avait rencard avec Malycia, çà éveillait grandement sa curiosité et elle le trouvait trop... pas assez... 'fin, elle ne pensait pas qu'il puisse être le genre d'homme qui pourrait intéresser Maly. Mais elle est tirée de sa réflexion par le :
Citation:
Entrez!

de la proprio.
Un dernier soupir et elle le suit sans un bruit, le laisse s'avancer sans plus lui prêter aucune attention pour rester à l'entrée et survoler l'étendue de la tâche à laquelle elle devait s'atteler.
Les écuries d'Augias, ouais. Sauf qu'elle était bien incapable de détourner les eaux de l'Escaut, elle, et, s'il fallait astiquer un par un, chacun des objets de l'atelier, elle en aurait jusqu'à son mariage pour sûr.
A cet instant, elle pourrait encore bien ressortir, tout avouer à Jo et Zélie et s'épargner la colossale besogne. Mais Maly avait rajouté qu'elle aurait un cadeau aussi. Et on sait bien qu'Eulaly ADORE les cadeaux.

Elle en est là quand : POUM !
Citation:
Paaaaaaar... Aristote ! Mais quelle quiche !

Eulaly se marre. C'te voix de pucelle ! Ouais, carrément, elle se moque.

Si vous pouviez faire çà tout du long, je vous en serai grée. Et si vous pouviez en sus vous accrocher une serpillière humide au séant, vraiment, ce serait adorable !
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Jans.van.hertjacht


Le jeune homme se mit à grommeler d'importance. Et voilà qu'on le prenait pour une serpillère, maintenant !

Groumpf !

Premier mauvais point pour lui : sa chute ridicule, qui lui conférait un air gauche dont il aurait préféré se passer. D'autant qu'en plus, il devait maintenant se relever et nettoyer ses braies (marquées aux fesses par deux énormes traces blanchâtres... belle idée de porter du noir ! A croire que "Jans", en plus d'avoir un nom de chapeau, était le roi des ramasses-poussière...)

Second point : le cri suraigu du cœur. Et si, hormis Eulaly ou Malycia, quelqu'un d'autre l'avait entendu ? Ouais bon, en même temps, il était censé être là incognito (ou presque).

Marqué à la culotte, le visage rouge de honte, "Jans" se releva et grogna :


Ben... Je crois que je vous ai déjà bien avancé, non ?

Il grogna une nouvelle fois, haussa les épaules et mit les mains dans les poches. "Jans" boudait.
Malycia
Vacarme et voix de crécelles qui se font entendre juste à l'entrée, elle qui pensait recevoir l'expéditeur de son courrier se renfrognait à l'idée d'avoir autorisé l'entrée à des inconnues!
Délaissant le travail entrepris avant l'arrivée de ses "visiteuses" elle se rapproche des indésirables du moins le pense t elle avant de découvrir la scène qui se joue.
Une Eulaly hilare debout devant un...ou une, enfin une personne dirons nous qui semblait mâle mais avec un côté femelle, voyez le genre?
Plutôt incongru comme situation, elle observe le maladroit les mains sur les hanches avant de l'interpeller signifiant par là même sa présence, tout de même elle était chez elle!


C'est vous l'auteur du courrier que j'ai reçu?!

Examinant les traits du jeune garçon sans trop savoir à qui il lui faisait penser mais avec un air de déjà vu.

C'est drôle vous avez comme un air de...d'une personne que je connais, vous avez une soeur dans le coin?

Mais elle n'allait pas oublier pour autant la présence d'Eulaly.

Te voilà enfin toi, à croire que t'as reniflé que j'allais avoir une visite pour arriver au même moment, ne pense pas pour autant que tu vas pouvoir te défiler, tu peux commencer par la pièce du fond, tu sais celle où t'avais cassé un carreau....

Sourire en coin à l'adresse de la jeune fille qui avait failli passer un sale quart d'heure ce jour là.


Et en passant apporte moi la bouteille qui se trouve sur le buffet ainsi que deux verres.

Un reste de la bouteille que lui avait apporté Akheane, les verres sans doute aussi poussiéreux que le reste.
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Eulaly_de_baylaucq
Citation:
Te voilà enfin toi, à croire que t'as reniflé que j'allais avoir une visite pour arriver au même moment, ne pense pas pour autant que tu vas pouvoir te défiler, tu peux commencer par la pièce du fond, tu sais celle où t'avais cassé un carreau....
Et en passant apporte moi la bouteille qui se trouve sur le buffet ainsi que deux verres.


Mouarf... Cà c'est moins drôle.
L'air hilare s'efface et Eulaly s'en va en gromellant dans la pièce du fond qu'elle n'avait plus visitée depuis ce jour pas très glorieux dont elle avait réussi à refouler le souvenir jusqu'à il y a deux secondes.

Elle trouve les verres, poussiéreux pour le moins, et la bouteille entamée dans laquelle stagnait un liquide d'une couleur suspecte, les ramène à Maly et son drôle d'invité avant de retourner à ses affaires.

Un seau, un balai, des chiffons, de l'eau... On trouve où tout çà dans ce bordel ?
En voilà une bonne occasion de fouiller !
Surtout que Maly est occupée. Finalement, çà commence assez bien. Elle ouvre donc chaque porte, chaque tiroir, armoire, s'extasiant sur certains objets, sur l'habilité de leur créatrice et note certains ingénieux concepts dans sa cervelle.

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Jans.van.hertjacht


C'est vous l'auteur du courrier que j'ai reçu?!

A ces mots, "Jans" comprit qu'il avait affaire à la patronne, ou plutôt, la maîtresse des lieux. Un léger sourire s'épanouit, qu'il ravala bien vite lorsque Malycia ajouta :

C'est drôle vous avez comme un air de...d'une personne que je connais, vous avez une soeur dans le coin?

Vent de panique sous la casquette du Flamand. Son déguisement était peut-être pitoyable, mais l'était-il au point d'être reconnu au second coup d'œil ? La voix légèrement étranglée (voire carrément féminine), il répondit :


Une sœur ? Non, non. Pas du tout !

Il battit les paupières, sous le coup de l'émotion. Heureusement, une boisson était prévue. Avec un peu de chance, elle le remettrait de ses émotions. Avec beaucoup de malchance et de maladresse, elle finirait de l'achever. Surtout que la chose à boire avait une drôle de couleur. Était-ce du poison qu'on voulait lui faire ingérer ?

Il eut un rictus et se crispa légèrement. Les dés étaient jetés, la coupe était bonne à boire jusqu'à la lie.


En effet, je vous avais écrit au sujet de ce petit cadeau que je souhaitais faire à une amie. J'ai cru comprendre que vous étiez spécialisée dans les armes diverses.

Certaines personnes offraient des fleurs. Pas "Jans", visiblement.
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