Malycia
Il n'avait pas tort sur certains points, d'autant que si il avait pu s'imaginer qu'en évoquant d'éventuels ingrédients pour la confection d'un parfum il lui avait lui même donné cette idée d'orties...décidément ça n'était pas son jour de chance.
Aller lui même se piéger les doigts dans cet endroit, avouez quand même qu'il faut en vouloir, c'est vrai d'ailleurs qu'était il venu faire dans cette galère, elle n'avait même pas songé à le lui demander, peut être temps quand même de lui poser la question, et de le libérer.
Mais pas le temps de lui demander ça tambourinait sec derrière la porte, hum? finalement c'était peut être son jour de chance.
Sauvé par le gong, dirait on!
Pourquoi soudain l'arrivée d'un visiteur lui rappelait son adolescence, quand son père la surveillait de près, sitôt qu'il avait connaissance des frasques de sa fille qu'il envoyait un de ses sbires.
Mais la voix derrière la porte n'était nullement un de ceux là, Viken, c'est vrai elle lui avait proposé de venir visiter son atelier le jour où il serait de passage à Tournai.M'enfin pas une raison pour défoncer la porte non plus, et puis pourquoi hurle t il comme ça?
Je crois que vous allez pouvoir aller vous soulager, on dirait que ça s'impatiente derrière la porte.
Elle pose sa branche d'orties, s'approche de Giovani presse sur les deux têtes de dragons qui ornaient chacune des extrémités du tube l'écartant légèrement et libérant ainsi Giovani.
Tout en se dirigeant vers la porte elle lui lance.
Je vais ouvrir, évitez de toucher à autre chose pendant ce temps là!
Faut croire qu'on craignait que je ne vous éviscère.
Quand elle ouvre la porte elle découvre un Viken éprouvé, voir transfiguré,et à côté de lui, Cyana et Noiraude qui semblent penaudes.
Pourquoi tu voulais défoncer la porte? Suffisait de frapper, pas la peine d'hurler.
Un doute l'habite, ils attendaient peut être depuis longtemps.
Oui enfin faut frapper fort, si je suis au fond de l'atelier je n'entends pas toujours.
Bon maintenant que vous êtes là je suppose que vouliez visiter voir, acheter quelque chose.
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Aller lui même se piéger les doigts dans cet endroit, avouez quand même qu'il faut en vouloir, c'est vrai d'ailleurs qu'était il venu faire dans cette galère, elle n'avait même pas songé à le lui demander, peut être temps quand même de lui poser la question, et de le libérer.
Mais pas le temps de lui demander ça tambourinait sec derrière la porte, hum? finalement c'était peut être son jour de chance.
Sauvé par le gong, dirait on!
Pourquoi soudain l'arrivée d'un visiteur lui rappelait son adolescence, quand son père la surveillait de près, sitôt qu'il avait connaissance des frasques de sa fille qu'il envoyait un de ses sbires.
Mais la voix derrière la porte n'était nullement un de ceux là, Viken, c'est vrai elle lui avait proposé de venir visiter son atelier le jour où il serait de passage à Tournai.M'enfin pas une raison pour défoncer la porte non plus, et puis pourquoi hurle t il comme ça?
Je crois que vous allez pouvoir aller vous soulager, on dirait que ça s'impatiente derrière la porte.
Elle pose sa branche d'orties, s'approche de Giovani presse sur les deux têtes de dragons qui ornaient chacune des extrémités du tube l'écartant légèrement et libérant ainsi Giovani.
Tout en se dirigeant vers la porte elle lui lance.
Je vais ouvrir, évitez de toucher à autre chose pendant ce temps là!
Faut croire qu'on craignait que je ne vous éviscère.
Quand elle ouvre la porte elle découvre un Viken éprouvé, voir transfiguré,et à côté de lui, Cyana et Noiraude qui semblent penaudes.
Pourquoi tu voulais défoncer la porte? Suffisait de frapper, pas la peine d'hurler.
Un doute l'habite, ils attendaient peut être depuis longtemps.
Oui enfin faut frapper fort, si je suis au fond de l'atelier je n'entends pas toujours.
Bon maintenant que vous êtes là je suppose que vouliez visiter voir, acheter quelque chose.
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