Aloara
(Traduction du Titre : La fortune sourit à ceux qui osent !)
[Qui a dit que le travail c'est la santé ?]
Cela faisait de nombreux jours que la Douce Angevine, accompagnée du plus sexy des hommes de Cromagnon Banni, avait quitté ses terres angevines pour rejoindre celle de l' "ennemi" : La Touraine !
Pourquoi la Touraine ? Ben tout simplement car Sa Malemort devait se trouver là bas et que la Baronne n'aspirait qu'à la revoir pour lui conter moult secrets car vous l'aurez compris en plus d'une amie elle était sa confidente number one !
Bref, le temps passait et toujours pas d'Elisa en vue... La Baronne inquiète de ne pas la voir, décida de lui écrire et la prévenir de son arrivée... Mais voilà pas qu'à son plus grand regret, la Princesse des Chieuses était en voyage... Bon elle s'apprêtait à rentrer mais quand même !!!! Elle allait faire quoi la Douceur en attendant hormis se plaindre à son homme de Cromagnon de se sentir seule, sentimentalement parlant ?
D'ailleurs en parlant de se plaindre, il était tant de rejoindre Caven pour lui annoncer la nouvelle et lui dire qu'elle attendrait Elisa à Chinon... Libre à lui ensuite de vouloir partir ou rester bien qu'elle savait déjà qu'il ne partirait pas en laissant deux jolies jeunes femmes seules dans une ville comme celle-ci !
Alo se mit donc à la recherche de Caven vainement...
Revenant à l'Auberge où elle créchait avec le dict Garde du Corps, elle monta dans sa chambre en ronchonnant :
Mais il est où lui ? C'est quand j'ai besoin de me plaindre qu'il disparaît...
Je vais faire quoi moi ?
Et là... L'imaginable, l'impensable, lui traversa les esprits lorsqu'elle regarda le peu d'écus qui lui restait en bourse ! C'est qu'elle n'allait pas retourner à Saumur pour refaire le plein... Il allait donc falloir qu'elle travaille... Une journée ou deux c'est pas la mort surtout avec un merveilleux rayon de soleil comme celui d'aujourd'hui et puis cela lui permettrait de continuer sa diète pour perdre le reste de surplus qu'elle avait autour des hanches...
Un mal pour un bien !
C'est donc en mettant une tenue fort appropriée, mais toujours avec un léger décolleté digne de sa poitrine, qu'elle s'en alla récolter des légumes...
Mais voilà pas que le vent se leva et que la pluie fit son apparition...
L'envie de tout laisser en plan et de rentrer se mettre au chaud se fit sentir... Mais bon, on la rémunérait pour le travail fournit et elle se devait de le terminer !
Le soir arriva et quand elle rentra, trempée jusqu'aux os, elle demanda au tavernier de préparer de quoi prendre un bon bain !
Une fois la toilette finit, la Demoiselle préparée et légèrement fiévreuse descendit dans la salle principale pour "quémander" une bonne tasse de lait miel chaude... Là, elle y voit son Cromagnon, devant une bonne bug à brouiller du noir... Mouarf, elle aimait pas le voir comme ça, et après avoir passé sa commande, elle s'en alla le rejoindre avec un tamtam dans le crâne bien plus intense que quelques secondes plus tôt et un mal au ventre qui surgissait de nulle part... D'une petite voix fragile elle lui dit :
Hey Caven... Je t'ai cherché partout... T'étais où ?
Ses lèvres fiévreuses se posèrent sur sa joue pour un petit bisou en guise de bonjour ou bonsoir et elle s'assit à ses côtés la mine de plus en plus pâlotte...
T'en fais une tête...
Si c'est pas l'hôpital qui se fou de la charité dans des circonstances comme celles-ci... Mais la Dénéré n'aimait pas se plaindre lorsqu'elle allait mal... Quand elle se plaignait c'était volontaire et surtout pour ennuyer son entourage quand son quart de folie s'emparait d'elle !
Le tavernier revint avec sa tasse et c'est tremblotante qu'elle la porta à ses lèvres...
Faut dire qu'elle était bien plus bavarde que ça la Baronne mais là, chaque phrase, chaque parole qu'elle prononçait l'affaiblissait davantage... C'est que jamais elle n'avait été si malade... Voir même, elle n'avait jamais été malade hormis un mini rhume qui la prenait de temps en temps...
Mais elle se devait de faire comme si rien était jusqu'au moment où elle regagnerait sa chambre... Mais combien de temps allait-elle tenir ?
Elle le regarda et lui dit avec un faible sourire sur les lèvres...
Si je choppe celui qui a osé dire que le travail c'est la santé, je le tue...
Et là sans s'en rendre bien compte, elle posa sa tête sur son épaule, les pensées tournées que vers Son lointain Mini... Le reverrait-elle un jour ? Depuis le temps qu'elle n'avait eu de ses nouvelles... Et si elle mourrait avant son retour !
Ca vous étonne pareilles pensées ? Ben faut pas ! Quelqu'un qui n'est jamais malade, imagine toujours le pire quand quelques gros microbes "rhumesques" contaminent leur joli corps !
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[Qui a dit que le travail c'est la santé ?]
Cela faisait de nombreux jours que la Douce Angevine, accompagnée du plus sexy des hommes de Cromagnon Banni, avait quitté ses terres angevines pour rejoindre celle de l' "ennemi" : La Touraine !
Pourquoi la Touraine ? Ben tout simplement car Sa Malemort devait se trouver là bas et que la Baronne n'aspirait qu'à la revoir pour lui conter moult secrets car vous l'aurez compris en plus d'une amie elle était sa confidente number one !
Bref, le temps passait et toujours pas d'Elisa en vue... La Baronne inquiète de ne pas la voir, décida de lui écrire et la prévenir de son arrivée... Mais voilà pas qu'à son plus grand regret, la Princesse des Chieuses était en voyage... Bon elle s'apprêtait à rentrer mais quand même !!!! Elle allait faire quoi la Douceur en attendant hormis se plaindre à son homme de Cromagnon de se sentir seule, sentimentalement parlant ?
D'ailleurs en parlant de se plaindre, il était tant de rejoindre Caven pour lui annoncer la nouvelle et lui dire qu'elle attendrait Elisa à Chinon... Libre à lui ensuite de vouloir partir ou rester bien qu'elle savait déjà qu'il ne partirait pas en laissant deux jolies jeunes femmes seules dans une ville comme celle-ci !
Alo se mit donc à la recherche de Caven vainement...
Revenant à l'Auberge où elle créchait avec le dict Garde du Corps, elle monta dans sa chambre en ronchonnant :
Mais il est où lui ? C'est quand j'ai besoin de me plaindre qu'il disparaît...
Je vais faire quoi moi ?
Et là... L'imaginable, l'impensable, lui traversa les esprits lorsqu'elle regarda le peu d'écus qui lui restait en bourse ! C'est qu'elle n'allait pas retourner à Saumur pour refaire le plein... Il allait donc falloir qu'elle travaille... Une journée ou deux c'est pas la mort surtout avec un merveilleux rayon de soleil comme celui d'aujourd'hui et puis cela lui permettrait de continuer sa diète pour perdre le reste de surplus qu'elle avait autour des hanches...
Un mal pour un bien !
C'est donc en mettant une tenue fort appropriée, mais toujours avec un léger décolleté digne de sa poitrine, qu'elle s'en alla récolter des légumes...
Mais voilà pas que le vent se leva et que la pluie fit son apparition...
L'envie de tout laisser en plan et de rentrer se mettre au chaud se fit sentir... Mais bon, on la rémunérait pour le travail fournit et elle se devait de le terminer !
Le soir arriva et quand elle rentra, trempée jusqu'aux os, elle demanda au tavernier de préparer de quoi prendre un bon bain !
Une fois la toilette finit, la Demoiselle préparée et légèrement fiévreuse descendit dans la salle principale pour "quémander" une bonne tasse de lait miel chaude... Là, elle y voit son Cromagnon, devant une bonne bug à brouiller du noir... Mouarf, elle aimait pas le voir comme ça, et après avoir passé sa commande, elle s'en alla le rejoindre avec un tamtam dans le crâne bien plus intense que quelques secondes plus tôt et un mal au ventre qui surgissait de nulle part... D'une petite voix fragile elle lui dit :
Hey Caven... Je t'ai cherché partout... T'étais où ?
Ses lèvres fiévreuses se posèrent sur sa joue pour un petit bisou en guise de bonjour ou bonsoir et elle s'assit à ses côtés la mine de plus en plus pâlotte...
T'en fais une tête...
Si c'est pas l'hôpital qui se fou de la charité dans des circonstances comme celles-ci... Mais la Dénéré n'aimait pas se plaindre lorsqu'elle allait mal... Quand elle se plaignait c'était volontaire et surtout pour ennuyer son entourage quand son quart de folie s'emparait d'elle !
Le tavernier revint avec sa tasse et c'est tremblotante qu'elle la porta à ses lèvres...
Faut dire qu'elle était bien plus bavarde que ça la Baronne mais là, chaque phrase, chaque parole qu'elle prononçait l'affaiblissait davantage... C'est que jamais elle n'avait été si malade... Voir même, elle n'avait jamais été malade hormis un mini rhume qui la prenait de temps en temps...
Mais elle se devait de faire comme si rien était jusqu'au moment où elle regagnerait sa chambre... Mais combien de temps allait-elle tenir ?
Elle le regarda et lui dit avec un faible sourire sur les lèvres...
Si je choppe celui qui a osé dire que le travail c'est la santé, je le tue...
Et là sans s'en rendre bien compte, elle posa sa tête sur son épaule, les pensées tournées que vers Son lointain Mini... Le reverrait-elle un jour ? Depuis le temps qu'elle n'avait eu de ses nouvelles... Et si elle mourrait avant son retour !
Ca vous étonne pareilles pensées ? Ben faut pas ! Quelqu'un qui n'est jamais malade, imagine toujours le pire quand quelques gros microbes "rhumesques" contaminent leur joli corps !
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