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Comédie d'allégeance

Kalaha
* se dit que la légitimité, c'est comme la confiture, moins on en a, plus on t'étale.......*

* observe le jeune homme....* la curieuse impression d'un air de famille qui lui évoque du chiendent que l'on avait du arracher pour que la terre puisse donner...

Il est vrai que c'est le printemps, déjà l'heure d'enlever les pousses des mauvaises herbes pour que les fleurs puissent s'épanouir

Ahhh la nature, le cycle des saisons.... un éternel recommencement

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Hersende
Hersende assista à l'intervention impromptue de celui qui se prétendait Baron de Fayence... Décidément cette cérémonie publique était pleine de fantaisie... mais c'était le risque en ouvrant à tous, risque qui était accepté.

Encore un Louvelle, décidément, cette dynastie ne cessait d'avoir des prétentions sur la Provence, depuis Versatyl... Et Cadenet? mais c'était le nom de sa filleule, ça?

Ha... Heulynn... quelle tristesse! Une femme de qualité mais perdue par ses amours qui la rendaient incapable de raisonner sainement. Déjà avec IVR... Elle en était même arrivée à trahir sa marraine qui lui faisait confiance étant liée dans la foi aristotélicienne à elle... Hersende l'avait protégée quand elle avait forcé un barrage militaire, elle avait voulu la croire, la mort dans l'âme, quand elle avait dit vouloir mettre fin à ses jours, essayant par ce biais d'échapper aux poursuites judiciaires. Elle avait découvert quelques temps plus tard avec stupeur Heulynn prêtant allégeance à l'Empereur pour devenir présidente de la Cour d'appel impériale... Quel gâchis!... de telles capacités... mais tant de mensonges et de fourberies...
Hersende ne pouvait songer à sa filleule qu'en tant qu'échec personnel comme marraine... et pourtant elle l'avait réellement aimée... et lui avait tout pardonné...

Mais là, son fils sans doute? Résultat d'une liaison avec un Louvelle? Décidément Heulynn avait l'art de choisir... Ca justifiait sans doute les propos du jeune homme. Le pauvre... Il ne connaissait rien à cette terre sur laquelle il prétendait posséder illégalement un fief. Heulynn était morte, elle avait trahi... Il y avait une nouvelle Baronne de Fayence, légitime celle-là...

Hersende eut pitié du jeune homme qui avait une vision déformée de la politique provençale. Elle ne lui voulait pas de mal, donc elle fit un signe au responsable de la Garde Marquisale afin qu'il intervînt, empêchant l'importun de déranger davantage la cérémonie en cours. Hersende lui parlerait après... Elle devait savoir ce que sa mère lui avait raconté...

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Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Atchepttas
La jeune femme regarda le jeune homme s'avançant vers l'Illustre. Il portait une couronne de Baron. Lorsqu'il annonça son titre, elle ne put s'empêcher d'ouvrir la bouche surprise.
Elle se tourna vers Castor et lui chuchota :


Dis moi que je rêve, ce garçon est le fils d'Heulynn ? N'est-il donc pas au courant que son fief a été retiré ? Le pauvre bougre semble quelque peu désorienté.

continuant à écouter son monologue. Elle rajouta à Adrian, non sans un sourire malicieux.

Au fait, penses-tu vraiment que le père est le bon ? Sachant comme était Heulynn...
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Prunille.
Allégeance de Mateù.
La Blonde, prête à bondir, en voyant Mateù tituber, pâle comme un linge, et manifestement prêt à leur faire don de son repas.
Mais il n'eut même pas le temps de retourner à sa place (et elle, de se précipiter à ses côtés pour lui demander s'il allait bien, et tant qu'à faire, refiler le reste de la cérémonie à sa poursuivante...).
Un jeune homme, plutôt bien fait de sa personne, et habillé avec une noble élégance, s'avança.
Son discours surprit la Blonde.
Coup de sang dans les tempes.

Il n'y avait qu'une baronne de Fayence, c'était sa marraine, sa suzeraine, Délia.
S'avançant d'un pas, elle se décida, cette fois, à prendre la parole, s'en était trop.


Je regrette messire, mais cette allégeance n'est pas recevable.
Si tant est que vous soyez le fils d'Heulynn de Cadenet-Bellecour, vous devez savoir que celle-ci a obtenu son titre sous le Marquisat, et qu'un Comte ayant prêté allégeance au Marquisat lui a retiré ses terres.
Donc, soit vous reconnaissez le Marquisat, et admettez que l'on a retiré ses terres à votre mère, soit vous ne reconnaissez pas le Marquisat, et dans ce cas, un comte félon a donné des terres à votre mère, qui donc était illégitime.


Remise en place d'une mèche derrière son oreille, le temps de voir Hersende appeler la garde.
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Anciennement Gabcha
Valmeu
Val écoutait d’une oreille distraite les discours des divers intervenants…la mission qui lui incombait accaparait la quasi-totalité de son attention….Pourtant il fût interpeler par le discours d’Avyd de Louvelle-Cadenet…
Les paroles qu’il entendait là lui soulevait le cœur!
Quelle impudence avait cet homme de se faire passer pour le Baron de Fayence ! Et surtout quelle impertinence !
Faisant Fi, de toutes les règles de bienséance..
Il allait de lui-même s’interposer et l’interpeller derechef pour félonie et imposture lorsque Sa Majesté Hersende lui fit signe d’intervenir.

Il ressentait de la tristesse de voir que les gens autour de lui étaient bien incapable de s’entendre et n’étaient en fait qu’obnubiler par le pouvoir…Il avait accordé quand à lui sa confiance au Marquisat…Plus particulièrement à la Marquise…
Il ressentait en elle une vraie volonté de structurer la Provence et une véritable honnêteté intellectuelle dont certains auraient bien fait de s’inspirer !

Ce qui le peinait le plus en fait cà n’était point qu’un paltoquet du genre d’Avyd se fisse remarquer…cela n’était point pour le surprendre…
Par contre que la Comtesse Ladoce et la Marquise Hersende, deux femmes de valeur ne trouvassent point un terrain d’entente…cela le navrait.

De surcroit une chose était certaine à ces yeux…Les « Pro Teuton », il ne pouvait les sentir…Jamais il n’accepterait d’être inféoder à l’empire….
Si lointain …si absent…si peu au fait des us et coutumes de la Provence…
Pour lui des Provençaux qui défendaient l’empire n’étaient que des traitres non point au Marquisat, mais à la Sainte Provence même !

Il chassa ces pensées fit signe à la Garde et s’avançât en tête. Puis saisit l’imposteur par le bras


Messire Avyd, nous ne vous reconnaissons pas pour le Baron de Fayence !
Considérez-vous en état d’arrestation pour imposture et félonie !
Suivez moi sans opposer de résistance!
Nous vous conduisons dans les locaux de la Garde Marquisale où vous serez entendu et rendrez compte de vos actes !


http://chateau-avignon.forumactif.info/t3059-geole-avyd-de-louvelle-cadenet#61499
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Christine.


D'un oreille attentive elle suivit les débats , ne quittait pas le marquise des yeux , puis les autres intervenants les uns après les autres
Lorsque le capitaine intervient pour un soit disant baron qui ne l'était pas
Elle se raidit d'un seul coup, il fallait intervenir , elle suivit donc le capitaine des gardes et se plaça de l'autre côté de l'individu pour aider son supérieur afin de l'emmener

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Avyd.
Le Baroùn ne put s'empêcher de sourire. Tout se déroulait exactement comme prévu. La Garde Marquisale intervenait, la Héraut l'interpellait, il regrettait toutefois que l'Illustre n'ajoute pas quelques mots. Un homme lui saisit soudainement le bras, l'enjoignant à le suivre sans opposer aucune résistance. Il le fixa quelques instants puis acquiesça.

Je vous en prie messire, faîtes moi grâce de vos considérations.
Mais permettez moi, avant de vous suivre, et ce sans opposition violente vous en avez ma parole, de répondre à votre Héraut.


Il lui sourit, ne lui laissant même pas le temps de répondre et se tourna de facto vers la dame qui lui avait adressé quelques mots :

Je ne reconnais pas le Marquisat, et je ne le reconnaîtrais jamais.
Ma mère a travaillé, contribué, œuvré corps et âmes pour cette infâme institution, ceux qui étaient à la commission ayant fondé le Marquisat devraient s'en souvenir. Mais elle a finalement été trahi par tout ceux qui constituaient ce Marquisat, car elle semblait déplaire et "en savoir trop". Elle a donc été destitué pour une "collaboration avec une institution impériale", entre autre la CAI, ce qui n'était qu'un prétexte et motif pour satisfaire les envies du Marquis de l'époque, Lordfear.
De ce fait, la destitution a été directement ordonné par le Marquisat et le Comte n'a fait qu'obéir. Tant bien même il aurait été d'accord et même approuvé, le motif de destitution n'était absolument pas valide et qui plus est totalement exagéré. Elle a été trahi, ignoblement trahi. Elle avait compris que le Marquisat n'était qu'un jouet que les nobles s'arrachaient pour le pouvoir, la "gloire" et la supériorité. Et en tant que vraie provençale, elle ne pouvait plus soutenir cette institution de pacotille.
De ce fait, je considère que la destitution de ma mère est non avenue ainsi que illégitime et je me prétend donc unique et légitime Baroùn de Fayence. Celle qui usurpe à l'heure actuelle mes terres aura bientôt de mes nouvelles.


Le jeune Baroùn se tourna vers l'homme qui l'avait prié de le suivre. Sa troupe avait grossit et il n'était plus seul.

Messieurs, je vous suis.
Milady
Elle n'eut pas le temps de réagir. Elle entendit l'allégeance, avant qu'elle ne comprit, l'homme était mis aux arrêts et le héraut s'indignait...

Mila restait la bouche entrouverte sans dire un mot tandis que son sang s'échauffait doucement, lentement mais la colère commençait à poindre le bout de son nez. Et les colères de Mila ce n'était pas rien...

Elle s'avança d'un pas titubant.


Attendez
, cria t-elle à l'attention du capitaine marquisal avant de s'avancer vers le jeune homme qui venait de faire un nouvel éclat dans cette cérémonie.

Je n'ai pas connu votre mère, je n'ai pas connu les conflits qu'elle put avoir mais une chose est certaine, vous n'êtes qu'une vermine "messire". Vous vous servez de tout cela pour prétendre à des terres mais à quel titre ? Celui d'être le fils d'une fêlonne... Avez ne serait-ce que tenté de vous investir en Provence ? Êtes-vous baptisé pour vous dire noble ? Tout ce que vous désirez c'est un titre...

Elle le gifla c'était plus fort qu'elle !

Si vous sortez des geôles d'Avignon, c'est avec plaisir que je vous inviterai au Château d'If.


Puis se tournant vers le reste de la noblesse.


Nous continuons dans le calme où dois-je encore m'attendre à des débordements ? Baroun, dit-elle en se tournant vers Ref, avant de prêter allégeance auriez-vous l'amabilité de veiller sur le Baron de Grimaud ? Il me semble malade et j'en ai assez soupé pour ne pas voir un cadavre en plus durant la Cérémonie.

Et elle retourna à sa place, agacée au plus haut point, ayant cure de tout ce qui se passerait ensuite. Son seul désir passer une des portes vitrées de la salle pour aller dans les jardins prendre l'air.

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Ref1
Il écouta les demandes du fils de sa mère.
Contrairement à certains, il l'avait connu lui cette mère. Cela lui rappela un temps révolu.

L'homme avait parlé, l'homme était enfermé.
Ladoce devait être favorisée, elle aurait au moins droit à un procès elle.

Clac fît la giffle. Drôle de réaction tout de même... Frapper un inconnu n'était pas vraiment dans les prérogatives d'un Illustre.


Savié fit un signe entendu en direction de l'Illustre à la suite de sa demande.

Sa mine montrait clairement qu'il n'était pas franchement inquiet pour le Baron.

Il attendait maintenant son tour.

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Valmeu
Citation:
Attendez, cria t-elle à l'attention du capitaine marquisal avant de s'avancer vers le jeune homme qui venait de faire un nouvel éclat dans cette cérémonie.


Val reconnue la voix de l’Illustre, elle lui apparue bien courroucée…Il stoppa et fi volte face en même temps qu’Avyd….
Malgré toute sa vivacité il n’eut pas le temps d’esquisser un geste avant que la main de la comtesse s'abattit le visage du prisonnier…

Son regard perçant de rapace se fit dur, il planta ses yeux bleus dans les siens…la colère le tenaillait.
Il eut le réflexe de lever la main vers le bras de la Dame, mais le rang de l’illustre lui interdisait une telle audace….
Il s’approcha d’elle arborant un sourire de circonstance que trahissait la dureté de son regard …Il chuchota à son encontre


Madame ! Cet homme à l’instant où il a été mis aux arrêts est passé sous ma responsabilité propre !
Sachez que je ne tolère pas que l’on octroie de mauvais traitements aux prisonniers qu’ils soient de guerre ou politique... Ne recommencez jamais cela je vous prie !


Puis son regard se radouci et ses yeux devinrent plus doux en symbiose avec le sourire qui ne l’avait pas quitté…
Il se saisit de la sucette que lui avait donné Iskander en début de cérémonie et la lui glissa discrètement dans la main…


Un petit cadeau de mon ami le berger à votre intention….
Cela va vous faire le plus grand bien…
Rien de tel qu’un peu de sucre pour garder la tête froide


Sur ces paroles il pris congé et fit escorte au prévenu
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Christine.


Christine fut surprise de voir l'Illustre giflé le prévenu
Elle palit mais ne dit absolument rien, le capitaine s'en chargerait surement et il le fit avec calme et pondération en y ajoutant une pointe d'humour
Une sucette , Christine eut l'eau à la bouche, une sucette elle l'a reluquait , elle en avait bien envie d'une aussi mais ce n'était vraiment pas le moment
Comme le prévenu n'opposa aucune résistance, elle salua de la tête respectueusement la comtesse et se posta à nouveau devant la marquise, laissa son capitaine se charger du reste
Elle pria avec ferveur, ses conflits lui faisait plus de peine qu'autre chose mais il fallait qu'elle fasse son travail

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Milady
Elle ne dit mot quand le capitaine marquisal fit sa remontrance. Il avait raison, elle le savait. Ce n'est pas pour rien qu'elle était connue pour ses colères. Elle attendit donc la suite de la Cérémonie sans un mot.
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Castor22
Le baron lui rendit son sourire, préférant la voir rayonnante même si il se doutait qu’il était en grande partie moqueur. Qu’importe, elle semblait aller un peu mieux. Hochant la tête quand elle parla d’Eavan, il ne pouvait qu’approuver quand elle soulignait la détermination et l’obstination dont Salon faisait preuve pour accomplir ses missions.

Il retient un rire quand elle se rendit compte que Savié était père mais surtout quand elle entreprit une tentative d’intimidation fort peu convaincante. Se penchant vers elle avec un grand sourire, il ne pu s’empêcher de jouer le jeu de la provocation à son tour.


Certes un coup de canne peut faire mal, mais faut il encore savoir se déplacer pour atteindre sa cible. Je crains que dans ton état actuel, même le fils de mon cousin arriverait à t’échapper, voir même à te battre en duel. Tu devrais peut-être profiter de ton passage à Orange pour tes soins pour d’abord t’entrainer avec quelqu’un de ton niveau actuel.

Souriant en coin à son amie, il remarqua au passage, la mine peu glorieuse du baron de Grimaud se présentant à son tour pour son allégeance. A peine avait il fini que le jeune homme qu’il avait prit pour un baron étranger, s’avança en direction de l’estrade tout en se présentant en tant que baron de Fayence et fils d’Heulynn.

Je ne saurais pas te répondre, la dernière fois que j’ai vu Heulynn vivante, elle était accompagnée de son fils Antonio, mais il ne ressemblait pas vraiment à ce jeune homme. Le pauvre, on a du lui faire miroiter un fief en lui cachant la réalité sur la situation de sa mère.

Tout en rendant un sourire aussi moqueur que le sien, il lui répondit :

Très bonne question ma chère. Mais je ne pense pas que la mère, elle-même, soit capable d’y répondre. D’après ce qu’on peut entendre, il y a pas mal de prétendant possible pour le rôle de père.

D’ailleurs, je suppose que Monseigneur Richelieu vérifiera à Rome le certificat de mariage pour voir déjà si cette enfant est légitime.

Tiens en parlant de cela, as-tu eu réponse à ta doléance finalement ? Je t’avoue que je n’ai pas tout suivit sur la fin.

Il fut marqué quant la comtesse gifla le jeune homme. Certes il n’était pas Baron de Fayence, mais s’il était vraiment le fils de Maximilien de Louvelle, ce jeune homme devait avoir nombre de fief Français et était donc potentiellement un représentant d’une région étrangère. Certes il racontait n’importe quoi, mais cela ne justifiait pas de se faire gifler en public. Se penchant à nouveau vers sa voisine.


Au moins, tu auras pu assister à un peu d’animation, tu ne seras pas venue pour rien. Et puis tu peux remarquer que ta relève semble efficace pour appréhender les dangers potentiels. D'ailleurs, je t'ai fait part que le nouveau capitaine marquisal était entrain de revoir tes statuts? Ils ne semblent pas totalement lui plaire.
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Iskander
D'écouter et d'entendre.

Les choses prenaient substance, un peu. Et me laissaient un peu perplexe aussi.

D'une part, celui qui se sent spolié réclame justice, en son corps et en son âme. Mais réclamer justice ainsi ? Cela me dépassait. Qu'un procès soit instruit. Que les faits soient établis plutôt qu'allégués. Et que justice soit rendue. Mais ça ?

D'autre part, chérir un titre, pour le titre, la terre pour la terre, cela me semblait ... vain. Incroyablement vain. Les prétentions sur les terres pour qui ne se donne pas à la Provence étaient pour moi déplacées. Que les gens portent les titres de leur charge, soit. Mais pour le reste...

Et ce "pour le reste" remettait énormément de choses en question. J'avais pourtant vu les nobles de Provence se lever pour la défendre. Pas tous, mais beaucoup. Plus que des non-nobles ? Je ne saurais le dire. Cela me semblait un devoir de chacun, noble ou non. Et beaucoup le ressentaient comme tel.

Alors ...

La gifle de Mila vint mettre un terme brutal à ces pensées.


Si la main qui se tend est aussi forte que celle qui frappe...
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Misslafan29
Algaranna s'intéressa surtout à son verre et sentit qu'il y avait quelque chose qui clochait. Elle leva sa tête pour voir un jeune homme qui intervint en plein cérémonie.
Un peu surprise, en sachant, elle savait qu'il y avait une SEULE Baronne de Fayence..C'était sa Doch à elle!
Elle avait déjà entendu parler de Heulynn mais pas de son fils...
Puis,

Clac

Souffle coupée, elle regarda le garçon se faire gifler.
Quel audace! Je savais qu'elle était capable de se fâcher en public...mais une gifle? Non pas vraiment...
Elle l'admirait.
Puis, elle réagit, en reprenant son verre, et but un moment.
Murmura en s'adressant à son groupe pro-bière:

-Ceci,c'est de la framboise, cette bière a un goût de la framboise... Excellente, il faudra proposer cette bière à l'Illustre...
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Amoureuse de son beau Coquin et proclame au monde qu'elle l'aime, son Comte.
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