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Nos premiers aveux

Galadryel


Il estait encore bien tost, les premiers lueurs de laudes n'avaient pas encore retentie que déjà Galadryel se rendait aux remparts de la bourgade.
Un léger brouillard recouvrait l'horizon, à cet heure c'estait comme sy le ciel estoilé estait sur terre...
Les lampions des fermes éparses estaient tels les diamants de la nuit.
La bourgade encore endormie allait se réveiller bientost et la rousse voulait profiter de ce silence, et de cette vue imprenable avant que les débats politiques, les faux semblants ne reprennent le dessus.
Une légère bourrasque fit tomber sa capuche et lacha sa cascade de feux au vent...Elle aurait du prendre cela pour un signal d'appel, ça place n'estait peut estre plus icelieu. Mais elle resta là, le regard rivé au loin et se contenta de mirer...

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Gwendal.flavius
Il venait de finir sa ronde quand le soleil darda ses premiers rayons sur les remparts.
Le ciel en devenait chatoyant, nimbé de dégradés de rouge et de orange, cela aurait émerveillé n'importe qui sauf lui en ce matin triste et morne.
Il aurait dû rentrer chez lui mais il n'en avait nullement le coeur. Aussi resta t'il à continuer sa ronde autour des remparts.

Quiconque l'aurait croisé aurait pu voir la mine sévère qu'il affichait, cette mine portait un nom, la honte.

Il s'était fourvoyé, certes l'objectif pouvait être louable, car si par cela il obtenait les voix des fantômes de Montmirail, il pourrait occupé ce siège convoité de maire et ainsi oeuvrer pour le bien de tous les habitants.
Mais cela en valait t'il la peine, le but justifiait t'il les moyens, NON.
Il avait perdu une partie de lui même, la plus importante, son intégrité.

Mais il n'y avait pas que cela, il avait certainement déçu la seule personne qui comptait réellement pour lui jusqu'à ce jour. Elle lui avait concéder son coeur osant faire de nouveau confiance après avoir été trahie de la plus horrible des façons. Elle lui avait permis de reprendre goût à la vie, de sentir son coeur de nouveau battre.
Elle l'avait accepté entier tel qu'il estait avec ses qualités mais aussi avec ses défauts.

Chaque jour il se levait en pensant à elle, et chaque nuit il se couchait empli d'une colère et d'une amertume, car un jour sans lui avoir dit ô combien elle lui estait essentielle venait de s'écouler.
Il avait conscience de cette défection et de la peine qu'il devait lui causer mais hélas la peur était trop forte.

Il avait apprit à ses dépends et ce de la pire des façons, que l'amour ne peut que finir dans la déception et la trahison, alors il avait longtemps hésiter avant de se laisser aller, il avait accepter de lâcher un peu de ce contrôle de lui même voulant se donner une chance d'être heureux. Mais il avait peut être fait une erreur.
Après la trahison de ses propres parents bretons, qui n'avaient pas hésiter à organiser dans l'ombre son enlèvement pour obliger son Oncle bien aimé à rompre son serment de Chevalier et de se dresser contre son Roi.
Il avait décider à jamais de contenir ses sentiments, de ne jamais succombé à ces maladies qu'était l'amour et l'amitié.

Mais voilà il l'avait croisée et c'est la maladie qui l'eut emporté. Pourtant il savait que cela finirait ainsi, une déception après l'autre jusqu'à ce que l'amour se transforme en colère puis en haine.
Pourquoi son entourage finissait t'il toujours par souffrir, il ne le savait pas.
Tout ce qu'il savait c'est qu'il en était la cause.
Il ne lui restait plus qu'à disparaître, s'effacer, devenir l'un de ces nombreux fantômes de Montmirail.

Il s'était assis depuis tout ce temps, son corps ayant compris l'état dans lequel il se trouvait et se mesttant au diapason de son état d'esprit, il pleurait.
Galadryel


Le spectacle qu'elle attendait commençait...L'aube noir cédait la place à un timide soleil hivernal...Malgré tout, de vives couleurs venaient vous éblouir et le brouillard tirait sa révérence alors que le jour prenait place...

La bourgade se réveillait ainsy et du haut des remparts, Galadryel pouvait voir les premiers courageux sortirent de leurs couches...
Elle esquissa un sourire, d'en haut tous semblait sy identique, sy quelconque, c'est alors qu'elle entendit le crieur public annonçer la grande nouvelle du jour...

Cresusv en teste au premier tour...Il va falloir vous rendre de nouveau aux urnes et choisir entre iceluy et sieur Cyrillus...

Gwendal n'avait oncque pas franchi la première étape...Elle ne pouvait qu'imaginer la peine qu'il ressentirait en apprenant cela...
Peut estre auray t'elle dû estre plus présente...
très vite elle chasse ces idées noires...Ce quy estait faict est faict et avec des sy et des peut estre le monde serait sy différent...

Prise dans ces pensées, elle ne se rendit compte qu'après un long moment qu'elle n'estait plus seul sur les remparts.
Une silhouette assise non loin d'elle et sy elle tendait l'oreille...Ouy elle pouvait odir des pleures...
Sa première réaction fut de partir discrètement...Mais...Ouy...C'estait luy...
Elle s'approcha doucement.


G..Gwendal...?

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Gwendal.flavius
Citation:
G..Gwendal...?


Etait-ce Dieu qui lui envoyait un ange sous la forme de son aimé pour lui apporté le pardon, ou bien le Maître des Enfers pour l'accabler.

Il pouvait voir l'inquiétude dépeinte sur le visage de son aimé et un soupçon d'incompréhension.
Elle était là dans un moment de faiblesse, en d'autres circonstances il s'en serait voulu d'avoir permis à quiconque de le voir dans cet état mais là au contraire il était ravi qu'elle le voit ainsi.
Qu'elle voit qu'il était après tout un homme que le monde atteignait et touchait comme n'importe qui, qu'il avait un coeur qui pouvait aimé mais aussi souffrir, qu'il n'était pas que droiture, rigueur.

Il se releva et marcha vers elle. Lui prît les mains
Galadryel


C'estait bien luy, elle comprit mieux les forces l'ayant poussé à se rendre icelieu...
Et spécialement jourd'huy...
Ces yeux estait encore rougies par ces larmes mais la rousse se garda bien de le questionner à ce sujet...
elle ne se doutait que trop bien à quel poinct il devait estre déçu d'avoir raté cette bataille éléctorale...
Mais une bataille n'estait poinct la guerre elle mesme et elle se doutait qu'une foy l'amertume passé il releverai à nouveau les manches pour redoubler d'ardeur et de prévenance....
Une boutade estait plus approprié pensa t'elle alors qu'il l'avait enjoint et qu'il unissait ces mains aux siennes...


ah je vois que vous aussy vous estes sujet à la froideure..Moy c'est mon nez quy devient tout rouge on pourrait croire que j'ay vider tout les tonneaux de la taverne et mes yeux se mettent à pleurer par le froid....

elle luy sourit tendrement, presque maternellement...Et posa ses lèvres sur les siennes...

Uhmmmm c'est fou ce que vos lèvres ont pu me manquer...uhm vous aussi d'ailleurs...

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Gwendal.flavius
Malgré le retrait qu'il avait manifesté à son égard au cours des derniers jours, elle était là à ses côtés. Elle ne lui en voulait point, elle comprenait.
Le poids qui pesait sur ses épaules s'en était aller en même temps que ce baiser.


Ces quelques jours m'ont paru êstre une éternité et d'une telle éternité je ne veut plus connaître. Il n'y a nul tourment plus insupportable que de ne plus t'avoir à mes côtés.

Il ne peut se retenir d'avantage de l'embrasser à son tour
Galadryel


Je vous l'ay dit, je vous attendrai le temps qu'il faudra...Ce silence...ouy c'estait long...Je ne dirai poinct le contraire...mais cela nous servira de leçon....Et puy nous nous sommes rendus compte à quel poinct nous tenions l'un à l'autre...


Souriant malicieusement.


Ne trouvez vous pas mon tendre ?


Luy prenant la main, c'estait en sa compaign qu'on pouvait la voir souriante.

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Gwendal.flavius
Comme c'était simple, la vie semblait n'être plus que douceur, en sa compagnie il se sentait capable d’abattre n'importe quel obstacle qui se dresserait devant lui, devant eux.

Oui vous avez raison, mon aimée, ce long silence aurait pu dresser un mur entre nous, mais fort heureusement il nous as permis d'entendre nostre coeur crié son amour de l'autre en un battement à l'unisson
Galadryel


Se blottissant en ces bras elle admira la vue...Montmirail estait maintenant bel et bien réveillée...Mais du haut des remparts, chaque villageois parraissait sy minuscule...
Tout cela semblait sy loin à la rousse...


Mais sy vous voulez la prochaine foy que vous restez sy longtemps sans me donner le moindre signe de vie je vous feray non pas faire le tour de nostre bourgade mais du comté en entier qu'en pensez vous ?

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Irella
[Montmirail, au petit matin...]

Cette route mille et une fois arpentée s'offrait de nouveau à leur vue quand au petit matin, le trio aborda les dernières lieues qui le séparaient du village.

La brume matinale baignait la campagne et quelques endroits plus que d'autres se dérobaient à leur vue. Mais la vie dans le Maine lui paraissait si proche dans sa mémoire, qu'Irella aurait pu encore décrire chaque virage, chaque bosquet, chaque roche qui bordaient la route du Mans à Montmirail tant elle avait été coutumière en son temps.
Plus loin, dans un champs fraichement labouré mystérieusement épargné par le brouillard, des corneilles enfouissaient profond leur bec dans la terre pour y dénicher quelques vers ou vermisseaux qui avaient eu la paresse de descendre plus bas passer l'hiver. A l'approche du petit convoi, telle une envolée de moineaux, elles prient la poudre escampette en poussant des cris sinistres.

Les oreilles en alertes, les chevaux continuaient leur progression.

Et soudain...

Irella les vit.

Les remparts se tenaient droits et massifs. Ces remparts dont elle connaissait aussi chaque recoin. Les souvenirs les plus cocasses lui vinrent à l'esprit. Le sourire lui monta aux lèvres quand elle revit cette scène gravée à jamais dans sa mémoire...
Entendant des bruits suspects alors qu'elle faisait sa ronde, - il faut dire qu'en ce temps, elle était chef maréchal- elle avait ordonné à ceux qu'elle croyait être des marauds, de lever les mains au dessus de leur tête, et avait découvert avec stupeur un couple illégitime dans une position fort embarrassante. Et l'homme les mains au dessus de la tête qui n'avait pu retenir ses braies!

Irella en souriait encore quand elle s'enveloppa mieux encore dans son châle de laine et posa sa tête sur l'épaule d'Anorion qui menait la charrette.

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--Chabon
Les cheveux marrons avec un barbe, habit de moine et toque sur la tête.

Chabon arriva sur les remparts et observa la campagne.

C'était magnifique. Il remarqua aussi que la neige commençait à fondre.

Il continua de regarder.
Eleanore
Cette après-midi là, il faisait bon, le temps s'était radoucit et Eleanore en profita pour sortir. Elle en avait besoin car elle passait la plupart des ses journées dans la mine d'or qui se trouvait non loin de la ville. Passer ses journées sous terre à creuser encore et encore jusqu'à ce qu'elle en ait les bras engourdis par la fatigue n'avait rien de réjouissant pour la jeune fille. Heureusement que ce qu'elle gagnait lui permettait de s'acheter à manger, ce qui se résumait à une miche de pain qu'elle partageait en deux pour tenir deux jours et qu'elle pouvait économiser quelques écus chèrement gagnés pour espérer un jour posséder son propre champ. Et maintenant, elle devait s'amuser à nettoyer l'église de Montmirail!

Elle prit un des nombreux escaliers qui permettait de monter jusqu'au chemin de ronde. La montée était rude et elle dut s'arrêter au milieu des marches pour reprendre son souffle. Allez courage, t'es bientôt arrivée.
Quelques minutes plus tard, elle finit par arriver sur le chemin. Elle s'approcha du mur et regarde au loin. On ne voyait que la cime des arbres à perte de vue. Le vent qui était absent dans les rues se faisait sentir à cet hauteur et jouait avec sa tignasse brune. Elle ne regrettait pas d'être venu, la vue était superbe tout comme le paysage.

C'était du moins ce qu'elle pensait jusqu'au moment où elle regarda vers le sol. La route en contrebas semblait miniscule tout comme les silhouettes des voyageurs. Une bouffée d'angoisse la saisit. La hauteur était vertigineuse et elle n'arrivait pas à détacher son regard d'en bas...Une chute serait mortelle. Eleanore savait pourtant que son comportement était irationnel, que le parapet était là pour la retenir mais elle avait peur et elle ne pouvait la maitriser.
Par un sursaut de volonté, elle s'obligea à reculer jusqu'au mur derrière elle et après avoir calmé les battements de son coeur, elle s'empressa de redrescendre. Cette fois-ci, elle n'eut besoin d'aucune pause.
Elle s'adossa alors au mur à côté de l'escalier pour reprendre complètement ses esprits.
Wu
Wu arriva avec Chabon et monta sur les remparts et observèrent le paysage.

Voyez, mon cher ami, ces remparts, fantastique, n'est il pas, et cette vue, Fantastique ?

Puis regardez ces oiseaux n'avez vous jamais rêver de voler !

Oui, j'ai longuement rêvé que je volais.....

Hmmm, que diriez vous d'un machine volante que l'air pourrais soulever ou alors à la force des bras ?

Un ballon d'air chaud ça volerait ?

Ça ne marcherait pas, ne soyez pas ridicule.

Aimez vous peindre Mon ami ?

Bien sûr, c'est un paysage charmant.

Que diriez vous d'une pièce de théâtre sur le Printemps ?

Ah en effet, ça serait assez amusant.

Dites, mon ami, Que diriez vous d'être conservateur de musée ?

Toujours aussi drôle, mais soit j'accepte.

De toute façon, vous accepteriez de suivre n'importe qui en enfer.

Retour compris, au début c'est épatant, après, c'est ennuyant.

Vous y êtes déjà allé ? Enfin, si vous le dites....

Repartons voulez vous, il fait froid.


Ils quittèrent les murailles.
Thifwenne
Thiffanie sort de la taverne endormie un peu oppressée. Elle se rend sur les remparts et son regard se perd dans la nuit. Les nuages laissent parfois pointer quelques étoiles et elle s'efforce d'y distinguer quelques constellation qu'elle connait. Elle sent une boule gonfler dans sa gorge, comme une main invisible qui tenterait de l'étrangler. Ses yeux se remplissent de larmes contenues et elle tourne ses pensées vers les terres occitanes qu'elle a laissé. Elle baisse les paupières et se remémore le ciel bleu, les montagnes pyrénéennes, le château de la ville de Foix où vécu celui que les gens du nord appelaient Gaston Phebus de Foix. Elle se remémore le chant d'amour à sa mie, chanté par tant d'hommes sous les fenêtres des damoiselles aimées. Elle entend presque dans sa tête les voix des deux homme qui courtisaient la même belle et avaient chanté sous sa fenêtre dans une rivalité séductrice. Elle se remémorent comment ils rivalisaient d'effets sur le premier couplet et sur le refrain.

E souto ma fenestro
I a un auceloun,
Touto la nuech canto,
Canto sa cansoun.

Se canto, que canto,
Canto pas per iéu,
Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.

Elle n'en peut plus. l'émotion et le désir la submerge. Elle se juche sur les créneaux et sa voix enfle et se joint au coeur d'hommes de ses souvenirs.

Se canto, que canto,
Canto pas per iéu,
Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.

A la fouònt de Nime
I a un amandié
Que fa de flour blanco
Coume de papié.

Se canto, que canto,
Canto pas per iéu,
Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.

Aquelei mountagno,
Que tant auto soun,
M’empachon de vèire
Meis amour ounte soun.

Se canto, que canto,
Canto pas per iéu,
Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.

Aquelei mountagno,
Tant s’abaissaran
Que meis amoureto
Apareisseran.

Se canto, que canto,
Canto pas per iéu,
Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.

Canto per ma mio
Qu’es aluen de iéu.


Sa voix s'éteint et meure. Les larmes maculent son visage qu'elle lève vers le ciel en une muette prière. Elle descend de son perchoir et retourne à l'auberge. Elle va retourner se glisser discrètement dans un bon lit chaud et accueillant, en veillant à ne pas faire de bruit pour ne réveiller personne.



Voici pour ceux que ça intéresse les paroles traduites du Se Canto qui reste l'un des hymnes de référence de l'appartenance à la culture occitane. Et pardon aux puristes s'il y en a qui passent, mais j'ai privilégié la version la plus proche phonétiquement à la version occitane correcte orthographiquement.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

Et sous ma fenêtre
Il y a un petit oiseau,
Toute la nuit il chante,
Chante sa chanson.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

À la fontaine de Nîmes
Il y a un amandier
Qui fait des fleurs blanches
Comme du papier.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

Ces montagnes
Qui sont si hautes
M’empêchent de voir
Où sont mes amours.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

Baissez-vous, montagnes,
Plaines, élevez-vous,
Pour que je puisse voir
Où sont mes amours.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

Ces montagnes
S’abaisseront tellement
Que mes belles amours
Apparaîtront.

S’il chante, qu’il chante,
Ce n’est pas pour moi,
Il chante pour ma mie
Qui est loin de moi.

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Max_premier
Le soleil avait envahi Montmirail et ces tours de garde étaient bien moins pénibles maintenant, il en était même arrivé à apprécier ses balades, profitant des odeurs de terre et de feuilles mélangées,
espionnant chaque bourgeon et remarquant déjà les primevères aux couleurs éclatantes mais il vit aussi l'état de délabrement de son jardin et s'arrêta un instant, faisant le point sur ce qu'il devrait ramener comme outil pour remettre de l'ordre à tout cela.


C'est pas le tout.. mais je crois que les journées vont rallonger maintenant... dit-il tout haut ; il se mit à penser enfin si ce travail peut me permettre d'oublier tout ce que ce jardin a pu voir avant. Il secoua les épaules et resta là un instant, le dos au mur de pierres.
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