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Nos premiers aveux

Alphee
Chez vous ?

La jeune femme grimaca légèrement ,elle ne tenait pas a ce que certains medisent a la voir entrer au domicile de Max , les langues iraient bon train , oh et puis elle s'en moquait !
Apres tout il etait herboriste , c'etait légitime qu'elle se rende chez lui
Oui mais a cette heure avancée de la nuit ....ca paraissait déjà moins logique .


Vous ne croyez pas que .....enfin ...les gens quoi !
Mais mes yeux sont en feu je ne peux que m'en remettre a vous et puis vous saurez prendre soin de mes prunelles n'est-ce pas?


Tenant d'une main le bout de tissu humide sur ses yeux , l'autre main posée sur le bras de Max ses doigts effleurerent la peau tiede du jeune homme , quelques aspérités freinèrent leur lente progression .

Vous êtes bléssé !

Plissant ses yeux , comme si elle pouvait mieux voir ..., le regard larmoyants et ce fichu clair de lune qui s'estompait doucement derriere quelques nuages .

Quelle étrange soirée ...son bras se replia au creux de celui de Max , et s'en remit a lui .

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Max_premier
A sa remarque, Max répondit naturellement...

Vous savez Alphee, les gens me connaissent assez je pense pour savoir que je ne profite pas de mes patientes... Un petit sourire le pris et profitant qu'elle ne pouvait le voir, il laissa son imagination vagabonder quoique parfois ce sont mes patientes qui veulent abuser de moi fini-t-il par répondre pour qu'elle n'ait peur de rien et puis chez moi, il y a un peu de monde.

Il ne savait pas si elle connaissait un peu son histoire, si elle savait qu'il avait été veuf avant d'être marié et était père d'un petit garçon mais le fait qu'elle soit si proche de lui, se laissant aller en confiance sur son bras, il pensa que c'était le moment de lui dire une partie.

J'emploie une nourrice qui habite chez moi avec sa petite fille Doda, elle tient ma maison et surtout, elle garde mon fils.... ma fierté... Clément.

La main d'Alphée était passée sur ses blessures et elle voulu regarder leur état... Il posa doucement sa main sur sa main pour qu'elle remette le chiffon d'eau sur ses paupières...

Ne vous inquiétez pas, ce n'est rien... et puis quand je vous aurai soigné, si le coeur vous en dit, je vous donnerai une pince et vous essayerez d'ôter toutes les épines qui me restent dans la peau, il réfléchit à ce qu'il venait de dire et où étaient la plupart des épines et senti ses joues s'empourprer, heureux de savoir qu'elle ne le voyait pas, il rajouta tout en continuant à marcher vers le Quartier des Ambuleurs.
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Wu
Le matin,Wu et vinrent se promener sur les remparts.

Tout en se promenant, il causèrent ensemble.


Vous saviez, Chabon, ce local qu'on a loué, il ne valait pas tripette.... Si on l'a fait sauté, ce n'est pas grave.

Hmmm.... C'est sûr, on doit le rembourser au propriétaire, on dort dans la rue, mais, a par ça, la vie est belle !
dit ironiquement Chabon.

Ah ! Ne soyez pas si pessimiste ! Voyez, aujourd'hui, c'est le Printemps ! Puis je vais le rembourser, n'ayez crainte.

Ah, et avec quoi ?

Celui de l'opéra !

Vous êtes fou ! Tout le mal qu'on s'est donné pour que vous le démolissiez, et vous vous serviez de l'argent ! Mais vous n'allez pas bien !

Bon je me débrouillerais mais, on va mettre a collecter maintenant !


Ils repartirent.
--Clematine
Clematine une jeune fille, des yeux verts, des longs cheveux châtains.

Un soir, Clematine vint un soir sur les remparts.

Elle vint observer les étoiles.
Wu
Wu et Chabon, vinrent explorer les étoiles en portant un tas d'instruments.

Enfin les escaliers montés, il posèrent leur affaires.

Chabon, avez vous pensez à l'astrolabe ?

Non. De toute façon, l'astrolabe, c'est pour naviguer.

Grâce aux étoiles....


Wu commença à installer sa longue vue d'observation, puis, il regarda.

Oh ! S'écrièrent ils tout les 2 en chœur.

J'ai vu l'étoile du berger !

Mieux encore ! Regardez il y a une dame la-bas !

Wu tourna la longue vue, regarda, puis leva la tête .

Oh oui ! Allons la voir !

J'allais le dire !

Damoiselle ! S'il vous plaît !


Ils s'approchèrent d'elle, et se présentèrent.

Bonsoir, damoiselle, je suis Wu et voici mon grand ami Chabon.

Chabon bafouilla et sortit enfin un "Bonsoir"

Cette rencontre vous chamboule Chabon.... Dites nous damoiselle, qui êtes vous et d'où venez vous ?
--Clematine
La jeune damoiselle vit 2 individus s'approcher.

Elle commença à reculer, mais il était déjà devant elle.

Elle les regarda une à uns, l'un mis un temps à dire bonjour.


Je suis Clematine, Ravie ! Je viens de Touraine !


Elle leur sourit.
Irella
Nul part ailleurs, Irella n'avait arpenté autant les remparts qu'à Montmirail. Qu'il vente qu'il pleuve, qu'il neige, que le soleil écrase toute chose, munie de son bâton et d'un bouclier, elle avait guetté les entrées et les sorties du village. Ce n'est que quand elle fut diaconesse qu'elle avait renoncé à la défense. Ses activités à l'église, au presbytère et au séminaire ne lui laissait que trop peu de temps pour faire des rondes et des rapports.

Alors, quand cette fois encore, elle arriva en haut des marches, elle se laissa bercée par la brise printanière qui était particulièrement clémente cette année 1459. Les yeux fermés, elle écoutait les bruits du village. Elle s'approcha des créneaux et regarda la compagne. Dame nature s'annonçait prospère et fertile.
Le blé poussait bien et commençait à onduler, lui rappelant les vagues. Les vachères descendaient à la rivière, menant le troupeau à la baguette, dérangeant un faucon qui guettait depuis quelques temps déjà un terrier prometteur. Les "Han!Han!" des bûcherons s'entendaient à des lieux à la ronde.
Il lui vint l'idée d'aller à la porte qui donnait sur le chemin de l'enceinte.

Chemin de l'enceinte. Son premier logement à Montmirail. Elle sourit à l'idée de revoir cet endroit. Des remparts, elle pourrait voir le chemin, mais aussi le lavoir, près duquel elle avait fait tant de rencontres, tant de rire échangés, tant de souvenirs qui refaisaient surface tout à coup.

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Irella
D'un pas pessé, elle atteignit la tourelle S-W, celle qui donnait intramuros sur le chemin de l'enceinte. La première maison avait été la sienne. Pas bien grande, mais pour un écritoire, une paillasse, une besace de voyage, un bien peu de vaisselle,une malle, un luth et une copie du Livre des Vertus, elle était bien assez grande. Irella grimaça à l'idée qu'elle n'avait pas touché l'instrument depuis des lustres. Auparavant, jamais elle ne se serait séparé de lui.

De retour à Dieppe... reprendre le luth...

Les coudes calés sur un créneau et le menton posé dans ses mains elle laissait aller ses souvenirs. Elle sourit.

Tout à coup, comme si une mouche l'avait piquée, elle traversa le chemin de ronde pour voir le lavoir. Elle regarda au loin d'abord. La forêt regorgeait d'acacias en fleur, l'on pouvait sentir leur parfum jusqu'ici. Un regard en plongée sur le lavoir ne lui permettait pas de voir, à cause du toit qui rendait bien service en cas de pluie, si quelqu'un y lavait son linge. Le fil le l'eau lui semblait bien calme et lui faisait dire qu'il n'y avait personne.
Elle descendit les escaliers qui menait de la courtine à la rue intérieur, prit l'angle de la porte et en contre bas, le lavoir qui l'accueillait.

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