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Information and comments (1)
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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Seleina
Je n'dis pas le contraire et jvous retourne le compliment.

J'affirme juste et c'est en soi d'une logique imparable... Vous n'voulez pas non plus le comprendre... Que la comtesse ne peut être au four et au moulin et que pour qu'elle décide de ce qu'il est bon de faire, elle soit mise au fait des événements qui ont cours.

Or... J'estime pour ma part que la galanterie voudrait que c'soit votre capitaine qui se déplace et vienne quand on l'y convie.

Je n'crois pas que ce soit à la Comtesse de le faire, si ? Vous seriez de bien mauvaise foi si vous affirmiez le contraire.

Il me semble que c'est le capitaine qui est sous ses ordres et non l'inverse et qu'elle est bien en droit de décider du lieu où elle pourra entendre ce qu'il aura à dire.



Rétorqua la brune, sans se démonter le moins du monde.
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Attila_caligula
- Têtue, je ne m'étais point trompé.

Il y aurait beaucoup à dire, les arguments de la Procureur n'étant que des arguments, donc discutables. Mais le vicomte pense que le message est passé, et il prend congé en saluant.
Seleina
La brune posa ses ambres sur les bottes crottées du Vicomte. De la terre et des feuilles mortes collées aux semelles.

Il avait du faire une balade en forêt.



Faites nettoyer vos chausses parait qu'c'est un signe extérieur de richesse intérieure ou quelque chose du genre.

Ou pas...


Se tournant vers Mirdan, elle ajouta.


J'vais voir c'que j'peux faire pour vous. Vous comprendrez bien que je n'puis vous délayer le fond de ma pensée comme je viens de le faire à l'instant concernant ce leu improbable...

Pensée qui n'engage que moi...



Repartant dans les méandres du château, elle alla exposer toute l'étendu du désarroi du sieur bourgmestre au conseil, non sans avoir ordonné poliment que l'on nettoie le sol de la salle souillé par la terre.
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Frycek
Gentes personnes du Conseil,

je me permet ici de vous poser question


je suis venu m'établir a Rochechouart mais je fut brigander par Agio juste avant mon arrivée ....

Le procès a eut lieu, Agio a été condamné !


toutefois je pose juste la question de mes biens qui ont été dérobés ... es-je espoir de pouvoir les recouvrer

merci de répondre à un sujet redevenu humble paysan


cordialement a tous
Seleina
Elle avait sa réponse. Pressant le pas, elle rejoignit le blond barbu.

J'ai ici quelques éléments de réponse... Quelques conseils quant à ces soucis que vous exposez ici...



Pour le bois, il vous suffit d'en acheter davantage à la foire Comtale si vous en manquiez. Il est vrai que des soucis d'approvisionnement peuvent surgir. Régulez peut être plutôt cette marchandise par le biais de contrats-mandats ? Mettez en place des échanges avec les villes forestières, la province limitrophe ?

Concernant le fer demandez au Comté, il vous en fournira quand vous en aurez la nécessité.

Vous pouvez aussi mettre en place ces mêmes contrats avec vos forgerons pour leur octroyer du fer si vous voulez à tout prix réguler et cette marchandise afin que la redistribution soit équitable... C'est ce qu'ont l'habitude de faire nombre de vos collègues bourgmestres. Personnellement je serais partisane de fournir le marché en conséquences et de veiller à ce qu'il n'y ait pas de pénurie. Au pire si vous voyez qu'un gars abuse et plombe le marché y a toujours un recours possible en justice, c'est un acte passible de trouble à l'ordre public.

Un marché idéal ça n'est pas le moins de mouvements possibles. A restreindre ainsi vos administrés aucune relance n'est possible. Qu'ils consomment, il suffit de veiller à ce qu'ils ne manquent pas des matières premières. C'est en partie ce pour quoi l'on vous a élu je crois.


Dites une question ? Vous êtes sûr que l'on dit rochechouardais ? Rochechouart se terminant par un t... Enfin pardonnez, je m'égare.


Se tournant vers le jeune homme à qui elle avait déjà eu affaire, la brune ajouta :


Hélas, il me semble bien difficile d'imaginer que vous puissiez récupérer vos biens... Le bougre les a planqués et bien planqués... On a tout essayé... La torture n'y a rien fait... On l'a écartelé... Enduit de miel et déposé près d'une fourmilière... Des chiens lui ont lêché les pieds... je lui ai même chanté une chanson, c'est pour dire... Le type est coriace... Il n'a pas pipé mot sur l'endroit de sa planque... Et il a purgé sa peine... J'suis navrée, mieux on n'pouvait pas faire.
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Mariealice
On prend la même et on recommence.

Bonjour, c'est encore moi. La Reine ayant annoncé une levée de ban pour le DR, pourrais-je savoir jusqu'à quand celle du Limousin est prévue.

Citation:
De nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Reine de France,

À tous qui la présente annonce entendront ou liront,
À tous les nobles du Domaine Royal,
Aux Ordres royaux de France,
À tous les fidèles serviteurs de la Couronne,

Salut !

Face aux menaces pesant sur notre Comté du Maine & notre Duché d'Alençon, nous proclamons la levée de notre ban en Domaine Royal.

Qu'ainsi, tout noble vassal de notre personne en Domaine Royal, Ile-de-France comprise, ainsi que tout Ordre ayant juré nous servir, est tenu de contribuer dans les meilleurs délais à la défense du Comté du Maine & du Duché d'Alençon ;

Que seront excusés ceux qui contribuent déjà et pour l'avenir, au sein d'une province royale, à sa défense, pour ce qu'on ne saurait affaiblir les défenses de notre Domaine par cette levée de ban ;

Que les femmes & hommes concernés par la présente levée de ban sont invités à prendre leurs ordres auprès de la Connétablie de France.

Fait à Alençon, le 15 février de l'an d'Horace 1459.

B.d.C.


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Seleina
La brune avait été appelée par Théodule, le préposé à la salle d'audience. Elle lui avait explicité qu'il était primordial qu'une personne de confiance vienne la prévenir si quelqu'un demandait audience. Ce qu'il fit non sans une certaine morgue liée à l'importance qu'il accordait à sa fonction :

Madââââme... Y a une noble qui se trouve en salle d'audience entrain de poser une question d'importance... Ca concerne la levée d'ban.

Hum ? Fort bien, j'arrive.


Arpentant le couloir qui la menait de la procure à ladite salle, son visage s'illumina à voir la licorneuse.


Bonjour Marie...
L'on vient de m'informer de ta question...
C'que je puis te dire, c'est que nous sommes entrain d'en délibérer et qu'une réponse devrait être donnée très rapidement. Nous restons prudents et vérifions que toute menace est bien écartée, ce qui, tu t'en doûtes n'est pas une mince affaire. Prudence est mère de sûreté...

Mais dis-moi ...C''la fait longtemps que tu es arrivée ?
A quand le plaisir de te croiser en taverne ? Je crois d'après ton courrier que ça ne sera encore pas pour tout de suite...
Comment va Flaiche ?
Comment vas-tu ?
C'est une joie de te voir...



Une légère retenue l'empêcha de venir étreindre la jeune femme. C'est qu'elle ne l'avait croisée ni vue depuis si longtemps.
Et ce lieu ne se prêtait guère à ce genre d'échanges.

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Mariealice
Sourire en voyant la brune et oreilles grandes ouvertes.

Bonjour Seleina. Non je sais que la sécurité n'est pas une mince affaire pour y avoir veiller et le faire encore.

Moi je vais bien merci. Flaiche également. Et je doute en effet que nous venions jusqu'à Limoges. Moi du moins. Dès que je serai libérée, je devrai rejoindre le DR.

Et toi? Quelles nouvelles?

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Attila_caligula
C'est tout à fait fortuitement (bien entendu) que le turbulent vicomte traîne ses guêtres dans les environs. On dit que les Licornes vont partir. Non pas qu'il va les regretter, ces bêtes à cornes sont du bétail, au mieux des proies.
Mais la double Levée de ban, de la reine et de la comtesse, soulève quelques problèmes techniques. Rentrant d'un râclement de gorge dans la conversation, le Leu attaque:


- Mes dames, il va falloir tirer ceci au clair. Les Licornes sont tenues de répondre à l'appel royal, elles sont là pour ça, n'est ce pas? Mais alors qui prime sur leurs devoirs? La reyne ou le comté? Je gage que la Reyne est plus haut qu'une Comtesse, même celle ci. On devra donc estimer que les Licornes nous abandonnent. Alors même que personne n'est foutu de dire si le Limousin craint quelquechose, s'il y a jamais eu quelquechose à craindre, du reste.

Enfin derniere chose.
(il se tourne vers la Licorne)
Dame Sindanarie nous fait l'honneur de se présenter aux elmections. Va-t-elle prendre aussi la poudre d'escampette? Je suppose que ce n'est pas une décision personnelle, c'est pourquoi je vous la pose, qui êtes là pour me répondre. Elle a des devoirs qui se contredisent, lesquels doit elle remplir? L'appel Royal? Le ban Limousin?
Pour conclure est il normal de voir une licorne (affidée au trone de france comme chacun sait) se présenter aux elections comtales, alors que nous ne sommes pas en Domaine Royal, n'est ce pas remettre la politique du Comté en deça des intérêts du Domaine Royal? Sitôt élue, ne va t elle pas envoyer nos maigres ressources au secours d'un duché malade et gouverné par des incapables alors que nous avons deja si peu?

Je suis suspendu à vos lèvres car la réponse me semble importante.
Mariealice
Tiens, un Leu. Sourire en coin.

Lorsque la Licorne est mobilisée, tous ses membres ne répondent pas forcément. Un parce qu'ils peuvent être loin et que le temps qu'ils arrivent, ils ne serviront à rien. Deux parce que certains peuvent être bloqués chez eux pour une raison ou une autre. Ainsi si moi je pars, parce que vassale directe de Sa Majesté, il peut rester des Licornes sur place.

Pour le reste, Sindanarie saura répondre.
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Seleina
Oh un leu... Bien le bonjour Vicomte.

Répondant à son tour parce qu'elle n'avait certes pas la langue dans sa poche, la porte parole provisoire ajouta :

Et puis sur le pli que m'a montré Marie, j'ai pu lire ceci :

"Que seront excusés ceux qui contribuent déjà et pour l'avenir, au sein d'une province royale, à sa défense, pour ce qu'on ne saurait affaiblir les défenses de notre Domaine par cette levée de ban ".

Certes le limousin n'fait pas partie du DR... Cependant il se veut pro royaliste... Du moins jusqu'aux résultats des prochaines élections.

J'ose espérer que c'la compte aux yeux de notre reyne.

Puis, imaginez tout de même que si la levée de la levée de ban n'a pas encore été signifiée, c'est que la menace persiste. A savoir maintenant si nos effectifs seront suffisants pour y pallier ou non, c'est bien ce que nous sommes entrain de voir. Il en va de la sécurité de la province, il ne faut pas l'oublier.



Avisant Hyppolite, elle lui demanda discrètement de faire Mander dame Sindanarie afin que celle-ci puisse défendre ses intérêts face au redoutable Vicomte.

L'on vit alors un majordome survolté quitter la pièce, jurant ses grands Dieux que l'on ne l'y prendrait plus.

Plus tard dans la soirée, un verre de prune offert de bon coeur lui donnerait un nouvel allant. Mais pour l'heure, sa mission était de quérir la Carsenac.

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Frycek
Gente dame seleina,

je vous suis fort gré de votre réponse et de vos efforts !!!!!!!

il fut dommage que de ardent travailleurs qui labeurents sans cesse pour gagner pitance soit a la merci de ce genre d'individu ... a se demander si etre brigand n'est pas plus rentable

merci a vous dame seleina, je reprend mon dur labeur
Seleina
En apparté à sieur Frycek, qu'elle salua d'un sourire chaleureux :


Je n'saurais vous conseiller de suivre le même chemin... Et vous engage à n'plus voyager seul, vous éviterez ainsi bien des désagréments, foi de moi...

A votre service et bon courage à vous
.

S'inclinant, légère, elle se tut.
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Sindanarie
La mésaventure de la bouteille d'encre était une grande classique dans les bureaux, en particulier quand on se trouvait dérangée en plein milieu de son travail par deux ou trois coups savamment appliqués sur le battant de la porte fermant ledit bureau. Et son résultat n'était pas moins classique : on mettait de l'encre partout. Absolument partout, ou peu s'en fallait. On s'en mettait sur les mains et sur les manches, bien sûr, mais on l'étalait surtout sur le feuillet que l'on était en train de noircir et sur la table de travail. Bref, après avoir provoqué cette cataclysmique réaction, Hyppolite put expliquer le motif de sa venue à Sindanarie. On l'attendait en salle d'audience du Conseil. S'essuyant hâtivement la main dans un morceau de chiffon laissé à portée de main en cas d'accident de ce genre, la conseillère se leva puis suivit l'envoyé de Seleina.

Sur le chemin, le brave homme se mit à expliquer en long, en large, en travers et par le menu ce qui motivait son intrusion dans l'antre de la Carsenac. "Et là, le Vicomte a dit..." Résumé des questions, interrogations et scrupules du Leu. "Et là, Sa Seigneurie..." "Marie Alice ?" "Oui, Sa Seigneurie..." Résumé des propos de la vicomtesse Errante et Grand Maître de France. Hochement de tête de la jeune femme. "C'est tout ?" "Bah oui, la Proc' m'a dit d'venir vous chercher là-d'sus." Dernier hochement de tête. Sa réponse s'agençait déjà, même si un petit quelque chose sur lequel elle ne parvenait pas à mettre le doigt la gênait légèrement, comme un caillou dans une botte. Sur ce dernier signe d'acquiescement, elle arriva dans la salle d'audience pour s'y trouver à bien plus de monde que de coutume. Un sourire lui échappa. C'était plutôt bon signe. Et du monde qu'elle connaissait, en prime. Quel bonheur... Elle commença donc par un allègre :


Marie, Seleina, Vicomte, Maistre, le bonjour.

Se tournant vers le Leu, la Carsenac reprit :

Il semble que vous avez quelques questions au sujet de la réaction de la Licorne, et des Ordres royaux en général par extension, et que ces questions vous amènent à vous interroger sur ma future présence en Limousin... Vous m'en voyez fort touchée.

Quoi ? Un brin d'ironie ne fait de mal à personne, si ? Sindanarie ne s'appesantit pas sur de telles considérations mais, sûre de son fait et de la mémoire d'Hyppolite, continua :

Pour vous répondre plus directement, l'allégeance première de la Licorne va au souverain de France. Cela signifie, vous vous en doutez, la servir et la défendre aussitôt qu'elle ou que ses vassaux du Domaine royal font appel à l'Ordre. Cependant, chaque membre de la Licorne fait savoir s'il participera ou non à la mobilisation quand celle-ci est déclarée. Il est chose courante que plusieurs membres de l'Ordre ne participent pas à une mission spécifique, ou ne la rejoignent qu'alors qu'elle est déjà entamée, voire presque achevée. Certains membres de la Licorne sont même Hérauts d'une province et, comme vous le savez, les Hérauts sont tenus de ne pas prendre les armes hormis pour défendre leur propre province. Vous conviendrez donc que je pourrais, après neuf ou dix mois de mission, prétendre à un peu de repos en Limousin.

La jeune femme s'arrêta un instant. Un très bref instant, le temps de reprendre son souffle et de ne surtout pas laisser le Vicomte en caser une. Une grande inspiration plus tard, elle repartait :

Maintenant que ces points de fonctionnement sont éclaircis, permettez-moi d'en venir au point qui a probablement déclenché vos questionnements. La levée de ban de Sa Majesté... Comme vous pouvez le lire dans l'annonce diffusée, elle demande à ses vassaux du Domaine royal et d'Ile-de-France ainsi qu'aux Ordres royaux de participer à la défense du Maine et de l'Alençon. Elle n'en demande pas la mobilisation exhaustive. Par ailleurs, vous noterez qu'elle appelle à une contribution. Or il est maintes sortes de contributions, n'est-ce pas ? Financière, en hommes, en biens... Pour votre information, je compte ravitailler mes Frères et Soeurs de la Licorne en sacs de maïs. Goutte d'eau dans l'océan, me direz-vous, que n'y allez-vous vous-même ? Ils ont plus besoin d'hommes que de maïs ! Ce n'est pas tout à fait exact, vous en conviendrez, car il faudra bien que les troupes venues en renfort des deux provinces en difficulté se nourrissent. Mais passons.

Sur ces mots, et sur une nouvelle inspiration, la jeune femme reprenait, un léger sourire aux lèvres :

Quand j'ai pris la décision de faire enregistrer au castel une liste pour les élections comtales, j'ai pris un engagement. J'irai au bout. Mes supérieurs de la Licorne sont au courant de cet engagement, et je leur ai fait savoir que je contribuerai en nourriture à cette mobilisation, à défaut de les rejoindre. Je crois que vous avez aussi mentionné des engagements contradictoires... Eh bien, tant que le ban n'est pas levé, je reste à la disposition du Limousin, puisque Sa Majesté appelle ceux qui défendent déjà une province à ne pas la dégarnir. Quant à une dernière interrogation qu'Hyppolite m'a rapportée, j'avoue être surprise. De quel droit enverrais-je ou ferais-je envoyer des ressources que le Comté n'a pas au secours de l'Alençon ou du Maine ? Là encore, je doute que Sa Majesté, à laquelle nous devons tous obéissance en tant que sujets mais également, dans votre cas comme dans le mien, en tant que vassaux d'une province du Royaume de France, veuille affaiblir une province qui lui prête allégeance. J'espère que cela vous répond...

Un déclic. Voilà, c'était ça, le petit détail qui la turlupinait allègrement depuis le début. En hâte, avalant presque sa première phrase, Sindanarie reprit :

J'ai juste une question toute bête à vous poser, à mon tour. Si c'est ma participation aux élections, en tant que Licorneuse, qui vous a amené à vous questionner, pourquoi ne pas être venu me le demander directement, soit là où la liste a affiché son programme, soit directement, en privé, pour être sûr de mes intentions ? Que je sache, je suis la seule conseillère concernée, cela ne nécessitait peut-être pas une intervention en salle d'audience.

Un léger sourire vint ponctuer la fin de sa tirade. A la fin de l'envoi ?
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Vladilir
Vlad profitait de son passage à Limoges pour venir se rappeler au bon souvenir du Limousin. Saluant Sindanariequ'il avait grand plaisir à recroiser, il découvrit le vicomte de Saint Pardoux qui continuait à semer en ces lieux sa fraiche et finalement agréable zizanie.

Bonsoir Sindanarie, heureux de te revoir,

Vicomte, la bonne soirée à vous

Marie-Alice si je m'attendais, cela fait un certain nombre de saisons également que nous ne nous somme plus vus, j'avais appri ta présence à la défense contre l'ennemi fantôle mais je n'ai pu venir te saluer, nous étions bloqués sur les remparts de Tulle


Puis s'adressant à la porte parole qu'il ne connaissait pas mais qui semblaitavoir la langue bien pendue et réponse à tout et surtout à ce qui lui était étranger :

Bonsoir, bonsoir,
Je me permets de me présenter puisque cela n'a pas été fait jusqu'à présent : je suis Vladilir, seigneur de Naves et suis comme de nombreux nobles limousins en ces lieux poour cause de levée de ban ; mais ce n'est pas ce sujet qui m'amène en ces lieux.

A Tulle les habitants s'inquiètent que personne n'aitvu la comtesse depuis fort fort longtemps, certaines mauvaises langues prétendent même avoir vu passer des embaumeurs italiens.

Ôtez moi d'un doute il ne serait pas arrivé malheur à notre comtesse ? Néanmoins cela expliquerait un tel mutisme de sa part, puisque nous n'avons plus de nouvelles de sa part.

Si un tel malheur venait à se produire ou s'est déjà produit, je me permets de vous proposer mes services en tant qu'ancien maire de Tulle pour y réaliser la quête en vu d'offrir à sa sépulture une couronne digne de son rang.

Merci de bien vouloir nous rasurer

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