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Information and comments (1)
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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Aymeric
Promenade obligatoire. Parait que c'est bon pour son rétablissement de marcher un peu, de respirer l'air frais et de faire des grimaces aux vaches. Il demanda à la nonne qui lui tenait le bras pour l'aider à marcher de faire un détour par la salle d’audience du conseil, il avait une missive à livrer en personne ; sauf qu'arrivé devant les portes, on lui parla de dératisation. La missive à la main, il patienta quelques minutes, mais pas une de plus.

Citation:
De Nous, Son Altesse Marzina de Montfort-Penthièvre, Prinsez Breizh,
A Vous, Sindanarie Carsenac ,Dame de Viac, et accessoirement Comtesse de Limousie,

Demat,
Si nous prenons la plume en ce jour, c’est pour vous entretenir de la façon hautement barbare que vous avez de faire respecter la justice sur le territoire que vous gouvernez. Nous sommes profondément attristée, en tant que princesse d’un pays barbare, que la Comtesse d’une contrée censée se trouver dans un pays dit « civilisé » se mette ainsi à marcher sur nos plates-bandes, en réglant les conflits à la pointe de l’épée. Vous me ferez remarquer que les normands aussi, ils aiment jouer avec leurs armées, que ce soit sur des bretons, des normands ou des françoys ! Oui mais eux, ils sont excusés, c’est à cause de la consanguinité, leur extinction est proche, oublions-les un moment.

Quelque part, vous pouvez bien poutrer qui vous chante, nous ne vous en tiendrons pas rigueur. J’ajouterais qu’il est mal de poutrer un duc breton, mais que celui-là nous ne l’aimions pas, nous ne vous en tenions donc point rigueur. Mais nous sommes fort contrariée que vous osiez non seulement amocher, mais aussi porter en diffamation notre tout récent fils, Aymeric de Vroklav, ou quelque soit la façon dont ça s'écrit. Certes, il est un peu vieux pour sortir du ventre de sa mère, que nous ne sommes pas d’ailleurs, mais il reste tout de même le petit-fils du Roy de Bretagne, par alliance.

Nous vous prions donc de le traiter avec les égards qui lui sont dus. Nous n’aimerions pas que les bretons nous fassent une nouvelle crise d’affection à l’égard de l’un des leurs, et ne viennent à nouveau épancher leur soif de sang sur vos terres. C’est que c’est difficile à contrôler, un breton assoiffé de sang, et comme nous ne sommes plus en guerre, le moindre prétexte est bon pour sauter sur une hache et hurler « Sus à l’ennemi ! ».

Des barbares oui. Nous sommes une princesse de barbares, une princesse barbare par extension, mais toujours pacifiste pour l’instant. Alors si vous aviez l’amabilité de nous laisser nos espérances pacifistes, en cessant de toucher aux précieux cheveux de notre presque-progéniture, et lui donner de quoi vivre –disons un bon millier d’écus, il apprend à vivre noblement- nous vous en serions reconnaissante, et trouverions un nouvel os à ronger pour nos guerriers assoiffés de sang. Comme une belle cargaison de chouchen, par exemple.
Tout dépend de vous, et du traitement réservé au jouvenceau.

En attendant de vous lire, kenavo !
SA Marzina de Montfort-Penthièvre,
Prinsez Breizh, et Maitresse de la Cour bretonne.


(Arpenteurs => [RP] Les conséquences d'incompétences)
Sindanarie
[Après avoir répondu à une princesse bretonne...]*

Après récupération de la missive amenée par le pas si invalide que ça Aymeric, réponse à destination de la Bretagne était partie, réponse qui ne relevait pas, dans un souci de diplomatie, les erreurs qui constellaient l'énoncé de la titulature de la Carsenac. Il lui restait à présent à faire le plus dur, à savoir aller présenter des excuses pour éviter de voir une nouvelle troupe fondre sur le Limousin. Mais c'était aussi l'occasion d'expliquer ce qui s'était passé. Les manquements, les ordres, les instructions, l'incompréhension. Alors, puisque la salle d'audience était, paraissait-il, en cours de rénovation, ce fut du balcon utilisé par son prédécesseur que la Comtesse fit mander le jeune Aymeric. Et bientôt, elle s'adressait à lui en ces termes, résumant finalement tout ce qu'elle avait à dire en quelques mots :

Aymeric de Wroclaw, au nom du Comté à la tête duquel j'ai été élue et reconnue, je vous présente mes excuses pour l'acte que vous avez subi. Sachez, cependant, que votre bastonnade a eu lieu contre mon ordre, en dehors des attributions de la Compagnie d'ordonnance du Limousin et de la Marche, et que je ne l'en regrette que davantage.

Pas besoin non plus de faire un long discours... Des excuses avaient été prononcées, c'était ce qui avait été demandé, et voilà. Et elle avisa deux, non, trois lettres manifestement déposées à son attention. Eh oui, aussi curieux que cela puisse paraitre, quand l'on écrivait au Conseil, ou quand on voulait des explications, c'était à elle que l'on écrivait. Pourquoi pas, cela dit, c'était elle qui devait tenir le gouvernail... Avec un soupir, elle ne put s'empêcher de penser, tout bas, si bas que personne n'aurait pu le lire dans ses yeux, sur son visage ou sur ses lèvres (et encore moins dans son esprit), "plus que dix-huit jours, vingt au plus". Deux réponses partirent donc bientôt, proche puisqu'au thème presque exactement similaire, et leurs destinataires respectifs purent chacun y lire :

Citation:
A Ephyael,
De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,

Respectueuses salutations.

    J'ai pris bonne note et connaissance de la saisine que vous avez déposée à l'attention de la Pairie et dont vous m'avez transmis copie. sachez, dès à présent, que le texte s'est basé sur un arrêté dont je vous transmets copie ci-après :

    Citation:
    Arrêt de règlement de la Cour du Parlement
    Concernant le bannissement et les personae non gratae.

      Attendu les quiproquos existants sur la notion de bannissement et les personae non gratae, définissons iceux dans le domaine juridique ;

      Ordonnons que la peine de bannissement, définie par le pouvoir judiciaire et d’une durée maximale de trois mois, ne peut être soumise que comme peine d’un procès ;

      Ordonnons que le statut de persona non grata, défini arbitrairement par le pouvoir exécutif, n’est pas un fait suffisant pour mener à l’ouverture d’une audience ;

      Conseillons de n’utiliser le statut de persona non grata que comme avertissement, nominativement, dans la défense d’un territoire et avec des conséquences militaires, dans l’aggravation des faits postérieurs à la définition dudit statut et dans l’interdiction de rassemblement conséquent.

    Le Chancelier de France a écrist,
    Le Parlement a ratifié.

    Fait le 27 juillet de l’an de grasce 1458, à Paris.
    Grégoire d’Ailhaud, Chancelier de France.


    Par ailleurs, la Secrétaire d'Etat nommée pour notre comté n'ayant émis aucune objection au sujet de ce texte alors qu'elle proposait elle-même conseils et avis lorsqu'il est question de droit royal au sein du Conseil, j'ai pris la liberté de supposer que le texte n'allait pas à l'encontre de ce droit.

    Sachez, au sujet de votre autre missive, que j'étudierai votre demande de grâce avec grand soin, mais qu'elle me semble en l'occurrence plus que justifiée. Réponse vous parviendra sous peu à ce sujet.

    En espérant vous avoir répondu à vos interrogations,

Fait à Limoges le quatorzième jour de juin mil quatre cent cinquante-neuf.








Citation:
A Antoinette Diane de Tartasse Mirabeau de la Rotonde, Vicomtesse d'Ayen, etc.,
De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche, etc.,

Respectueuses salutations.

    Votre missive ne pouvait rester sans réponse. A dire le vrai, le Conseil était partagé quant à cette mesure, même si une nette majorité s'est dégagée lors des votes en faveur de son adoption. L'approbation de six membres du Conseil s'est, je pense, basée sur le texte suivant :

    Citation:
    Arrêt de règlement de la Cour du Parlement
    Concernant le bannissement et les personae non gratae.

      Attendu les quiproquos existants sur la notion de bannissement et les personae non gratae, définissons iceux dans le domaine juridique ;

      Ordonnons que la peine de bannissement, définie par le pouvoir judiciaire et d’une durée maximale de trois mois, ne peut être soumise que comme peine d’un procès ;

      Ordonnons que le statut de persona non grata, défini arbitrairement par le pouvoir exécutif, n’est pas un fait suffisant pour mener à l’ouverture d’une audience ;

      Conseillons de n’utiliser le statut de persona non grata que comme avertissement, nominativement, dans la défense d’un territoire et avec des conséquences militaires, dans l’aggravation des faits postérieurs à la définition dudit statut et dans l’interdiction de rassemblement conséquent.

    Le Chancelier de France a écrist,
    Le Parlement a ratifié.

    Fait le 27 juillet de l’an de grasce 1458, à Paris.
    Grégoire d’Ailhaud, Chancelier de France.


    Par ailleurs, la Secrétaire d'Etat nommée pour notre comté n'ayant émis aucune objection au sujet de ce texte alors qu'elle proposait elle-même conseils et avis lorsqu'il est question de droit royal au sein du Conseil, j'ai pris la liberté de supposer que le texte n'allait pas à l'encontre de ce droit.

    Quoi qu'il en soit, le désormais bien connu Ephyael a déposé saisine auprès de la Pairie, qui sera amenée à se prononcer au sujet de cette loi si elle ne le renvoie pas vers la Grande Chancellerie de France. je prendrai de mon côté contact avec le Grand Chancelier pour recueillir directement son avis.

Fait à Limoges, le quatorzième jour de juin mil quatre cent cinquante-neuf.






[* Réponse dans le sujet ouvert aux Arpenteurs.]
_________________
Ephyael
Citation:
A la comtesse du limousin

Effectivement j'ai eu vent de cet avis que je qualifierais de contraire a l'esprit du legislateur c'est pourquoi j'ai saisie la pairie afin que nouvel avis soit donné .

Ce qui m'etonne le plus n'est pas que vous vous fondiez sur un avis plus que bancal juridiquement, nous pourrions tous autant que nous sommes tenir arguments allant à l'inverse de ce qui fut decidé , mais bien votre subtil revirement de pensée.

Nous avons vaillement defendu le droit a l'oubli, nous avons travailler sur la prescription dans le cadre du projet du REVE, j'avais meme a l'epoque de notre collaboration attiré votre reflexion sur le listing et ses dangers . Nous vous avais je pas assez mise en garde contre le sectarisme et regarder ce que votre loi fait !!!

C'est tout bonnement un delit de sale gueule que vous creer, aucune condition precise n'est fixé pour definir qui peut entrer ou pas. Que croyez vous qui va se passer lorsque retraite vous aurez pris ??? Des loups viendront vous remplacer et peut etre n'auront il pas les memes justesse que vous. Il feront ce que tous les loups ont faits ailleurs dans les duchés voisins et lointain. Ils eliminerons les adversaires un a un, et ca sera le dictat de la pensée unique.

Vous venez d'armer les fous et les dictateurs ! Je suis usé , usé de vous reprendre sans arret , d'etre la conscience de ce limousin que vous briser. Certains ne sont ni gentil , ni intelligent et encore moins respectueux. Regarder donc comment votre procureur agit et imaginez le comte avec une telle arme dans ses mains . Voyez vous comment le limousin peut tourner et tomber vers les limbes. Jamais un conseil n'aura plonger le limousin dans la detresse autant.

Notre armée se fait ridiculisez par des bretons, notre justice ne ressemble plus a rien, nos ambassadeurs sont insultés, meprisé, la communications est standardisé et ne ressemble a rien. Qu'avez vous fait de votre energie Sindanarie ? Votre volonté de changer le limousin et de remettre du lien entre tous s'est elle brisé sur l'horreur des malemorts et compagnie

On dit souvent qu'il faut avoir connu l'horreur pour apprendre a s'en mefier, alors peut etre que je suis bien placé pour la sentir et vous pas encore preparer a la voir

Ephyael,
Le 14 Juin 1459
Aymeric
Un valet vint chercher Aymeric au dispensaire. Sa première réaction fut de faire un large sourire à l'idée que la comtesse s'excuse, puis il demanda au valet de patienter. Les minutes passèrent, et le jeune homme prit un malin plaisir à prendre tout son temps pour se lever et passer un coup d'eau sur son visage plein de bleus. Le fonctionnaire ducal, lui, semblait mal à l'aise de faire attendre sa patronne. Son soulagement n'en fut que plus grand lorsqu'il s'arma de sa canne pour se diriger vers la salle de doléance où la comtesse l'attendait.

Votre Grandeur -voyez comme je fais des efforts dans le protocole-, j'accepte vos excuses. Les soldats du Limousin sont bien connus pour être des chiens enragés qui ne savent pas obéir et mordent tout ce qui bouge. Ce n'est pas votre faute, et je compte sur vous pour sanctionner le meneur zélé de cette bande de sadiques.

La provocation étant sa marque de fabrique, il lui adresse un sourire moqueur.

Vous me feriez un p'tit papier officiel avec votre sceau où vous me présentez vos excuses ? C'est pour ma collection privée. Et pendant que j'y suis, vous me feriez essayer le trône ? A moins que vous ne préfériez m'offrir une mèche de cheveux de cette chère Aldraien, en souvenir des vaches limousines ? En plus de mes 1 000 écus de compensation, bien sûr... Vous savez où me les livrer.

Il observe un instant la régnante, tout sourire, avant d'incliner la tête pour se retirer. Le son de la canne retentit dans la pièce à chaque pas.
Dhea
La dératisation avait bien avancé. Un chat avait même était alloué à la salle d'audience pour chasser tous les nuisibles, enfin ceux qui serait à sa portée, sinon il faudrait un bien plus GROS chat. La PP choisirait son nom plus tard...

De bon matin elle arriva devant les portes fermées de la salle suivie par moultes gens.
Elle ordonna à deux gardes de se placer devant la porte et d'en interdire l'accès temps que ses menus travaux ne seraient pas finis.

Pendant plussieurs heures on entendit des TOC TOC TOC BOUM BOUM BOUM AIIIEEEE nan mais t'es malade c'était mon pied !! Bougre d'idiot !!

Bref ça avançait plutôt bien. La PP était contente d'elle. Encore quelques petits agencements et ça serait bientôt fini.

En quittant la salle en travaux elle afficha un parchemin sur la porte
:

Citation:
Réouverture de la salle d'audience dès demain.

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Plus ne m'est Rien !!
Ephyael
Citation:
A la comtesse du limousin,

Une fois de plus je viens vers vous pour l'affaire qui concerne l'incompetence de votre procure actuelle. Je suis las de devoir vous rappeler cette triste affaire et suit en devoir de vous exhorter a enfin prendre vos responsabilités

Une fois de plus votre procureur n'a pas etais en mesure de presenter un acte d'accusation en bonne et due forme, il manque toujours la forme de signature et date qui se fait ainsi :
Ratou42, Procureur du Limousin
Fait le 30 mai 1459
Comme le fait si bien le procureur interimaire ratou42 dans ses differents proces.

De plus le voila qui lance un proces ou la victime est la juge seleina en se permettant le luxe de l'appeler en temoin. Nous ne pouvions pas tomber plus bas. Et qu'est ce que cet incompetent nous invoque comme excuse a sa debilité ???? Un caractere exceptionel !!!!
Mais je reve, comtesse vous avez dernierement changer de procureur , preuve que vous avez encore toute vos facultés et vos mimines pour changer de conseillé en quoi votre non volonté de changer une juge pourrais etre considerer comme un exceptionel.
Je crains que la procure est abusé de vin , le changement d'un juge fait partie des attribution courantes d'une comtesse, si vous ne souhaitez pas en changer pour ce proces libre a vous , mais que la procure ne nous oppose point l'heresie de considerer cela comme un element justifiant la mise en oeuvre d'une loi d'exception

Quoiqu'il en soit, la preuve est faite que les incompetences deja reprocher a Arnault ne sont ni effacer et surtout non comprise par ce dernier . Nous vous enjoignions de vous separer de lui le plus rapidement possible ou a defaut de lui apporter votre soutien public. Il devient lassant de laisser la justice avec cette indecision quand a sa procure. Soit vous decider que la justice doit etre bien tenu et vous virer Arnault, soit vous le maintenez publiquement et en assumerez pleinement ce choix c'est a dire que vous serez tout autant responsable de ses erreurs

Ephyael,
Le 16 juin 1459
Victorine
Victorine, qui faisait le tri dans le courrier de la Comtesse, (en tant que conseillère n'était-ce pas de son devoir !) tomba sur la lettre de l'insistant Ephyael. Du coup, elle s'installa dans un fauteuil confortable, faisant bouffer ses robes blanches et roses de Merveille à son papa, et lut plus attentivement. Car oui, c'était pas le tout de parler de lui et de le traiter de fou puant et de prédicateur de pacotille, il fallait aussi se renseigner sur l'avancée de sa réflexion.

Et il avait bien avancé et devenait presque crédible.
Et la Comtesse était fatiguée en ce moment, irritable et fragile. Elle avait même fait des excuses à Aymeric, c'était pour dire ! Il était donc du devoir de la jeune conseillère de la mettre en garde :


Comtesse, il y a ce pli pour vous. C'est lassant ces gens qui ne sont pas qualifiés et se mêle de la justice. Vous devriez l'envoyer à la Cour d'Appel, qu'il y trouve un emploi.

Je jette ?


Le coude posé sur le bras du fauteuil, elle chiffonnait déjà la lettre.
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Dhea
Les travaux étaient finis et la salle allait de nouveau être réouverte.
Quelques petits aménagements avaient été faits. Dhéa en entrant dans la nouvelle salle vit sa Ptiote Fillote instllée dans son coin douillet. Bah oui tant qu'à faire autant avoir un coin douillet vu que le PP est sensé rester attacher à la salle d'audience comme un boulet au pied d'un priosoonier ou comme certains conseillers étaient accrochés à leur poste façon moule de bouchot.


- Oh mais dites donc !! Victorine comment avez vous fait pour vous glisser ici ? Vous en pensez quoi de ce nouvel agencement ? Quelle filoute, une vraie Ysengrin pensa Dhéa.

- Oups Comtesse je ne vous avez pas vu. Ca vous plaît ? Ne vous inquiétez pas, en tant que ma secrétaire je vous ai fait aménager un bureau. Grand sourire angélique en direction de la Comtesse.

Petit état des lieux après nouvel agencement : de la porte d'entrée il y avait une sorte de labyrinthe. Des piquets en métal avait étaient disposés jusqu'au milieu de la salle avec un cordage autour pour délimiter le parcours à suivre. Nulle échappatoire, nul moyen de feinter le labyrinthe.
Deux gardes étaient postés à l'entrée et avaient reçu instructions pour afficher les horaires d'ouverture, pour dire kikipasse et kikipassepas et pour distribuer un petite parchemin avec un numéro. Pas de numéro pas d'accès à la PP.

Sourire de la Vicomtesse au carré, elle était fière de la salle d'audience.


Nouvelle affiche avec les horaires du jour :
Citation:
Salle ouverte de 22h à 23h45 ce jour.

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Plus ne m'est Rien !!
Erabal
se présente devant la salle d'audience... deux grosses baraques qui gardent la porte...

Messires, je désire rencontrer la porte parole du conseil si cela est ... possible-permis-autorisé... je viens sans arme ni violence, je ne suis qu'un habitant de Limoges... un numéro s'il vous plaît ?
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Victorine
Oups, voila la directrice des travaux, la décoratrice en chef, l'inventeuse de pièges et de trappes secrètes. Et Victorine ne devait pas être ici. Oui mais c'est pas moi, c'est la Comtesse qui a commencé !

Oh bonjour Mère-Grand.

Et hop, la voila qui se dresse sur ses petites pattes, vive comme l'éclair et fait une courte révérence à la doyenne des Ysengrin. En réalité une jeune louve qui aurait mis la charlotte de mémé, mais chut, faut pas le dire.


Vous êtes ingénieuse, c'est ce qui s'appelle filtrer.
Bon, il faut juste que je trouve le moyen de sortir maintenant moi ...

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Sindanarie
Faites voir ?

Ce fut tout ce qui répondit au froissement un peu prématuré d'une missive, que la Comtesse récupéra au vol. Sans surprise, elle reconnut l'écriture de son plus grand pourvoyeur. Il faudrait qu'elle prenne le temps de compiler tous ses sujets de mécontentement et de lui faire une réponse circonstanciée... Sauf que du temps, elle n'en avait guère. Malheureusement. D'où la nécessité, qu'elle peinait à admettre, de se reposer sur ses conseillers. Elle qui avait l'habitude de faire cavalier seul en cas de grosse charge de travail se rendait progressivement à l'évidence et commençait à accepter de ne pas tout contrôler. Bref, en s'arrachant à ces considérations, la Comtesse répondit simplement à l'Ysengrin petite-fille :

Oh, encore lui. Très bien. Je m'en occuperai.

Et là dessus, devinez ? Arrivée de la Porte-parole, fraiche et pimpante ! La tentation fut trop forte, et la Carsenac répondit, se levant :

Vicomtesse, votre propre bureau n'a pas bougé. Cela dit, maintenant que vous êtes ici, je vous saurai gré de répondre à toute question qui pourrait vous être posée. Ne rechignez pas, vous y êtes...

Sourire angélique à son tour, puis...

La Chancelière m'attend. Au plaisir de vous revoir dans les locaux du Conseil ou ici-même.

Et la jeune femme fila vers des préoccupations mainoises, auvergnates ou bourguignonnes. Les bonheurs de la diplomatie...
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Erabal
debout, buste droit... jambes très légèrement écartées... soutenait la position des gardes et n'avait pas bougé d'un poil depuis... un temps certain. Il attendait que l'on daigne lui ouvrir la porte de cette salle d'audience. Un lieu d'échange entre les habitants et le conseil ; lieu fermé depuis un moment ; échange nul dépit un.
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Dhea
Pas vraiment au fait des nouvelles directives les gardes avaient bloqué le passage. C'était cette histoire d'horaires encore une lubie de la Ysengrin. Fallait avouer qu'il sétaient tous...bizarres dans c'te famille.
La personne qui demandait audience ne bougeait pas. Finalement, un garde lui tendit un bout de papier avec un numéro dessus : 1.


- Allez zi c'est bon, vous pouvez passer. 'ttention juste euh...au parcours une fois entré.
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Plus ne m'est Rien !!
Erabal
Debout, un léger picotement dans le mollet droit... ouvre un oeil... ah oui... faculté à dormir debout... non, pas possible, les chevaux ont cette faculté à bloqué leur rotule et garder leurs pattes droites pour dormir et ne pas tomber du fait du relâchement musculaire... Il baisse la tête et voit le sol, il n'est donc pas tomber... voit ses peids et pas des sabots... tout va bien, il n'est ni chaval, ni centaure...

Ouverture du deuxième oeil... ah... un garde qui temps un bout de vélin avec un numéro dessus. On l'aurait remarqué donc. Passe la porte et entre, et suit le conseil du garde...

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Arthaud
]Arthaud arriva passablement énervé en salle d'audience du conseil, duexième fois qu'un brigand ayant pillé ou pris par la force la ville était relaxé . La première fois cela ne l'avait guère étonné sachant qui était comte mais cette fois ci. elle ne savait si on la refoulerait pas mais elel s'en moquait [/i]

« bonjour je me presente devant en tant que representante des gueretois .j'aimerais avoir une explication sur le jugement qui a ete rendu pour la personne qui a pris la ville de guéret par la force et qui vient d'être relaxé pour je ne sais quel obscure raison . J'aime beaucoup le message qu 'on envoye au brigand là .prenez les villes vous n'auriez rien sachant que c'est la deuxieme fois que cela arrive .est ce une raison politique ,un arrangement avec la bretagne ?

Les guérétois ne sont pas ravis et je pèse mes mots car là non seulement pendant uen semaine ils ont subis le joug breton et toutes les conséquences que cela a pu avoir sur la vie quotidienne mais là on leur signifie par ce jugement que ce n'est pas grave et que le comté se fout royalement de ce qui leur est arrivé .

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