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Information and comments (1)
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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Dhea
Le garde écouta la bourgmestre de Guéret faire son laius.
Il lui tendit un petit bout de parchemin avec le numéro : 2 inscrit dessus.


-Entrez. Ca sert à rien de me raconter vot' histoire, j'suis planton moi. 'Ttention au labyrinthe Ysengrin... Et 'ttendez vot' tour et n'oubliez pas de donner votre parchemin.

[Dans la salle d'audience]

Affalée à son bureau, les jambes posées dessus la PP, débordée par le travail pionçait. Quelques peu encombrée des voix respiratoires du haut, comprendre le nez, quand elle respirait on pouvait voir une petite bulle se former.
Marmonnement, grommèlement. C'est pas super confortable pour dormir son fauteuil. Elle essaye de réajuster sa position et pour le coup se réveille.
Clignements et frottage des yeux. Elle aperçoit une ombre en train de suivre le cheminement tortueux de son labyrinthe. Oups, un viciteur se présente.


- Oh, Erabal quel plaisir de vous revoir. Quel bon vent vous emmène ?
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Plus ne m'est Rien !!
Arthaud
bon on la laissait passer mais elle devait patienter .Elle espérait pas trop longtemps car premierement elle avait autre chose à faire et deuxiement ruminer risquait d'augmenter sa colère .Elle n'était pas du genre patiente
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Erabal
Foutu bordel ce truc ! c'est quoi ce délire ?!

c'est quoi ce labyrinthe ? On est pas en Grèce ! 20 minutes pour parcourir la salle d'audience... on a que cela à faire pour aller demander audience... Il aperçoit enfin le bureau de la Porte Parole qui pionce allégrment... regarde à nouveau avant de crier un bon "Garde A vous" histoire de faire bouger la dame... mais ... non, loupé, elle s'est réveillée. A la sortie de ce P.... de .... B .... de Mer.....credi de labyrinthe à la C...

Bonjour Dame Dhéa, j'espère ne pas vous déranger, cela m'embêterait grandement...

voix emprunte d'ironie, non dissimulée non plus dans les expressions de son visage, c'est qu'il pourrait être bon comédien le bougre.

Je sollicite une audience auprès de la comtesse concernant la sécurité de ce comté. Vous voudrez bien, Dame Dhea, me tenir informée, j'attends ici.

Et le revoilà à faire la sentinelle, le planton, l'arbre qui s'enracine... oui, aussi.
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Sindanarie
Votre Grandeur, on demande à vous voir en salle d'audience.

Un soupir et un hochement de tête en guise de réponse au page qui venait de l'avertir. Au final, le monde qui sillonnait les couloirs du castel et des divers lieux consacrés au travail du Conseil s'était habitué à cette manière peu expansive de signifier qu'elle se rendrait le plus rapidement possible au lieu où on la demandait. Le soupir, cependant, était un élément nouveau, fruit d'une certaine lassitude de la Comtesse. Quand on donnait des réflexes comme demander à ne voir que le régnant, il fallait en recevoir le retour de bâton. Qu'importait. Il fallait tenir, elle tiendrait. Et, dans cette optique, elle se rendit en la salle où on l'attendait. Un léger sourire se peignit sur ses traits quand elle reconnut l'ancien Commissaire aux mines, et elle le salua simplement :

Erabal, le bonjour. Que me vaut le plaisir de ta visite ?

Ce ne serait probablement pas un plaisir. Et, en son for intérieur, de se demander ce qu'on allait encore lui reprocher. Vu l'humeur de dogue dans laquelle l'avait mise une certaine mésaventure bourguignonne, l'argumentaire avait intérêt à être bon.
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Erabal
Voyant la comtesse arriver à sa hauteur, détend la position et incline la tête respectueusement pour saluer Sindanarie.

Bonjour à toi Sindanarie. Une simple question en fait m'amène à toi. J'ai, en tant que lieutenant, deux affaires en cours en salle judiciaire. Je crois que les dossiers sont sur le bureau du procureur. Je vais être franc et direct : il fait quoi Arnaut ? il te tient par un couteau sous la gorge pour qu'il soit toujours à ce poste ?
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Ephyael
Il doit juste coucher avec je vois que ca sinon elle a perdu la tete
Erabal
ayant cru entendre parler quelqu'un... se retourne et fait le tour de la pièce du regard... non... juste la comtesse et lui... passons. Attends une réponse de la Comtesse du Limousin, ou de Sindanarie... pour le moment, elle ne font qu'une, même si sa question s'adresse à la régnante sur le comté.
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Ephyael
* ce qui a de bien en pensée cest que tu peut pensé sans pensé aux autres qui pourrais pensée , ou encore tu peut creer tout un monde imaginaire sans que les autres reagissent
La pensée c'etais bien mais en abuser ca crains

Ephyael ne sut jamais pourquoi il eut cette pensée en cet instant mais il l'eut . Observant a son tour la piece , Ephyael y vit un lapin blanc qui courait avec une petite fille a ses trousses . L'homme pensait qu'il falait rapidement abbatre la fille qui menacais l'animal

Enfin soit , l'artiste au verbiage deplacé squattais encore la salle du conseil dans l'espoir d'obtenir reponse a sa demande legitime de grace mais egalement sur le cas d' Arnault

Apres tout restais encore 12 jours a la poupée barbie pour bouger ses fesses et sauver son honneur bien qu' ephyael douta en cet instant de sa volonté de faire avancer les choses . Une gourdasse ca reste une gourdasse, meme si la politique realité l'avais propulser a la tête de la ferme Celerité en prime time sur la chaine du Limousin.
A defaut d'avoir une reponse, secretement il esperais que la pin up laisse trainé au moins son decolleté sous les yeux ebahi du spectateur histoire de chopper quelque vote pour devenir la star abrutis du siecle

Car pour l'instant fallais plutot avoué que le limousin c'etais plutot secret de connerie qu'autre chose mais bon l'espoir demeurais ou demeuré c'etais selon*
Dhea
Petit page avait été chercher la Comtesse quand Erabal avait dit vouloir s'entretenir avec elle. Celle-ci était arrivée et ils discutaient à présents tous les deux.
Discrètement la PP fit un signe à Erabal pour lui demander de déposer son parchemin dans la corbeille posée sur le bureau.

Grand inspiration
:

AU SUIVAAAANT !!!
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Plus ne m'est Rien !!
Erabal
Erabal laissait la Comtesse réfléchir encore un peu... Il respectait cette dame, elle le savait. Ils n'avaient peut être pas les mêmes idées sur tout, ni les mêmes approches des choses... qu'importe. Là, il s'adressait à la personne régnante sur le comté, la garante des institutions limousines... du bon déroulement de la justice. Elle n'était pas procureur, ni juge. Elle est simplement et, de manière opposée, surtout Comtesse.

Il dépose le petit morceau de parchemin sur lequel il avait eu un numéro... pour obtenir audience... passons... il attendrait sa réponse, quelle qu'elle soit. Le silence... ne vaut rien et n'a aucune signification.

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Sindanarie
Hochement de tête de la Carsenac à la question d'Erabal. La quetion qui fâchait... Et, pendant un temps qu'elle ne parvint pas à évaluer, elle tenta de se remémorer les dossiers qu'elle avait vu en attente lors de son dernier passage dans la salle judiciaire. Qui ? Mais qui ? C'était le blanc, ou le noir. Rien ne remontait la surface de la mémoire pourtant, bien souvent, extrêmement fidèle de la jeune femme. Ce fut le mouvement d'Erabal, déposant un petit morceau de quelque chose dans une corbeille, qui la tira de ce trou de mémoire pour parcourir du regard le nouvel aménagement de la salle. Etonnant. bref, ce n'était pas le sujet du jour, aussi reporta-t-elle son attention sur son interlocuteur pour lui répondre :

J'avoue... Très honnêtement, j'avoue ne pas savoir de quels dossiers tu parles, au juste. Cependant, il y a deux éléments de réponse que je peux te donner. Les malandrins qui sévissent sur nos routes ne sont, la plupart du temps, pas des imbéciles. Et nous sommes desservis par la disposition de notre Comté. Un homme - ou une femme, d'ailleurs - qui commettra un acte de brigandage en Limousin, du côté de Limoges par exemple, peut sortir du Comté en moins d'une journée. Et, le temps que la victime de ce brigand revienne à elle, le temps qu'elle réalise ce qui lui est arrivé, qu'elle ait la présence d'esprit de contacter un maréchal ou directement le Prévôt ou le Procureur, le temps que le Prévôt monte le dossier et que le Procureur prépare la mise en accusation, on arrive à un délai équivalent. Voilà pour le premier élément : la position des brigands peut jouer largement contre nous et largement en leur faveur. Et, comme tu me parles de dossiers traités à Limoges, je pense que le temps est un facteur crucial, puisque nous ne pouvons pas mettre en procès une personne ayant quitté notre sol. L'autre élément notable, c'est l'heure à partir de laquelle les fonctionnaires parfois peu désireux de travailler tard décrètent que les bureaux du Conseil sont clos. Quand ils le sont avant la tombée de la nuit force est de reconnaître que le travail des membres du Conseil s'en ressent nécessairement.

Et Aristote savait qu'elle détestait se voir empêchée de rentrer dans son bureau aux petites heures de la nuit parce qu'un fonctionnaire quelconque avait décidé qu'il n'avait pas envie de travailler. Esquissant un sourire à cette pensée, Sindanarie conclut :

Cela te répond-il ?
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Arthaud
Arthaud patientait ,patientait et elle sentait sa colère se bloquer dans sa gorge de plus en plus .
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Erabal
écoute attentivement la Comtesse... et à la question qu'elle lui pose en retour...

Comtesse, avec tout le respect que je te dois... non, cela ne me répond absolument pas... je connais ce genre d'aléas possibles, les manigances de certains brigands... Les deux malfrats, concernant mes dossiers... ils sont revenus en ville... sont repartis et je crois qu'ils viennent à peine de quitter le limousin... bref.

Les dossiers ont été montés le jour même, transférer le lendemain, les brigands étaient encore sur nos terres... bref.

Tu as été obligée, en pleine crise, en pleine ... mmm... invasion... de nommer provisoirement Ratou comme procureur... Ne me raconte pas de telles évidences. S'il te plaît.

J'accepte ta réponse et ne te mets pas plus dans l'embarras... ce n'est ni le lieu, ni le moment.

Merci de m'avoir consacré quelques minutes de ton temps que je sais précieux.

Je te salue Comtesse, à bientôt.


Et Erabal de s'en aller, dépité... déçu... ne s'attendait pas à autre chose finalement... malgré un petit espoir.
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Sindanarie
Attends.

Le mot claque, simple. La Carsenac voit la réaction mais ne la comprend pas. Au fond, elle a bien une vague idée de ce dont il veut lui parler... Sauf qu'à moins d'en être sûre, elle ne peut pas lancer le sujet. Question de principe. Mais il part, la mine déconfite, alors même qu'elle n'a pas répondu à ses attentes, et s'il y a bien une chose que la Comtesse déteste, c'est ne pas répondre aux questions qu'on lui pose... Ou ne pas pouvoir répondre à une question parce qu'on ne lui pose pas alors qu'on l'a sur le bout de la langue. Alors, elle ne se retient pas et attrape le Limougeaud par le coude, pour le retenir, pour planter son regard dans le sien. Parce que laisser des zones d'ombres n'est pas sa tasse de tisane. Et elle continue...

Puisque tu connais ces problèmes, dis-moi de quels dossiers il s'agit. Dis-moi, s'il te plait, le fond de ta pensée. Va jusqu'au bout. Parce qu'à quelque chose qui s'agite dans ta tête et que tu n'exprimes pas, je ne peux pas répondre.
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Erabal
un rappel de la Comtesse... se retourne doucement et écoute.

Qu'importe les dossiers Comtesse mais il s'agit d'un brigandage en bande contre dame Loucya, qui en plus a été jetée en prison... mais mon soucis principal, Comtesse, je l'ai clairement exprimé dans ma question... comment se fait il qu'une incompétence et un laxisme pareil soir tolérés au conseil... c'est... déplacé, irrespectueux... un proc pareil... je respecte Arnaut, mais pas en tant que procureur. Alors je réitère ma question avec la même franchise et le même ton direct et peut être déplacé, mais qu'importe... Arnaut te tient comment ? il ne tient pas son rôle... les procès ne sont pas lancés. Alors ma pensée exprimée clairement : il fait quoi le proc ? il joue un jeu dangereux avec les brigands ? il fait quoi encore à ce poste ?

la regarde, sans haine ni violence, attendant une vraie réponse

[edit pour fautes... désolé... il en reste toujours en général]
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