Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 53, 54, 55, ..., 72, 73, 74   >   >>

[RP] Salle d'audience du Conseil.

Erabal
Erabal avait écouté la ... réponse... d'Arnaut. Les faux fuyants étaient de mise semble t il... Tant pis. Il avait autre chose à faire et le lieu n'était peut être pas le meilleur endroit pour débattre pendant des heures sur la présence d'un conseiller au conseil et à son poste. Avant de repartir, il avait entendu les propos tenus par la porte parole... scandaleux.

D'un signe de tête, il salue poliment Sindanarie et Arnaut, Arthaud encore présente, Emerick qui semblait sur le départ et Dhéa.


Je vous laisse, merci Comtesse et Arnaut pour ... votre temps que vous aurez bien voulu m'accorder... on m'attend ailleurs pour d'autres débats que j'espère plus constructifs. Bonne fin de journée à vous.

Recule de quelques pas, se retourne et sort de la salle. S'il est au conseil, se fait la promesse de tout faire pour virer ce cirque et être présent pour informer et renseigner les habitants du Limousin... normalement
_________________
Zeinar
Un détour par la salle d'audience, un !
D'humeur jouasse en cette belle après-midi ensoleillée, le bougre maistre filait d'un pas décidé vers le lieu supposé de rencontre avec le pouvoir, s'offrant un moment de liberté là où jadis Comtes et Comtesses recevaient les visiteurs.
La rumeur selon laquelle une barrière quasi infranchissable s'était désormais établie entre le peuple et sa couronnée ne cessait d'enfler, creusant un peu plus le fossé d'incompréhensions et de questionnements qui planait autour du château et de son conseil.
Éternel romantique, Zeinar se plaisait à imaginer que la Comtesse avait sombré dans un sommeil profond après avoir croqué une pomme empoisonnée. Qu'elle attendait dans la plus haute salle de la plus haute tour -d'ivoire-, le prince charmant et son premier baiser. A cinq jours du terme de son mandat, le héros qui devait débarquer sur son cheval blanc avait intérêt à se magner.
De son côté, le brun avait abandonné tout espoir de décrypter ce qui se déroulait au sein du conseil.

Arrivé à l'entrée, il envoya se planter devant les deux gardes la fille de joie recrutée la veille.
Remontant suffisamment ses jupons pour laisser entrevoir le galbe de ses cuisses hâlées, elle leur adressa comme convenu sourires charmeurs et clins d'œil coquins.
Il ne s'était pas beaucoup creusé la tête et n'avait pas trouvé très original pour faire diversion, mais put néanmoins se glisser sans difficulté dans le dos des soldats envoutés pour pénétrer dans la salle tant convoitée. Une file conséquente de visiteurs s'amassait, quelques têtes connues en ressortaient. L'attente promettait d'être longue. Trop pour lui. La phase deux du plan consista alors à se mouvoir vers l'avant, bousculer les autres en répétant à voix haute
"pardon, pardon, la comtesse m'attend". Après une lutte acharnée, un nez froissé par un coup de tête, et un orteil écrasé, il émergea face à la Porte-parole.
Cette dernière donnait de la voix pour faire respecter l'ordre de passage. Autant dire qu'il avait intérêt à faire court. S'empressant de l'apostropher, il lui tendit dans un large sourire son bouquet de fleurs et sa lettre pliée en quatre.


Bonjour !
Le courrier est pour la Comtesse, le bouquet pour Arnaut de Malemort.
Merci de bien vouloir transmettre.


Sur un vélin de qualité, à hauteur d'une Comtesse:


Citation:
A Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,
De Zeinar, simple citoyen.

Merci.
Pour le retrait du désormais ex-procureur, Arnaut de Malemort. Vous avez peut-être compris qu'il se jouait de votre confiance aveugle -et incompréhensible pour moi-, et qu'après maintes erreurs, il était temps pour lui d'aller se reposer.

Le dernier procès lancé par sa petite personne à l'encontre de Sieur Argawaen le prouve. L'accusé a déjà été jugé pour les mêmes faits. Je m'en souviens bien puisque l'affaire avait été mouvementée. Arnaut nous aura offert une belle tranche de rire ou de pleurs avant de partir. A chacun de choisir.
Si au moins il avait eu la volonté de servir notre Justice... mais non, il y a longtemps que nous l'aurions su.

Dommage que vous ayez pris cette décision à quelques jours de la fin du mandat. C'est un peu tard à mon goût.

Puisque les goûts et les couleurs ne se discutent pas, je ne vais m'arrêter là.

Bien cordialement,
Zeinar.


Dépassant du bouquet, une petit note:

Citation:
Arnaut,
Voici une composition florale offerte avec le cœur. Elle vient marquer ton ultime bévue au Tribunal et fêter ton retrait immédiat du poste de procureur.
Merci de t'être enfin soucié de la Justice en provoquant un départ que je souhaite définitif à cinq jours de la fin de ce mandat.

Zeinar, un homme soulagé.

_________________
Arthaud
Depuis combien patientait elle dans cette salle des heures et des heures , sa santé n'était pas des plus florissantes , cet ultime mandat nécessaire aprés la prise de guéret l'avait vidé de ses forces .Elle n'avait pas voulu perdre de sa superbe au vu de la demande qu'elle avait faite et pour les guérétois et pour elle même ,amoureuse de la justice depuis toujours elle n'avait jamais supporté qu 'on la bafoue impunement . MAis les enjeux politiques l'avaient toujours dépassé . Elle n'appelait qu'à partir , se reposer .Elle avait déja prévenue plum que son mandat terminé elle gagnerait le couvent pour se refaire une santé au calme loin des tumultes de cette basse cour où elle ne retrouvait plus aucune des valeurs qu'elle avait défendu jadis , où elle ne se retrouvait ,où elle n'avait plus sa place .Elle aurait tout juste le temps de rédiger sa lettre d'allégeance au futur ou la future comtesse et se retirerait . Elle espérait que sa santé se reférait sinon elle quitterait cette vie en souriant au bonheur qu'elle y av ait trouvé et esperant que les siens se remettraient de sa disparition . Mais pour l 'heure ,elle sentait que son attente avait eu raison de ses dernières forces .Elle avisea un siège à sa droite ,s'écroulant dedans avant de réaliser mais un peu tard qu 'il s'agissait de celui de la comtesse . Déjà qu 'on la taxait d'impolie là elle frisait le crime de lése majesté mais elle ne se sentait pas la force de se relever et attendit donc ainsi
_________________
Argawaen


Ce qui lui servait de cousin avait été défait de son poste de procureur et cela était une bonne chose pour le Comté et lui même.
Argawaen avait eu ce qu'il méritait il y a quelques mois et il n'avait nullement envie que cela se reproduise. Il aspirait à sa famille, la tranquillité et à l'OSS.
Dehuit se décida d'écrire à la Comtesse afin de la remercier de son geste.


Citation:
A Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche.
D'Argawaen Dehuit de Malemort dict " Le Sanglant ", Senher de Lugan.

Donà,

Je tenais à vous remerciez et vous dire que vous avez prit la bonne décision en retirant le poste de procureur à Arnaut de Malemort.
Le Comté ne s'en portera que mieux et je vous en suis reconnaissant.

J'espère que le procès actuellement ouvert à mon encontre sera clos et que je pourrais avoir la grâce comtale comme l'a demandée ma suzeraine Lily Jane, Comtesse de Lavaur, Donà de Labastide Saint Peyre et de Le Lauzet.

Les gens changent, et c'est dommage que certains n'en tiennent pas compte et restent basés sur le passé...
Je ne prétend pas avoir une auréole au-dessus de ma tête, loin de là, mais j'ai purgé ma peine comme demandé... Je veux juste que l'on me laisse tranquille à présent...

Merci encore,
Argawaen.


Il accrocha son message à la patte d'un pigeon et le laissa transporter son message.

_________________


Ephyael
Citation:
A la decidement incapable Comtesse du Limousin

Nous devons dire que vous nous avez encore une fois surpris par votre debilité la plus profonde
Alors que nous avons deposer depuis plus de 10 jours une demande de grace en bonne et du forme, vous n'avez aucun scrupule et honte a gracier un homme injustement mis en proces en a peine 1 heure alors que ma demande n'a toujours pas obtenu de reponse
Peut etre devrais je vous baiser les pieds pour qu'enfin vous vous decidiez a faire votre travail ou alors visiblement vous ne valais pas mieux qu' Arnault et vous abuser vous meme de vos pouvoir a titre personnel

En parlant de lenteur affligeante, malgres deux relance a votre juge j'ai toujours pas eu droit a mon verdict dans mon simulacre de proces . Je ne sais pas ce que je dois faire pour avoir enfin droit a la justice si ce n'est me marier avec vostre cousine pour esperer que vous vous penchiez sur notre cas

Pour finir nous somme totalement desemparé devant votre decision en ce qui concerne ventadour. Non seulement vous prié ma femme de rendre la mairie mais en prime vous nommer un ancien maire totalement retiré depuiis plus de 90 jours qui avait echouer a son mandat qui s'etai soldé par un pillage de nos caisse par des brigands de passage. Nous avions le deuxieme score des electiosn encore une fois, et encore une fois vous faite tout pour nous eviter a la mairie alors que nous etions legitimement le plus apte a tenir ce role.

Puisse les elections a venir vous renvoyer dans l'opposition ! Car nous sommes fatigué de votre conception du pouvoir, dans votre inegalité de traitement et de votre honteuse maniere d'agir

Ephyael
Le 30 Juin 1459
Sindanarie
Après, en désordre, la séance réception de lettres, la séance "je réponds aux questions à la volée" et "j'écoute mon Proc' se mettre à dos un habitant de Limoges respectable et j'vais devoir le prendre encore dans ma poire", voilà venir Arthaud, manifestement de mauvaise humeur. Réponse de la Comtesse, qui puisait dans ses dernières réserves d'entrain et de patience :

Arthaud, je suis désolée que cette affaire te mette à ce point en rage... Mais ces procès n'ont pas eu lieu. Le temps, les procédures, les identifications, tout a joué contre nous.

[Je le mets comme ça parce qu'il n'y a pas d'autre moyen de justifier RP un fait HRP... Pour cause d'irrégularités HRP dans le RP, tous les procès de la période ont été annulés, comme dit dans le topic de régulation ouvert par LJD Zeinar après le début des prises par Nilas. LJD Dhéa a dû t'envoyer un MP à ce sujet.]

Puis les lettres... La première réponse, la plus agréable depuis bien longtemps, pour commencer en douceur. Ecriture, scel, messager, affaire rondement menée.

Citation:
A Argawaen Dehuit de Malemort, Seigneur de Lugan,
De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,

Salutations.
    La parole de votre marraine m'est précieuse. Nous avons en effet l'honneur d'être vassales du même homme, et je crois que s'il l'a choisie, cela a été par ses qualités, sa droiture et son honnêteté. Je ne pouvais donc qu'accorder grand crédit à sa missive, à laquelle je dois d'ailleurs encore apporter réponse.

    Je suis navrée que votre retour en Limousin se soit soldé par pareil accueil, et vous souhaite de connaître une installation plus paisible à présent. Le procès suivra normalement son cours, mais la Juge est tombée d'accord avec moi sur son irrégularité flagrante (qui ne l'aurait vue !). Vous devriez donc être relaxé sous peu.

    Ne me remerciez pas, même si vous n'imaginez sans doute pas le plaisir que vos mots de soutien m'ont procuré... Ils sont les premiers que je reçois d'autres personnes que de mes proches, en dehors de ceux de votre fiancée Valeryane.

    Respectueusement,

Limoges, le trentième jour de juin mil quatre cent cinquante-neuf.


Deuxième réponse, plus ambivalente. Après tout le tralala d'usage, expédiée.

Citation:
A Zeinar, Maire de Limoges,
De Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de la Marche,

Salutations.
    Que nul ne comprenne ma confiance, soit. J'en ai l'habitude, et vous m'aviez déjà prouvé votre défiance quant à ce que je dis ou fais par d'autres biais. Vous souvenez-vous de vos doutes quant à ma parole au sujet des ordres du poutrage d'Aymeric de Wroclaw ? Moi oui.

    Malheureusement, on ne peut pas plaire à tout le monde. Et j'ai l'immense tort de croire aux paroles données, et de parler en conséquence... Même quand cela me vaut de ne pas être comprise ou appréciée. A chacun sa façon de faire.

    Comme vous me l'écriviez, les goûts et les couleurs ne se discutent pas... Je m'arrête donc également.

    Cordialement,

Limoges, le trentième jour de juin mil quatre cent cinquante-neuf.


Puis dernière missive, qui finit sans doute par devenir le réceptacle de tout l'agacement que la Comtesse avait absorbé, patiemment, goutte à goutte, comme une éponge assoiffée, pour finalement laisser libre court à son flot. Re-écriture, re-scel rouge, re-messager. Et hop, dégagez, y'a plus rien à voir !

Citation:
Au décidément bien obstiné Ephyael,
    Sachez avant tout que vos insultes me laissent de marbre. Si je devais y accorder quelque crédit, vous seriez déjà en procès pour insulte envers une noble et pour calomnie... Mais c'est une discipline à laquelle vous excellez, n'est-ce pas ? Vous êtes doué pour mordre la main qui vous a été tendue, je le reconnais sans peine. Mais ne se sentirait atteint qu'une personne aux bas instincts et au vague sentiment de culpabilité, et je crois n'être ni l'une, ni l'autre. Insultez donc, grand bien vous fasse, après tout, j'y suis insensible... Mais bref, je m'égare.

    Le verdict que vous réclamiez à cor et à cris est rendu. Enfin, me direz-vous, non, me hurlerez-vous, c'est pas trop tôt ! Sans doute. Mais je n'ai pas que votre seule petite personne en tête, voyez-vous, et un Comté à gérer, en particulier avec un Conseil incapable de s'écouter sans ressortir des griefs personnels à tout va (un peu comme ce que vous faites, d'ailleurs, c'est assez amusant) me demande temps et énergie. Je n'évoque pas ici, évidemment, l'importance de cette tâche en la période trouble que nous vivons, importance qui me semble supérieure à celle de la satisfaction de votre auguste et incontournable personnalité.

    Par lassitude, parce que vous m'échauffez les oreilles et parce que vous êtes de ceux qui, incapables de se remettre en question, ne conçoivent même pas qu'ils puissent avoir tort et plier sur quelque point que ce soit, vous êtes dispensé de faire des excuses à Seleina Romans, Dame de Varetz, pour insulte envers sa personne. Cependant, en raison de votre incapacité à vous soumettre à la loi et à la coutume, vous êtes condamné à une peine symbolique d'un écu. Morale de cette affaire : à braver la loi, on perd toujours quelque chose.

    N'essayez même pas d'approcher ma cousine, elle n'entrerait pas dans votre jeu. Et n'oubliez pas que vous êtes déjà marié...

    D'ailleurs, quant aux talents de votre épouse, je les estime à leur juste valeur (elle me parait d'ailleurs promise à un bel avenir), et sa fonction militaire lui a permis de participer efficacement à la reprise de la mairie. Quant au choix de Shiska, il est d'autant plus justifié que, de mémoire, cet homme fut maire de Ventadour, en résorba les dettes envers le Comté et, contrairement à ce que vous évoquez, ne perdit pas la ville au profit d'un brigand. Quant à votre légitimité, elle aurait été pleine si vous aviez été élu par la population que vous insultez à défaut d'en obtenir une élection en bonne et due forme.

    Révisez donc l'histoire de votre ville, et cessez de vous mettre en travers de la loi.

    Puisse les élections prochaines vous faire réfléchir sur vos modalités d'action. Vous qui appelez à la résistance, aurez-vous un jour l'audace et la capacité de réunir une liste et les fonds nécessaires pour soutenir vos projets et ce que vous appelez vos idées ?

Rédigé et scellé à Limoges dans la nuit du trente juin au premier juillet mil quatre cent cinquante-neuf.

_________________
Dhea
[ rectif HRP : c'est le joueur de seleina qui a dû envoyer un mp a LJD arthaud. ]
_________________

Plus ne m'est Rien !!
Argawaen


C'est soulagé que le Dehuit lu la missive reçue de la Comtesse du Limousin. Le procès allait être clos, il allait être relaxé et c'était une bonne chose.
L'ancien de curé de Ventadour l'avait contacté afin d'acheter son dernier champ, aujourd'hui était un jour de bonnes nouvelles. Maintenant il ne restait plus que le mariage avec sa belle et leur installation dans une autre contrée afin d'être enfin débarrassé de pas mal de tracas...

Argawaen appela un de ses gardes.


Va m'chercher de quoi écrire que je réponde à la Comtesse Limousine !

- J'y cours Signore.

Attend ! Trouve moi un messager, je n'ai plus de pigeons ! J'ai du envoyer le dernier ce matin à Lugan pour voir si tout se passait bien là-bas.

Le garde acquiesça et quelques instants plus tard lui ramena un messager et de quoi écrire.
Le Dehuit se mit donc à gratter sur ce morceau de papier afin de répondre à Sindanarie.


Citation:
A Sindanarie Carsenac, Comtesse du Limousin et de La Marche.
D'Argawaen Dehuit de Malemort, Senher de Lugan,

Donà,

Malgré que vous ne souhaitez pas de mes remerciements je tenais une fois de plus à le faire pour avoir prêtée attention à mon dossier et pour avoir fait confiance à ma marraine, à ma fiancée et à moi même.
Sachez que je ne l'oublierais pas et que je vous en suis redevable.
Je ferais savoir à ma suzeraine ce que vous avez fait et elle en sera plus que ravie.

Malgré les critiques qui fusent à votre égard, les difficultés et les problèmes qui se sont montrés, vous avez sue restée jusqu'au bout et faire votre bonhomme de chemin.
Je trouve cela respectable et vous avez montrée qu'avec du courage, de la force et de la volonté on peut tout faire.
Sachez Donà que j'admire ce que vous avez fait pour le Comté. Votre position est délicate, difficile mais vous avez fait un travail remarquable.

J'ai pu le vérifier pendant que je dirigeais les lances de l'OSS lors de la prise de Guéret et de Bourganeuf.

Bien que je ne puisse pas faire grand chose vous avez mon soutient.

Merci encore,

Cordialement,
Argawaen


Dehuit donna son message au messager puis rejoignit Aarhon afin de donner ses ordres.

_________________


Arthaud
Arthaud regarda sindanarie ,se relevant péniblement de son siège et dit d'une voix plus faible qu'elle naurait voulu

" et bien je pense juste avoir eu la ernière preuve qui me manquait pour me prouver que je n'avais vraiment plus ma place dans ce comté tout simplement"



et sans rien ajouter ,elle quitta la pièce déçue une fois de plus


je déplore tout cela car je ne lis jamais les topics hrp etc oui ljd seleina ma tout dis mais la joueuse trouve toujours tout aussi incoherent le manque de proces que je ne sais quelle histoire hrp qui explique totu cela

_________________
Douceur69
Bonjour,

Je me nomme Douceur, humble habitante de Limoges, et je viens demander audience auprès de sa Grandeur. J'aurais une question de la plus haute importance à lui poser.

Peut-il me recevoir rapidement ?
Gueldnard
Prêt à annoncer les dernières nouvelles au Comté, le tout nouveau Comte entendit qu'on demandait audience.

Bonjour damoiselle.

Je peux vous recevoir tout de suite. Qu'est ce qui vous amène?

_________________
Ephyael
* Un enfant porta au comte du limousin une lettre du celebre groupe d'opposition du limousin, la ligue *

Citation:
Au comte du limousin,

Nous membre de la ligue Limousine Libertaire et libertine, seule veritable force politique raisonnable de ce comté , demandons comme nous l'avons toujours fait depuis sa sortie la suppression de l'article 17 du livre 1er

Cet article dit des Personnes non grata est en effet une catapulte en plein milieu de notre livre de loi. Des personnes mal attentionné , comme nous en connaissons beaucoup en limousin, pourrais utiliser cette loi pour massacrer des populations civiles innocente , ou eliminer des adversaires politiques genants

Ephyael Pour la Ligue limousine Libertaire et Libertine
Neti
Une fois la déclaration comtale duement placardée à Tulle, la mairesse prit le chemin du castel. La salle d'audience... Une première pour la jeune femme. Mais il parait qu'il faut une première à tout. Elle chercha un peu la salle et finit par se présenter aux gardes de l'entrée.

- Bonjour, je suis Neti, bourgmestre de Tulle. J'aimerais rencontrer... hum... le porte parole, ça pourrait être marrant, en finissant par parler dans la barbe qu'elle n'a pas.
_________________
Douceur69
Gueldnard a écrit:
Bonjour damoiselle.

Je peux vous recevoir tout de suite. Qu'est ce qui vous amène?


Bonjour Votre Grandeur. Enchantée que vous me receviez en personne et aussi vite.
J'en suis d'ailleurs fort heureuse car j'avais une question très précise à vous poser. En effet, j'entends beaucoup de rumeurs et de "on-dit" et je préférais venir vous demander en personne une réponse à une question concernant le Berry car j'ai l'impression que tout le monde parle mais que personne ne sait vraiment.

Quelle est précisément votre position concernant la guerre ouverte contre ce Comté et que comptez-vous faire ? L'aider ou soutenir ses ennemis ? Parce qu'autour de moi, tout le monde parle beaucoup mais personne ne sait trop ce qu'il en est de notre position.
Wolfloner
Allons bon, le nouveau porte parole, pas alaise dans ses chausses, preferant les sorelet a l'habit de fonctionnaire et haut chapeau plat comme une limande arrive dans la salle d'audience.
Il esperait une chose que sa diplomatie legendaire n'allait pas faire des siennes.

Il y avait la deja quelques personnes dont la bourgmestre de Tulle, Dame Neti, charmante mais semble avoir un sourir qui pourrait en dire long.

Bien le bonjour, Wolf Loner de Gaillimh, je suis le Porte Parole de nostre Grandeur Gueldnard de saint viance. Que puis-je faire pour votre service ?

Le"puceau du Limousin" comme l'aime a l'appeller ses camarades de caserne attend bien patiemment que la jeune femme lui reponde.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 53, 54, 55, ..., 72, 73, 74   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)