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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Ephyael
Citation:
Au comte du Limousin,

Par cette présente lettre, nous Ephyael, epoux d' Arenna, agissant pour son compte du fait de sa retraite spirituel actuelle demandons la suppression des sanctions provisoire a son encontre ainsi que l'enquete et l abandon des charges pesant sur elle

Nous rappelons qu'en date du 1er Août 1459 nous vous demandions de vous acquitter de la somme du en guise de solde a Arenna et d'accepter sa demission . Qu'a cette meme date vous avez refuser sa demission et annoncer votre incapacité a vous acquitter de la somme demandés.

Qu'en vous defaussant d'une de vos obligations au contrat vous avez liberer nostre epouse de ses obligations envers vous. Si nostre epouse a continuer de defendre le comté ce n'est que par respect pour l'institution qui aujourd'hui la met honteusement en cause

Compte tenu que juridiquement nostre epouse n'est plus tenu a ses obligations au contrat tant que vous n'aurez pas honorer les vostres , on ne peut lui opposer une violation quelconque de son serment.

Enfin nous rappelons la declaration de la Ligue ce jour et nous confirmons que c'est bel et bien Santreize qui nous a informer de l'existence des feuilles de route et de ses actions du moment a savoir la defense de Ventadour. Nous avouons cependant avoir user de nos dons pour embobiner la dame. Nous avons menti pretextant connaitre une personne qui savait dans l'unique but de la faire avouer son infraction. ce fut d'autant plus facile que nostre epouse est a la COLM et que donc tout preter a croire que nous savions quelque chose
Elle nous confirma alors ne pas etre en mission officielle mais en defense volontaire mais c'est bel et bien elle qui nous a parler des feuilles de route.

Nous presentons nos excuses a la Dame Santreize pour nous etre ainsi joué d'elle mais compte tenu de la periode de trouble nous avions grande peur qu'elle abandonne son poste de maire

Ephyael,
Le 08 Âoût 1459
Mirdan


L'homme entra essoufflé, écouta les différentes déclarations, rédigea une courte missive sur un écritoire à l'entrée, se fit reconnaitre par les gardes, puis repartit.

Citation:

Au conseil comtal et autres solliciteurs,
Je tiens à vous rappeler :
1. que Rochechouart est toujours sous le joug d'une armée depuis plus d'une semaine ;
2. que son ban s'est rallié aux forces de défense du comté ;
3. que les réfugiés partent au comté du Périgord qui leur accordera des terres ;
4. que les restants pratiquent la guerre de la terre brulée pour affamer l'envahisseur ;
5. que le campement de repli dans la forêt a été malheureusement réouvert après trois années de paix relative.

Toutes discussions et doléances autres que relative à la libération de Rochechouart me semblent indécentes et ne reflètent que mépris envers ses habitants.

Mirdan de Six Fors,
Aussi, le 08 Août 1459

_________________
Mirdan


L'homme revint serrant à mort un pigeon ensanglanté dans son poing.

Ce jour,
Rochechouart n'appartient plus au comté du limousin et de la marche.
L’usurpateur a annexé la ville en la déclarant ville-franche.
L'exode vers le comté du Périgord a commencé puisque ce comté ne fait rien pour ses habitants.
MAIS QUAND ALLEZ-VOUS BOUGER, BANDE DE DEMAGOGUES INCAPABLES


J'abandonne. Je ne retiens plus les habitants. 6 mois à redresser la ville pour rien...
_________________
Jehan_raphael


La vice-comtesse se déplaça. Jehan-Raphael s'inclina poliment face à elle, et l'écouta. Puis il répondit.

Le bon jour à vous, vicomtesse. Je venais prendre des nouvelles du comte, en fait. Voyez-vous, il est de cela plus de dix jours, je lui ai écrit, pour une chose, que je crois non-inintéressante pour la province. Pensez bien que je fus plus qu'étonné de ne recevoir aucune réponse, alors que je ne cherche aucun mal.

Et puis un homme arriva, griffona sur un papier, et partit en courant. Jehan-Raphael entreprit l'audace de lire ce message, qui le fit plisser le nez et froncer les sourcils. Il reposa le message, sans vouloir partager ses pensées vis à vis du personnage qui avait écrit cela. Vouloir revenir au sujet de sa visite, la salle fut eprturbée par le même homme qui revint très rapidement pour annoncer la bonne nouvelle sur sa ville, en la chantant mélodieusement, gracieusement. Se frottant ses oreilles assourdies, Jehan-Raphael regarde l'homme et rétorqua.

C'est en cédant aussi aisément à la panique comme vous le faites, que l'on ne récupèrera jamais cette ville. Si au lieu de venir vous épuiser à crier icelieu, vous restiez en votre ville en gardant la foi et en vous préparant?

Se tournant vers la vice-comtesse.

Je vous enverrai une copie de la missive que j'ai envoyée au comte, votre vice-grandeur, il esquissa un rictus à cette appelation, si cela puis vous intéresser. Je vous souhaite la bonne journée.

Jehan-Raphael partit, afin d'éviter quelconque tempête de révoltés.
--Verite_
Il arriva un poil après la bataille, il regarda un peu les personnes présentes, un poil agacé par l'attitude de certains dans ce Comté.. Il décida d'intervenir. Il trouvait poilant de voir les messages que le Comte laissait...

On disait de lui qu'il avait un poil dans la main, il espérait surtout que le Limousin reprendrait vite du poil de la bête !



Votre Comte vous ment Limousin..

Demandez lui ce qu'il faisait sur les routes avec son armée pendant que Rochechouard devenez ville-franche ?

Demandez lui si l'air de l'Auvergne est bon ou pas ?


Demandez lui, s'il était au courant ou pas et depuis quant du passage des armées du Ponant ?

Demandez lui, pourquoi, si comme,il l'affirme les armées du Ponant venez attaquer Limoges, il n'a pas fait rentrer sa seule armée dans les murs ? ( Est il aussi stupîde que cela pour ne pas savoir qu'une armée sans agrément est inutile hors des murs ?

Demandez lui pourquoi, alors qu'il était au courant depuis Dimanche de la venue du Ponant, il n'a pas fait entrer l'armée dans les murs et qu'il a attendu hier pour gonfler l'armée quant nous lui avons dit que le Ponant aller passer Limoges ?


A poil le Comte !
Gerbert
La Vérité qui s'avance masquée? Mmmmmh... On frôle l'Oxymore.
--Gregoire_mirabeau
[Au domaine... La maitresse de maison]

Entre deux passages dans la chambre de Taranis, d'Anna et de Rosie - la pire malade qui soit, il faut bien le dire ! - Ari prend un parchemin et relit une fois encore la lettre qui lui était parvenue du secrétariat d'état par un valet puis trempe une plume dans l'encre avant de coucher quelques mots sur le velin... Un entête à son image, un peu (non beaucoup en fait, mais bon, Gueld est en theorie le seul à lire la missive donc on s'en fiche) fantasque malgré les circonstances graves et tristes qui avaient secouées le comté la veille. C'était sa façon à elle de ne pas se laisser rattraper par l'abattement qui menaçait de l'envahir face à son fils gravement blessé, sa belle sœur entre la vie et la mort, son renardeau qui en faisait baver à tout le monde pour pouvoir retourner se battre malgré ses blessures. Bref, un petit mot rapide à l'attention du blond régnant. Celui-ci rédigé, elle appelle Grégoire, le fils de Blanche sa cuisinière pour qu'il le porte au château et le remette au comte en personne...

[Au château... Grégoire]

Le jeune homme arrive dans la salle d'audience, la missive scellée de rouge en main et se retrouve face à la garde. Sans se démonter, sa maitresse ayant fréquenté les lieux assez longtemps, il annonce...

Je suis envoyé par la Vicomtesse Ariadne, Secrétaire d'Etat en poste pour remettre cette lettre en personne à Sa Grandeur Gueldnard.

Et l'adolescent presque homme quoique pour les critères de l'époque, déjà homme en fait, de faire le pied de grue. Il attendrait le temps qu'il faut, mais il obéirait et remettrait le message en main propre au comte !



    A sa Grandeur Gueldnard de Saint Viance, comte du Limousin & la Marche, dict Mèches Folles (même si tu les as coupées)
    De Tarte à Tasse, plein de choses et entre autre une amie,

    Bonjour Gueld,

    Tu me pardonneras j'en suis sure ce manquement au protocole, mais je crois que tu as besoin de bonnes nouvelles, et à défaut d'une aide armée, voilà une copie d'une missive du Duc de Touraine qui nous offre un soutien (au moins) moral et qui dénonce les exactions ponantaises. Bref, je te laisse lire, c'est encore plus simple.

    Je suis désolée de ne pas passer en personne, mais tu comprendras que je reste à la maison à veiller sur mes blessés.

    Que Dieu veille sur toi et le peuple limousin.

    A.


Citation:
De Nous LLyr di Maggio et d'Astralgan, Duc de Touraine,

A Datan l'Epervier, Vicomte d'Aulnay de Saintonge, Chancelier du Ponant,
A Son Altesse Royale Icie de Plantagenet, Régente de France,
A Dame Dotch de Cassel, Grand Maître de France,
A Dame Alandrisse, Première secrétaire d'état,
A nos alliés Auvergnats et Bouguignons,
A tous ceux qui liront ou entendront,

Salutations sincères,

Nous prenons acte, note et réception du courrier du Chancelier du Ponant, messire Datan invitant à se réunir pour mettre fin à la guerre, ainsi que de sa parole concernant sa démission en cas d'attaque du Limousin et Marche.

Actons et faisons référence qu'une table des négociations a déjà été ouverte dès le début du conflit dans les ambassades du Royaume de France,

Que les représentants Auvergnats, Tourangeaux, le capitaine royal Namaycush ainsi que les représentants de la couronne y ont assisté et ont attendu vainement les représentants du Ponant et associés.

Que le Ponant sous couvert de négociations ont proposé une reddition aux conditions iniques et ignobles de la Touraine par l'entremise de négociation secrète avec la Bretagne. Ces conditions étaient à ce point ignobles qu'elles n’appelaient, de facto, qu'une négation voulu par le Ponant

Il est donc exclus que nous nous présentions à des négociations où le Ponant se croit le maître incontesté du Royaume et que nous ne subirons pas de nouveau l'affront fait tant pas les actes que par les paroles injurieuses émises par le Chancelier du Ponant.

Rappelons également aux paroles et promesses du dict Chancelier concernant une éventuelle attaque du Limousin et Marche. Que nous voyons en l'attaque de Limoges cette nuit de quoi retournent les promesses du Ponant en la circonstance : pas moins que rien, et rien encore c'est beaucoup !

Nous condamnons donc officiellement cette attaque du Ponant sur le Limousin Marche sans déclaration de guerre préalable, fait de sans honneur et nous espérons que le Chancelier du Ponant sera tenir de tout le Ponant sa promesse faite de démissionner de partir loin de cette engeance sans honneur.

Nous engageons par la même tout notre soutien envers le Limousin-et-Marche.

Que de ce fait faute de confiance en la parole donnée par le Ponant, nous demandons le retrait de l'intégralité des soldats, armées et mercenaires bretons, ainsi d'ailleurs que le retrait des forces brigandes, comme gage de bonne foi en préalable à toute négociation, ainsi que le démantèlement des toutes les armées berrichonnes et poitevines intervenants dans le conflit actuel.

A ce propos nous voudrions aussi féliciter nos amis artésiens pour leurs résistances passives contre le Ponant dans le fait d'avoir "oublié" de fournir armes et provisions aux armées ponantesques, de leurs précieuses informations contre cette engeance ainsi que de s'être rendu compte et de façon publique par les plus grands noms artésiens du vrai visage belliciste du Ponant.

Il ne saurait être question de trève tant que l'intégrité et la sécurité des provinces royalistes ne seraient pas recouvrées.

Déclinons donc tant la demande de trève que la proposition de négociations sans l'acceptation et la preuve d'exécution des conditions exigées.

Faict à Tours le 10 aout 1459

Semper Fi !

LLyr di Maggio et d'Astralgan
Duc de Touraine



Kartouche
Une autre voix, que l'on n'avait pas entendue depuis longtemps en ces lieux. Il décida, à l'instar de son prédécesseur, de ne pas se présenter.

Monser, je ne sais qui vous, mais cela n'importe guère. Je présume que vous venez avec le mandat d'un de ceux qui, hier, ont violé l'intégrité territoriale du Limousin.

Il apparaît que les armées poitevines entrées hier en Limousin ont demandé à nos autorités le droit de passer. Il semble, selon ce que l'on m'a dit, que nos autorités ont refusé à ces armées le droit de passer ; ceci me semble se justifier au vu de la neutralité affichée par nos autorités dans le conflit opposant la Touraine, le Bourbonnais-Auvergne et la Bourgogne d'un part, au Berry, à l'Anjou, au Poitou et à la Bretagne d'autre part ; car laisser passer des troupes d'un camp pour aller taper l'autre camp, c'est bel et bien une rupture de neutralité.

Il était évident que les trois armées en question, rassemblant plus de 100 soldats, ne se formaliseraient pas du refus du Limousin et de la volonté de ce dernier de préserver sa neutralité. Nos autorités ont choisi, semble-t-il, la voie de l'honneur : assumer jusqu'au bout les décisions prises. Je salue ceux qui sont morts devant Limoges la nuit dernière dans l'idée de préserver l'autorité du comté sur son territoire.

Ceci étant dit, l'entrée de trois armées poitevines malgré le refus du conseil d'accorder le droit de passage est un acte de guerre.

Léger rictus, derrière le bord du chapeau.

Monser, je vous invite maintenant à rejoindre ceux avec qui vous êtes venus. On vous attend sans doute ailleurs pour faire le zouave...
Eloin
Elle avait quitté Bourganeuf le matin mesme, dès que la nouvelle luy était parvenue. Point ne chercha-t-elle le champ de bataille, ce n'était point utile pour elle qui avait fait renoncé aux armes en prestant le serment des prêtres aristotéliciens ; de plus elle avait un but précis en cet instant : la salle d'audience du conseil comtal. Elle doutait d'y trouver un membre du conseil, mais il se trouverait bien un vas-y-dire pour transmettre les annonces et autres demandes du peuple...

Eloin laissa sa monture à l'écurie de l'auberge au seing de laquelle elle avait ses habitudes à chacun de ses voyages en la capitale, puys rallia le castel. Elle salua d'un signe de teste les quelques personnes présentes, et, profitant de ce que la garde semblait disponible, elle s'approcha et tendit le parchemin qu'elle tenait en sa main senestre.


Bonjorn. Je suys Eloin Bellecour, abbesse de Bourganeuf et Sous-Secrétaire Apostolique de Limoges. J'ai là annonce de soutien de Sa Grasce le duc du Bourbonnais-Auvergne, pourriez-vous la remettre au conseil, je vous prie ?

J'ai ouï dire également, que Sa Grandeur Nebisa de Malemort aurait été gravement blessée au cours des combats de cette nuit, si je pouvais avoir confirmation de cette rumeur, je vous en saurais gré.

Enfin, sachez que je suys médecin, dûment diplômée du séminaire médical dispensé par l'ordre lescurien, s'il est besoin de médecins pour soigner les blessés, n'hésitez point à me faire quérir...


Elle se tut et se décala sur le côté, laissant ainsi le passage au prochain qui voudrait s'exprimer, et attendit réponse.
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Héraldique
Ephyael
Citation:
A toi infame dictateur du limousin qui te pretend comte

Nous Ephyael, citoyen du Limousin , vous saississons concernant l'odieu Article 17 : Le statut de Persona Non Grata .

Premierement, Il est intolerable qu'aucune definition precise ne soit apporter au statut de personne non Grata. La definition laissé ainsi est beaucoup trop sujette a interpretation humaine et cela n'est pas possible
Tout statut se doit d'etre defini de maniere profonde par le legislateur surtout lorsqu'il créer une categorie d'exclu.
Nous vous demandons de preciser la definition

Deuxiemement, Il est scandaleux que seul le conseil puisse statuer et retirer le statut mal defini. en effet aucun recours n'est laissé a l'individu puisque le comté est juge et parti, tant dans l'instruction du dossier que dans le jugement rendu ou la lever de la peine.

Troisiemement, il est impensable qu'une violation de loi ce regle a coup de bastonnade sur un individu. Nous vous rappelons que les droits fondamentaux du Royaume de France exige un proces equitable pour chaque infraction commise par un individu. Les coups de baton et d'épée sont reservé aux armées. Agir comme vous le souhaité releve d'un peuple barbare sans education et depravé

Quatriemement, il est juridiquement impossible que l'exceptionnelle se prolonge de maniere permanente dans le temps. il est donc impossible que ce nouveau listage et ce statut ne soit pas conditionner a une limite temporelle .

Cinquiemement, nous vous rappelons tout notre profond desaccord ideologique quand a la conservation de cette loi meme de facon modifié. Nous avons grande experience des soit disante loi d'exception et remarquons qu'elle ont tendance a devenir usage quotidien dans les comté qu'il les ont edicter. Nous vous proposons de vous pencher a titre d'exemple sur les fermeture de frontiere. Il y a de cela deux ans , elle etais exceptionnel , depuis elles sont mensuelles voir quotienne a travers le royaume sans qu'il n'y ait eu une explosions des brigandage a lui opposé.

Nous vous remercions pour le resumé des bidasses s'en vont en guerre tres interessant et esperons voir prochainement la sortie de la piece de theatre. Nous vous rappelons a ce titre que nous sommes toujours dans l'attente de votre reponse concernant l'affaire de nostre epouse. Si vous chercher quelque soldats valide nous vous rappelons que la Ligue si elle obtient la demission de la capitaine est tout disposé a revenir sur sa decision

Si vous cherchez une autres solution car votre ego demesuré vous empeche de sommer a vostre capitaine de s'excuser, nous vous proposons nostre epouse a la condition que vous la libereriez de l'infamie que la capitaine revencharde et incompetente lui propose .

Ephyael
Le 14 Août 1459
Gueldnard
Citation:
De nous Gueldnard de Saint Viance, Comte du Limousin et de la Marche,
A vous Ephyael, Habitant du Limousin et de la Marche

Bonjour,

Je pourrai vous traiter de vieux chien fou qui ne fait qu'aboyer pour prouver qu'il existe mais ça serait tomber dans votre jeu d'insulte dans lequel vous vous complaisez. C'est bien vous développer sur l'article qui vient d'être abrogé par le conseil. La plupart des remarques que vous faites, l'indignation dont vous faites preuve, elle a été faite il y'a de cela 2 mois. J'ai juste mis ce qui été supprimé dans l'article de loi afin que l'on sache à quoi ça correspond. Une fois de plus vous vous donnez en spectacle sous mes yeux amusé. Dommage que vous ne veniez directement en salle d'audience, l'on vous prendrai pour l'un des plus grand bouffon du royaume et je suis sûr que vous vous feriez une rentrée certaine d'argent. Pensez y. En toute sincérité, vous avez de l'avenir.

Pour le sort de votre femme, tout sera lancé lorsque la mobilisation sera fini. Sachez que je ne céderai pas à votre chantage de faire démissionner un membre du conseil pour obtenir une quelconque aide. L'on est ici pour défendre notre Comté sans concession, tous réunis sous la même bannière et non sous des quelconques choix politiques tel des chiots se battant entre eux.

En vous souhaitant une bonne soirée,

Gueldnard


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Ephyael
Citation:
A toi comte du limousin,

Effectivement la fatigue nous a fourvoyer. Nous sommes tellement habitué a votre mediocrité que cela nous aurait point surpris que vous fassiez l'erreur de la confirmer.
En tout cas nous sommes fier d'avoir contribuer a faire changer d'avis. Nous savons que votre fierté mal placé vous empechera de nous reconnaitre cette honneur mais tous les limousins se souviendront qu'une fois de plus ce fut nous qui montèrent au creneau vous en rappelant a vos promesse de suppression la ou vous annonciez de legere modification a venir

Pour ce qui est de notre chantage , votre jolie reflexion sur la defense sans concession de notre comté je vous invite a la dire et redire a vostre capitaine. N'est ce pas elle en effet qui a railler et insulter la ligue au depend de la defense du limousin ? N'est ce pas elle qui accuse mon epouse dont on ne sait quel crime qui l'envoie travailler a la mine au lieu de defendre Limoge ou vous avez pris une raclée dernierement ?

Deux poids deux mesure comme a chaque fois, quand il s'agit de vos opposants vous etes bien prompt a leur rappeler vos ideo chevaleresque mais quand il s'agit des votres ou de votre conseil la c'est autre chose . Arreter de vous prendre pour des dieux et des heros vous verrez que le Limousin y gagnera .
En attendant bonne defaite !

Ps : N'oubliez pas de defendre ventadour , il y a plus de defenseur la haut

Ephyael
Galica
Elle avait lu et relu le courrier recu émanant d'un prince de France, elle ne savait comment trop lui répondre ...

Bien sûr qu'elle était furieuse, bien sûr que son sang bouillait dans des veines de se sentir impuissante, bien sûr qu'elle en voulait au Comte de ne pas avoir été là mais elle en voulait encore plus à l'administration de ce foutu Comté ou pas un n'était capable de répondre correctement à un courrier ...

Depuis debut aoust elle était en contact avec le prévost pour devenir douanière à Bourganeuf ... aujourd'hui elle n'avait toujours pas ses accès au chateau ... m***e alors comment se sentir concerné par ce qui se passe si les grands de là haut ne s'intéressaient pas plus que ça aux gueux et gueuses du Limousin.

Même les brigands étaient plus rapides que le prévost ... Avec son amie, elles avaient, en taverne, évoqué un changement de tribun, cette dernière désirant voyager quelque peu et voilà qu'un brigand ayant surpris leur conversation, l'avait nommé lors de son court passage en mairie, tribun !!! il ne s'était pas écoulé plus de 12 h entre la conversation et la nomination !!! d'accord elle en voulait pas de cette place mais elle s'était acquittée de mieux de la tâche qui l'attendait avant de rendre le poste à qui de droit ...

Pas étonnant qu'ils puissent prendre les mairies sans problème !!!

Elle était arrivée sans y prendre garde devant la Salle d'audience du Conseil, y pénêtra sans plus de façon, attendit un peu que le brouhaha et les incessants vas et viens se furent calmer pour déclarer d'une voix forte …

Bonjour, je me présente Galica modeste habitante de Bourganeuf dont j'en suis pour l'instant le tribun et peut être la future douanière ….

Je dis peut être parce que depuis que j'ai prêté serment je n'ai toujours pas les clefs de mon bureau et encore moins un manuel afin de m'acquitter correctement de mon travail !

Comment voulez vous que les habitants se sentent concernés par la vie de leur cité alors même que leurs dirigeants ne font pas d'effort pour les intégrer dans ce qui, me semble t-il, est la base même d'un bon fonctionnement d'une justice efficace !

Elle s'arrêta un court instant, reprit son souffle et continua sur sa lancée …

Nous manquons dans ce comté cruellement de forces armées, de police, sergent, douanier, CDM et même quelquefois de maire ce qui oblige certains à cumuler les mandats bien que cela fut interdit, je dirai pas ce que je pense de cette interdiction, non pas cette fois ci … je commence à comprendre pourquoi ! Si chaque fois qu'une personne fait montre de bonne volonté pour s'investir dans sa cité l'administration ne réagit pas plus rapidement elle finit par perdre patience et regagne sa bicoque et se laisse aller à une certaine lassitude, ne sortant de chez elle que pour manger, travailler, dormir ou se laisse mourir …

Je suis arrivée à Bourganeuf il n'y a pas très longtemps, cette bourgade venait de subir l'attaque de brigands où en est on aujourd'hui ? Nous sommes tombés de Charybde en Scylla ! Quand cela va t-il donc cessé ? Quand sera t-il pris en compte ces hommes et des femmes qui font vivre le comté ?


S'apercevant du silence qu'avait suscité son intervention, elle se tut, devenant écarlate ...Elle regarda le bout de ses pieds nus … osa relever la tête, fière « non elle ne baisserait pas la tête non elle ne courberait pas l'échine, elle était en son droit … celui de vouloir exister et faire vivre son Comté d'adoption ! ». Elle se rendit compte qu'elle tenait toujours en main la lettre du prince de France a qui elle ne répondrait sans doute pas ...
Seleina
Passant par là, la brune écouta le discours de la jeune femme.

D'une voix douce elle lui répondit :



Vous l'aurez justement noté, la province est en état d'alerte rouge. Ce qui fait que le prévot est fichtrement occupé. Vous devez vous douter qu'il reçoit des tas de courriers comme le votre. C'qui est loin d'être le cas de ce brigand qui a lui le temps d'aller boire une bonne pinte en taverne, et n'a que ça à faire de vous nommer tribun.

V'nez avec moi on va demander vos accès dans la salle correspondante au château.


Indiquant le chemin à suivre, la proc invita la jeune femme à la suivre.

(les accès c'est mieux de les demander dans la partie hrp, c'est dommage mais c'est sans doute plus rapide, et encore)
_________________
Galica
Une brune passant par là lui répondit, d'une voix qui se voulut douce :

Citation:
Vous l'aurez justement noté, la province est en état d'alerte rouge. Ce qui fait que le prévot est fichtrement occupé. Vous devez vous douter qu'il reçoit des tas de courriers comme le votre. C'qui est loin d'être le cas de ce brigand qui a lui le temps d'aller boire une bonne pinte en taverne, et n'a que ça à faire de vous nommer tribun.


Oui, repondit-elle, j'avais bien remarqué mais cela n'excusez pas ceci et que je doute fort qu'il recoive beaucoup de courrier de demande d'intégration dans les forces de polices, maréchaux ou autres ...

puis s'abstenant de faire d'autres commentaires aigre-doux, avait suivi la brune dans les dédales du chateau, se demandant si elle n'essayait pas de la perdre dans les couloirs ....


[Les demandes d'accès ont été faites partout sauf bien évidemment HRP pensant naïvement que RP c'était suffisant ... j'avoue que la lenteur apportée dans la réponse tant des courriers que du RP "salle du trone" me désespère un peu ...]
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