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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Exael
Exaël patientait espérant un jour voir le comte .

Nous , Exaël venant de Guéret voudrions nous entretenir avec le comte au plus vite , nous en avons marre d'attendre !
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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
Gueldnard
Gueld inclina légèrement la tête vers Emerick et le congédia. Aussitôt l'on lui signala qu'une autre personne voulait le voir. Décidément, un porte parole manquait comme d'autre postes au conseil finalement.

Faites donc entrer la personne qui souhaite me rencontrer.
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Exael
Exaël entra , s'inclina avec respect devant le comte Gueldnard .

Comte , la situation de Guéret n'est pas tolérable du tout , vous le savez peut être pas mais nous vivons l'enfer !
J'ai organisé une résistance , et on a repris Guéret , seulement l'armée de l’infâme Thoros est toujours présente il suffit d'un claquement de doigt pour que la ville soit reprise .
Je vous signale aussi que depuis plus d'une semaine certaines personnes dont moi défendons la ville ...
On nous a abandonné , excusez moi de vous dire cela , mais on ne croit plus à une aide , nous perdons tout espoir ...


Se dit que Sinda n'aurais jamais laisser faire une telle chose

Si cela continue nous demanderons notre rattachement à un autre comté/duché , enfin si cela continue il n'y aura plus personne à Guéret , vu les peu de vivres qu'il y a ...
J'essaye de faire gagner du temps en me présentant aux élections mais sachez qu'un brigand participe aussi aux élections et il peut jouir d'un appui certain .

Bref si la situation vous dépasse nous aimerions être au courant de notre sort ...

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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
--Pinssoreille
Pinssoreille déambulait dans les rues et s'arrêta devant une grande porte.

Ah ben c'est là qu'il habite lui, je m'en va lui rendre visite !

Bien entendu il ne put rentrer, passage protégé. L'homme qui le toisait était immense et Pince devait lever la tête pour le regarder droit dans les yeux.

Coucou toi, dis tu peux te baisser un peu, j'ai mal au cou là ! ah voilà qui est mieux... Alors voilà, tu diras au comte Gueule de je sais pas quoi que....

Il poussa d'un seul coup le géant et s'engouffra dans les couloirs jusqu'à la grande porte ou était inscrit le nom du comte.

Ah ben mince c'est pas gueulderat j'me suis trompé là, ben tant pis, ça revient au même !

Il fouilla dans sa poche, prit le parchemin, le placarda contre la porte et se mit à parler très fort afin qu'on l'entende !

Au nom des villageois de Gueret, nous vous remercions de nous laisser mourir de faim ! De ne rien faire, de ne pas bouger le moindre petit doigt pour ceux de votre peuple !

Nous vous souhaitons à tous de ne jamais vivre cela, de ne pas vous sentir un jour ou l'autre seuls au monde mais qu'est ce que Gueret par rapport à Limoges bien sûr ! Rien, rien du tout. Profitez donc tous bien et merci encore de l'aide que vous avez pu nous apporter !


Il replia soigneusement son papier et le rangea quand il entendit des bruits de pas arrivant vers lui. Des gardes arrivaient droit sur lui aussi il prit ses jambes à son cou et se dépêcha de sortir de cette geôle !
Gueldnard
Gueld regarda l'homme et l'écouta avec attention.

Nous savons que la situation de Guéret est intolérable et nous travaillons sur le sujet malheureusement nous n'avons pas les moyens humains de la combattre pour la reprendre et chasser Thoros dans cette situation. Surtout qu'un bon nombre de brigands réside toujours à Guéret.
Dois je vous rappeler que nous avons subit des pertes à cause de 3 armées du Ponant. Qu'à l'heure actuelle il y'a une guerre qui concerne tout le Royaume de France et que de part ce fait il est compréhensible que nos alliés sont occupés ailleurs.

Vous vous plaignez que l'armée ne vient pas vous aider. Devons nous lancer nos forces dans une bataille que nous ne pourrons gagner et dans le même temps offrir le château du Comté ? Sachez qu'on fait avec les moyens du bord. Nous essayons de mettre en place une aide pour vous fournir des vivres etc. Mais oui ça demande du temps car faut regrouper les vivres sur des fonds privés, aller jusqu'à Guéret car le mandat est impossible vu que vous êtes dans une ville franche. Actuellement à Limoges il ne nous reste quelques miches sur le marché. Donc vous voyez pour fournir de l'aide il faut être en mesure de pouvoir la fournir. Oui nous sommes dans une situation difficile, l'on est pas dans une simple et isolé ou l'on a une prise de mairie juste pour de l'argent. C'est une occupation du territoire. Notre Comté n'est pas attaqué pour sa richesse mais bien pour d'autre raisons que j'ai évoqué lorsque j'ai fais un point sur la situation.


Vous n'avez aucun droit de demander le rattachement de Guéret à un autre Comté.

La reprise de Guéret se fera lorsque nous le pourrons comme cela a été fait avec Rochechouart.

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Renardo
Renardo passant dans le couloir avec ses béquilles entendit les brides d'une conversation
Il passa la tete par la porte.

Excusez moi j'ai ouïe votre conversation!
Si je peut me permette nous avons connu la même chose a Rochechouart.
Nous avions vidés le marché et utilisés une taverne pour nous approvisionner
Je peut fournir du pain si on me fournit un peu de bois voir de la farine
Dans 18 jours j’espère pouvoir monter une lance de volontaires pour aider l'armée!
Sinon faut être patient et surtout poutrer pas les renforts comme nous!!!!!


Ah je suis Renardo Chef Maréchal de Rochechouart survivant d'un carnage
Exael
La réponse du comte ne suffisait pas au jeune homme , ils devaient donc encore se débrouiller , le comte lui dit qu'il n'avait aucun droit de demander le rattachement de Guéret à un autre comté , comme si pour lui tout était simple . Guéret vivait l'enfer ...
Ironiquement il dit


" Bien soit prenez votre temps hein ! Après tout c'est vrai que l'on est pas dans l'urgence , tout va bien , notre comté dispose de puissantes armées ! on est bien évidemment supérieurs à nos ennemis "

Puis il reprit son sérieux

"Sachez une chose , on ne vous oubliera pas , et si on est obligé de faire certaines choses pour survivre nous le ferons , et surement pas en votre nom !"

"Merci ! "

Il était agacé de tout ça , claqua la porte à cette audience inutile , il repartit parmi les siens à Guéret , terre meurtrie .
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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
Gueldnard
Gueldnard secoua la tête.

Non mais vous le faites exprès ou quoi ? Guéret à de la farine, du bois et des boulangers. Vous avez besoin de pains ? Et ben vous pouvez demander à vos boulangers d'en faire. Vous vous tenir par la main pour le faire ? Non parce que ça commence à me gonfler sérieusement là. Rochechouart a bien réussi à s'en sortir en alimentant une taverne avec de la nourriture.

Qui vous a dit qu'on avait une armée puissante ? Si c'était le cas Guéret aurait été rapidement sous notre contrôle.


Long soupir, las et agacé il continua de regarder le Guérétois.

Oui oui comme si j'voulais que vous fassiez des choses en mon nom. N'importe quoi ...

Gueld le laissa partir avec grand plaisir et chercha du regard s'il y avait d'autres personnes qu'il devait recevoir.
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Exael
Il entendit le comte répondre et se retourna , complétement énervé

Mais vous n'êtes rien du tout , vous êtes la honte du comté , la seule personne qui avait des couilles ce fut Sindanarie , bien entendu que nous avons des boulangers et de la farine et que ma taverne sert de transition mais on se demande si vous avez un cerveau ! L'armée et les autres brigands et les renforts qui arrivent vous en faîtes quoi ?

On doit attendre et juste faire du pain ? Whaou quelle belle destiné que nous avons la ...

A quoi vous servez je me le demande vraiment !

Bon bref je vais pas insister vous avez surement des séants à lécher dans votre beau château !


oh le vil comte est gonflé de mes propos , bah venez à Guéret vous allez voir comment c'est encore plus gonflant comme situation !

Sur ce au revoir , espérant jamais vous revoir

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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
Gueldnard
Gueldnard lève les yeux et le voilà de retour. Vif, il se lève terriblement agacé.

Bon écoute mon petit coco tu vas pas me les briser longtemps. Tu veux défendre sans assurer la nourriture dans ton village ? Tu as bien regardé qui pouvait attaquer la mairie et laisser une petite marge pour laisser les boulangers travailler ? Tu as envie de crever de faim et ben crève de faim. Rochechouart se sont bien débrouillés tout en étant moins nombreux.

Si j'avais la possibilité de faire bouger mes hommes et aller reprendre Guéret j'y serais allé. J'ai pas les hommes donc je ne vais pas te les chier.

Sindanarie elle a décidé de partir donc faudra t'en passer. Rappel des faits, pendant l'épisode Nilas, il y avait genre 20 personnes et pendant un mois il a mis le bordel entre Bourganeuf et Guéret avant de partir tout seul. Oui elle avait des couilles.

Là on a 40 bonshommes environ avec une armée qui a le prestige du Berry et qui a une bonne petite force de frappe. C'est malheureux mais on ne peut pas faire grand chose comme lorsque les 3 armées du Ponants sont passés par chez nous en ayant listés nos armées.

Oui la situation est regrettable et on fait ce qu'on peut avec les moyens qu'on a. Oui on a pas les moyens humains ni économique d'un Comté comme le BA qui peut rivaliser. Alors oui ça fait chier mais c'est comme ça.

Alors si c'est difficile à comprendre pour toi et ben tant pis. Bon vent.

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Adele_du_niffelheim
La vie c'est moitié boulasse, moitié on est super heureux. La vie c'est aussi moitié je suis content de gagner ma vie, même à la mine, et moitié j'en ai marre d'être prise pour une andouille. C'est le cas de notre Adèle qui en dehors de ses rondes sur les remparts, passe son temps au fond de la mine à pousser des wag.. des brouettes de caillasse pour le bien du comté. Si si..

Citation:
28-08-2011 09:02 : Le Comté vous a reversé 30,00 écus d'arriérés de salaires.


Mais voilà, elle est et restera une femme, et elle a décidé qu'il est temps d'en finir avec les méthodes plus que douteuses des chefs de chantier, ou peut être qu'on dit chefs de mine, elle n'en sait rien, ils ne parlent pas, sauf pour brailler, et d'aller dire ce qu'elle pense au conseil.
Les cailloux qu'on est sensé dégommer à grands coups de pioche ne sont à la limite transportables que par des types qui font deux fois la taille de notre petite brunette. Et si le chef de truc la surprend à soupirer parce qu'elle n'en soulève pas des masses dans la journée vu que son dos est déjà pété aux trois quarts, elle l'entend gueuler des trucs genre « hey toi la feignasse, bouge toi le cul sinon t'auras pas ta paie ».
Déjà on ne parle pas à la descendance du Niffelheim comme ça. Il va l'apprendre à ses dépends celui-là quand un soir il prendra un grand coup de pioche en travers du nez ou dans la nuque pour avoir osé. Mais si avant de l'estourbir elle peut le faire virer pour violence morale sur du personnel en état de faiblesse, elle ne va pas se géner. Autant dire qu'il va mal finir sa vie celui là. Ca va saigner.
Des femmes à la mine, elle en a vu des tas, alors c'est au nom de toutes celles là, qui souffrent au quotidien qu'elle franchit les portes du château dans le but de rejoindre le bureau des doléances et de signaler l'inacceptable afin que cela cesse une fois pour toutes.

Pas de chance, le bureau est déjà occupé.
Pas qu'elle soit curieuse de nature, enfin si en fait elle est super curieuse et a toujours une oreille qui traine. Un homme est là en train d'expliquer au comte la situation à Gueret. La faim, les défenses, le mal qu'ils se donnent... et le grondement sourd, les termes employés en réponse, indignes d'un comte recevant un homme représentant son village en souffrance, le dédain et le mépris qu'elle entend en réponse au pauvre homme la laissent... en fait elle se laisse tomber sur une chaise dans le couloir, et quiconque la verrait en l'instant se demanderait si elle ne vient pas de voir un fantôme. Les yeux sont fixes, le pouls bat la chamade et au fond d'elle sourd une colère qu'elle contient afin de ne pas créer d'esclandre là dans les couloirs du château.
L'homme qu'elle ne connait pas sort du bureau bouillonnant et elle le comprend, lui adressant sans que peut être il ne le voit un petit sourire compatissant, avant de baisser les yeux.
Elle devrait entrer dans le bureau, prendre la suite et aller parler de la taille de ses cailloux. Mais si un village qui meurt de faim provoque chez le comte une telle réaction, elle devine bien qu'elle sera reçue avec davantage de mépris et de dédain.
Au loin la silhouette de l'homme s'éloigne davantage, le pas furieux. Doucement elle quitte sa chaise et prend sa suite en direction de la sortie. Non pas coléreuse comme lui, mais plutôt désabusée.
Le vrai visage des gens est mis à jour lorsqu'ils sont mis devant leurs fautes, leur incompétence et leur médiocrité.

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La fiche perso, la seule, l'unique
Seleina
Et à ce moment là passerait Seleina qui se trouve elle aussi toujours au bon moment au bon endroit. Avisant la brune de Niffelheim, elle irait vers elle, avenante :

Oh tiens, Adèle, quel bon vent vous amène ?


Et si la jeune femme avait eu la curiosité de l'huître bleue, elle aurait entendu le discours du Gueretois, et aurait remercié le très haut qu'en face ce ne soit le Malemort qui lui aurait sans aucun doute possible fait couper la tête du pauvre homme pour avoir osé lui parler de la sorte. Heureusement qu'il avait à faire à un homme doté d'un bon sens suffisant pour ne pas relever le manque de respect qui était dû à la charge qu'il occupait. L'était pas comme ça le comte en poste, et heureusement.
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Zeinar
Le brun à l'ouïe très très fine ne perdit pas une miette de ce qui s'était dit entre le Guéretois et le Comte. Il Ne semblait d'ailleurs pas être le seul puisqu'une silhouette connue, celle d'une ancienne suspecte, trainait dans le coin, à l'affut.
Même Seleina était présente. Décidément, le monde était petit. Agitant les doigts à destination de sa collègue qui accueillit déjà Adèle comme il se devait, il se présenta quant à lui au jeune homme qui paraissait sur le point de partir.


Bonsoir.

J'ai surpris une partie de votre conversation et je me permets de vous donner mon point de vue.

On a deux solutions:

La première: on ne réfléchit pas et on fournit à Guéret des centaines de miches ... si on les trouve, ce qui n'est pas gagné, avec en plus un manque de liquidités. C'est la solution de facilité si je puis dire, celle qui vous contenterez surement et nous donnerait une chouette image.

La seconde: on analyse la situation en exposant à Guéret les fruits d'une réflexion qui pourrait lui permettre de résorber d'elle-même le problème sur le long terme. Quitte à froisser, je crois que c'est indispensable.

Pourquoi Rochechouart réussirait-elle à s'en sortir et pas vous ?

Vous devriez peut-être en discuter avec le sieur Mirdan, qui je pense a été capable, lui et d'autres, d'organiser les choses de façon à ce que la ville se nourrisse sans que les envahisseurs ne raflent pas tout.

Il y a plus de 250 sacs de farine sur votre marché et assez de bois du fait que la ville dispose d'une forêt. Un boulanger produit 36 pains en une journée. Pour une ville comptant environ 50 locaux actifs, ce n'est pas rien.
Si deux ou trois boulangers quittaient les remparts pour se mettre aux fourneaux, ce serait une bonne chose.

Pourquoi proposer de la nourriture en taverne ? Simplement parce qu'une personne à elle seule ne peut pas commander trente six menus.
En communiquant, en s'organisant, en s'entraidant, par des repas en taverne et des échanges directs les locaux pourraient se sustenter.

Je reste persuadé que Guéret est capable de se sortir seul de cette carence en aliments si quelques uns cessaient de défendre pour produire de quoi subsister. D'ailleurs je ne suis pas certains que les brigands soient encore chez vous. C'est une autre histoire.

Lorsqu'un nouveau-né totalement valide mendie devant l'église de son village et paye des verres à n'importe qui, avant de lui offrir gracieusement des écus pour l'aider à survivre, on lui propose d'aller travailler à la mine et de ne pas dépenser inutilement ses économies.
La comparaison vaut ce qu'elle vaut, mais l'idée est là.
On peut vous fournir bêtement du pain pour vous contenter où estimer que vous êtes suffisamment intelligent pour assimiler les conseils qu'on vous donne et qu'il serait plus judicieux pour tout le monde que vous vous en sortiez vos propres moyens car vous en avez la capacité.

Si le conseil comtal est là pour aider concrètement les villes par l'apport d'animaux ou de fer par exemple, il n'est pas interdit de réfléchir et il ne faut pas oublier qu'il est aussi de son devoir de conseiller, notamment pour que les villes s'organisent au mieux. Et cela ne peut se faire qu'avec l'écoute des habitants.

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Exael
Exaël accorda du temps à Zeinar .

Je me suis un peu emporté devant le comte mais nous agissons j'ai prit contact avec les boulangers , les meuniers afin de produire du pain , ce que je voulais au plus profond de mon âme c'était du soutien voila c'est ce qu'au final je demandais .

Quand on est au bord du gouffre on ne réagit pas pareil , je m'en excuse , d'ailleurs .

Oui messire Zeinar , votre comparaison mérite réflexion , nous ferons notre possible pour produire assez de nourriture en achalandant le marché ainsi que les tavernes , en étant coordonnés je pense que l'on à nos chances , merci à vous mais on m'attend à Guéret .

Au plaisir de vous revoir , j'aimerais d'avantage partager avec vous de telles conversations mais comprenez que je n'ai pas le choix que de partir ...

Exaël partit en ayant un peu plus confiance .
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"Nec Proditor, nec Proditur, Innocens Feret "
Emerick_42
Emerick revint et demanda à parler au Comte par intérim, le sieur Gueldnard, c'était urgent.

Valets, prévenez sur le champ le Comte que le lieutenant de Rochechouart demande audience et que c'est assez urgent.
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