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[RP] Salle d'audience du Conseil.

Gueldnard
Assumant encore ses fonctions pour au moins quelques temps, Gueldnard fût informé qu'Emerick souhaitait s'entretenir avec lui.

Qu'on le fasse entrer.
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Emerick_42
Emerick entra et fit une révérence au Comte.

Bonjour, je viens vous voir concernant le sieur Arnault de Malemort, je demande à ce qu'il soit renvoyé du conseil, je trouve inadmissible qu'il y siège encore une fois surtout si l'on s'en réfère au jugement rendu il y a peu.
Gueldnard
Gueld salua Emerick et lui répondit sur un ton neutre.

Arnaut de Malemort a été reconnu coupable de haute trahison, certes. Mais s'il le souhaite il peut toujours faire appel à la cour d'appel et à ce moment là, reste à savoir si la sanction est suspendue ou non pendant l'enquête de la CA.
Lors du prochain mandat, le régnant ou la régnante prendra les dispositions qui lui sied.
Pour notre part, nous avons fait le choix de ne pas confier de poste à responsabilité à Arnaut de Malemort le temps que l'enquête et le procès soit mené à terme. Nous ne pouvions non plus le suspendre de ses fonctions le temps que sa culpabilité n'ait pas été démontrée et reconnue.

Donc l'avenir nous dira ce qu'il en sera sur son cas. Après chacun se fera son opinion .


Léger sourire, le blond espérait avoir répondu au mieux à Emerick.
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Emerick_42
Bien, dans ce cas attendons, il est en effet préférable qu'il soit écarter des postes à responsabilités, j'en suis ravi.
Neti
C'est une furie qui pénétra le castel, dont la rousseur était à l'image du caractère enflammé et explosif. Elle marche droit devant. Elle ronge ses freins et grogne son CV aux premiers gardes pour qu'ils la laissent passer. Mais plus elle avance et plus sa rancœur grandit. Elle parvint à filer entre les pattes des deux gardes suivants qui la jaugent d'un air suspect. Ils ne vont cependant pas tarder à la rattraper, tandis qu'elle s'avance vers la porte de la salle d'audience, en se rendant compte que de colère, elle vient de tirer la hache de sa ceinture et de l'empoigner, ignorant tout ce qui est autour d'elle...

La jeune femme n'a, en cet instant, plus rien d'une diaconesse... La tempérance, la patience, la diplomatie et l'Amour se consument par la douleur de perdre la moitié de son âme, par la colère, la soif de sang, de vengeance, qui l'entoure et qui l'imprègne, insidieusement...

Les loubards ne seront pas trop de deux pour l'arrêter avant qu'elle n'entre et lui ôter toute arme des mains. Immobilisée, elle hurle en direction de la porte de la salle d'audience.


    Couards ! Pendards ! Pleutres ! Traîtres !
    Vous ne méritez pas le courage de ceux qui se battent pour défendre leurs terres !
    Dieu pardonne, moi pas !
    Infamie ! Trahison !
    Ils allaient mourir pour le comté et vous les abandonnez !
    Bourses-m...


Bâillonnée.


Vous ne connaîtrez pas la suite. Et j'en connais 4 qui risquent de finir au trou pour avoir laissé entrer pareille folle-furieuse. Toujours est-il que la rouquine est en train de se faire jeter manu militari du castel. Et ça lui aura en plus coûté une hache... Dommage, elle était de belle facture.

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Kartouche
C'est le moment que choisit l'impromptu Kartouche pour entrer. Celui, donc, où la diaconesse est en train de se faire jeter du château par une bande de gros loubards. C'est pas dans les habitudes de la maison, mais d'une façon assez surprenante, le petit personnel devient vite incontrôlable en ces périodes de transition.

«Putain, c'est quoi ce bordel ?» C'est sans doute la pensée qui vint à l'esprit de notre héros lorsqu'il vit la rousse flamboyante, limite les yeux injectés de sang.


«Gustave, lâchez-la immédiatement.»

Gustave, pour ceux qui n'auraient pas suivi, c'est le planton qui gardait le bureau du juge il y a six mois. Entre temps promu à la surveillance de la salle d'audience, il était forcément de garde un dimanche.

L'importun Kartouche se découvre, et attend que la diaconesse soit désentravée.


«Dona Neti, je ne sais pas quelle est la cause de cette erreur, mais les responsables seront dûment châtiés. Peut-être puis-je vous aider... qu'est-ce qui vous amène au château ce matin ?»
Neti
Les pieds retrouvent le contact du sol, la tenue est rapidement lissée de quelques geste de la main, la hache est récupérée en profitant de l'effet "Kartouche-qui-en-impose" et retrouve sa place le long de la cuisse de la rouquine.

Elle eu certainement préféré trouver quelqu'un sur qui elle n'aurait eu aucun scrupule à évacuer la colère, la déception de la trahison... Mais il semblerait que la vie, le destin, le hasard, ou tout ce que vous voulez, nous propose toujours de revenir dans le droit chemin. Du moins, la diaconesse en est-elle persuadée, à ce moment précis de l'histoire, alors qu'elle prend quelques secondes pour jauger l'insaisissable Kartouche tout en se payant le luxe d'un divin rappel à l'ordre intérieur.

    « Es-tu bien certaine, Ma fille, de vouloir céder à la colère du Sans Nom ? Est-ce là la direction que tu choisis de prendre pour cheminer vers Moi ? En ton âme et conscience ? Seras-tu seulement soulagée lorsque ta bouche aura déversé le fiel de la créature que Je n'ai pas nommée sur cet homme qui n'est pour rien dans la douleur qui te pèse ? »


Se rendant à l'évidence, la religieuse ferme les yeux un instant pour remercier le Tout Puissant d'avoir mis sur son chemin, à ce moment là, l'imperturbable Kartouche auquel elle se décide enfin à répondre.


- Ceux qui méritent châtiment ne sont pas là où on les croit...
Ce qui m'amène ce matin... c'est la nuit passée sur les remparts de Tulle aux cotés de gens qui ont choisi en toute conscience de se mettre coûte que coûte en travers du chemin de l'ennemi. Ce qui m'amène, c'est la fierté de vivre parmi ces gens là, mais c'est surtout la déception et le sentiment de trahison parce que mon comté, celui auquel j'ai toujours tout donné, a retirer son soutien aux tullistes, a préféré céder une quatrième ville sans combattre, ordonnant aux quelques soldats présents à Tulle de ne pas défendre la ville ou de le faire en leur propre nom et non pour l'armée, demandant aux deux seuls limougeauds venus aider de rentrer sans défendre Tulle.

Ce qui m'amène ce matin... c'est d'avoir d'avoir été poignardée dans le dos par mon propre comté, alors que ça fait trois jours que le conseil est au courant que j'organise la défense et toutes les mesures de sécurité pour Tulle. C'est d'avoir eu pendant trois jours son soutien silencieux, allant même jusqu'à embaucher 7 maréchaux supplémentaires. C'est d'avoir réalisé que le conseil s'est en fait consciencieusement tu pendant trois longues journées pour finir par nous abandonner et nous trahir en nous retirant son soutien, alors que la nuit était déjà tombée et que nos remparts étaient peuplés par les braves, les courageux, les hommes et les femmes dont l'honneur ne saurait tolérer de regarder notre ville se faire piller et souiller par la vermine sans rien dire ni rien faire.

J'ignore si vous pouvez m'aider...


La voix avait retrouvé un volume sonore correct. Si la colère pouvait être raisonnée, le poignard, lui, laissait une plaie ouverte. Pouvait-elle seulement être encore aidée ?
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Kartouche
[Juste avant]

« Mais, m'sieur... La demoiselle est arrivée comme une folle, hache en main, ch'veux dans tous les sens. On a cru qu'elle venait pour décimer le comte, au moins. »

Bref instant de réflexion du côté du conseiller. Décapiter, peut-être. C'est vrai que Neti n'avait pas vraiment l'air calme du brave bourgeois qui vient tranquillou déposer une requête au pied du trône. Mais bon, non sans raison vu l'escorte musclée l'accompagnant aux portes du palais, le perspicace (mais oui...) Kartouche avait mis cela sur le compte de ceci, et non l'inverse.

« C'est pas grave, lâchez quand même. Êtes-vous bien sûr de ce que vous me dites... ?
— Sur ma femme et mes gamins, m'sieur Kartouche.
— ... que dona Neti, diaconesse aux flamboyantes boucles brunes, fidèle parmi le fidèles, infaillible de loyauté au comté, vous a fait l'impression de vouloir égorger Gueldnard comme un porc ?
— Euh... Oui, parf...
— Merci. Filez, je m'en occupe. »


[Tout de suite après]

Il a concentré son attention sur Neti, écoutant son allocution du début à la fin, sans un bruit, mais non sans que son visage ne change de teinte ; devenu rouge, pourpre, il a terminé pâle, blanc.

« Ce que vous me dites, Dona, me trouble, mais je ne saurais vous dire, moi-même, les raisons de tout ceci. Je ne vous ferai pas l'affront de vous laisser repartir, comme l'on ferait avec un autre, en affirmant distraitement porter vos doléances au conseil. Venez donc avec moi jusqu'en salle d'audience, où nous trouverons, j'en suis certain, le régent Gueldnard. »

Et Kartouche de reprendre à l'envers le chemin que vient d'effectuer la diaconesse. Au détour d'un couloir.

« Vous auriez fait tout ceci, et nous aurions tout laissé tombé ? » Moue songeuse. « Non, décidément, je ne comprends pas... Il y a trois semaines, j'avais été le premier à défendre la décision courageuse mais suicidaire du conseil, envoyant une de nos armées contre trois du Poitou, sauvant l'honneur du Limousin. Et là, on aurait laissé tomber une ville, comme ça... Mortecouille ! Y a anguille sous roche. »

Et quand il dit mortecouille, c'est qu'il y a bien un truc qui va de travers pour l'ex-juge.
Gueldnard
Des cris dans les couloirs, le blond relève le nez de ses parchemins. Reste aux aguets quelques instants, le calme revient, son casse tête reprend.

Les minutes s'écoulent doucement jusqu'à ce que Kartouche et Neti se présentent devant Gueld. L'homme lève le nez et salua les deux personnes.


Bonjour, qu'est ce qui vous amène ?
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Neti
En d'autres circonstances, elle aurait certainement mimé un "Oh !" de surprise, chastement choquée, en entendant le juron sortir de la bouche de Kartouche. Mais là, non. La commissure de ses lèvres s'étira un peu, l'espace d'un instant, tandis qu'elle avançait, plus calmement que quelques minutes plus tôt, vers la salle du conseil, aux cotés de l'ancien juge.

J'vous l'fait pas dire !
Eh bien voyez... ce que le Conseil jugeait bon pour Limoges il y a trois semaines, ne l'est plus pour Tulle aujourd'hui. C'est à croire que les valeurs que nous défendons changent aussi vite que le sens du vent... C'est rassurant !


Un salut respectueux à la Grandeur du Limousin, parce que faut pas déconner, on est quand même au castel... et pas dans la taverne du coin.

Ce qui m'amène... c'est la furieuse envie de venir rappeler au Conseil la devise de son armée : nulle défaite quand on se bat avec honneur ! Alors j'espère que la soirée d'hier est considérée comme une mémorable défaite après la trahison et l'abandon de Tulle par le Conseil. Parce que ça, ça n'avait rien d'honorable !

Alors que les Tullistes se rassemblaient sur les remparts car la simple idée d'être inactif lorsqu'ils sont menacés chez eux, sur leurs terres, leur est insupportable et inenvisageable... alors que j'organisais toutes les défenses de Tulle, aux vues et au su du Conseil depuis trois longues journées sans que rien ne nous soit dit allant en sens contraire... alors que hier au soir, lorsqu'il était déjà bien trop tard pour reculer, les Tullistes avaient l'arme au poing et la force de ceux qui se battent pour une cause juste... ils ont été lâchement abandonnés par leur Conseil. Ce Conseil a lamentablement baissé ses braies pour se faire enfiler, comme vous êtes si bien capable de le dire, en jugeant qu'il ne valait pas la peine de défendre l'une de ses villes.

Ça fait quoi d'être comte et d'abandonner une de ses villes ? D'accepter lâchement qu'une quatrième ville tombe ? Ca fait quoi de refuser de soutenir ceux qui sont prêt à donner leur vie, pour affronter cette armée qui souille nos terres depuis des semaines, qui prennent les armes en toute conscience pour la terreur cesse ?

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Gueldnard
Gueldnard écouta avant de répondre simplement à Neti.

J'ai pour ma part envoyé un courrier à Erabal demandant son retour ainsi que celui d'Angeline. Pourquoi ? Car les risques contre le château sont très important et que j'avais besoin d'eux. Erabal est meunier et il est important qu'il puisse être présent à Limoges afin d'assurer de la farine pour nourrir la population car nos stocks sont au plus bas.

Si le Capitaine Aldraien a donné l'ordre à ses soldats de ne pas défendre Tulle c'est qu'elle a voulu les préserver dans l'optique de les renvoyer sur Limoges.

Nous savions que :

- Thoros a un besoin urgent de nourriture et que le marché de Tulle était vide ainsi que sa mairie. Sa première nécessité était de trouver de quoi manger. Pouvait il encore tenter le pari de rester sur Tulle ?
- Qu'en cas de combat armée, les défenseurs seraient sans doute poutré. Aurions nous pu résister pour Tulle en cas de combat armée ? Je ne pense pas car le soutien Berrichon lui octroyait un sacré avantage.
- En cas de révolte oui nous aurions pu le repousser donc une défense en conséquence devait quand même être organisée.

Aldraien à jugé bon de ne pas sacrifier ses soldats pour défendre une mairie vide et qui en cas d'attaque direct aurait été perdue. Elle a préféré garder ses soldats pour les repositionner sur un autre front.
Oui j'entends déjà que c'est scandaleux de laisser aussi facilement nos mairies aux mains de Thoros etc. Seulement avons nous le choix ? Vaut il mieux laisser perdre une mairie ou laisser la porte ouverte au château ? Les conséquences sont elles les même ? Pourquoi Thoros attaque depuis de nombreuses semaines nos terres en les harcelants ? Il est au compte du Ponant, notre Comté de part sa position géographique a une position importante pour le Ponant dans la liaison avec le Berry. De plus, notre reyne est originaire de notre Comté ce qui n'est qu'une raison de plus pour continuer. Ils mettent la pression. Si c'était pour les richesses, Thoros ne serait pas resté autant de temps à Rochechouart, il ne s'acharnerait pas sur le Limousin qui est loin d'être riche. Oui nous sommes un Comté faible qui ne dispose pas des moyens militaires et économique dont peut posséder le BA ou d'autre grandes provinces. Combien de fois avons nous été souillé ces derniers mois ? Les attaques incessantes nous empêches de nous redresser et prendre de l'ampleur. C'est ainsi il faut faire avec.
Aujourd'hui notre Comté est au milieu d'une guerre dans laquelle il était neutre. Plongé malgré lui mais il faut faire avec. Nous n'avions ni les moyens financiers ni humains d'y faire face mais les faits ont fait que nous y sommes bien obligé.

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Seventisix
Seven avait envoyé tous ses pigeons au Comte, Prévôt, pour avoir l autorisation d entrer a Limoges seul le Maire de Bourganeuf lui avait répondu, mais pas formellement, vu les récents évènements et l état civil que le provençal affichait il se déplaçait donc prudemment .

Bonjour, je souhaite me rendre dans votre Capitale, on m as dit qu une armée veillait sur celle ci, faut il une autorisation pour y entrer ?
Galica
Galica déboula telle une furie dans la chambre d'audience, n'ayant cure des gardes qui la regardèrent passer en haussant les épaules ... faut dire qu'en ce moment y avait que des furies qui entraient par là !!!


J'viens d'apprendre qu'on a plus d'prévost, plus d'capitaine, plus d'connétable 'fin plus d'dirigeants quoi !!! c'est quoi ce bordel ? on nous demande d'élire une liste, on nous demande de nous engager, on nous ... mais y en a marre (nan j'prendrais pas d'malabar...) de tous ces dirigeants ou futurs dirigeants qui ne pensent qu'à gonfler leur égo en devenant Comte ou veulent voir apparaitre leur trombine sur les murs du chateau !!!

On veut un Comte compétent entouré d'une vraie équipe pas par des personnes qui ne pensent qu'à leur confort personnel et n'en ont rien à battre du Comté du Limousin et de la Marche !!! j'sais bien que j'ne suis qu'une gueuse devenue douanière et tribun dans sa ville mais j'ai le droit de dire ce que je pense même si j'dois m'faire décapiter après !!

Y a des appels a la révolte ha ouais et on va se révolter contre qui ? y a plus personne ici ou si peu !! et pour mettre qui en place ? j'vous l'demande ... La guerre gronde dans le Royaume de France, les brigands sont plus en plus nombreux à nos portes et ici dans le Comté du Limousin et de la Marche on en est encore à des querelles intestines afin de savoir qui va être Comte à la place du Comte pendant que le peuple est à l'agonie ...

M'enfin regardez la réalité en face ... on est la risée du Royaume de France, de Navarre et d'ailleurs ... Mettez votre fierté dans votre poche, asseyez vous dessus et pensez à ... aux prochaines elections comtales ... Avec un peu de chance celui qui aura laissé sa place se verra peut être élu avec une majorité ecrasante ...


Elle se tut, tourna les talons ... repartir à Bourganeuf ... rejoindre les siens ... marre elle en avait marre ... mais quand donc ceux qui se veulent les "Grands" de ce royaume allaient ils arrêter de se regarder le nombril et voir se qui se passait réellement autour d'eux ... quand allaient ils enfin se rendre compte qui si le peuple mourrait ... ben eux aussi ils créveraient ... cette pensée la fit sourire légèrement ...

Elle partit le coeur lourd, sachant que pesonne n'entendrait ses paroles ... elle aperçut dans un coin de la salle, le Garde Episcopale, Seventisix, rencontré la veille en taverne ... lui adressa un bref sourire, se demanda s'il avait reçu réponse et disparut
Kartouche
Mine perplexe. Le rapport du greffier préposé au comptage des voix l'avait étonné, en se réveillant au petit matin. Contrairement à l'arrivée de Thoros qui n'était une surprise pour personne. Rentrant au château, il tombe sur une pétitionnaire.

Damoiselle, bonjour... Avec un quart du conseil endormi à l'heure de passer au vote pour le quatrième tour, hier soir, Gueldnard a finalement été reconnu comte, comme le demandait d'ailleurs très subtilement une habitante de cette province...

Comme de coutume, il lui est loisible de reformer intégralement le conseil, ce qui se fera sans doute en cours de journée. J'vous souhaite une bonne matinée, et j'vous remercie de votre engagement pour le Limousin. On a besoin de gens comme vous, c'est comme ça qu'on s'relèvera.

Mine en apparence joyeuse, avant d'emprunter les couloirs menant des audiences aux séances.
Galica
Dans sa hate de quitter les lieux, Galica faillit percuter un homme qui passait par la ...

Elle prit le temps d'écouter ce qu'il lui dit ... enfin un peu de communication pensa t-elle, lui grogna ...

bonne matinée à vous également Messire et ... merci pour les renseignements ...

Et reparti chez elle ...
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