Yolanda_isabel
[A Mortagne dans lauberge préférée dune Gracieuseté]
LAlençon est bien triste, bien fade, et souvent, lInfante pense à sa Bourgogne chérie, à son frère, celui-là même à qui elle a répondu le matin-même, pour le rassurer, personne ne la agressée sur la route, elle nest pas seule, elle est toujours vivante et virginale, et alors quelle sourit à cette idée, voilà quun messager arrive en courant, manquant se cogner contre Titi Pierre mais sarrêtant juste à temps, décence que na pas le deuxième coursier qui accourt dans les escaliers et qui se cogne contre le premier qui se cogne contre le géant angevin qui le cogne dun coup de poing bien senti. Là, généralement, cest le moment où on se sent seul, très seul, alors avec un soupir, elle dépose la boîte contenant Prune pour sintéresser plus encore aux nouveaux arrivants. Lesquels ne sont autre que des hommes portant des couleurs bien connues, le premier aux siennes ou plutôt celles de la famille Josselinière, et ces couleurs là, lui amènent de la couleur sur les joues, le deuxième porte celles des Blanc-Combaz, le sourire vient mais différemment.
-« Titi Pierre lâche les un peu sitoplé. »
Et enfin, les colis sont amenés, le premier plus important que lautre est tenu avec dinfimes précautions et du paquet est ôté un coffret plein daération. Alors le sourire gravit des monts dallégresse, la boîte est ouverte et lintérieur considéré avec un regard luisant de malice et de curiosité enfantine.
-« Il a mangé ? Il mange quoi ? »
Car il sagit bien dun animal, dun cadeau même pour une amie très chère, dun cadeau venu de très loin et à grands frais pour une blague, une farce, une rodomontade. Elle entend à peine la réponse et se focalise déjà sur le deuxième coursier qui lui tend une lettre, un coup dil peu amène, et il ouvre lui-même la lettre pour la lire à haute voix. Griotte qui a besoin daide, Griotte qui a besoin dune amie. Cest elle, non ? Lamie de Griotte ? Le coffret est refermé, et elle se lève du fauteuil.
-« Titi Pierre, on va à Paris, cest la fin du monde. »
Enfin, pas tant que ça, juste la fin de la liberté chérie de son amie, et comme chacun sait, les amies servent à ça. Le soutien psychologique, la solidarité féminine.. Tout ça, tout ça quoi.. Et si en plus, elle peut lui offrir son cadeau !
[A Paris donc, dans une auberge des Galeries Lafayotte]
Elle tapote dun doigt le haut du coffret en argent ciselé, glisse un il à lintérieur dune des aérations, rit pour elle-même, elle attend, son amie et aussi la suite de la missive assez évasive à moins que le coursier ne lui ait tout bonnement pas tout racontée. Vilain coursier.
-« Y parait que ça change de couleurs .. Cest drôle, tu trouves pas ? Moi, je trouve que cest drôle. Griotte, elle aimera. »
Oui, elle adore ses cadeaux, Griotte, cest bien connu, et puis de toute façon, Griotte ladore, alors bon, elle peut tout aimer.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.
LAlençon est bien triste, bien fade, et souvent, lInfante pense à sa Bourgogne chérie, à son frère, celui-là même à qui elle a répondu le matin-même, pour le rassurer, personne ne la agressée sur la route, elle nest pas seule, elle est toujours vivante et virginale, et alors quelle sourit à cette idée, voilà quun messager arrive en courant, manquant se cogner contre Titi Pierre mais sarrêtant juste à temps, décence que na pas le deuxième coursier qui accourt dans les escaliers et qui se cogne contre le premier qui se cogne contre le géant angevin qui le cogne dun coup de poing bien senti. Là, généralement, cest le moment où on se sent seul, très seul, alors avec un soupir, elle dépose la boîte contenant Prune pour sintéresser plus encore aux nouveaux arrivants. Lesquels ne sont autre que des hommes portant des couleurs bien connues, le premier aux siennes ou plutôt celles de la famille Josselinière, et ces couleurs là, lui amènent de la couleur sur les joues, le deuxième porte celles des Blanc-Combaz, le sourire vient mais différemment.
-« Titi Pierre lâche les un peu sitoplé. »
Et enfin, les colis sont amenés, le premier plus important que lautre est tenu avec dinfimes précautions et du paquet est ôté un coffret plein daération. Alors le sourire gravit des monts dallégresse, la boîte est ouverte et lintérieur considéré avec un regard luisant de malice et de curiosité enfantine.
-« Il a mangé ? Il mange quoi ? »
Car il sagit bien dun animal, dun cadeau même pour une amie très chère, dun cadeau venu de très loin et à grands frais pour une blague, une farce, une rodomontade. Elle entend à peine la réponse et se focalise déjà sur le deuxième coursier qui lui tend une lettre, un coup dil peu amène, et il ouvre lui-même la lettre pour la lire à haute voix. Griotte qui a besoin daide, Griotte qui a besoin dune amie. Cest elle, non ? Lamie de Griotte ? Le coffret est refermé, et elle se lève du fauteuil.
-« Titi Pierre, on va à Paris, cest la fin du monde. »
Enfin, pas tant que ça, juste la fin de la liberté chérie de son amie, et comme chacun sait, les amies servent à ça. Le soutien psychologique, la solidarité féminine.. Tout ça, tout ça quoi.. Et si en plus, elle peut lui offrir son cadeau !
[A Paris donc, dans une auberge des Galeries Lafayotte]
Elle tapote dun doigt le haut du coffret en argent ciselé, glisse un il à lintérieur dune des aérations, rit pour elle-même, elle attend, son amie et aussi la suite de la missive assez évasive à moins que le coursier ne lui ait tout bonnement pas tout racontée. Vilain coursier.
-« Y parait que ça change de couleurs .. Cest drôle, tu trouves pas ? Moi, je trouve que cest drôle. Griotte, elle aimera. »
Oui, elle adore ses cadeaux, Griotte, cest bien connu, et puis de toute façon, Griotte ladore, alors bon, elle peut tout aimer.
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« Yolanda Isabel de Josselinière : créatrice de la Disney Parade du XVème siècle ! » - Breiz.