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[RP] la maison du lac

Sherynne
Après une journée harassante passée à entreposer le blé dans la grange chez son employeur du jour, Sherynne traine les pieds et entre à La Bottine où l'attend son Piti et Corso, sa bestiole blanche. La jeune fille lui a enfin trouvé un nom, il était temps.
Remplaçant Stelliem à la taverne, elle y passe une grande partie de la soirée malgré la fatigue qui l'assaille. La brunette attend le retour de son brun partit faire sa ronde, en servant des godets et pichets, en buvant un peu aussi. Elle refait le monde avec ses amies...

Au retour de Piti, à une heure avancée de la nuit, elle ferme La Bottine et ils prennent tout trois le chemin de la maison de la brunette, Sherynne sur le cheval avec son homme et le louveteau blanc qui trottine à leur côté.
Le maréchal descend de Patachon, aide Sherynne a en faire autant pour les derniers mètres et le guide jusqu'à l'étable.
La jeune fille part devant, suivit du louveteau pousse le portillon du jardin le laisse ouvert pour son homme et presque aussitôt l'animal se met à grogner. Intriguée elle n'ose aller voir ce qui l'agite ainsi et l'attrape par la peau du coup et le traine jusqu'à la maison.
Elle allume les bougies et se saisit de la lanterne referme le porte derrière Corso et revient sur ses pas.


Il y a quelqu'un ?

Evidemment aucun réponse..Elle fait un pas un peu surprise, se penche et ramasse quelques fleurs coupées. La brunette regarde autour d'elle, levant haut la lanterne, baisse les yeux sur les fleurs qu'elle tient à la main et fronce le nez légèrement inquiète, une pensée la traverse et elle jete les fleurs et s'essuie la main sur sa robe..

Je sais qu'il y a quelqu'un ! Montrez-vous ?... C'est toi Piti ?

Un bruit de pas se rapproche, Sherynne se tourne sursaute et soupire de soulagement en voyant son Piti.
_________________
Buhr
Tapi dans l'ombre, Buhr attendit de longues heures Sherynne, lui laissant le temps de ressasser, une fois de plus, ces derniers événements. La monotonie qui s'installait le fatiguait, au point qu'il faillit de s'endormir sur place, las d'attendre. Peut-être ne viendra-t-elle pas, peut-être que ses informations n'étaient pas correctes...

Et pourtant, au milieu de la nuit, voici deux personnes qui s'avancent. De loin, il la reconnaissait, c'était elle, elle et un inconnu. Ils s’avançaient, il les guettait, leur volant presque cette intimité. Alors que Sherynne ramassaient ces fleurs, il ne put détourner les yeux. Mais au final, en raison peut-être de l'heure avancée, elle n'avait certainement pas réfléchi plus loin. Après quelques secondes d'inquiétude, Sherynne était rassurée par celui qui l'accompagnait. Si sa réaction n'était peut-être pas celle qu'il attendait, Buhr se dit qu'il n'en avait pas moins touché sa cible. Ne serait-ce que l'espace d'un instant, elle s'était demandé qui était là, elle avait peut-être même commencé à douter. Une fois le couple rentré, Buhr s'éloigna de la maison. Il y reviendrait, pour sûr, mais il avait d'abord une affaire à régler.
Pitiviers
Je sais qu'il y a quelqu'un ! Montrez-vous ?... C'est toi Piti ?

Pitiviers qui revenait doucement de chez lui vit Sherynne quelque peut inquiète...

Que t'arrive t'il? bien sur que c'est moi

Il lui sourit avant de l'embrasser et de lui reprendre la main...
Il ne pu s’empêcher de remarquer les fleurs...

A qui sont ces fleurs?
Sherynne
Je ne sais pas.. je les ai trouvé par terre ... Allez on rentre je suis fourbue.

Glissant son bras sous le sien ils rentrent dans la maison. Sherynne donne a mangé à Corso et ils filent se coucher.


Deux jours plus tard..


C'est en pleurant et en pestant que Sherynne rentre chez elle. Il est à peine midi aux cloches de l'église. Ce qui devait arriver est arrivé.
Piti et elle c'est fini.
Elle pousse la porte de chez elle et prépare son baluchon. S'essuyant les yeux, elle ouvre l'armoire, prend du linge de rechange qu'elle fourre dans la besace. Corso vient se frotter à sa jambe. La brunette se baisse et le caresse.


On part en balade mon beau..

Elle soupire et continue de préparer son sac. Puis elle en prend un autre pour les victuailles où elle dispose pains et gourde.
Sherynne part ce soir, direction Périgueux. Voilà le sujet de leur dispute du jour. Sherynne a l'armée et Piti la Marée.. Cela ne pouvait pas aller dans le même sens c'est sur.
Piti refusant son choix de s'engager l'avait laissé seul hier soir et ce matin, lorsqu'elle apprit qu'elle partait dès ce jour, elle savait que lui apprendre la nouvelle allait être difficile... Mais pas à ce point..


J'ai quelque chose à te dire ...

Je sais...

Tu sais ?...

Je suis à la marée je te le rappelle.

Nous partons ce soir..

Oui, et ma réponse est déjà prête
A ton retour je ne serais plus là
J'y ai bien refléchi toute cette nuit sur mes rempart...Votre inconscience sans non, suivi de ce départ en me prévenant a la derniere minute me prouve de nombreuse choses
Mais ce n'est pas grave, part vivre cette magnifique avanture qu'est la ceuillette au champignon avec hagos
alors que de nombreux brigand afflu en direction de castillon


vas y culpabilise moi...
je laisse pas tomber casti


Je ne te culpabilise pas, je ponte juste du doigts votre inconscience... J'ai déjà perdu une femme, je ne veux pas revivre cela
Je suis désolé


Voila ... c'est fini... Plutôt que de se soutenir mutuellement, chacun campait sur ses positions...
Sherynne ferme la porte de sa maison siffle Corso et part le coeur vide..
Buhr
Buhr était passé quelques fois devant cette maison durant son séjour. Pourquoi ? Au fond, il ne savait pas lui-même. Il avait peut-être simplement quelque chose à se prouver, à lui-même, peut-être simplement besoin de se sentir vivre. Pourtant, mis à part le premier jour, l'intéressée ne semblait pas être là. Elle était partie, armée à ce qu'en disent certains. Elle était partie, et lui ne l'avait pas revu. Bien sûr, il n'était pas revenu pour elle, mais c'était la première fois qu'il perdait une trace, qu'il perdait une proie. Il avait du mal à s'expliquer ce qu'il ressentait.

Maintenant, sa mission touchait à sa fin à Castillon. Il avait pu négocier et traiter avec son contact. L'Ordre pouvait toujours compter sur lui. Et demain, il se remettrait certainement en route, vers une nouvelle quête.

Un passage, sans doute un dernier passage avant son départ de Castillon, devant cette maison. Il s'y arrêta longuement, ne sachant que faire. Sans vouloir se l'avouer, il était vraisemblablement autant dépendant d'elle qu'elle de lui. Quelques instants devant la maison, un dernier regard sur ces fleurs arrachées qui étaient restés là, sur le sol, puis il s'en retourna en ville, passer dans une taverne discrète cette dernière nuit castillonaise.
--Carmen_crue




Bon allez va pô falloir trainer comme une catin, la Carmen, faut quand même aller au turbin ! Cette saleté d'gosse est encore partie courir le gueux avec son engin à quat' pattes, un truc blanc qui dégueulasse partout, qui pue et qui vient faire chier ses poules. Pire qu'un renard c'te bête là ! et la p'tite, en tant que voisine lui a demandé de passer surveiller la maison.
Elle entre dans la baraque, enfin le palace hein, c'est qu'equ'chose ça tout de même, une si grande bicoque pour une fille tsss elle qui ne posséde qu'une simple cabane au fond du jardin, entourée de cailloux pffff quelle misère ! Mais au moins suffisante pour ses besoins tout personnel !
Carmen tire une chaise sur le perron et y grimpe bien décidé à tirer sur le premier qui s'avise de foutre un orteil grasseux dans le jardin d'sa protégée.

Ouai ça beau être une donzelle, elle l'aime bien la p'tite. Elle lui paye des coups, vient lui tenir compagnie bon elle lui prend la verrue avec ses conseils à la mort moi l'noeud, mais elle l'aime bien. bon sauf une fois hein ! quand le Corso là son compagnon qu'elle ferait d'se débarasser, avait chier devant sa porte sous pretexte qu'elle aurait dit des grossieretés, faut pas faire chier Carmen Crue !
Enfoncée dans la chaise, l'arme sur les genoux, elle se tasse pour se mouler invisible dans le paysage.
La petite sera là demain avec son chiard, p'tetre qu'elle aura un cadeau té !
Une bonne bouteille de gnole avec des friandises ..
Ou juste de la gnole hein, l'est po gourmande la Carmen.


Sherynne
La brunette pousse le portillon du jardin, s'écarte pour laisser passer Corso et referme derrière eux.
Elle retire ses bottes et traverse le jardin pieds nus, jete un oeil aux fleurs fanées sur le chemin, les ramasse et les jete dans un seau plus loin. Surprise de voir le fauteuil devant la porte, elle s'avance lentement s'attendant à avoir de la visite. Juste un mot accroché à la porte.




Bien la bone arivée tite gueuse, j'ai bien véyé sur ta méson, persone a pouinté le muso é sé temps mieux gétés armais. Come ça tu é trenqil persone sé que tétée po lo. t'a porté une gnole pour to carmen dé pose la dent la gamele de vent la port.
Bisou creuvette


Sherynne éclate de rire. Bah comme ça si quelqu'un était venu, il aurait pu entrer et tout volé. Merci Carmen !
Elle pousse la porte, ouverte bien entendu... lance ses bottes dans un coin et file chauffer de l'eau pour le bain et pour un reméde contre le mal de gorge.
Elle donne un coup du revers du pied à la porte qui claque, pose le mot de carmen sur le gueridon et donne à manger à Corso.
Puis se laisse tomber dans son grand fauteuil pourpre.


Enfin chez soi ...
Sherynne
Pataugeant dans un bon bain, la brunette repense à ses derniers jours. La rupture avec Piti, sa désolation, sa tristesse ... son engagement au sein de l'armée du PA, leur déplacement sur Périgueux qui n'aura duré que très peu de jours.. Son brun qui était venu la rejoindre.. Son brun le genou à terre... qui lui fait sa demande... Sa jolie bague en marguerite ...
Oui... Elle lui a dit oui à " La Corne des Muses " ... deux fois.. trois... ou peut-être quatre ..

Sherynne a ce sourire qu'on les femmes amoureuses, comblées.. Une jambe en l'air qu'elle frotte avec le saponaire au miel et à la cannelle, elle fait mentalement la liste des choses à faire.
Robe.. invités... repas... témoins... fleurs ... musique ...La brunette soupire et panique un peu.
Tant de choses à faire en si peu de temps... Tant de choses à penser...
Et si jamais le comté envoyait l'armée en Berry ? ou ailleurs ... Si le jour de son mariage elle est à l'autre bout du royaume ... ?

La jambe pendante hors du bain, elle s'étire et une boule au ventre la fait grimacer. Une tristesse étrange l'envahit.
Elle n'aura personne de sa famille au mariage.. Ses parents sont morts, du moins le croit elle, puisque Buhr ne lui a pas dit le contraire.. Juste qu'Alemona sa mère s'est sacrifiée pour elle il y a dix ans...

Et Buhr ... C'est peut être la seule personne... Le lien entre ses parents et elle...
L'inviter ? Etrange que cette pensée...
Personne pour la conduire à l'autel...


Allons on sourit hein ! Je vais me marier ... je vais me marier ..

Je vais ME MARIER !!!!! La vache... ça fait peur quand même ...

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Sherynne
Bien plus tard ...

Sherynne fourre quelques affaires dans son baluchon puis fait un tour dans sa maison... Elle ferme les volets tout en laissant les fenêtres ouvertes, range un peu et s'assied quelques instants sur le perron, Corso à ses côtés. Tout en le caressant, elle pense à ses amis, à son Piti qu'elle laisse seul.. au mariage repoussé et à ce qui l'attend durant ces prochains mois.
Vona les envoie combattre... Boul, la petite Tiny Simatus et bien d'autres...

Elle soupire, la main entre les oreilles du louveteau qui a bien grandit.


- Tu viens avec moi toi. Mais gare à tes fesses Corso, pas de champ de bataille pour toi... Tu seras mon réconfort le soir... un ami que j'emmène avec moi ...

Ses yeux se perdent devant elle, son joli jardin, sa maison... le lac .. Corso lui donne un coup de tête gentillet sous le menton et elle se lève.
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Antinea
Anti arriva,éssouflée d'avoir courue,comme à son habitude,à droite et gauche,et toqua,en esperant que sa chère soit chez elle,à la massive porte du moulin

Marraine,marraine,c'est Anti,tu es réveillée ou tu dors encoreeeeeeee?^^
Et de se reculer pour attendre patiemment que Sherynette lui ouvre si elle était là,autrement,elle allait courir jusqu'à chez Piti......
Sherynne
Naaaaaaaaaaaaaaaan suis là ! Attends je descends !


Sherynne occupée à blinder sa besace de pains et viandes séchées pour le grand départ, n'a pas entendu de suite son amie. Corso sur les talons, la brunette dévale les escaliers, ouvre grand la porte et se jette dans les bras de son amie.

Je suis contente de te voir !! Avant que tu ne dises quoi que ce soit... faut que je te dise ... ça y est je pars. Demain ..

Avant que son amie ait pu ouvrir la bouche, elle l'entraine à l'interieur et lui colle un verre dans la main et s'en sert un.

A la notre ma belle.. A te revoir très vite.
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Antinea
Anti eut un coup de baton derrière la têste,encore un,...Mais plaquant son sourire "tout va bien",elle embrassa tres tres fort sa marraine,et but en sa compagnie

Je t'écrirais,ma marraine,moi,j'attends la fin de la formation de barbière et je vais voir soit une longue retraite soit un voyage ,si tu es de retour,je ferais une bonne retraite,et ensuite,on mettra en place nos tits projets,héhéhéhéh

Elle serra très,très fort sa marraine adorée,et ne put retenir ses larmes

Fais attention à toi,ma bichounette,fais très attention,tu prends r'Hagos comme bouclier hein?merite que cela ce second traitre...Prends soin de toi et tente de m'écrire de temps en temps,ma bichounette....Je prierais pour vous tout les jours,ma marraine,reviens moi vite et entière

Elle l'a bisouilla et la lichouilla tres tres fort et la serra tres,tres fort contre son tit coeur

Je t'accompagne un bout de chemin,bichounette^^.......Je passerais aerer ta maison et prendre soin de ton jardin,ma bichounette.........Corso,prends soin de ta maman et si tu pouvais aussi Sepenche à l'oreille de Corso,et lui murmure,tout basLe r'Hagos,si tu pouvais n'en faire qu'une bouché ,ce serais génial,mo n Corso,hihihi,il manquerais à personne ce traite menteur,mon Corso,veille bien sur ta maman mon louloup
Antinea
Anti arriva au moulin de sa marraine adorée,et contamplant un instant sa maison,se rememorant sa première visite,c'est avec un immense soupir de tristesse qu'elle y pénéntra et ouvrit en grand les fenêtres et toute les ouvertures.

Elle s'attela a faire le ménage,chassant les araignés,la poussière,remettant bon ordre en l'intérieur de sa marraine.Elle lava les carreaux,et s'attela a laver le sol,puis s'installa derrière,fumant sa pipe et attendant que tout sèche,goutant la sérénité et la paisibilité du lieu,ou planait l'ombre de sa Sherynette.

Ses yeux s'embuèrent de larmes....Comme elle lui manquait tant et tant,sa chere reyne des marcassins volants poursuivit par des sgulls sanguinaires^^.

Fermant les yeux,le visage de sa marraine adorée se forma sous ses paupières closes puis celui de tout ses amis et amies partient à la boucherie sur les bonne parole mensongère de celui qu'elle prenait pour un ami.......Elle ne put empecher le flot de larmes de s'écouler...Pleura un long moment,puis s'étant calmée,elle pénétra dans la maison de sa marraine,refermant lentement et silencieusement les volets et les fenètres,s'assura que tout était en bon ordre....Puis s'en fut,une fois la porte bien fermée, le pas lourd,plaquant sur son visage un faux air joyeux de la fofolle habituelle que tout le monde connaissait,vers la tav.......
Antinea
Anti passa chez sa marraine ouvrir sa maison et faire un brin de ménage.
Elle fredonnait une complainte entendue un instant plus,tout en s'activant chez Sherynette.Elle regarda son jardin et se dit qu'elle allait emprunter une faux pour venir y couper les herbes qui avait bien pousser.
Elle referma les volets et fentres,et s'assura avoir bien refermer la porte a clef avant de repartir vers la tav,sifflotant la ballade entendue et qui lui faisiat venir les larmes aux yeux
Antinea
Anti arriva,d'un pas léger et sautillant,sifflotant un tit air guilleret.Elle se sentait un regain de forme et d'énergie peu coutume.
Ce jour était magnifique,baigné d'un chaud soleil,et elle s'était fait prèter une bonne faux pour entamer a défricher le jardin de sa marraine,des herbes folles.

Elle ouvrit la maison de Sherynouchou,fit le ménage,et,laissant toutes les fenêtres ouvertes,elle s'en fut dans son jardin,s'accorda le plaisr de fumer une petite pipe en aiguisant la faux,et,otant son corset et sa chemise,en chemisette et braies,s'attaquan à oeuvrer dans le jardin de sa Marraine,veillant à repérer les herbes et simples qui allaient lui servir en l'élaboration de ses onguents,potions et filtras.

Il commenait à faire vraiment chaud,et elle sentait la sueur commencer à perler sur son front et son dos.Mais,elle continuait en souriant,bizarrement pleine d'une énergie nouvelle...........

Deux heures plus tard,son oeuvre était achevée.Saisissant sa besace,elle ramassa ce qui pouvait lui servir,puis,prenant un rateau,elle fit des tas d'herbes et les laissa sécher pour les bruler plus tard.Elle se reposa un instant,au frais de la tonelle,
Elle sortit sa bouteille de tisane a la framboise,car,étrangemment,ces deux derniers la cervoise et l'hydromel ne passait pas et li causait de violentes nausés.
Jetant un regard alentours,et satisfaite de son travail,elle rangea le rateau,ramassa sa besace et sa faux qu'elle avait nettoyé,ferma la maison de Marraine,et s'en fut vaquer a ses occupatons,joyeuse et sifflotante,la faux sur son épaule.....
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