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[RP] Dans les prisons de Naaantes, euh. De St Aignaaaan

Sandrine28
Sandy avait reçu les instructions de Valric, ca y est fallait rejoindre les rangs, le départ était imminent. Du coup beaucoup de pensées arrivent dans sa tête. Elle, la petite Berrichonne qui n’aimait pas la guerre allait partir se battre. Elle prend une bouteille de vin et la boit presque d’un trait avant de rejoindre le camp.

Comment en était elle arrivait là, elle se le demande encore. Pourquoi avait elle dit oui, elle n’avait pas trop bu ce jour là pourtant. Elle essaye de se rassurer en se disant qu’elle sera bien entourée.

D’abord ca ne pouvait être que son destin, car elle avait dit oui par amour et par amitié. Pourquoi n’était elle pas tombée amoureuse d’un gentil petit paysan qui ne pense qu’à cultiver. Ben non il a fallut que ca soit d’un homme qui aime se battre, en ancien soldat. Et pourquoi son meilleur ami était lui aussi un homme de guerre. Oui parlons en de son meilleur ami, cet homme qui l’avait aidée sans la connaître à son arrivée à St Aignan. Cet homme qui lui donnait toujours de bons conseils, qui lui payait à boire en taverne.

Enfin elle savait qu’elle pouvait compter sur les deux hommes, qu’elle aurait 4 épaules pour la soutenir si des fois elle ne tenait pas le choc. Était-elle prête à se battre ? À tuer ? Et peut être aussi à être blessée ? Elle n’en savait fichtre rien, mais fallait y aller, elle ne pouvait plus reculer, elle ne pouvait pas décevoir les 2 hommes qu’elle aimait le plus.

Puis pour savoir si elle allait tenir le coup, il fallait bien y aller, une expérience pour elle, non plutôt un défi, elle n’allait pas rester la petite tavernière toute sa vie, fallait qu’elle sache. Elle boit une deuxième bouteille de vin et prend la direction du camp.
Fitzounette
[Toujours au camps de l'armée rebaptisée "les gros gros boulets rouges"...]

Echevelée, la voix cassée, la mini reyne se fait une sacré suée... Le camps s'est vidé, et elle n'a aucune idée de ce qu'elle doit faire... Quelques êtres vous manquent et tout est dépeuplé. Pas de trace de Papou Vad, ni de Tata Kilia.
Elle court partout à la recherche de quelqu'un qui pourra l'aider. Mais elle a beau parcourir le camps en long en large et en travers, personne ! Persooooooone !

Elle se met à courir vers la cité, comme une folle, hurlant :

J'ai peuuuurrr !!! Ne me laissez pas toute seuuuuule !!!
Diabolikbarbiturik
Une goute de rosée tombée de l’arbre sous lequel elle était couchée, viens de lui effleurée la joue. D’un geste rapide elle essuie celle-ci, s’assied et s’étire. Un geste tendre, une caresse sur la joue de la petite tels une mère aimante, un sourire à la vue de la petiote les yeux encore ensommeillés. Plus les jours passait et plus elle s’y attachait, elle n’osait penser au moment où sa mère nous rejoindrait. Impossible d’imaginer qu’un jour la petite la quitterait, et pourtant elle n’était pas sa fille, elle se surprenait de ce sentiment qui naissait en elle, elle qui n’avais jamais eu envie de materner, elle dont le désire d’enfant était néant. Pourquoi s’attache-t-elle à celle ci ? Sa jolie frimousse, son petit air innocent quand elle fait des bêtises ? Sa gentillesse ? Son caractère ardue lorsqu’elle n’est pas d’accord avec quelqu’un, où encore ses yeux dans lesquelles on aimerait se noyer tellement ils sont bleu. Autant de question auxquelles elle ne peut pas répondre pour l’ instant.


Tout est calme, l’excitation de la veille c’était apaisée. Les autres réagissaient à peine sous la fraicheur matinale de ce matin d’automne.


Elle se leva doucement pour ne pas brusquer la petite blottie contre elle, puis elle alla se dégourdir un peu les jambes.
Lors qu’elle revint elle entendit des cris, elle reconnu de suite Libertaa , elle accéléra le pas.


Bitur!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


Fablitos!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


M'man!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!


A la vue des deux gardes qui emmenaient la petite elle s’esclaffa !

Hey mais vous ne pouvez pas l’emmener, c’est une pitchoune de quatre ans, elle n’a rien fait de mal

Mais les gardes ne répondent pas et embarquent la petite.


Elle imagine la petite, enfermée et apeurée. Elle ne comprend pas pourquoi ils l’ont emmené, qu’a t’elle donc encore fait? Pensa t'elle .Elle arrive a l’entrée de la prison, lorsqu’elle appercoit la petite frimousse courir vers elle. Elle la prend dans ses bras, puis soudain la petite d’une voix affaiblie lui dit


J'ai faim...

Et soudain plus rien, les yeux de la petite sont clos, le corps c’est alourdi, ce qui fait comprendre a Diab’ ce qui arrive.
Elle lui tapote les joues et lui cri paniquée.


Libertaa, c’est bitur, tu m’entends ma chérie ? Je t’en prie ! Réveille-toi !
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Eikorc
[Un barreau, deux barreaux…trois cents cinquante mille barreaux…]

Un soupire en réponse au coup d’œil qui le fait sourire, l’azur croise l’émeraude et un clin d’œil traverse les barreaux pour rejoindre la Berrichonne toujours derrière les barreaux… Le colosse hausse un sourcil alors qu’une chanson horriblement interpréter vient déglinguer ses tympans et qu’une odeur acre de vinasse vient chatouiller narine… Grondement qui monte dans sa gorge face à la vanne alors qu’ils se font interpellés par l’ivrogne… L’azur glisse rapidement sur la silhouette titubante avant qu’il ne hausse les épaules et retourne à sa besogne sans lâcher un seul mot…

BING !

C’est que ça résiste ces saletés de barreaux… En plus c’est qu’ils abimeraient le fil de sa lame ! La montagne de muscle grommelle tous les noms d’oiseaux qu’il connait sans que quiconque puisse comprendre ce qu’il raconte… Sa hache s’envole à nouveau et cette fois-ci il accompagne le geste d’un léger mouvement d’épaule… La lame s’infiltre pile où il faut et l’un des barreaux volent au sol en faisant un bordel monstre… Grimace qui traverse son visage alors qu’il voit une tête familière apparaitre devant lui… Le sourcils se hausse à nouveau devant l’accoutrement ridicule de son suzerain et un rire gras lui échappe.


« C’est fou comme t’es laid sapé comme ça… »

Bing

Bah oui, pas parce qu’on cause qu’on doit pas continuer à bosser hein ! Pis en plus la brunette va faire la gueule s’il la laisse en place… Sourire étirant le coin de ses lèvres, Eikorc lève sa hache encore plus haut, plus la peine de prendre des gants, si jamais les gardes rappliquent Vadikura et Maleus se chargeront de faire le ménage, et ptèt l’ivrogne aussi… La lame s’abat plus fortement en plein milieu de l’un des barreaux… Fer contre fer à nouveau sauf que le manche de la hache vibre dans les grandes paluches, arrachant un grognement à leur propriétaire…

L’œil glisse sur chacun des squatteurs de la place et il relance son arme à l’assaut de la prison, un deuxième barreau fini par céder à ses coups qu’il essaie de faire de plus en plus fort… Le souffle commence à se faire court et son visage tout comme son torse se couvre petit à petit d’une fine couche de sueur… Un soupire s’échappe entre ses lèvres alors qu’il regarde l’ouverture… Deux barreaux en moins, l’est fine la p’tiote, ça devrait aller… Haussement interrogatif des sourcils alors que la hache vient trouver le sol et que l’un de ses bras se glisse dans l’ouverture…


« Allez attrape ma main que j’te sorte de là et qu’on décampe… On à pas que ça à foutre… Et si tu restes coincée, j’reprendrais la hache… »

Malgré la fatigue, l’azur pétille de malice alors qu’un sourire sarcastique étire le coin de ses lèvres… Bah quoi ? Ça serait drôle une pie coincée entre deux barreau …
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Membre du fan-club "boisé forever"
Fablitos
[Campement libertadien]

L’fond d’l’air est frais c’matin là. Le ciel d’la même couleur que les âmes : gris fer. Sur la sente s’enfonçant au cœur d’la forêt berrichonne, l’Andalou de faufile entre les bancs de brume montant lentement du sol humide et exhalant la terre et l’humus. Il suit le chemin caillouteux qui mène à la source repérée la veille au soir alors qu’il se promenait la tête pleine de pensées, de doutes et d’incertitudes. Une fois sur place, il se pose sur une pierre plate sise au bord de l’eau, goûtant un moment les joies et les charmes de la nature qui flamboyait dans ses habits d’automne.

Longuement il se mire dans l’eau, constatant au travers de son reflet, le résultat de ses dernières nuits passées à essayer de mettre de l’ordre dans sa trogne. Joues creusées et yeux cernés partent en ronds concentriques sous l’effet d’une pogne plongée dans l’onde claire. La dague calée dans sa botte est tirée, sa lame au fil acéré caresse doucement sa peau étirée, l’Andalou se rase de près. Ce sera peut être la dernière occasion de le faire avant un moment… L’eau et le savon, dernier vestige d’une virée marseillaise avec la Lune en plein dawa provençal, ont un peu aplani les reliefs de son visage, gommé les ombres des paupières. Il fouille dans ses fontes, choisit une chemise rouge sang et des braies en cuir propres, chausse l’unique paire de bottes qu’il a rapportée de Tarbes et, ainsi vêtu de frais, presque reposé, l’esprit plus ouvert et disponible en tout cas, reprend le chemin qui le mènera de nouveau auprès de ses belettes insoumises.

Le retour est expédié d’un pas alerte. Le sifflotement qui l’accompagne meurt soudainement sur des lèvres qui se figent sous des cris de panique en provenance de leur bivouac.

Libertaa, c’est bitur, tu m’entends ma chérie ? Je t’en prie ! Réveille-toi !

Devant la mioche sans connaissance dans les bras d’Barbi, une ombre passe sur son r’gard. Une brume très sombre qui disparaît bientôt derrière ses paupières. La colère qui lui brûle les joues tombe d’un coup. Comme un fruit trop rouge, trop mûr, trop lourd… et s’efface subitement au profit d’un attendrissement paternel aussi surprenant que spontané.

Il se saisit précautionneusement du corps inanimé dont l’poids n’doit pas dépasser celui d’un pigeon anorexique et réalise soudain que la première fois, la seule jusqu’alors où il l’avait tenue aux creux d’ses bras, c’était dans la chambre d’une taverne montilienne, le jour de sa venue ici bas. L’Andalou dévisage la môme avec une tendresse infinie, cherchant à renouer avec la courte magie née les premiers instants de leur rencontre et évanouie comme une buée devenue invisible.

Il relève la tête, dévisage une à une les belettes qui l’entourent attendant qu’il leur rende la p’tiote. L’éclat d’émeraude a fui son regard pour céder sa place au rougissement des braises ravivées. Il affiche cette expression que ceux qui le connaissent un peu, savent que quand il serre les crocs jusqu’à en plisser les lèvres, cela signifie qu’il est interdit d’avancer au-delà… aucune question, aucune réponse… nulle promesse…

Liberta ! juste un murmure, juste un souffle, Liberta ! Liberta !

Liberta… la gosse enfanté par la lune… qui attend d’retrouver sa mère, laquelle est sa seule famille… Il aura un rôle à jouer dans l’éducation d’la gamine, lui le libertadien, lui l’Andalou, lui l’apatride. Quel est ce rôle et en vertu de quoi… peut être des circonstances même de sa naissance… il faut qu’il lui dise que l’avenir leur appartient, à eux qui n’ont rien à perdre et qui combattent pour tous.
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Amberl
[ Passera ? Passera pas? ]

Purée, mais y a personne dans le camp pour la baillonner, la mioche ?

Râle de la berrichonne en entendant la voix nasillarde, familière de la future reyne angevine. Un pas en avant pour voir comment ca avance, trois pas en arrière, la brunette se hisse sur la pointe des pieds et regarde au travers de la meurtrière le spectacle -bah oui, bien tombé, le camp des mercenaires est juste pile poil dans le champ de vision... étrange, 's pas ? -
Le bruit des chocs de la hâche contre les barreaux en arrière fond, Amberle admire le tableau d'une jeune ado, qui chante, et court, comme une hystérique. Et ne peut réprimer un fou-rire... La mioche ne change donc pas.. Sauf que cette fois ci, elle ne danse pas la tektonik comme une possédée.

Amusée, la brune se retourne vers tous ses libérateurs, et fait des moulinets de la main près de son cerveau, mimant la folie douce dans laquelle Fitzounette plongeait...


Vous avez mis une folle au commandement de notre lance...


Les derniers mots s'étouffent, la berrichonne vient juste de démasquer le shérif. S'approchant des grilles, avec prudence, faudrait pas que la hache retombe sur un de ses pieds, la brune tend le bras, agrippe la chemise du sherif, et le rapproche vivement vers elle, près d'elle.. De l'autre côté des barreaux, certes, mais proche. Scène sexy ? Mhm. Ca aurait pu l'être, sauf que là, en l'occurrence, la berrichonne veut juste faire une pichenette sur le front de sa triple nouille.


Abruti chimérique ... J'savais bien que je connaissais ta tête.
T'aurais pas les clefs de la cage sur toi, sherif ?


Un sourire en coin s'ébauche, la brune lâche le Duc, l'émeraude se posant sur le Crok', en sueur, qui a pas mal travaillé. Chapeau bas, l'colosse. L'idée de savoir que le géant a peut être trimé pour rien la fait sourire intérieurement.

Le regard se déplace, et attérit vers son frangin, qui se fait silencieux, abasourdi par le bruit. Serrés les uns sur les autres, Maleus se lève et file dehors, emmenant l'ivrogne avec lui, en position de guets. Acquiescement de la tête de la brune.


« Allez attrape ma main que j’te sorte de là et qu’on décampe… On à pas que ça à foutre… Et si tu restes coincée, j’reprendrais la hache… »


Choppant la paluche du géant, Amberle r'garde le trou dans lequel elle doit s'engouffrer. Sans armures, elle passe allègrement, assez svelte pour cela. Une moue dubitative se pointe sur son visage, alors que le sourire sarcastique de l'autre huluberlu s'agrandit. M'enfin ?! Prenant un air hautain, la berrichonne se la joue grande gueule.

Norf. Bien sur qu'je passe.


Un pas en avant ... la cuirasse restée bloquée. Amberle grommèle de plus belle en voyant le Crok' se foutre d'elle silencieusement. Il l'a fait exprès, de ne pas faire un trou plus grand ! Elle en est certaine.

Tires moi d'là, au lieu de te marrer !

Le regard azur redouble de malice, et semble hésiter. L'émeraude se fait suppliant. Le géant cède, au grand soulagement de la brune, et tire sèchement en arrière, à en débloquer l'épaule de la norf, qui se retrouve catapulter dans ses bras. Norf de norf. Le sourire s'ébauche, elle dépose une bise sur la joue du bucheron fou, et en sautillerait bien sur place, si un fracas dehors ne l'aurait pas arrêté. Un borgne qui passe sa tête au travers de la porte, causant peu mais efficacement.


Grouillez vous, les gardes arrivent.

Le shérif s'en va retrouver son canasson, le Crok' choppe sa hache, la posant nonchalamment sur son dos, Amberle le talonne. L'outil n'aurait pas été là qu'elle aurait grimpé sur son dos. Bah oui. Il a de plus grandes jambes, donc court plus vite. CQFD.

Seul, Banane reste planté là, devant la geôle, tel un âne bâté. Gné. La brune le pousse, le secoue, afin qu'il se remue les miches et ne se retrouve pas en taule, à sa place, alors que de bonne volonté, il voulait sauver la princesse... avait il dit... Peine perdue, il ne tient plus sur ses jambes.


Crok ! Refile moi ta hache, j'ai été bucheronne, j'sais en porter. Occupes toi de lui par contre, trop lourd pour moi, c'te truc. On l'embarque avec nous...!


L'échange se fait, rapidement, la berrichonne sourit en coin, le bûcheronnage étant tout un art qu'elle maniait à la perfection. Zieuttant le cheval de Vadikura, elle a un déclic. Courir est faisable, mais la hache serait un frein au sprint qu'elle compte faire. S'avançant vers Vadikura, la berrichonne le hèle sans plus tarder.


Hey beau brun, j'peux monter en croupe avec toi?

Sourire malicieux envers le duc, c'est pas une interrogation qu'elle demande, mais bel et bien une affirmation. La brune s'installant derrière le duc.


Huuuue ! On trace !

... Juste à temps. Mission évasion réussie. Rock and roll baby!


[J'précise que ljd Mal, Crok et Banane m'ont donné carte blanche pour les faire bouger. Y a que Vadikura que je manie sans autorisation.. ]
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Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente ... Ou pas.
"Y a Amberle, une vraie perle"
---- Rajoutez le "e" final à Amberle pleaze ----
Banane
[Pour quelques secondes de trop]

Dans un moment d'absence au monde que provoque l'ivresse, alternant entre une surexcitation euphorique et une apathie chronique, Banane était resté indifférent à la scène qui s'était déroulée devant lui. Trop d'action, trop de monde avaient bouleversé la trame de son esprit tant et si bien que chacune de ses réflexions fuyaient dans un sens contraire, pour contribuer à créer ce flou qui voguait entre lui et le monde réel.

Banane nageait dans le brouillard, pour ainsi dire. Il n'était plus que spectateur de la vie qui l'entourait.

Amberle le secoue et il se sent encore plus flotter, nager dans ce flou opaque qui l'entoure. Comme un objet secoué dans une boule à neige aurait d'abord eu la tête à l'envers et serait ensuite émerveillé par ce nouveau monde sibyllin créé pour lui.

Amberle lui parle, elle bouge au ralentit. Il lui sourit même mais n'entend pas, il vogue dans sa boule à neige, durant quelques secondes seulement. C'est bizarre, il lui semblait quelle était en cage il y a peu de temps, mais finalement était-ce peut-être plutôt il y a une éternité de cela.

Quelques secondes, juste quelques secondes d'inattention. Banane redescend sur terre aussi vite que ses oreilles se débouchent durant l'atterrissage sous l'effet de la pression. Il entend à nouveau, il comprend même. Sauf le fait qu'il se retrouve transporté par le géant de tout à l'heure, ayant sans doutes troqué sa hache contre lui-même.

Trop dur de réfléchir, chaque pensée lui martèle le crâne comme un gong tibétain. On réessayera plus tard, c'est tellement plus simple de se laisser faire.

C'est ainsi que Banane se retrouva embarqué avec eux dans leur campement à Saint-Aignan. Celui qui partait le soir même pour l'Anjou. Embarqué dans une affaire qui ne le concernait même pas, pas plus que la couleur de la culotte de la duchesse Ysandre. Quoique peut-être même moins.


*hips*
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Sandrine28
Sandrine arrive au camp, elle ne voit personne qu’elle connaît. Elle s’approche doucement et reconnaît la petite fille inanimée dans les bras d’un homme. Elle se demande ce qui a bien pu se passer, mais voyant la tête de l’homme elle ne s’approche pas plus.

Elle se dit qu’elle est arrivée avant valric, doit encore être entrain de boire dans un coin, quant à Mike, ben il allait sûrement arriver sur son étalon. Elle prépara donc ses affaires, car le départ allait sûrement être donné quand tout le monde serait arrivé.

Puis elle s’assit contre un arbre, sort une bouteille de vin, et oui ça donne soif de préparer un sac. Elle commence à boire doucement, et son esprit se met à voguer. Encore prendre la route, encore chevaucher….. Laisser ses amis, oui elle en avait avec elle aussi mais où étaient-ils ? Puis l’alcool aidant, elle s’endormit contre son arbre
Kathykathe
( rassemblement solitaire ... un arbre, une femme, une bouteille de vin )

La jeune femme de seize printemps aura chevauché quelque peu devant retrouver le troupeau qui prendra chemins prochainement. Et voila qu'elle arrive a un premier campement. Si campement on peut ainsi dire car a premiere vue, un arbre, une femme assoupie et une bouteille vidée de son nectar.

Elle fait bond au bas de son cheval et se dirige vers la femme qu'elle eu reconnue. Attache sa jument a un piquet de clôture, et file près de l'endormie. Kat s'accroupie, posant la main a l'épaule de Sandrine.


Dame, réveillez vous ... Sa voix se fait murmure. Mais sans succès d'éveil.

DAMEUH SANDY ! Et murmure n'est plus. Souhaitant éviter coup de bouteille, si coup était pour être porté, Kat fera bond vers l'arrière. Son regard perçant restera accroché sur la jeune femme en attendant le réveil.
Sandrine28
sandy était toujours entrain de rêver quand elle entendit un mumure. La voix d'une femme!!!!! cette voix elle la connait mais pourtant que des chopes et des hommes dans son rêve. D'où pouvait bien venenir cette voix ? puis elle se fit plus forte!!!!!

sandy ouvre un oeil glauque

ohhh dame kiki ? C'est vous ? mais .... mais.... que faites vous ici ?

elle prend la bouteille près d'elle la porte à ces lèvres, rien ne coule...... avait-elle tout bu ? elle n'en avait pas le souvenir..... la jette un peu plus loin et en ressort une autre.

vous voulez m'accompagner dame kiki ?

elle lui tendit la bouteille
Diabolikbarbiturik
La petite venait de passer dans d’autres bras, plus sécurisant peut être, plus fort surement. Tel un loup protégeant son petit, le regard qui en dit long, il la tenait dans ses bras et aucune d’entre nous n’aurait eu intérêt à approcher.

Réagir vite, alors que la petite était inerte, scruter les alentours, chercher quoi faire…

Un regard vers les filles des fois qu’une d’elle aurait une idée.
Ne pas paniquer, ne pas s’énerver, mais agir et vite.


Diab’ se dirigeât vers la fontaine, mouillât son mouchoir et retournât auprès de Fab. Sans un mot elle lui tendit le linge humide.

Elle resta là tout prêt, le regardant tel un père avec sa gosse, ce coté protecteur qu’elle ne connaissait pas, l’avait attendrit.

Elle n’osait dire mot, et pourtant elle n’avait qu’une envie de voir la petite ouvrir les yeux.


Tout doucement elle lui dit :


Tu as besoin d’autre chose ?


Le cœur serré, en attente de la réponse, elle restait là, figée, avec ce sentiment d’impuissance qui l’envahissait.
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