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[RP]Quartier des Ambuleurs Marchants

Madelyn
Madelyn écouta Max. Apprenant à le connaitre de par ses déclarations sur une compagne disparue, le fait qu'ils eurent un enfant également. Un doux sourire étant sur ses lèvres, elle était heureuse de l'entendre annoncer que sa visite le faisait renouer avec les plantes. Elle se rendait compte du bien que cela lui procurait, allant jusqu'à lui dire qu'il se sentait vivant.

Je suis heureuse de vous découvrir, de se partage sur votre vie, apprenant à vous connaitre de la sorte. Tout comme surprise et ravie, que de cette visite anodine, tout en étant tournée vers ma personne d'une certaine façon en venant vous demander aide au niveau de maux de tête, en arrive à vous faire renouer avec les plantes, votre passer apparemment et vous sentir vivant.


Regardant sa tasse, estimant qu'à présent elle allait enfin pouvoir y goûter, la chaleur s'en dégageant devenant moindre. Madelyn lui sourit sur le sujet du miel, appréciant le voir rire. Buvant une gorgée de l'infusion, elle la trouva des plus savoureuse.


Hmm.. Cette infusion est délicieuse... vraiment. Et en effet j'utilise le miel avant cette période de grand froid. L'appréciant fortement les soirées d'hiver aussi.


Puis le regardant repartir dans ses plantes et saisir un livre, elle continua à déguster sa tasse, sans le déranger le voyant concentré.
Saisissant ensuite le petit tissu de lin ficelé, elle écouta ses recommandations avec attention. Mais l'air songeur de Max, la fit juste le regarder. Il disparut un moment, revint ensuite et se fut souriante, riant même avec lui, qu'elle prit tout ce qu'il lui remit.


J'espère oui, être prête à affronter le monde. Je vous remercies vraiment et suis ravie de ce moment passer ici, de tout ce que je viens d'apprendre de par vos connaissance.


Sa tasse étant pratiquement vide, Madelyn en une dernière gorgée fit disparaitre l'infusion y étant toujours.

Et bien voici! Tasse vide! Vos plante et conseil à ma disposition...
Souriante elle enchaina... Il ne me reste plus qu'à vous saluer et vous laisser vaguer à vos occupation Sieur Max.
Max_premier
Madelyn apprécia visiblement la boisson chaude et lui rendit très vite la tasse vide.

Je suis content que mes quelques connaissances puissent aider. La jeune femme se leva et se dirigea vers la porte.

Je vous souhaite moi aussi une bonne continuation dans notre beau village et beaucoup d’amour alors, qui fait tant de bien au corps et au cœur. Il se mit à rire, en lui serrant la main, passant devant elle pour lui ouvrir la porte.

Au revoir Madelyn et n’hésitez pas… si vous avez besoin à nouveau de mes soins… c’est avec plaisir. Je vais quant à moi retourner à mon fournil, la farine m’attend… A bientôt peut-être…

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Madelyn
Espérant ne pas avoir eut l'air de trop vite vouloir partir, Madelyn passa la porte. Et ce départ assez rapide peut-être, était simplement du fait qu'elle ne voulait surtout pas abuser de son temps, plus que ce que déjà elle venait de le faire, en étant arrivée de façon si impromptue.

Je vous souhaite tout pareil en notre village et en amour Sieur Max. Au revoir et merci encore de votre gentillesse.
Je viendrais en effet si cela s'avère nécessaire, maintenant que je sais que vous êtes là et que proposition m'est faite.


Travaillez bien et la bonne fin de journée. A bientôt, oui.


Un dernier sourire et elle quitta de chez Max, afin de repartir vers chez elle et ranger toutes ces plantes, tout comme noter les quelques conseilles dont elle se souvenait. Mais pour sûre, elle était des plus ravie de cette visite, de ces échanges et de ses tisanes a venir pour son bien être.
Max_premier
Max ne sortait plus le nez de ses livres à part pour aller chercher son maïs dans les champs et quelques stères de bois qu'il revendait à la mairesse, faisant du mieux possible pour faire une bonne action, sans réfléchir à la suite.

Il vivait de peu, ne se fatiguant que très peu, à part les yeux peut-être en étudiant mais, il aurait le temps plus tard de les économiser...

Ce matin là, un message lui arriva et ne reconnaissant pas l'écriture, il l'ouvrit rapidement :



"Mon cher Maxounet,

Voilà, je ne doute pas que tu ais des nouvelles de ma cousine Basine et de sa fille mais surtout de Clément ton petiot mais peut-être que tu ne le sais pas encore, mais voilà... la haute protection de Basine, son caractère austère et sa vie de no... de femme d'expérience m'a donné envi de partir, enfin plutôt de m'enfuir et mes pas m'ont conduite de l'autre côté de la frontière...

Je suis de l'autre côté du conflit dans le comté du Poitou à Niort.. et oui, tu as bien lu mais je te rassure, je vais bien... enfin si cela t'es important...

J'y fais depuis mes pas, j'ai acquéri un champ pour vivre de la vente de mon blé et lentement, je fais ma place. Malgré ce que l'on pense des "ennemis" il y a ici des gens qui ont le coeur sur la main et m'aident tous les jours. Outre leur sympathie est contagieuse, je me sens bien ici, mieux en fait qu'à Montmirail alors sûrement que je n'y reviendrai pas... De toutes façons, tu es comme moi, la politique n'est pas ton guide, tu fonctionnes au sentiment... Peut-être que mon expérience te donnera l'envie de repartir sur les routes et peut-être venir ici.. enfin, quand la guerre sera finie, je ne voudrai pas qu'il t'arrive malheur mais il est vrai que nos fous rires me manquent et surtout de te taquiner...

Je t'envoie toute mon amitié et rassure Basine si tu lui réponds, je vais bien.. même très bien ici... Je t'embrasse... ta coquine Alphy..."


Oh.. mais alors là... quand je pense que je lui avait laissé la charge d'aider Basine.. Oh Alpaïde.. si je te retrouve... Il n'était pas fâché en fait, sachant Clément en parfaite santé avec Basine même un peu éloigné de lui et surtout rassuré que son amie "la coquine" aille bien... C'était plus qu'une amitié entre eux, une tendresse réciproque et cela depuis un fameux bain, épique qui au jour d'aujourd'hui lui rendait le sourire...

Hum, il faut que je prévienne Basine pour la rassurer déjà, ensuite, je vais la faire attendre un peu la coquine pour lui répondre. Après tout, elle a pris son temps elle.

Prenant velin et plume, il se mit aussitôt à écrire à la nourrice, pour avoir de leurs nouvelles aussi d'ailleurs.

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Max_premier


36 rue des Ambuleurs, le 11 janvier 1460

Le voilà revenu vers sa maison encore une fois, sentant le poids de la solitude lui peser...

Il n'accélère pas, sent le froid lui givrer les joues qui devaient être encore rouges de honte. Il ne ressent plus ses doigts tant il a crispé les poings tout au long du chemin, s'en voulant d'avoir pu être si bête mais surtout d'avoir entraîner dans sa folie une dame et pas n'importe laquelle la mairesse à un moment où elle lui avait témoigné un peu de douceur, d'attention. Il avait été si agréablement surpris et avait pu imaginé...
"quoi d'abord ?" "Rien" Il n'avait fait que laisser ses émotions couler, le sang battre dans ses veines à nouveau, la vie revenir en lui, la folie le gagner.

Il devait être bien fou pour croire que la fougueuse rousse puisse ainsi se laisser entraîner dans sa folie passagère, lui le pauvre herboriste bien insignifiant.

Il en était à un tel point qu'il avait pu confondre pitié et intérêt ? Qu'il voyait maintenant des fantômes en place publique ? Qu'il oubliait qu'il n'était plus qu'un père, veuf avant son mariage. Père ... Oui voilà, il fallait qu'il se concentre là dessus. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait vu son fils avec cette guerre... Il fallait qu'il bouge... Il fallait qu'il travaille dans son fournil, qu'il aille sur les routes aider son prochain, qu'il pense à tout sauf... à sa solitude.

Changement de direction, il file au marché et revient peu de temps plus tard avec un chariot chargé de farine et de bois... et le voilà qu'il se cloître dans son fournil, pour travailler nuit et jour s'il le faut et pour partir quelques temps pour remettre ses idées au clair.

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Max_premier


Au fournil chez Max

Les jours qui suivirent furent assez étonnants et en fait pas si désagréables que cela...

Sa témérité qui lui avait valu de se trouver ridicule enfin de compte avait aboutit sur d'étonnants rebondissements révélant à ses yeux une personnalité mal connue et une autre inconnue. Il n'avait pas changé d'avis et avait commencé à chargé sa charrette, empruntant le cheval toujours bon-enfant du voisin mais il partait dans d'autres conditions et pour de bonnes raisons, ce qui changeait tout.

On lui faisait confiance à nouveau et c'était très agréable, il jouerait au vieil ours bienveillant et non pas à l'ourson comme disait la mairesse et ce n'était décidément pas pour le contrarier.


"Un peu d'aventure Max dans ta vie si routinière te fera le plus grand bien." pensa-t-il. Il avait mis dans ses paquets son livre actuel sur la reconnaissance du rhume et bien qu'il ne se sente pas encore totalement médicastre, il s'en approchait tranquillement mais sûrement, ce qui lui donnerait la possibilité d'aider autrui comme il essayait de le faire au mieux. " Allez y'a du boulot encore" et la journée se passe tranquillement, il essayait de penser à tout.
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Max_premier


36, rue des Ambuleurs... Chez Max

Le revoilà revenu à Montmirail. Ses envies d'aventure s'étaient soldées par la même constatation qu'il y a quelques temps, le voilà seul. Seul avec lui même toujours.

Il avait ramené le cheval Bonhomme chez le voisin après l'avoir récompensé de pas mal de quignons de pain. La charrette avait été rangée pour combien de temps, il n'en savait rien et pour l'instant peu lui importait.

Au petit matin, il avait croisé dame Sandrine en mairie qui l'avais mis au courant sur l'état de santé de Galadryel mais qui surtout avait l'air perdu pour la mairie. Il avait promis de l'aider par ses faibles moyens. Au moins il servirait à quelque chose et puis, elle lui faisait confiance et c'était la seule chose positive à laquelle il pouvait se rattacher.

Aujourd'hui, il était passé au marché pour acheter bois et farine et dès le lendemain, il jouerait à nouveau à l'ermite dans son fournil. Personne ne l'attendait de toutes façons et personne ne pourrait se moquer de sa naïveté durant son dernier voyage.

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Aubane
42 rue des Ambuleurs, chez Aubane

La maison endormie depuis maintenant 7 mois reprend doucement vie; Aubane est enfin de retour chez elle.
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Euh.
Une rue déserte. Un petit tour et s'en va.
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Basine


36, rue des Ambuleurs Marchants
La nourrice et sa fille étaient entrain de cueillir des légumes dans le petit jardin, des petites choses toutes fraiches et Clément tentant de les aider, se retrouvait souvent à rire, les mains tâchées de terre voir le visage aussi noirci.

Doda était maintenant une belle jeune fille et sa mère veillait toujours à sa bonne éducation mais elle faisait aussi merveille avec le petit clément orphelin de mère et dont le père était on ne sait où...

La guerre et la vie les avaient éloigné longtemps et elle avait retrouvé avec plaisir ce village paisible, sa famille quoique très agréable avait fini par lui faire tant de reproches sur ses manières d'éducation...


Oh si Alphy était ici, elle rirait bien à ce que je pourrai lui raconter sur l'oncle et la tante et sur les cousins, elle qui n'a jamais écouté quiconque... Tient faut que je lui écrive en Poitou tout de même. Doda, tu m'aideras, nous rédigerons une petite missive pour la cousine Alphy d'accord ? Cela fait bien longtemps que nous n'avons pas de nouvelles et qui sait... peut-être sait-elle où est M'sieur Max.

Soudain, Basine chercha Clément des yeux.
Ben l'est où ? Doda ? Il était là... il est parti où ? Dis moi ? Elles venaient de déposer leurs légumes dans le cellier et se mirent à courir à l'extérieur pour retrouver l'enfant.

Max_premier


Dans la rue des Ambuleurs

Il venait de se rendre en taverne pour boire un petit remontant où il avait fait la connaissance du nouveau diacre de Montmirail. Un homme sympathique et simple qui lui avait promis une messe où il pourrait s'il le souhaitait faire un petit somme, pas banal tout de même.

Mais pour l'instant, ses idées étaient bien ailleurs. Il avait fini l'après-midi en envoyant une missive à la jeune femme qui l'avait attendu sur le chemin, avec qui il était revenu à cheval, dont il s'était doucement rapproché en premier lieu par le voyage ensuite, le pas du cheval puis doucement par quelques mots glissés à l'oreille, quelques frôlements. Il lui écrivait qu'il allait prendre un bon bain et en espérant qu'elle en ferait autant de son côté et que peut-être par la chaleur de l'eau, le bien-être apprécié, leurs rêves pourraient se retrouver. Il fut surpris car peu de temps après, il reçu sa réponse... elle proposait qu'il lui apporte les fleurs de camomille dont il lui avait vanté les vertus dans le bain...

C'était donc ainsi, malgré la fatigue du voyage, qu'il avait l'intention de prendre son bain puis de trouver ses réserves de fleurs et de la retrouver, il ne savait encore pas vraiment où mais... il la trouverait... mais c'était sans compter sur la petite tornade brune qui lui arriva dans les jambes...

Max regarda l'enfant un long moment, celui-ci s'était arrêté net et regardait Max...
Ces yeux... cette petite fossette au coin de la bouche... son âge correspondant...

Clément ?.... C'est toi ?
Il le porta doucement et regarda l'enfant pas très rassuré... C'est moi Clément... c'est papa... n'ait pas peur... c'est papa Max hein ? Il le couvrit de bisous et se mit à le faire tourner en riant... six mois qu'ils ne s'étaient vu, six mois à cet âge c'est tellement de temps. Qu'est-ce que tu es grand mon fils... Tu cours si vite aussi mais tu courais où ? Elle est où tata Basine ? et Doda ? Tu joues avec elles ?

Il gardait l'enfant dans ses bras et s'avançait se rapprochant de sa petite maison... pour trouver la nourrice et sa fille.

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Basine
Doda en tête s'était élancée dans l'allée de la maison devançant facilement sa mère Basine qui se débattait avec ses jupons....

Oh... mais c'est pas dieux possible, vont me faire mourir avant l'heure ces garnements...


Doda arrivée dans la rue regarda arriver un homme tenant dans ses bras Clément...

M'man !!! M'man !!! C'est Clément... Il a... Elle plissait les yeux et se mit à sourire en reconnaissant le père de l'enfant... Oh mais c'est Monsieur Max M'man... il est de retour et il a Clément dans ses bras.

Elle s'élança alors à leur rencontre sans attendre Basine qui s'était arrêtée interloquée par la nouvelle.

M'sieur Max... c'est bien vous ? Oh mais... Quel bonheur... Aristote vous ramène sain et sauf... Vite, vite, venez là... venez vous reposer, vous devez être éreinté et vous devez avoir bien faim... vous êtes ... tout maigre... Allez Clément vient par là, il est fatigué ton papa...

Tout le monde riait et Basine remettant un peu d'ordre dans sa tenue, entraînait la petite troupe dans les cuisines où elle lança un grand feu pour nourrir toute la maisonnée.

Max_premier
Max fût entraîné bien vite vers sa petite maison, une main dans celle de Doda et l'autre dans celle de Clément qui imitait la jeune fille et tirait de toutes ses forces...

Il était aux anges et fini presque par oublier ce qu'il avait prévu de faire ce soir. Il ne pouvait décemment repartir alors que cela faisait plus de six mois qu'il n'avait vu son fils ni la nourrice et sa fille.

La soirée fut chaleureuse, le feu crépitait, la table était bien garnie et chacun y allait de ses explications, de ses histoires, de ses nouvelles. Max gardait son fils dans les bras, heureux père et fils et quand le petit commença à bailler longuement, il alla le coucher doucement, lui caressant les cheveux et lui parlant tendrement. Le sommeil arriva vite et après avoir remercié Basine et Doda pour ce bon repas, annonça qu'il avait besoin de prendre l'air "pour digérer", passa dans le cellier et y prit dans sa petite bourse de cuir, un bon nombre de fleurs de camomille séchées avant de sortir.

La nuit était tombée et la fraicheur avec elle, il se dirigea vers l'auberge la plus proche, espérant y avoir quelques renseignements sur le lieu où s'était réfugiée sa blonde compagne de route.

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Max_premier


36, rue des Ambuleurs Marchants Chez Max.

Il était tard ou bien très tôt, il ne savait plus trop bien et d'ailleurs cela n'avait pas beaucoup d'importance. Il savait à peine où il était d'ailleurs quand il rentra doucement pour ne pas réveiller la maisonnée.

Les heures qui suivirent se firent mécaniques, l'esprit ailleurs. Il avait récupéré quelques heures jusqu'à ce que les bruits de casseroles le firent se lever. Basine en bonne maîtresse de maison se mit en devoir de le nourrir comme un ogre et pour ne pas la gêner dans son quotidien, après avoir joué un peu avec Clément, il alla dans son fournil, mettre la main à la pâte...

Son four, sa chaleur, les odeurs de farine, de levain, de croûte croustillante tout cela le réconfortait, c'était un beau métier qui le changeait de ses livres poussiéreux. Et puis pour l'instant, ses connaissances en médecine n'étaient pas mises à l'épreuve et il eut une pensée pour son maître herboriste Lillaka... Tant de lunes comme elle disait dans son dernier message. Il lui fallait d'ailleurs y répondre, il le devait en rapport à la confiance témoignée à ses débuts. Maintenant qu'il savait où envoyer son pigeon. Il espérait seulement que là bas, elle était heureuse, elle si mystérieuse, si entière et dévouée.

La journée s'écoula paisiblement. Les mains reprenaient vite les habitudes et c'est couvert de farine des pieds à la tête qu'il finit par se mettre un instant sur le banc de pierre de son jardinet à regarder la nature.

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Bellissima
Elle avait parcouru de nombreux Kilomètres à travers la ville pour le retrouver.
Elle avait demandé à plusieurs personnes qui lui avait indiqué de venir à cet endroit.

De bonnes odeurs de pain chaud parcourait les quelques mètres qui lui restaient à faire avant d'arriver au 36.

Elle approcha enfin scrutant les moindres mouvements qu'elle aurait pu apercevoir.

Elle se pencha un peu sans trop s'avancer dans la propriété.
Elle ne savait pas si il voudrait la revoir.
Elle repensa au mot qu'elle avait reçu, elle sourit puis vit quelqu'un assit sur le banc. Elle osa s'approcher encore mais ne distingua pas l'homme qu'elle voulait absolument voir.

Elle se racla distinctement la gorge


    Max? Vous êtes là?


Elle se sentit rougir alors qu'il n'avait même pas encore répondu et qu'elle n'était même pas sure que ce soit lui, assis sur ce banc
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